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Revue de presse kylia semaine 35

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de presse immobiliers de la semaine.

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La revue de presse de la semaine

Du 29 août au 2 septembre 2011

Les professionnels du neuf s’inquiètent des retombées

potentielles des mesures d’austérité annoncées.

Le 29/08/2011

(c) Afp Les professionnels du neuf s’inquiètent des retombées potentielles des mesures

d’austérité annoncées.

Suite aux mesures annoncées par François Fillon la semaine dernière, les professionnels de

l’immobilier neuf s’inquiètent de la « double peine » encourue par les investisseurs : d’une part la

réduction de l’avantage fiscal de l’investissement locatif défiscalisant Scellier, raboté une nouvelle fois

de 10 %, et d’autre part de la taxation sur les plus-values immobilières hors résidence principale.

Découragés, ceux-ci renonceraient à leurs projets immobiliers, entraînant un repli de l’immobilier neuf,

largement soutenu ces dernières années par l’investissement locatif. « La construction de logements

neufs est un contributeur important à l’emploi et à l’activité économique : chaque logement correspond

à 1,5 emploi ; dans un contexte où la baisse en 2011 des taux de 25 % à 22 % pour le Scellier a

contribué à la chute de 32 % des ventes aux investisseurs individuels au premier semestre, une

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baisse de l’ampleur envisagée devrait entraîner une diminution des ventes de 40 000 logements, soit

la suppression de 60 000 emplois », indique la Fédération des Promoteurs Immobiliers.

Outre l’emploi, la réforme pourrait pénaliser les finances publiques : « Quand on sait que chaque

logement vendu permet aux pouvoirs publics de récupérer 19,6 % de TVA sur le prix de vente, les

droits de mutation, l’ensemble des cotisations sociales des emplois induits par la construction de

nouveaux logements, sans oublier 33 % des bénéfices réalisés par les opérateurs de logements

neufs, etc., le bilan n’est guère brillant car le premier coup de rabot n’aura au mieux qu’un effet neutre

sur nos finances publiques, souligne Cerenicimo, spécialiste de l’investissement locatif. Il pourrait

même être négatif si l’on pousse plus loin la réflexion et que l’on tient compte de l’augmentation du

chômage liée à la baisse du carnet de commandes des promoteurs immobiliers. D’ailleurs

étonnamment, l’impact de cette mesure n’est même pas quantifié par le gouvernement ». En

conséquence, « contrairement à ce qu’affirment les services du Gouvernement, il n’est pas sûr que le

nouveau dispositif participe à la relance de l’offre immobilière, et on peut craindre au contraire un

blocage du marché, ceux qui ne sont pas obligés de vendre renonçant à leur projet », estime l’Union

nationale de la propriété immobilière.

Source : Le NouvelObs.com

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Plan d’austérité du gouvernement : quelles conséquences

sur votre patrimoine ?

Le 31/08/2011

Le gouvernement prévoit notamment une hausse de 1,2 point des prélèvements sociaux sur les

revenus du patrimoine et la suppression de l’abattement sur les plus-values immobilières hors

résidence principale.

Un plan d’économies d’un milliard d’euros pour 2011 et de 11 milliards d’euros pour 2012 a été

annoncé par le Premier ministre le 24 août dernier afin de permettre le retour d’un déficit public en

deçà du seuil de 3 % du PIB. Présentation des mesures qui concernent les ménages.

Relèvement du taux des prélèvements sociaux

Le projet présenté par le Premier ministre prévoit une hausse des prélèvements sociaux sur les

revenus du patrimoine (intérêts, dividendes, plus-values, produits d’assurance-vie, revenus

fonciers…) de 1,2 point. Le taux global des prélèvements sociaux passerait ainsi de 12,3 à 13,5 %. Et

attention, cette hausse pourrait entrer en vigueur pour les revenus perçus dès 2011.

Durcissement de l’imposition des plus-values immobilières

L’abattement pour durée de détention applicable aux plus-values immobilières pourrait être supprimé.

Étant précisé que les plus-values réalisées lors de la cession d’une résidence principale ou d’une

vente dont le prix n’excède pas 15 000 € demeurent exonérées.

Rappel : le propriétaire revendant l’un de ses biens immobiliers bénéficie à ce jour d’un abattement de

10 % par année de détention au-delà de la cinquième. Cet abattement aboutissant à une exonération

totale de la plus-value après 15 ans de détention.

Il convient toutefois de souligner que pour le calcul de la plus-value, le prix d’achat serait majoré de

l’inflation constatée depuis la date d’acquisition.

Contribution exceptionnelle pour les très hauts revenus

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Les contribuables dont le revenu fiscal de référence atteint le seuil de 500 000 € par part seraient

soumis à une contribution ponctuelle exceptionnelle. Le montant de ce prélèvement serait égal à 3 %

de la fraction du revenu fiscal de référence qui excède le seuil de 500 000 € par part.

Précision : le revenu fiscal de référence est égal au revenu net imposable majoré de certaines

charges (versements réalisés sur un contrat Perp ...), de certains abattements (abattement de 40 %

sur les dividendes ...), de revenus exonérés (plus-values exonérées ...) et de certains revenus

(revenus soumis à un prélèvement libératoire ...).

Cette contribution s’appliquerait dès les revenus perçus en 2011 mais serait supprimée dès que le

déficit public reviendra en deçà du seuil de 3 % du PIB.

Nouveau coup de rabot sur les niches fiscales

Après le coup de rabot sur les niches fiscales opéré par la loi de finances pour 2011, une nouvelle

réduction globale de 10 % devrait être pratiquée sur les avantages résultant des réductions et crédits

d’impôt inclus dans le champ du plafonnement global des niches fiscales. Cette mesure ne devrait

toutefois s’appliquer qu’en 2013 au titre des revenus perçus en 2012.

Source : Les Echos.fr

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Combien vaudrait aujourd'hui le m2 si l'immobilier avait

suivi l'inflation ?

Le 31/08/2011

A l'heure où François Fillon change la fiscalité des plus values immobilières, autorisant à

déduire seulement l'inflation, la question mérite d'être posée. Retrouvez, ville par ville, la

surface que l'on pourrait s'offrir si l'immobilier avait augmenté comme le reste des prix à la

consommation.

Evidemment, personne n'est dupe. Si François Fillon a proposé de changer la fiscalité des plus values

immobilières hors résidence principale, c'est bien pour faire rentrer de l'argent dans les caisses de

l'Etat qui en ont bien besoin. Rien d'étonnant, donc, à ce que les propriétaires de résidences

secondaires et de biens locatifs y soient perdants.

La mesure devrait d'ailleurs rapporter 2,2 milliards d'euros en 2012 et 180 millions en 2011. Une

estimation qui a été réalisée en comparant les deux fiscalités. En résumé, jusqu'ici, le principe était le

suivant : au bout de 5 années de détention, un abattement est offert au rythme de 10% par an. Au

bout de 10 ans, on arrive à 100%. Le bien est donc exonéré d'impôt sur la plus value au bout de 15

années. La nouvelle règle est plus simple : le propriétaire pourra déduire des plus values, au moment

de la revente, le montant cumulé de l'inflation depuis l'année d'acquisition du bien. Plus précisement, il

augmentera le prix d'acquisition de la valeur de l'inflation et fera la différence avec le prix de vente

pour déterminer sa plus value déclarable (plus de détails sur la mesure).

L'ampleur des économies réalisées par le gouvernement, qui représentent 20% de la totalité du plan

de rigueur, donne à elle seule une idée de l'écart qui peut exister entre l'évolution des prix de

l'immobilier et celle de l'inflation. Mais, dans le détail, un petit coup de retroviseur permet de montrer la

gigantesque flambée de l'immobilier depuis une quinzaine d'années.

"La Tribune" a demandé au site Meilleursagents.com d'extraire de ses bases de données l'historique

des prix dans 20 grandes villes de France et de les comparer aux prix actuellement en vigueur. Entre

les deux, nous avons revalorisé les prix à hauteur de l'inflation cumulée pendant la période. Pour

réellement voir l'impact de la mesure Fillon, il aurait fallu remonter à 15 années en arrière, en

1997. Les différentes statistiques à disposition ne remontant pas aussi loin, le premier prix date du 1er

janvier 1998.

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Les tableaux ci-dessous permettent ainsi de découvrir, ville par ville, pour les appartements et les

maisons, combien de mètres carrés un acheteur pourrait s'offrir aujourd'hui selon son budget.

Les résultats sont affolants... ou laissent rêveur. En moyenne, sur les appartements comme sur les

maisons, les prix de l'immobilier ont plus que doublé alors que l'inflation aurait renchéri les prix de

seulement 25% environ.

Appartements : des écarts de 31% à 194%

Concernant les appartements dans l'ancien, c'est bien évidemment à Paris que la différence est la

plus spectaculaire. Avec l'inflation, le prix au mètre carré moyen dans la capitale serait aujourd'hui

d'environ 2.800 euros. Un chiffre proche du prix moyen aujourd'hui constaté à Bordeaux ou

Montpellier. Au lieu de ça, il caracole à près de 8.200 euros le mètre carré selon Meilleursagents.com.

Le chiffre des notaires, légèrement décalé dans le temps, fait déjà état d'un prix supérieur à 8.000

euros le mètre carré.

Autrement dit, un parisien achetant un deux pièces de 50 mètres carrés aurait pu s'offrir un... 147

mètres carrés ! Voyant les choses différemment. Dans un marché parfait, avec des salaires et des prix

immobiliers augmentant au rythme de l'inflation, un budget de 200.000 euros permettrait d'acheter

aujourd'hui un trois pièces de 72 mètres carrés. A la place, il peut s'offrir aujourd'hui un studio de 31,5

mètres carrés dans le 19ème arrondissement ou un... 16,5 mètres carrés dans le 7ème.

Dans les grandes villes de province aussi les écarts restent spectaculaires. Bordeaux, Grenoble, Lille,

Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Toulon, Toulouse... toutes ces villes ont vu leurs prix au

moins doubler, même en tenant compte de l'inflation. A Lille et à Grenoble, par exemple, on peut se

payer exactement deux fois moins de mètres carrés aujourd'hui qu'en 1998.

C'est au Mans que l'évolution est moins importante, avec une hausse de 62% hors inflation mais de

31% "seulement" inflation incluse. Suivi de Reims (+61% avec inflation), et Brest (+64%).

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Maisons : Montpellier décroche la palme de la flambée des prix

Les écarts sont un peu plus resserrés concernant le marché des maisons dans l'ancien. D'abord

parce que le faible nombre de transactions à Paris exclut la capitale du classement. Ensuite parce que

la maison reste une denrée prisée, dont le prix a tendance à grimper plus vite que celui des

appartements. Mais dont les prix plafonnent lorsqu'ils franchissent un seuil hors de portée des

acquéreurs.

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En effet, un acheteur peut facilement se rabattre faute de budget sur un appartement de quelques

mètres carrés de moins. Pour une maison, la taille du terrain, la présence d'une piscine, etc. entrent

également en ligne de compte, indépendamment de la surface habitable. Les chiffres au mètre carré

doivent donc être pris avec plus de précaution.

Il n'empêche, la moyenne des donne une bonne idée de la réalité. A Montpellier, une maison de 100

mètres carrés coûterait 124.000 euros si l'immobilier avait suivi le niveau des prix, alors qu'il faut

aujourd'hui débourser 284.000 euros. Suivent ensuite Marseille, Nice et Bordeaux. Rien d'étonnant à

ce que les maisons aient pris plus de valeur dans le sud où l'on profite plus longtemps du beau temps

et de la piscine. Lille parvient tout de même à s'intercaler en 5ème position, juste avant Toulon.

L'écart les moins flagrants se situent cette fois à Brest (+53% inflation comprise), Dijon (+63%), Le

Mans (+67%) et Strasbourg (+69%).

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Source : La Tribune.fr

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Immobilier : vers une refonte des aides aux travaux de

rénovation

Le 31/08/2011

Le coup de rabot des niches fiscales n’épargnera les crédits d’impôt accordés lors de

l’installation d’équipements écologiques dans les logements. Une réforme globale des aides à

la rénovation pourrait compenser en partie le manque à gagner.

Cela ne fait plus de doute ! Dans une interview à France Info, la ministre de l’Ecologie Nathalie

Kosciusko-Morizet confirme que les crédits d’impôt développement durable, accordés lors de

l’installation d’équipements améliorant la performance énergétique des logements, n’échapperont pas

au coup de rabot sur les niches fiscales.

Pour rappel, ces ristournes fiscales s’appliquent uniquement aux dépenses en matériel. Elles

permettent, par exemple, de réduire de votre impôt sur le revenu 13% du montant dépensé pour

l’installation d’une chaudière à condensation, 22% pour le financement d’un panneau photovoltaïque

ou 45% pour la pause d’un chauffe-eau solaire...

Si vous envisagez d’entreprendre des travaux de rénovation, mieux vaut toutefois ne pas se

précipiter. Les arbitrages définitifs seront rendus le 21 septembre prochain lors de la présentation du

projet de loi de finances pour 2012. Contacté par Capital.fr, le cabinet du secrétaire d’Etat au

Logement Benoist Apparu, laisse en effet entendre qu’une refonte des aides à la rénovation est à

l’étude. Celle-ci pourrait reprendre des pistes évoquées par un récent rapport. La possibilité de

rétablir, pour certains travaux, le cumul entre le crédit d’impôt développement durable et l’Eco prêt à

taux zéro n’est pas écartée. Verdict à la fin du mois.

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Retrouvez la liste complète des équipements éligibles au crédit d’impôt développement durable.

Source : Capital.fr

A propos de KYLIA Immo.com

KYLIA-Immo.com, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une

famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.

Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :

La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents

et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences

immobilières traditionnelles.

L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de

professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.

La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif

commun : La croissance !

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