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REVUE DE PRESSE Bliss Anthony Egéa

REVUE DE PRESSE - TnBA...geaise des Vibrations urbai-nes de Pessac, plus jeune, moins expérimentée et de dimen-sions bien plus modestes : la Se-maine des cultures urbaines dé-bute

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REVUE DE PRESSE Bliss

Anthony Egéa

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REVUE DE PRESSE – SOMMAIRE BLISS

BORDEAUX 7 – MERCREDI 3 SEPTEMBRE 2014 THEATRE / Insertion presse – Saison détaillée LA DÉPÊCHE DU BASSIN – 18/24 SEPTEMBRE 2014 FESTIVAL DE DANSE / “Anthony Egéa, avec Bliss sa vision du clubbing” par Fabienne Amozigh SUD–OUEST – DIMANCHE 21 SEPTEMBRE 2014 DANSE / « J’ai grandi avec Cadences » par Sabine Menet SUD-OUEST – MARDI 23 SEPTEMBRE 2014 DANSE / « Cinq pas Cadencés » par Sabine Menet SUD OUEST – 29 SEPTEMBRE 2014 SORTIR / DANSE / « Egéa met en boîte » par Sabine Menet SUD OUEST – 25 OCTOBRE 2014 BRUGES CULTURES URBAINES/ “En mode hip hop” par Christine Morice DIRECT BORDEAUX 7 – 10 DÉCEMBRE 2014 DANSE HIP HOP / “Voyage au bout de la night” par Sébastien Le jeune SUD OUEST – 17 DÉCEMBRE 2014 POINT DE VUE / « L’individuel et le collectif » par Christophe Loubes

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108 COURS DE LA REPUBLIQUE BP 1533470 GUJAN MESTRAS - 05 57 52 75 75

18/24 SEPTHebdomadaire

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Tous droits réservés à l'éditeur

FESTIVAL DE DANSE. Le chorégraphe bordelais Anthony Egéa, fidèle du festival dedanse Cadences, était en résidence à Arcachon pour son tout dernier ballet "Bliss",hymne à l'univers du clubbing sur fond de musique électro. Une première mondiale à voirle vendredi 26 septembre.

Anthony Egéa, avec "Bliss"sa vision du clubbingII est l'un des premiers a avoir

porté sur la scene la danse lehip-hop et il est aujourd hui

devenu une reference dans legenre. Même s'il convoque destechniques différentes et associeau hip-hop des nuances inspiréesd'autres styles, le maître du hip-hop est un inventeur Sa compa-gnie Rêvolution créée en 1991, aimpulse ses codes, libres, et s'im-pose comme une revolution justement, sa revolution G est dans larue qu'Anthony Egea a commencea danser avec le hip-hop, avecles copains, et ce passe-temps,simple jeu au départ a pris toute laplace dans sa vie D'abord forméa l'école Superieure Rose I la Hughtower a Cannes, puis au DanceTheater de Alvin Ailey a New York,le garçon a force de persévérances'est construit un univers, qu'ilexplore au fil des annees, de sesvoyages et de ses rencontres avecles cultures métissées qui peu-plent sa compagnie Une richessequ'il met au service d'une danseurbaine, qui s'imprègne de cettepluralite Ses choregrahies Amazones. Sdi, Urban Ballet, Rage ensont les témoins et aujourd'huiavec Bliss, (qui signifie extase)il donne sa version d'un mondede la nuit celui des clubbings AArcachon, en résidence le choré-graphe a conçu ce ballet comme «un retour a ces premieres amours» une epoque ou il fréquentait lesboites de nuit. Peut-être parcequ il a • toujours l'impresssiond'avoir 20 ans », Anthony Egea n'apas perdu la fougue d'être dans larecherche en permanence

Une danse populaire,extase et électro« Je fais aujourd'hui ce quele monde me donne à vivre »,annonce-t-il en épicurien. Certai-nement cette « bonne etoile », dontil parle I accompagne dans « sonrêve de vivre de la danse » Unedanse qu'il exporte au-delà desfrontières partout en Europe, en

Pour sa 4e résidence à Arcachon, Anthony Eqéa a peaufiné Bliss qu'il présente pour la toutepremière fois avant Cognac, Poitiers, Paris, les Transmusicales de Rennes et le TNBA à Bordeaux.Photo : Christian Vlsticot.Afrique et même en Asie, en ChineUne danse stylisée qu il veut «populaire avant tout, et qu'elleplaise de 7 à 77 ans ». Petit pro-tege du festival, le garçon a tissedes liens avec ce rendezvous dela danse depuis des années > J'aivu grandir ce festival, je m'y suisvu grandir »Apres Urban Ballet, Clash, Doroty,Tetris, Le magicien d'oz, tout leclimat d Anthony Egea envahira lascène de f'Olympia le vendredi 26septembre avec Bliss « Bliss c'estla joie I extase c'est ce que j'ai euenvie de montrer dans cet universdes clubbing », explique l'artisteMusique electro, musiciens surscene, cage en plexiglas, barrede pole dance, sofas, I ambianceclubbing se mélange à la musiqueélectro qui habite les dix danseursFantasmes, extravagances atmosprière festive font partie de ce

voyage d'une nuit qui passe parune danse fiévreuse et tribale «Dans cette création, la musiqueelectronique est le lien qui unit lessensations, les mouvements et lepartage d'une danse qui granditen soi et se livre a tous. Entreepuisement et transcendance,perdition et revelation, un mondeou la danse est une issue » Unecreation qui finalement réinventeson approche de la danse, enfusionnant deux familles hip-hopet électro

[ Fabienne AMOZIGH ]

Vendredi 26 septembre à 21h auThéâtre Olympia. Tarif 28 euros.Rer», billetterie au OS 57 52 97 75

« Je veux faire une dansepopulaire accessible de 7 à Tians ».

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23 QUAI DES QUEYRIES33094 BORDEAUX CEDEX - 05 35 31 31 31

25 OCT 14Quotidien

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BRUGES

PHOTOS C MPrès du nouveau city-stade, la fresque fera des émules cette semaine.

En mode hip-hopCULTURES URBAINES Au menu de la semaine : stage de graff,basket au city-stade ou « Bal electro » avec la Cie Rêvolution

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CHRISTINE [email protected]

C'est la petite-cousine bru-geaise des Vibrations urbai-nes de Pessac, plus jeune,

moins expérimentée et de dimen-sions bien plus modestes : la Se-maine des cultures urbaines dé-bute lundi 27 octobre autour dunouveau city-stade, à côté du Forumdes associations et du skate-park.

À l'initiative du service jeunessede laville, qui souhaite faire décou-vrir auxadolescents le nouvel équi-pement, et en partenariat avec laMaison des jeunes et de la culture(MJC), différents événements au-ront lieu durant cette seconde se-maine de vacances scolaires.

« L'idée, c'est que les jeunes pas-sent nous voir, se retrouvent autourd'animations moins traditionnel-les que celles que nous organisonsd'habitude », confie Hubert Gaget,le responsable du service jeunesse.

Apprentis graffeursDès lundi,les 11-17 ans pourrontpar-ticiper à un stage de graff animé parThomas et Gautier, du Lab des artis-tes. Ce sonteux, en effet, qui ontréa-lisé la grande fresque, visible sur levesnaire du stade Galinier, rue Jules-Ladoumègue. Les apprentis graf-feurs ont rendez-vous chaqueaprès-midi de 14 heures à 16 heuresà côté du city-stade (i).

Lin autre stage, axé sur l'écriturehip-hop et la musique assistée parordinateur (MAO), estproposé cha-quematinàpartirdemardi,9 hl5,par laMJC(2)par l'animateur ScootLes inscriptions ne sont pas doses.

Par ailleurs, des tournois de bas-ket et de « street foot » seront orga-

Les ados seront initiés par les graffeurs du Lab des artistes, quiont réalisé la fresque sur les vestiaires du stade Galinier

nisés chaque après-midi. Entredeuxparties, les animateurs mcite-rontles jeunes àentretenir les lieux.Dans le même esprit, la rédactiond'une charte de respect de l'environ-nement est également au pro-gramme.

BalàTreulonVendredi soir, tout le monde se re-trouvera vers 18 heures, pour admi-rer les réalisations des graffeurs, les-quelles seront exposées surplace.Une collation sera offerte, en atten-dant l'événement qui viendra clô-turer cette Semaine des cultures ur-baines. Il s'agit du « Bal electro » dela Compagnie Rêvolution, en rési-dence sur la commune. Il débuteraà 20 h 30 dans la grande salle del'espace Treulon. Laquelle se trans-formera, pour l'occasion, en unesortedeboîte-de-nuit Les danseursde la compagnie d'Anthony Egea se

posteront sur des podiums et en-traîneront ainsi les habitants dansl'univers de Bliss, le spectacle pré-sente par la troupe lors du dernierfestival Cadences d'Arcachon et quisera joué prochainement auTNBACe bal populaire, version danse ur-baine et agrémenté de succès desannées 1970, commencera en faitcomme un spectacle avant de trans-mettre auxparticipants différenteschorégraphies. Les jeunes danseursdu centre de formation profession-nel de la compagnie sont égale-ment impliqués dans cette soiréeaccessible à tous.

L'expérience brugeaise aura enfait valeur de test, puisque ce même« Bal electro » fera l'ouverture du fes-tival Novart à Bordeaux, le 22 no-vembre, Place Saint-Michel.

(1) Tel 05 56 16 17 90 ou 1795(2) Tél 0556282432

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DIRECT MATIN BORDEAUX 723 QUAI DE QUEYRIES33100 BORDEAUX - 05 35 31 21 75

10 DEC 14Quotidien

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Bordeaux CultureDANSE HIP HOP

VOYAGE AU BOUT DE LA NIGHTAprès avoir fait danser la place Saint-Michel pour l'inauguration de Novart,Anthony Égéa et sa Cie Rêvolution sontcle retour dès vendredi au TnBA pour huitreprésentations de « Bliss » ("extase"en anglais), une vibrante plongée dansl'univers electro créée en septembre aufestival Cadences darcachon. Entretien.D'où vous est venue cette idée d'immersion dansle monde du clubbing ? D'un vécu personnel ?Oui, j'ai passé pas mal de temps dans majeunesse dans les boîtes electro, les soundsystems, les rave parties. À l'époque, dès lesannées 1980, j'y étais tous les week-ends, àmontrer ma danse, à étaler ma technique issuedu hip hop. C'était alors tout un rapport à la mu-sique, très simple et très fort : on était dans ungroove, dans le style, les effets, l'apparat. Unphénomène hérité du disco-funk des 70's, qu'onpouvait déjà voir dans l'émission américaine« Soûl Train » -j'y consacre d'ailleurs un tableaudans ce spectacle.C'est donc un mouvement que j'ai pu observerde lintérieur, parce que j'ai vraiment baignédedans. Ça m'a toujours fasciné, l'influencede cette musique sur le corps, l'adrénaline, lerythme cardiaque. Surtout, ('electro arrive, parl'intelligence de sa conception, à maintenir cetétat de tension et à emmener des masses dansdes états seconds, proches de la transe.

Du point de vue d'un simple amateur de boîtesde nuit, la danse des clubbers peut paraîtretrès individuelle, voire désordonnée... Com-ment avez-vous réussi à la structurer, à la rap-procher de votre univers d'origine, le hip hop ?C'est vrai, il y a d'abord quelque chose de trèspersonnel dans cette transe, proche de la folie,chacun peut y réagir à sa manière. Pourtant,avec le son répétitif, tous battent au mêmerythme, à l'unisson, on bascule dans l'alchimiecollective. Pour en revenir au hip hop, il fautsouligner que, depuis l'apparition des premièresboîtes à rythme dans les années 1970, ('electroa beaucoup contribué à révolution du hip hop -

« Depuis les premières boîtes à rythme, ('electro a beaucoup contribué à l'évolution du hip hop. »

depuis le pop et le lock, jusqu'à l'abstract styleplus récent.Au cours des auditions des danseurs, j'ai doncrecherche des gens qui avaient aussi uneconnaissance de ce milieu de la dance et duclubbing. Des danseurs passés par l'universdes battles, des house dancers, des amateursde new style, de voguing ou de danse electro(dont la tecktonik, le plus connue). Ce qui m'atoujours intéressé en tant que chorégraphe, cen'est pas le seul hip hop, mais le métissage destechniques de danse, et la richesse corporellequ'il entraîne.

Il n'y a eu pour l'instant que quèlques dates entournée depuis la création à Arcachon. Quelssont les retours ? Comment se profile la suite ?Au niveau du public, l'impact a été jusqu'ici assezénorme, c'est une chance ! Ce qu'on a entendusouvent, c'est que les spectateurs s'étaient re-trouvés embarqués, emballés par l'"énergie dé-vastatrice" qui se dégage de la pièce. Il faut dire

que c'est un spectacle complet, avec 10 dan-seurs sur scène, deux musiciens en live, unescéne importante et des dispositifs scéniquesoriginaux - la cage en verre, la danse au cas-que... C'est un tout, qui a séduit, semble-t-il.Et côté pro, au-delà de nos partenaires qui nousont soutenu pour la création et le diffuse donc,ça s'annonce bien : on dépasse la vingtaine depréachats et options, déjà un bon succès et lebouche à oreille fonctionne déjà. Il faut attendreles dates à venir, sur les scènes les plus repé-rées par les professionnels, Bordeaux, et Parisen suivant. On croise les doigts, comme on dit,mais j'ai plutôt un bon feeling pour la suite... •

Recueilli par Sébastien Le Jeune

Au TnBA, dès vendredi et jusqu'au samedi 20,20h30 sauf les 17 et 19 (19h30) et dimanche 14(16h), relâche lundi, 9-25€. www.tnba.orgCe vendredi, on peut aussi voir sa création jeunepublic « Dorothy », d'après « Le Magicien d'Oz »,au Bois fleuri de Lormont (dès 7 ans, 20h30,3-6€).

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SUD OUEST / AGGLORAMA / 17 DÉCEMBRE 2014

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