Revue-La Libre Parole - Le rôle de la FM:. pendant la dernière guerre et pendant la prochaine

8/8/2019 Revue-La Libre Parole - Le rle de la FM:. pendant la dernire guerre et pendant la prochaine...

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3- Anne - N 14 LA LIBRE PAROLE OCTOBRE 1 9 3 2

"o e e enda t la dernireGuerre et

la ......i i i i i i i i i i i i i i i i --

Titre de la confrence duF.. t : y c h n e ~ 3 0 1 : ~ Colonel, la Logel 'Unit Ma. .

II: 8 Julllt:t1 9 3 Z

L'Assassinatdu Prince

LI: N 3 francs LA LIBRE PAROLE 15 fI'. par an. .


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-L

.. PLACE De L'OPeRAPA . R . I Sle 1)lus beau lingeles jolis .rousseaux-

'. . ,., ,

N O M [ ) ~ E U X MAGASINSDE

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DIRECTE URS REN PLISSON et HENRY COSTO"SEC RTAIRE GNRALE MARYA DEL ROSARIO53, rue Bobillot - PARI S (X IIl ')

Tt.LtPHONE : Gobelins 94-4'Adresser lettres el mandats ftl. Henry COSTONAbonnement annuel : France, 18 fr. Etranger, 26 fr.

SOMMAIRE :

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A nos lecteurs et abonns . . . . .. . . . .. . . . . . . . .. . . . . . . . . . 1Notre souscription ' " . . . . . . . . . . . . . . . . ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2J OSEP H GERAUD. - Le Rle de la F,', M,' . pendant la dernIre guerre...et pendant la prochaine.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .. . . . . . . . . . . . .. . . 3ALBERT MONNIOT, - Les moIssons juives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .... 9EMILE BERGERON. - La belle mission des jeunes hommes . . . . . . . . . 12J ACQUES P L O ~ C A R D - Front unique contre l 'or juif . . . . . . . . . . . . . . . . 13E .-NAPOLtON CARSETTI. - L'assassinat maonnique du Prince Imp .rial . . . . . '" . . . . . . . . .. . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14FARA. - La Gauche et la Droite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ,. 10MARYA DEL ROSARiO. - Les Femmes Franaises devant la guerre . . 11

. H ENRY COST ON . - Les Ides et les Faits . . . . . . .. .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . '4 et l .. . .. . .. . . . . .. . " . .. . . . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

A NOS LECTEURS ET ABONNS0000(90000

Qu elques a.bol1l1.s nous s ignalent que la Libre Parole ne lew ' pOl' vient{lliC l , ~ s inrgu'lirement. ,Nous en sommes trs to nns cur depuis Je t er Janvi er 1932 , elle a par'uu VCc rgularit.L c.s dru 'nlCl's numJ'Os sont les SUIva nts :N Il , Juillet 1932 (joul'nul).N 12, 1er Aot 1932 (revue) .N ' 13, 1"" Septembre 1932 (revue).CCliX de nos lecteurs qui n' uura:ent pas 'oou l' un de numt!rospcu\"cnt nous le rclamer.Un deux"me cn VOli leu r .sera roi b aussitt.~ profHtlns de l'occasion pOUl ' nous ex cuser uuprs de nos lecteursdes nombreuses coquilles que comptait notre prcdent numro


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Un quotidien connu : La. Vic toir e, de Gustave e r ; y ~ cesB;8 momen taHLffienl de pQ.ralt.re .faule d'annonces, d'abonns, de lec teu rs el Ide .. subsi des 1Un pr,:odique qui a essay de jouen un rOle t i q u e , LAube, fi disparu

po ur les mmes faisons . L'Uumanit ne se ma,nllenL que grAce la persvrance de ses fidles et aux subvenlions sDv:tJques. le P01>u!a.lre , ' il; surtoutde .fronda secrets, l 'Ami du. 1euple n 'e xi sle q ue par la vo lon ' de f:otyel le o u r ~ de ses m i ~ l i o n s . et l'Action Frn {'d. tse implore chaque jou rl"aumne de ses aI1115... En V l' l t , les Lemps sont durs pOUIl les j ourn auxqui ne possdent pas, avec des t !'l'8CCS trs importants el uno publi citl 'munr aLrice. la manne inavoue et souvent inavouable de ccr11t.'nc$banques . . ou celle des gouvernants!

.- Nol.l'C: Libre Paro le, clle. depuis Iro is ans, poursu,l t son ex is tence ovecJe seul concours - si faible pourtant ! - die se:; llbonns ct surtout g l'A.ceil 1 a c L ~ r e t pcq>tuel labeu r de ses lro:s l g c u ... .l Iais pou"quoiamis ne noU,s aidCI1t-lts pas da uantaYe en flUUS lH 'oC U1'alll' des annonces,lies abonns et surlolt..t des dons?

Lil DIRECTION-------- . ( ? ' = ~ - _.-_ .Notre Souscription

T ROISlEME LISTE(rponse notre appel de lu t,,)Deux versements de dix (ranc,s . . . , . . . . . . . . . , . . ,.Un vel"8ement de vingt-cinq francs . . . . . . , . . . . . .Deux versemenls de c;inquanle fran cs . . . . . . . . . . . .Un versement de eent fra ncs . . . . . . . . . .. . . . . . . . .

Total de la troisime Iisle . . . . . . . . . . . . . . . .TOla l prcdent .. . . . . . . . . , . . . . . , ' . . . . . . . .Total gnral . . . . . . . . . . . . .. . . .. . .

A lous n08 gnreux souscrjpteurs, merci de l.out cur.

20 fI'.l!6 Ir.100 Ir .100 Ir.245 Ir .ll.w Ir.

- -1385 Ir.Que ceu x qui n'on t pas encore rait leu l' devoir envers not re uvren'oubllell t pas de nous adrc.sser leur aumne,


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Le rle de la Franc-Maonneriependant la dernire guerre... ..et pendant la prochaine

par Joseph GERAUDo.eo}a.

Nos lecteurs\ pOLII'mol tre slIJ'pr:s d' un puren litre, et ; ' o u l dpsquat l'c d c r n e r s IYlOls. Disons-leul' carrment que nous I l ' a v o l I ~ pas inventcc ti ;u'c, qu i l n'est pas de pOliS. Nous le pnenons textuellement dan,s. leRu.llelin hebdomadaire des Loges enCOl'e, c'es t que t'etle guerre. qui pouvai:\ se tCl'm fnel' au(lbut de 1917 pOl' l'DUre separe quava.t fail fa ire l'empereur GheTtos Itr(L\ulriche par ln ' ermd inire


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-4 -Le sang des Frun'o:i,s impor tll/:t peu, ainsi que celui de leurs allis ptd", tous les peuples de la lerre. Ce qui importait, \l.la la dclara t ion la ,te.le 13 mai:, par le grand maUTe portugais 'Magalhas Lima : " La " IcLQ.re

des Allis ttre le trtomphe des pripc i1Jes maonniqu.es 11. ICa qui importaitaussi, c'est le mot du F:. Lebey au Conseil de l'Ordre du Grand-Orient,le 9 dcembre 1917 : I l Patt'ie, rpubLique, esprit ' v o L U 1 i o n n a i r e! sQoiaLisme."lont indissolu.blement lis Il .Que se passat. i! donc?Le 5 ju:n 1917, Ribot, obissanj l'ordre de ses vritables maltres, etJ ( , p o l 1 s s u les offres de Charles 1er , s'c riait . la 1J'i'bune du S na t : u IL fautqtte do/'navant fa i u s t i ~ e ai t ppur garantie c..e tte LiOUC des Nations qui S'p fga,..n .sc o u s JIU: ; ycua; et (lu i dem,ain sera 1ll!!U1'CS,C de ce m o n ~ Il .Ds 191f>, des Maons allemands et franais s'ta lent dj "unls enSuisse pour y dcider la chute des IrOnes, la KWa,ile de l'Allemagne tiansCc but et, en l'evan che, un accroiss,ement pour elle de puissance !!t de Jetri -t!ou'es.T rois semaines aprs le discours de Ribot s'ouvrajt Paris, rue Cadet,au Grand-Orient, le Congrs des 1\luo nn er ics des nations allies et neutres.Ce Congrs dlUl'u trO:s jow's, pendant lesquels les FF: .-M;\I :. Corneau, Lebey,et aut'res s'occuprent exch.18lvement de la Fdration de la Socitdes Na tions, qui dev:pnt le lrnI m ~ m e de la guerre, la prlace du trail depa'ix.Non, pa,s de padx a V 8 n ~ la r econnaissance par l'univers entier de ce tteI,;ration maonnique. CI trout te monde sent, s'crie le F: . Lebey, qu'une. paixqUi ne serait qU'un instrumen! wplomat iqW3 (allusion aux olfres de l'Empe1eur Charles) demeu.reraft jncompltMe et qu. 'e lle doit ~ t r e une premire m iSeen '(l,uvre de la Socit des NattonS. Ne pas saisir !l'OCOASION UNI QUEqui s'ollre de rebdtir te monde serait une uritab le lotie. En 1789, i l proclameles Droits de l ' /Jomme. Nous cQu"onneTons l'uvre de la Rvotut ;on Irana Ise en proclam.ant le aroit peuples disposer df e 1 J . X - ~ Il

Et alors, ces pacifistes d'aujourd 'hui, qU t ne ce.'5sent de bler la j.'aixil n ;mporle quel prix, prchenL Ja guerre Il ouJ rance nOn de profitercette I l occasion unique l i : l i Sl 1/ a tt.fle fJue1"c.e sai.nle, C'tlst ce!lfe.-l-, elnous devons l e redire sans cesse. IlLe lendemain, le Jo':. Lebcy donne lecture des treize arl iclcs constituantla char t.e de la Socit d,e,s Nations et qui sc tl 'ouvenL ainsr. imposs '1vanL

les qu.a.lorze points du F:. t\Vilson. La finance judo-mno nn :que qui dispose,c:ans le monde en;ler, de tout l'or et de tous les pl'odu.its indus tr iels, pourrauinsi didel' ses volonts ru.n ivers.C est alors (lUe l 'Amrique enlre en guene : Il Ln Fayelle, nous vO':ci 1 l iOP, La Fayette tait fJ"unc-mu,on, ce qui expl


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-- ' f) -, pl'csque r ien. Ainsi le vo ulaient les pl'nl:ipes f J u e s de la. Socit desKatl: ons. .-El la France? CI L'occasion unique )1 ava) coM trois cent rn11lc

" ictimes en s u p p l m e n eL cent mil liards safl$. aucun avantage. Elle t i f tle In" t de J oseph de en 194 : " ;Ih ! la Rpu/JliqUQ VOUS dpense ausang Comme de L'eau claire ! I l .Tous ces 1ense ignemen ts, tO US ces textes, nous les avons pU lS,s dansle magnifiqu e 1." re de Roberl \ 'a lleryRadol : Le temps d.e la coltlTe , quechacun se l el'8 un plaisir" de Itre.0 0 0

Xos ]Cr'! (> l l1 'S n'on l pa s manqu de remarquer qu ' ce Congrs du GrAnd01' (; l1 t II n \' ava i t J '\5 que des ?\'Iaons frana.i.s, mllis qu' il ~ ' u n i s t l l ;\ lfWOllll c: i('s des nnlions all ies el neulres. Il y a mme plus fort: c'es iqu 'cn 1915, (' 11 plei ne guerre, dOs :Maons fl 'annis et a llemands s'ta.ienll'cn('(ll1 ll 's r n Su:sse pOUl' y .l; fini r le but de la guerre. l i e s ~ impossibletI'U\OIlCI' plnoS claIrement que cette guerre fu t dc lenche pnr la vo lon l f: tdans l 'i n trt de ln un iver se l le, dont les g ra nds -chefs, on le saH,sonl des j ui fs.Po ur le montrer plus nous a llons tudier le rOle de la F:. M:.cil SC l'bLc , point du globe d'o jai l l it l 'tince l le qui ennnmma Je monde,d'abord ce texte lumineux que publ:'a le 15 septemb re 1912 laRe Lue Internationa le des Soc t Ms Secr tes, que vena it de fonder l e Jr s vnra ble et lI's reg l'el l ,r.. lgl' ,Iouin :

Il PEUT- t TRE LA LUf,u tRE SE R A - T - E I I . ~ UN JOUR SU R CE 'I"I'f: PAROLE D'UN H,\ L TSUlSSE AU SU JET CE l.'Ht Rl1'lER DU THONE J) 'AvrRICI-IE : (1 11... EST BIEN ;1. EST DOMMAGE .oUIL SOfT CONDAMNE : IL M.oURRA S IR LES\IAIlCIIES IJU TR ONE. ..

1.0. Ser bie, o un cC I'tain nombre de rvolutionnai res sn,spi raientcnsoigncments des nihilistes l'u sses, tui t le sige de bon nombre de c ; o c i 6 l .se t tes la pl'inClpale, la plus celle qtJi! dcvait dr!enchel' tngU CI' rc mond iale de 1914, fut fonde en 1911 song l e vocable I l U11io{t ouMOTt Il , pl us connue sous le nom de (( La Main noire I l ,Cest dans cette organisation lerror ls", que fut co mplot et dcid lemeul'll'e de l'archiduc hritier Franois-Ferd in and . L'article deuxfm e. deses disait : (C Ce tt e organisalio.n ' f Y " une action l erT frr iste li lalJropa fj andc in tellectue lle, el! poUT cette rait Qn , dPit 'reu ey' a.bl..olumCl i ls" c1'N e pour les non-adll r ents. I lEt voJci le lelT ible serm en t. que deva.it prter l e noviCe :(( En devenant m embre de Q c i a l t o n Union ou 1\'lol' t, je jur,e. var lequi 'm'claire; par la .Cflrre qu.i m e 1\O u.rrit ; pM D i ~ u i. par Le. ~ l ; a n Q " ,. mes pr es ; sur t'honneur et sm' la vie, que ds lJrsa.n{ el jusqu' ma 'l1W :'t, je se1'v irai fidlement l'A s,wciaUon el: que je $.e r 04 lot/jours il Ill !

l "h 'p tous les sacfl (ices. J e i ur e par Dieu, sur f -/lOnnJ:ur et S1l4' la v ~ '11/e(extlcutera" sans broncher tou.t ce qtd m e sera J e ture 7Jor Die'lI ,SUl' l'honnewr et sur ta vie , que i'lLS'1ut la tombe, je oqrder..ai {ou.s Le$ r e L s , tle 1'. ssoo-iO tton. I l

, ~ de Il La LVlBri n noire Il a i t l e colonel Dragu l ienDlIlll trl cvlloh, dit 'Api S, I l le, Luew- de ro is )', qui avai.t pour a.ux i l iai re GlJtchinov ilt-h ancien compagnon de Trotzky et de LOtlll1u tchnrsky , les fameux agl _~ r , u s s ~ s . . L e eune jui f Gabl'iel Princ;p tait son principalcelUI -C I s li avec deux autres j eunes gens, Chobrinovitch cl" Grabezhel Jous tr oIs complotrent l a mor t de l ' ar ch iduc Franois-Ferd!nand })tu'ha ine 00 l' Autriche., C'es.t un employs aux chemin,s de 1er de, rEtat serbe, CiganoV!ltch, nffili,lUI IlUBS I, il. " Mam noire I l , qui leUII procura lea lUllIea nce8saires ;


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,,-i-::lX bombes, quatre brownings, plus du cy anure de potassium pOUl'sonnel' ap r s l' i1t..cn t :[, eL J ul'gent ncessar e au voyago.L e 28 j uin 1914-, l 'archiduc ~ n u n t.;l la, Sop t/.cGhoteclvement en Bosnie-I- cr zgovne avec des troubles en l3ohme. On v Ot laHuss ie m ct appuyant ses protestations pur quelques COIS d'arm e.",ur la front ire c h i c n l'Allemagne rpondant pal' ln mCSLH'esur nos II'O nL:r es, la FT'ance son tou J' sur la fron lire ,d_e l 'Est et l'Anglete rre en voyant des cui rasss dans la Baltique. L 'c.hiquier europen "l insigarni, l e crdit des d1ffrents Etats compromls" les affaires arrtes, saurce lles fourn isseurs milUaires, on ngociera une fois encore, et pu4ssurgira la guerre universelle. nM. Raffalovi tch ne fait, dans ce tte lumineuse prVlision, aucune a11usionaux forces \!ecrles qui attisent volontairemen! le.8 haine et les cQnvoilises i


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ma. .s tous les aulrs textes que nou,s donnons viennent cla'cl'eL montrer le pain! init(al du bouleversement voulu et concert.

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ses pa ['oies

Cest ici le cas de rappeler l'Avantguerre, ce livre flamboyant de LonOaud E>t. qui d l 1 o n a i ~ 8\'eC for ce dlaJs et documentations l'espionnage ju if aLemolid en ,. rsn ce depuIs l 'affaire Dreyfus . :\ vec Jacques Grumbach, ~ n : : ; l au m.ll is l , e ri e I lntl l eur, une IOtIl 'be dautrcs jUi fs, les L!ul lJ ,Emile \V ey L, Joseph Rcmu t h, Berl hald Fr.sc llO,U CI\ Gl'llncbau llall i l ~ t Cunoll,Kohn, Kahn. Pereire, Camondo, Uambcl'ger, Mel'zbach, ct'c., c"e, s ~ n s l a l l a l l aux pa inls vItaux du pays, dans nos parla, nos rOI' ts, nOs us Utes, noscampagnes.. nos JXII\;S d'aros tation, et sUJ'tout dans la t'gioll de 1Esi 1:'1ditn ... ce ll e du .OI-d, La guen c sc I_u'parait, elle lait proch i i l f a L u . ~ l 11 \ ' 1"1 ' 1"la FI 'fl I1CC , l'es tc ca tholiquc Il lnlgr son gouvernemnL ( I C m O ( ; I ' { l ~ 1 t : o - ' l I a t . ; n i(lup, i l la lu Ih ri enn e Allemagne : Cll ' le laLhr!an ismc es t. la .basc (Jula fJ'a.n c-mnco nncrie.C'csl pourquoi, plu s que jamais en ce moment, il faut sUl'veiI:-e1' les juir::!et les fronCS-lll tH'Ons cl se Infle,. d'CllX. NOliS consf';lIons vh-em .ent ;\ noslec!eul's de rel ire l 'Avant-guerre, ainsi que l 'Hcatombe, la Gue"l'e totate ,Hors du.. jOug alLemand el tous les admirables livres de guelTe d.e I.onDaudQ" Avec lu , du rnoi ns, on esl averLi.

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M, r.alt ler-Boissll e, dons le numl!ro de mai 193:? du Crapouillo t,( ' n t _PI ' cIl :;8t..:r -l' Il 11Isl,I'0 de la g t l e ", et auquel n o u ~ avons elllpl'untlin ('cl"lfl in 1101llhl'c de dncullIfmts, It.!nnine par lin chapitre intiLll l Il 1.0. bell eo t C ( \ ~ i o n ", qui l'.appelle !Il"mcihlemenl CI J " f ' u unique 1), ce ll e ,lu e I fF:. Lebcy mI"J.'f}uniL n,n j U ' ~ n 1917 nu Co ngl 'i's dies :\lnc:onnerics des o n ~ nlt i(>es et u l / " r om' ('o n'.:nuel' ln guerre mulgr let' O([J'cs de paix Spil l'[lede l ' em pC' r eu l' Cl lor-les d'.\u ll'icJ:e, afin Il fie fc htltlr le monde Il et de Il rOIl" 0 11111"'1' l'uvre d'e la Rvolution (l'I1 l1o.ise en proclamant le clroil des pi' lIplpS;"1 d sposel' ( u x - m ~ m Il ,Celle uvre sOlllerroinc des So(-its secrtes, dons tnus les cslenco l'e soul 'gne, en ce qui co nce rn e ln Ru,."s;c, par le gl:n6!'nl r i l ' o d t l v i lqu i , dans sp n ouvrnge " U's dcrn 'res annes de la COII 'r TsarkOle-Seln " ,a ( ' I ' i ~ les l Ignes suivantes :le Le propritaiJ'e du NOL'ote-Vrmia, .\ _ 1. GoU':chkow, t,'avaj lai t depUISplusieurs annes faire nalLre une guerre entre la Russ;e l'Allemagne.Il jugeaiL cctle guenre n[lcessae., CUl' il esprai l, la faveu!" (le," chul'gt's etdes Illu :heu,s qu 'clle cntmlnera!l, "envcrsm' J"uutoc-ratie qui lu i ta:l odieuse,l l ITodwI" l 'arme des moins de l 'Empereur qu'i1 dtes la..: t eL accomplir unCOIIJ) cl Etal, Btait-"il I l I i - m ~ m e L'autetL1 ' de ce pllm internat, ou n'tait-il 'Iu'uninsl'rument au. service d'un centre internati01wt ? I l

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Ce r ta ins juirs n'ont pas Sil r acher leur rle lIons la gtH'T're monfi:nlf',f!t. leui s aveux Pfo jeLl en t drs clairs fulgurant,., SUI' (e ltc immense rnlnslr,)/)h,.,qui sc rcnOllveliCtra p c l l ' L ~ demain pOllr par:l rhevel' !c triomphe d'Jsrut>1.C'est Tlie Pat fliote de Londres, du 29 novembl'.c 1008, qui nolIS donne 1,;8textes suivunls, crits pal' lord l"telcheU, prsident I(le la Fdration s!on;sled'Anglet.e,'re, dans l'hebdomadaire juil de 'Chicago La Sentinelle:La paJestine est une con're O no.tre Peuple peUl vivre, car a"est un

d ~ . pills bea"", pays que l'aie lamais Non .,ulement Israel y peu! vivremats crot/ra... '


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, '.. ,L'Agence juive n'est pas seulemelll Utl{1 arme ClmQmique; .fes!J"Us ~ e u l e m e n t un groupement qWi a d m l l 1 ~ s t des tcnes et des Jon/.4 ; ~ ~ ( une gf'ande mach.ine diplomatique que la SQo, t des Nations i l mise /lUXmains du Judatsme.Un autre par:agraphe lend fenner la Palestine aux non-jutfs, llHXGenl;l.s, car le port


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LES MOISSONS JUIVES

Verrons-nous lapar

- - - - - -fin du coup surAlbert MONNIOT

les bls?

Cctle anne, la veille de la rcolte, les jus du bl ont provoqu lAchute ver lieul., des co urs, quoi ont fnlt cho les nppels de dtrcsse etlc.s cris Ide coLre de tous les ccnll"eS agricoles.Quand POl'uitl:ont ces lignes, si la spculation a a;gn ses mUl'chi:i, les(;W'S l'cpr en'dll'o n l leur rnUI'


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-10-Quelques journaux ",'gayrent lort de cet X que tout le monde connaIs-sait et que la Justice seule s'obstinait ne point dcouvrit.Et ces magIStrats couvrant par ordre les criminels de leurs jupes, else demandant avec des mines effares : I l Qui peuL bien tre cet X? OcsL-i l ,? .. )1 je vous s.s.sW'e que c'tait d'un comique sup6.r1cur et t"rsistibJoi:0ur qu 'i sait regarder et voir.Une fois pourtant, la suite de l'article priodique que je consacrais au('oup annuel sw' les bls, je reus une convocatlOn tmoin chez ~ u g e cFl ns truclJon.Ne voulant pas ma prter,. si peu que ce fOt, ce qui ne pouvait tre

~ u ' u n e parodie de justice, quelle que lt la bonne volont du juge instrucl 'eur,je rpon


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r - 11< -Le,s orateurs s'indigna.ient de ce tte spculation sur les ma,lheurs de laPatrie, et en fltrisS8ent les auteurs.- Nommez-les donc 1 cria une voix. Ce sont MM. Louis Dreyfus et

Baumann.I l y eut "de la stupeur, m'fs i l tait Irop tard pour reculer, el l' on nommaune commission d'cnqueJe.- Eh bjen me direz-vous, voil qui est encourageant pour les journanstes indpendants : vou.s voyez bien que nul n'esl 11 l'ablli des sancUonspnales.AIteIl'dllz 111 Y cut un rapporf.., ,puis un contre-rapport, puis la mort du l'apporteur,l 'uis un nouveau rapporteur qui ne rapporta jamais.S'il n 'a t dtruit, le dossier somme.:l lle dans la poussire. Je ne dOISpas oublier qu'il yeu] pow-tant une sanction, apr;s quelques annes cou ;es,i l est vrai.Le Gouvernem ent fil passer au cou de M. Louis Dreyfus ...- Une 'avate de chnnvre, m inUel'fOmpCZ-vous encore.Vous vou lez r ir e ! Lal ssez-moj donc achever, Le GouvernemenL fiL passerau co u de ~ J . Louis Drcyfus la cravate de commandeur de la Lgion d'han'ncUI'" ,EL depw:s, notre juge l:iouverain, le suffrage universel, ne voulant pas6tre en s L c , lui a pass en sauLoir l'charpe tf'icolore, ,

ALBERT MONNIOT

Maison d'Editions Nationaleset Anti-MaonniquesCHERCIIE CAPITAUX POUR EXTENSJO :-l

AFFA I RE SR I EUSE ET DE PREMIER ORDRE

!:cl'irc l'1, l'1. P. , .. La Libre Parole"5 8 , r ue Boblll ot , PARIS ( X J I I '


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VERS L'UNION CONTRE LES SOCIETES SECRETES

LA BELLE MISSION DES JEUNES HOMMESpar Emile BERGERON

0000 0 00"0

La luLte conke les puissances occUlLes es t dure sans doute, et elle n'estpoint sans llril.EI ,e apparnlt pourtant al1jourd'hui comme la plus urgente, pOUl' ne pa.sdire la seule utile. Elle peut lenr les Ames b ien lrempes et rallter f),utOUl'd'un !tlme idal de libra tion nationale taule la jeunesse Jl'8naise.Plus l'on ru, plus J'01l eonsta:1oe la va.t des dbats " de o c ~ i "SU I" les trteaux des ru nions pub! ques.La fouie s'y lais.se captiver comm e elle se plalL a.ux joules sportives ;t'Ile en part, le plus souvent, sceptique, ou bien elle emporte un enthousl8$meIl'J'flchi pour J'homme qui a su (1 la chalouiller dans ses parties les plusbasses I l.

~ I a i s voici qu 'un Ol'uteur prois et ardeny va lu1 dmonlren qu ell e. est.serve, se o y a n ~ l i b J ' ~ ; que ses lus, ses gomrcl'oants sont lis, par sermentcla ndesWn, b. un e organisation InternalionaJe voue sa rwue,U apporte des textes sai.sissants, rappelle l'Histoir e, montre ,:: haGun,dans les faits rcents ou anciens, la. lente rruisatlion du plan immonde', puisJ'a.venir do soufrrances et d' esclavage rserv . ses descendants , peut-treil lui-mme,Des tracts contenant les cita.tlons les plus frappantes sont dis tribusr,a ll ti poJ'{t:monie, Les runions se r ptent ; une i l'nais solid"e 6qwpede p r o p a g a ~ t e s , pleins (I.e flamm e, l.ent en haleine J'.opi nion, signale aujour le jour les ravages du mal, dnonce les agents du crime quotidien,l ll ll t clle-mme - condition nccssail'e '-- ina ttaqua ble sur le terrain deli.! mOl'a lit ~ i v e , Cette quipe lre constitue. Am is des partis de l'ordre VOus tes.co nvis . nous s o u ~ n i J ' dans la nouvelle guerre s.aiu te. Nulle miss ion n'esLp!us nOtre quc de combattre les forces de l'ombre}! ne sommes-nous paslIllC Ligue d'ac tion loya le au grand jow'?

Cc l'les, nous aurons cont re nous les fourbes et les lohes.Et , eneOI'e, p"" tous les Illches.Cal ' ceux-l qui tremll'Iaient devant la clique du Grand Orieny 011 de laGral.lde Loge, trembleront bien plus enco re lorsqu 'il s sauront quel effrayantdes tm on leur prpare. !Entre deux terrew's, leur cur 'Chancelant I,bira ta plus f",'le, pOUl' noIre salut et pour le leu r.Enfin, J'ac tion contre les pouvoirs occultes domine de trs I l a u ~ les rJIS-lussiollS de pl1J'li. Elle intresse tou,s les FnU1ais, puisqu 'a lle dfend, aveclu vi\' il itiuton qui nous est chre, noL'e patrie qui en es t le pilier.Nous ne plaons pas, quant i l IlUus. le rgime r6publicai ll avant le salutdu P" ys.Mai s ce rgime est une ralit.Nous dj"sons : les socits secrtes sonLplus redoutables dans une rlmocratie que dans un 'Etal rgi par un gouvernement personnel. Qui ne l'aidmettr"'it, aprs rflexion?Les lections, d'o toute loi, loute la politique dcoulent sont l'uvredes comits. Ohacun d'eux assemble des individualiOOs sans lien entre elles,que manuvre le plus souvent un noyau compact de craturo,s agissant ,Iansle seo


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,-13-

Ces tres se rviles arrivent ' faire accepter du ,comit mal cJoJr, r j ~ v i s l : : ~ lew's formules el leurs hommes. EhJ'lecteur\ tromp vote poUl ' des .rant)cbesdont une volont :'rangre lui a. impos, Bo n in,su, 'la candidature, et pourun I l pl'ogrnmme I l qui le perd en le flattant.Depuis quelques annes, 1mtoxcation de la cons cience franaise a tpow'su ;Viie avec un ilCtn ial' le succs.Cest au !>oinl qu 'i l est devenu peu prs impossible d'en lrer a u Parlement avec une tiquette o figur'c le mot, Il patr.iote H, voire 8 i m p le.mot Il national Il .Les ca ndidat .:; b ien pensanls se croient contraints d 'employer des IJu81ifi ento ns qu:ivoq llcs, nO n de ne pas ct errarou,cher Il le corps leC1toral.R(en de p:us rrappant, ce t gard, que le succs de l'inexptc 6xprssl 'Jnu r putHcoin de gauche Il . Blmons les bons Franais qui s'en serven t. etqu i ~ t ' fonl ain,si les to rnpl !ces de nos ennemis, MalS que l'on mesure unlei Im it, la cOITnption de l espri t public !1'\OI1S en so mm es I ~ ~ , L e petLple es L trahi. Tl faut qU' Il le sache.

n le snuTa.. EMILE B!ERGERO:'ol

ront contre

,or JU l"00000"""

Cc mol d'ordre to,ll celui de noire reg r


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v

tASSASSINAT MAONNIQUE,DU PRINCE IMPERIAL,par E.-Napololl CARSETTl

o o o o ~ o : : > o o

ct rrt\NAIS, l ' n O F O N I ) f : ~ I E ~ T FnH\ Wi , I.E P f l l ~ C E IMPBIAL t'rAIT : i \ f : T n F . nt -.L ET I'E \f.nl'rt QL E J \ ~ I A l S I.ES 1 ) l F . B A T ~ f:fitHSTES ET ..


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- 1 5 -

CI qUI avnienl circul aprs la chuLe de l'Emp"', ava ient fa it leur temps. IlBref, le pays dgoQt des p o l ~ c i c n s F : . : . , l a i ~ prt aocepte. l'Em-p:l'e et son reprsentant u le 1JCl't prince I l . .. .M.eu., que lout autre, le F : . Gambetta avait jug la gravll de la situa

tlOO.Le J>l':nce Ilt1prial tait dc\'cnu son cauchemar journalier et le PrinceImprial di.'-"pnr ll, le cauchemar l ~ ~ s p a r a l s s a i t avec lui.I l f\:e la. ssant pas ll'hri'feIS directs, nwis seuieme ltt des collatl'uux qui,

ct sans au


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1

- lU- 1 faire montre de scs craintes et de ses sombres pressent:.me.n.ts el d'cl}.l i la rema.rque au Prince. I lEt, .Ous les jours, des incidents de ce genre se produisirent.

000

lU re

Le Prmce a, comme I l garde de corps n, le lieutenant Carly, F ... l\1:. ell'mlssal'e IWJ F: . Galobelta. C'est lui qui enlralna le Ina!beurcux IC pe :. lprince )1 duns les Cltlbuscadcs zoulous. Le F : . CUI cy ava:L obtenu du colon .::1s o n que le Prin('C fo sse une l'cco nntl'sS'H1 ('O. Il ob lLlll ga lement la

pCI 'misslon de raccompagner.Ainsi, sans aucun motiI serieux , sans aucune u.ljJlt VI'UiIl ICn' m a n i r c s h ~ le Ptl;nce pnrtuii en \ ' n n ~ , et Il dpassa. t Idle onze milles, entraln por .leLcutenont F : . r a T ~ e y .. le pOint qu i avuit rt dsign., 'oie, l'anllllen t lin tt'illoin, LU. Ilelo.go, !'u ('on 'e 10. nouvelle. de la mU1'1 :I l , \ sept heures du soir, enlrois duns bl IClile du IH.:ulenonl TI . ndl

Il Inl squ'un ofll cier \ in l lou l il. COU I) e." suns l i'ansd .on m'opprend.1e la. 1110: 1t " du Prince.

Il - Le ~ l l c e Impri al a t tu, me dit-Il prc lp:lall1men. e.n anglais.Il - \ 'oulez-vous rli C rptez cc la en frun


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- l 7 -appal'ition des Zoulous, arrive au moment o Je Prince Cut abandonn parson escorte :

Il 11 rslte un po int certain el rel, c'est que le Prince, m l a n t le piedH r t r e t \ donna I m m d ! a ~ e m e n L quelques ordres brefs rapides pourIl maintenir ses hommes et reprimel" lout affolement : mais il rsulte ..rune" faon plus cel'ta ine et plus absolue e n c o ~ ccci: c'est que H e u ~ n a n t I l volontail'es, Ja':ssanl l Je Prince scs commandements, p.rirent la fuileI l ~ m m r l i a t e m e n t .

Il Le I:eutenant Carey tait prS du Prince el partit le 'Premier au galop;u quatl'c volontaires suivirent ct le ('!lcval d\l PI 'i nce , S,lns ollcml!'c fJue son(1 cuvnlicr r u ~ en J3cllc, parUt son tour.Il A10l's duL avoi r lieu celle pOUl'sulte h O I ' l ' ~ \ ) l e des ,Cafres chcrchalll (( atteindre ce lui qu'ils pouvaient dj. cons:dre t' comme leur victime, cl .J.uIl Prince, essayan t de son ct de ,'ejoindre sa monturc ; en(;n, le Prince,CI du mOll1s la chose esl prsumable, p a r V l j n saisir un des sacs ct ar(;on etCI il. s'y c.:ram pOllllCI' ; pour une seconde, ,i l dut se croire sauv f 1 ~ i l sautn.:,tCI dl Cil selle, LQIISQUE CATIACIlE DE CUHt QUI IIIill.JE LES S ,\ CS E-tI'TnE EUX ( : ~ : U A ! \ T sous L'EFFO HT SE RQ:\II'IT un USQUEM&\ T,

I l Le malheUl 'eux Prince pc;'dil J'


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1 ,, ,.1 8 -

CI _ Pa l'ce que vous ne le l'cverrez jamais .Te ne veux point jouer auIl prophte, mais croyez-moi, le Prince sera tu au ZoulouJand. )1

Ce dput rpublicain "'lall un familier du F:, Gambetta," Un autre, galement ami de Gambetla, et qui est aujourd'hui snateur" (en 1891, N,D,L.R) fal.sait chaque jour Je voyage de Versailles d a n ~ le" mme compartiment qu ' un jeune dput, membre du groupe de l'Appel au" Peupl" Tout d'abord, on pal'la du dpart du Prince Imprial, sans ajouter" ce dpart UOe trop grande importance Mais oans les derniers jours de

(( mai, l'a t.tr:tude du dput rpublicain changea compltement. lnvariable:,l ment, 11 engageait ainsi la conversation :u - ;"\Ia.,:s, mon cher collgue, que ferlez-vous si le Prince Impr ial tait" tu? Tout OITIVC, et ces sauvages sont, parall-il, trs bien arms 1

l i Ces phrases ta ient d'ailleurs toujours accompagnes d'un sour,lre n g-IC malique, cOlllme devrait en avoir le boulTcau, s'il entendat un condamn\e lui demandel' si son recours -en grAce a t accept,

Il Lorsque le Pl'inee r ..u malade l ,Dul"oon, les journaux rpublieainl::!1: furent !c,s premiers annoncer la nouvelle.

(1 Mais ce qui est lout au mo:ns aussi curieux, c'est que la nouvelle dl)te la m o du :Pr :nce fut de,lX (oia publies avant qu'clle ne put encore natu-1: "ellement tl'e connue.

I! Le 19 mai, un journal radiesl annona que le Prince avai:f.. t tul' dans une e c o n n a ~ s s a n c e , faite en pleine nuit.. Les Zoulous l'avajent surprisIl et mas.sacl' ainsi que son escorte.

I l Or, remm'quez la concidence. Cette nouvelle est publie le 19, et le 18,(1 le Prince a pass la nuit nu milieu des montagnes dans des conditionsIl telles que louL le Inonde disait le lendern8!in : Il C'EST UN MIRACLE QUE NOUSIl N'Aro' lS PA S r;;rf: ATTAQu tS . Il

I l C'esL Je I t'r juin, kois heures et demie, que Je Pr-ince fuL Lu, Le mme(, jour' et il la mOrne heure., le bruit coW'ait Paris qu e le Pr in ce tait mort.CI Cet)e fois, on t a i encol'e p lus prcis que la premire, Le P.nince, racontajt(Ion, avait dpas,s de plus ieurs m':Jles la tte de la colonne. Puis il avait" fait halle et, surpris par les Zoulous, i l tait mort frapp d'une balle enIf pleine poitrine.

I l La nouvelle la morL nc pouvait matriellement {lfe connue queIl plusieu !'s jours aprs l'vnement. Comment donc ces bruits avaientriJsIl pOl, prendre na,J:ssance'te D'une. faon bien simple, Les dlgus des Loges maonniques, envoyt;(1 au Cap, ava.le l1t v e n u les Loges que le 18 une reconnaissance auraitIl lieu el (Jue ce jow'-l le Prince serait tu. Ds le lendemain les rpublicamsI l s'empl'essaienL d'annOncer la bonne nouvelle, )

I l Pour une rause jnconnue, l'vnement, qui n'ava:L pas eu lieu le 18 mai,Il I f u ~ r e ~ ' : ; ;]11 1f'r juin, et ce qu i s'tait pass q n z e jours auparavant sen l'enouvela. ('ncore une Cois. On annona la mort sans comprendre lou :ccc l'i mportance qu'nm'nit pOUl' l'historien future cette nouvelle si p r m a l u r ~ -u ment mise en 'rculation. n

La joi e des FF:, ~ I I M : , l'avait emporl sur la plus lmentaire prudence,000

Quelles furent les sanet'ons militaires prisen t contre le lieutenant Careypour abandon de son poste et de son chef devant l 'ennemi?QueLqU"iS jours d'arr!>! et.., son lvation au g.rade de capita ine.En apprenant cetle dc.:sion, il dut assurment se d ~ r e : " Fasse le ciel

que j'ai, l'anne prochaine, un autre Prince taire assassiner. : je soraillomm colonel 1 I l,

,


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"19 -Et pendant que le malheureux Prince dormait son dernier sommeil. SOla Iroide dalle de Cb:slehust, l'ij!noble jud-ma : . Ga mbetta, T o u l Joy eusement son a de cyclopes s'criait:I l Si le Clricalil3me est l'ennemi, la Fraoc-)laonncJ'lc es t le saluL! I lLes assassins ne. JOUIssent pas longtemps de leur Corrail .Un pistolet, arm cette rois encore par le bras de la F : . :., deva l,tro,s a ns plus tard, couper cawt aux ambitieuses vi:3es du 10':. GambeLi"J.Il Le PI ';'nce JmprioJ, lui, ta it, au moins mort en soldat, fJ:app en pla.neu poitrine de c1.:x-.sept coups d assagays. Gambetta finit comille deva i t rulir

Ct le. mattre de Trompelle. d'une bol:e au ventre. l iQuelques moi s plus tard, son comprcc, le rn israble F:. Carey. tOlnba iti l son lour, i l 1ge de L'cntc-.sb.: ans. frapp, lui UlISS I, p'II ' ceux -L ll l' ;, .


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La Gauche et la Droitepar FARA0 0 0 0 0 0 0 00

(( J 'carte . dessc.:n les bolchevis tes, me a'crusant cons id ren ,Jes ,Supptsde :\ Ios c:ou tomme. lm parti., de m,me que je me refuse de cons idre r jeIJanditisme SOus tou tes ses ,formes comme une op in io n. Le,s massacreurs ctyolcurs sovit iques se mettent ohaque jour hors la loi ; i l Jaudra bi en queles puissan c.:es c:vilises le.s mettent au ban des nations. )1Ce sont les iCl'mes dont se sert notre collaborateu.r Albert (''l'Janniot (La/.ibm Parole, numro 12, 80t 1932) pour quali.fter la bande ignoble qui rlirjgeac :'ucllement J'U . R. S. S. , pays appel autrefois I t Russie l i .

11 est illcolilestable que {( les mas.sacreurs et volclU's sovitiques II semet ient au ban des na.tions civilises et l'attitude; des p u ~ s s a n qui lmtrelIennent encore des 'l'apports aVec ces m a l f a i t e ~ p a r a 1 ~ inconcevable,l\.'fais peutlon vl'Ulment, comme le fait notre collaborateur, CI se refuseril. l es co nsidtrer co mme un parti )) ': La forme soV'Jtique du 'bandibsme n'es L~ I l e pas un bn nd ilf..sme politique, ies c:rJmes des gouvernants bolchevistesson l-ils dnus de toute doctrIne politique?

No us ne Je rl'Oyo ns pas.Ce mol l'usse CI lbolchevisme )) est gnralement peu co'mprjs et ne .se rtqu" cacher la ch.ose ; bolchevik veut dire en russe : u maximaliste )) , celuiqui prcon is e un programme maximum. Ce parti (ou cette bande) s 'f,n't.it'uleofficiellemflnt u Parti Communiste Rus se ) j et est attach la Il IIIe Internationale Ouv r';re. ))Ce groupement n'est qu 'une fr.actLon de la Ile Interna tionale socialis,te,SI rhre aux disciples du juif Lon Blum ; jl portait autrefois le titre deu Parti Soc nllsle Rvolutonnaire Russe )). La scission se produisit pendantla grande guen 'e au congrs socialis te de Zimmerwald,La 1.U!' li bol chev:Slle n 'esL donc qu'une fraction, dtache de celte Internationale Social iste qui compte dans ses rangs bon nombre d',homme,s poli-1ques tle toules les nations qui fu rent nu pouvo ir dans bien des pays dmocratiques et p f l r n t a i r e s . On nous ft habitu co nsidrer soc ial':stes et communi.s tes (D U! bolchevis ' ('-S) comme des f l ' l ' e s ~ e n n e r n i s i r l ' i b l e s , mais au fond la diffrenceentre ces deux 1)f1rtis n' es t qu'une question de logique et de temprament.Nous sommes ob li g,s de co nstater que les disciples de Ln ne et de StalineFont plus log! ques que ceux de B1lJ.n\ VnndeT';Velde et Cie.En twliflnt le programme politique de ces deux parlis nous co nstatonsune identit f1hs olue quant au fond: les divergences sont pUt'ement lactiques,Ce que les o c : a l promettent, les bolchevistes le font. Les moscouta:.res ont s i m p e m e n ~ mis en pra t,ique deux phrases, dsormais clbres,profres au Palnis Bourbon : /( prendre l'argent l o il es t )) et Il noustoules lC\'S places, el tout de s uH e 1) .Ln 'ne et sa .bande n' avaLent r ien perdre en mettant J'eu sangln Russie e' en y appliquont inlgJ'o lement le plan des socia lis tes, tandis queles gros bourgeois, chers de ce mouvement dans autres pa.ys, craignentde PC l 'CI I'C, en cas de rvoluron SOCia le, leurs belles autos, ch:teaux, villas,voi r argen t:er ies OU fab roiques de rubans!Et voi'l pourquoi ces dern:'er$ sont beaucoup plus modrs, quan\ b.l' action


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- 21 -bolchevist(\ plus logique, extermine purement celles qu!i lui dplaisent ebaInsi, n'ayant plus (t'adversaires, il sort vioClorieux de ceUe lutt.e.Le soclsIJste mne une guerre so urnoise et lente contre la religion et leIl clricalisme. I l ; le fbolcbeVl1.S l.e supprime la religion par la terreur et ayantfusill le,s prtres, il n'a plus le soue: de combattre le clricalisme.Le socialiste veut le nationaliser Il cert.a.jnes entreprises industrielles UIIcommerciales et af1irme sa volont de monopoCser certaines branches dpl'activit de la nation 1 le b o ) c h e v i ~ CI nationali,se II non seulement les chemnBde fer, mines ou socits d'assurances, m81!s d'un trait i l (( nationalise )) etIl monopoli se Il tout, le. cl1crr(n de fer, (,mme j'picerie du coin, l'argenteriecomm e la ferme du petit cultivaleu .La diffr ence, je le rpte, n'esL qu'une diffrence de lemprament etde logique, le fond des programmes est le mme.Le bolchevi,sme est prsent sou vent comme une manifestation tIc !abat'barJe or ientaIs ; faut-il en la ca use (Ians le ty pe mongol du papeJ'ouge Oulianoff, dit L nine, ou dans le pourcentage i n o u ~ de juifs dansl 'admin isl ration sovitique?On oublie ll'Op u v e n qu e ~ s t c s el soc!ali sles sont des sc.c lateul'sde la mme religion, instauI'e par le u ~ r allemand KSI'l ~ I a l ' x qui n'nvai Lr ien d'oriental 1La dclarat ion el !e programme de Zimll1O'wuld n 'est quunesuite logique du programme d 'a'fu l t.La terrible et sanglanle Tclieka qu'esl-elle s inon une l'Opi o fidle duCI Comit de Salut Public Il ?Dzerj,:nsk i. le fameux cll er [Chkf; sle. p l r a des mmes principesque les (( r eprsentants en mission ) l, gem'e Foucll el GaITier, el les noyadesde Sbaslopol et de Cron,sladt n' to ient qu'une rpl ique de celles de Nantes.Non, le bolchevi sme n 'esl pas du banditisme ord ina ir e. c'es l un band it isme pol itique, y a une doctr:ne, celle de Babeuf, de Blum; c'est unel 'eligion il. r ebouts qui a son vangi le, ce lu i des sod ul jstes : (( Le Capilal I lde ~ I a r x ; c'est un bandilisme poltCque qui recrute .ses l l 'oupes parm i l esdescendanls splJ'l tuels dlr ec les des communards, des septembriseurs, desjacobins 1bolchevistes de Moscou, de Puris, de r-..ladritl ou de Pkin, sont cOlTImel eurs frres les sooial istes, comme les membres de les pal'l:.s de gauche,


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LES FEMMES FRANCAISESDEVANT LA GUERREpar Marya deI ROSARIO

L'orage guel'l'ier grollde depuis longtemps dj sur nous. De tous cOl.des chos lugubles annoncent nettement rapproche d'une terrible catastropheJIIonaJe.Tous les pourparlers de nos Gouvcrnanl,s n'ont 1":en fait, eL ne rerontrien, sinon d'occroltrc encore Ja situation malheureuse dans laquelle se dr-batdepuis de longs mois le peuple frana is.Evidemment, pOUl' certains, pour plusiew's hlas! la gucn'e ,scmbl t!. ,('olljul'e, impussible l'ev ivre.Et poUl'lant? Souvenez-vous de celle de 14! Qui l'aura;t devine s,atroce et si longue!A IJ8rt de courageux c r ivains nultonahstes, personne mme ne croya it l'imminence du danger.Le 31 JUIllet lIH4, l'innarrable et grotesque F :, Brand dclarait: " Les.1tLemanas ne veulent pas la guerre! No'II!J.. a v o n s rjen craulltre. )) EL lelendemain ... e' ta;t la. mobilisation gnrale.qU L donc avai L pouss les peuples s'entretuer? Qui donc avaitprpar celle hcatombe de Il dix-sept cent mitle jeu.nes gens couchs [roielsel sanglants sur notre lerre maL dlen.due n ?La J u d Q . . I ~ l a o n n f f n j e et son gouvernement occuJle.. JI suffit de }lire LesProtocols des Sages d'/sraet pour comprendre que la guerre mondiale, dcideds 1897, fu t un premier pas dans l'excution du pian de la Nation iuive,Le savant juif Oscar Lvy l' a avou cent fois: 'La guerre ,le 1914-1918 IlLt t'uvre de !a J.averie.Pour dclancher la guerre les juJs firent assassiner pal' un des 1&111'51VRlI\CIP, et par des F:. M.'. Serbes, le Prince hritier d'AuLr:cbe et sa femme.Les assassins, eu..x-mmes, ont avous au cours du procs :- Cabrinov i-c .- CI lt (Casimirov ic ) est Iranc-maon, meme en , quet'lt1efi SOTte un de leurs cJw[s. IL est aLL en. Russ ie, en France, B u d a ~ J ' e s t ; I l chaque {ois que je demandais Ciganovu.: o en taient nos projets, i l meI l rpondait .- I l Ce sera quand il (Casimirov ic ) reviend'ra.. I l A cette poque" Ciganovic me raconta auss ' fJue les F.', !II.' . avaient condamn mortl i L'hri'ier du. Ir"tle de1JVAS dj deux arlS, mais qu'ils n'avaient pas /,rouVIl de gens PO'/II' e:rc'uler leur jugement. I l

A mie question pressante du prsi(Ient, il lit ce tte autre dclaration:(( La F.'. Ar:. est en rapport avec t'attentat en ce qu 'el le m'a renlfJrc

(\ dans mon dessein. Dans la F:, At:" ff est perm ;s de luer, Ci{Janovic m'aIl di t que les F:, !If:. atlo.ie1l1 conda.mn d mort l 'archiduc FrancQsl"r.rdi'Il 1land depui.s 1l/IIS d 'Url an, II

El cette UU '1'e dclaration du iuit Princip: I l Oui, Ci{Janol}c me dit quliLu' tait F:, AI: . ..CI A une albll 'p occasion, l me T ~ o n t a qu e t'hritier (Lw t'rdne avait t:, condamn d. mort dans une /.Oye maomlique. I lAinsi la F'.'. l \ f : obi,ssant ses dirjgeants juifs, par cet acle insens,prcipitait une partie du monde dans une affreuse tuerie

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.- - -23-La Franc-Maonner:" n'est qu'une socit de mensonges, de faux, deboue el de sang, compose dans les hauts grades de crimjlels dors quisous des dehors d'humanit, de \ orlu, d'ihonneur, do IJber;, pervertit lemonde, fabrique . des r . v o l u t ~ o n s i l :,on profit et renverse les gouvernementsqUli ne l u ~ obeissent pas aveuglment.La Franc-Maonnerie es.ll aussi tille machine de guerre )lventc parles juifs, pour conqurir le monde ct raliser leur vieux rve d'un!vcrselledomination, ft dit Edouard Drumont, notl'e l'toUre.Nous connassons l'essai ou Gouvernement juir, dans la malheureuseRIJ;;s:e. Dans le Conseil des Commissaires du Peuple, sur 22 membl'cs,18 sont juifs.Dans nolro Gouvernement actuel SUI' 29 gouvernants :10 sont Francs Maons,12 sont Maonnisanls,2 S O I \ ~ Juifs-Maonn isants_Quelle perspective!Les juifs se ,sont rendus mallrcs du monde par IcW's aUaques ~ u r leterrain conomique. li s se J'codent m[l1!res tde l"Or (le touLes les nntions,par le change et paT le contrOle de toutes les banques, de toutes les gr'0i3sesIndustries; en provoquant des grves, des sditions, l'anarchi e, r . : n c e n d ~ e ,

Je vol et l'assassinat. Aujourd'hu i, la mme puissance judo-maonnique visp.deux buIs: le solul, de l'A llenlagne, soldat de la juiver ie. l'anantissementde la civilisat:on occidentale.Le moyen, c ' e s ~ la Rvolution bolcheviste dont la Russie a prouv lescruel.s effets cl qui a ramen l'Empire des Tsars cinq cents ans en arrireclans lu barbar ie. Pour dclencher .la Rvolution, deux accidents, toujoursle& mmes : la disette., la crise financire - la v'e dhre, le chmage -organis6s par les financiers jU ifs eL les poliLicens des Loges coaliss. Etc'est aus,si la guerre.O'aufres pl 'euves flagrantes s'entassent dans Je souvenir meurtri deceux qui ont t p r o u v ~ ,

femmes de Prance,Devrons-nous laisser sacr.fier, il nouveau\ pour nous dfendre, ceux quenous aimon.s et qui nous chrissent. maris, enfants, frres?Assisterons-nous impuissantes l'croulement de bonheurs proches el.futurs?Nos curs ae femmes franaises ont lrop souffert pour que nous ner'OUlS gardions pas contre cet affreux danger.Mruls que faire contre J'avnement d'une guerre prochaine?O'abol'd rester FORTS - mi litairement parlant - pour conjurer toutdanger extr:eur,Ensuite en Hnir avec la co rruption juive et maonnique qui menacel'avenir de notre pays et des pays voisins.Que tous ces pays national isent la fOl 'tune des j1\irs. Chaque peuple peutl i q u i d ~ r sa situation,. rtabllr sa fortune, restituer sc.s billets leur valeur,8 m o l ses emprunts, payer ses


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LES IDEES ET LES FAITSpar H enry COSTONDu nouveau, parait-il, rue Cadet

La pla in1e du 1':, lU: , F:, Terrade, 30< :" el ce lle du f : , anonymede Llile ne paraissent pas avoir paJ' llcu lrement intl'ess le p8.1'que t ., Depui sun mois tout est calme.. l i est vra i que nous tions en pleine priode desvacances: le Procul'eu l' de la Rpubl 'que eL le Ju ge d 'lnsl rucllon taient sansdou1e en congs. t.l'OUS espr ons


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I l el pOUl' les enseignements renferms dans nos symboles; elles j n c i ~ e n . t . le.9Il jeunes Francs -Maons la mconnaissance et au mpris de la 101. IlEn vrit toules ces lamentations Se rsument en peu de 1\10t5 : , .Grand Orient ' a peur des Il fuites 1) qUi... se produisent constamment (ainsIqu'en fait foi les renseignements fourn is dans cet articie) .. ' P ' I ~ tou.s lesmoyens, i l essaie de se ressaisir notcunmenJ p r o n . . o n a n . ~ au JX!t,t bOnheurdes excltlSions contre les FF: . SlISpec.!s.

IN ITIATIONSLe relev6 des inscriptions ra;:Les au sec rlarint gnral, par notre vieIlleconna:ssance le 'J':. lU:. F:. Tcnade, !JOe :. , dO ine les "sultals suivanf.s :Not i fications 'lie profanes prsents l n i t i a l . . . . . . 2516Avis m i t i a ~ : o n (nouveaux FF :. ). . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 1716No4flcation d'ajournement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255

N o l i n a ~ de refus . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 53Demandes d' .nitiation en instance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492AFFILIA TIONS

IYap l's le Secrtariat gnral, 259 FF : . appartenant il. une obdienceelrangre ont t amlCs au Grand Orient.RADlATIO 's

Le Conse i l de l 'Ordre a prononc la radiation de 231 FF : . ~ t M : . qui ,pOUl ' r Q 1 S o n lIlconnues , n 'avaient p a ~ pay lellJ s cotisat;ons, et 1e 7flu tres FF':. pour draut d 'aSS iduit aux tenues de leur loge.

REINTEGRATlONS59 FP : . ont obtenu leurs rintgrat ions dans leurs Loges respective.aprs s' tre acqnilts d leul 's co tisat:ons orr irc8.

EXCLUSlONSLes Juges Fmtemols ont prononC J"exclusion d ~ f i n l ) i \ ' de 11 FF:.et l'exclus;on te.mporaire de 10 FF : . pour mcartades graves.Parmi ceux-ai figure le F':. Dumesnil, membl'e de la Loge GerminAl.

exclu de la Franc-.\Iaonnerie t e m p m e . n sans doute) pour avoir fRitpart'e du ministre le ractionnaire Il Tardieu.RELATIONS EXTERIEURES

Comme par le pass. le Grand Or ient s'est I)I'occul> du m a i n t ~ e n d duilvQ'oppement de ses relations extrieures avec les PuIssances maonn iquesde.s ft ,,1 res pays.Il Il rw lull l l l lcnl reconnu cO lmne rgulirefi la Grande Loye l lu. Cru!1 et lati ran,!, Lo(/p symbolique d'AUemngne.Le co mit de l'Association .Maonniqu!3 In!ernationale (A:. f : . 1:.) s'es trunl Paris en septembre 1931 et en fvrier 1932 et "- Vienne en mal

dem ie r. Le convont rgulier de l'A :. M:. 1:. s'est ' tenu l i Constantinopleau dbut de septeml>re.PROPAGANDE

La propagande consMtue toujours une des prin cipales proccupation"du Conseil de l'Ordre du G:. 0 : .. Dans des ci rcon.stances diverses, notam-ment pendant ' la ~ r l o d e lectorale, i l a particulirement intensifi celle-ci.Le Conseil da l'Ordre s'est lait reprsenter un grand nombre de IOle.de l1umons organIses par 1", LL:. ppur y stimuler le zle des FF:.. .


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,a,- ""-En lvrier, le prs,dent du Conseil de l'Ol'drE\ le T:. III:. Groussiel',33" :" chel S. F. I. O. , a visJ le,s LL:. de MOlLde-Mllrsan, de Tarbes, de

Pau et de Bayonne.En mars en av r il, il a rendu visile qu elques LL:. de l' Al)rie etaux LL:. tuniSiennes.Enfin, l'e Grand Orient a cr deux organisations pow' profanes : I l LeComtt d"Act ion et de Propaoande la lque I l ct I l L e Comit ([A ct IO n co ntrala GueTTe. l i , qui sment travers le pays les :des Iarques, sectaires etoQfml lst es.

EN RESUMELom de diminuer, l' innuence de la ,secte s'lend augmenl.e,L es '17r6 nouveaux 10'1" ,' . (m itis) ct les 259 nouvCilUx aflil's n ~ t i t l l c n l \lOe fo re nouvelle pour les hordes de l'nnti-F.rancc.Le pra maonniqu.. es t l'molle.Que tous ceux qui an to conse rv au fond cIu cur l'amour de lel lr paysnous aident - d,s l. prsent - conjurer le danger .Demoin, il se ra peut.-t re trop !

La Franc-Maonnerie angla.ise,I l n'y a pas, comme certains l 'in sinuent, deux es pces diffrentes de

F : . : . , iL n'yen a qu'une.~ o u ~ somnles heureux ode li re dans l'ol'gune deR fll.':)(;!sl esanglnis I l 'l'lie P(lScis t I l l 'al ' lkle SUivant qui donne l q l l , . ' ( m e n t s sur Jo qucst:on :I l La F J ' a n c - ~ sur le co ntmenl est IIne [orro subverske ro nl rOlepa,l' les Juifs cl r esponsable de beaucoup de rvoluLi ons contre l 'autorit,Il La F i ' a n ~ I o . n n e r Anglaise es t o s e ne pas l'("on llu ll/'e COl' lo.lI ) :-\

J Hca cont:non :aux et otl'C a i n ~ i orgon 'se sur une base f] ue :qu 'peu dil'rrentc,Beaucoup d'excell en ts d l < ~ e sont Francs -)' Inons : noire po)ll de "'-le es tqu'ils se raient nco re bien meilleurs citoyen.s s'lis n 'o l>m rlenaient pa.., fi. rc l lt!Eoc lt Seol'te In lernaUonale,Il Les pl'Ob lmes l sont supposs l re exclus des d S;USsIOns

do.n.s les Loges; ma!s on doit nous excuser S! nous CI 'oyons qu'il exisLe do nsles plus hauts grades de la hi rarchie une influence politique nu plus hau tpoin t pern icteuse.I l Cepe ndant, notre dsacco rd avec la Franc-Maonnerie Ang !a;:se nepas de ce qu'et!e est politiquemen L subversive, ma :s que ses t'r inC.ipe,8 de fausses ides , se l'ap}X\Ii.ant la Fraternit Un iver se lle l'amnent,de la raon la plus subtile, .il. tre socialement subvcl'si"c cl. st up idementtoll'ante i l 1gard de l'inOuencc j u ive. Nous nvons loujoll l'tl :'llll.1I 'CJu c 7 . les Frnncs':\ fno ns de no:r e co nnaissance lew' l'pugnan te D nous coute!",q u e nous leur donnons ouver'tement nou'e opin:on sur l'action dissolvnntedes JuHs sur la (.f';vilisation br :tnnn ique. Il semhic donc ti C' la maronnel'ICco nstitue ,'une des nClmbreuses in fluences qui main tien nent la co nspi rationdu si lell ce sur les ueles de ces ennemis de l 'Humanit, Nous nc disonsque le maon moyen a:me les juifs, mais simp lement qu":J ne veut pascontribuer les dmasquer eL l'cio, notre sens. est une fO'me dnconscienl etrahison vis--V'lis de l 'Angleterre. Le a o n de grade infrieur es t g nra!ement un loya l sujet du JDi et n'a pas l'ide qu'on se sert de lui pourun but spc:a!.Il L es symba l'es de la Maonne.rie sont tous Juifs; le ro i Salomon estsuppos " prsider l'assemble" et n'est pourtant pas un souverain, pouvant

~ e r v i r de modle d!lt 'hommes du Nor/!, don.! le roi es! George V,


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- 'n-I l Le l ' i l l l ~ l de la a o n n e r i e est une insulte L'intelligence; rhoinmqui dev ,enL IIL8{:o n donne tm chque blanc sur sa c o ~ s o ~ e n c e ; la .croynncemaoll1lique est clle-mme une retglOn et tout l!l.lt mco.mpalJble avecl 'acccptaLon du (Ju'isHaolsmc comme la seule vraie religIOn pour toutchr:icn log ique. k les Anglais ne ~ > n t pus logIques, et leur hauteintelligence est gnralement applique aux n.fCa.:.res pU I l lcul ir,es ~ e u r v:e,,'ul'cment aux que.s-tions de princip es. De nombreux mao ns sont QInSj .CI Nous le dplorons, parce qu e nous SONons qu'il es t ma:sant 'lue laHoyauto, la Just ice et l 'ensemble des dlr igeants Se liguent en secrel endehors des autres o t e s , dont l'int.elligence se rvo lte contre lE;9 mys.lres. I lNous ne pouvons qu'applaudtr une dclal'oLion aussi nelte l lJe patriotes

iJ Jlglais dont la conscience est libre.Ceux-l ont vu le danger_ Ceux-l sauront le conjurer_

Hearst et laComme ohacun , s a , , ~ le gel"manoamricain Hea.rst est le proprita.ired'une l'enta.me de journaux !;cl'lnanophiJes d'Eul'Ope et d' i q u e 11 estaussi - cela se sait galement - un bailleur de fonds oecassionnel de lapresse de gauche, en Fr,an.ce.Or. depuis son expulsion ' ln suite de vol de documents diplomat iqueset de leur publlcal;on (affaire N()blet d '.An glure), i l ne I l So'inlrelsail.. I l passuffisamment nu so rt , de vCJlu prcai re, de cernall1s organes inspirs par laJ'ue Code.t et dw 'gs pal' des Juifs el des r i ancsi\ laons noto:l 'c.s.La F:. franoise fi t un ])l'emlel' pas Vel 'S la l'cco nciliation du ItnanCI.er Hearst el de cratures : gouvernement cortcllislc, groupements (legauche, joW'naux.Le F:. Jean-Michel Renailour, dput de l 'Yonne, fut charg des Ilgo.clsIJons.lnv, l l d1ner c.hez Hearst - Ou plutt chez la multl'csse 'de ce IcI,el'niel',l 'lo:Ie de cinma Marion Dav-ies - il I l balana quelque temps avant d'acceptel' )) - qu l dit !CI Finalement - conte l 'Agence t e c h n q u e de lu Pl'esse - il se dM'da (SIC)u cL trouva chez J'amphitr1)on d'aulres Franais : M, Max de POU1':a's et

CI M. d'Abbadie d'A rrast, entre autres. lEt se,C) sc ru pu l es (Il'esic) s'attnurent.I l M. Jean-M ichel l1.enaitou r expliqua son hOte que s' il Rva) t expuls11 de France, ce n 'tait pas une r aison palU ' con t,lnuol' il atl,.nqucr frocement

Cl notre pays :Cl Je compl'ends, lu i d ~ t Renaitou.l', que vous teniez rigueur il. M. Tal'

I l dieu. ~ I a i s AI. Tardieu n 'es t pas toute la FJ'ance. Ce qu'a f a i ~ 'Un gouvcr"nem ent. un autre peut le dfaire_ surlouL quan


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A ET LACJ.ange11ltllt de l Ioms

Il p u r a l ~ que les noms J1ti{S, PoLonais, .\lIemands, Russ,es, Roum.aIns,1'w'cs, Hongrois j1tW1"ic/ii:ens, Bohmiens, e t..o... des YouLres camps cnFJ'ance, portent ces dern :el's un prjudice dans leur CI hedide gommer7.c Il .Charitable, M. Charlf's Gallet, dput, v,ient dposel' une proposiponde". loi qui a pour -bul de r D v o r i ~ c r Je changement des noms de l . ~ ce.snouveaux citoyens.Si la loi pusse, dans dix ans d'ici, i l nous sera impossiJ}le de distinguerune maison Juive d'une maison CJ1rlienne .. moins, Vlldemment, d'avoi rt dj I l J'oul )1 pur la premire..

000

L 'Univers lS/'Ulite donne une peLile ct histoire amricRmc Il qui expliquepow'quoi tant de J ulfg arnnlcain.s portent des' noms Ohrtiens :Un jeune H hnhour 1) polonais, arlllv New-York, esl interrog par un1I1.spectew- de la police aml 'icaine,- Ton nom '1 - Yallk e l.- CO ll.1l1 lenl ? s'crie je fonclionnsi:re tonn.- J e mappelle Yan.kel.- Bien!Et s 'adressant son secrtaire:- ECl\;VeZ : John Kelley.A :'


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-29-au congrs mondial d'e la paix, rclame la reconstlt1lt;on de L'unl'd prolta,.r ienne, l'amnistie pour tous les camarades frapps d i s c i p , i n . a i r ~ m e n t , et Lasuppression de.:), cours de cafchis/I'I,es aans les cLasses prima.ires des l l l c ~ S e, collges.Sans co mmenla;!res.

Regi'LI dt Camlu , Juan-les-Pin., Antibes, NiceGrand choix d'immeubles de l'apport, de tensins, de villas. d'htels, depensions de famille, de commerces (co iffeurs, bars, libraires, etc. ), de propr its de ('u mpagncs, de chteaux de Ioules C() ntenances , de tous prix.Ecrire au journal sous enveloppe tImbre, sous le numro 200, quitransmettJ'a.

Au .. our. J'IsralDans I t le jou rnal de Berok 11 (28 80tH) un pauvre LYPe qui .signe ..}Ourageusement If L. C. I l , aprs avoi!r fallL l'apologie de la. nation juirvc, parle deln ract.on produit e dans la ville par Jlinvasion des youpins,FaJ:sa nl allusion ' J'orfiche des nalionalisles 00 Berck-Plage, il cri l :l i Pal' une discr ton, peut-.ll'e exagre, aucun des orateurs ne fit uneallusion quelconque il la l'egl'eUable affiche qui avail t placarde l'on VaS$dan') les rues de Beek aprs le s ftes des deux colon Jes scolaires lsralites.Il On blmait en tcnnes rvoltants la Municipalit de la ville de donnerl'hospt)lalil des .ju ifs. On voula;it bien admettre les ancien.s Isra;!lites, ceux

q u.I la..ent en France dpois longtemps, mais on ne pouvait admettre uUllen fl1t ainsi de ceux qui sont venus se rfugiert aprs la. grande guerre,clan s le pays {lUe heaucoup d 'entre eux avaienv dfendu,I l On ne r egal'dait pas Je but admIrable de leurs uvres; on ne. regarda.ltpas les centa ines de mille franc.s qu']s laissent aprs la saison ohez lescomme l'


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-90-6 ' Voici le. Oeurs et les fruita du Talmud: LES iM'FlFAITS D ' ~ S R A E L ATRA VERS LES PEUPLES ET LES SIECLES, par Joseph SANTO, deCo lmar ancien Co nse,!JlIer ~ I u n i c l p a l de Nancy.Sommaire. _ ~ " p r s le Talmud, arbre malfaisant, voici ses Ileu:s et sesfruits. - Les ~ l f a i t s des Juifs : les Juifs et les HrS)es., les JUIfs et lesR v o l ~ i o n s innumbrables autres ~ l f a i l s ju iLs, les ~ u l f s et la Soo: t desNations, les , roIs juifs, les Juifs et le Socialisme, les JUifs et le h e v ' ~ . , m e , les Juifs et l'Anfllrchie, Ics Trahisons des JuiI.s, les Assassinats jUifs, lesMeurw-es r:tuels juifs: quelques textes suggestUs ; la Solution de la quesf.:on.JUive.Prix : 5 francs.70 LA l R A N G < \ ' I O ~ N 1 D R ] E , trois rart.es brochu res de J. SANTO; trs Ilocu-mente. Prix franco les 3 : S I r. ~ e c o m m ( U l d e s poUl' la propagande.S, LE ,TEMlPS DE LA GO LERE, par Robert VAIIERy-RADOT.

Ce t ouvrage est de lo in le plus intressant que nous ayons eu depUISqu elques annes SUI' J'acbion maonnique pendant et aprs la gueM'e.Tout y esL dvoil. Totls les agissements du pouvait occulte y, sonL u r a . -geusement dmasqus.Il faut !(re ce fort volume pOUl' comprendre J'Histoire


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- 8 1 -C. qu 'il faut lirt

Plusieurs de nos lecteurs nous ont manifest le dsir de conna1we lesouvrages p3rlicttl!remenl documents sur la ~ u e s t i o n judo-rr.ta?nnlque.C'est avec plais.'r que nous leur ind;quons cl .des.sous les prinCipaUX P.trcenls ouvrages sur la question.l ' LE CARTEL ~ I A O N IQUE CONTRE LA FRANCE,Vo ic i un livl'e qui fera quelque brUIt... Ecrit par un spcialiste de lnquestion maonnique, cet ou.vrage a une valew' de premier ordre.L es hommes du Calte l e , ~ de la Franc-Maonncr-:e actuels y sont -v igoureuselllent 'dmasqus, et le,s mots d'ordre secrets I(les Loges dvo)s. Cel ivr donne un Il/sl crique de la na :ssance du carlel - L'r ct dirig parla F l ' f m - ~ \ I a c r i e - et des actes gouvernementaux qui SUivirent sonarrive au POUNO]!'. .Ce I i \ o prcieux renrerme des do cuments i71l1'O'tu:ables eL apporte uneLl'ange lurrr:re sur les vnemen:s tragiques que connuL lu. Fnance de 1924t. 1926 eL que l'avnem enL d'un nouveau cartel - plus ou moins dc!ar -renouvellerait. Signalons aus,si la liste importante de dputs ct snaleul'.FF':. MM': . et maonmsants que canlient J'ouvrage.Un volume : 6 f I', (7 f", franco) .2 ' MAlNUE L i\ NTl,MAONNIQUE.Rdig sous forme de catchisme, ce p e t u ~ volume esL une innovation.Il ..pond la ncessit dans laquelle tout propagandiste natIonal et oathoL:que se trouve de co nnattre la F:. M:. et de rpondre aux objecldons quel'on fait jOUfne!lemenL aux dfenseurs die l'antimaonnisme.Rpandre Il. profusion, Prix : 2 fr , 50 l'unit, 20 francs le" JO exemplaIres,

LES FF:, M:, DANS L 'ENSEIGNEMENT, avec liste importante J'uni-versllai1'c F:, M:. eL nombreux articles sur la ques l,io n.Pr ix 1 3 fr. ; Ics 10 exemplaires : 25 f I'.4' GUERRE :lIONDIALB, m iSE iECONCXWQUE UN IV I9RSELLE, IUNO-LunON IN'n;lRNAT IONALE, par Joseph GRAUD,Sous ce t.:lre, la Libre Parole vient de publier une brochul'c fortementdocumente o nos lectcurs pOtinont trouver la cause et les vrais agents deslJ1au x qui troublent le monde parL:culirement la France, et des grave.t;dangers qui nous menace nt.Quand On :songe que tous ces maux, guerre, crise, rvo!ut;on, avaientt ludis et dcids en 1897, on cs l d'abol'd SUI')".is de l'exactItude de "elleprvision., ensuite effray de la puissance de Ce p o u v o ~ occulle, capable debou ':everser amsi l'humanit entire,Les Sioni.sles l'cunis BAle en cette anne 1897 tudiaient entre euxmoyens de s'emparer du pouvoir universel avec l'aide des Loges maonnfqu.es.Mais. lorsque leur but sera atteint, quelle sera la rcompense des F'd'ancsMaons, leurs complices? Ce n'est pas le pa.ssage le moins intressant deIII brochure. dont nous pouvons dire qu 'clle passionnera ses lecteurs.Prix : 3 fI'. franco. Les 10 exemplaIres : .25 fI'.

Dans ce m ~ m e ouvrage : UN COUP n'ETAT MAONNIQUE COI TRELIt Ll BR e PA H ULE, plainte au Parquet., perquisit.40n, '.,nterr ouatoire, etc ...( ) T S DE PASSE Sl'iMIES"IO{'IELS 'et des al'Iicle.s documen ts SUl' la 'lu est,onj udco-maonniquc. .5 ' Ce qui explique les mNails d'Isral : LE TAL.\ IL:D, ce qu 'i l csl, Ce qu'IIense.gne, par Joseph S AHQ, de Colmar, ancien ConselJler 1\lunjo.pul deNancy.Prix : 3 fI'. 50 li snco.

CI Quand au Talmud, nous reconnaissons sa supriorit absolue sur laBIble de :llot,e, " (Les Arcltives isralites, 1 ~ , n ' 25 , 150),


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HYGI

4 0IJO,PlfI' ~ . a S , .. , -t!::,!;.:/.,'::17d C;. 1 . ~ ~ o . ~ = ' 1 U U l,-1 " . ' . .,,, ' ,.." ' .Ux pPo . ,.t, " .06 ... '" l ". ("'"Ap ~ C L .,1, . ' , ' 00 ' , - ~ : " ' " . . .P A . R J l . ' l . l . C U : ' ' ' . ' i ; ~ ' ' ' r . . . . . "",::;U;/ '.; . 1 S qS P 'r_, """ '''' ".., "..C R .;,. d. C41/A '/if/X ...... , '"t.::DIr. "Ii. Vl'lS 7 . . .

tral'lfI S-"e4S Bo. all lE't tre le1.4 134ICIVOIRichard L'noir PA RIS 1:: ", 1 J'


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P as de oye'!'sans poste 1)

D.mand.,. catalogu. gratUIt AndrRe,r& ea l ' e la S .c.lt tt Gaz d 1:

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Revue-La Libre Parole - Le rôle de la FM:. pendant la dernière guerre et pendant la prochaine