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;.rollZihœ AlfNh. - N° 508. Le numéro : 75 centimes

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Charles V AN DEN BORREN C ela fwl deux originaux en un seul homme. Encore y a·t-il entre fUX deux une nuance. Closson, Le musicologue est, on le sait, un être qui se con- c'est plutôt un artiste manque, un musicien qui a

pcre à élucider les probltmes oiseux de /'histoire chu par hasard dans la musicologie, qui y est resté, usicale du passé. préférablement les p/u, ardus d n't•n roui'cml plu"' ,<>rür, m.iis qui s'y embête à

~s plus poudreux. C'est un sadisme comme un mourir et, au fond, n'y cr01t pas t'/ garde la nostal-utre, mais celui-ci n'est pas à la portée de tout le gie de l'art l'ivant. Van den Borren, lui, c'est un ~onde. L'histoire des beaux-arfa n'est que de la 1·ra1, un pur. ami-jean à côté. parce que ses ,péC1alistes travail- ? 11 ~nt, du mo•ns, sur des données concrètes, qu'une Né à Ixelles en 18i.J, il ai•ait commttncê par faire olonne, un arbr,· ou un nt': sont. pour le dernier son droit. Il y a des préet'dents. Philippe-Emmaaysan, un nez, un arbrt ou une colonn•. - ,\!Ji> nul'/ Buch et Schumann firrnt leur droit .. \lais lui

Doriez-nous d'um• ligne de musique en nota mensu- non plus 11 y fit pas long feu. Dif/ér.mt en ct'/a ata du moyen âge, ou de ces n.•um 'S dits 1·11 d'Octal'I! Maus qui mena raramlt'ment ;usqu'uu palles de mouchr 11 (pedes muscarum) du .\ bout, Il' barr,·.iu et "" XX. ruts la Libre-Esthétique, ur l<'squ•'ls s'use la pali<'llce />énédictine 1 Tnutrlt' 1 un den Borren planta iite la, la 1·eu1•e et /'orphelin ~ ·a;outa que seule 1•aut ici l'anal)'"' r••rsonr1ellt• t'I pour s'adonner tout tnber ci ses mauvais inslincls 'information dirt'Ctc. 1\ 'est ras musicologue qui mu>uo/o.~1q111s. Il 111 partit• de cet soci 'té inltrouche al'L'C Combarien l!I orne sa conPasation et 11atw11a/e .t,• musiq1u, ur~unt• cusmrqut' J, la musia copie de ce/11• information d'une 1·aleur dou- cologit·. qui n'a ras dé remplacé. Pu;s il ~1· mit b l'use. A1oute: enfin que le musicologue •'SI écnre. Cour sur mp parurent~•" o:ivrJf;" sur le Ucouragt cn•ec una11imitt! par les artistes et par le Théjtrc de César rranck, les Origmcs de la mu-1r>ub/ic, qui le con<idèrent plutôt comm.· un doux siquc de clavier en ..\ngletcrrè. les Musiciens belges tmaniaqut Ses t'.'Ct'fc ici•s n rrzlért•s,1•nt, au fond. que en Angleterre: 3 1 c:poque de ls Renaissance. /, s lsrs confr<'r<'s. Qu'1•st-ce qu'il 1'< ut que fa 111111, Origines de: la musique de clavier aux Pays-Bas, !.fiche, qae ce soit Hanchicn ou un aulr<' qui ait Orlando de Lassus et nom/ire J 'autres. Tout ctla ~n11enlé la toarrt' J,• mesurt' fi que /'accord Je Stf- de /'1nformati11n Ill p/U> ;;ûr1•, /J flll> .ipprojondie el

t1tmc nun préparé fût connu ai•ant .\lonM•er,1, ~ la 1>/us consc1t•n iew.e (J'un.· t1rudition un reu Heurrnx ,•11core si ces tra1•aux ardus ne font pas st'thc, portée p • .i, 1•1·rs l'analyse qu,• Pers la sy11-naltfr Io doutes sfrit'U.'C 'ur la mmpétenc de /'in- th ès, J el d'une rédaction i'lé~ante, a qui ne gcite thessé in matièn 1fr cri1iq11< mu,i.ale prc>rrem1nt rii•n. Pour !t• mom<111, l'an 1.J.:11 Borren prc«rare un dite, branc/1e hal•1tut'l/em<'nt rt'sn1·r1'. /'llltr plus trui•ail sur 1>111ay, a Wallon du .\\'• qèclt' qui fut d'imrart1.i/11t'. au:< J?î.'lls q~ n. ont m mus1rolo- un dô jondalt'Urs 1fe /'écolt• dite nt'erlandaise u: gues, rn m11sici1•ns. . et /'on peut s al!inJrc .i qutlque cho,,• de très /Ort

Aussi ne doit-on r.is s'i'ton11a ~. dt's mustn>- t'I di• tres />11n. /ogues. on n'en p.ii·e ras les rues. Comb11n ) ,n 111 aurait-il du•; 11011s ;i ,ildtons un.· Jemi-Jou;ame. A li '.Y a quelques ..znni"'s. 1/ s'..zgl/ de r mplaur Bruxellt•s,

11 v a C/nsson d \'un d<'n Horren. Wotqrunne J la tête Je IJ liitoüoth<'</Ut' du Conser-

qw s'ent. n.i..'n' J'ail/i•· ,, •ll'IM toar n •n /olf• 1 "'' .f Hruti!/"$ ui//1 <1w11 ma,.e1/lt'USt'. =-Pourquoi ne pa• vous adresser pour v o s bijoux aux joa illiers-orfè":ea

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Tt'marquablement organisée, J'a lieur,, par le dit Wotqut'nne (celui qui dit le contr11.1re ne sait pas ce que c'est qu'une bibliothèqu~. ni m~me un l11•re: lt· dit Wotquenne «t.i.1t d'ailleurs un musicologue de premier ordre et un travailleur Jürmidabk, mm, 1/ y al•a1t Jes mJ's C'est à Van den Borren que l'on s'adressa. On ne pouvait nueux tomber. Possédant l'allemand. /'italien, l'anglais. lecteur intrépide et très au courant Je la bibliographi<' musicale ancienn<' d moderne. an vrai Buchwurm (un • va dt' livre''· cummt' dit le Boche), l'an den Rorr.:n citait tout indiqué pour ce, 1mportantts fo~ct ons. //y apporte .\t's soins scrupuleux, sa conscience, son 1•spn/ d'ordre et de méthode, sa méticulosité pous,ée 1usqu à la manit·.

Au miltru de st's papera:>ses. Je s<» rel•ues. J, ses part1t1ons pondheuses. de ses manuscrits poudn·u.\, dt• ,es quelque onquante m·lle ou1•rages d'histoire, J'csthétique ou de pratique mustcale. il est dans .<on élém<nt.

Quant nous aurons a;outé qu ï/ ,·st st'a(taire dt• cet Institut dt•s Hautes études de 8t'lg1qul', sorte Jc pt>11tr: Sorbonne bruxelloise où se sucâd, nt. dans des cycles dt• conférences rngénreusemt'nl conçus. les Spécialistes les plus qualifiés de fous les pays, nous aurons à peu près résumé l'activité publ•que de Van den Horr,n.

Et lt• pm, ) ln.- rersonnaüté comp/L'xe. Une n.i.'iveté et une s1mplmté de vrai sa1·ant. Une sorte de t1miditt1 elfaroru:ht'e et n.n·euse qui, à l'Unii•trsité, lm a1a11 1·alu le surnom de rSophie1 _ ,\lais aernëre r. fie na11 Cil et Ct"lte timidité, r1 y a de la malice, il y a même un ganoche. Ces petits yeux, brillant dt'rrièrt• les lurutt11s, i..Joine, à débrouiller /1•s mystères de la notation rou.~e {notulre rubrre j. nt' it' sont pas mmns à saisir le trait sal/lant. le rôté carrt"atura/ d'un1• pltysionomit! ou d'un caractère. Ce cauSt'ur érudit est doublé d'un obsen•ateur et .:l'un humouriste, ses calembours et ses sobriquets, soni dignes de Fernand Khnopff.

A M. Anatole Franc• OCTOGÉ NAIRE

Jllu,r•e rr. ,fi,.. . fout un monde \Oil!.' r111t'; tout llll mOlld• IOUS a<cfam

1.' minislA!r~ 1·ous adrt~S>·nr dNS tél~grammes; les lit 1 :lt1•ur~ \'OU'- CUOSat'rPUI di' f0fllOH'OttHrt1': il ÎUt qUt.•.!IÎ,

d0

t11l(' céremoni,. triomphal.• à l.1qu..r1,. 1011s \OU6 êtes d robe. C°l"'l QU" IOU.. \l·flt1, Il< ff,.!, dl' \'llfe 1otr~ quati \ tngtJeme ann,~ ••.

Cc "hiffr., 80 a un,. 11·:lu ..r conl~re un" 1·aleur â l'u.' "" d'un honun .... Il H•U> 1au1 une a.-a~e d'hoirie ' \OS fun,railJ•·>, car \(JU• \CO•'l ,j,. SUb1r, \'l\'3nt, les bu 111ag" qu'on accord, au ::r:i.nrl horum, d€'.·kl~.

JI raut l"m:l•IJTl!'f, U D•Î ur, qu. \Olr~ ::lotre ,',>t a rue el que la 1al ur marchande de •o· œll\res s' n!l~e du 1our l'i tf la rmnur. ou 100,. a1u 1.xu plu:>

•eptant"-neuf an;.

Ph1J.r, .. 1,phi"> • l u ...... z d~pn .. dfs 1a1<on11<1nërl''.°' bumair ' \ ur< nt J.iourlar.t \i;r~ gltur., \ou~ r. oil\tZ pu \iOUb d r Hire 11"110 pt u 1Jt 111,1uqu .. h1mw11r:. JJ n') 11 PJS lJ(•\

,l\l"t \o.u .... Ju. dt: f,.Ji, 11, r 'J11t·111t. 1>r1 .lt• ce cpr'rJ ,.....,, \'ieux~I l 'f';o.f Id 110. fOll"IM hon .1 la pnrth• d1•, Ol rr1gf'n.1ir~.s. c-.-nt n;.1r1-s pourn.ut•nt la r1~prf'Otirc po11r leur romp!e. 1·on~iderablemen1 r-.·nforn~" mai• il• ''" •0111 ordinai m• 111 pas e11 rr,11 •le nen con•rarrr du lour. JI e~t pou1 !Jfll dt• fait 'l'h' t',1r1 .. ~tt1n 1f't111 h1Jtn111r {ou J'unt- femmf

u rt:11r. na.rial pt<i\rnJU• u11e adrnnal 011 ign1cralt>. ~ Heli;rq•1 . on d··c .r. 11> r. ni· na r. • I 1, prrnr, Leopold •ll\O\e, par "'° au.rosi .. phe. pour con<ideN>r de p ' ~nrl· man lr1pé.

jamais nen de méchant d'aiUeurs, car l'an dt n Borrt•n est surtout, et avant tout. un mmable homme et un gentleman. Pour 111•oir une affaire a1·ec lui, il faudrait le fair,• expr~s. - négliger, par exemple. de restituer dans 1« déllU voul!l un ouvra.~t· emprunté à la b1blrothèque du Conso;·atoir,•, ou commettre un,• autre école du même genre. Il es1 la courtoisie, l'urbanité, l'obligeance mènw. et 1' <'Xaclitud1•, pour lui, rentre dans le domaine dt's bonnes manr1'res. Par le temps de muflerit' 1111il•erselle où nous vi11ons, c'est, si nous n,· nous trompons. une originalité, pour ne pas dir,· un1• t'Xccnlricité. Au temps prochain où il n'y aura plus qu'un seul Belge qui réponde aux lettres qu'on lui •'cnl. Van den Borrt'n sera celui-là.

Tout cela. llaltre. \OU.• parai! dc-n.- 1.,~1:1que. En •~r'~r \OU• là d Ili' r: ~- sounre douc.-m~nr li l'dlogi•me humain! \'a,ez., • •· p ·.pour b crrcor~l.!nce, un.• de c6 phra.>ei dun-. .. , pari.ut~ olunl l'ironh I'>! 4 ln ro , ,j cruelle e 'I tf11Jrt "]

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V

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!llt.:rill~lt- : ~t1l t1°u rwn foit tf.rns :-J. \u·. tu pa3 grnnd·O!~'. 11 conl111111• :l\'t'C llfll' IJ Plle sCrtrüt•'• f•I tout un w·u·

le 1 ;i,dfllll f', rar (e rtH• Ju i•<"llJlll", f0

l"'t de llf' J H Il r lÎre de ri<! pas 11 ptn>rr da>an1a11e. et •~ macrob1te, tn son

ut'!lul, ~alise un iJ.'31 de ld1rit~ ruoienne. On ru~ ;;:1~ .-ou oh\ra1t pa-o 11uc \OU'.\ tn !O}tZ J.t s' lJ \Îc

e nuu;;: a\'aÎt •11'11' j.., el ru11 t1 ;tint à nous <·0J1sol<'r <l" loul ~ n prd<'rtrn11 l"'ul-élre, r<>ur '"tre 11'olic. que \ou~ >O~t' iort plu• l~I l1J1• •1u'e•I-< • •JUc r't•l que la i;lo1re ! .\ uo1 co1T1 .. f'°"'I L<'l ukal tin tranJ homm"' dont no~ 011101~ QUC' l'•·\I S l••ll('~ \I l l t•lc f1Îe1111• '! )h..: mn~. 11°est.t•-' ,'tS cl .. , ruuls? 1 ool rd.1 11~ 1ii1t.,""n1hr 1 l1'Jl, t'l q11°1111 111.•ros unr dt--. dlCUI lll~TJft.~ iCllllC; qur 1'.'.lSC'al. Htll~C 1,•lr ~J r~ ndr lm~. s ..,, a•lî· û 1n11l"-11<'ul a.•, ou qu" ll~g et ;n·lh\' l;i~ .. ni P,(tfl:"' , .• ,, '''·"' \ 1 lf.n .. ile v:itr1:trd1f' . u"1·~I· n~ 'I'"' ln11t rf'lil f"-'r r~1r1port.tl"t•l1·ruitL-.

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Von • h• '· ' ~c..u\ m• 1l 1·~ 1' r r-pnrt des l'\p<·r,,, et \1. Fr1111rqui. 11nltc ~n111c11ui, qui .1 u, ibn• s3 r >ibclion. unr 1•art ro11•i·l~13blc. Mt .-uuwrl

de lleu<" \I inlcaJnl, 1 s'ag11 d..' ~o>oir ju•qu'où ira ceue "1•1'r<>bohon.

lJ1•.; tX[lt.'1 l.:!. g•cn trn.tnl strÎd1•mt11l au" k:rn;es Ut! leur mauJal. 011t loi,"' au~ gouwrnrmrnl• le soin 1Jc nig~r 1ous k-; del3ils d'e1ccuhon ri, en ,• ·ni-rai. toul le côl" politique de la qu.-.,.•ion. Il ne faudrait I'"' qc.•, par u"' l.\d1<1c I• Il! pohticî ruie, 1!- ~·arisrnl mamtrll3nr de r.j tt'( !-Ur le rom1tt} [);mes 1;1; ~1>0nsal1th1é J ... luuks k"IOl!i 1h[h.-11Jtè, qui w11t ~• prl-•Cnkr . tln 1, .. voit pointlrr Mju : 11. füc !1Mt.1ld Joclarr qu'il c~I inutil~ de par~·r d~ .:;ancllons Il I' \llem3gtli' ct •11r'll çaul 1n1e1n compt~ sur la honne loi. (l'e•I étonnanl romme il sont cand1J, •. l<>s \u~l.n~. qua111J il ne ~·ai:1t pas d<"S inlt.'It~l"i m1mé1hats J.• I' \n~kt~rr-,, ~l Il. Poincnrt'. de ,;on r<"t~. d1 I qu'il n'aba11· lonnrra le ~age de la Jiuh• que •'il csl as•ure de ga~,~ • 'l"" Jenl•. 1 ... ,, UC11' lhk<-6 ne -tmbl nt r•· trh conror· 1.111• "<',

S1 run l• 111 anÎ\ol :1 1111el~11e di«-e, 1[ faut!ia tout 1!1' t i Il ~:Jt l'<m se nt<'IJ"' tl'~('ror1 l .

~"' 1.,;..,. uu bon 'erre. \llez au c founi•r Lumaiu n, ":!, (il. de Lou\ 'n. Trcu1enher!!. [){Il BIJ: \1 \HS 'l't:I 1 \1,. Io• t1 .. 111i-lonn«a11, Ir. 0.811, ) .. gran•I ballon Bor ! 111 lit'" Ir. 1 ~: •.

Automobiles Paige

Pou 1'1 ''"' 11 cf lfî.w .;, un~ \oÎlurc ~~rÎl"U~ tl eonlor· )M. l'<.ur 1 sp rl•man une 101lu1 rap1dt. l'our la r mr. la ' •tur.• ;1~ nk. lgrnt 'I'"~ •I · J -Il .\Tl.If;\ ll:T, :5, 1ltlllU< l.<>uiu.

L'art de dorer la pilule

li , ,, Io '' ~·11 n'~· a t p:is moi en d~ l.we a11lre111~nt •tue d'orccplrr Io rapport tifs e\[><fl'- 1·.,mn•« I· < l>J•t• d'un 3C•O•J •• r n1lif ail..: l'\11 magn • \u~ !eu~ 1,,, \nglais el des \m ricain>. 11 parall que c'r51 lt ma-

mum de ce que n U• po ~ns el er ck I' \11,magn•. r >mml'. n1 la 1 r '1C~. ui, J plus fort ra1ron, 1~ lk!l:;iqut, 11'0111 l'cm1• li 1~ mo,cn ,l'aller p1cnolre rher I•'< Bocht> ' armes Il la m~in ce qui leur • 1 dll, <>nS doulA! faut- 1

:!86 P our-uoi F o.s ?

PALE-ALE, ST CJ UT & SCOT< H CALDERS C 1• NECTAR

RUE KEYENVELD, 61·69 T41'ph . &r".x• 1 ltl,14 • 217 .00

laite contre mau'a~c lort ne bon C< •ur, mais on ne peul a'tmpè<her de r-cn•er que ce o'll.111 pas la pc 11<• de trainer 11. Br.~nd Jans la bouc pour !aire en>u1le cuctrmcnl ce qu'ai l\JÎI fall. \I, Poincaré a l'art de dorer la pilule. .\u lond, (<$1 peul-~lre lé tout l'art de gou•e1 n< r.

La m ode à Pa ria

Lai ni l'impro;s1on Ju JA"' ::; \'l. A la &0m!e de i;ala de la m.1g111l1quc f~I<' du Jll;Glf:T.

donné<' sam~di 3 """· au \f,rr1..(;rill. [testauruut-Doncing. il S<ra prés-ni~ par la maiS-On llFl.V>TTE-SUIO\I~, 4, ru, de la l'ait, à Pari•. trente il<' ses plus jolies nouYtaut~ de sa coll~t on d'tté l!l~.4. Ln rn.mon ill:l.,\OTTE:-SnlO~I\ e!l actuellem ni l'un deJ coulur;ers ~ plU6 fa\o nsh par l'füqaoct pari•icnnr.

Prière de rdonlr 1a tnhlr. dès à présent, lfüph. 227.22. Rul't'au: 3. Q11a1 au Bois à.!11\lrr. Diner &\'et m•ch slre à porlir ck Ji1-neuf hturœ. T•nue ée soir~ de ri::-ueur.

Voya ges m inistériels

Un nou,cau communiqué oHiricux en a a1erli Je, populations: 11\1. 1 heuni• el 8\Jna111 n'iront pas â 1'4ris pour causer. Mec li. Poincar~. du problème drs n!p3rations el du rapport du uperi... Les nammunl> du min attre ont mi• ltur Hto. Peut-~tre notrt prt'm~r ministre aura-t-il la permi.~ion d'Jll, r à Londre> "· comm~ on l'annonce. on ! tient une conl~r,nce inlerralli~t. Mil. Poullct ~l \'andc \'y1"Cre estiment. sans doute. que \1. llac Donald sau1 a ronll'('balan•·er l'rnfü"'n'·e de lJ s1rtM J>oincar~. li o. Ju rN!~. ~l~ question d'adjoindre un reprr ;entant de IJ • race namande • 6 toute dtlészauon ministèrielle que nou~ •Urion• à n•~\ r ' l'étnn~or.

REST.l l.ll.\"il f,A l'.lL\ . :i7. r ut> de l'Eeu i er Son qrand co11/o t - 5a /mt t·uistnt

"~ ,,f ,,r t > r nable'i L.\ ~ \ltl.l:, place "jlntr-l'atherine

~ n t Pr· ni~ - r·~ri:;

Timidité universitaire

Le r< • Jr J, G.in !, qui J. orga11i,er J~ tn311ilcslJ· t1011s ~o 13\eur de llorms. el le recteur de Lou,am. qui tol~re le <on;:ores d~ lud1an1s pan-né<:rlanda1• se font ('Cndant. comme ML' rhW.n.< de faknct·. Il< ne sont, ~an• doute, f'"5 tout li !ail du m. ne 11< •111e Oorms • l 1p1c Jc, 1;h1di.1nls « Th'oi' ». m3is il n sulfi que ces braillards leur demandasseut quelque rhosc. &\CC lrur ion rncnatant bah1luel, pour qu'au•-1lûl. ils fi•St'nl tout ce qu'on leur Mmand.11. C'.e! p ll\T•'S ;:en• 60nt i;o1ncm • par la INus•c. Assur ment. il ne laut pu drmandcr ~ un pror, 13CUr. à 11n homme de laborotoirt, Ill><' cornbah1 ité el une cnergie qui ne >uni pa~ dan~ les habitudes de la J'rO· f\.'ft0101~. m•is quand on ncceple le• fonctior.s de recteur. ~ dC>ll, tout de m~rne. éll't' capable de prendre une déCl\lon.

Soieries. Baine d e 30 à 40 p . c.

.\ L~ ll\JSO\ m; L\ SOJE. 13, ri1t dt Io Vn<ltlt111t, 13. Brw:tlltt. Le me1Jlour marcM en 1oieri•• de tout Druxdf.s.

Re1pon1abilités

C'est rnlendu. 1. .cad 1111•1urs de l.ouvain ont une gronde part 11~ 1 ,><>• >.1b:J1t~ dons les incidents Jron· daleux du Congr~s J•s étudiants pan-nllcrlondais. füi, , pour etre justé, il faudrait N!monltr plus haut. Ctl d~ t J'C1pril • a li,· <te • qui regne aujourd'hui dan; lu jeuntt

<.ouch• s catholiques namandes. n''"1-l p~ une oou,·,aut,. il n'~I pa> né ~ponllni!mrnt el tout d'un coup. Il tsl un produit du " noiaula~ • des •éminaircs e1 d<'f t'tolt; norrnaks, cl lœ vrais rcspon,ablu, ce sont le• h~qucs t les haul! lonc1ionnoire3 du min 11;.,., tk5 S.-ien<'«I t l

:l<'S .\r1s. les l\lomrers et C9Mor!J. Lt cord1nal \forciir si une i:nnde et noble Ti';ure. dev:nl qui la Bele.que t l

le monde enlier •'inclin•n1. Ibis. peul·ll're, ce ph1loM>phe ~·est-11 cporçu. un J">l'U tard. du ~omplol qui se 1rorna11 Jons aa maison. Si le rnrdinaf-orrlm~que de fü!ines av~it mitux sun·t îlé ses •éminoirrt. peul-~ IN! ne rrn<•nlrera1t-on pn~. ~ujvurd"hui. tant •le cure< qua • nu.

blitnt • de 1:., .,.. wr•,,..,ents parc,, qu'il e<t Wallon.

Les voya1te s Vincent, Bruxelle~

.i9, l•oul .. lnspa,/1, or.;an..,en l Ji. ur- tÙ<S r\cur<ion• en oulo-c.11". en Bdgiq11<, el Ms \0\3g«' particulier> Cl collrc-1r• eu lv~> pa" [). m~1· lez itint·a1ffs d tailf&s.

Le 1ocialisme bourgeois

Leb udhesions de& 1• unès a1ocat. hL ·r.u• au soc:ali•me se multiplifnl. cl le•' j,•u1 chef, ilu parti tll >O:Jl con1tcrn6. UiJ allon~-llOUS, sranJ IJieu:

Ou nous allons? .\ous n'en nions rien . .)(Jis, ce que nou! ~~non•. c·(~l que ces jeune:; gens \Out '~" l'auicue nu 1.run~. ou croitnl ' aller.

I.e ministère aelu•·I donne une forte impression d'in•la· bilit~. Les llaming:anb le 10!/,renl, I •• sodal11k~ con· ·entent A le la1>,,r sulis'.-1cr. a cc·nd1hon 1p'1! ne !ar,.n el il ne \li que parce que personne ne 'eut 1 r m· placer. tdJ durcrJ 1u•qu'au momtnt ou il fauJra b1M !aire quelque cho .... lhic. cn•uile .•

F.nsuitc. les >-0C.Îali•1 , sont ""'""' u~ qu'il, prtn· Jronl le pou1oir. C'<sl pourquoi, ils meltt'fll énormèmrnl <l'eau d ~leur 1111; !tur 1.i.1tc-lorme d"lo1. I , l t IJ •• ment i11ollen,:,.c, que pcNonne nt peut plu• <'en •lh.ai,r. 1 ous \OU< tlonnez Je re que de jeun" bour,::eo.s, bi n rcnlt\ CAi ré<olu< de l"ltrc. deritnnent 1or1al SI<,? 0 natfll! !.e 50('1.1lisme, c'est I~ Jemirr t•poir de la boun:couic.

\'~-l·il p:ic; 41« f'Curs " Louq: ois s • 1kvanl cr 11u'1l a11pcll • le pcril ra,. i k' '! \[ llam•nv )[ac Tlonal.J ~·,.rommO<k 1!,• IJ Chaml>rc J,s 1 rJ>: Il. \'onJu·, !Je. prtmh r 1 mittrc. s'Jcccn•r:ioJ raat trL; I> •n d11 b:lrcon !.<"rr:nnnÎ<'r 1 mëm~ de qurl •,5 utr,,. r.1. rux a «i. prcnrl"'<> l

tomme de.isc: 11 ria 11011. ni rbolu11on. fi eU\ ou1•1, Îs lHI fr' llf('l""Ont 1 .. ;,,IJ't'.tl •

Élégance, souple&&e, so!idité

D 1 ,,, ' t. •lr~mc moblf1l~ qui en rend le mani ment tout à !J11 2" Lie, t f, •u111 t s princ1pa'e; quatit~ qui d1>!m:;u..'lll i.s 1u.lur s 1. n s. sur tous Ir~ rnarchb d11 mond~. pnr lt> grande> u11111·, St11dl'l>.1ktr.

Garage: 1:!2, ru~ ue Tc11 !l...d1

.Four-.ruol Fa3 ? 3$7

10 Stinne1 et les aodaliste1

b~t · ndt~ tl. ju 1 ~ aux !loch,•. qu'ils ne lùnt i•· rien à d•m1 : quand 11; •ont C) n14 J ~. ils l mellenl bnit;il11~ qui ne manque 11:1.• d'u11<> ce11.111\ê grnn . ~ou'. satont trt;S Lifn. ici. qu 1n g•• c:ipitalist< très b1tn ~tre &0<:1ühste à ~ h< ur - 6 obi,m~ ou

d'ossuranre contrr la rholution. lfa11 quand il• •oriah~t.:.s, ~ eapi1alii1,. dr rh· l nc.1 v mtllent

certaine pudtur. Ils port ni le P< 111 rh3'.'t'3'u mou tl nt de ae rt'nMe ~ la &1>1<0n du Peupl<• dana 11•ur

•a:<. et il fal!ai1 lûul de m~mt s"arnni;cr a1ec lui tl en r''' parti en JltL·nrlanr qu'il !'usât. :S!inoes n•epmair l~s m~,S<b. el n crorait qu'aux ch<f,

1 •aboucha a1tc Karl Leg1cn. •ecn!laire géntral d. 'nion des 6yndicals, c'<•l·à·dirc Je la C. G. T, alk a~dt. Il lroll\'I dan• Leitirn un homrn~ qui a1·ait. • u11

1omdr. 1!.;ré, les inémis qualité> que lui. • J'ai IM-soit ·~ 1·0~. lui dll·il, el 1ou,; avu besoin de moi . \'oulei-vou• ue nous collaborion;? • ~ deux a11gur« s'entendirent ')ft bi~n. tt lond~tenl Mi>~mblc la lrntra/-lrbtit.rgtmrin

'<hn/t ou comité mixte cks oreani~ation• patronalPS l'i ou

- Anatole France? ... à ootn place, je me méfierai: ce doit être un type dans

6Mre de c Joue/in > ! ...

ls-RO)«. F.n \lltmagn~. on n'i mtl p - tant de laçou. lllj(o !>lino.,,. fut s«ialutc il wn lu ure . .llal& cvmm<"nt ? Apre~ l'ann1~t•C•'. lu d1·LJ.d1' 1k-s ai met. alleman1f"6, la

uit~ d~ a~itns IOU\\rarn• ~t la confl1tuhon 1k gou• ·r· 1tmtnt4 10Cial111t« dans !OU> les F.tal• du He1ch, la plu-1:irt de3 mdu<lri1•I• nll<m~nJ• s ,1lfol lcD t tl tVllJ\'.>:l•enl à bandonnrr l<>Ulll u•mr • 'tmn ., qui no pcnfa1t jJm~h ' kl•, ~n>il qu'il armerait dt d ' ch " l'une: ou 1en la r•1olu11un <'<! «u11~ohdrtJ1t, d 11 falfa1t alors corn·

!)( •tr 11<c elle; ou b1t11 1. n<U\cau r+~im~ n~ Ju1.rai1

1 ie1 ~. Jvnt le fon, 11on11emcnt permit à l'indu•trie lourd. ' >0rtir Ju chao.s et dt' u n:l,>rr dès l~s j>:'t'miers 0101•

q i ,mirent 13 fin d~ ha&lilil ;. Il 1a sin, Jirc qu'à la prcn11é1" occasion, Stinne• j t~

par-dtif1>, Lord >h collaboratru" b\Dd,~l1ltt5, ~ais a. i:ord• 60D ~Jt1mt au Joubau' d~ ll<rhn, .t quanJ 11 eut à hapli>cr 1,., quatre pr miers n:ll i~ qu'il lança à RJm· bourg. il leur donne les ooir.s de l.ud•nd r[l, \miro/ Tir· p1t:, l/arrm/nn (Zl)u1trn~ur d, la Rti hsblnk) et Ka·l Ltgicn.

388 P ourquoi Pas ?

L'homme énergique et franc

L 1 •li••r. J ' o' ·1 rs •' \1. RiOOt a remis en cause ·.llll. &rianJ el de llroque\llle ~ vrupas de l'allai~e lancl.• n l1 cl<'S teolal1•es ~ cc.n•erulion entre t·nnem15 •O l9J'j •.

li. Ribot ;;'était dr,nc mdié, n'a1~it rien voulu ~~oir. Il fui, Il l'<·n croi~. l'homme énerei•111e •l lranr.

Il l•ul connailr<> ce l:tl .. t, il• qui Jaur.,.; Ji-ail: • Pbooon, lu n Ion~ ri tr1•((> com~ le c~prt!S el -1u1l4" comme lui ! •; «' lltOOt fut une fausse cou,be à i•l continu comnoe "' Jonoart, to111ou.-,, 51 pro111p1 à ..e d<'11l•r, • l d<>nl s'?111•·nnent. ca Frnnce. I•' con;,'flaleur5, 4'l•·nwls b,,ml•. cl qui font un fl-ll, il fallait par.· r net dan• t:•• que-lion rdig1 use: 6<parallon. \ot1t"3n, qu<lque <ho;e J,ir>- cc i;• ore-là. Ir.. libt'ra11x (\ùU< sa" 1 te lfUr c'..,,1 qu'un 1ib<'-1:J, "'' f1oncr) con11•ta1 nt -ur Ribot. lhhot p3rler.ii1 bien, l:ibot, qui n•a1l - U\•nt donne' ri .. ga~~- â la gauchr, A:

r:ul ent. du d' dl . Oui. mai<, le m h Ju jour ou il d"'ait prrndre la p:.

role, \01fa qu• flibol «t m•laolr, mala•l·· ;\ !a rh3mbr.-, a\•!t" r1!.;'\rt'.

r.r.md cite ption. fin ' ~"' nomd < L'n-t l'houn<te \tnard, d r.ute du Rhune. qui mtnr la .1 .. u~at1on. On <D· •nhit, malfre la rom1im , 1 appart<>menl do ll1bC>t, qm est nu hl, gc !.'narol,

« Jp ,;u1s dt!'lolr, chi 1 nmi~ 1m~ .. 1bl<" de !oOrlir, :;9• de f&l'\·r···

- Fn elf<t, oiit hni;1rJ, ~· ... 1 un m•lheur, un cor.tn'-lem1.,. Halffii''lt (. h 11' »

Et il pttml une r<'soluhon. • \la foi. mo~ dt('f' &Otl, pui"•tU~ \üU!'t Tii J'OU\t:7 (p

fniH•. j1· pt. ndr-.; l.1 parflk .• ,. Qu'un Jlr~ pf('nn la parole. r 1111>orl'! rm -u "'': \h :

Mn ! Pa• ta ! Rioot '· 1 '~r: H1bvt éorl~ IC5 cou1.r-tu1"t• : 11 lait tout h L11Jr •

\pr~s tt·la, r.c •ou• donn~z pa• ltop ,; c;n npp1 o·nall un jrmi 'f'I\ pr(s a\oir • c:1rti"· Briand "l d<' HnHlt:l·\ ilr~ l'u11r COU\'t~a11on :1Hè f,:mrk··n. Jl1hot Dla11 'i!JlrlS d"-..,.;;:

"0' :-pari r5 pour •on C"n prol11.

Ortl '- ro l. T \ \ rll'i t ; P<1rle L~m•c) ll11z11•l· 1 .n O• I· r llnr

llurlH !roi,J - (,rilJ floom

Me.d ames

H1 t. lt z à \l~ m. ns une ta1 .. <' tic , hampa,;nt Jt•S , \1gnololr5 llf.\R!OT 11\11111 f.1. \1,11s 01mz la !•JI\ Jan' l,. ml·n g~.

'l'n' " "" - /Cl \Ol lllUll.', ri ,\n.fthtlttou.

Le gén éral Wangermée

C't'l.1 1111 h"ll•• 11.J,;Uh' 1), i c.1m11al • l 1!(" 5'nltlal 1111 1~ 1.-• e~nt:n1l \\,10,g rm ~. qui 'Ç"iei1r tll.' muunr.

Il />tait de J'kole d flnalmont. a"c q111 il coll~Wr3 Je la façon 13 p! .; 3CIJH• u <>mn. n ni ni J cnrnèrc. <~ï'Sl lui, notamment, q u con,tnus1l. "u' la i11rcc11on Je 1101.T~ ~r:lll•I in~cnieur r11il1laire. Ir fort de !'uarf..•» li Nait au i J, l'écc;Jo oit• 1..,('i'olJ Il. •111i l'aiulJlt bt'oucv 1p ·t qui l'rn,oia au 1 on~o. •l qui. pour ~- d Luis, loi CC>nhll une ir.:- 1roporlaote mis ion poh11qu.- dans la rfrion du \1ari-l\11ilu. \1ce-zoU\ rncur du C.ongo •ous I• genfral Wahi•, puis ~ou- li. •utl1s. il fui, ,1 puis la reprisr, l'oricani&1t»ur .tu Katan~.i , t I· •érilalile fondole11r .n:li•~ll'-lh\'ill~. Il d 11 de rPllt ~ d'admini•tn·

INrs-soldats qu i montren t q110 l'arm~e peul être par une l.'randc t..olr d'homme J'EL1t . .\lai~ le R"ni!ral \\ ~-rn.-e Hait Je C<"' n1ode::.t<'! q•u ont I• pus.ton de •t tt d•>n' on ne 'I' •n il 1-. u• ~ qu'apre· l•ur mort..

!UR CUAL. pàli•9ier.glacier 38. rut de l'Ecu!'tr Tfüphonr : 223.90

T,a.Room •Il ' u G htttt• ltt ndet-TOU > tlt• éléga Rl•

L ~''"9 dt b /""'"am" ·t

Les mystifications

Il 11'\' .al ra1 .. re io,,~hn.

( harlrs ilcrnar•I nou> rarcinl•tl pJr ' I" 1'1• i·mohon a\Jit pa,......., au'\ t•tJ\jron' tic 1 l'llc 1fot<· t·m111J \Jllfi'. Com il an·i•ail a l.1 \ution brlyr. 011 lui dit : ~JnJer l'i ron t.'!o.l mort. Uu Cr(•Îl l11c11 IUt' r·, .. , J \1)11 -. li• lui Cton

crtr l~ ptlit artide Je rizueur. • ,\h. zut! rcnsa n, mard. la \u1I• lii1•n. la con •. \l.ai'. CClmmr 1 °f".'>t un ~~fçon cour.ac-ru\. il alla~ t

rn4..·l!rt• .i. la l~sut:ne. quanJ il ~'._1 ptrçut c1u1~ louer la ~ l.:.l\•, Jt~ Pierrun 1lt·pa ...... ait tour il·' 1u~inf" ... s fort t>~. Il ti.OI

à •e raoottic ~ur le- Jelails malerio•I< d'un incident 1•rÎ>•1t :.' ha<Tbo k d'un grand homme et le CC> d' \erse hot J'un olii• l d'aJn11ral1on.

- Comment rlon,· est-i l rnorl, r• Pirrron 1 11.H-il.

On n.,. ~~l\iiÏl (•3(. l ne :lr:tnce :hJÎI :):mpltnu·nt tom ni•JU au\ jour11Ju\ un~ 1•hoto:rr:iphi.• d" :->Jndrr. U\('(' m<nlion : • li. :-antkr 1'1crr 11. 1'1llu•\rl.' • <l'IUIR brl 1irn1 de n>?urir. • \ l'art ça. aucun 1let,11I •

On 1,;li·ph~n~ ~ux auln'< 1n11rr1a11~. 11< m .1i1•nt · reçu 1ni'lll•' pholo!!ra['hir. 3H'c l.1 m~ns• iruli1 uti~n. Rien pl~. Le• phr:i•• ~ cor.Ji3I~ et conîr•l•'f'ntll<< >'echa '<3 cnt por lt hl.

PÎt'rron C4il rnorl .. .. t:--1-(e qu"il a jam:1i .. t\t,f.•?

( • ..... t qu<' r~•r ff' 1 .~mp.;, tlt~ \ :ilt•rt.• J,..,.. ..... )111. il faut m fi··r

Qurlqu'un ~e ,1., JJ 3 all• r 3111 rrn•eigncmcnl>. li n contra Pit'IT()O.

Tu n't ... 1lt•nC p .. nt(•rl '! On a\t>rt~l ftNJLUtl qui ' t 11· ... olr11 ,i •~ pa .. t"(;rirt- q

î'if'l r ,in t·lalt mor l, mai..:; '.'è 11011, i:tonnt!rait l~.wcoup qu ~ 1l1·e11J.\t jatnus à t"(rÎr•' que Pitrron r .. t \1'ï)J1L

1 -.. autornol11h~ \ 01$1\ :;:-,, rU<" itt .. Ji. u\ f ~1 '.'" .. >!•Ill,~-':<;\ p11!ffil, If> IDO<l..!t• l'\f'O>o'> ~U d1·1nier ~al •I<• l'\ utomobilc.

La bonne place

_iuit-•4 ( 11 ' non.;; cl't \OIJU"'r \JOI" 1l1·i: (?loir lflf orlt1• .. t1.1bh'5 1f(• l.1 liH··ntlUI c h~:.1!1 • Il 1',l-il pa" \ 1 11u

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un mini..,tre cil!! \ rt" t•U. l11ul au moins, un rhef J col>: net J'un mrni•rre de' \rts. o>J1l pror111s û \1. I'• rrv· qui la l11i d»man•b1t. un~ oormt pl3ce olrum tum drgn tnt<. , haleau. run ., , collectrnn u ~arJrr. !.on prelc\ pour a"'llrt.~r û 1111<'lq11·un lt' lllllrorlable- b1r nit nit'~"

~i J10s rcu .. 1•1c11L'llli>n l~ ~out (•\arb. il ~l\.11l étt• pr11nti .'I \I. f'i~rroo 11u'on le nornm~Mill C00"'t'n"Jlt"ur tl? lJ r. lonnc Ju Con~r• ~. mai.-. lit"S r111111itn-.. ne hrnntont jam.a leur5 prom « •.

l1JIOUIL, nng111~ t.\ ru"ufl"""'I\ 11~111 ;i .. 1ht.'ni•·. trou hl~ "'t 'u cl tnfonts r1:c::1lc 1tr&:1ht?t. 1nro1tflllt11ls. ~ut·rii plr P"''"h. n:tl}~~. mith. frtuJ. i :!. r. l'nf:'.fiC"a.IÎôn, lt•fd•·r~-f;.u1

mensonge des titres

'n d<' pri1i<ipc' du 1ourriali•111c mod•rue est de Junplu• J'imporl.'lna au l l1t~s r1u'au t"'"' db arti

i.... J1rttte11ra dec jQnmau\ connau.<cnt bien leur ic 1·t &3\'tnt qu·un lrct<ur pr"'~H~ ~ cont• nk; "-011\·t nt

j•lrr Ws !'CUI sur 1.-, titi' 8 Je~ <olonnr SIO< .. , donla princ de lire Ir• Drl1rlrs cu~-m~m•• : d'où l'hnln

r ck ril•wner le !Mir dan& le tilr·, <Ou • llll<' lonW' a11•si r r, attral'~nt• et vns •tionnrllr que I" ·•1b!<>. ai.~ !i l'articlr n't!>t 1••! >tn<ationntl, 11 faut qn.• 1•

attirr tout de mfm. l'attention. li nrri" au<'J q111• Jt'rr~t.tur,• de rtcl"cflon. 'lllÎ fabr11p11 1 lt~ htr"'~ !W>ll ~i pr•"''" qne Ir futur k··teur et q11°1l "" pn'n11e p:rs

lrmp• ri<• lire le lr\ I!' q11'1! rloit r.'snmrr. Il arrirn 1•nf1n ri! •11t·rial,.tr nu 111•• npinioM pt·r"lnndles dont 11

on tt>ul~ 1"9 rul1riq11•s qui •011t-nt d """ mains. 'oiri, par ·\rmpk Ufi 1ourn•I ·~°"''"'" qui n' -'t pa llk. 6 I• France, lu r.11;rtu dr If ,ntrlal. rc wan•I jour-

1 ri•pr<><lnit, dans •on numfro. un<' 1li·p•·<h1• de Paris sur di•ru••ion de la nnul'rll• loi milit.111». r.rue d~p.'ch~ pa1fo1t•·mr11t rorr1'rll rt rl"ume •an• Mformation trn

nriru~ "' qui '""'t pa5S!' au Pal.11<-lk>urbon. \lai • la ~ht, 1n 10111 Jl"ht l••\t(', {'<>ri<' ~t (·normo cha~au :

Fit\ \Œ PREP 1 RFS FOR FlJÎ!RE WAllS

On millwt~ de t.inadirn, n'~uront lu que ce titre el t"l'on t ron"nincu• 11111• ln frnnrr rr.·pJrc la guern>.

n•i '" fnrmr ou ~f di-forrnr. par l,i 111;1 i ion d·un t'ern'· rc 11·· rnlarlion '"'I' 11c,ct' ~r11t ou trop habile, l'im•~· ~ l'.\m, '.rn ,,,_ l.iit ' 1. franrr.

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r .. \l'Jilurc- conÎO[ tal1lt'. \ile rt dl' tou l\! ~rn1râtè . lgrnt qrnl'ral: J.-H. ,\r/Tf\ IRT. :r. , arrnur Lo•IÎ•'·

na la diplomatie

!,, nou" l am1i.,.,a.l•·tu· 1l'llalic " Onl\rlk~ rst Ir wmtc sinr Bar.fini; il .1 o'·pmt"" \Ille Gu11111a11, ,\ llemando, fill1• 1 11ircrl,.ur ~~nüal •Ir l.1 llrr«lner ll.ink. â Berlin. Il rnt dt \ 1tOllf'\ OO il tll1t minhtre. f.c d.;11 .. mate rrrnpla.~ le princ.- Ru.i.p"li J,• Po>zzi ~uas.:i la l'rtn<' ...... ""'' .~, Tille~ rand-l\•r1gonl. C. diplomate

11a1t ~- P.iri<. où il ..t.11t c•m..,·illtr 11"Jml•a<s.1J~. 1:,t.re ~"" M. \an Lau\\rlaert, l,t'ri-t~ llamintrnnt,

11 ait dr l'mflurncr sur 1,. ~urrnlictoi.·ur \lu«olini?

\\lhlll ;; Il \I l'i~ 1, au JI, rr~-r.ri// lie 11m aol-ll.1nrini; (~011\f t, l•U 1111,1 f'TJ

llin/•'/••· 1;.i/a - t Mu.rc de fo ,\,lflon cfl/1rrr l'l.!J (H u .. ~r ol partir 1l1' IH h1••1tt-t - t,1n111l orth~tre - l'a· .1ux - Surprisrs !'omphh'\I~ H1•ur;.a~l! :\nturd -

·icnllftquc rdaira~•· 111omrt1~nl (~, plu• allra)ants dfrU. A11 rroi;ramn1e: Ir$ plus rlr:ran1.s art.,i.:-s ohtb<-ront • rl•rni•'m; crfations 11 • la mode du 1our. -- Tren~ m<>-11< rl. la lll i<on \ , 11u \•1nr .. 11111\1\, i. ru·• tl<' la ... r. f>ctuf>le 1111 rf>rt!tallon "' \h.:. t r liche de nh.·111, 1lont ; \Ill,. llorna. \lagud 11• l'al\: \ltrte ~ 111a

arr1'1, ll uguet rie Frana. et \Ille Ill Rl.\DE. llu~ud ou~I. l:n t ·· prê .. rnl.tlÎon 1·\lrJor1l~nr'lirt • I~ ciilèbrc r:;in. trirr llmc 11.\\C.F.I f: llKf:G\S r

111 .. JI \\ ( \11~1\ll, u Gaih d~ l~ndt'f ii • l c . f · .. , de P"n~. 1 · .,,.,_ d~ -.01ri 1r - gatoir€'. . • Pn(•f'I' lie l't·tenir •.1 table. Bur1iau• (quai au Ro .... ~

lcr). Ti'lêphone: 9~7.22 . - n1t1w.: \IERRYCA RDI.

389

Le corps de Patrocle

Ce n'r' polemique, qui ~·~t rngagt'e il propos d,, fru Er ne~t \'erlant. I..<' ma:te llehille et le pe10trc Jd l.etmpocl.;, •i a.antn~•u-cmcnl connu au salon ile Paris, wus le nom dr 1..ampotl. n'ont pas ~té d~-mê• par l.1 mort 1fo leur •nnen1i, et ils ont publi•, au lendemain de sa morl, d,-, artirlts, dont le moins qu'on puis;e dire e;t qu'il• N.iient Ju go1)t le plus déplnrahle. Là-dessu•. \1. ltol>rrl ~.1nd, le l><•n rhHalier, ••l drsundu dan• la lit~, rour l'•llOJ'rP UOe lance fO Î3.\\.'1lr l'fU d• funl .. fl a puhlio'. 1hn, • \rts el IA·tlrts d'\ujourd"hw •, uu pro\ .riant 4ui ue manquJit pas d'elr;qucnte. Et voila la gurrr<> alluru:e. f,rompoel3 d Jl,•l\·illr, ."1 qrH Rll•'U\ OlltUX,

lui dher<rut Mii' Ir ,j.,.... tuut••s lr' injure• oie leur répPrtoire a'tr:il, ;111t.1nt qu'iMali~tr. C'e<t la bataille de' haran~fres 11utour dn rorp< Je P,.ir ocle. Ptut-•"trr. c<>la •Nm'ndra·t·il Ac• panue Il, \olf le dan~· r qu'il y aurait à confire Ir• cipo•ition< à une qurkon•1uc l«leration de• irti~te5.

Savon Bertin à la Crème de Lanoline

Con•ern à 111 peau le •eloutê de la jeuues:.e

L'art belge à Venise

Cette :1nn1"· donc. comme (ltt'C •dem~nl, il y aura une »'«tion t.rl~e ;\ l'exposition de \ eni!<' rie rrltr ann~.

C'";t Fiercn"f~·aert q11i t'o11:ani,...... Lnmpn1l, lïllu•ll·c cbrf d" la FMiration da \rlistt•. le panfon11cra+il à Il. ~oil? li complait bien a1o:r mis la mJin sur noire toubib national, l••quel, en mal1trr d'art. 11 1 qu'au~ rompél<nr"" 3,ad1•miqul's d lo0ur1;·•ois· . 11 .• i. . on "'' •ail cc qui !;<' pas<a et, nu Mrnicr moment. ~f. fil'!'ellf· f.craert fut 1'11~ d'on:aui,or la parti•·•pati"n l••lg1· à l'e•· po>ilwn l•·mtioune. Que \1. \611 pr•'f!Il<: gonlo: 1" mac•' llchill<'. dél!ormai< le fidèle allie de notre L:impoil. d-'tt .tej;1 l'a101r 1nr' •ut A:.,,. inforna·n.

[JI)/ 1 l/IJ) F:HSOE.\', />011/rMr•I Cotaniqur. "" liront" J'\rt - l."'trcric - Serrurerie

Au Cercle Artistique

C.r06 oun• ,J, P""' • 1 1bli.-. 3U Ccrclr ll'IÏJCÎqur, p<>Ur t'exp1>·it10:1 il.• \ln1e l'irrnn-e-li•'rl" nne, folle dn rl'Ln·th• !-Î·u.ill t1r ht\~t·oi ...

Ct1' toi!~ sonl d'une 1 1ruue tlt•:•t, d< put~ l'rnla11cc, le i;oùt a tlé goc ic aire S1ircté: c', •t " ar11•te • a..nnt tool·· ~utn> rho c • un E n• très a1 ·~~ c! J p1ttoresqlll': Je ne '·"' quelle rr.kc rolm>lc'. enc:>rc qu<; f~mini?c; J.- sens, dt l.1 111r ... ur.._\; tlM l't""'<ourcn d C\•4"1Jlt0n con~uhrub!d. L fflecfr•.mc IP plu~ al1<j(,1(u pr1;,i1f4• au dt11l~ rlt•s. a.nt·B : _ \'OÏCÏ l~ aube" ~nrhnnlëfc cles lars 1l.ill<1n.;;, l~s ptCS 11r1ivtJ'< du ll~urhiné, le! rurs joit11tcs Ju 1ieu,-l.rêf•, k< ll'ÎO<·s morne< dan• le brou1llud d leur, fumt!or! tt do leur~ •uits..

fout cda , st tour à tour i'moo1ônt t! rl~gant, pt..1n dt> <hnrnie, d'allant. il<>• rrnn •·

A ~n juger par le rlai~ir IJll!• '" prc,-,'11"'1 COU"'! aux. 'isiteur<, !lm. l'ircnnt-K"l'[>('n11c do•t éproU1~r. à tror.ullct' ,..~ t.:.1lrs un• joie 1ént:ihl•.

La note delic3te o;o.ra donnEe. dan< •otre m!tritur. J)ar les lu!tres tl brontes d" la Cie B. E. L. (JOO!), SS, rue de la R<i:ence, Brux~lle5.

:.190 F cur q:uol F as ?

Le journaliste et la d ivette

Un ré<lo~t>?ur du journal J/idi, \1. R. T. de ~ieucapelle ('sH:e que la pres>C, romme la pohttque, ra t!lre enrah1e par dt>s ~igneurs Il pari icule 1) a rcncon lr~ 'Jlle 11.arguerite Girard, que nous applaud!mes, l'an dt>rnier, à !'Alhambra, dan• la K YeU\·e Jo)·eu•e », et ceUe rencontre a lait ~ur noire j•unc confr<'rc (nous le suppo~ons jeune) une imprcsS:on profonde.Cela se passait à la Uonnaie, ou l'on jouait c l\addara ~. le soir du Hl ami de l'an de gr4re 1911. Oyoz :

Lortqu'•pm le prcmior table.lu, les l<iu du graod lualtt jttàttnt à noove:a.a leur éd ... t sur ce brillant auditoire, toua 1~ rtganh fun.nt attiréei \'M• l'a.ne de! pretn.lèrct baigooi.ret.. C'o~ •iihou.t'lièrtmMt élEgant.; eut 101 fa1• d• uptivu tout IC""a ~eux pu !e t.h.srwc dt si. beauté.

.Et .., ... ceux qui furont ~btoW. par ce puiuanL rtgard, dt gne d& f'olo.nté. et. d•t.nt.rgle., par ctll4 codfure biane, comb.eri. ingrate pour o.ne femme t:i elle n'~t.. pnt jolie; f't tau ceœc qw furent ch<t.rmél ien eontcmpla.ot «' Jllh visage rayonnant de jeu nease, cette loil'!!'tte de 60Jf bteu~ richement omée dt p&Mlrt"S

ua denullt'.a, tt.1 deux cercleis de brillants •graî& aux oretlle. et Cd· ample m&nteao dt c peül t'rit •, COnHtTeroUt. }oagtEmpia e '°tl'-'tnir de ~te apparition auptrbe.

Le lecteur est devenu •i malin aujourd'hui qu'il rlèjà de»iné: c'elail elle, r'éto11 Uarguerite Girard ! ...

R. T. dP. ~ieu~apclle n'bé•ila pas: - Elit ttt chi.rm3nt.c9 moo ch~r. et je va~ aller la ulaer Aunitût d1t, •W',-itôt. fait QuelquN llllt&Ots >p:b, f6t&i• aaprb de !& grand• arfat .. ,

r oi me reçut &'f"CC u. grKÏMIM &mabl~1lé.

Dan1 .. regard qa.i !uclno, cela.i qai ...i quelque pon o~r v;it-eu-r constate ais'm~n\. que Marguerite Gita.rd e.-i douée d" beaucoup de •olo:nt.E, tt l'on croit comprendre qoe lonqu'ell., • da, : c Je v~ "• ellt. ne pourra J>a6 oe pu riowr.

Et lllle Girard conta enlr'autres chos~ à notre confrère omment. toute enfant. el~ jouait a\·ec ses lérriers. dins

1J propriété de ~e• pa:•nt;, en lndo-Chine. Yoici la lin fo l'ioten·ien:

La fi.n do l"e.ntr'acte \"Ûlt tnt.errompre cet.le délicicutt.e conTtr tion, j'allais prend.tt con~6. m3is ~Ille Girard m'offrit un

·'"~' ao.prb d'cll Et voilà oomm~nl je p~...,=-i la "llir~e auprh dt> c-!lltt g-rand"'

rthte, de celte joli& femme admiréie de. tous., flc ... Mlle Girard. qui est une lemme d'esprit, n'~ pas dù

,·embêter.

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La rèr~monie se d•rou~~ra IJ ln Tocrrnt /i.,ualt: <• \ous n»orv; pen•ë. écri\·ent les .lmi• dr J'altu ' Jn•irtin, ~u~ te UM"tllo>ur mo~en d, . sortir d~ la jo•t11'e tqtup<"' dan• fo. •iudlr 1.,,. 5'mrath1quc5 \Jou•t111uaire• 1111 f'"u'luni /'"s" noou ont embarquP. e.ndre â un éclat de rm• pa• un autrt tlcla1 de rire •. ~u nom .lu Comit•, ont signé:

Le secrélllire du Cercle, docteur René Branqll6rt, d6p1 o011rgme6lre de Braine-le-Comte.

Les membrrs eflrclils : 11\1 •. ~d. Buyl. bourgmestre d'belles, député d'OstA?c

pré•idcnt <l'honneur du Comité; Tirnace Sinzot, dép111• de }lo11o, pr~ident du

mit~; Jul°" IA!keu, sènaicur du Hainaut, trésorier

Comité. \illôi que:

!· .-L. Bo•·~sse. déput~ de 1\amur; \ln Pa~tur, sènalC'ur de .\iv~lles ; Louis Pirrard. député de ~fon.s : Paul Tschollrn. ministre du Travail

1 W. Yan Rcmoortd, déput~ de Bruxelles. Pourquoi Pas? remercie • ..,lue de la plume et s'elforc

,,, faire raison au1 organi~aleun; de ces joi-ell6es rtp >Jill<.'$.

L.1.·PA~~E-SUll-llER HOT El CO\TJ\E\ T.l l - /,t mri//tur

Porto Rosada... - Grand vin d'origine

Les débuts du jeune avocat

Ce jeu™' avocat reçut, l'autre jour, un client lui 1

\'Oyé par Ir bureau de la consullalion graluite : c'était lossoyror.

Lo"que l'avocat l'eut rensei~né sur ce qu'il dèsir '~loir. le l<>"soveur lui Mmanda:

u Q11'e<t-c<> q;ie je roi"' doi;? - nien. - E1t bien ! quand vous <frtt mort, je \'OUS rt\·au<!

•'a : je ferai nvec rotr! famille comme pour un ami .. . Ce fossoyeur, au cours de la conrer"<!tion qu'il a•

eue arec l'arnrat. lui omit di! : «le >ui' ausoi marchand de cercueil>. Et fai une fom.

qui, heur.us•ll1"nt. e>l une rrai~ commerçante: ligul'I V<>U• que. pa~ plus tard qu'hier, elle a ré11!l:'i à ,·enc un c.cr~ueil arec moulur<'< il deis tout petit• bourgeotellemcnr elle a rleuré le mort avec la famille ... »

Pianos Elc~e de Paris. Auto pi3no Ducnnol3-Philipp~. à pédales. Duca-Ph:lipp•. ~ électricité. Oucarti•t rhilipp<. vc•l•k• et d~etrn1I• combiné•. Rtpré!eota,nt: )llCllEL lUTTUYS, t6, rue de St1

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Jubilé

C'est I> ; mai pro< hJiu qu~ f',•n cèlebrera le cinqua ti• me annivcr•aire 1fo 1'1'nlrce on fonctions de 11. Jt• Cloettns, conrrôleur g<néral d11 lht'~tre de la \lonn•ie.

L'ne repré5entatioo de gala •era donnée, ce jour-là, 1

b~nélice du jubilaire. Tous les mélomarn» de Brinell "il foront un plaisir et un dC',·oir d0 f oss!5tt'r.

Quel e•t le r~•e de toute r~mmc chie? Cond111re sa p· rite 5 IIP. fïtroen.

Les flirts c'est l'herbe

Ir rnar.~ l' '"'"I If' Jnin: Je.: i.:1•11s marit5 <ont fi"< ânr• '1' rn:ing(lnt 1111 ri "n. ~:mr ceut qui s;1\rnt ')u·cn l~f..,.rhon,:r tl1ez Dll,\PS, au fi~. U, ils 1uroo1 flcul'll à heure cl JOU li<es.

Style militaire

~ 9 a,·ril de r, un commandant inn'g•ait une puni-tion ain~i conçu ... :

f'a.urfl"il, du I" groupe Il .. ba t~rie : Six joura d~ salle rle police : Avr,'.r élt! vu à la cantine, mangeant un hareng, d~boutonn~, san< roi.

,\ ut~ me.tir : Pipn-::.rc/, du !" groupe. !\' .. batterie : Quinte j<iurs de

~aile de polire •I pri"~ dr permi•~on pendant un moi~ : A\01r rrnch~ par terre f'Or un l"•gimont qui po '1it par a lcnltre.

1. \ :.otn:r.r.r, ESSEX. G r.)lindro'.<, ~litres tn~ 15 CV. Il hltt$ ain 100 ~ilom~lrt•, egt la voiture qu'il vou~ laut e• ov•r. - PlLE:TTr., 96, ue ·'e l.i1our11e. - TR 43i :!I

1R1 S à raviver. - 50 teintes à la mode.

Encourageons lea lettres!

On hl, d"n' le nou1 ·l •rr~lé r"latif aux enrouragMnenlJ que le gouvernement déclare voulo:r prodigll>!r 3Ul ttuvres th~atralcs :

Art 2 . - Jl .ae.n alloué AUX •u.leun dta pièoel prunbea tm 1u~1dl'! .tpidal pour l"impre..11on de lwr ouvrag• Ce •abside ura do ttnl ft"Qna: pour k-t p1èo...._ e-n uri a.cte-, rlt df'UX cmt• fr.\nCI pour la1 pa-te.t rn <ltux M"tC'5, et dt tTC'l• Cf!ttt• frann pour lt"t r1tttJ: itn l ro111 KUs t''. plu •.

Eu lcbauge tlo «t.te suhvt"r.Lion , let Wn'-ficairea •eronl ten.ut dt founûr ~ l dtpan.rmern. doa !:'.ciencee •L d«!i :\ rta c:nqa.ant• f'Ji:tmplairn1 db lti;r œuvrr.

Ça rera 1011jo11rs une \Cnlt' ,,,, cinquant~ brochufl'•. Mais, r.11\ rr" indu111~. les • lé".1cliriai"·a • u·~ gngw rvnt pa• grand·rho•e !

llL:\J Ull'I COI l'Rll: Sis /1 J trmla

:.:.!. 1\' 11u~ l.0·11~, Hru\41

L'inquisition fitcale

.'\r, '!ran1/11,•tmr11ts

(l'oi 1< l,011Jk') - Hl. llG.8J

Ucu( commll1ran1~. ciont 1a ~uerr,. cl 1'1 pai~ nnl t\~;1-lcJn nt conlJ bu~ b nccrollré le rh1Hrc 11'~!1a1rr9, •c rrnconlrrnt dc.-ant la llo1 r• :

- llon,our, d1tr ami. - f:nd .. 101~ Je Ir. rno r. mon 1·i~11~. - J'~i ~I~ lo1rn he111 ~11\ 11'npprtrlflrr que l.1 guerre t'a

r:1nr.h1. - Hie ' NI· encore pl•a n>anlagto.<t pour loi. Chacun

ta11 que Jans lt•s <'uini .•. - \nn. non, On no peut compar••r nos deux ailua lion<.

1 n llonnr c<I une Je, 11lus con•idfrnlolrs de la plae<'. îitn• ! llirr. on me t! m nd t d • ren•eii;n•m nt- <ur toi . •ur I~ ~110. IÏ•·n 1 rr~dit f.ommr ft!:i·, b1rn rcn-

i ~. Je k• oi donn.:s. - ll•.ln'C'.?

~Jturdk-mtnl. J'ai dit que ln <tni• un lionno'l~ 1 ommc. que la signatur~ 1nu1 de l'or. qu' tu 1• de! d1~ltnu1 et dt< l11•5cs m1i:~ liqu 5. q• tu g:ign.-. au moiM l!~ million pu 60.

- L\-st r\3g••1 ~. m:lis i•' Ir. rtmL·rC'1c pour l~t bonn•1

inl nhon ... l.1, à q•ll u-111 donnè Cl'$ renscilf!lemtnls 1 A un homme trh •Or. L'a~ent de li. TMuni• •

c 1 .... nltutUh·uu~Hl .. nu' juurnau' et puhllr.,uoo-. • bc•I•~'· lrnnti\" et irn=lal• •ont retu< à I' \ 1; l; 'I C'C • Dl: l 'UE'l'll:, b. rut' Ju l'~r,il. llru,elle•. •

:~91

Les beaux nome

Dieu nous garde d deprki" nos barons ! Os sont d'autant plu' relu •anis qu'i• !IOnl plu~ ne 16. liais ils ont des noms bien mndeslcs : il• •appellent Lemonnier, Tibbaul, Carton. Que n'ont·ils des noms vraiment sonores, rQmme celui-ci. par e•emple :

Jar'>l»-llaria del Pilar-t:>rlo• Vanurl Stuart Fil.-Jame•. 10- dukt ol llcn,irk, 1i' duque dt \!ha de Torrncg. de Liria y X•rica, de Arjonn. de Monloro y de Huesear. cond<!oo rluque de OhvorCB, mnr11ues del Cnrpio. de Coria. de Eli· rhe. de la Mora. de San Leonardo, de Sarria, de Tarazona, de \'illanueva del Rio. de \'11lanutva dtl FrC$nO. de Barcarrola } d,. la .\l~,1ba, ~\· conde de Lemos. de l.erin (conde!lablt de Xa"om), de \lonterrey, de O•orno, de llirondo del Caslanar. d~ \nJrade, de Avaln. de Fuentes ~ \'aldcpero. de G Ives, de \ïllalba, de .San E•leban de Gormaz. de Fuentiduena, de Ca•arrut:-:os del ll•·nte, de G"lve v de Siruela.

C'esi oin•i que le Glltha désigne le noble ~i!lneur que ~$ journaux se conttntent, d'ordinaire, d'appeler le duc d'Albe.

Prononciation

CUBES OXO A BASE D

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EllTRAIT DE VIANOt

de 11 C:i LIEBIG

Ce P.: ;,,, bi~n qu'aeclimat~ ~•pui~ hl>lle lurette 1 llru•elks, pror~se pour 13 prononciation "3ntaru~ un.i horreur sar11 •coonde. Il vous roronwra qu'il '""'' promené sur le l'icrrt dt Rlanranbtre cl à Plpinsll. ou à lntirt. a\·ec son ami I" 111-f.ngdan1 (rd cll: \'an Engelen); 1 rn9•an1 '•d ''': \'an Gend) ou B•iuanet fid t•I: llU)"rn•), le1111el habit• le Trcuronbtre.

Il a pour urni un llrux..Jlois du ba• de 13 villr qui, lui, a linrreur d.- la rr<>n<>nrl31ion fr3ntais.: el qui namandise, n1ec une jo1~ l>roce. ks •ocohle< ~France tl d< ~."alT": ri parlera de JI. l.cbar9hij, de Ro IJ11tl. de C•tmfr id t1l • r.~niirr), de Karpnllir, de tirn Com1yot1 (id t•I: Yve« 1;uml). de /Mnnr Cranlr, etc.

I.e Parnicn r~pon•i par Jlllrrlin9ut. ffJ-an·jton (Tlarntjens). Go-h(.ma-hoire (G<:>emaen). Fitrrm-- Gtuhrr1rt, tlc .• e:t.

L'autre j1>ur, I• Parisien a port~ de la llOC i~lé de Tonéli-ftbrrru qui "' oi•n l ~1.; bnirc en corps du lambi•· ou S 1tainie111-du-J111 ri - et ~uan.l le llnn1 lloï. e 11 comprÎ< qu'cl -·ag~ ait de5 Tonnrdi'<htbb~ t l d Spiitirvn flu1•rl, f~ dou' hommts ,. sont brouillk pour h111JOUO'.

On arru nu m •me qu'il y a eu d"5 giroes ...

Teinturerie De Geest 39·4 I , rue de l'Hôpltal :-: w.,...,, ... ,~• •rrv• Ht· T• 2.s• .,-e

Le livre de la semaine

,\ 11 f. .. '' s Robert S 1. \'. Pierre \othomb nent de reunir •es ~m"-' •n un fort l>~au 1olume, q11'11 rnlJtule: Portrs Jcc lir/. lln ,. rcltou•e Ioule son œuvrc dpu"' !DOS, U<fUIS L.' \me du f'~rgaroirt tl \otrt-~"" du .llatin. jUFqu au ~me ,ifit.-.bl~mtnt poigr. ni qu'il oonsxrait. en p: 1ne guerl'l'. à la mort de sa p hie lil~: Jlari12btllt.

1 't>l UOO rude êprtU\~ rour un p~I~ qu" de pi:b" r trois rcnt qualrt-\'ingU pag~s de ' n. Pierre '.'\olhoinb en Mrt triomphakmti>t. nicn Je tout ce~~ n'a vieilli. 11 -. A.

392 Fourquol Pas ?

dau! aes pi.mins H«. roul parlum•>< W'< eflu•ion.s m1st1q ,,,. d un poeut adO("'C•nt qai érh8j•J• • p<'IOc :'I la f~. ule dts lions l'tre•, quelque chi:>Se de frai> et d'ong uu,

comme un tendre ~ouru, d'enfant. ll<puoc, l'oerre :\c~ lhomb a fait de la polit1q•1e el de la c.hic.a!l<', le3 dise•· plmes I~ plll! proprtl! qui ""enl à c démai1er • un JCUD" homme, c•rnm• do"'nt I<< rin1que-: c't51, du rffi~. un 1euo• homm,. qui commfflce ;i marar un peu, 'l''" P1c.rrc \othomb; mn•- s~ d mitrs 1·cr.-. 10111 lrcm· pes il•$ larm~ les plo' do11lo11reu•es, ~nt rm{ln·onl.$ d~ la niême frolch.,ur l•ndre. On 1· rcttouvc la m~mr muHque ir~ ·1 more ~Ui donn~it un n"rnl ~i pnrtirnli"r à fo11·r.fNo11r du lfo1i11.

r 111 qui .sui1-cnt l'action politique 1~ Pi .. ri r. \olhomb f< 11 l"'nt, "1!ns ofo11le, que f.(! 1·ol111ue r~tl'()fpr.ct f C •l prut < re uri adieu à la po~,oe. \01 • nou• relu .. ..,n< h le rroirt. \6(,,; " ' "O)On • aucu n inconicm nt " re que la pohlt•)ue de Prerl't' \othomb ,Jonne à la r.el:iq_u" fJo1e d follier•. Trhes el A11-la-1 hap lie, ou, du moins, à re qu'ai Mt~che un jnur du l:eich l:l'.' prm inc(-s irreJ.•nt s d. l'onl • que tl p<Jttrque l.otharin,cie. Qu'il <011 alors, s'il lui plait, le llOl"s. lm Il! allendu, mai• qui! Il<! nous prll• p3$, pour cela, des poemtS qu'ai peut tncor.: noüP- donnrr. ln b, " !""me, c't;!t aus•a un aecro1s-.•rr. nt du h mlorre nala n 1 "" 1 t-Hre plu• •ûr .•

Automobiles Buiclc

I• L ""' Uu1ck «ont les plus 1mpor1 .. n1r' au '"""" pour Io fobrioo11on dœ l'Oitur.s .i rl ü c1 lintlres rt on r·n 1 "\lllfer .. la pre111e Jans le rait que pour 1~ •l\it•mt• 011• nbe con'<'cuti1 r, l(s l <inc< Buick >t !Ont llH'll aHnl111, r la 1•rcm1ère place au ~ilon de :">c11-\ork. (l.a p1o 1111c e plaee est ace rd~ b !'[sine :unerreaine a1an1 rcalr•ë le

' s ri.1ffrp • 11 ,. • dan• l'a.nn~ l-coulët.)

Quelques sobriquets

n<>i;nj)hM' 11flit1 ls : c1pfoi courant à un• 11bl• de $lé-

li. looblél d'.\hi•lla: Folltttc; Le ><·nol'1Ir HrauJoin : L, baron du Su<·rr • 11\t..1.nr.,nuuue rt Ulkt : l<s dnrr qasus; ' Il. ~·~h•1» : /,c /" 11/ mousse: Il. 1 nn Cau11 do"'l: Ln 9ro.<st {<'< 11111 bur; Il, llii·~rn~us: f., 11insm1 rf,l11r1'r.<; \1. lll'S\\Ull' : /,, sè11a/eur de Shr/h.-/d • li. l iLioulle: lt ptlit ngo/o; · ' 1., marqu;s lmp~rinli : Le 111urq•1 1fr fadr; li. Jaspar: J:anr1m raccommodrur dt porC'r/or11rr: li. l,ocktu : l:OU/t dt Comme; U. d, l.foflart : /..e coinplc-qoul/t; 1.- calo) en l~mb! n : t ik4trn J'Lll'arl!; 1 d:"' 1 <T de \'roèl'\•: Jlit $pu11t.

Le fran çais commercial

f>, la 11 ut 1 t r 1. •i 11, " i·holo•r~pl1e ,Je Uni , r('('hWtn:tnJ. A la cher.!·

Je pru:.d.a la trir.a rfllpecta~ libe:tt:l de pot1.t>r à , otni oon DU.ll&DC6 ÇtM!i ,,, T1ml de t~!l.lp0t1tr mon \ltlftt de r a.ore &r•plr1c, '

)Con a.w-lie-r y ura parlene, cL,.oc ww trÎll t:nnde I f'l>~ Ir$ Tit.UX ~«tf. ou ~nb.nt&.

Pair lN bonnes aoaru q:ie fapportuaa à ""~ tt,.mma.nd ain_._j q"l.- par b modiot dt' ~t pnt. i ~:~ ~I • , M r-etn b fat"f'&r de- T~ oniru

'ouhaito~· que '" pholographieii dr. l'mttrr«" •oÎr ri~ rne1l!eur aloi que FOU •Ille ,

SPIDOLEINE !.'huile 1Molc 1•nur \ulomolulc.

Les mots

.\u car~. 3on hi·s pelilr, heurt•!: Pourquoi. dit l'un dr5 C!ID.."lmmJl•u~ qui a bea

coup consomme, po11r•111n1 dit-on \ •·ndrcdi Saint el a :-"ml-\' endredr ?

!,'autre con>ommateur, •rui a consomrn~ tout aut.l r llr<'hit un fo0n moment ~I r~pond :

- Pour qG" l'c.n ne croie pa.c. 1!An• le m<>nde de< lidèl que IT::-li•<" a c.>non < le compo~on d~ BnL1c--'n C <RP

Les amateurs de Porto uigent partout le Porto Rosa

Histoire juive

ln mariage e>l en P"~prr~11r. Troi< 1ieux et'liha1.11rt<: un prolc,laul. un calholiq

• I un juil. ont d1., ol11i~11011• rmer' 1 ~ lrall<"t< •'l fe ro L ·Mrn1 'Ur f,• • tarf.?311 11hle •A offrir.

I.e protestant 'e propos,. ,(',.11101cr un ''"ace il lht, porcebme rie Chin~. pour 1louze Ï•ersonnt-.

l ·.,.., brco. Le cathohque a rn, ~urique part. un lreau s;n iee

l.lblc pour llD!1't-cinq p<'r.ton~. Il l"rn1 ttra. 1 • ~t lllÎ{'UX.

I.e juif ><! rè'<'.ne, m. i., le lend. main, il <> r•~d rh u~ ~ ~-~ f11reli~1onnJirr ... , qui \.t"nd ile toi.JI, ' f.ait cho ri""" p.nc<> à •Ucre , . ., m<tal l.l:mc, rt l au.irhe sa car a'e.c a .. mot~:

/'mrr ri ·~rrr potJr dc1u cr11t t1nq11autr wrstmnu.

VOS CADEAUX Entre bonnes amies

font Joublrment plaisir s'i \. i~antnt de cbf"Z Bl.JSS &: 66, rut du ~fa.rchc.-..aux-Htr

Il Dl'n \\fi. •, ~·1 t• li da""' i'Our faquell \o ... \rnez dt' tùu ... 1ndm r >

\( .. f•l\~[l ". - 1 ""l li- \dh,.mar, ma \OISID<'. \1- Dl .. \ \(, liais elfr ne 1<>u• J I''' rendu vo

salut' 11 Pl\:-f !\ ·- \.,~ " 1. rem! ÎJI • r' ·n !

Champagne BOLLINGE ?REMI ER GRAND VIN

Addenda au dictionnaire de l'académie

'1n ,,,fo. ùlt •n 1. 1 h1 n n d •11 ., hn:i:tJ.t'P. l1••tl11r: L. r irr e ,1, la 10111 n~. l~comodan/. "• li! rl'une f>('t~onnc ql! -'tlnl !OU> M S

'-apnc~.

fairt tin•e: Allt>r •Oir ... 1i quelqu'~ •OrU.

Pourquo i Pas ? 393

r .1/onmiatr11r: Un glouton l qui l.1 ml·disan.·c 11• aulf11

,lb11111cnl: l'n mor~. ·1r 'JllÎ a une i;a•tri!e. Am1lu: Lr. dt\1•m•mcn1 d ... a.ulrl-S. {J<,•uf ,' l/11 (Ullll.IU qu1 a rtnnnre ;'1 pl;1ire. IJiuotni': l,a J.!•jufrcr J, l.1 di·\o1ion. fllma1<>!Jit. l.n d•·r 11 • dt< aa!N>. f ,,/foboratr11r1 • lt "' autrur?I 'I"' ont 1311 la m;·me ('lèc Jill IOlll lflll.

h 11tirf: lne Jiori'nl<• 1·li1ign&! de l'•·'luilé. Mari troni,.t. l'n entier dont la moit16 &c fait 11111ltiplier

.1r un t'en. Jl m~ur: ln lo1ll•l pour r~th!:n>, ail e• reto111.

h. PHLUPS CARR08 8 t."IE

o •AUTO M OalLti. DE L UXE :

123, ru• S•n•· Souc:I, Crux.-Tel. : 338,07

- f · m ' >U... d1ffén1a l" entre I·~ ciutma, Jtht> cl l'au_g1111•ntaffr1n J1~ fl'•S UppuÎnlMncnts '!

.\on'! l'oari : Au cincm.1. un \Oil tout. on n"cnt~rnl 1 irn ! Pour le rn1ho, on entend tout, on ne •oit rien ! Pour l'augmrntation de nos oppo111trmelll<, on "'' •oit

rien cl on n'l'nh•r111 rirn.

AMARYLLIS PARFUM DE LUBIN

Petite scène bruxelloise

I', 1 113rJll a\01r un peu ~hu.<c dts 11011 du ' 1.r. , ~n Ï\C p 111LI ment â l'fClldl'<' 11ln• ,. ~ur l.1 pl .. 1c--fo1 mr 1lu lr~ul1\\ n 11" ~ 111,,.....I. lt .1 l'a"' •le ,·,. trou'"' [,., t m:.1. 1·~1 il 1.1111,%' oie telle fo~on que l fl'<"('\Mlr 1'111ute â d.:.,c m1rt. 1 ... 1•QCh~rJ t)(t ' ut ri• n i '' 1r. •i btt'll que l'on o rceour.; A 1'11g-...nt de •en 1er 1·0~1" <Ur 1 lrollo1r 1l'•'fl !der. U na« de procc<-\ rbal. ~ •111id:1111 rù \1\r111..: rnhn, ,111 gratul c1111l.;t·UH'nl 1l1 'li \O~ü· pur<. \lais 11 .11nit "'" 101 c, J, 'l""l.1111. Confort lokmrnl 111•1Jil1e conll'<' 1111 n~ 1~1 • i 1 nll<'n 1 le :.:; sunnnl. • I '' h11.c.i d:tl\t • rr•". 11 <(• \ance J'un 01r ;me.si d hhc-r q11c le lui l"'m et wu d.\I. l(Jt; nu rnomcnt d 1Mnh r, 11 1t·cult' ,rlton i'UI : t1 n~1k 1l11 1• n~n:ur, il 01pen;oit sur la plak formt' u11 D!?tnl J1' polu·~.

• \1101111, r,"' 1 1111 cour•gc ' P 1111 ~ reci'\<tll' en nant. n 1'3!;"111, I· pnn. ~ l 1 dunn. un Cilllp de ma I"<:·

"'1.r lep !. d à 1110111 r • o ... rlru' qu<'l cH 11! mr1llcur ag•nl ? n, <e Ù•"113Dd•

un epe<:IS!Pur qu1 a ~'iHê aux <kux n.et1~ de f• Ile pellt~ •omé<!i<>.

Autre scène bruxelloise

l'I ~ f I 1nt t. r~ du l/ltrop•Jfr : lladamc l.1 lo.uonnc promene .on toutou . Tout a ruop,

111 l ni~e se l1•111I: \l.1il,11nc \,{' rl'luutuc d 'tOÜ .1:or qui, 1'111 C·lxmtant sur les p.lll\l' Je dernl·11•. la qur-u~ <'11 tron.(lelt<.•, prc:mJ une position qui ~ la ~ ~ p1 ... J,, douk"l5 sur ses intention~. l;or 1•1et11>! Aur plate, fait «i! • rlfms ..•

lla1lamr la Laronn<', M !!('niant J,1115 un., 1•0 111on plul•'ot ridiculr, imile .l:or: «.Illon•, l;or, 1·iens ! •cl IÎ.r11 111ol"mm1·11t gur l.1 < hnlnrllr.

Sunirnt un hlje : . " ~I~ ! li d:unr .. t'"l pas d., c.. et\t..-là qo'il laot

IHtr •..• •

818LIOORA~H tE NATIONALE ET I NTEANATIOHALC

Les Livres de la Semaine \ 1 ·nt. dt p &1tn •

L \ li \llE $0:\)1[ ~oanl IDdkatur de fbon.tre dts t ht:mill) dt fer

LES VFPRE S t.Oli\ \ "ilSTES Jt-.':cit hlt torlqut d'uo ' Pltode de la ftuerre oêtrl•"do belge

au d t ba t du X X •l~de

ti 180liLE1TE Bullt lln miftorolo~lque du prtnlt mps dt 1934

L \ V \!.St LIES Cii\ 'iGES '"' I• lute Loflltplètt et •olntSiUlt cln baa<ii•U allcmallda

Larout par 'atte de li ha••'« d• franc

KNOCI< \CTll.\ CTIO~S OO

0:-0. .UT i>P 1 .\R<a:xr \{; \l.UUJS [ tadc: r11c"nnfe d'• nc: c: ' pfoft'alion dt thUtrt i 8 r•xtUtJ

en l'an de grite t92t

t. ~ S[ \I \l'i E D \:\\TOLE

LE PT.l'S OF.At: (Il 1r1 rRF' Dt Uib"T< IRF. DE rn.\XtF'

Num Ero Jubllalre 1\-t C 11 col1aboratlo11 de tons ln fcrhalns Jt l•n~ae française

Annonces et enseignes lumineuses

'fl'('('C'f'Ït• ('J1 J S J't~ h lni !

.\U ·~ou· llE G \>{'00:-0."l! ?1?

.\ccc>,oir·~ pholo;.r pl11'1"'"· l!Ji~6n Gei-•ai·rt, Dt0ue :

1.u ~ Ougr• c :

Prt'"ct le bouton ~OU) flÜOUI Jt rute

J\l::OU,. trtorc d u '\alon 1k Oc.gustation ,(,

Cllr \1[ GI \CtE ~ \l'-0:\' ~I

ispc.,bht<• pour ~Ck.d tt lu..11ac1> [ .. , ll.a.~·11 toii.hnuo ltz.•lcmcut la comfllCrt:ô de •itt>ic. d.

vr.1x11•: L'OXGt.L~t: Ot-1~ a nt tnru:Urë ÙM uoe plxo ~ll~na.nt • I.\ maüon1

i:am!o...~ poUl' b orcvna~ <rt dhrcmmé :: « \ b: Pc.t11t ttaUt Oagrtt•ae •·

la d1mt.1 (M."QVellt l-tre ce~ d., uouver lOOJOurs d. a.n c.11.S ou do l'•ulro do h ru..n:lw>diso lr•l<h<1. O.-• ....n. da coalorl. ~ ... • mod....,. ~ ,,......,. i-o à~ .. d"it<e hwoommod~ - lazs achat..

3!H Fcur ,:zu.oi Fo.s ?

LA VIE POLITIQUE

(V"' Io_,.,. '8P P 1Jo14, 11, 1~ ~ IP13. '· ... 111 b ... '"~' .1s ... 2 hl'• ..... 7.1•.21 •• a,.., c 4~1924.

T• a1 111111 /.a Chambre, 6 l,f ,nard, tu as 011ist1 4 unt 11'a11 t (J1ll IV as U• 1/r1 ar>ll Il dL.11.ptlleT 10n$ tvmprendre. un mat 111• 1 quo r Ir•. lzptro?U n hnt qM'un dipvl~ r "' a o ml1" un 1cvmCJ!u10 connu 1lan• la mtu· on ait pu Il: [a1r1 1• nllrtr dwr 1., 1al/~ drs pa1 ptri/111

ri qut lu ai<1 pu toir quelqu<1-un1 dt1 prtm'"' rlil't de Io pvc• dam Io f r 1/ ari1 d 1 coul1 in.

Jl.rintrnon1 lu oudrau !' r ir un t·tu p/111 dair. • /',1 1ommt, 1r c/11-lu. lr8 fihîlott;p/u.s aJ/1u1mr1 'I"' nt \'tll· ' Ill ritm co ùib-tr qut dw po nt dt t U< dt ·'" u• nnt ~ •• pril•ndrt Û' nlrairr, la r p •'•q•• aun ptvf

1 tr qui /•it le mtt'tlr oppara't1 r ion raracthc. So1u 1/out' '" /1 montri l·• llt pli$ iou.r un 11tr h•au l"ur, m ·11 /le le monlrt 10111 un rour 1. fi, pu1 que matn!en:mt,

111 lcs pt ln • n t I n'ont nrn à rr ,,. r.Xhrr lei uni auz <111lrtt •·

7 u œ r 111 n, I nar1l, 1 ''°'" al10tu t ag r tfal', er w laruenu. lu rr Ir, m bon B Jar que IV r1, la poli

qut franrtnsf 1 a 1 u10 r 1n•erc1 • Il te 1era11 1an1

utt rrè11/ilagrroblr, ""'" rrmps drltctin11. 1111 dr ""' Ill toi 1116 rfrm t apprtt1rr lès prrjorman c1 dt 1r1 dida1.1 mais t'a 1 ant dt •a trt 1m tre 1Ympa·

1t pour 11 Fran r, lu aJ d•s opin 0111 poltllqut1 chr-: ' con1t11~ lu '" au ,,, clu·1 tni . • Il JI a qu.c/qur •·inot· 'I Q1U I• CU éte drt~f s d li et n tJI 101. c tJI do c pù<J. Tu 01 v qu qurs plntri 1 r lt martyr dt

r du /11ablr rt tu CU dttt Il I' 1/1 1 lta:y rt fr funrslt /ont'! llm'1J commt Ja tra!lrtt dr tli dll't • 1 pri1rot, I~ /' \ •100 F an ou f<fo\T • Tu dt:mandrs d 1

• dr p<>/11 qat rt f. rntr u rt ér ph1/nsanh1 itiqut à M1J11rras, 1 mom1 'l"' Io venr P"• 1/111e ri ra· oit de Rol•t7t dt lo• m./ n t'ait tduit lus11, quand '' arr.ri à Pan Ir tl'O'lf lu lrè 11 covrant du fr· u1 du jeu. Or. dll qu~ tu """' m1 le pied r1 la Ch!lrn

I'. /tJ ron lol,.ras qur lu 11'n romprt'nrft pfur nrn. ???

Quand un Françao1 .1 111 C rue/lu tl l11an1 lu jouruz dt /; u.ttl/<1 ttul u 1nrllrr au co11ran1 dr n(Jf qur

r1llf'I. portirul1t r11t1rn1 "1~ 1 otrr qurrrtle d1• lan911cz, 11ou <01" 'Dl~•u 1 qu 1/ c n tfmrn 111 d1//1'1lt d lr1 lui up qurr. f" r •t rr TOllrtr da111 a rlldalt, 11 /ncl fiat r g1and1 ou nu m nr y mnrr /ongtrmp ûc11. ne ln1n. la /J<rf1ti'1Ut fron~Olrf parl'fl / I I .t1 p/ • dr0tl <Mire :;a·llht. ""'a.li 11'$ "'1!lrr rtJ1"blutnnJ. rtac110~.

Ul.r• conlrt :l :motrates. Dt prl1 en roit to•I dt ru qu'dlr rst aum compliqult que ln nôlrc.

Dan1 1oul<1 lu tillt1 du Jlidi. dit qurlqut pari l'i ll1lfr, Il 11 a un cercle 1/publ1rain qui ut royali1tr et cercle 1ocialiltt qui rst rtpubl1cam. 101lu la prcm · cau11 rl'tn-<"r: u11r sorlt de diNlfor,, rl•1 mol•; l<1 mo •11 frana. 1i>nl lou1oura <n po/11 qtl< du moin11 pl a:ancl1 que lr.s idtu. Jlois il y rn a une autre qui 1 rapprtJCht tl qui m d<prnd. c'CJ/ lt mcn1angt 1ft1 f 11,u/,1. mcniongt qui n•o plU l1raucoup 1f1mp'Jrlintr r-lau, parrt qut IOlll lt mondt ni au murant mau rommtnte IOUJUUTS JAr fromprT robônT11CJJr ltrangcr.

~i tu t.tamrnrs l'hi•to1rr parlr mentairt d'une rire ui·iption qutlronqu' (l'aris '' 1<1 grandt1 r:illr1 t'~ lit ) lu ~trrQJ qut. dq>UIS rr.zll/ertCt dt /a répu6f qMt ~mt parjoi1 1ou1 il m1 rrc, tllt1 "'11 cuujours IU rcpr sr:nlff'I par /tt mlmu nnm,,. • .tinm1 p11r J,. uu'mt pari fr pb r dr Il fniilaiu qui lta11, lui Ulllll. tUpul~ tU JI mcr1, /vl minUIT', con1trNll'llr du trmpi dt c fort! '"""' b; son {111 r.r-l'aral• 1111.: 11ruz dt tou~ corn me le t! U:f1!J"fJUr inll!Jral, t'1Jnur11 fr nontrau ( at;lma !

lt ('(IS Car!luuz "' tuu~ 1pt"'''· -par<t qu chr: < <Ondamnê dt la 1/aur' rour. cr qui ,fon11nt. C•'ll lt des: de ~t111ra11u .fr (!1~1uncrntic qui a [oit unn<lolt 11 q11 sa crut,. a r«jl'/é. mau. mo11t1 ctl t:Ïrtut:lliln.t'tl parlitw litrr , 1/ 1t rlpètt trl1 rottrtnl l.c1 p/11pDrl dei cirr •cr1pt1nn1 rumlrs ttc Françt 1on1 Io ll(/t dt certaine fr.millts bnurqtr.iie.; qu•, s.Ju• 1, régi111r d• la monnrchi cfe Juillr1 ''" "'' mr .sou1 la Rt111urit1on, u 1c,n1 tranqu•'· lrmrnl inttalllt1 dtt111 lt1 bitnl tl 1" liluation tocia' dt1 [amillrs nnl•l•s ruin r1 ri dcpos1,dlt1 ri 9111 ont r m. pli Ir mlmt olim•, rtlrourant lu mln" • /1111/clr. O!fdlll 1 mhnt 1n1r•t1 Il ttrr rn bon 1ermt nu /, porrrotr. f t.s /;:millrt _ont ctt monnrchutr1 111111 qu'il !1 a <>< un roi, t 11!1partutt1 """ rF.mpirt, tl/r1 ont /ondt la Rr1wbl1qt1' con.rrrrn1rirt, niait tltr.c sonl 1lf'fen'<tl radir:nlt.1 quand la rlpubl•qut tll dtHnUt radicok Qu'il ~ ail drma111 un rlgimr 1ocialu1t c;u1 drrrt, d!r uront 1or11fülf•. fo fond. lrurs op111io111 n'ourr.nt rh011gé ot rirn; tllr..1 onl fié, r/lr1 tQnt d clfrt 1(To111 1ou1our1 ron rrtatriu1. 11taÎI IG":'fnl Il lll<llrt 011 !Jofl du zo•r ro adoptant la phrat/&/ogi~ Il la modt. Il n' a qur 1'1 nol/1 •[Ill no1rot qur Ir• mols rmt "1 mbnr xig11ific111011 dam lt d:r1ionn.li1t p<>li· 1iqut qut Jmu lt d1Cl1onna1rc de tout Je 1 ona.i

111

On dit btouroup de m.:il dt la Chambrt. Ctllt qui uirnt '' 1 tll alltr ttl <'trlllft 1ou1 lt poidt du cirro1Utnnct1 C/t,llumtlfl qu"unt fJTUlt of/llÏ<Llt col/rclll)llllt cl (usogt d,, fluttwrJ: cr/Ir qui lut 1urcU.ra nt ttra prit mitu.r Î"!fft, MUt rn t~mmrs c<Ttnint. MMù r du n•9i111c par· frmtntairr nt, a•i11tmfliui. ulll turtr d• nlru11tt a1L11i b1tn /'('ur 111 !J<nt q•1 prrnntnl /'atlltrdt âhommti pra. 11~ur1 qur pOllr "-..r q•i "' ruw91urnt p114 Jt t• ·,, fi1r rt 1l 1dlolo!f"''.

() tcanrlnlr 1 0 funnlt rfgimr porfrmtntairt J 0 lt ui/.1ir1 Ï"" oil lnur lrs dh 10nt pipt• J 0 paui'Te pt"iplt tttr· 11t//tmcnl lrompl par r """"~ou bf'1'!J· n ! d•ra Ir J• .• nt aMrthirlr nnlf o• lt ntuz p<1mphlltnirt rottblard. l'aine rol~rt. Ct rt'91mf, si 1ou1 Ir mondr Ir 11UJu1li1 1·n !frr>S au n~m drs printiprs, tout Ir mtmrlr y tlt attnrM r11 d!tail au nom rlt1 intlrft1. Ltt diri9ran1 • pnrrr quils dirigtnl tl te partngrnt l'auittk O!l bt'urrc, li... di,.; /; pm-rr qar quand il 1'n!fÎI h /t'urt pflit1 inllrt11 pnrh• lit•<, il$ 1a 1•tnl trl1 birn fairt mnrt lirr le11r1 rliriqranl•. Sot<• lt rl-9i111t du 1rn11i11 d'arr11ndiurmnit 1111 rltoa11 t/Ut ln prinrtpolr /cntrl1~n du dt1111t~ /lait dt /aire lu co'"''' dt 8'! lltc1tur1 tl d• /fur ôbfr11ir dt• ptUu-dro11S. On a (TU

faire Cf&Ur tr uando/r rn inwtwint /~ scrutin dt lislt rt la rtprt'unlalion propôrl1011nellr; Ira mœuri, une Joi• dt 111111, ont llJ p/111 /orr1< qut 1-. Îllflltutions ri lts inthlls loemir (t<>uiouri ruuf dant lt1 !lf"andri ti/lr• contimirnt à dominrr lôutt: la IMtte ;1,.r-~,.rnlt.

Il rst rrai qur 1kpu11 qlltlqur tt1n11, fr.; 1m'bt11du po/lliqur1 dt "' famillt• bourgrnun 1on1 parfoi1 mmadrs 1•~r drt 110111•touz 1•rn111, ir""" /<Jup1 dont ln rlrnt1 1on1 1ingu/1trrmntl /,.ngut1; mai1 ce tt'r1t pas la prtmitrt foi qut. rttlt inra1inn d'' ""urrllcs «"fJU'hU tif'nl mtllrt tn plril ltt 11tunt1mu acqu1st1. Lt t·iru.r prr.<011ntl fo•t leur 1•larr aur 11/111 rombnt1{1, rr11r:-ri smlt hiflllllt /ri prcmirr1 d rlr/tndrr la ritill< ntadrll• rt cria rontinur.

On at:t111 dit qur llJ flllt'rrt 1111rait tout rtnout'tli, tout auoinll. 1 lit n'a ribl rcMurtlt du t"ut. Lt• ro111b21tnntJ Ml rnroyt, à Paris. /11 t.:hambre q1.Î 1 icnt de t'ni allrr. ln ( liambrr c /.lw hor1:1111 •· l t t'irur ptr101111r/ ~tait rn partit rrmplatt d'autant plur qu'un rtrt,Jin 11oml•rt dt thtf1 dt fil,, diridbrurit hon d'u1a9r, """''"! fUUtt par ra11lt dr Jlo/mai1on. On 1°attt11da11 <1 unr oritnt~rion no"· t•rllr, ri 1111r n•f .. rmt pr<>/ondr tir la ririllr matl11nr pnrlt· notnf,1irr, I• b/nr national, 11arti clr I·• p11trit. al/nit rn{i11 mrttu fin au rlqimt dt1 pa1!i1, tovt allai1 ltrt thangi. Vn n"11 nrn rhan9, dv tout tt cr1 nnureau 1/01 qui ni-aitnl parU dt 11t11'>11'" ln le1zrit1 â.lu!fÏa.r tt 1ont nnprt«l• rf'allrr drmnnrlrr lwmhlrmrnt. birn q•1' rit ' uurraÎ,:r 9rdcr1 dn eon•"'"' auz 01ttitns c c;.u.r pt>urris du rt'!Jimt ~ .••

S'm pr,, .. 1,. ou •«gtmr Jrs parfit tn F'ra11,r, r'1$1 "' rl/tt 1'm prrndrr à qut/qur clrort 1fu.rri•tnnt, I t rt9i111r dr1 r.nrlu ..... 1 ., ..... ,. ap11arr11tr. pnrrc qu'il,,., a '''"' dt parltr: da111 lrs rircon 11ptw111 11 1."u a plw, que dt• 1 ntrrirt rt 11'1 inttrtll; 11 la flrnm/,rt, ,.,,/ auz dtllI rz l1hriiU1 dr fa umltllt. p111nu c,uz qm t1ult11l clbnohr Io b<iutiquc. lt1 ro!1uli11r1 et ltt rommunislct. il n'y a plus q•t dts r/nnr. ,1.,111, dn-tnir c/,ef dt dan, t'rst, njovr· d'hui, (ambittOll dt U;ul p11r/tmt11la1rt, mlmt dt CtlU l/VI

w1t Ir;: idtrt 11 n~ '' tont~ntnn.t pn.r dt fnirt •ne tarn Tt 1 uk11t /11irr qu<lquc dtoJ<, Quanti 011 1t"a pal dt clan, 011 n'r t qi1"un i oli son• mflurn<r.

1kml fant1rnnt C.ht:mbrt. il v orall lt e/<111 8ri r.d, fr r/an l.Durhtttr. 11 dara Tardieu ltandd le tian loincari. Ir Io" lfl"Ta t·l'.11111 .t; al UI pMhnl•I' •JU" dJru la no•· 1 Il,. fhambrt rit' ,,. rr/rrnn;·ront et .:ontlnutrunt ti ma· n rTrt' ln "' c '' 11 rJ / r de (ou mbUt. l'rr1annr n'11 fr hœr,,e t"'11 d /att 111 a ~"" qulqve• prrsonnaliu1 in·

dfytndtmttt qui ~ont d'un clan d foutre, comme JI , Barthou, mai1 tttLc indfymdanu cll 1MI nu et pa•1t ailtnatnt pour de la lrallrue.

El cr1 clans 1t. combartntt, 6tnroadrn,, st '"'11tfrnne-nt, lt 1tparrnt 1don /ri eirronstnnctl. Cirtomt<ltletl purt-11.-nt porlrmrntoirtt tt qui itl1u1•p<nl au wl9airt. l..1 constitution du no111·rau cabintl /'oincarê dans lcqud Ir 1irbid"!t da con1t1l ai:ait fatt OJ•ptlcr plUJicurs tk 1t1 ndt·er1airr.1 a semb/, parodozn/r; tilt 11e /'itmt pas pour truz qui ttairnt au "''umnt <lt la poliliqu• drs tians. Cite ne [aila1t que ron1acrtr fmJlu.enct g•anJiwrnu du don l.01llh•ur ri "'"~ ri~ .. !0111.'airl q•1 pan! u /ormcr 011 ~innl.

Tu conruit, 6 Uo11a,.d, que 1!.1111 rts cireo111fm1tt• il &oil eue: difficile de .<'y rccon1111ltrr. Conrmtt··toi de, lirr l'artirle q1.- Uon Oaudtl a publil dont lrs Œu>res hbrM tur la Chnmbre Mllarc1le dll 1G noumbrt, il tSI ~iourdù«ml dt 1rrrt tt. 1ommt to•ll. piu ll'OJl 111jutt; depuù l/ll'i/ est dlputi, le ft"rriblc pamphlritllirc ,._,, humani:t. Tu pt11Z hnrdit11ent tr {irr ù u• apprltiirt'nn• 1ur la plt1-parl de srs colkgur1. Il a quclqutt Utrt dt Turc tomm< r.riantl. ro~trl qui il t1I dlliblrtmtnt iniv•lt rr~1r, rn gtntral, il a, comme la"-f lei Frunrai.r. mtmt parltmen· taira, Ir !Ji>dt d>1 t 1lrnt, /'lui ' ç; Ir parltmrnt fra11rai• ut pour lt moins m11si hrouillon tt nusri inrahlrtnt que les autrtl, il y o qurlque ch1>sr qui lt 1nurr, c'u: Ir 1nltnl. ()an1 la Chambre la plu• midiocrt, il r 4 fo•j~uu ru btaueoup de l.i/tnts.

Damr J Son9t, 6 l.lonnrd, qui 1i la sélection qui amine au Palnit llm1rhrm fr:-: rin'1 ou sir rrnls Frnnrnif, oplrt t9' rn11on 1nttr1t de ln morali:I, rllt {aroruc, au conlralft, 1ingulih'rmrrot /a combatwitl. fin'rlli~rn<t poli..>;qv, , l"tloqnentt, le ta/r11t, rn(in. l'a r arriitr 4 t:rt 11mplc d•'ptrf~. rhn< "" ,fr cri /1m111rab/u q dû eo111 ''""ecr par ic•atrr qua111i1t Jr rir~uz; pour tl11•rnfr qurlqur tht>$t da111 ton tian, il a dû ..,, itrunqlrr lfautrfl, hui, /,1 plup01'1 dt eu po/"11titns (rai fa'-1· mlm• ltt di.rttt!I, tônl. rn gl11iral, de bim rurieur tpi· imtni dt ranimai humain. <."rAt er q11i rlnnnt d fo t'le pol111qu< franraiu rtt attrait, peut-Nrc malsain, mniJ 1in911/1~rrmrnt grison• ri ""'("d nul n. tthappt. Tu r., tl"I •i, Uonard rivt qve d"cntr aurnr la P'

LES CIMETIÈRES Quelque /tndm t {dt u iras ""

•metiètt, lionard. \o ' ne ar "' J> 11 c t de lrh bonne hn•lnc phy 1qur 011 moralt. rn IQ!lt coi, le lmd .... 111<1on dt [dt arec /'arrih'e-goQI qu' il I< lai lt tn 6ouc/1e, te prlparc cl rcmdrht'r lt1 prn•~tt amirrs qui, par <'On· tr te, lt rendront 11•uilt p/u1 t re b 1att'Mr dr la tfr.

Le t1n tt u. i Pa • • '1• (tt '1"'. 1/ 1'impott 1/ 1'cra/c "' p' ittc 1//~. i1 t 1 th Irai, tan / s / 'lt:lisitt drs r111:rl1irrs 11altr11S: il IÏ'.:llt p/q$ d place qu't'n n'irnpor!t qurl/r a lft !Jnmdc ri/le du monJc. la marc ttl, ici, {orl t:nraJ1111antc.

396 Four,:zuol Pas ?

Il u /aut r111wcincr un 1" u. Tu uu1111 pu co11&taltr, comm~, à Lo11dru. un tnfrrnnu11t rit tite t•zpt'rl1e, romm, lt ,,,.,.,/ ~ tsl rt lrtint. Ül·t' 1rn 119ne d• l•onrit ""u• <k ( .. ,, • :uuon ruai. ' li /iltldrau rolT.

ke mordt odnnt t•I han•I par ridtr dt la mort, l,a tin dt la tf"1l•ru 9u1'77( - il 1'51 t rai qtJ" Ir mll$SU<"TC

i•1t uuptionnrl - /'a bi"" Jimontri. Jad1S, /'alll9rr1u ,1, la ritloi · r /a11ait ou 1 /lrr 1outrt /tl 1011ffranrt1 • on ,,:evroil ''' inorts en .rttrtl, maù lt> r(lyow.mt' tu111 '" 1~i'. DtrouUdt, quit 1 du uru.r ltmp., 6lcrir:

En "' J.nl ! Î"'1l pas pOtJr qua tornt:.e: La muri n•est ritn ~ \ive la lom1"\

Quond le p~•$ en sort "'ar11 • L~ h·1b11udu aNitnt ,011 mau:t a rh nqëT ap1·;s l':n.

1S~I. une d la u, il nt 1ro1, qui proroqua ~ne tr11tr /lorauon dt manumtnt~ au.r moru. Jl~u I~ !JU•rrt dt l~l/t-191/:i tut pour conc/u11an tlfl fu11rra11/•1 1a111 irn. l.r rrlnur triomp/1111 dt1 tro11pr1 ri /tur pauu9r tout I' \rc-<lrfriompht, ttrimon1t bdtltt a bouscult< par fltmm

rtau, /ut tl ~'' pre1 rat • U qui marqua. cc qui dura. c"tst fcnlcrr<mmr du f• 1/u 111nnnu; , , qut lm1'111, r'r11 ln Tombt ou /~u 1mmortrl tl ttrs qui 11rnnmt, 1/r rartout, ptrorer lts p.r1m1<1 tir la mort. l ne tom br, rn somme, Ut m111n~nant /, tœur. le unlrt dt Parir.

Qvr/ 6'moofr ! Cest fr.:a/fa11on la plus dcjimtitr dt rc nit' dc1 mort$ qui tient 10111 f'aruun. \Mlfr porl. ou nr sr dlcoaru attc plus dt r11ptc1 au pa 1a9r tfun cnltrrcmrnt ... ltt Romai114, .lit-011, se tltcou1ra1m1 drrant unt l'mlllt lTIUÎntt; la Tlt, auio11rdï<111. nu 1nlue /q mf>rl. 11i..·e un 119n; drs lrmps ?

Toat t<la, 1 ion:ud. d hui qu• la t<n •o•nmntt m jranrhissanl Ir 1ni/ d11 (!TIU!d tim,tih't parilirn, du /'h't/ af/1auc. tl lu romprr11drtn qur lit 1./191on de ln "'"rt - la dtm1h1 rrlraw11 pr11t·tlrr - tirnt rrttr nllt 1111/rm/ qu'tlle pru/ unir la titllt /'9yptr.

C' nt unt dt ttt nli111ons ù basr dr ttrrtur. oÏI on nt ~•tri fabjrt du cullc rsl odor~ ou har; 1i on fi11roqut ov 1 On lt 111011011. rou: <t ,,mcllèrc r I Ull f•Urt. Ull paU

'(llÎ tmzt /r1 11lu1 bt,IUJ' tfr 1ftlt nflt, tl n'•'tait (rncoml1r'-'11f"lll. n11ri:.f tant et tant 11'111111..ùs. < rfo 1i'$fl'1"11ll tJn J°nrdi11 pour ro11Î11"0/$ tl pour potlr• ... Jlais /11 10111 trop, our. ira1mr11t lrop; si on n'arart md19•l lrur rm l.i r' "''· lis 1Ubordrraitnt Ir mur, 1/1 inonderaitnl la tille.

1 u dt forn, .run.- da aulrts colli11cs "" tfu Jia111 .r1111r tour, « cimtli~rt du /'ire-1.acharsr '"'' étendu , ommc un topi. ur la collint dt 11'11; ri /011 la (<lr/,, somhr d'•n boi• 1 db.rrs< 1 pile mile dt srs mnrbr,.. tl dt 1t

latutS 111r Io 11Ut. Tu gt\ll1rlll fallc, nntrak •.. Trù th•dtralt, air.·, de

1/ra1t~ f!t tir guurlu. dt J mHn8 'fut t1J /if. que tu ft~ 11ruz 1•11.r _lire, rt qui hoqu1111 111 toi lrs plut 1n1frrssa1111 ~.,,.. l'tnir1. Tu tQlltôurncras - - obstruant raller - I• 111011U•

tnt aau mort!, dr F.ar1/1olomi. 1 ·ar ,f, la tr<1 noble culpturr aUigonq • rt l11ttrmrr. On (adn11r-.a11 daia11-19e ri un autrt 1~onum11tt dll71s f, 1 ;ardi1u du /.ourrt".

m.onumrnt ~rft':"'ll~r. ltllf•OS~. 71°Ql'1Jit, rfaulTe pari. rrrt/I. la m!di!Xrltl d omr clr 1 aut•ur. fi '" arrirrrnr /Ill" 1nmmrt, à 1111t Nllt rt l>ana/r <h1ptllr, 1ournlt t:tfi l'a· ru. la p<;rle <1t ou1ertr. I nrre. l:rnteruur "' toujour1

•du J, de1Jil. llalS rrtounir-toi, nd dr etllt a rrnt dr "'"' <I dt lar111r1, du fond dt rdtt gur11/r qui,

lirantc. attrntl1: tu terrai ln t11rc dt lu t 11/r, la ~a.•tr. 1 ur·t 'I • fumt tomm.t unr oflrrin,Jr tillr pird1 d11 di"" mn('tlhrr r,.à h man9,ra tOUf'!.

Ll rrllt. ltl tovr1, ltl dômes. fi 011 ddll, 1's '"Uina 1 fortt cr dr. mil1<v tfrl/r Ir prlzrr alrirn dt 14 ,,,.,; I •fl• 1. commr u~ échaJnut!a9t intnTompu, une rc'plrqut moderne dt fonhqat t'O/<mnr ov fllt hrit~; tl. par/oi., lo

tvur retirnt un prtit 11uage, commt un draptau dt trtpt . ., .\i tu a.• du guül pour lrs 9ran<lr1 aP"Slrophr Matoirtt,

.; Uonard, nwl/r pari tu nr tr1>ui·tra1 plu1 brllt octa1ao pour ,,. 1atu/ai" qwr c. lit chaptllt do Ptrc-1.afhniu. t lv Ir croir111 /'r9a/ de. /'ascal, drs ::inal,t pt U't, du h IVtl, 1•a11r aroir ri bien st11ti. du bord dr Io titè du mort<, /'absurde inamli dt /'a111ation du rirm1f~.

.lprèt ctla. 111 /ld,.rras tl tu aura1 wne autrr lmOlion • I• u di""; c liais ir conna:.1 t1>111 /r mowf<, lfÎ ••• • 0..1 """'' toi, Brlgt tfiducation irollfOIU, roiltl u ti,,.ttib ' dr /ami/Ir ... Tu at 1..u ·t pri • dt Vvsut. .. 1 oici let prc· mirrs li6tr.i de et j•irdin: Ui fontaine tt Jln/ih-r.

Oil qut lu rrgard• •. des """" fnmilierr Ir rttit111tcnt. J'en ritr au luuard: h;. pr;; lr1 uns dei aulrtt, roir1 ln'lrrs, Corot • . ;- I•, '"!7""· Daumier, Gull:rrt l>urt •

,\imu-lu Te th;.urr? Je nomme lat larro11. fo Ro11towrt, ln f>uchrsnoi'. :O.ar11/1 EJrrnhardt, lhja~I ...

On clioi<it, iet. oo hasard, dei nom1 dt 9tM dt thtâtre upri1 1lt1 110111.1 dt ptintru... Un po11rra11 pauer à 1,, 1eulptvr-, d fhùt1.1trt, à fart, tl la p/1i:os"1'h1t ... Il n'!f o rra:mtnt q•t Ir 1ourtnir dr1 po/1licm11 que lt /oi•srn•. llltt rornb•rn dr rauvn. indiffh'rnt, Et tu (aptrf"ll "°'"· liînt 111 N fronçau. en dchqrf rit la pofitiqur; tomb1en tu M, 1·n Froncr, 1r11ir11.: et dl' frirrs 1pirit1ult.

Tu pru.: /rapprr fri du pi,.f. UoMrd. tt quoi que pntsntt lr1 do•ti11Îrr1 t1 Il'$ miriutrt•, tu tr ici rhe: toi.

?'!?

Sr lu as pris gout u et <ln trtiss1 mr11t a.su: splci.al d11 ri111rfurr, lu ÎrlU i·oit lts dtu.r autrtl 9rand1 rimtlurt•. JlonlpotntUlt Ït no111n1, au htunrd: Rudt. /lu~ m~n , Gritr11. llrnri RrQ114ult, BauJrlairr, F.nrbtv tf hrttillg. /la11 il/•, fr. Copp". /.arous,c. v1ar Fran;~. rt Vo1tt murlrt lir rite 7.tlr-rntle: Rrnu11, Sarcry, .\l/rtd dt 1'1° gny. Ct>nt"ourt. /Jrr/io:, Zola. l/rilhar, (./inrcot, llenri lfrtnr/ •.. tout cr qui. d•p•Î; tjll' tu pt"8<1. a ouupé tn pcntte oo amUJé ton apnl .ur91t autour dt toi: lo•U '"n •duration. tout. ta .citnrt, ta /ttron dr unhr, tf'aimrr. dt l1air. fit lrt 1fo11 d ce• mm t • Tu pruz u promr-11rr m dr.w11. dr 1111rbr, en marbre • lfcrri ! »

le 1'11ri• t'Îrant 1/'nujourd'hui r1t /Mn mt'di<><rr à c611 tlu l'oru mort. Il •si mrahi par lu batdC!tr• : 1/ rrgarde arec in1tr;: son gui9nol dw f'a/oü-&urbo1t; ri nt parmi. tl /'i1ra119rr. quu11 monaü Ji,u, fr plus a11111Mnt mau· mir lic11 dr /'J::uropr; ri lu .ar11r1trs dfS barartf• Il tirnnlTlt toute la 11l111r /1b1c, dan; l"urr ri da11• /.a prntü ... l ni' ÎmmtnSI! JitUmir /t1raÎnr.. IHIWf/1' ftttmôsp/ifr~ •.. Q~f' pt'1'l-1l y aroir dr:rnrrf! t·d/I' paradr ~ ..• f.!ut Pan1 mort nt te rnr.dc pas intolrrabl• Pari1 r1ran1.

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Pcur::iuol Pas ? 397

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P~1r 'oir cl.na la tlWt Pot n.,!,.1, i... ito1l.s

Qû1 11t.llur1.ai1!1l' ltnl.è"mtnt, Et qui mir .. ·nt. d1\n1 lf'I ondes

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uceupat.M>z11. )(o?ue, le Mô!.rseill:!it", jure qu·a termiMta,. .a:vaut. la SOUflf", l~ colher de pttlc. comrntnc6 la \'eillt" t\. qu"il des. lJJJI" ~ uc•. ® ces d"-Inea de J:l, CroJ:x-liouge. On krit. On joue nu c ~t"S..

~~a C'hlu:.AeUt lit à \'OÙ: L.:.ct.e, dJ.m. uu juu.rr..AJ. la. rut.nique : c Comcil' do gottre >.

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- A propoa dd COD..\e.fu de pt-rre_, ttoukz.-moi. Tou. ke Yito.gea A tournent. \"et'I le 11t d'oO. aort ttU.e voix J ".:CU':'h•, comme Je.,. autres. l.o voix, ptu1 gra\'t', ttp~nd : • - Cc a se paac, 1ur'1que pa.a. 1ur le !ronL - Qrund? - ~~! Ccb :~po1te ~'1L ou• Sj \"OU& ·~t.e: j.lJD:iÙ

ruon lU!toa~, et si 1 ttre, homme ou f~mme à qui vous la cou· tt'n!Z de1011ode das pr(d.ùocs, ''Dl.1' r~pondtta timplemt-nt. que vous M·u ouLLlé .ï 111 dram• a•est déroulé au milieu des nb!ct ~ B lgiqu• ou au bord d,.,, roorkag," d<-s Fl>.n<lrt•; dam 1 .. t:o.ua,;l bttntu.r de. b S. m.:no ou da.ns 13 rouge. ••rgi1e df' !"Ar· t._,u; dans li c-r:ue de l;i Ch.:imp.:a.,1.0 poui!Jeue oo au fond dea eapiniùte na!."iyrides de 1' \ri;::onn<" ••

C"<•l quclqno pl>rt, rntr<> b mtr du Sord el J'Alu..,. Uno dt\·Ï.J.iou donl je ~irni'. le: numéro prdt! an Sl"f: tear dont

rien ne m 'arncht!r• 1 ... nom Mclf:urdu r~1mt'llt5 de la <ÎÏ\·i'saon h nt un des ounagea du:

\'"oui d1:"5.Un cClrin.ûtreo c;nd e-:t ce fi'îÎmeni et co~ttt o .;lé O..pt.e.~ ro-avraec? :\!iiu il dt •btolumtnt d,l:f~ndu de tt!~dur Cff chœe.;.J.à,

Da.na lts eft'ecbb de ce f't-~iment - eL je vt>ll5 l.&wd deviner d&n1 quel baUUllon, qwille <ompagnie. seclioo ou eecouadc • e.r. d':uUtDl"I, \"Out fonore.i li le r'z:ment dont 11 1'ag11 l"St un ttgiment. de ligne, de iouvn, de urailleurt, de b:tt' d'Af' da Jtgionnaîrt"fl, d~ t'Oloniau,i: ou de cavidiera démontks ... brd, d:ms lei' effe<:tift d~ celte anit~ ae trou.,·ai" un individ~ Et de cd U\di\"id.J, je ne vous- dJl"Al rien, sauf ceci c'l-t.a.it un liche

Entendez-œoi biw : il o'<!t&it pa• un ptureux, m.;. l&ch1. Phyaaqua:ment et- moralemer.t, nn l&che. $ai.5Îtsn·\Olla b D\Lf,DÇCf ()u.i, n'est-ce fUf

Peur! Nous avcb.J coos eu peur . .A qai le. niera, je '"'-pon dni c Ta mens, rieax frère! > Ou mieux, Je lui tépondr&i ; c Sou.; avon.i eu plu.a que peur! ~OUJl at"ons é1' P4i par w:ie 60rte. de ~mur .aa.crée. To me comprendra.a, Loi qui t'es égut, eu pat.ra~, ~L qu.i, aprèt a\·oir tetminé da.n.5 un boyau ahan· doa.aé_, t ·ea soudain t10uvê, en 1'!rrain dkouvert, comma. une ~pat'e, entre deux immenses çagua de J"ejpinitio.111 qai mon· tow.ent d$ ta. t-erre plein~ d'hommes, ans &a'VOÎl" li ta route it.1.it à d.tOÎte ou. à puche, en S\1411.t. ou en &rrière, &\"eugl' par l 1obec:aritê ... •

On ~ dœ moments d' pe.u.r. La peur vient. par cril.411. Cela se ll<>i~""· On s"oo 1;1>4rit. Il n'•n m pu ainsi de la lâcbet.f. La lâ4bcto ""t r:onsl.lnte. Gn !Oche ut liche de la pr<!lllÎm à b dernière heure du Jour. II .. , IJche mlmo pendant ... IOQi• •t cluo"" d"" ""t"" de .,. <rie t.t dmaluré par ce œal.

Toi Mait l'homme d01lt i• TOUi parle. t·ne nu.it, ~ dt!' Ne nuit, où, à cau.&e da. brouillard, de la

nei!,"1'1 dP. L" pluie oo du froid. une de ca nuits 11&.DS ftllil.lad&et ~;m._c, étoiles où r.e.n n·t.,.l â ~g~er sur la ligne .•• p.r a.ne dr.- ces noits lugubres, huii. hommta, da.u les clehe..aei di.ai· mal .i\:nt b f.ite, Clmle ~ la bretelle, ~ ~ p1oche tu.r •'tip:1.ule., ~wpol~nère.nt ft- l~h~. Et lt chef de eu huiL hommes lui dit. : • Prend1 t.on Oin~ot, tel ootils, e'. viens! • D n'y avait. qo"à oLftr. On .. nu• en mJUçht- .Au bout de ringt llÛDDtel, uo ordre : c Hn.lt.e ! •. Et c~lui qui a,•ait ordonné : c Hal~ ! • .ljoot..a t-u $·adr$$.."-"U.lt au li.che : c. Tu C.OUl l&l.iJ:. Tu noua dé ... i;oùl... Tu c. d>ng•re= Tu u lait le malheur de deux 011

trofa bons ga.n. c·eat.. M$H ! Nous t'avo111 joJlé. T12 el COD cb.mnû à mort. >

Il ~\".Ut été dtcidè qu'il creu.aerait. lu.i·m~me sa foue. ?4&iJ on y rt'nonça.

Par contre, b ttn~ la.L ~xkutée. Qu~nd 1 .. hait hommes re.-inrvtt, 1 1-.ube, il• dirent qo'ilo

ignoraient. ce qu•était del·e-nu leur cama.rade. Cn c premi~rc c~e .11 hasarda : c Peot..êlre pa..sé 1 l"c ..

nl'mi! • t.. .apit•ioo hocha lai.ôte: c n- ce -1~? Pu uoe telle

uuil! S<"Ul? ~on 1 TI e.l t.top !lche! > Il lot portf c dù.p:oni >. Bon dt~bana.s !

Ce fut Jd. &On on.i.soo iollitbre .••

??? L'homnte qui .. ,a..iL f.;ait. ca rt!ci1. ava.it ~a.hi deux t.rt:pa.u&tioas..

.To.aqu·3.lon, le. Q.Oecdota êtnnt;es qu"û débiUit. u a"\·a.it. eu d"11ucre œ ... ulb.t que de lui nloir l'attention des majon tt d'at· Wudtir •N cama.i'3d-. ~W. quand il eut ttrati:i~ 6011 hisloize, Pacliaquant pro\A:lt. : - ~fon bra.,~ Italliès, il t'-'iL un veu Corl de café, ton boa.Une.nt.. La salle eoliilre pArtagea .,., ''"'"· Oui, la ...Ua <Dliora, aauf

,J~ux IAACar-.s basa.na : rem.arqu.:ibl~. t•an par se. t.atoua~t; l'autre par 1~ nombre d'agrafea qui ba.rnûeot. le Nban de u mchl.Ulle œlou.i.a.I ..... ; ~li tou.s dcu, P3J' leurs c:icatri~

lfouth! ll'ur demanda : - Vra.i, 'l:utu cr'1ye.z ces horteW'S pouiblei! D.s h:.[>( udireut. : - Pourquoi pa.a ! et. 8M·au1®rwt ,·ers U.illhu. n donnait. Ja1 couvut.uru plus haut. q\lfo lea ytux, comme

cela lui am\•ait toujoun aprb le mowd~ effort. Le lt udun:Un, on l'inter-nait dJna une maiton de u.nht. Je

no 1·..; plus f"I\"·

:\hintenant, h"bre ù vowi de PfaD.MI' que cdte hb:toâre a été [n,·•ntée p~r ln cernllb dôMquibbr& de DolUO...

)..I:ùs si ~ou.s o,·iez va. l'eoxpr61.aion det deox lucan, si •o" &'\1c;i: enl<'ndu l'accent farouche de leur• Pourquoi pas'•, \!0\l" :t.u.rin, comme. moL la Nrtitude d'avoir ('OJUJU dau.x j1.111icitu

Albtrl Erl .. dt.

Pourquoi Fas? 31)\!

Bruxelles et la Poésie n~t~mps Io "''"' qui, J~ftUÎ• \fu~ .ct. cot.~nl tiÎ \Ulou ~ se t•oif!cr t!u lionm t de lhmi·Pinson. a 11cdo1g11•

xdlc.!< . On en dit que l.J 1113Jê1liction de BauJ>laitc 111• sur Mt ri• l>onn~ 1 il!<'. Il ètnll cntt'ndu qur- son ptlto· ue 5-alourcux n'datt ('M 1.oéhquc. \1. Koch11itzk1, qui l nom polonaic, qui ~1. rrO}'Oll5-llOUS: 1 d'ori~in<" ru&..~· ui fut quclqw du·se ""mmc IP mtntslr<' de< ,\lfatres ngèrr·- de d',\nnunrio - qu~nd crlui-ci élatl •'mJH:rc111 iume - a Mcou»ert la pokie de• pa1~s ~ llruxcllcs.

nons Mjà rtproduit une de •t-< CUgin /mutlhlùu. o 1oici une autre qui termine le 1i1re :

l ~TERIELR

Le .a~ bal mo1m vite à met umr-, I• lompo 1 approche 1 .. doiaoDL

J "~une la mm.quo tt I~ :ampes, jo& vo x '1t-Jll!" d.lM mi ma1~on. Ln valle ~t plttMI de tuurwurtt.

le lram f'lt un orgue ~mhume, h pl 1• a;1l"' lt·1 r11mu•• (lt J'ë~out~ ln >' ux ff'nnfs. Tnu, le.- c aouvrnlr• rie VQ)!liJe • d11n1 m.i m6moirn 1<.r.l tangit, comme •p~t un • gr:rnJ n<llO)'Agt

J1 {1.11 r·arlout un t'tran,tr.

Qutllo lnJI• Liopapluo 1

l~• chOHll SM m"onl pas -.igri s~ lu cana d11CJ le mr. ~nt.,

;o los Al o : ow: <t ll'Ut <u:I inii d lu tablnu:i de l®n 'ieux ma:!lru1

u b f~1 de lilPGn artÎSJ.hJ

t t ltttr '" f o11 de IO .oumtttre ... , J•lll:• p<Ulll&.

LM nu;igdi tn ., &bnch• croultnt •ut '.trcJ d ~ n!!l:100!. '"' tcn1p1 r•vproc.h~ I~ rloiM>ns, \ ~jonrd'hni cpi.n.tro nmrs t'l Ût!mï<l1n quatre pl.lnd~s. l\rnnH,..s "tull" - ut1 promN1t.'Ur, trrnte on1 !a jeonru~ Ott 1 Ît'

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