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Routes des Alpes 2012
- Newsletter # 5 -Mai 2012
Chers Amis
Voici la suite des informations concernant le déroulement des
" Routes des Alpes 2012 "
En effet, jusqu'au départ de l'Epreuve, à Aix les Bains, à la fin du mois prochain, vous continuerez à être informés sur les ''News du Mois'', les réponses à vos questions et les ''Highlights du mois'' ...
N'hésitez donc pas à nous poser vos dernières questions en nous les postant sur notre boîte-mail :
Enfin, si vous n'aviez pas reçu nos ''Newsletter'' précédentes, # 1 de janvier, # 2 de février, # 3 de mars, ou # 4 d'avril,
n'hésitez pas à nous les réclamer.
Beaucoup de nouvelles à découvrir ce mois-ci :
- la liste définitive des 47 équipages engagés,- la répartition de ces 47 voitures dans les trois catégories d'âge retenues pour
l'élection (c'est le mot ''à la mode'' en ce moment !!) des ''Best of the Show''. - beaucoup de questions ce mois-ci : à propos de l'assistance,
du rassemblement le mardi soir à Aix les Bains à la veille du départ, du stationnement des voitures chaque soir d'étape, etc …
Et puis, nous faisons le point sur l'avancée des travaux des autos en cours de restauration pour ces ''Routes des Alpes 2012 ...
Les news du mois
Voici, la liste définitive des engagés, dans l'ordre alphabétique des autos (en bleu les engagés de toute dernière minute de début avril) :
AC Bristol Ace 1959 Frank & Geneviève Levotre : Président Groupe de Distribution Auto. / Lyon.
AC Cobra 428 1966 Alain Bouldouyre & Marusha : Créateur et Dessinateur Automobile / Paris.
Alfa Romeo 1900 CSS Touring 1954 Didier & Nadine Moreau : Neuropsychiatre / Lyon.
Alfa Romeo Giulia Spider 1964 Jean-Louis & François Blanc : Directeur Commercial du Groupe GDF-Suez / Parid.
Aston Martin Vantage S Coupé 1972 Gilbert Ducros : Jeune Retraité Actif / Annecy.
Aston Martin Vantage S Roadster 2012 Robert Gentilini & Marie-Josée : Retraité / Lyon.
Audi R8 GT Sport 2012 Olivier & Dorian Frias : Chairman CAE-Group / Genève.
Austin Healey 3000 BN7 1960 Patrice Palayer, Yves Bismuth : Jeune Retraité, Avocat / Lyon.
Cadillac Coupé type 61 1951 Fenouil & Puce : Grand Aventurier, ancien Pilote officiel Moto en Rallye-Raid. Organisateur de Rallyes (Dakar / Pharaons / Tunisie / Mille & une nuits), Journaliste...
Chevrolet Corvette 2005 Diégo & Domi. di Caro : Franchiseur Restaurants Italiens / Grenoble.
Citroën DS21 1966 Bob & Marie-France Neyret : Pilote Citroën (62-65) Team Manager / Grenoble
Citroën ID 20 1969 Sylvie & Adèle Bocquet : Grenoble.
Citroën SM V6 1972 Antoine & Arthur Raymond : Industriel / Grenoble.
Ferrari 512 TR 1992 Jean Marceaux : Président Société d'Ingénierie Industrielle / Grenoble.
Ferrari 599 GTB 2006 Patrick & Florence Chaix : Fonds Investissement Targa Capital / Versailles
Ferrari Superamerica 2006 Bernard & Françoise Teillaud : Exploitant Châteaux Ste Roseline et Châteaun des Demoiselles / Cannes.
Jaguar XK140 Cabriolet 1954 Brice Robert, Claude Rolle : Immobilier d'Entreprises / Lyon.
Jaguar XK150 Cabriolet 1959 Pierre-Gérard & Marielle Calvel : Chirurgien Stomatologiste / Lyon
Jaguar Type E 3.8 l. Cabriolet 1963 Antoine & Patricia Cau : Management Consulting / Genève
Jaguar Type E 4.2 l. Cabrio. 1969 Georges & Danielle Denuzière : Président Outilfrance / Lyon
Jaguar Type E 4.2 l. Cabriolet 1969 Xavier & Ghislaine Inguenaud : Jeune Retraité / Rennes.
Jaguar Type E V12 Cabriolet 1971 Alain Perrier, Jennifer : Architecte / Chambéry.
Jaguar Type E V12 Cabriolet 1972 Jérôme Rivière : ex-pilote professionnel en Rallye-raid (19 participations au Paris-Dakar) Fondateur de Novateam, agence événementielle automobile / Senlis.
Jaguar XK Cabriolet 2007 Patrick & Danielle Serbat : Architecte / St Raphaël.
Lamborghini Miura SV 1972 Frank & Margaux Trepsat : Chirurgien Plasticien / Genève.
Maserati Barchetta 350S 1958 Michel & Catherine Boutias : Préparateur Automobile / Grenoble
Mercedès SLK Roadster 2001 Berbadette Guyot & Laurence Fournier : Genève
MG A 1600 1960 Bernard & Catherine Momin : Ancien Président de Renault-Trucks UK / Lyon.
Porsche 356 A Cabriolet 1956 Olivier Ginon, Frank Honegger : Groupe GL Events / Lyon.
Porsche 914 / 6 1970 Stéphane Fournier : Obstétricien / Lyon.
Porsche 911 2.4 l. E 1972 Emmanuel Métais : Président Bureau d'études / Paris.
Porsche Carrera 2.7 RS 1973 Charles-Edouard & Denis Rambaud : P. à P. Cucinelli / Londres
Porsche 911 SC Targa 1979 Pierre-Yves & Sophie Deschamps : Radiologue / Lyon.
Porsche Turbo 3.3 l. 1984 Guy Fréquelin : Vice-Champion du monde des Rallyes 1981, Mana- ger Citroën-Sport de 1989 à 2007, 8 fois Champion du Monde des Constructeurs WRC / Montreux.
Porsche Carrera 3.2 Targa 1989 Yannick & Jacqueline Morizot : Directeur Circuit de Dijon / Dijon
Porsche Carrera 3.2 Cabrio 1989 Jacques, Chantal Andrevon, Promoteur Immobilier / Grenoble.
Porsche Speedster 3.2 1989 Bernard Maurin, Jean-Pierre Cambet : Jeunes Retraités / Lyon.
Porsche Speedster 3.2 1989 Jacques Delaval : Organisateur évènementiel / Paris.
Porsche 964 Cabrio. 1990 Jean & Sacha Delannoy : Editions Automobiles du Palmier / Nîmes.
Porsche Boxster S 2001 Jean-Bernard & Nicole Nuiry : Promotion Immobilière Sogelym / Lyon.
Porsche 996 Cabrio. 2002 Nadège Fusina , Pierre-Henry Billard : Avocats / Dijon.
Porsche 996 Cabrio. 2002 René Samani, Isabelle : Galeriste, expert près la Cour d'Appel / Lyon.
Porsche 997 Cabrio. 2006 Jean-Pierre & Lydia Goy : Jeunes Retraités Actifs / Grenoble.
Porsche 997 Cabrio. 2012 Didier & Françoise Bazin : Laboratoire dentaire / Paris.
Triumph TR3 A 1960 Bernard & Laurence Palayer : Régie Immobilière / Lyon.
Triumph TR3 A 1962 Christian & Jacqueline Tribot : Président ''La Compagnie Média'' / Neuilly
Triumph TR3 A 1962 Louise Fournier : Etudiante / Lyon.
Volvo 544 S ''East African Safari'' 1963 Yves & Bénédicte Morizot : Fondateur et Président du Groupe Stand 21 / Dijon.
Soit, 48 Voitures dont :
20 ''Anciennes'' ( 1949 / 1969 ) :
1951 : Cadillac Coupé type 61 Fenouil & Puce / Houdan.
1954 : Alfa Romeo 1900 CSS Touring Didier & Nadine Moreau / Lyon. Jaguar XK140 Cabriolet Brice Robert, Claude Rolle / Lyon.
1956 : Porsche 356 A Cabriolet Olivier Ginon, Frank Honegger / Lyon.
1958 : Maserati Barchetta 350S Michel & Catherine Boutias / Grenoble.
1959 : AC Bristol Ace Roadster Frank & Geneviève Levotre / Lyon. Jaguar XK150 Cabriolet Pierre-Gérard & Marielle Calvel / Lyon.
1960 : Austin Healey 3000 BN7 Roadster Patrice Palayer, Yves Bismuth / Lyon. MG A 1600 Roadste Bernard & Catherine Momin / Lyon. Triumph TR3 A Roadster Bernard & Laurence Palayer / Lyon.
1962 : Triumph TR3 A Roadster Christian & Jacqueline Tribot / Neuilly Triumph TR3 A Roadster Louise Fournier / Lyon
1963 : Jaguar Type E 3.8 l. Cabriolet Antoine & Patricia Cau / Genève. Volvo 544 S ''East African Safari'' Yves & Bénédicte Morizot / Dijon.
1964 : Alfa Romeo Giulia Spider Jean-Louis & François Blanc / Paris.
1966 : AC Cobra 428 Roadster Alain Bouldouyre & Marusha / Paris. Citroën DS 21 Berline Bob & Marie-France Neyre / Grenoble.
1969 : Citroën ID 20 Berline Sylvie & Adèle Bocquet / Grenoble. Jaguar Type E 4.2l. Cabriolet Georges & Danielle Denuzière / Lyon.
Jaguar Type E 4.2l. Cabriolet Xavier & Ghislaine Iinguenaud / Rennes.
15 ''Youngtimers'' ( 1970 / 1990 ) :
1970 : Porsche 914 / 6 Stéphane Fournier / Lyon.
1971 : Jaguar Type E V12 Cabriolet Alain Perrier, Jennifer / Chambéry.
1972 : Aston Martin Vantage S Coupé Gilbert Ducros / Annecy. Citroën SM V6 Coupé Antoine & Arthur Raymond / Grenoble. Jaguar Type E V12 Cabriolet Jérôme Rviète / Senlis. Lamborghini Miura SV Frank & Margaux Trepsat / Genève. Porsche 911 2.4 l. E Coupé Emmanuel Métais / Paris.
1973 : Porsche 911 Carrera 2.7 RS Charles-Edouard & Denis Rambaud / Londres.
1979 : Porsche 911 SC 3l. Targa Pierre-Yves Deschamps / Lyon.
1984 : Porsche 930 Turbo 3.3 l. Guy & Anthony Fréquelin / Montreux.
1989 : Porsche 911 Carrera 3.2 Targa Yannick & Jacqueline Morizot / Dijon. Porsche 911 Carrera 3.2 Cabriolet Jacques & Chantal Andrevo / Grenoble. Porsche 911 3.2 Speedster Bernard Maurin, Jean-Pierre Cambet / Lyon. Porsche 911 3.2 Speedster Jacques Delaval / Paris.
1990 : Porsche 964 3.6 Cabriolet Jean & Sacha Delannoy / Nîmes.
13 ''Modernes'' ( 1991 / 2012 ) :
1992 : Ferrari 512 TR Jean Marceaux / Grenoble.
2001 : Mercedès SLK Roadster Bernadette Guyot & Laurence Fournier / Genève. Porsche Boxster S Cabriolet Jean-Bernard & Nicole Nuiry / Lyon.
2002 : Porsche 996 Cabriolet Nadège Fusina, Pierre-Henry Billard / Dijon. Porsche 996 Cabriolet René Samani, Isabelle Lenain / Lyon.
2005 : Chevrolet Corvette Diégo & Dominique di Caro / Grenoble.
2006 : Ferrari 599 GTB Patrick & Florence Chaix / Versailles. Ferrari Superamerica Bernard & Françoise Teillaud / Cannes. Porsche 997 Cabriolet Jean-Pierre & Lydia Goy / Grenoble.
2007 : Jaguar XK Cabriolet Patrick & Danielle Serbat / St Raphaël.
2012 : Aston Martin Vantage S Roadster Robert Gentilini & Marie-Josée / Lyon. Audi R8 GT Sport Olivier & Dorian Frias / Genève. Porsche 997 Cabriolet Didier & Françoise Bazin / Paris.
Les Questions du mois :
La Question la plus fréquemment posée depuis les premières inscriptions :
Comment va s'organiser l'Assistance ? Tout d'abord, rappelons que l'Assistance est un des points essentiels pour la réussite d'un Rallye tel que les ''Routes des Alpes'' ... Car, pour avoir l'esprit tranquille pendant trois jours, rien ne vaut la présence d'un super ''ange-gardien'' qui veille sur la caravane ! Il y aura donc un camion-plateau porte-voiture d'une charge utile de 1350 kg, avec à son volant, un technicien hors-pair ... En effet, nous avons engagé l'homme de la situation, un mécanicien particulièrement ''tout-terrain'', certainement l'un des plus ex-périmentés et plus aguerriss en la matière : Michel Michaux, ancien responsable du SAV mondial du Groupe ''Renault Trucks''. Désert de Gobi, Route de la Soie 2005, Michel Michaux (à Gauche)
Depuis 30 ans, du Congo au Nigéria, en passant par l'Irak, Michel a été présent sur tous les théâtres d'opérations des aventuriers et du Sport Automobile Mon-dial : les ''Dakar'' aussi bien en Afrique que, maintenant, dans la Pampa Argentine, pendant lesquels il a géré l'Assistance ''usine'' Nissan (Photo à gauche), mais aussi, le Paris-Pékin, la Route de la Soie, etc ...
Plus près de nous, il assure depuis plus de 10 ans l'Assistance du ''Rallye Historique de Charbonnières'', avec, comme souvent, de très nombreuses interventions mécaniques ''au cul du camion'' (Photo à Droite). Il sera donc bien, pour nous tous, l'homme de la situation !!
Au volant de son camion-plateau il fera office de ''voiture-balai'' en fermant la route de la caravane sur le tracé officiel du parcours. Ce dernier point est important, car en quittant le par-cours officiel du Rallye, parcours déclaré auprès des Préfectures des départements traversés, chacun s'exposera à ne plus béné-ficier de cette précieuse assistance ...
En cas de panne sur la route, Michel s'évertuera à réparer sur place. Au cas où l'intervention nécessiterait plus de temps ou un Assistance au ''Charbo.''passage sur un pont élévateur, Michel chargera le véhicule sur le camion pour le transporter jusqu'au garage le plus proche du lieu de la panne … En effet, Michel disposera à bord du camion de son outillage complet, clés en ''système métrique'' et en ''inches'', fils et cosses électriques, un jerrycan d'essence, des bidons d'huile moteur et boîte de vitesses, liquide de refroidissement et de freins, un cric rouleur, des câbles et une batterie, bombe anti-crevaison, etc …
Mais laissons Michel nous donner quelques précieux conseils : ''pour un Rallye de haute montagne de 800 km, tel que les ''Routes des Alpes'', faîtes faire une solide révision chez votre garagiste habituel avant de partir … En priorité, contrôlez, ou faîtes contrôler : les systèmes de freinage (+ plaquettes ou garnitures + frein à main) et de refroidissement, l'allumage, le faisceau électrique et les fusibles, les amortisseurs et tous les ''silent-blocs'' de suspension, l'état et le gonflage des pneus et surtout de la roue de secours ! ''
''Mais, surtout, n'oubliez pas d'avoir, à bord de votre auto, quelques pièces spécifiques, telles que : tête de Delco, vis platinées, fils de bougies, bougies, courroies, fusibles, boîte d'ampoules électriques, bombe anti-crevaison, câbles de batterie, et le plus important, toujours avoir à portée de main, un petit extincteur manuel ... En effet, moteur surchauffé, un retour de flamme aux carbus, est toujours possible au redémarrage ! ''
''une voiture en bon état et bien révisée est la meilleure garantie d'un Rallye réussi ! ''
''et, dernier point, pensez bien à vérifier auprès de votre Assureur que votre Contrat com-porte bien une clause ''Assistance'' pour le rapatriement du véhicule jusqu'à la maison ... ''
Les voitures seront-elles surveillées la nuit aux étapes ? Mieux que surveillées, les voitures seront garées, chaque nuit, dans des garages fermés privés ou privatisés … Le mardi soir, à l'hôtel du Manoir, à Aix les Bains, un garage pour une trentaine de voitures nous est réservé et sera fermé toute la nuit jusqu'au départ du lendemain matin. Le mercredi soir, à Val d'isère, le Maire nous a fait mettre à disposition un étage com-plet du parking sous la ''Face de Bellevarde'', juste en face de l'hôtel. L'accès à ce parking aura lieu de 19h. à 19h.30, puis fermeture des portes et réouverture le jeudi matin à 8h.. Enfin, jeudi soir à Serre-Chevalier, l'hôtel disposera d'un garage sous-terrain fermé d'une trentaine de places ainsi que d'un parking privé d'une vingtaine de places. Donc, aucune crainte à avoir pour vos autos, vous pourrez dormir sur vos 2 oreilles !!
Est-ce utile de se retrouver dès le mardi soir à Aix les Bains ? Oui, mais sans obligation aucune ! En effet, cela est presque impératif pour ceux qui habitent à plus d'une centaine de kilomètres d'Aix les Bains … Nous en profitons pour vous rappeler le programme du mercredi matin 27 juin, jour du départ : petit-déjeuner (pour les résidents de l'hôtel) à 7h.30, rassemblement pour tous à l'hôtel du Manoir vers 8h.00. Briefing à 8h.15. Départ de la première auto à 8h.30 précises. Donc, tous les participants arrivant directement le mercredi matin, doivent être présents à 8h.00 au plus tard pour les ''vérifications administratives'', la pose des plaques officielles du Rallye et, ensuite assister au Briefing de 8h.15 … En arrivant dès le mardi soir 26, vous pourrez, donc, effectuer toutes ces formalités dans la soirée ... D'ores et déjà, nous avons privatisé une des salles à manger de l'hôtel et convenu d'un forfait ''demi-pension'' avec l'hôtelier : apéritif de bienvenue dans les jardins de l'hôtel, dîner avec toutes les boissons comprises + petit-déjeuner, le tout à 64 € / personne. Les chambres pour deux personnes étant à 119 / 129 / 139 ou 149 € … Pour ceux qui ne l'aurait pas encore fait, précisez-nous bien votre date d'arrivée, car en cette période de Cures Thermales l'hôtel ne pourra mettre à notre disposition qu'une trentaine de chambres … pensez-y !!
Les News des restaurations en cours ...
'' Ma Porche 356 A Cabri. fin de restauration en vue ...'' Olivier Ginon, son propriétaire.
Des travaux de restauration bientôt terminés … Lorsque, en 1936, Ferdinand Porche conçoit le prototype d'une voiture populaire de
grande diffusion, il décide de privilégier la robustesse, la fiabilité, la facilité d'entretien, mais surtout la simplicité de cons-traction. Un 4 cylindres à plat, pour abaisser le centre de gravité, refroidi par air pour éviter tous les inconvénients de l'eau, (poids, fuites, gel, radiateur, etc …), et un moteur placé en porte à faux arrière au-dessus des roues motrice pour en accroître l'adhérence. Ce fût la Cocci-nelle Volkswagen qui, la guerre pas-sée, deviendra un succès mondial.
Fait prisonnier en France à la fin de la guerre, Ferdinand Porche passe 2 ans chez Renaud, au titre des dédommagements de guerre, et participe à la création de la 4CV dont il influencera l'architecture, identique à la Cox, au refroidissement du moteur près.
Libéré en 1947 il s'installe immédiatement, avec son fils Ferry, dans un petit village perdu dans les Alpes Autrichiennes, Gmünd, pour réaliser un projet qu'il avait en tête depuis 10 ans maintenant, créer une voiture de sport, elle aussi, simple à construire, fiable, légère et facile d'en-tretien … Ce sera la 356 inspirée directement de la Cocci-nelle : même moteur 4 cylindres culbutés à plat, en porte à faux arrière fixé directement sur une boîte 4 rapports, elle-même enserrée dans le berceau arrière d'une plateforme faisant office de châssis avec une carrosserie boulonnée: du
simple, du très très simple même, du rigide, du léger.
La demande de cabriolets sur le marché Amé-ricain étant très forte, Ferdinand Porsche confie au Carrossier de Stuttgart Reutter la fabriquation de tels modèles découvrables, dont celui-ci, un type A de 1956, avec un moteur 1500 cm3 70 ch. Ce cabriolet est en cours de restauration complète : plateforme + carrosserie, moteur / boîte, faisceau électrique, sellerie intérieure et capote ...
Bref, ce sera une voiture aussi neuve qu'en 1956 et qui fera ses premiers tours de roue à l'occasion des ''Routes des Alpes 2012 '' ...
'' Deux belles Anglaises au Garage ...''
Un sérieux lifting pour Miss '' Big Healey '' …
Cette Austin Healey 3000 BN7 a été longue-ment présentée dans notre ''Newsletter'' # 3 de mars dernier ... Mais pour être ''la plus belle pour aller rouler'' Patrice Palayer, son propriétaire, a décidé, en urgence, de lui faire faire un sérieux ''lifting'' avant le départ des ''Routes des Alpes'' …
La voici chez le carros-
sier (photos ci-dessus et ci-contr) en ''petite tenue'' avant de recevoir sa couche d'apprêt puis, dans la foulée, une belle peinture acrylique et son vernis ... Après cela, elle deviendra, à coup sûr, une sé-rieuse prétendante pour le titre de ''Best of the show '' dans la Catéguorie des ''Anciennes'' ...
Ma Jaguar XK150 Cabriolet … terminée à temps ?Pierre-Gérard Calvel, son propriétaire.
Juste avant de m'inscrire aux ''Routes des Alpes 2012'', à l'automne dernier, j'avais pris la décision de faire restaurerai ma Jaguar XK150 Cabriolet de 1959 que je possède depuis plus de 20 ans déjà ... Le moteur 6 cylindres en ligne 3,4 l. double arbres à cames en tête, encore entièrement d'origine, commencait un peu à ''fatiguer'' et il était temps de le démon-ter. Du coup : pistons, embiellage, rectifi-cation du vilebrequin, soupapes, surfacage
de la culasse + son joint, pompes à eau et à huile, radiateur, embrayage … vous connais-sez la chanson, n'est-ce pas ? Donc, toutes les pièces à commander en Angleterre, et à attendre des semaines et des semaines, car il en manque toujours une !! Et puis, si on refait la mécanique à neuf, pourquoi ne pas restaurer également la carrosserie ? On ne peut tout de même pas replacer un moteur neuf dans une caisse qui est seulement en état ''moyen'' ! Alors, va pour une restauration complète !Mais, entre temps, les délais s'allongent, les mois passent, juin approche … Et donc, une question existencielle se pose : sera-t'elle prête pour le 26 juin ??Sinon, je pars en Bebtley Continental GT
Les ''Highlights'' du mois :
'' Ma Maserati Barchetta 350S, voiture de course sur route ...'' Michel Boutias, son propriétaire.
Une ''Barchetta'' héritière d'une longue lignée de voitures de course … En décembre 1914, les 5 frères Maserati installent à Bologne un atelier de mécani-
que destiné à la production exclusive de voi-tures de course. Il faudra attendre 1926 pour qu'un premier modèle porte, officiellement, le nom de Maserati … et gagne cette année là, avec Alfieri à son volant, la Targa Florio, une vraie référence à l'époque !! A partir de cette victoire, la marque au Trident produira de multiples voitures de course à moteurs 4, 6, 8 cylindres en ligne et
même 16 cylindres (2 x 8 cylindres en parallèle). C'est la première apogée de la marque qui se développe sous l'impulsion d'un brillant ''busi-nessman'', Adolfo Orsi, qui s'associe en 1937 aux Frères Maserati et installe l'usine à Modène en 41. Lors de toutes ces années d'avant-guerre les Maserati seront les seules autos de course à ri-valiser, et très souvent à battre, les omnipotentes voitures Allemandes : Auto-Union et Mercédès. Hormis les multiples victoires en Grand Prix Européens, les plus retentissantes victoires seront celles de 1939 et 1940 aux 500 miles d'Indiana-polis avec la fameuse Maserati 8CTF (Photo en Haut) signant, d'ailleurs, les deux seules victoires italiennes de toute l'histoire de la célébrissime course américaine. Les années de guerre passées, les 4 frères Maserati survivants quittent l'entreprise en 1947, au terme de leur contrat de 10 ans signé avec Adolfo Orsi en 1937. Ils vont alors fonder une nouvelle marque : O.S.C.A. qui se spécialisera, elle aussi, dans la production de voitures de compétition, mais, malheureusement, avec beaucoup moins de réussite ... Dans les années 50, arrive dans l'équipe Maserati un certain Juan-Manuel Fangio qui va remporter d'innombrables victoires sur tous les circuits du monde et sera sacré Champion du Monde de F1 en 1957 au volant de la légendaire 250F (Photo ci-dessus à Droite)
(souvenez-vous de la Dinky Toys 250F rouge avec laquelle vous avez forcément joué, étant enfant …). Parallèlement à ses invin-cibles ''monoposti'', Maserati produit aussi dans les années 50 de redoutables prototypes, portant tous le nom de ''Barchetta'' : les 200S, 300S, 350S (Photo ci-contre) et 450S.
Voici donc ma Maserati ''Barchetta'' 350 S
L'après-guerre sera une époque floris-sante avec la production de brillantes GT routières directement développées à partir des ''Barchetti'' de compétition et animées par les mêmes moteurs. Le meilleur exemple sera la 3500 GT (Photo ci-contre) issue directement de la 350 S dont elle reprend le châssis et le moteur 6 cylindres en ligne 3,5 l. de 275 ch. et habillé par une superbe création de Vignale ... Voici où commence l'histoire de ma Barquetta 350S, une histoire vraiment étonnante …
Tout commence donc en 1960. Mon père, Jacques Boutias, est Concessionnaire Citroën à Grenoble et, surtout, un mécani-cien et préparateur hors-pair ! Il entretient et prépare toutes les voi-tures sportives de la région : les Jaguar, Porsche, mais surtout des Italiennes : Alfa Romeo, Maserati, Ferrari ... et, parmi ces dernières la berlinette ''Tour de France'' de Jean Pierre Hanrioud !! Je passe donc toute mon enfance dans une extraordinaire ambiance de belles autos
et de grands pilotes. Très tôt cette passion familiale me gagne à mon tour et, tout naturellement, j'apprends la mécanique. A 17 ans je deviens le mécanicien personnel de Bertrand Balas, le fils de Maxence, qui court avec succès sur Alfa Roméo … 15 ans auparavant, Citroën avait racheté Maserati et lancé en 1970 la mythique SM motorisée par un V6 Maserati. Mon père, enthousiasmé par cette voiture exception-nelle, m'avait alors transmis sa passion pour cette superbe mécanique italienne Maserati. Je vais commencer à acheter mes pre-miers modèles : Ghibli, Mistral, Indy … puis bien plus plus tard, une Bora et une Merak. Laurent Rossi, fils de Tino, au volant ...
L'entretien et la préparation des moteurs Maserati m'amène à me rendre souvent à l'usine de Modène où je lie de solides amitiés avec les techniciens du ''Servizio Compétizione'' et où j'apprends tous les ''secrets'' des voitures de compétition et des GT Routières de la marque … Lors d'un séjour à Modène, l'un des techniciens me parle d'une épave française de 3500 GT de 1958 transportée à Modène pour expertise en vue de sa reconstruction. Le coût bien trop élevé à l'époque, elle restera en l'état pendant … 30 ans !!
Entre 1955 et 1957, le châssis de la 350 S a été fabriqué en seulement 3 exemplaires, mais sert de base à la construction de celui de la 3500GT. Sachant cela, une idée folle me vient à l'esprit : construire une ''Barchetta'' 350 S sur la base de cette épave très très ''abîmée'' découverte à Modène .
Quelques semaines plus tard, me voici de retour à Grenoble, avec dans le camion l'épave, le moteur en piteux état, la boîte cassée, et le pont arrière explosé, mais avec, sous le bras, tous les plans ''usine'' de la 350S : plus de 500 pages de descriptifs, de plans côtés et de croquis !!! Je suis donc, à cet instant là, plein d'optimisme et il le fallait bien car, mais je l'ignorais alors, les travaux allaient durer … 9 ans !! Reconstruire le châssis et les suspensions à partir de l'épave, remettre en état le moteur, puis la boîte dont la pignonerie était cassée et enfin le pont arrière. De plus, j'ai dû marteler à la main, pendant des mois, des plaques d'alu pour former, un par un, tous les éléments de
carrosserie, et ainsi, construire cette Barchetta 350S strictement identique à l'originale ! (Photo ci-dessus)
9 années de joies, mais surtout de galères innombrables … et enfin la satisfaction de remettre sur la route, 40 ans plus tard, cette extraordinaire auto d'une grande rareté. N'était-ce pas là, la plus belle récom-pense pour un passionné de belles mécaniques italiennes comme moi ?
''Au volant de ma Barchetta 350 S''
Depuis plus de dix ans maintenant, je sors ma ''Barchetta'' le plus souvent possible, et toutes les occasions sont bonnes : sorties du Club Maserati France ou Italie, des courses VHC en circuits à Angoulême, Reims (Photo ci-dessous), Charade ou pour l'Age d'Or, en Courses de Côte, en Rallye comme au ''Neige et Glace'' (Photo ci-dessus) ou encore des sor-ties entre amis et des randonnées comme les ''Routes des Alpes 2012'' … Mon seul grand regret : ne pas être éligible au ''Mans Classic'', car les orga-nisateurs considèrent qu'il n'y a eu que 3 châssis de 350S construits, n° 3501/ 3502 et 3503, alors que mon châssis ne porte, évidemment, pas de numéro 350 étant construit sur une base de 3500GT 1958 ... Cela reste pour moi un grand regret, car combien cette ''Barchetta'' 350 S serait belle et à son aise sur le circuit mythique des 24 Heures !!
'' Ma Porsche 911 2,4 l., le début de la lignée 6 cylindres ...'' Emmanuel Métais, son propriétaire.
Ferdiand Alexander Porsche, dit ''Butzi'' : de la 901 à la 911 … ''Butzi'', le fils de ''Ferry'' Porsche (et petit-fils de Ferdinand Porsche, le ''Père
Fondateur''), qui vient juste de décéder le 5 avril dernier à 76 ans, bénéficiera, à tout jamais, de la reconnaissance de tous les Porschistes du monde entier, d'aujourd'hui et de demain, pour avoir été le créateur génial de la 901... . Dès 1960, à Stuttgart on res-sent le besoin de remplacer une 356 vieillissante (déjà 15 ans d'existence) et qui, de par sa struc-ture d'origine Volkswagen ne per-
met pas l'installation d'un plus gros moteur que le 4 cylindres dont la version la plus performante est le 2 l. de la 356 Carrera 2 GS qui développait 130 ch dans la version de route et jusqu'à 180 ch dans la version de compétition la plus poussée (Photo ci-contre). .
. La Famille Porsche confie alors à son jeune descendant Ferdinand Alexander, surnommé ''Butzi'', (25 ans en 1960) la res-ponsabilité du programme ''901'', nom de code donné à la remplaçante de la 356. .
.
. Déjà, avaient été jetées les bases d'un tout nouveau moteur 6 cylindres à plat refroidi par air et à double arbre à cames en tête de 2 litres de cylindrée, charge a ''Butzi'' de concevoir toute la voiture autour de ce nouveau moteur. Il aura, alors, un ''coup de génie'' en concevant et dessinant une Grand Tourisme moderne et compacte, agrémentée d'une ligne sobre et fonctionnelle qui s'avèrera même intemporelle !! (en 2012, 49 ans plus
tard, avec la 991, nous en sommes à la 7ème génération !) La présentation officielle de cette 901 eu lieu au Salon de Francfort en Octobre 1963. .
.
. Lors de ce Salon, la So-ciété Peugeot réagit immédiatement en faisant aimablement remarquer à Porsche qu'elle avait déposé, dès les années 30, tous les numéros à 3 chiffres avec un ''0'' au milieu … .Porsche, persuadé de perdre un
éventuel procès, préféra proposer à Peugeot de remplacé le ''0'' par un ''1'', la 901 devenant ainsi, sitôt présentée officiellement, la 911. En revanche Peugeot concéda à Porsche le droit de conserver le ''0'' au milieu de 3 chiffres de la 904, sortie en 1963 (Photo ci-dessus), mais, concession accordée uniquement pour ses voitures de compétition produites à seulement quelques dizaines d'exemplaires, comme les 904, 906, 907 et 908.
Malgré un prix nettement supérieur à celui des dernières 356 C, la toute nouvelle 911 déchaîna l'enthousiasme des fidèles de la marque et ce fut un succès commercial immédiat.
D'ailleurs pour atténuer la différence de prix entre les deux générations 356 / 911, Porsche proposa un modèle ''intermé-diaire'' moins cher, baptisé 912 : la caisse de la 911 avec le mo-teur 4 cylindres 1600 de 95 ch des toutes dernières 356. La première version de la 911 6 cylindres 2 litres 130 ch a été produite pendant trois ans, de 1964 à 67. Premier ''coup de
tonnerre'' dans la gamme 911, la présentation, en novembre 1966, d'un modèle beaucoup plus puissant : la 911 S. Elle est équipée d'un moteur 2.0 l. de 160 ch, lui permettant d'at-teindre 225 km/h. Cette version très sportive se différenciait, notamment, par ses jantes Fuchs 15'' devenues mythiques en étant le symbole de cette première génération de 911 ... En 1967 est introduite la 911 T (pour ''Touring'') d'une puissance de 110 ch, qui s'ajoute à la 911 L (pour Luxus) 130 ch, à la 911 S 160 ch et à la 912 qui va disparaître en 1968.
En 1969, tous les moteurs voient leur cy-lindrée passer à 2.2 l, puis à 2.4 l en 1971. Dans cette dernière cylindrée la version L disparaît, et ne subsis-tent alors, plus que la T 130 ch, la E 165 ch et la S 190 ch. Voici donc ma 911 E 2.4 l. de 1972.
'' Au volant de ma 911 2.4 l. : Agilité et performances !''
La 2.4 E avec ses 165 ch. et un poids de 950 kg offre un rapport poids / puissance inté-ressant pour une voiture qui fête, cette année, ses 40 ans !
Membre du Club Porsche de France, je participe à beaucoup de sorties en circuit sur lesquels je prends beau-coup de plaisir à aller chercher ''les derniers dixièmes'', tout en dérive du train arrière, avec mon fils comme passager ...La très grande agilité de la 2.4 l. en fait une voiture extrêmement
facile à piloter comparée à mon ''autre'' Porsche, une 997 GT3 RS qui, avec ses 450 ch., est infini-ment plus délicate à ''emmener'' à ses limites ...
'' Mon Alfa Romeo Giulia Spider 1964, la Storia Continua ...'' Jean-Louis Blanc, son propriétaire.
1964 : Douceur de vivre à l'italienne … la Storia Contina !
Dans la ''Newsletter'' du mois dernier, nous avons vu, à propos du Coupé Alfa Roméo 1900 CSS Touring de 1954, com-bien cette auto épousait parfaite-ment le début des années de la ''Dolce Vita'' à l'italienne ... Dix ans plus tard, en 1964, la ''Storia Alfa Continua'' dans la dou-ceur de vivre italienne des années 60 … Cette Alfa Roméo Giulia Spider Sprint a conservé sa belle
couleur bleu-ciel d'origine, tout à fait typique de cette époque. Ce sont des années de vie insouciante pendant lesquelles cette Alfa Romeo Spider était la voiture préférée de la jeunesse dorée transalpine. On se souvient des playboys italiens, la mêche au vent, le coude à la portière, de la via Veneto à Rome jusqu'à la via Montenapoleone de Milan en passant par Portofino, la côte Adriatique ou la Costa Smeralda … Ce Spider Giulia, dessiné par Bertone, présenté en 1962 en même temps que la Berline sportive Giulia Ti, est l'héritier direct des brillants coupés des années 50 …
Sa conception est typiquement ''Alfa Romeo'' avec une architecture classique : moteur avant 1570 cm3, 4 cylindres en ligne tout alu. 2 arbres à cames en tête, boîte 4 et transmission aux roues arrières. Une caisse légère, moins de 900 kg, et peu encombran-te, un moteur léger et performant pour l'époque (92 ch.) en font une voiture agile et facile à utiliser en toutes circonstances. De 62 à 68, 21 850 exemplaires sont produits ...
'' Au volant de mon Spider Alfa : Le plaisir du VEC ...'' Ce Spider 1600 Sprint est d'une telle facilité d'utilisation et d'entretien qu'il devient une des autos les plus agréables à conduire en Rallye VEC ou en Randonnées, ce dont je ne me prive jamais !! Toutes les occasions sont bonnes pour faire une petite ''virée'' entre amis, et les ''Routes des Alpes 2012'' en seront une excellente, d'autant plus, que j'ai déjà franchi le Col de l'Iseran en Alfa Spider, mais dans l'autre sens : un grand et beau souvenir !!(Photo ci-dessus à gauche.)
'' Ma Jaguar XK, le mythe ''Longs capots'' toujours vivant ...'' Patrick Serbat, son propriétaire.
80 ans plus tard, les '' longs capots '' toujours d'actualité !
Dans les ''Newsletter'' # 3 et 4 nous sommes rentrés dans les détails de l'histoire de Jaguar et de la passion de la marque pour les ''longs capots'' dont le summum a été atteint avec la Type E … Les XJS V12 qui vont lui succéder de 1975 à 1996 maintiendront la tradition, mais avec des châssis qui n'étaient plus du tout à la hauteur des puissances délivrées par les moteurs V12 installés sous leurs longs capots : de 250 à 300 ch. De plus des problèmes de qualité de fabrication commencèrent à altérer la réputation de la marque. Malgré cela plus de115 000 exem-
plaires de XJ furent produits en une vingtaine d'années, dont 60 % à destination du marché nord-américain. A partir de 1996 la série XK (XK8 / XKR) remplace les XJS : nouveau châssis plus rigide, nouveaux moteur V8 4 l. de cylindrée, de 260 à 415 ch. Une bien meilleure qualité de fabriqua-tion et de finition permettra à Jaguar de redorer son image en retrouvant son rang parmi les constructeurs de GT de luxe ... A partir de 2005, nouveau modèle encore amélioré, la XK, toujours moto-risé par le V8, mais 4.2 l. et 300 ch. Boîte Auto 6 rapports avec fonction ''sport''. Voici ma Jaguar XK de 2007.
'' Au volant de mon Cabriolet XK : Luxe et confort ...'' J'ai toujours été un passionné de Jaguar. Enfant : les XK, adolescent la Type E, et adulte, les XJS, XK8 et enfin XK … Dans les années 90, j'ai beaucoup roulé en XJS et cette voiture m'a laissé de très bons souvenirs et, aujourd'hui, je regrette vraiment de ne pas l'avoir gardée en "Collection" ... En 2007, j'ai acheté ma première Jaguar XK. Evidemment, ce n'est pas une vraie sportive, mais on peut tout de même
aller très vite à son volant, même sur route sinueuse. La XK est une excellente GT dotée d'un confort exceptionnel … qui permet de parcourir de (très) longues distances sans aucune fatigue. Son comportement est très sain grâce à un châssis très rigide. Elle vire bien à plat et ses accélérations sont fortes, voire même brutales, en mode ''sport'' et son freinage est à la hauteur des performances. Le coffre ressemble plutôt à
une boite à gants, mais heureusement les places arrières peuvent recevoir les bagages ...
'' Mon Cabriolet Porsche 997 ''Black Edition'' ...'' Didier Bazin , son propriétaire.
''Noir c'est Noir, il n'y a toujours de l'espoir ...''
Dans la ''Newsletter'' # 3 de mars dernier, vous avez découvert la Porsche 997 Cabriolet de Jean-Pierre Goy, plus blanche que blanche et que nous avions baptisée ''White Pearl'': robe blanche, jantes blanches, intérieur cuir blanc ! Voici, aujourd'hui, un modèle stric-tement opposé, le même Cabriolet 997, mais en version ''Black Edition'', une vraie ''Black Pearl'' … Cette série limitée, seulement 1911 exem-plaires produits en ce début d'année 2012, est destinée à
faire patienter les Porschistes jusqu'à l'arrivée de la toute nouvelle 991, 7ème génération, qui sera livrée en milieu d'année …
Lors de son lancement en 2004, cette 997, la 6ème génération 911, avait retrouvé, aux yeux de tous les puristes de la marque, le véritable ''esprit 911'' grâce au retour des phares ronds … En
effet, il avait été beaucoup reproché à la série précédente 996 (1998 / 2004) ses phares ''multiformes'' inspirés directement de ceux du Boxter et jugés indignes d'une vraie 911 !! ''911 Black Edition'', tout est dit dans son appelation : couleur ''noir basalte'', jantes noires, intérieur cuir noir et capote Alpaga de la même couleur. Côté moteur, du clas-sique : le 6 cylindres à plat 3.6 l. et 345 ch. accouplé à une boîte PDK à 6 rapports à double embrayage. Cette série exclusive, bé-néficiant d'une technologie très avancée ajoutée à une fiabilité mécanique plus que légendaire, a connu un succès
foudroyant, les 1911 modèles proposés ayant été vendus en quelques heures !!
'' Au volant de mon Cabriolet 997 Black Edition''
Que dire de plus que tout ce qui a été déjà dit sur le comportement d'une 911 dernière génération ? La plupart des observateurs s'accordent à dire que c'est, certainement, la meilleure voiture au monde utilisable au quotidien. Ayant déjà possédé plus d'une dizaine de Porsche, je ne peux que le confirmer !!
