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71e Anné&, -- Mo 2,19' 'POLITIQUE ET LITTERAIRE Ttlo.i I Ilote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES ARRIYEES DES TRAINS DUS CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS ANONNEt1ENTS UN AN . .. 410 tr.1 UN AN,.... 90 fr-I i} Six alois,t. ... 2f P,tx Mois . 26 Annoncés, la ligne..... 0Ir: 50 IN E Il P I O N S RECWMEt, id.... 0" 1f) `Fe}}s Ulvaas, id .. . 1 . 50 A le Soelété G érele des Agnonees LESANNQ?!CES, 20,Lien as,BLLOOO,O TQULOIISR. Vers Bordeeu2. Départs: , j Arrivées: 1 Liges dis Fendis. f18p rte: Arrf é. Sdir ( 01 1 - Y Soir, 6 5t 08pnrts Mçt Id .t)l2p 15 M ti n (d t) soi .. A S r - /0 Ri Matin, 5h 211 M t S 30 Main. (Agio), 8 48 Soir(Gara), 5 (518,11 (dirent), l! 55 loir; à 5 Matin texpr.), it Son (expr.L i E5 Soh, f 35 Sor, Soir(06,0. 6 20Shfr, a a5 40 h0 Vers Cette- SONT.-REÇUESJ Efi!M. Simone, LefOte et C. Matin (dirent) 3h40 Mot n (Car) 8h ! R, Puce oa o. an..., PARIS.. Matin, 5 15 MaIm (eapr.) 10 Lgrne de ihyenae. Mptn '6h 151Mat. (Monte.), 1Oh35 soc in (rail, fi 10 (Sans b.ganea),9' 61 $olt,(M htréj.), 5 5 Soir (Pan) 3 Y5 Smr (Bay.e),8 .Je Années : (Matin, 0h5 Sois 9 4 Ligne d:Orléane, 14,eea,s-AIbI M tin, fihfO Me/m 9h03 l0 4U $mr, 3 7 M tn, f 6u Soir, 6 -5 .Soir Soir. 5 10 Sou, il 2 Teeldare, ire. Year.vele. e rendu d -tr u du CnnsMua ara Cam r déb t n p pfi p a ]m esprit lie et dé. défl t va. - Le . s diauq unsr plétem t de dé- Auguste pùjol "Lait !; ouitou6e ID Août, ai!'" du panier maniait a été p ",,il Noc 11 traite de la"possibilité ét des mnyena 'lads sur ce doulonremx évé e nl qui li.t, doublé d'os bomme de ,a,. ter que aur Içs g ta relevés a. 'les an abolition fmm éduate ; l de mue gü d la ville rI Toreluuae de faire cesser le cours forcé J d ril no prend y hie animal qu'il clos s Louis BM1- réclamations à I tcxpt yn dg Moyens ' pendant l'ahndëscalaMe 187k-1873. Il 6`' n l' p p e squelques mesures prépara. trou 4 P 1 pl n de 1 b.é de. M. Au [ Pusan, dd'ortdre t pititoutéet qtd pc t dtLo lr - avions que. plessieura, doctes. a p d Jours ne I (RAF?alE PRIVÉ F. t P a té g t ne à mo n, rdd clédé én ch P d ourg f d Tou- I é^I lia t fondée s r I pis L'arçhevégnn de Palerme 'aydgt ioda" nnL h1ér, 4é p 9b I Jn-ye,\ a5}7int j'arr-a oûF99igi 5h'ce, s 1a 'R 2TB de lel4 4e uugnrl .d Pltat La;g6tf`e1e.,lalroq nenl e s éneu demahdé 'exe[ualue, quuci le pelai d son màl, gamme ddgd j8 , dit. ,leq he sp é i s du sait sur la pa- s ursis u t à tétait jusqu à e qsé la ter e wD àf5s écus es dé cMnt err th e Paris, D août, fi h. 30 soir. ipiscnpal al la les ai" ntés soient posilinn aasse St Sernln On se réunira à la queshnn prélndiciclle ait cté Jpgée par pl été s u a c tt Le Fr e onças dit 1 A la di,tribution i mis les tn bana ux co pëtent et fixe ou tace,de ta dont plus pénible la tache i lervenus; Il talc seulement nue sim, . La to`11, m.re rd en lui maison mer tu air, rée de la Chat.,, 19. qui de leurs des prix du Concours social quel. pie p1ouestanan. a d e, d n t d é pl d - bref delta d s lequel t I par lie professeurs, a e autre àdu quel légé rs promptament és 1 t A t P pl sous aura élevé la q t' prit udici tint concours sous le double apport L 1 Sl t a et 111n 1'entrie die Peéfe s l novas ufr000c. Sa, p g il' M11 1 C ré de S nl N'colas entais prie ' 1 n S'il y a nombre et de la farde des sujets mate. éton é, I s s dI ad . t. it qd r do tl I 1. S demain d i e d g d'a - S loue d la 3810 II y a e a de t. Parie, 9 août, 7 h, matin. PP f f e l 1 s goal tés d uq 1 i ce ! p I t d epod doit, sous f n de et ;Fors ltenMe eux sont bleu doués M. ora ,a discours d M N: Ilq t p 9 dans s égl et promettent s I r II de Reguierrz pour les _11i té, ,.tri milieu la p t t I s des uccés dans 'a- p.li ; il s f t aurl alliaient à la ta l'abbé Cartel, Oncle i vimite "evis- n honnitu. et d uo raracléue iftdêPgrdJAÈ éléhrée ill'au peliltgif taia t ti que M1folnsquil dea étal, est nom mé FougueideTroyes, eu La valeur de l'écrivain [ h k titanes de I daUou. dix Jours du jugement, quelle q it vin r p III iau vernnm ,rat ré hhcain une r 'pl'icemenI de Mgr (t' S (t, démta- lui dans un style sobre et prénie III é la distance des lieux. Les questions Nos clos ds d'instruments ont obtenu gp pou acrifiait pas à de 'a .rats préJ du:ielles sx.ont Jugées s noue dh r d. uUas Celle de littérature gvallté°de plie geiapx autres louvera sacrifiait Cesse de la Pensé, de L elhliued b 01' no d p B I p les en banaux rat en formé. et d i n0atsont en jus çe fica II I ,,valvés. menin, ç la vertu, sfln Nier, le' Comité cent'ai d M la M Sauvage , qd il 1 éce ment d s Nurnbrea A eonreils généraux r u p' ris pl . 4 de l'ai racle 33 de d J s 'ont la désastre dont qui elle ne dégédiré pas en licence. vons shows é hale de Mac-5l faite e noailre 'à l'Académ d elenre t ih) 0e à 1 I dit 19 asoi t 1531 f I ; ee et )0, rotcintréesre Cgarderodl or. o ce rat L;Asse Lincoln a aiopté la loi n eut Ili d'b Le dé t que fié n nu s s a jh t d . t mh, es I f s de 'as[ ,ni m 8:100010 dont ly t taneo endu sut . cru1 n venir, nonservatoire avait eue acteur Jum épié I douer d.uiv les dé t le la solidité d., s'a a0ectlons coinma Article le L tfcl . .5, et 16 Art. s 47on opti L cantons est tenu de général q r d alhenr à déplorer . Ma^ y " I n.ll é l't da, ne pas I ei l'exétu Lin dé,l option nu prsi d ent du bort Mas y, professent de la classe de 1 - é .t A. 1 trnitre. P e117 d^, 11 loi il f août 1871 t élu d1 én gui chant des a ' I d i i Ue noa tem troublés e5- dans un °- g l"41 dans les tro éis Joute les egorta d'une mal (die ça ' Celte smgnement ohlic ^ la I1 0e demeise.lles, su algue. sons t sesaton, et en algue. Vunsm il r ég, lem itl à .avenir Vol il. a n n .sures s o 'vent I qui a la tradition de la maté- dtflés aimt qu'al sut : suivront l onv¢rlnre de la P P- Jnnrmn ..Art. 19. Lesité pan. p iront risde fanon. rap p r e ra ° 'as de conte t a pis i,érement des li avoua de r o'atmte. t et de la [ tétante, l avait dû ut a éne de nullité r t t I. - v r4 tous Iça ou I.e;ult triméPPt' , s 1, iimr et In t t d , b sttanxrrlia erré unir - . 1 t bans ci" sa4 g P fieation de la dé rad onseil e tao. ports perte, , blessait douloureuse toutes sous nos t et cremt de t ;Il d' 1 t et d t. r d raton,. par les ua rd d't t par A défaut n' pC. dan., ce délai le vina. éveillait toits nos ogres g " t ras . te q autorités 1 1 d triions 'PI I i m 1 t t t trille a, a / i'6 béd I .T Il I. b s du bonnet gé é 1 S1 stil général ddle ers, nu séance pua d éveuu0 barras à notre ConservàLoirs. qe1n1. r l l toversité I ôte it pas èlé ra plli. us sine I plus PPIp t n des a-- boit la phy mpü t I. q e. lut signé, / o. sera à vans àg m aie re d. I wé. tlal Ils d t ét 11111le t Par sa i e d sp 1, a quel can- Ln effila lè talent, ntatian, I'ez- e. s s ve rll r ,,part dra. -Lors- pdrience et le zèle lu in répcessant dont sa' e l'i mce .Ils dm[ ganter cours ,éd t (lés +t do née les Lénnced Llver et P t à la tète d 11 es la lui uu pre posés pr d ras les dix jours Q suivrai l mb nseiers non rl.MassY ou s ce dos a,- vie r a donna tant eu dont Miel r udre 4 L .nPtaxu d6pssse . l'élection, n m Ica llé s dan «parlement, dépasse les, rendaient son remplacement fort ' une I L à ce' « sa j mr, ee,nl I 18 d iilllons, 1 l Utpx rte sil [ di ton il on soit tenh au eux sec r ét du ar V de id Ltat - , le dé par les nomb amis ( p n t le quart du c .il 1 cmise,l général diffimle et flous faisait craindre 1 ntte ée n il a secrétariat général de la pré. çoo s rpp é de son successeur Mais cette ¢ B tue 9 a l --- e et os l se I i avait faits f t re de d p tement ou l'élit. procéil de l nié en ' f n r dé i ion. p i ht tl le Varcad de Paria du 9 .rite 6O 5. t L [puis se ses uctelm g - pnstl- t a'qY ItÇ Il xn ris donné g 1 ti ou ceux d t Il t ibot appréhension d pist bientôt devant 2nI ,.ti ét 4 oral, 2DU Turcs, qui mt p,rdu ,à ,a tue ut depuis si tongtmnP 1 entôle Et e encollée. S y. q t o p é! lia 1' o h 1 Lé des d tatares qui se recépb ox L.." 100e Don aria, Il été e le d val I d -raI air, provolone. 40 à ,.. use. dans tous le a , notifiée à la partie dD f sot d . t, soit pa aaété bl ut essé. des Selim pacha Spirilun ux. dévouée du /aurnal de Toulo E. V.-C: fuit s rue t l 1 l rage au sort est 1 inter mndm tire d n désir ux de voir intéressée dans le délai d'au mois à tait par la '_laissons départementale le titre flatteur de professeur dé outre co.bdn du Jour de l'élection, - Le a pue n[ l'intervalle des sessions, . Londres r 9 aoiit +l On lit deus la Depdche Flet leaosmetlra seul dEtt, Pend Conservatoire pssédF, par des aartistes 11 eu des désordres à Cla= iv É" pr u ivr Art. 2. - Peur les élections qui ont trop haut placés pour accepter vile linaire de O 'Con IJE y a g'1 . eu osas annonce uoe bien triste dans les dix jours qui su ont l,art ur réa ea (feu vont la présente loi, les rôtie de solliciteur. me.leet diman uel. che, à l'occasion de can --'"'-- nouvelle. ception, les réclamations c,,." signées au mations s 'sol Présente faites r les éc La tien est intervenue ; il La mort le notre ami rev'r des ce. .Notre u chefs M. Auguste Pujol, procésverbal ou déposées crétariat Après mur examen, les maasials excite d'arrestattions s. comme, en s, les mima leur sollicitude éclairée, d t accordé 1. PO y a t tant la Toultu, édacteur en chef du Journal de Tau- génital de la préfecture. - Le préfet leurs du canton, les plusfenrs blessés; i frit une r,' gaine anapimes, presse Jaune, a sccn bé hier soie àune stylo- ura, lamer centre les élections, tires du conseil général et le préfet dans préférence à M- Jules arbot. Une >a a t e ncé dès hier à se faire pour rée les vingt jours à partir de la promui- q°xn u1° l'érhu lino du flic, don[ suudrait depuis un délai de vingt jours à partir du jour longue suite d'éclamuts urcés btenu. gatiou t 0 éra national et re d è Parie, 10 août, 5 h. mail.. Le Conseil macdcipal de Paris a adopté lia conclusions de rapport de la n portant que les travaux de décor:isslo dur. lion commandés P" la ville Le. net in avals crznsncrua Privecipiment raz otites civil., non plus exclusivement ana édifices rel,gienx. La plis vitae des mptts in,,lireets pour jnillrt, ont de 8 lin illion,, cc qui volt 53 millions pnnr les 7 premiers mois. ltome, 9 :tout. Le Rapport des mimxtrea dés finances et dit latinisme de la dr,.ié,c session de te Chambre relativement à la circu- t' :sNatLav reonse,OS Du JOURNAL jus TOULOUSE Du 10 niant /575. -C":i4- LA ROSE D'I%NTI ES Tout à loup, la perte lui faisait 1!»ee au uerond salol soi ae 4, et tin 01011. I»rd entra, donn»ntlle bras à ,an jeune tille d'une merveilleuse baanté. -v Sans cette ezpress' n de hanL:nr et de dédain qui decul ,11,'Imne virose hysio o e, pensait Paul, d dura sa sl' elle sir it po nile.n Cette jaune Ulle s'a van^a jusqu'au milieu d. salon à la rencontre des uns- ire personnes qui l'y avaient précédée, - Messieurs, leur dit-rlle, j'ai pris la liberté de vous réunir ici pour v u faire« une communication duel vous P. précierez l'impoelunee. sain re Le 1 Les és é ot pus âgé d'entre ce. eux répondit am - Nous vents écoutons, , sigour mra. La)inné fille, ayant démasqué trois autres personnes qui se tenaient derriè- re elle ,P.,,, lesquelles Paul put ce- nnatlre le docteur Marin,, wntiuua ainsi - Je suis Luoizia Attisait, des prin- es de Varése ; ot v ' i n aIeuL le prince Carlo-Peiee Anafeblq et mon père, le duc Eltore Anatéeto. A ce, mots, prononcés avec use et- ta ine em basé'' les rnnmls saluèrent de n Mbstuî. La signas reprit : . - Mbdseur le consul de Piémont, ,monsieur le consul des De"-Siciles, ras êtes lois dent, à des titres dif- Isurd aA, te p é oto t de ['Italie, ne- t p,l t Il pl R d étale 1. 1 d i ses qll , moi, Lita Aaa(nsLU, dos Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6 IIRNAL lIE TOlILOIISL Outil dans le AJessapse de Tolatoure : e Nous avons lu douleur d'anunncre à las lecteurs la perte de M. Auguste Pnjol, rédacteur en chef du Journal de Touleuaq mort hier, à 11 heures du o r , après cinq jours de maladie., s Ni. Pnjol jouissait de l'asti nie loi Létale et sera nnammrerent regretté. On lit dans le Progrès liéérnl : a Nous apprenons à l'instant ans nou- velle bien doulonrense et bien imprévue: notre excellent confrére rat ami, M. Aa- goste Pajol, rédacteur en chrl' d 1 J,,se nu! de Tonloaee, net 00000 nier soir, 8 août. gram" princes de Varèse, je veux prendre pour mari M. le docteur Marins d'Ami- bes, ici présent. A nette étrange déclaration, dont il vair été provenu ci. au e façon, n'ayant pas reine, dopais sa arivée, u le loir d'adresanr m,core la pocole à la belle Vénilirnne, Marias regarda la prétend ne malade, prés de laquelle ou Hait de l'amener onsigiand Sluipoge, et se si sa minette 0'01,16 pas or. agoutiou céréhrsle. u Quanti aux deux , sils et à leurs rétaires, lent pre r intiment fit qu'ils étaient le u. dupes Voue 1nyetitl- catio ; mais la jeu e fille qui venait de leur tenir ce dis ûura bizarre lis- le si boavx l'ai, qii ils aban- donnérent bleu vite celte il) positioe. Cependant, cette fantaisie, par trop 00. éolienne, leur semblait ou peu riaquée. Aussi ce fut avec une visible froideur que le consul des Deux-Siciles dit à la jeune fille : - Signora, Tous n'ignores pas, et sur- tout vol nobles parents ne peuvent igno- cet, que nous n'avons a n titre légal pour recevoir une pareille déclaration. Si vous tonies à e qu'elle eut nec certaine valeur, t'était devant le consul de Sa Majesté Catholique qu'il fallait la faire ;il avait seul qualité pour la ne ce,. r. - Messieurs, dit Lmtizia Anafesto avec hauteur, ni moi ai les miens nous en de commun avec l'Autriche. Puisque l...a autres Veut- lieux nous e avoas plus de patrie, je tenais à vans faire à vous cette décla- .ttmi. Quart au clair, ous voulez bien le e udét[re ce era l'affaire des autorité, françaises. 'fort cerf avait été dit à très balte voix et parfaitement entende du second tenait 101111, C'a Tu saisit sol.. où se é ha p 1 1 plét t . ' [ i i i vil l': i v aU qac l ,a e Do ne srbaux des sur la sc plnsicuen années, etq.i s'est compliquée où il aura reçu les procé - re tic dernier jour d'un emumroeameut de j opérations éleelorales ; il enverra s Arl. 3. Les conseils généraux sont sur les premier théatres de Madrid, o a,ieo il' poitrine, à l'ûge de !i4 ans i eé,Ltmati.. au conseil d'Etat; elle ne dessaisis d'a réclamations qui out été Bologne, Rome, Vienne (Autrielle), 'Si- « Cette nouvelle ante tin douloureux i pourra être fondée que sur l'inobservé Portées devant eux doux les sessions Péteeabourg et eutees justifient pleine- dans notre ville où cette non des coodilions et formalités ,,vexa précédentes. nient cette n mfnation qui promet à ta -àdoit l'amitié il'.. grand crus par les lois. tri ayant-droit pourront se pour- ou un brillant a P sous l'estime st ( ai Nous et t d, sous tous. Auguste f ¢ Art, inées - les conseil rérla 'fini soi- au conseil dent. duos Ida délais Nous le pouvons laisser passer oi ochre de l'article précédent. ai les succés obtenus pa s nn- njol cachait, en effet u e appa- vont exmin u, le - Art. 4. - Par dérogation à l'article r na n101 vif i et p., do hion l es' vent lesat'ormai adoptées pour lé jugea Cuis élèves aux derniers concourus du rtnte. n amour do hier, u en e ex ent des affaires contentieuses. Elles 23 de t loi du 70 anal 1571, la session Conservatoire de Péris, oie un accessit L et quine sensibilité qui se traduisait par seront jugées sans frais, dispensées du ordinaire qui oit suivre le !3 août de piano et deus accessits de ehan de bienveillante. ambre et du mirdstéee des avocats au ommencera, ded plein droit, dans le d'opéra.comique viennent d'0tre le par ue grau di tement de la Corse, le deuxiè- Pour nous, qu'il honorait depuis 'I d'État ;elles seront jugées dans par rage MIIea SI et Sauné, et deux pre- longtrmps de so initié, et qui av le délai de trous mass à partir de l'ara me lundi de septembre. miens prix, l'un de chant, l'autre P. apprécier de r prés ses axcelleotes rivée des pièces au secrétariat du on.- U6libéré"es, séance plO bli ubac, à Yer- grand opéra, obtenus par M. C^^t Lors 1 ara lien à sailles, le 31 juillet 1875. qui, en 1872, remperla In . I- o q ualités de carne et d'esprit comme sait d'Elat. - y gril n . d,ingt n mine journaliste ,,notant plus d trio les rusan le délai Le Président prit :s dans nitre classe de I 'a-- de vis p nous venonss da taire : eu où la d ru:ision judiciaire sera devenue Je dois, en patient du Conaervaloire dent cmisuls se disposaient à ae retirer d'assez méchavle humour, intervint ainsi que son fils EOere; tous dent duin.érent nés agents diplomatignet après pryen oix lesudoux Vénitiens basse, t les qui se ,tirèrent, Suivi. de leurs se'orétaiee6. ,ooo eût ait et qu'il rat nul désiré ev naître la tuile, iltrnsn qu'il était, a ant tout, prudent do sn ménager ovin retraite. Il se iap. pela alors yu'II avait u Aenx voiturés aOelérs vint, onner dans Îu cour d'hal- eur. Sans a c e s attendaieol las visiteurs, et, cela litant, la parte oorhére suait sanrrie pnnr leur livrer passage. Or, Paul sri t moedait sil on pourrait pis profiter de cette cie- mstence pour s'échapper sans être aperçu 'faut en faisant ces sages tinssions, Pont Moro.. avait gagné l e long c dur, plia l'escalier de service, qu'il avait dégringolé aussi preateineo que In loi perm liait la majesté de sou n ventre. Il avait devinée. Commeflorrivaitdans lacour, 1. ami na d des vnitrures .mettait ce mouvement pour gagner la porte que l'on serait d'ouvrir, Paul se glisses narrées la voiture, et, demeurant dans l'ambre !qui elle projetait, put arriver sans encombre sous le passage voté qui conduisnil à la porte de sortie, Eu instant plus tard, il la franchissait sans avoir été remarqué et an trouvait sur la promenade des Anglais, libre désor' male et délivré de toute crainte. Aussi, .,art de le lieu n venait de se passerette scène bizarre, Paul vpu- lutaoeepérer, Il rit quelques pas en arrière api de saisir quelque indice qui l'aid:lt à recsnnailre la m rson, s'il m était besoin: Il constata ton; d'abord 7 l avait devant rai l'une d I II. q,( àcett I ou, v imenyaieut à peuple, la pro ouroocil des Anglais. Ans rayons des lanternes qui bordaient la promenade, il put lire celte inscription sur la faça- de : VILLA Mépact. Paul pensa alors judicieusement qu'il pourrait difficilement étendre le cer- le de ces c he,ehes ce soin là. D'ail- trais, mon saoul il déjà pas a pour réoelutionner la lendemain 1. pai' sible maison du dorieur Cochaed ? NI. Leroux et son fis, taos la rsatioe intime qu'ils avaient eue aoul lui sor I, place d'Antibes après le 110. part du papa Ricard, étaient e enet n'est pas mon affaire ; qu'on me dise de paru aon s arts peine, à per uader rouler et je roule, répondit l'homme que à P011 ç'0 il n'avait rien à craindre pour nos lectrices ont déjà reconnu pour un sen compte des projets d'sveuir de su vieil imprimeur. 9 . Et, hase bizarre, loin de can- - Pourquoi ne roulez.vous pas ? Paul le plaisir qii uoe pareille - II nous manque vingt lignes pour eléclnratiol aurait dd lui flore, elle l'avait terminer le journal, irrité, tant s sotte et iosvpperlable - Et vous ne pouvies pas les trouver santé gouvernait ce gros garçon I Aussi suas moi ? 'était avec une véritable rage que cet - impossible! homme, qui eepeu dont n'était pas oe I - Il ii y a donc plus de cervelle sous qu'on est convenu d'appeler un méchant, 1 ton bonnet de papier, m0 vieil cars? Poursuivait maintenant Menus, et, Pmir demanda le journaliste en riant. raine,' ses projets et briser sa vie, nll.lis Le vieil imprimeur allait riposter ; peut-être, u n e mais P'.iul s'énnt approché du jaoa- brixer aussi celle de cette dente cr a i liste le chapeau à lu main, l'ouvrirerrse titre qu'en ao pelait Rose d'l tihex !e contents de sc retirer ee grognant eu Paul, ré,' e À s'en tenir ià qu:mt à véritable lors qui il était. présent, reirenait donc III ,les vite la - II vous manque gne.lgues lignes route d'Amibes pour y chercher ,uo gîte. pour votre journal, monsieur y demanda Comme il tourné il l'angle de la rue . Paul lin rcan. Neuve, il but rejoins, par doux homes - Oui, répondit le journaliste, et jr qui causaient avec beancnnpd'animatimon. tin vous cache pas que s i non sen deux étrangers a¢iMrent t aiten. u ielle à irae d000er, voua sruiao tion de Pa,il par le contraste de leur le bienvenu. - Eh bien, monsieur, dit Paul, si ganté de le -lusieuc' i-'nn costume , vo . , traie, cravaté do blanc, rhan.ssé de bila os le permettez, je puis vous donner les pieds de Marins. tes fines, 0101110 sans ln"tnta gnnlgnn u "'Il, toute fraîche, et ose Aussi l'on peut bleu penser que la 1, aatr, ieiuarl, ajouter nul --t à sensation. première chose que fit Paul Merdas soirée. pre.sg ore I in fut de 'aveul1arat le lx indemain mat m n de pa anis tin ptir pris- en s je n e p or eni0ure u h in - Parfait. Mais Jportait B. pies. Des . votes teosnaiuet à ses pici'. eé. Si r marchand, viniez me conte, l perds donc ce le Conseiller des F,'trangCr Quant an .t. 1 tin. il d.. .hall, commencez, je nn e perds Voici ce qu'il. Inl .ait paraq t d L sorcière I[ mot. EpnVAfiD U1DxP. I g. t h ter d ,me toile g . a,ére dont Sans plus réflérhir aux eonsiquenees l eût été, impossible de distinguer la probables de son action, Paul raconta (La suite a demain). couleur nrlmilire, tant le mnlheurenx alors la scène dont il venait d'étre té- tablier était e0000et d'une 6paisse coucha mois à la villa Médeco, Il 'y ajouts de matières grasses et huileuses qui même certains détails de son cru, trou- peuà peu l'avaient teint en noir. vont sans doute que le journaliste n'ac- - Comment! disait d'as ton de ce- cueillait pas sa nouvelle à la main avec ,ère le plus jeune, à celte heure le lira. use satisfaction assez évidente. ge du journal n'est pas encore coma - Et bien, dit-il quand il eut Uni, mencé? qu'en penses.vous, cher monsieur? Ne - Non, bourgeois, répondit l'attire trduveavolta pas que je suie reporteur avec use Parfaite issouctance. ingénieux ? A quelle heure allons -nons parsi. - Ingénieux! répondit le journaliste; tee, demain matin ! je crains môme que vous ne le soyez trop, - Ah ! quant à cela, bourgeois, ce , - Comment cela ? ' dsmolbas de Bnnileoe leu Luaeea, AYaaanu e, Wenanaa. 7 h.12 h, 4 E. 7 4 r se. ; Suer-Sieo., perle Cépiére... 6h.10 h 510 m ; 40 , h r-D.ua,ov-Loerear ...7E 11 h m. a h.7 h s auauar, pnr l'Emhonclwra... 7 b. 11 h. m:, re..a¢... . Wnorecaerre h Monr.enun, t d D 9 h 5 à sus, Fh.rd race, pee rleloi u Yi s.. hl h 110 4 h Suer-M.ane, as 4 ' a Y : 5 h. aie. h a o P,ne.eo, hp. ."{ 4, n.er.aar:. . 5 E.' Lo m p.,naa-Aase, Norea-D.aa-a'Aae. .... , 7 h. m, , Norme-L,.re( de ta Pull. commende a6 A. d aN Sd+ d 9A.'ba -1 il faut l avouer, tout ceci, -Eh bien, s malgré les noms que vous chez, m â l'air d'une fable. Monsieur! - Quelles garanties ,,novez.vous me donna da l'authenticité de votre récit! car, enfin, je ne veux pas m'embar- quel dans une mauvaise affaire. - Monsieur, dit Pull, j'ai pour références les consols de Naples et de mènerai. Je vous répète que tous deux était présents. - Bah ! dit le journaliste, je me ris- que A la bonne heure, donc ! - Oui, monsieur. Demain, en vons éeefllanl, achetezle Conseiller ter h1cm,' fers, et vous vL,rer. ai votre anecdote y fait bonne figure. Le laissa Paut au milieu de la rut pour alizr terminer son ,jour. al, Paul regarda autour de lai; il était prés de l'hôtel d'Europe. Il y prit une chambre et se coucha, impatient ' effet il lie au lendemain pnnr connaître l de brhl,l qu'il s'unit d'allumer sous Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6 IIRNAL lIE TOlILOIISLimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_08_10.pdf · Ilote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES

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Page 1: Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6 IIRNAL lIE TOlILOIISLimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_08_10.pdf · Ilote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES

71e Anné&, -- Mo 2,19'

'POLITIQUE ET LITTERAIRETtlo.i

IIlote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES ARRIYEES DES TRAINS DUS CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS

ANONNEt1ENTS UN AN . .. 410 tr.1 UN AN,.... 90 fr-Ii} Six

alois,t.

... 2f P,tx Mois . 26

Annoncés, la ligne..... 0Ir: 50IN E Il P I O N S RECWMEt, id.... 0" 1f)

`Fe}}s Ulvaas, id .. . 1 . 50

A le Soelété G érele des AgnoneesLESANNQ?!CES, 20,Lien as,BLLOOO,O TQULOIISR.

Vers Bordeeu2. Départs: , j Arrivées: 1Liges dis Fendis.

f18p rte: Arrf é. Sdir ( 01 1 - Y Soir, 6 5t 08pnrts

Mçt Id .t)l2p 15 M ti n (d t) soi .. A S r - /0 Ri Matin, 5h 211

M t S 30 Main. (Agio), 8 48 Soir(Gara), 5 (518,11 (dirent), l! 55 loir; à 5

Matin texpr.), it Son (expr.L i E5Soh, f 35 Sor,Soir(06,0. 6 20Shfr,

a a540 h0

Vers Cette-SONT.-REÇUESJ Efi!M. Simone, LefOte et C.

Matin (dirent) 3h40 Mot n (Car) 8h !R, Puce oa o. an..., PARIS.. Matin, 5 15 MaIm (eapr.) 10

Lgrne de ihyenae.

Mptn '6h 151Mat. (Monte.), 1Oh35soc in (rail, fi 10 (Sans b.ganea),9' 61

$olt,(M htréj.), 5 5 Soir (Pan) 3 Y5Smr (Bay.e),8 .Je

Années :(Matin, 0h5Sois 9 4

Ligne d:Orléane, 14,eea,s-AIbI

M tin, fihfO Me/m 9h03l0 4U $mr, 3 7M tn,f 6u Soir, 6 -5.Soir

Soir. 5 10 Sou, il 2Teeldare, ire. Year.vele.

e rendu d -tr u du CnnsMuaara Camrdéb t n p pfipa]m esprit lie et dé. défl t va. - Le. s diauq unsr plétem t de dé- Auguste pùjol "Lait!; ouitou6e ID Août, ai!'" du panier maniait a été p ",,il Noc11 traite de la"possibilité ét des mnyena 'lads sur ce doulonremx évé e nl qui li.t, doublé d'os bomme de ,a,. ter que aur Içs g ta

relevés a. 'les

an abolition fmm éduate ;

l de mue gü d la ville rI Toreluuae

de faire cesser le cours forcé J d ril noprend y

hie animal qu'il clos s Louis BM1- réclamations à I tcxpt yn dg Moyens ' pendant l'ahndëscalaMe 187k-1873.

Il6`' n l' p p e squelques mesures prépara. trou 4 P 1 pl n de 1 b.é de. M. Au [ Pusan,

dd'ortdret

pititoutéet qtd pc t dtLo lr -avions que. plessieura,

doctes.

a p d Jours ne I

(RAF?alE PRIVÉ F. t P a té g t ne à mo n, rdd clédé én ch P d ourg f d Tou- I é^I lia t fondée s r I pis

L'arçhevégnn de Palerme 'aydgt ioda" nnL h1ér, 4é p 9b I Jn-ye,\ a5}7int j'arr-a oûF99igi 5h'ce, s 1a 'R 2TB de lel4 4e uugnrl .d Pltat La;g6tf`e1e.,lalroq nenl e s éneudemahdé 'exe[ualue, quuci le pelai d son màl, gamme ddgd j8 , dit. ,leq he sp é i s du sait sur la pa- s ursis u t à tétait jusqu à e qsé la ter e wD àf5s écus es dé cMnt err th

eParis, D août, fi h. 30 soir. ipiscnpal al la les ai" ntés soient posilinn aasse St Sernln On se réunira à la queshnn prélndiciclle ait cté Jpgée par pl été s u a c ttLe Fr

e

onças dit 1 A la di,tribution imis

les tn bana ux co pëtent et fixe ou tace,de tadont plus pénible la tache

i lervenus; Il talc seulement nue sim, . La to`11, m.re rd en lui maison mer tu air, rée de la Chat.,, 19. qui de leursdes prix du Concours social quel. pie p1ouestanan. a d e, d n t d é pl d - bref delta d s lequel

t

I parlie professeurs, a e autre àduquel légé rs promptament és 1 t A t P pl sous aura élevé la q t' prit udici tint concours sous le double apport

L

1 Sl t a et 111n 1'entrie die Peéfe

s

l novas ufr000c. Sa, p g il' M11 1 C ré de S nl N'colas entais prie' 1 n S'il y a nombre et de la farde des sujets mate.

éton é, I s s dI ad . t. it qd r do tl I 1. S demain d i e d g d'a -S

loued la 3810 II y a e a de t. Parie, 9 août, 7 h, matin. PP

f fe l 1 s goal tés d uq 1 i ce ! p I t d epod doit, sous f n de et ;Fors ltenMe eux sont bleu doués

M.

ora ,a

discours d M N: Ilq t p 9 dans s égl et promettent sI r II de Reguierrz pour les _11i té, ,.tri milieu la p t t I s des uccés dans 'a-

p.li ; il s f t aurl alliaient à lata l'abbé Cartel, Oncle i vimite "evis-n honnitu. et d uo raracléue iftdêPgrdJAÈ

éléhréeill'au

peliltgiftaia

t ti que M1folnsquil deaétal, est nom mé FougueideTroyes, eu La valeur de l'écrivain [ h k titanes de I daUou.

dix Jours du jugement, quelle q it vin r

p III iau vernnm ,rat ré hhcain une r 'pl'icemenI de Mgr (t' S (t, démta- lui dans un style sobre et prénie III é la distance des lieux. Les questions Nos clos ds d'instruments ont obtenu

gp pou acrifiait pas à de 'a .rats préJ du:ielles sx.ont Jugées s noue dh r d. uUas Celle de littératuregvallté°de plie geiapx autres louvera

sacrifiaitCesse de la Pensé, de L elhliued b 01' no d p B I p les en banaux rat en formé. et d dé i

n0atsontenjus çe fica

II I

,,valvés.menin, ç la vertu, sfln Nier, le' Comité cent'ai d M la M Sauvage , qd il 1 éce ment d s Nurnbrea A eonreils généraux

ru p' ris pl . 4 de l'ai racle 33 de d J s 'ont la désastre dont

qui elle ne dégédiré pas en licence.vons showsé hale de Mac-5l faitee noailre 'à l'Académ d elenre t ih) 0e à 1 I dit 19 asoi t 1531 f I ; ee et )0, rotcintréesre Cgarderodl or.

o ceratL;Asse Lincoln a aiopté la loi n eut Ilid'b

Le dé t quefié

nnu

ss

a jh t d . t mh, es I f s de'as[

,ni m 8:100010 dont lyt taneoendu sut .

cru1 n venir, nonservatoire avaiteueacteur Jum épié I douer d.uiv les dé t le la solidité d., s'a a0ectlons coinma Article le L tfcl . .5, et 16

Art.s

47on

optiL

cantons est tenu degénéral

q r d alhenr à déplorer . Ma^y " I n.ll é l't da, ne pas I

ei l'exétu Lindé,l option nu prsi d ent du bort Mas y, professent de la classe de

1 - é .t A. 1 trnitre. P e117 d^, 11 loi il f août 1871 t

élu d1

én gui chant desa

' I d dé i i Ue noa tem troublés e5- dans un °- gl"41

dans les troéis

Jouteles egorta d'une mal (die

ça' Celte

smgnement ohlic ^ la I1 0e

demeise.lles, su algue. sons

t

sesaton, et en algue.Vunsm il r ég, lem itl à .avenir Vol il. a n n .sures s o 'vent I qui a la tradition de la maté-dtflés aimt qu'al sut : suivront l onv¢rlnre de la

P P- Jnnrmn ..Art. 19.

Lesité

pan. p iront risde fanon. rapp r e ra ° 'as de conte t a pisi,érement des li avoua de r o'atmte. t et de la [ tétante, l avait dû ut a éne de nullité r t t I. -v r4

tous Iça

ou I.e;ult triméPPt' , s 1, iimr et In t t d , b sttanxrrlia erré unir - . 1 t bans ci" sa4 g P fieation de la dé rad onseil e tao. portsperte,

, blessaitdouloureuse

toutessous

nost et cremt det

;Ild' 1 t et d t. r d raton,. par les ua rd d't t par A défaut n' pC. dan., ce délai le vina. éveillait toits nos ogresg " t ras .te q autorités 1 1 d triions

'PI I i m 1 t t t

trille

a, a /

i'6 béd I .T IlI. b s du bonnet gé é 1 S1

stil général ddle ers, nu séance pua

d

éveuu0 barras à notre ConservàLoirs.

qe1n1. r l l toversité I ôte it pas èlé raplli.us sine I

plus

PPIp t n des a-- boit la phy mpü t I. q e. lutsigné,

/ o. sera à vans àg m aie

re

d. I wé. tlal Ils d t ét dé 11111le t Par sa

i

e d sp 1, a quel can- Ln effila lè talent, ntatian, I'ez-e. ss

ve

rll r ,,part dra. -Lors- pdrience et le zèleluin

répcessant

dont sa'e l'i mce .Ils dm[ ganter cours ,éd t (lés +t do née les Lénnced Llver et P tà la tète d 11 es la lui uu pre posés

pr

d ras les dix jours Q suivrai l mb nseiers non rl.MassY ou s

ce dos

a,- vie r adonna tant eu

dontMiel

r udre4 L .nPtaxu d6pssse . l'élection,

n

m Ica llé s dan «parlement, dépasse les, rendaient son remplacement fort' une I L à ce' « saj mr,ee,nl I

18d

iilllons,1

lUtpx rte

sil [ di ton il onsoit

tenhau

euxsec r ét

duar V de id

Ltat-,

le dépar les nomb amis ( p n t le quart du c .il 1 cmise,l général diffimle et flous faisait craindre 1 ntte

éenil

a secrétariat général de la pré. çoo s rpp é de son successeur Mais cette¢ B tue 9 a l --- e et os l se I i avait faits f t re de d p tement ou l'élit. procéil de l nié en 'f n r dé i

ion. p i ht tl le Varcad de Paria du 9 .rite 6O 5. t L [puisseses uctelm g - pnstl- t a'qY ItÇ Il xn ris donné g 1 ti ou ceux d t Il t ibot appréhension d pist bientôt devant2nI ,.ti ét

4 oral, 2DU Turcs, qui mt p,rdu ,à ,a tue ut depuis si tongtmnP 1 entôle Et e encollée. S y. q t o p é! lia 1' o h 1 Lé des d tatares qui serecépb ox

L.."

100e Don aria,Il été e le d val I d -raIair,

provolone. 40 à ,.. use.dans tous le a , notifiée à la partie

dD f sot d . t, soit pa

aaété blutessé.

des Selim pacha Spirilun ux. dévouée du /aurnal de TouloE. V.-C: fuit s rue t l 1 l rage au sort est 1 inter mndm

tired n désir ux de voir

intéressée dans le délai d'au mois à tait par la '_laissons départementale le titre flatteur de professeur déoutre

co.bdn du Jour de l'élection, - Lea

pue

n[ l'intervalle des sessions, .Londres

r

9 aoiit +l On lit deus la Depdche Flet leaosmetlra seul dEtt, Pend Conservatoire pssédF, par des aartistes11 eu des désordres à Cla= iv

É"pr u ivr Art. 2. - Peur les élections qui ont trop haut placés pour accepter vile

linaire de O 'Con

IJEy a g'1 . eu osas annonce uoe bien triste dans les dix jours qui su ont l,artur réa ea (feu vont la présente loi, les rôtie de solliciteur.me.leet diman

uel.che, à l'occasion de can --'"'-- nouvelle. ception, les réclamations

c,,."signées au mations

s 'sol Présentefaites r les éc

La tien est intervenue ; ilLa mort le notre ami rev'r des ce. .Notre u chefs M. Auguste Pujol, procésverbal ou déposées crétariat Après mur examen, les maasials

excited'arrestattions

s.

comme, en

s, les mima leur sollicitude éclairée, d t accordé 1.PO y a t tant la Toultu, édacteur en chef du Journal de Tau- génital de la préfecture. - Le préfet leurs du canton, les

candidatpa

plusfenrs blessés; i frit une r,' gaineanapimes, presse

Jaune, a sccn bé hier soie àune stylo- ura, lamer centre les élections,tires du conseil général et le préfet dans

préférence à M- Jules arbot. Une>a at e

ncé dès hier à se faire pour réeles vingt jours à partir de la promui-

q°xn u1° l'érhu lino du flic, don[ suudrait depuis un délai de vingt jours à partir du jour longue suite d'éclamuts urcés btenu.gatiou t 0 éra national etredè

Parie, 10 août, 5 h. mail..Le Conseil macdcipal de Paris a

adopté lia conclusions de rapport de lan portant que les travaux dedécor:isslo

dur. lion commandés P" la ville Le.net in avals crznsncrua Privecipimentraz otites civil., non plus exclusivement

ana édifices rel,gienx.

La plis vitae des mptts in,,lireetspour jnillrt, ont de 8 lin illion,, cc quivolt 53 millions pnnr les 7 premiers mois.

ltome, 9 :tout.Le Rapport des mimxtrea dés finances

et dit latinisme de la dr,.ié,c sessionde te Chambre relativement à la circu-

t' :sNatLav

reonse,OS Du JOURNAL jus TOULOUSE

Du 10 niant /575.

-C":i4-

LA ROSE D'I%NTI ES

Tout à loup, la perte lui faisait 1!»eeau

uerondsalol soi ae 4, et tin 01011.

I»rd entra, donn»ntlle bras à ,an jeunetille d'une merveilleuse baanté.

-v Sans cette ezpress' n de hanL:nret de dédain qui decul ,11,'Imne virose

hysio o e, pensait Paul,d dura sa sl'elle sir it po

nile.n

Cette jaune Ulle s'a van^a jusqu'aumilieu d. salon à la rencontre des uns-ire personnes qui l'y avaient précédée,

- Messieurs, leur dit-rlle, j'ai pris

la liberté de vous réunir ici pour v u

faire« une communication duel vous P.précierez l'impoelunee.

sain re Le 1Les és é ot pus âgéd'entre

ce.eux répondit am

- Nous vents écoutons, ,sigour

mra.La)inné fille, ayant démasqué trois

autres personnes qui se tenaient derriè-re elle ,P.,,, lesquelles Paul put ce-

nnatlre le docteur Marin,, wntiuuaainsi

- Je suis Luoizia Attisait, des prin-es de Varése ;

otv ' i n aIeuL le

prince Carlo-Peiee Anafeblq et monpère, le duc Eltore Anatéeto.

A ce, mots, prononcés avec use et-ta ine em basé'' les rnnmls saluèrentde n Mbstuî. La signas reprit : .

- Mbdseur le consul de Piémont,,monsieurle consul des De"-Siciles,

ras êtes lois dent, à des titres dif-IsurdaA, te p é oto t de ['Italie, ne-

t p,l t Il pl R détale 1. 1 d ises qll , moi, Lita Aaa(nsLU, dos

Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6

IIRNAL lIE TOlILOIISL

Outil dans le AJessapse de Tolatoure :e Nous avons lu douleur d'anunncre

à las lecteurs la perte de M. AugustePnjol, rédacteur en chef du Journal deTouleuaq mort hier, à 11 heures duo

r ,après cinq jours de maladie.,

s Ni. Pnjol jouissait de l'asti nieloiLétale

et sera nnammrerent regretté.

On lit dans le Progrès liéérnl :a Nous apprenons à l'instant ans nou-

velle bien doulonrense et bien imprévue:notre excellent confrére rat ami, M. Aa-goste Pajol, rédacteur en chrl' d 1 J,,senu! de Tonloaee, net 00000 nier soir, 8

août.

gram"

princes de Varèse, je veux prendre pourmari M. le docteur Marins d'Ami-

bes, ici présent.A nette étrange déclaration, dont il

vair été provenu ci. au e façon,

n'ayant pas reine, dopais sa arivée,u le loir d'adresanr m,core la pocole

à la belle Vénilirnne, Marias regarda laprétend ne malade, prés de laquelle ou

Hait de l'amener onsigiand Sluipoge,et se si sa minette 0'01,16 pas

or. agoutiou céréhrsle.uQuanti aux deux , sils et à leursrétaires, lent pre r intiment fit

qu'ils étaient le u. dupes Voue 1nyetitl-catio ; mais la jeu e fille qui venaitde leur tenir ce dis ûura bizarre lis-

le si boavx l'ai, qii ils aban-donnérent bleu vite celte il) positioe.Cependant, cette fantaisie, par trop 00.éolienne, leur semblait ou peu riaquée.Aussi ce fut avec une visible froideurque le consul des Deux-Siciles dit à lajeune fille :

- Signora, Tous n'ignores pas, et sur-tout vol nobles parents ne peuvent igno-cet, que nous n'avons a n titre légalpour recevoir une pareille déclaration.

Si vous tonies à e qu'elle eut neccertaine valeur, t'était devant le consulde Sa Majesté Catholique qu'il fallait lafaire ;il avait seul qualité pour la ne

ce,. r.

- Messieurs, dit Lmtizia Anafestoavec hauteur, ni moi ai les miens nous

en de commun avecl'Autriche. Puisquel...a autres Veut-lieux nous e avoas plus de patrie, je

tenais à vans faire à vous cette décla-

.ttmi. Quart au clair, ous voulezbien le e udét[re ce era l'affaire des

autorité, françaises.

'fort cerf avait été dit à très balte

voix et parfaitement entende du secondtenait 101111, C'a Tu saisitsol.. où se

é ha p 1 1plét t

. ' [ i i ivil a l': i v aU qac l ,a

e Donesrbaux des sur la scplnsicuen années, etq.i s'est compliquée où il aura reçu les procé - retic dernier jour d'un emumroeameut de j opérations éleelorales ; il enverra s

Arl. 3. Les conseils généraux sont sur les premier théatres de Madrid,o a,ieo il' poitrine, à l'ûge de !i4 ans i eé,Ltmati.. au conseil d'Etat; elle ne dessaisis d'a réclamations qui out été Bologne, Rome, Vienne (Autrielle), 'Si-

« Cette nouvelle ante tin douloureux i pourraêtre

fondée que sur l'inobservé Portées devant eux doux les sessions Péteeabourg et eutees justifient pleine-

dans notre ville où cette non des coodilions et formalités ,,vexa précédentes. nient cette n mfnation qui promet à ta

-àdoit l'amitié il'.. grand crus par les lois.tri ayant-droit pourront se pour- ou un brillant a

P

sousl'estime

st ( aiNous

et

t d,

soustous. Auguste f ¢ Art, inées- les

conseilrérla 'fini

soi-v° au

conseildent. duos Ida délais

Nous le pouvons laisser passeroi ochre

de l'article précédent.ai

les succés obtenus pa s nn-njol cachait, en effet u e appa- vont exmin u, le - Art. 4. - Par dérogation à l'articler na

n101

vifi et p., do hion l es' vent lesat'ormai adoptées pour lé jugea Cuis élèves aux derniers concourus du

rtnte. n amour do hier, uene ex ent des affaires contentieuses. Elles23 de t loi du 70 anal 1571, la session Conservatoire de Péris, oie un accessit

L etquine sensibilité qui se traduisait par seront jugées sans frais, dispensées du

ordinaire qui oit suivre le !3 aoûtde piano et deus accessits de ehan

de bienveillante. ambre et du mirdstéee des avocats auommencera, ded plein droit, dans le d'opéra.comique viennent d'0tre le parue grau di tement de la Corse, le deuxiè-Pour nous, qu'il honorait depuis 'I d'État ;elles seront jugées dans par rage MIIea SI et Sauné, et deux pre-

longtrmps de so initié, et qui av le délai de trous mass à partir de l'ara me lundi de septembre. miens prix, l'un de chant, l'autreP. apprécier de rprés ses axcelleotes rivée des pièces au secrétariat du on.-

U6libéré"es, séance plObli ubac, à Yer- grand opéra, obtenus par M. C^^t

Lors 1 ara lien à sailles, le 31 juillet 1875. qui, en 1872,remperla

In . I- oqualités de carne et d'esprit comme sait d'Elat. - ygril n.d,ingt n mine journaliste ,,notant plus d trio les rusan

ledélai Le Président prit

:s

dans nitre classe de I 'a--de vis p

nousvenonss

da taire :euoù la d ru:ision judiciaire sera devenue Je dois, en patient du Conaervaloire

dent cmisuls se disposaient à ae retirerd'assez méchavle humour, intervintainsi que son fils EOere; tous dentduin.érent nés agents diplomatignetaprès pryen

oix lesudoux Vénitiensbasse,

t les qui se ,tirèrent,

Suivi. de leurs se'orétaiee6.

,ooo eûtait et qu'il rat

nul désiré ev naître la tuile,iltrnsn qu'il était, a ant tout, prudentdo sn ménager ovin retraite. Il se iap.pela alors yu'II avait u Aenx voiturésaOelérs vint, onner dans Îu cour d'hal-eur. Sans a c e s

attendaieol las visiteurs, et, cela litant,

la parte oorhére suait sanrrie pnnr leurlivrer passage. Or, Paul sri t moedaitsil on pourrait pis profiter de cette cie-mstence pour s'échapper sans être

aperçu'faut en faisant ces sages tinssions,

Pont Moro.. avait gagné l e long cdur, plia l'escalier de service, qu'il avaitdégringolé aussi preateineo que In loiperm liait la majesté de

sou

n ventre. Ilavait devinée. Commeflorrivaitdanslacour,

1.

ami na

ddes vnitrures

.mettaitce mouvement pour gagner la porteque l'on serait d'ouvrir, Paul se glisses

narrées la voiture, et, demeurant dansl'ambre !qui elle projetait, put arriversans encombre sous le passage votéqui conduisnil à la porte de sortie, Euinstant plus tard, il la franchissait sans

avoir été remarqué et an trouvait surla promenade des Anglais, libre désor'male et délivré de toute crainte. Aussi,

.,art de le lieu n venait dese passerette scène bizarre, Paul vpu-

lutaoeepérer, Il rit quelques pas enarrière api de saisir quelque indice

qui l'aid:lt à recsnnailre la m rson,s'il m était besoin: Il constata ton;d'abord 7 l avait devant rai l'une d

I II. q,( àcettI ou, v imenyaieut à peuple, la pro

ouroocil des Anglais. Ans rayons deslanternes qui bordaient la promenade,il put lire celte inscription sur la faça-de : VILLA Mépact.

Paul pensa alors judicieusement qu'ilpourrait difficilement étendre le cer-le de ces c he,ehes ce soin là. D'ail-

trais, mon saoul il déjà pas apour réoelutionner la lendemain 1. pai'sible maison du dorieur Cochaed ?

NI. Leroux et son fis, taos larsatioe intime qu'ils avaient eue

aoul

lui sor I, place d'Antibes après le 110.

part du papa Ricard, étaient e enet n'est pas mon affaire ; qu'on me dise deparu aon s arts peine, à per uader rouler et je roule, répondit l'homme queà P011 ç'0 il n'avait rien à craindre pour nos lectrices ont déjà reconnu pour unsen compte des projets d'sveuir de su vieil imprimeur.

9

. Et, hase bizarre, loin de can- - Pourquoi ne roulez.vous pas ?

1à Paul le plaisir qii uoe pareille - II nous manque vingt lignes poureléclnratiol aurait dd lui flore, elle l'avait terminer le journal,irrité, tant s sotte et iosvpperlable - Et vous ne pouvies pas les trouver

santé gouvernait ce gros garçon I Aussi suas moi ?'était avec une véritable rage que cet - impossible!

homme, qui eepeu dont n'était pas oe I - Il ii y a donc plus de cervelle sousqu'on est convenu d'appeler un méchant, 1 ton bonnet de papier, m0 vieil cars?Poursuivait maintenant Menus, et, Pmir demanda le journaliste en riant.raine,' ses projets et briser sa vie, nll.lis Le vieil imprimeur allait riposter ;peut-être, u n e mais P'.iul s'énnt approché du jaoa-brixer aussi celle de cette dente cr

ai liste le chapeau à lu main,

l'ouvrirerrse

titre qu'en ao pelait Rose d'l tihex !e contents de sc retirer ee grognant euPaul, ré,' e À s'en tenir ià qu:mt à véritable lors qui il était.

présent, reirenait donc III ,les vite la - II vous manque gne.lgues lignesroute d'Amibes pour y chercher ,uo gîte. pour votre journal, monsieur y demanda

Comme il tourné il l'angle de la rue . Paul lin rcan.Neuve, il but rejoins, par doux homes - Oui, répondit le journaliste, et jrqui causaient avec

beancnnpd'animatimon.

tin vous cache pas que s i nonsen deux étrangers a¢iMrent t aiten. u ielle à irae d000er, voua sruiaotion de Pa,il par le contraste de leur le bienvenu.

- Eh bien, monsieur, dit Paul, siganté dele -lusieuc'i-'nncostume , vo. ,

traie, cravaté do blanc, rhan.ssé de bila os le permettez, je puis vous donner les pieds de Marins.

tes fines, 0101110 sans ln"tnta gnnlgnn u "'Il, toute fraîche, et ose Aussi l'on peut bleu penser que la1, aatr, ieiuarl, ajouter nul--t à sensation. première chose que fit Paul Merdassoirée. pre.sg ore I

in fut de'aveul1arat le lx indemain matm n de pa anis tin ptir pris- en sjen ep or eni0ure u h in - Parfait. Mais Jportait

B.pies. Des . votes teosnaiuet à ses pici'. eé. Si rmarchand,

viniez me conte, l perds donc ce le Conseiller des F,'trangCr

Quant an .t. 1 tin. il d.. .hall, commencez, jenn

e perdsVoici

ce qu'il. Inl.ait paraq t d L sorcière I[ mot. EpnVAfiD U1DxP.I g. t h ter d ,me toile g . a,ére dont Sans plus réflérhir aux eonsiqueneesl eût été, impossible de distinguer la probables de son action, Paul raconta (La suite a demain).

couleur nrlmilire, tant le mnlheurenx alors la scène dont il venait d'étre té-tablier était e0000et d'une 6paisse coucha mois à la villa Médeco, Il 'y ajoutsde matières grasses et huileuses qui même certains détails de son cru, trou-peuà peu l'avaient teint en noir. vont sans doute que le journaliste n'ac-

- Comment! disait d'as ton de ce- cueillait pas sa nouvelle à la main avec,ère le plus jeune, à celte heure le lira. use satisfaction assez évidente.

ge du journal n'est pas encore coma - Et bien, dit-il quand il eut Uni,

mencé? qu'en penses.vous, cher monsieur? Ne- Non, bourgeois, répondit l'attire trduveavolta pas que je suie reporteur

avec use Parfaite issouctance. ingénieux ?A quelle heure allons -nons parsi. - Ingénieux! répondit le journaliste;

tee, demain matin ! je crains môme que vous ne le soyez trop,- Ah ! quant à cela, bourgeois, ce , - Comment cela ?

'

dsmolbas de Bnnileoe

leuLuaeea, AYaaanu e, Wenanaa. 7 h.12 h, 4 E. 7 4 rse. ;Suer-Sieo., perle Cépiére... 6h.10 h 510 m ; 40 , h

r-D.ua,ov-Loerear ...7E 11 h m. a h.7 h s

auauar, pnr l'Emhonclwra... 7 b. 11 h. m:,re..a¢... .

Wnorecaerre h

Monr.enun, t d D 9 h 5 àsus,Fh.rd race,

pee rleloi u Yi

s.. hlh 110 4 hSuer-M.ane, as 4 ' a Y : 5 h.aie. h aoP,ne.eo,

hp. ."{ 4,n.er.aar:. . 5 E.' Lo mp.,naa-Aase,

Norea-D.aa-a'Aae. .... , 7 h. m, ,

Norme-L,.re( de ta Pull. commende a6 A. d aN Sd+ d 9A.'ba -1

il faut l avouer, tout ceci,-Eh bien, smalgré les noms que vous chez, m âl'air d'une fable.

Monsieur!- Quelles garanties ,,novez.vous me

donna da l'authenticité de votre récit!

car, enfin, je ne veux pas m'embar-quel dansune mauvaise affaire.

- Monsieur, dit Pull, j'ai pour

références les consols de Naples et demènerai. Je vous répète que tous deuxétait présents.

- Bah ! dit le journaliste, je me ris-

que A la bonne heure, donc !- Oui, monsieur. Demain, en vons

éeefllanl, achetezle Conseiller ter h1cm,'fers, et vous vL,rer. ai votre anecdote yfait bonne figure.Le laissa Paut au milieu

de la rut pour alizr terminer son ,jour.

al, Paul regarda autour de lai; il

était prés de l'hôtel d'Europe. Il yprit une chambre et se coucha, impatient

' effetil lie au lendemain pnnr connaître lde brhl,l qu'il s'unit d'allumer sous

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6 IIRNAL lIE TOlILOIISLimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_08_10.pdf · Ilote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES

:dont mois -Ils 11 eu 1 t L de I lent de lni roue. Mais c it e e, on ua lu, duo. col, de ,est

1

ng 31 Chemins de fer du résea do Nidi , offaimo étrange l ur la politique L Op b n 'o que

ut ule, la: qu 1 d e , ra la t aman édition est daines , L trop l'eut n, aloi 'J'ai pour- en solo dation ou eu conetrm tin loi bdé,ieure de gnou tliement pan uu q,urnua:, t a se puai 1

r -

e. - a,c :, mu rt a ue' tut sur Ul des a g a Locuonocu, le regros p'a, uege'-. ,. .... ..Irea, lit uIlert les meme5 é llés t i.

hlque E ta meB 1 irai f l uat n du hile 1:bllsson.ut de I lté politique du Voici comm t le é1 i t sont repue.cc-lieu b e vé colle nus dot-icilles I O,''

l si ne ne temfermslt quon vol,,- pays, Le tupi t. r rép t .t! est lis outre vas tans c t ganaxI s b1 1 e ga'eu dehors de ne de 721i pages la q aatre en appuyé par d n h 1, t p f, 1,15,,,0005',I acDon du Atre, 1 leste des inlluen r hier mn de fx avec uu total de 1286 la dé c u L a lwin stative lut, c o,ces extéeteu es aine Iesgnelles se brt- pages tout à f l t d l dé t lsent tous ses effort,. A. fond, les mérites de I u ge de C p I I . C effet t dé t Icelle est la lituatien de notre Co.- Si. Ducrocq sont d'abud oo, t tion 1 st't I, t él ieset vatoire, q ,o par I I E grande netteté de doctrine et 1 tes :p 't e .. t q e'a d antre d si i. d. r t I celé dans te déh tIienvetlLmc du I ,tue I Locale et l'wu'rosi désirable d I g r codificationo t t t l

e tT p 1

-sd e t desforaii

fl' ,t

ilil au del sa siputahou quo des luis aile" t t e ensuite, uu d d s rivet f lé u tes teustn,Pa et te sur' ès tusttllert pleine- exansen déta Ilé de 1 jw ruile cé dela

nunc, enem toutes Irs a s tict ..plu L tl ssl et les Ii t d bl et ffs nlir ll .l'eau Mamat des conlbts d -p I d s eum- ment . pe.tabl de lu r t tDirecteur du Conaerumtaire. Presses de te t t pe 11 t

I 'é- po`Ligue q se traduit, tout à I 't e 1totitnuse, 8 uoul tels. te liant d'ombre sur tfpidj t les ma- dehms dos mntéeéts pécuett d'ors

tic- de sua examen , lin étudeop-

-ommune, par l'u mitéde

législation,Le palmaréx Are ('liante des arts e dur peufotidie des lois lie plia récentes ; l'unité dur ('leur t, l'usité du gouverne.

Cunservatnire eontieet deus omissions des détails de sbnisti;tue nombreux sur ment, l'unité de l'armée et selle deque nous nous empressons de réparer t toutes nos institutions administratives ; la repeésentaliuu diplomatique d'unamer, t' M. 11u1tmann, professeur de te des s'eproducliu.s des dlll'éreitts

anspro. pays chez les nations éteaegéres.ruse élé.memalre des demoiselles, a grammes exigés pour l'entrée d les

reçu ;es féliciwsiona de mm. 1. membres ditfférentes arrières etdu furIl; et 2e sa fille, Mlle IciesrJeanne eeu,, des tables de mal,éles qui

Becu. Cour d'ansises de la Daule-tloinunu, a obteuq dans la division dent faciles routes les recherches. Gnruane

" 'uléri d bl d htll'éeureur, casseeau soge, Le plan suivi par al. Ducrocq dans sesla 2' prix etc lequd. développements est pourtant l'objet. de

- quelques obseeeotious de la part du

La étition suivante vient d'êtreadressée à l'Administration munici-pale :

Monsieur /e Maire de la ville de

Toulouse :

Les souasignfs, habitants nu proprié-taires des quartiers rnvirue,eunt te Ca

pitule' cet l'honneur d'appeler votreattention sur l'état le délaissementdame lequel se trouvent les terrains quieu dépendeut. Leur aspect t,u est eu-core plue frappant de;u:,is que les us.meures conter t n ''"t él. I (layé epoiré 1 aLg e r e ô lite au i. nou-velle,

NlaLes soussig és 1 ul, Ins sur ler, q e I p, lut le pas central

Loi nos te plus fréquenté de la ville,

duos ru te, I en p ser temoue meut progressif qui tend chaquejoue à s'aor

E. attendant que les ressources u-.,civile.Permettent l'éros Lion d'un

umeat qui devra participer à l'em-belltsseme.t d'une. des principales ar-tères de la cité, il serait facile, sanstrop de frais, d'établir dans tel endroit

i square entouré d'une grille, don..etaorés au publie par deux mu trois en.I rées. Cette tra.sl'urmtion htee queprnvisuire cont ribuerait à t'assainis-semeol et à l'agrément du qua,.Lier.Les suussigsée, monsieur le Maire,

ne croient pas seulement exprimer levieu des habitants de ce mouton, matsaussi celui de la ville e.Liêre qui s'ho-

r.it de voir disperaPtre un alitas desururs et d'immun lices qu l'on peulrcgarde comme une rompues à tillédes édibces alodseaes qui s'élèvent ou.out

Ilvoie de uoneleuolion. Ils peu.

.lot ëgalens., rentrer dans Ira vues de

l'Administration et du Cnoseil munici-pal, préoccupés de réaliser, ce qui

leur parait utile au pectiL de mus.Ils usent Compter, n m rte Maire,

que vous vosSera bien le prendre eu eu.-sidératiouleur légitime demmode.

(Suivent les signatures.)

Le collège de heur( a présenté à laaession dt juillet-aoiit neuf candidatseu baccalauréat éa-lettres il ès-seien-es. Cinq ont été admis définitivement

et unadmissible pour le baccalauréatés-(sitars et n admis définitivementpour le baccalauréat és-sciences.

(lier, vars neuf heures et demie dusoie, le nommé Grefeuille (Pierre), 5géde 55 .a, roulier chez hl. Salasses, ruedes Loi" 15, conduisait deus chevaux

'attelés à une chairettm charger de bor-iques vides. Arrivé .sur la

Ménlqprés

l'axile de Braquevtl Grrfeutlle quiétait monté sur la eh crotte, est tombéet l'une des roues lui est passée sur le:ores. Transporté da as une noie.. voi-sine, lin médecin desatt

toita donné

des soins et l'a ensuite l'ait porter àl'fb,tel l/,eu. Lu calmé Grafnuille. les

ins cootusto.nés ; il éprouve de rincedouleurs.

Dimaneise matin, vers onze heures, lanommé Grenier (Cécilej, âgée de 55 une,pro oriémire à Grenade, a été renversée,un de Bayonsé pur les chevala de lavoiture de place ne 91. Dans s chute.cite l'e,nme a repu une centurion à latête.. Apnée avoir reps des soins, à lapharmacie Olivier, elle a pu continuerson chemin. Cet accident ne peut êtreattribué à I. faute de ruche qui a crié

plusieurs fois à la lemme(;,,ai,,

de segarer.

ACADÉMIE DE LÉGISLATION

Séance du 21 juillet 1875.

l'réatdeuce de M.

L'Académie u reçu un ouvrage de M.Albert 7'rnchon, intitulé Des étranyeedeuunt la juariee /ra.paiae et des juridic-tlons a,ationaree des

peuplesuieax et

modernes. M. Poubelle est chargé defaire un rapport sur cet ouvrage.

Sa, la proposition de M MoIinier, Cl.l,nigi Lncchiei, a ncut, directeur d.lrn ' noires amevihles, ce qui, malgré leurRirisla pente di delIriaa, legislmzione e partialité celaine, enlève à leursgiuriaprudenza, à Venise, est élu, à décisions un peu de valeur morale. Cetl',manimité, membre cnerespo.daet. I ordre d'Idées est appuyé par un autre

L'ordre du jour appelle un rapport j membre, qui fait remarquer avec junte'de M. Ib,zv sur la quatrième édition 1 raison que l existence des iuridictions

à i- d la reind api 1.>et à talle d'e Oia,:tuuextérieure pour pénétrer dans un édi-fice.

Deux accusés ont à répondre de cesfaits : le promet, Lematte (Coma Joseph)-omms aa,tme le deuasé us, Noirot(EfnnP.), comme co-auteur ou tout auSus comme complice.

Sa ne ledessiou, ea s domicile, cesdeus ac,.,éss,ue peu dignes de bse.-eallauce,Lematte surfautt]élà co. (aune

à cinq ans de réclusion.Averti q,,,. des malfaiteurs rôdaient

autour de na demeure, Mu.ièeen fit legilet, comme Noir ut, et trompant la sur.veillance de ce dernier il franchit unehuis et surprit [,sollicité qui, avait frac=Curé uu cadenas, tenant déjà un drapde lit et fouillant uee corbeille deh

Lematte s'excuse pur une ivresse queles faits de la cause 'tablissrut Carsfactice. Pour N'dent, il nie aa-

stoute parlicipatiun lus crime,

nxlgeé les charges relevées conteI.Reconnus pables, mats a v.

ci .naunes, scié... clés,la Cour condamne Celante à cinqus de prison, cinq sas de su v ill

ale la haute police, et Noient àdeuxdeux

ans ne pison.alintstére public M. Lacotnta, ro-

est-géré

ai.

Défeasaurs, d'MM-Pe Nuilha., pour Nul-rat et L,amaad-Par...et , pour ILe-matte.

OBSERVATIONS METIOROLOGIQUFScanar a .,...... aeeiaa

Dan S Août -- 9 Août 1879

g.,v

a..-. : 194 .àrue

lasse Snaaae pe rases.

741 9 }j.22e m. beau, ,SSE fnrl.743.7 nuage ,SSE le foi.745,7 cous. INNO ie, [ai.745,5' 211^.8 il, jNNE id.

'SE idp u744.7 23e 2 a. Eu. 'C E td143 7' 24 , beau N

Thermomètre centigrade:~

W a.Dam,Wm.

Masimnm du 8......... } 28.0loin,de la nuit suivante -} 17e6

t t d e abearvatione mé,aorelogiques alita

D- - .laine a -par«. rémité rasda la Grau fn-Allée. - Altitude i 149-,

Du 9 out.Therm« oentige. ..Î.. d'hier : + 27"2

id n. delueuitu }20.0.an... e ont lia. Situ nu mea.. v9 h.... L-,749 2 npag. SE faible.

midi. 0-,748 4 id. Id.

Le baromètre ni-cille un peu au.dessous de variable, .'ce tendance àbaisser.

Le temps est chaud et beau, ['air a.-a« brumeux.

Vent pendant la nuit.Température à midi, 24-.

DÉPARTEMENTS

Voici quelques détails use l'emploiqui va

élite

Ylit dur crédit s de 3,100, 00fi. accordé p.r l'Assemblée au ministèredes travaux publics pour la réparation

des dommages causés par Polluaient.dune les départements du Midi :

Les dépurtemmrls atteints entre 1-que]. sera réparti le crédit sont les

vans : Arlége, Auto, Bantc Gar.nor,Tarn-etG trou a-, Lot et Garuune, Gi.

nAq Gers, Nanlesl'yréoéee, Basses-Pyrénées, Pyrénérs-Orientales.

Il ya trois ordres de réparations à

effectuer

l e Ponts dont les arches ont été em.d'in Co.. de irait adrnin'istrati,

M. Ilucrorf par administra. iaes établit uee véritable portées, aqueducs écroulés, chaussées

q. professeur à la Faculté de confusion des pouvoirs. ravinéesdroit de Poitiers. A propos du point de savoir s'il faut t° Rivières dont les ouvrages ont été

fa multiplicité des éditions de ce commencer l'éude des lors ..nalités endommagées ; c'est-à-dire e ivre eIlvre qui se sent élevées à goitre en administratives par l'état on par la rndéee, terrepierre alfouiliés , ehe-

quatorze ans est, comme le fart remue. commune, un membre émet la crainte mies de halage bouleversés, digues em-quer M. liozy, un premier témoignage i qu en se préoccupant d'abord de lai portées p

rapporteur. M. Ducrocq divise son livreen trois titres :

ia Autorités, conseils et tribunaux lad.mieaiatratïje

Sessile du 5 trimestre 1875.

Présidence de M Anrnuac. a smiller àla Cour d'appel de `Factuels.

Assesseurs : MM. Fous et Delgueii,2a /téglementatieu administrative dur conseillers.

principe du droit"le

français; prie. -peapotiliquea, liPrté tndividaelle, éga- Audience, du 9 soit 1875.

figé cmile, liberté du trm,ail et de 1 matou.trie, etc. t prend affaire est relative à n

3e personnes morales d,l droit adminie vol Moulins, , nmfs le 23 ,,,a dernier,troll/. vers u e lime, le l'aprés- ci ti,à : entré,.

M. Il ,y pense qu'il faut d'abord emm- du village Il'si gnnne[, dans la mul,uuer par l'étude des principes du isolé,, du sien' :Nazie: es,'il lit,,lutin, ou eouattulionnel, qui, vaut, et peu a oc les circonstances eg-

.,Inme. le allait I'i lu.lre Do,,, mie. i, u habitée oj es tête, do chapitre du droit n Iaistraotif.

Ne vaudrait-il pas jeux sous,a

dire l'étude du droit administratifproprement dit, ce étudiant d'abord lespersounél murales ? Est-ce que le co-de civil ne commence pas par l'étudedes personnes a Est-ce que la peraonna

lité morale ne constitue pas ee droitadministratif, le surjet le plus fréqur.tdes rapports juridiques Y Et ri est il pasrationnel de n'étudier les choses et L.moyens pour les personnes d'acquérirdes droits sur elles qu'aptés avoirbien mesuré la capacité des pue.sonnée ?

A un autre point de, vue, M. Bozy se-grelie que M. Ducrocq, solvant du ttslece ceta I exemple de tous Irea autres peu.ficellera dedev,t

administratif,commun

ce par VII l'étude des ps,,.,... alliéso ales. IL craint qni eu ne é occupant

de la commune qu'après l'Etat et lefépartement n au subordonne trocla commurs à l'Etat, etgu'on ne l'absor-be uap doux la grande pur.... alitégénérale, en faisant :.rosi de la centra.lisalaou exagérée.

L'opinion de M. Uucrocq qui fait d.pouvoir judiciaire

iu, i, lute branchedo

Pouvoiru

cxécntil' etane lui dossepas d'autmomlm parlicafiére, est égale-rent combattue par M. Itoay II pense

que l'inamovibilité de la magistrature,la ature de ans foncti ons qui lui in-l,rdit de prendre -on os mesureréglementaire, sont autant de r

qui séparent complétemeut I. magistraeturc du pouvoir e écutf ou admmis-Lratif. Enlin, le rapporteur examineplusieurs des grandes questions cnutro-ersées, étudiées par M. Uucrocq dan.le cours de ses deus volumes, fait ees.

sortir la sûreté des solutions et, -

clare le plus sauvent lu conformité dees propres opinions avec celles de M.

Ducrocq. Il termine en recommandantcet ouvrage c e le plus au courantpo lacs administratives réceutee et

pouvant rendre Ira meilleurs services.Deux des points (rasés nueioulevé des

discussions

s dans l'Ace.o t

demie.lIn membre soutient tue l'histoire a

toujours montré une confusion qui atitré longtemps, soit

àRame, soit

sons notre ancienne onarctite, entreci pouvoir exécutif et pouvoir judt-

e. Il allume mémo que, colle partmoine rencontre ua

po'suvoir

jntictairetou4à fait libre et indépendant. Pourlui, s ,rs l'admioistrate ar tut tousles

joueours

navre de juge, même quandi1 procède à une ào,nnatiou de fnce-tsesyPes: Doue rien n'eet plus naturelà

ses yeux que de Considérer le p-voir

de juger comme une dépendance dupouvoir d'administrer. Cette opinion cet

e àrelogée par un a tee membre. IIIl'origine des peuples, et quand leconI.limussont mal définies il y a

confusion entre le pouvoir écutif etIn pouvoir judiciaire, en défaut, quimet l'arbitraire deus la justice, dispa-parait à mesure que le progrès vérita-ble é accomplit. Aussi, les consntnttonsécrites donnent elles à l'ensemble desjuges, la qualification de pmaulirciaire proprement dit. Il importe panque le pouvoir exécutif nomme lesjuges ; le ill;e, une fois nommé,

t par l'inamovibilité , t.ut-àfaitindépendant de la source d'oh il Pr.-

Le rapporlese reprend la parole pourajouter qne l'optuiou qui donne àePouvoir éxécutil la faculté de juger etqui ne fait des magistrats que desdélégués de ce pouvoir, n'a pasfend d'antre but que de justifier le toituntin'gent et peu s entifigne, e'està-

dtre lorganisation des juridictions ad-

mi.ietNllvrs, vampires de f,oetinu-

e 111r gh' tôt iL t t I pou appliquer I tillagsac Ld l li 0 l q Il o, ! I e la nr b l ti qui lu p rr rl es deIrcl

1 SI i le il F,pi t I b I i pli, é 1.:e fou, tc s

R, nation Ins t H.-1

éf 1 r J I L Il t et d t elle, d'inv.-

e

odes , a cris lesa o, Irnr A éi e lé 1 o! q, I p t du u r.l s de pays,

rnl gouvr ratel q I. It ai. I 7 'l' t lactique fille pair no-pouls, 1,250.000 G, r l

Ilo, L Pires q iét r l opini I I sL à a+aP

Bmutea départ tementales, 250,000 de Y k,hama vous rruden. ,,opte de sur celle de la druilc, qni p étend -L-5' Itiviéres, 700,000 frlu lu I flI WI d I GI mu t t d L.I. t B ,natta."

Ilc, sont1 1La Garonne, 50;1 000 n s t r ne t I l xt dt t I et

eus'I 1 ra ',,li 1'J aL B, usai 100,000 d M L. 1u 'ou ', ai Il1il, ,d b . L tL Ad et les Gaves eétt d pl

60,000 t emm dut s députés jLe

ara". , IAeiége et la P 1 a Ait N cal p

Veste, 40 non lu patrie au plu fort de s d cuimus ' aoyrai un et t dz vous e.

3e Chemins de fer, 1,200,000 fr.

Lignes ce exploimlion.

De'l'oulots. à Bayonne, 550,000De Montréjeuu à Lu.'bu.,

250,1100

De Bonaseus à SuiuLGi-nx d. Tarbes ù Bagué,es

de-Bigarre, de Lour-des à Pierrefitte, 200,000

Lignes en construction.

De farcaesonue à Quillan,de Foix à , sec., deToulouse à écris et deCondom à Sainte-Ms-

tee voue silo que ire provutcea et lepays profitent de vos réunions et quel'o. puisse dire que l'uaverluee de celteassemblée a ouvrer, une ère nouvelle deprospérité pour Iclapoa. Itespectez tousmes paroles 1

sA part la Aer.ièee iujomction qui

sent son Mikado de trois mille e lieues,

me semble que les eseummanda-na u ansinDques ne se-

raientla

nllemeot déplacées dans la bou-che d'un chef d'Emt de la vieille Europe,Il est évident que ces conseils patrie-tigoes pourraient aussi bien s'adresserà l'Assemblée nuti...le.., du Grapd-

rie, 290,000 duché de Gernlnteiu ou à toute autreChambre européenne. Espérons que cet

Le Journal des Pyrénées Orientales avertioeritent veau de i loi. ne sera

vies 'étre suspendu par 1'aeeelé sut- Pa' perdu pour lev députés qui e-intéeéts e

vaut

d:

ea ont tentés d 'oublier les d

a Le gé réside division comm f t _ j::patrie or

I trscuper que S -

;oàs

siége 1I11 lés Pprénéeas 10, ri entales,a.e

. Iraieant usage tes pouvoirs que Iiitentées l'article 9 de la loi du 9 allut1001

1 i stru Lions des ministre. dela

quelintérieur

dous a.. caméradu 28 Paillet 1875, le 7u urnal des Pyré

ees'Orientulea p.bime un artel, coiteoaot contre l Assemblée nationale desoutrages et des calummes, eA particul èemment dans le passage solvant

a Vue A,aemblie n,mene, Dieu aitcomme, ramassa en 1871 ua lambeaude [ édit pur ni, lin lambeau denos propriétés par là,et d. mes hallluns,

e gto ores suutllpte et déchigneLéns pur

a des fous, Ubriyna un-val de 60 millions. >

""'i'"emeot

a

aSur lë proposili,n du prél'eL des

Pyrénées Orieomtes,Ae 81e :

= Arlied Le Joues,1 des pyrénéex-Orientales est suspendu pour deux luis,du 5 août a 5 octobre 11175.

a Art. 2. Le préfet ds PyrénéesOrientales meschargé d'assurer l'exécu-

tion dur présent arrêté.

N'ait à Perpignan, le 5 août 1875.a Le généra de divisioa comman-

dant la 32, division d'infanterieet lélut de siége dans les Pyeé-eées-0rie.talce,

a Signé : Bauar, s

d

Les ch:mtiers de I. gare Saintpart ont été .vont hier mati., dit leCeurreerde Lyon, le théitre d'nu terri.ble accieenL

'Truie ouvriers étaient occupés à éga-

liser le. coupes faites dans le rie.par la mine, lorsque tout à coup unbloc énorme an détuchaot sous Irontpieds les a entraînés do.s sas elfroya-

ble chute.Relevés dans le plus triste état, ces

trois malheureux tint été immédiate-

ment teusaportés à l'RôtellIl", oh l'und'entre euxle nommé Mueari âBé deeu 1, quatre ans, sujet les ie qui osée,

eu le crime fracturé et les reins brisée,

'a pas tardé à rendre le dernier souie.Les deux autres victimes sont dan,

le plus triste état.Le nommé Joseph Alberta, jeu..

homme de vingt-six ans, nes et tt t.e, b eu tee poignets brisée et , rjambanie

urée. de plus reçu à latête

imi

rs grave s blessures.

lne dêtachéaSess

poignet'mot été presque détachés

dur bras, et M. le ducl

tlô Léltévantchirurgien en chef de

I' l'hôtet

el-Dieu, a déouvrer l'ampumtion des deux avantbras.

Malgré la gravité de son état, A,.herta est assez calme, et tn pou rait

bien surrirre à ces terribles mutila-tions.

eu Savoie et Allé de trente-cinq ans, .,

la jambe droite omfilélemeutbroyée ; il a aussi reçu plusirurr btca-

sures sur d'outres Parties du cures.L'amputation de la j,n,be avait été

jugée nécessaire, mais le blessé s'y estobstinément refusé.

Sot élut est d'une extrême gravité.

L. eansrs de eu doalourenx accidentco.t attribuées aux iuhllrutions causée.

par la pluie.

VERSAILLES-PARIS(Correspondance particulière)

Paris, 8 écot.M. le ministre de l'intérieur vient

au x préfets unea

Iirrnlalreu sujet de la réunion peorhatne ils

vonsrmie généraux. Ni. Bolet r -mande, divan, à ces haute fonctionnaires

eesévérer dans leur aittluIl, con-cibaute et de n'isiervenir que dans le

ù la Iii serait ci Aie. Oii assure queM. le ministre de l'intérieur engageles prét'ea à lut l'aire cannelles les ré-coltais

des élections de. présidents, et,par conséquent I. composition marin

conseils géoéen,msde,,C'est vers I' 'J5 août que sera inau

Viré à Épinal le mnnnment élevé danscette ville ce mémoire des victimes dela guerre de 1870 M Buffet présideracens triste eéeémonin et prononcera,dit-on, un grand discours tant sur les

Le dinde constate qni an a besoin irn-se de paix et de travail prévaut

dunes le pays entier.

E`.pré I- pC h eau trou

bl il, t r, d col. Il ', 'alo L'aCuis s et conlneément rattachée u evieilles tradition d'ordre : elle veut ri-

vrL'UmuenLite pis page d Elmond

Burkn lémuntraut ['nuits. d'u e r lghm it'1lat et la et inné, pour oupays liber, de location auxeccléslasayuns I pus il tujontr :

s Certes, le p jil

t p.. I. Chabru ne nous vol donne p t".,

'" lisqu'ilPoir Puise l etp roat lnleutaàe

"lois

l'UI ,excitéd'ennrmre privll6 rn,1i-tions que-mé,oes os nous fuit,, nunc asrr[usnns P. la luge

Le Constitutionnel estime que . le pu-liront. erésolu à fi Il..... usse a le p0'le,iuol

ululede

e ginec "cees

élri t tausl eci , sa qui merdent sa csre0écehnl

sansti

t coi er de eau s'ilscent de

droite

e o Il de gauche.O, luif.,itun ,rime de ce

qudi

sera sou titreprincipal d'honneur devant le publicnon prévenu. a

Le Soleil or'oonait en ces termes queles princes d'Orléans. s'ont rien fait de.puis le 6 septembre, pour s'emaarce du

a Non, dil.iil ; 'ms n'ont r'eta t, v., ils n'ont p s ,sème remué lepetit doigt pour n'attirer des partisans,lie ont le coeur trop haut pour cela.Mais oe uyer. vrais que le pays n leuru sache pus gré

y

Le pays s'habitue 'avoir eu eux ses premiers serviteurs et,

voe l'occasion, ils seront là. Ils

rout là, comme ils liaient dans lestraoehéea d'Oetéa.s, immobiles sons lamitraille stridente, comme ils étaient àl'armée de la Loire, Luisant le coup desabre avec :e éclaireurs de l'ennemiet, pour qu'ils pussent vraiment an.quel, de partisans, il Poudrait que l'Imp-uéleté, te patnotisme,. le dési.léresse-,ent cessanse .mémr d'avoir

Irurs partisansceen

m,

... r,Or,

, ce n'estas là évidemment ce que le Gaulois a

rpo tu die.Le Moniteur Universel se propoas de

a il ... ce les raisons qua la Franced'acceple

epter les lois Constitutionnelles etde les pratiquer avec confiance. Des

se discotees qua t v ons.,i .,L-tout

leurplaisir à attaquer

1.la

loiéi rr,

ratad do

u pays ;nous voulons la défendre,

cev %u t q I feuler, si

le d bit, ou". tmGJe

o I

soupçon',1

pa"'Irt s,employer enfin, les nu-

cas de le ancre la plus a a.ta-à fois pour le paye et pour le

guse

.ueeroement. s

-La Bipublir/,asile la p,n,liel'intéressante lettre qui

Niévresuit,

adresséepur M. Léon Sapa M. Gtrerd, et relativeà l'explnttalion du monopole des allu-mettes

: Paris, 4 saut 1873.s Monsieur et cher collègue,

Vous m'avez transmis, eu Irs op-payant de votre honorable recomman-dattuu, plusieurs pétitions dans lesquel-les des commerçants du départementde la Niévre. protest rat aucune le moded'exploitation du monopole des allumer.tes, Ces commerçants se plaignent de ceque leur clientèle est détournée auprofil de ceux de Ir c frères qui sontebsegés de L p so ment desdébitn d'allumelt Il

demandentque

la ente e is des allumettes nepnisue avoir li.lt que dans des entre-

puiuseé,au , ou IL ne serait vendusubi t e.hsediae.

e Aucun texte de lof, sucuno diaposi-to 1 a h:rr tl h 6 ne permel-Irsit à I Etat de restreindreIn le deuilvernie i la pagaie de choisir Ile-etéme ses concessionnaires rt de leurconcéder l'apura . t .u gensde leur ou 1.11- égio . 'lont fui,de donner réalqui ont déjà été lommdérs. sur mimesponte par d'allers négoetaula, j'ail'hon,medr de. v ,nfornwr que la

t mspoaéetolaie cents

seoir mitre IrmaPeuls Aélaillaurs et W, dépositaires

du monopole aux coi Sillons euivuntesa Nec .-,situ, po ue l s clients qui lades allumeurs dralnres à la

meute en détail, d'eue munis dune au-

aObm,inre le npour es uommixstsde li n,dii let offre à ers

de

eleurleur.

d u dépôt dont ils dé-I

pendent eux-mémos;a 8' l gati,u de présentrr au déposi-

taire b,uetin de demande .signépue Jr détaillant e1 de taire parvenir acelai ,i le certificat de livraison délivré

pua Crs Sup,nilinns

une semblent de nu.p ,sitaro à sauvegarder lux intérêts des usePê-t dans la limite

queque comporte

la législation actuelle.

s Jr vous serai obligé, monsieur et

cher collègue, de vouloir bien les en

= Agréez, monsieur et cher colldgue,l'assurance de ma haute considera-liun.

Le ministre des es,a LEon

Sue, us

ur.

- Les souscriptions pour les inondésrr ici entre les mains de M" tu ma-échale de Mue-Mahon et des membres

du comité central s'élèvent à ta sommede 3,453,930 té. 13 cent.

LIB s ccri ions -mêle jusqu'à cePjour à

lula caisse centrale du Trésor pu-

blic àParis et aux caisses des tréso-

iers payeurs généraux dans les déprr-

temruts s flevent à la somme de13,454,1145 fr. 43 cent.

omme au mon-cette sSi l un limitétant de le Irae 77 tr. 56 rrobtient letotal du 1,,,908,0073 te. 56 cent.

dit-il ; c'est 05e manière aussi d'Aire - Me" Michelet demande à la jus-005,rrvateur, amour osons croire que tien que le corps de s or m ri soit'est la meilleu. a troenpnrté dRyéres, ou il .staLa Planes dit que quandcils nuit mentent enseveli, deus uo cimetière da

. ces pauvres irlandais, celte nation ports.

plI

i qui est couillon, s e à Elle pp se demande uplu1 ceptinu, dont N D'. s cars dé I tons de s détant

i taisait voter l'autre Jour lece

mn,. Vimnhelet u écrit qu'il était né às nuevrlb,uimnt

tempars

ire, organiser Pans, qutil y amuit enterré, .,il plaisaite librenaeo des démenstratio,ms peu à Il ce.s longues, :lépl per sana crainte dur C'est donc un devo?r que su vrive rem-s boaniérea couvertes d'insonpttuns nuit en demandant la translutio. de sa

sé0ttieuses, et jeter b plein cria néponiDe telle.

e

d. Dublin. Le n:arc -il,,M

Ml I a pesai q- ilr muas dama lesa les

crisles plan ri ,natitptton,mis, devait en él mc untren,-ot.

a saros troubler la quiéude de la pu- L. testament dr L sli,helrt, émit ene lice et du pou s elle est pr,.squr 1872 conteua,t cotte brase :entée de porter eusle à cette a d srral iranap.rle .s:n,,

r,ass Dation, et le tési i-en et de de rrligiease au mn,etére le plus voisin,mander l'état désigné comme en le avec l'appareil le plus simple ; qu'unlande.* donne sus panures ce qn mm tn dépensé.

Le Silrle craint que la loi sur le Plus tard, à la mort de a lemme, unpresse ne soit 'iéfinutivement enterrée. tombeau commun de famille pourra êtes

a Per qui f de,uaunettl ; per M le élan

r

'.ce-président du conseil, ai possède, a Dieu me donne de revoir les miens

à cet égard, des connaissances hies s et ceux que! ai aimés 1périrures à celles de son collègue le a Qu'il reçoive mou arme reconnais-

uister de la juntlre. A quoi han nue sanie de tant de bien, de tant d'annéesloi sur la passe quand o a l'état de laborieuses, de font d'amitiés. ssiége ? La ortie loi dort M. Buffet a Les héritiers de M. Mtclsrlet met faitmirait à s' cuper eu c ont serait ieLum r le corps dans le cimetièrecelle qui assit pour but de sonmrtlre d'llyéres.à ce régime la moitié de lu France, M. le substitut Laval estime qu'il n'y

re les douceurs, s a ms lieu, en présence des termes for-L- non momerie pas que mets du te.tam.ut, de Litre droit à la

M. Dnll'et ait le droit defaire

de la demande le il 5lichelet.a politique de réae.tiun . mais il se de. Le p nemmO tu nu rendu nfercredi pro-mande s'il est en cela bien inspiré. cbabr.

L droit, dit.il, s o xelnt Ri l'équitéai la corsurs. Uu ministre a le droitd'Oies dur

etet hautain, il a In droit do cnncals ,errnnano:n,ta cas ectances

refuser, s'il 1, veut per système, à des céo.tueniquua,hommes qui lont l'.hnnueur de la société -laïgne, ce que les affiliés de certaines Daaxidme séance géudrole.

orlgeégratiors de votes obtiennent ton' -jours ; il a tous ces droite, uni, et bien Le fauteuil de la présidence est éc-

d'amIers meure ; mais la question qui capé par sir ((suey Il,wlinson, p, ai.subsi,le est toujours 1. même : tait-il lent de la Société géographique desagement d'eu user? et cette politique Londres. La rails des limas est encoreest-elle bonne Y e plus remplie qu'avant-hier.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6 IIRNAL lIE TOlILOIISLimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_08_10.pdf · Ilote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES

Allié, I ' 1 d p bd il l le l'I 1 t u les b I a o t ut car Ix mauvais temps semble s'être éten. clair si celle-u est bonne ou sans effets t de durer, la lemme Sicot intervint et de petites e u oles enr Pontés elle.Drpp ris enr Ira .+ ces }aise

lu d ,are u ,,rap lx B. m du I'urd tutu. ' ut, les parce ,lue est aux cultivateurs déclara mrtemellementlà Duverneul que méiea pur sept minarets. .i' gr p n t1 d d ué-es l 1Ar es e sem ru}ue qn 11 appartient dappee

Ilarraliansn sortirait pas. Voici com-

lèculLrs +unsùm,; ire

va'esla

t a meru milieu du parvibs que1 I pl v rées m t G L d Sol G t }aies ,n, couvi 111 n - Des eieu, mens d m brut I ité

so e

son sainGérarte e mit àIc rs terco-as

la eàbsetlet, a ment Slnol a raconté la arête du crimel'uhl {la péch et i

rut ont eu lieu, à la date du djuil offea leur brève obp:cl s, est du. ressort t:d rmentà I rninre u' ne i is a f audience :i cil'élèvà ce

te

ei e, t, eOuénnnn acr,o p g .. 1 li 1 p n de la géographie : en cela on B. lin, n miel le L d 1 épemens para u C l Lé sé I fart. C,ni lava[ sr ,que , s'eal

liàu sjxl. I i m é e , grill l d-.p

aie dan. ri i é p u de ré:uhmm. mandé M. van Bsr,din guai si, comme douce. La a "'s 'alitnre de l urarsyerqox dans le d^ grmlpe l'exarn.n des le com, mandant Maury I, prétenA,Is donne à ce

surjet, dd'ocrés un journal af-

uméros d iretaouna.re et la lecture b.dehirs Il franchissent jamais les mers I lama a, les demila qui mli Jenï .

de àlémnirrs eut "":"i", les autres. de l'éynnteue in ait pli capturer au Paon la nuit de lundi à mardi, on aI.st ,moi que la résolution si loup- Spilatrerg et au nord du pudique des

tanin peine avanth ier {' le g uue 1 .e.ues pur ta et crue'o joli l neété I Il t de I ll ,hser,r t ,b de. h p luitê

h.rai grLait j t n l'enr de a lepli d I CI. peint, 't il pas dsystème té I p la ",-,a de eroi+r aile h nord ta Geoi:nland et Itari , wférrn, e , st m iei,r nr , il a I ,là du

Spitzberg saut mis en rapportusa é déciot 1 Il, 1 Il' ri o t une mm b o u t q l r u uqlustim

t poses

il'Il

0i

i f temeutaen

vecIa

r 1.Iwfigne pari arseuée par[ e e le détroit de in rime ?rai lai[ ne peute et de pnrlcr.rurs, ci Il Il, a il nleüre sur la vuroutes encore

MM. van Struvr, Yvmr Viliar1 es qui relieraient des points enn eau rt d'Ahhsdie ont pris mie part a,:- apparence sans cummuuiesLien directe?rire :u 1a discnssion, ail, Il Certes, la question st intéressante etséance publique le dernier de c, ,- mérite F.Gom iov qui mea esip ',s, parti,an dérlaré ,In système cen Ira mers polaires me manqueront pas de

I 'e I I é a Ivre lui accorder et que les membres du Co.-ire 1 ai 1 r , , e l 'uns Nui ne gués 1 t d,b L p ,é Flnté, le combat s Uni, Lmte La 'ému' r s sl terrn'néi. par uni coie-

de a,mhauant.. te rxphe'nrmr des amures Sucé des ,C''est

égelemwd Ls. pratique qui a pro- qu'a P,ornie M. Uubinsoo, professeurlité des délibérerions du 2^ groupe. Le cul-lois, et qui il rendes plus 'luire aprincipe dit méridien unique y a été moyen d'expériences à la Inm,ère elee-nsaveé, laIlaalion de Ce mérmiem (le Irigne qui ve rot truites chaque jour defur:g.es 1' toi es sémit prononcé pan CI il oq heu e letin acte cep'Cirai de Greenwich) étant laissée à un té, dans lannese de l'expositionxsu8-uomité interuatinnal. La lecture d'un dois urla terrasse de bord de l'eau.Mémmire de M. Itanquet de la l,eee sur Auruurd'l±ui, à neuf heures, réuwiunée sondage à l'rmhuoehuee des O«n xs de, gronps, et à trois bel, ras aéaucet l'adoptiua des conclusion d'au àlé- générale pe(oinée par hl. de Iticbthofev.moira de M. l'Ioix sur la nécessité Ou prépara les conférences publique.J'nnihiemiser les signes wnvention- dans lesquelles des membres dis-ncl, menée doux le ;,oies h: Zingués du Congréa oeu.leror des e es-ph iqnes mu occupé le reste de la semées e Lions d'intelot général su feront le ré.d it gmnpi-.

Plus théorignq mais lien mains In-téressante, était la question que MM.Collier, Juls Carnier, Versteeg etVimn Il ont lraitR dans le 3"M. Boulier a tenté de. tracer Iee bnyenn'n e, science, quiil nomme la géoplas'tique, et qui snrrup, rail l'éluiire tirs

,

nellre drvrniwll ê'

sttr.-

toile, L., f, e exlérioures ale cidregL,he. D ua rait g,iesgn:sser les lironsgénéra a do ai lh qui :, éL. 1'laili

eillln, + yue '-un ,l'êtreanprof,niie rtrsi l',,,+

vesut

être fil "orl'origine dos r, lie fs, tu sol, dos ca-u i'raie, l'iullurure des sans, du climat et

lit de leurs voyages dans des emitréP,SP'. explorées.

- M. le général Doterai, comman-dant en chef le 3n corps d'armée, e

résidence à Bourges, vient d'interdire l'intrudurtinn et la veule am. la

ie pnalhli:}ue du journal la ltépubliq,<ej,U,rn ,1r In N.Arre et du Cher, laitst;nto l'i'leuiue drs ,léparlxmenis ditCher, d S é.. et L+ t de la Cliil tir, i reèié i s Irgn.l il est

fie à celte feuille ,iec.onteeir, dansrhacu+, de ses numéros, ,les artiel,s quivol puer bal de discrél,rnr In gnllver

des liges et le déllarhrment des acdesantt dessillé. et commentés avec(rrén U.. fat ti L I i, i I ,:Il t 1 'p é l I pl .

osUvas flet 1 V 0 d' (Belge) ,,plu, le lit e d atfaq,.er ta t!nr laq e t c non a i l uns r venir t , u t à r gi aI ' t t user ea mépris d l'A,s.m

l'heure,,,,,.",,,,,t,,,, détails nue l'ichlhynlogie blés n:,[tonal., dont elle ne respecte ujaponaise, don,,,' pue M, les dé, mira,, ni l'autorité ; et, enfin,ont , 'capé enture le groupe dan lai que lin funetionrwirs placés pur lace.mitigée. A, g iuerrtrmont à la tMte de

M. Vivien de Salut Martin a rend n l'administraction duos les départementsmeute, avec une rare clarté, de ce qua du Cher et de la Nièvre, que les corton

'voit ém fait uae la 4' groupe ede la snlmiov dit pluxienre numéros duquestionnaire. Clous 1.s iedic'ations

slni

oxt été fournies su ta ruer blanchedont on a eemorulué l'existence dansresL'élue Orient, loi, la dualité de typephysique, eits,

edansp lailion

glacises

tu} plupart des ,.p a-lueaa ude la famille

Iéemme,

url

la Ccnmpositinnd''auv

uduropdictionnaire

t'étym rs géographiques, s r lesCaltas

dede

I

l'Afrique orientale, .ces in-dications, disons anus, sont encore Irnpisttt'frsanles pane qne n us les répé-t.ous. l'uur terminer la séance, M. lebaron de Czæen.g (A,atriclrien ) a lanu Mémoire sortes var.ntions du coursde l'ISOnzo, qui, à farce de

duinger

deaura, est devenu la plus récente des

ratinera de l'Europe.M. Bertrand, du Musée de Suant Ger.

main, quia lev usé dans M. Deloche unpoissa. t contradicteur, a expliqué pin.sieles sites qui couveraient yue l'nneslet le centra de la Fiancé éfais oi ucrupésstar les Celtes, et lion l", Gaulois avaientleur centre souris Uxnube d'où ile(aseaiente ivahi l'Italie, la France et l'Aria. L'u-aleur a soulrnu cette opinons parl'étu-

de des monuments orhéologique,,, etparle Lexie de Polybe opposé à celai,,a

Tite Lise,

Les questaens de colonisation IL d'i-migeutiou de. mirées intertropicalesart encore enjeu l'hni fait l'objet desdélibérations dit 5i groupe. Si ,s'est ral-liéà l'idée que les Chinons et les lu-dous étaient Ira peubls les plus pro-prex à la culture Ae ces c.n tries.

Le 0' geliur e a terminéla discussionCommencée hier, après une d.aruvvinntré.\ ira imee à lagn+lle nul pris pnrl MM

rat, -J'ait Ire dérlaruli n -t I

lires du gouveenemcu[ rua-mémea sua t,de la part du journal dont il s'agitl'objet d'attaques contiuaelles qui décassent loures -allés et provoquent àla déoosidéention publique tle ce+représentants d'an régime qui a pour

s pli.Cipal. la défense de l'o 'd leet du la eonseenulie. sociale.

-Le préfet de l'Isère vient d'interdirela vente a,,, la voie publique du journalle Courrier de l'faéré, peur une décla-ration de principes dans lequel se trouve,d'après l'arrêté d'Interdiction, la néga-tion de la constitution votée le 25 lié

r, par l'ASSembléa nstiounle, et del'ail:latence de cette Assemblée ellemême, Celle négation était dans -particle du 24 juillet dernier intitulé :. Correspondances spéciales s et nmam-nent dans le passage suivant : s Aussi

longtemps que la nation directementConsultée saura pas prononcé sa dé-chéance, le gouvernement impérial sera,endroit, le gon ernemenl de la prince,Il le luserare

ne oh ,a gouvernement de droitdevenu un gouvernement de fait.

est pas un empire nouveau qui

Iïnlnllera

q, nic' aest l'empare

eureadu seplam-

bre 1870, tj avec5tout l'en-semble de les institutions. , .

expérimenté, sur le toit de :a fabriquede Siel Ilah ke, à Berlin, an appas pyrotl .l gda1

pp e i y st artimné paru er hin .l ueumodile, fo-IL use lumeé.rai très-pu vante, Coi permet encrire, àu mille de disimce, d 1e lé éo linaire.

Un eut l fée de ,la car, en a

v. de

l'appareil,lun

imité:nrliné sur llu

il, de

de manière!à Paire réllécbi, e

le ciel les rayune lumineux. On }, oje-lumineuse qui,[ait ains i sur les adages arme tramée

de luin n sse,o{rla.tassez à sec comète, et dan, laquellenrsaieot.successivement se dessiner lesaignaus farta en avant do miroir Cettemagnifique expérience dura près dedeux heures.

Dans quelques jours, l'appareil serainstallé s.r le polygone de l'artillerieen

Tegel, pour être soumis à des expé-riences suivies, l'admsistratiun milhluire ayant l'intention d'acheter plu."eurs de ces appareils pour les servi.

ces de la guerre et de la marine.Ces deeuièersespériences ont eu lien

à 'Tagal, dans la unit de vendredi àm di, d'après la Galatie de l'Allema-

gne du Nord. Où a éclairé, au moyenle l'a ppneeil, des cibles planées à1,000,

1,500, 2,000, etc., aire., mètres de dis-tnce.

L'IRerxegovfne

Le gouvernement ottoman tient àPair nap,r à rIn e que les troublesde I Il orzégova ue n'ont m. ttribrm.eeni 1... lportlans qui on loi attribue.

Vomti les dernières nouvelles qu'il

[sil e li .q.er aux journauxL

sa,nent

29 julleu use rm ramie àera autre lf es troupes Impériales et

les urées à té due ,e à Debre- Cesramiers ont été Le lente.main une erra ae a été diri éu Contre

l'a te.

Ils.e fus. à Vnl,hu a Mar.

après une Viveus1llad

11ade, les uns IlantsiL clé repu lsséa. plusieura d'entreUx et un de leurs chefs ont été

O autre engagement a su lieufilles

lZa secoles rebelles nul été dtapeséa;

ls se snt ré[ugi

dans

les montagnes,poursuives par

letes lruupes timpériales.

A la rie de celle uciuu, le plupartles habitants de 7alini qui s'étaientjoints .as insurgés, s voyant isolés.ont sens laire leur s em'ssana, Lestroubles de Sable se son[aili apaisésos que les autorités adent eu besoin

d'employer la farce.Sur les consrels de l'évêque de Mes-

sur es de quelque nutabilltea, tact mu-snlnra es que chrétiennes, les pointa.lions de cette localité sont rentrées

dans l'obéissance, et cette soumissiona eu pour elfrt d'ouvrir au commerce la

vck,voie

ditt auxMelcoi

rebelles de Dracihora, lesautorités impériales espèrent les ame-ner également à l'obéissance sans clic.

on de sang. En attendant, les autoritésimpériales nul proclamé une amnistiegénérale, assurant qua ceux qui rentre.raient dans le devoir .e seraient ol-lement inquiétés. Elles ont, toutefois,ajouté que les récalcitrants seraientpaoeiuivis. Celte altitude 'aussi fermeque modérée a produit uue impressiondes plus salutaires sur l'esprit des po-

ulations. Les soumissions se succèdentet tout porte à croire que les trou.bles de l'Herzégovine auront cessé souepeu.

Lac question des pins importantespour l'agriculture vient de recevoir unesolu{iuu demandée depuis longtemps parles antéeesséa;la répression des fraudes

Srs dans le Commerce des vagirais

s Diverneuil qni est violent, dit-il,

a injurié ma femme, Daen quelle sefût bornée 8 des paroles de refus, etfinalement il lui a lancé une épithéaoutrageante, a laquelle elle a répliquépar deux gif0es. Pin même temps, elletombait percée as cæor d'un coup d'u-ne canne à Isolé que Duveroeuil tenaitcachée sou. sa veste.

s Nia pauvre femme émit tombée, te-nant au sera notre délai,,. né, qui adix-huit mois. Je me précpitai ausst-tèt sule meurtrier, je le salsm par lecou strie couchai sur le seuil de maporte. Mais tout à coup, enteedaul mesenfanta folioter, je courus à eux.

Ma femme, .lors, par un Dort quidevait être le dernier, eus l'énergie derepousser son assassin hors de la mai-

n. l'oie elle relombn, et des voisinsl'emportèrent chez le pharmacien. J'aisnni le groupe: Dons lu lutte, j'avaiségalement été blessé en pleine poitrine,dvaat d'arriver chez le pharmacien, mafemme était morte. s

Quand le crime eut été accompli,tandis qui ou étendait la morte .,or sa

uche et qri on alitait les deux survi-,unis, qui peut être allaient pF,rie, tan-

dis que les orphelins pleuraient leur

mûre rI que la foule pleurait avec eux,le meurtrier, barricadé chs lui, se

outra à la fenêtre, la cigarette auxlèvres, raillant et provoquant laie gronces qui s'étaient I,rméa orant fa m°i-sua.11 ne se rendit à merci, un peupins tard, que devant l'attitude énergi-que du brigadier de gendarmerie jour'dain, qui pénétra chez lui pistolet aupoing, sans souci des menaces quebatnrneuil proférait ni des ciseauxgli ildissimulait par derrière.

Alors, dans un accès de rage impuis-tante, Duveroeuil dit encore : s Si j aiun regret, gendarme, c'est de na pasvoua en avoir fait ..faut ! s

A l'audience Duveroeuil, que taitle monde a connu a evgany provo-cotear, brutal, a été humble et loup'pliant.

Après sa condamnation à mari, ila décl,le à ses a ocats, à l'audience

émeu qu'il voulait si .e pourvoir enmssataou ni

aie

recourir eu grice.Il

a étérevêtu, dés sa rentrée à la prison, de la

camisole de farce qui avait serramlloisà Fradou; il

occupela même cellule.

L. Meaque en 1876Houe voici à l'époque du pèlerinage

de la Mecque s Dieu, est-il dit-ildan le Koran, a rdonné le pèlerinageà la daison (la Kaàba),

Les livres ..Clés se pro...'cetd'une mauiére aussi formelle. Voici cequi est racoulé dan le Recueil Véridi-

es' : s On demandait au prophète quelleétait l'reuvre la plus méritmre. -: LaFoi, répanditsite - Et ensuite Y - Laguerre sur le chemin de Dieu (la guerresainte). - Et ensuite t - Le céleriCage, ,

Selon un proverbe arabe, s celui quimeurt sans avoir été à la Mecque peutaussi bien être pris pour un juif ouun ,

Or, comme il n'est rie. de plus pé-nible pour un mine. Intensifie d'être tonfondu avec u. chrétien, ou avec un juif,ce qui leur est encore plus sensible, lesournis

r yants n'ont qu û. but, qu'aduale, Celui de se le.dreà la Mère, desvilles, région des fidèles, d'où on sort

sanctifié,La Mecque est située dans l'Hedjaz, à

85 kit, E. de jadl.h, qui lui sert deport sur la mer Rangs.Sa Cap,daLion normale, autrefois de

100,000 hahileni, ti t plus aujourvo que d'ece. L0,000. Muas àl'éppèle

l'époque du pèlerinage il liy réunit

jusque 300,000 pileries, t sur aie

enombre 0, 00 appor tent a CLUL, à peu400

for.près 3,000 fr. de marchandisesndises qu'ai'-faut autour des lieux .ami., ce qui"love la totalité de la ,aieurècha.gea-ble à 120 millions.

La Mecque est co.truite, partie dansune valléas étroite et sablon.ense, partie

sur les Bancs des monmgnes ,aiseeesqui, pour

I.

pevélu

hauteur assez élpe

.

art, atteignent une

Les maisons, à plusieurs étages, sontbittes eu pierres e[ rem isent le jourpar de .ombreuses ouvertm'es. Les 'ruess nt plus larges que celles des outresvilles d'Orient, bleu pavées et éclairéeau pétrole, aux frais, d est vrai, despropriétaires, la municipalité ne four-nissant que des lampes.

L'édifice principal de la Mecque estnaturellement la Grande Masquée.

s C'est dit, M. Noël Desvergers, unensemble de couatructians qui .la..,enfle Saint des saluts, la Kàaba,anutla fondation est attribuée à Abraham parles historiens orientaux.

s Depuis le temps d'Omar qui enfer-ma daos un temple plus grand ce tem-pie vénéré, tant de calte, de sultans,d'imans ont signalé leur piété par desChangements, des réparations, des em.

be'ilasements, des constructions nou-velles qu'il est impossible d'y recoonai-Ge les traces du premier travail.

s Sa forme est celle d'an quadrilatèreduel les faces sont engagées dans duConstellai- qui loi ûmnt toute rég .larité. Dix-ueuf portes donnent. entrée

dans la Ceur intérieure. Ces portesn'ont point de vanmux et la mosquée

evePrés de la Kaûbaqui recouvre le puits de 7-emzem, reliesource q 'un ange fit jaillir u mo-ment où Agir, errant dans le désert,allait voir mourir de soif son fils ,amaril.La Colle gui renferme le puits sacré estrevélue de ,arbre.

Les autres édifices de la Meçgae n'of-frent aucun intérêt archltecmral

Il est fait mention de la Mecq e dansla Bible sous le loin de bfeaca. Les lml-vains latins, plolémés, mira antes,nomment cette ville dfacaraba ; a

son Trop ielauce historique ne date qnede Mahomet, qui y naquit

A celte époque, la ville t tout leppay sa.nto gomsd-eI Anal étaient sou.vla domintiou des Rora.seLites. .haprés

la mort ,:IU prophète, la Mecque devintl'héritage de ses descendants.

Un d'eux, le chef de lu tribu, gon-versait la Mecque et ses dépendancesavec le titre de grand chérif, et pendantlongtemps il réussit à tenir e échecla vvuiseauce des califes.

bans la suite les Usmaulis prirent letitre de protecteurs des Villes saintes

de la Mecque et de Médine et ne,sis-sèrent au grand chérif qu'une auto-rité restreinte.

En 1803, .nue le Chérif Ghnbeb. InMecquelut prise et pillée par les Wa-haoites, hérétiques mnaulmans m:Iis

'1818, le pacha d'Egyple, MéhmnetAIi, s'en empara, expulsa les VVababiles,

n Cal es te grsud chérif pr -

r, et la Meegne dut ecunnaftre lawnnieao I té do pacha.i0 liiiti d viceEu ira smassa crquel,,ô d'E iC favorisa l'ivasion do grandgypchéri(, qui alla reprendre possession de

sou pouvoir. __ __,-,._-

r yéeparx

_e u-n ng mé e -faut arabe, le grand

Chérif de la Mecque est p10s riche quele roi La. ana martre,

s ll parle français, il se fait us'relr des

français sur sa table et mangeplats

dans la porcelaine française la Plus fine;

seulement, il me ae sert jamais de il-u

'Leau, et de forchette et de ouillerautre qne celles qu'il tient de la os-tu a.s La vie est fart chère à la Mucque,

surtout à l'époque où y a(Daent lespèlerins ; le bæut s y vend alors deuxfrancs et le pain près de vingt cerltinles'la liure,

La Mecque possède un bureau de

poste, d'où, use foie par jour, les let-

tees saut expédiées au port de lljeddais. On vous les apporte à cotre adees.se, en échange de quoirl est d'habitudede donner au facteur une piastre -

corbeau trente centimes - pour sa

peine,s Un p- ograp. planté sua

appareil, et ou nedih

t pas avec quel,

àéc, - et et y a des libraires, mais illeur est défendu de vendre aucun livrechrétien,

Le loyers y sont fort élevés; ainsi leI.;^r d'une maison de dix pièces est dit

1,500 fr. pour les vingt jours seulementque dure le pèlerinage,

s Les écoles paraissent être fort né-gligées à la Mecque : mais, en revan-ch , le aces!ers religieux y. voient

affluer une nombreuse assistance.s Ainsi, chaque soir, cinq cents mut.

laps et derviches se réunissent duos lacour de la Kaaba pour 1...er au peu-ple

l'iLeslrueteonreligieuse, et C'est

pur milliers que se comptent leurs au-diteurs.

s LOI., les monnaies qui circulent'.le plus généralement Mal Mecque, outre'la ...,,ai. [arque, sont les Dorons au-

trichiens, les souverai.s anglais et tesmpoléoas de France, tandaa par le tha-ler prussien et le rouble russe y sont à

peu prés rucounus, s

Duras ces dernières .urées les pris,

onces européennes se sont préoccupéesdu èlerinage de La Mecque .n point depa

etaere, Il a paru dénouta'é quele echutera Contracté sur les rives deGange, où les indous superstitieux lais-en[ se put rélier les davres de leur,roreligionnatrOs, est régulièrement

porté à La Mecque par les pèlerins ve-nus de 1'Indoustan. A la suite de cettedécouverte, des mesures de précaution,' diquées par commission spéciale,

furent prises

,en,la Mecque et dans

tous les ports d'embsrquemmt:des pèle-

lnoudations. répression saurent illusoire, à cause desdil'finultés qu'éprouvait la -modulation

Depuis mercredi jusqu'à ce matin du délit.vendredi la pluie, dit le Journal du Jura, Un,, amante est intervenue à ce sujet'a pus cessé an sial in,laut de to,nher, entre le département du eom,eece et

et par moments c'émieot de véritables celui de la justice. Il a été reconnu quaI.C. d'eau ; .moi dés birr soir com les pmneulles d'office étalent néeessa.

ençaientov à reneevoir des craintes ; ers, mis que, pour lever lesgnadgver maisons de Montmorot étaient qû allas rai urolraiec[, elles nauesien[

é

clos.Malheureusement, les règlements

'ont uae toujours été .trictemea ob-nServés.

vila en huer, par les eaux d V tien que lorsque les faits délimueux al,H.a rien d'Un i , Francolin, f,,,rta m brrr, d

Ile la al

uem ni',, , é e.p t rat a v,C ap1 rét étéléb di len signas aux memresepé, t air gne. L é. It t aloi,

onli'l,est a i .O,l P+L Sa A,nl no ue.

IlS u

IAe,.ué L A 2 heu , le m.itm, t. pargeets pur les lmmmea compétentee burvnr est fa[ enrarlrr, c'était pour et a t matité gindre en mainaime dons ladnplin d'im ré,eulut.n ay qualité p pr

' Ilr termes de I,gmolln eus 1 , 11,1 plis travailleurs: l'a est- les anféré des cult.radeurs.de l

I ,ii'igneina géographie tans les éc"I-s cri étai nt ,in

létérs de Ar ee,llérs, Il . été '..sire décidé que les mammaires dois ère I uudé loir la méthode s de arr.. Dies des

Chrambres

consultatives da--

Wpng.aphique,cnmplétée, pour rerlaiul I`.I et vill«.ruer la rite «. Coin grirulturr, lesmembresdes bureauxdesdérada, pie la méthode csmugeaphi- liégé traoPPurmée en vérimbl, Uirrenl. a.socvolrae agricole CI les pr aget'curaque. II a fallu ées p des birr l'ai et ool la ,d'agriculture ou de broie agricole

1 des trm+rliée, puni rejeter l'ana dans I

saient à Oct égard 188 conditeo..L. colodrl Vén,1u,k,.Iï. l'ail, d«vaut vtol ; malgré ,,,la .a cartoon

nombrai déredésirées.réesle 7 groupe, e posé complet des de magunios de la rues du Jura .'.et pu Eu conséquence, uns' circulaire duroules déjà suivies dans l'Aile crntr ale, é:re co noléte+usnt préservés. mu astre de la tic informé leset les glanera de lu même contrée o t i n m, ne te' ps. les eaux venant des s inérâuxde la mesure çar-été massés en revue par M. de 8évice- IloI hrtien, pé.étrairnt dans les

cactée aavre

ae g

10hff. pin mue. fée le ies à s'y co fo mer. D'tés de MM- Grand, jardinier, et Gue IiI ca, et jasa

inlvitas'y conformer. DsCelle énumération démontre sufflsam- val, anse, et creusaient leur let son ex,vé M. le v.comte de Menus ament que l'activité, drs membres dit L'nn- dans

l les

esjardrAiris

pris les décorons .suivantes :grès va se développant ehagnr jour. Cul 'e su dénué, sent de nuis sapeurs. Ués qu'an :dr'.hand ou LaboienotFI.

pris... es qui .ni s'listé à la aéaice , po,up.eev, ausq,lels s'étaient joi ma .il d'engrais nues affiché et mea en vestegénérale daiveuq plue que tantes au ;aimeras nombre de G'availleitrs, grise e Matière quelcunq.e a.... rés com-bes, être convainenes ae ce fait. Cette I s,lrtent à la présence de la troupe, les do, s, les préfets e acliélerontséance a, en elf«t, dépassé de beaucoup dégéts en ville sont peu importants et ne q:gauüté sufllsante pore une analysecru e d'hier pour l'iutérét. Acrén qua i se bornentb la Aeseuetieu d'uo pont ce chimique ; lise feront délivrer une fnc-M. d'ADDadie, comme sons l'avons dit uouleactiui a5e egement à M. Collin, turc sir Iegnelle aerout éno.eées lesplus haut, a eu rempor' é sur les part.- arihand de vins. quantités e[ quotités d'éléments indiquéss de lu division : gisrmale de la

mariMunGUnrot, une grande partie des :e formant 1a composet.un de cetteco iférence une victoire tacite, hl. van m qui sent la irièee, I metère.a Lvil

eu a traité des évolnlions des près du pont, ontét8 envahies ; dené-`

baleia

a, fille. lu., et cuntraere-a, qu

Eu 1873, année où l'extension del'épidémie a inspiré une s r illanreplus .cl.ve; aucun cas de choléra n'aété observé ,dans toute la durée du pèle-rinage, bie. que le nombre deapèle-

vins e fût exoepteonnellement élevé à

2110,000, et qu'on y complot près de30,000 pélerins.embarqués à Calcutta età Bombay.

Ce résultat est dût à ia sévérité avec

laquelle les autorités locales avaiena

interdit l'embarquement dans tues leslieux infectés, aux quarantaines sévères

imposées aux nav.res qui eu prove-naient, aa soin avec

lequelou a évité

l'entassement dans les navires qui était,pèlerinage, une sortepour ce de tes-

dutiou enfin, aux mesures hygiéniquesprises à la M que même, pendant lesénormes

uscr.fices

qui s'y accomplissentet qui empestent l'air, sons ce climatbrùlanl,

,Petit Marseillais). L. Clama.

'este ouverte à toute heure du jour et Crebsllt foncier de Prunes.de la nuit.

Un océdera alors à l'ont de cet e fois entré dans l'intérieur du $miseion à igs fr d'r oblit a va du tond ations com-Sii l Uit lP' Ysel

I

gscu npar er.pouva umoire d'homme nous a-Uon dit o hmillon et si l'ic é ti I ', p ra pn constate ple lev°Yagerir est, pour, ia Plais formats. de 500 fr. 5 0)0, remborru blocdittt a l,,u 1arn aenanuogis,nv-red et Dm' I

(mcat à Y.pifflm généralement .,,,éd.- n'avait vit les eanr s'élPVer aussi tientd d'ifs Ib I

r gsuj t après ds filoupés C nppétenta,

Les funvmis généraux, lors de

leur

pr i hame ers un, seront saisis par lespréfets d'une slpmpositioo concernantcette qurstlon.

- Hier inq minores, unexplasiou violente sj,dait l'émoi parmi

les habitante de Sèvres et des commu-nes envi aai'

Une col 1 famée qui s'élevaitIra hauteurs du bols de hlnudon Id ads-

t g eonaprcndle qu uue cat,sleopheeaait d arriver à la rtpa,llerie de.

ll tes hls.,yères.L'explao. l'était produite dans le lié,

choir Oui u été détruit. U. uurrier,nommé Breton, qui y t....Weil foi cesOdme,I, a

111 11.On a trouvé le corps de ce malheu-rons ealièrcmeat eurbonise, à dix mil.free 'lu lieu de Ip catastroplie-

L'mfortune laisse un jeune enfant.Un ne peut se lourer q s'à des conjec-

tures aur les cau,s,le COL aimes éré-meat. On pe.ae yas le malheureux

Breton a heurté, loue des boite'

contenant les enlèves dangereuses quise t'auraient rroiemées dans cet ate-

lier.Le cnntre.maltre de l'établissement,

le sien' Pelasson, venait à peina dequitter le séchoir quand l'explosion s'estproduite.

Uni tant plus fard, et ou comptaitmue s'rondevtctYme.

M. Cransey, juge de paix du cambra,assisté da co+ missaire de police de Sé'

3 estrendu

1001m bêla enr leslieu. afin de procéder à ne mtgnéle,

(Pvlbt Journal).

- Deus touchante échos dAlsace}ans les Eelios de paria du Masque delu

Dans ne petite com moue d'Alsace ilest né réc,.,.,ai uae petite fille à la.quelle en a donné le nous de France.

Depuis mner de sa naissance, Lou.

les gens dui

village et des pays vorsanslgnf-et Conserve tans In cænr e souvenird'un temps qui .'est plus, viennent , lis.que soir devant la maison et demandentde ors nwoDF,.

- lié bien Comment va la petiteFrance Y dit

l'

.il.Notre Petite L'suce, est-elle assez

gentille t l'autre.Chèrdie

Crante, que je t'aimemurmure un leu soir,

EL ainsitous

s les suis, ni retour descha m ps, sans qu le kreitz-direckd.rpuisse y trouver à redire.

Duveroeuil, duel nous avons annoncéhier la condamnation à mort par lac,mr d'assises de la Gironde, avait été

en 1870-71 sa des orateurs les plus vé-

héments des réunions publiques. Affilé à

l'tnlernti...la, il cenoliécissait, aquelquessans de au cuaociémires, sucles orateurs ordinaires de ces réunions.

La ,ici e..I de son langage et l'exagé-

ration de ses théories 1

avaient

rendupeu sympathique au public; séanmoius,

soir que Duvernenal annasçdépart pour l'armée, on se cotisa d'unecomme de 110 francs pour soulager safemme et son enfant, qu'il laissait sans

ont sa.Duverneuil a déjà subi diverses con-r¢dsmnalios.

Eu -Mobile 1850, le tri-banal correctionnel de Bordeaux l'avaitfrappé d'une amende de 16 le. pouroudrages aux agents. En février 1856, le

conseil de guerre de Lyon avait promonté contre lui une plie de deux aanées de prison pour bti. d'armes, et

nées ide la mPuneréa, eelui

étaient fiin-peina

iligées par le sait de guerre de 0e-n, pour dégdts i térioses dans la

pri.sou. Es décembre 1869, a Bordeaux,uo

"ellesoude de 20 te. pose

nouvelle scène d'outrdagjanviees aux agen5ts del'autorité. Enfin, er 187, letribunal correct...net de Bordeaux lecondamnait encore à u. mole de prison,à la salie de victimes, ,,erré,. contrea femme, et qui n'avaient été quo le

reproduction d'actes semblables rndveèapar la malheureuse depuis les premierstemps d'une lion datant de quinze

:,a,'Dnreeneuil a q araute.cinq eus, il

né à Ilesntème (Dordog e)Après avoir avoir essayé de divers

métiers depuis la guerre, et avait dûse eé+igoeeà la dore prof'lasion de por-t l' x métier qui ml reprit à air moment,

ILavait appris cependant un ,Métier lu.

cratif qui lui ùt permis de vivre hon0-lement : celui de tailleur de cristal.

Le coudamué est un méchant banne,paresse us, ivrogne. Ils rendu sa femmetrès.malhanreu;e, et sous ie coup dela crainte qu'il lue inspirait, elle a aitquitté le domicile eammsn. Sa brutalitél'avait replu re,oumble à lq.. les vod-

et imitent eus malheureux Suent,dont .l était le locataire.

La famille Slcot secumpusuitde huitpersonns : le père, âgé de trente; daos

s ; la ,1,, ,.I, de trentearois ans,et six enf,nts,dout l'aimé compta donneans à peine, Le père est employé au

..nage de chemin de fer d'Orléans.Gais[ uu court honnête garçon.

L.mure

étau égaiement très-estimée. lis éle-va.eatho.orableme.tleur famille, etc'est pour grossir leurs faibles ressour-.s qu'ils avaient eu la pensée de nons-

louer une partie de leur logement. Lat'emme Sicul, le soir do crime, le 9juillet, était occupée chez elle, lorsquelluverueuil .e présenta. Il lui demanda

ri était à la n et sel

es, un rap- neuil le pria de laccompagner chez sa mière LUI, frappé de son immensde: 11 en 50 ans par voie de Gruge o.,.,., rt.tés, ne fn.enl pas devant les pécheurs, Lespoteses .rances a""' nota

.Il me il. paraissent. toutefois se visas port, ainsi que et le proeés- femme, à myuelle .I avant écrit quel. se rend-s sans un vaste cour entourée siolen au pair d'obligation 10 ans

appaim,art.ers d'Uiver et rdnété rsC'stt amis mer n quelques jardins ravinés, e verbal, seront

adadresnWreressés an procureur de fans jours arparuvmit, au ,niert d'if. I d'alrcades soutenues par u le forêt de I .ales à

5500 pour .or échéance

de

e 10 anaq slnsl quelques b caves mondés. Les '.aux, rue la Répblique. jarres à ré 1 r et dont il n'avai r coonnes, dort quel q sont en et à 4 tle 00 om mie échéance de 5que les Basques ont pu aubains faire marra à 8 heures baissaient uumou u mea. 1 Ce, dférences devront être assez nulle rvodmu'. Siettet

olia. Sirote de grahd, les utres eq marbres, et, au- , an, à moisé frn sans.cie - On souscritla chasse dos le galle es Gencogne aux nous devons amas attendra ia rnde- emportantes pour neutraliser les ..Data réitéra sa demande et offrità

cod de dessus de ces a,-cudes, ue sommet soles à paris, au Crédit foncier de France, ruerdlacés qde

pour-Ne. été les , l plus fde ns veltes des cire re, et aura.[ otogoé Inr Ire, air h: :i e, fente ci p rsisL, 'r.,ns m etlrs pendent. des lumps qti on afin. j parve-des.Cs sot es, r19.te Dans les dé-des

d't'erie-Neuvncet que, au sud

f

paysrivoraine

denoos g

grands coure d'eauchantllaiae

et on aura pas a srecher- i soniurnl'us. Gomme le cWluque meurr ait ma chaque Imité ?élèvent ne quanti[ é ipartette.

:eus Recettes dos Finances,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: Rue Saint-Rome, 42. Mardi 10 Août 1*Y 6 IIRNAL lIE TOlILOIISLimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_08_10.pdf · Ilote,Voeloe5e HEURES DES DEPARTS ET DES

ch M1IM les Notaires et .heu fou', In'd t d LéitFoncier, tà

M ,,nue, direct, 1 i. V,gedcI diF 1 i t a ,cde, a Imll, use.

0 pend, l lJ'. I I g L

e )lü ,l, faut 1 .iIlr , rsa hlea a 00 n. (Soi!11

surtout ddaa les d b les 1^"'

ns np t t h b t II I x .n4 a l 5 n'<r f ,.nier n07 10 52

1 IU 6 77'ld as I chu o, I R (eo e. r I E, n Le P 't 11 IJigentlvoc aux OvI :5 15

1 6n .Laa.t ton rafa...,r. de Enri dis '. 01i ili l'a- médecinca a br iIr. 15! 912 k t f I Ri) 1 li r I t d 1\ i 1e.

r.- I { 1 Les R A q.. ! boit" d c. I l itua "'e,ro[ I I I L t 1 7 1 ra l l h n1 I S i r i I

l e s l é l I b t 0 R. i 7f lapi 1l de l t1 { t sfi, 181 ":,

167870t I t t l4 deft J 1d

c.na exsç - V l 5 i n 1 li P'h p p

o ers rAi r4 digeltionci, g et Ig gl t

, t e fit'rgr r dltés p t d a u é ,

.. et1LIA 1G9yf l.! die, hé dy suai t Is9 ip,trouve a la ta thm ét 0rm nus ét rd

111

` a 1 m ts oppression g tro , névrosoas . . du11 f1' t fy

111U

1 t. mfl t d bé[ , (a:bleese

épu e t é h l . toux de-lesd la Poitrine, gorge, haleine,BUL LAFAYETTE, 25 s d

x d branches, fie, rems,il nt stins, mu ne 1u et sang. -On enverra (rencoan <ethnix A Hnla go.

s,r,d, mande anch ie. (632 80,000 cures annuelles, y rompra celle,d M d 1 D la de C tin-

--- de 11 k M d lamarq d Bréh n lord 6t. rt r lin-

RENTES ESPAGNOLES aie., pair d'Angleterre, etc etr.

tiéville-Xacrèn.Cadix Cure n' 48,816..

M\1 B h! IIll C' , Il hèlent ICardflest du cd1.0 d leur Racoles

1 t p g' I L I

tp

d d.. Roua I 19 juillet 1855Lé t . tesd m u , ,I ka Ça is SévJl Xrrés- La Revaleucrdre remplace admirable.

dis. l (862) I ment toute médecine en beaucoup de

. 1 I, s,r.é

,

la t tl i. p" $.I y I g 1 I b 1 11 f I..G 1:2 62'. .v;

n L Iii o c r w t ple L', nso,

a r_t1 b d pl ,. S ' I s .. 1 d F é 1 ta 0, d t t l t p t i LJ'lu is, 995 50

Alp I s lC D l' t lit il t t d g t I t y d 1181 25

C 65 811 rb g Jél -h t D u t l sécheresse d l t h t d 1 Ly n 000 ,. X960

clé,do

M 1 c A Ileanelllére, d'c"i Clé Il I ép 3 . d P I I golne, d slp t I le re et midi ' "°ce,

625 ,.a Il a, n

pop de h t as, et après qnr L é liera, Labroiluen ép r 19 d.s 1

illementde,

aptes les Iep ls, et pré Autrichiens 532 50

I nulr' oudoi, etn l d d cnt phis q q 4 Fdat es che 1 p _ n ennent ainsi les maux de tél. et Ici Lombard.

deqi à v épicier- De B i 2r ne,.slions.

te dA f BOURSE DC TOULOUSECure n 62,476. a, Dépôts à Toulo ph i s Lai du 9 L

Sa t R a des Ides (Solne- t I ire).rien, Vid i1 Ahb dI. C o t ans les An Coaersen.

phaIm , lia. (5 741Aales0 1'^ 4 ;tV "S' I piin p -)

5

0j0n

Vos 15Monsieur, Dieu sait béni L IJeva- 'Cxsalxs

nera nT 5o6réras m Osas_Insciére Du Bai, fi à mes dix-huit moi Gtlil IN\ I \ I1`F. CARUl

es de soutira d 1 1. L d Ip y g a Lyon M&bterranée 95

verfs, de hihlasleC td culétuue,. Ig 01'a3A nt,IMobilier Frappais 18750

ab er Carmaux 1175ofln ..rani urrae.ni

Certd t 69,719.N 'nno ia n - T' rn

n svals ira m.

d [a rt à -1 donal'

CIIg rities ours k é.

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les !uxeéstornar, ét`i mélam I Ia1iAI1Q1 tieI+A1tH1QUE i 0(0Lenawvin, miré. (581) 5 010

A REGEL

.nnonees, Publiediâtions Légales et, Avis Divers

Il

on, de- f 400 M 1 s.Publications L égalai - I i.. à T I use, détailla ts d envi u croquai t.. l t I ..s EtndeItde al JAf I ARl midi p ',ms, ' k I ét s de Battantes

I 1 1.cslg t I 2111.11 f r , ,t st FL Il i.l al 1

Mise à pris, 3 1100 f

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I l l 1 , l L d'inal petit Jardins \i pris, 30,000 f (400)vain

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, d Ilrllafion, sur le- ar(nnl raid entre le er' 8 t Irs Il 1 .r des I g ll elJarllùre eE fa dame déposé au g ff r du pr' S al ab I L 1 taie .Prés t d l ll 1 1 _ nanu u nrA,sixund t nld2miJr11 157 1h

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l h s 1876,n és d Toulouse, bolide 15 et d'un revenu de trente pour IC p remi .tu

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" I ag t enn qcuealité J'hé- francs 87 cex[imes, confron la ds mine da deux mille lacs, pAUBSUT, recevei g é. rd

( )o d t L Ta Située 1 [t tant d I , le I I ' 6p

ép hie 1875,

av on _0W bé éfi d'in,,,.-i l Il de la dame

tant en corps du levant, fia et pour le trroncs. lot, à (01) fie 1. -- -- ilonlgieel,ed, local dupré- l

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A VI.N IIRE Il e.st ex I' é Ial'fs Ij d t', s,Il1ni I Ru' Ciller

avou ;bl. I Arsine, dé. F gnr ne ta , t àl\I Lui Y, ces

y oi1 Le niant du midi, la propriété ain,ura heu ledit ur v gt A VI:NDI,Ep qr que, s la

L dé h ebir at de

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lo Itecq ué, de I'ryre 'tissu Dor.p Le 26 n,o, IR?75, 4 mid ,deant l d t' de laC.ovlrm la sieur M1hrhel Bar-.du sieur Aillés ou ayant cause. cinq août mil hnLL cent ,n Aux ennhéres bl' nuespus Bran c par le p 1 AAmin sl,Sien, I ue Sainb

n rchund e i do-, le 11

- de terre. ri Aes0ehrrlésiuee, ilsfi a p cier i0hn 1876, à II'a t rune dn

I. r l nal ra 'vll de C finiIran, léron e, 41

II t .nuresaura llé à .urulous, aJt

vin oeuxtenie lot. xanu-q d i1 (' 1m prieur, Garonne) t 1rile usa

de, à gés én dre ionslreu

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I tlv p11I fin dol 1 d'Osé, II,I; p .nsr 1. d. i n u u'.hé tm,s I s Vctrmmnls dl'Imtmm ps ot d I,te 187'

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