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Sondage sur le mieux-être auprès des élèves du Nouveau-Brunswick Rapport de suivi des écoles primaires du district scolaire 9

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Sondage sur le mieux-être auprès des élèvesdu Nouveau-Brunswick

Rapport de suivi des écoles primairesdu district scolaire 9

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Sondage sur le mieux-être auprès des élèves

du Nouveau-Brunswick

Rapport de suivi des écoles primaires

du district scolaire 9

Le nouveau Sondage sur le mieux-être des élèves du Nouveau-Brunswick : rapport de suivi pour les écoles primaires du district présente les principaux indicateurs provinciaux considérés comme cruciaux pour la surveillance des comportements des élèves liés au mieux-être ainsi que le développement d’une culture du mieux-être dans la province.

Pour plus d’information sur le présent rapport, veuillez vous adresser au :

Groupe de recherche en santé et en éducationMarshall d’Avray Hall, local 228

Université du Nouveau-Brunswick C.P. 4400

Fredericton (N.-B.) Canada E3B 5A3

Courriel : [email protected]éléphone : 506-453-5114Sans frais : 1-888-390-2822Télécopieur : 506-451-6920

Membres du GRSE :

Dr William Morrison, codirecteur exécutif (chercheur principal) Dr Patricia Peterson, codirectrice exécutive (chercheuse principale)

Lynn Ann Duffley, directrice, initiatives de mieux-être (assistante à la recherche)

Nous tenons à souligner la contribution de l’Institut canadien de recherche en politique sociale, le Consortium conjoint pour les écoles en santé, ainsi que l’équipe du Système d’intervention, de planification et d’évaluation de la santé dans les écoles.

3

IntroductionSondage sur le mieux-être auprès des élèves du Nouveau-Brunswick

Le Sondage sur le mieux-être auprès des élèves du Nouveau-Brunswick est une initiative provinciale du ministère du Mieux-être, de la Culture et du Sport. La collecte et l’analyse des données sont menées par le Groupe de recherche en santé et en éducation (Université du Nouveau-Brunswick et Université de Moncton), en collaboration avec le ministère du Mieux-être, de la Culture et du Sport et avec la participation du ministère de l’Éducation. Le but de ce sondage est d’examiner les attitudes et les comportements des élèves de la maternelle à la 12e année par rapport au mieux-être, ainsi que ceux des parents des élèves de la maternelle à la 5e année.

La collecte de données dans le cadre du Sondage sur le mieux-être auprès des élèves des écoles primaires du Nouveau-Brunswick a été effectuée au moyen de deux sondages :

• Sondage sur le mieux-être auprès des élèves, versions A et B (4e et 5e année);

• Sondage sur le mieux-être familial (parents d’élèves de la maternelle à la 5e année).

Les questions du sondage ciblent quatre piliers de la stratégie du mieux-être du Nouveau-Brunswick :

• Alimentation saine

• Activité physique

• Vivre sans tabac

• Santé psychologique

Vingt-trois écoles élémentaires (échantillon) ont participé au sondage 2007-2008, En tout, 203 (95 %) écoles primaires ont répondu aux sondages sur le mieux-être des élèves 2010-2011. Au total, 11 784 élèves et 19 739 parents ont participé au sondage. Chacune de ces écoles a reçu un rapport de suivi personnalisé présentant les résultats colligés pour tout le district, sauf si le nombre d’élèves ayant répondu était insuffisant pour assurer la confidentialité des élèves. Sauf indication contraire, tous les chiffres figurant dans le rapport représentent le pourcentage du nombre total d’élèves ayant participé au sondage dans le district.

L’organisation du rapport de suivi qui vous est destiné tient compte des liens qui existent entre les quatre piliers du mieux-être, l’influence que la famille, les relations entre jeunes et le milieu scolaire exercent sur les comportements et les attitudes des élèves par rapport à la santé. Les rapports sont organisés en fonction des réponses données par les élèves de 4e et 5e année ainsi que des réponses des parents des élèves de la maternelle à la 5e année liées aux attitudes et aux comportements en matière de mieux-être.

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Importance du mieux-être pour l’apprentissage

Le rapport de suivi fournit une occasion unique de renforcer l’importance du lien qui existe entre des habitudes de vie saines et l’apprentissage. La recherche actuelle apporte la preuve qu’il existe des liens étroits entre les quatre piliers du mieux-être ainsi que l’engagement et la réussite scolaire des élèves. Par exemple :

• Alimentation saine : Prendre chaque jour un déjeuner peut aider à améliorer la concentration et à accroître la capacité d’apprendre (Agence de la santé publique du Canada, 2009).

• Activité physique : Les élèves actifs et en bonne santé ont un meilleur niveau de concentration et de relaxation. Les élèves qui réussissent à l’école ont également tendance à être plus actifs physiquement (Agence de la santé publique du Canada, 2009).

• Vivre sans tabac : Les habitudes liées à la consommation de tabac chez les parents constituent un facteur clé quant à l’acceptation du tabagisme comme étant « normal » et à son association avec un nombre moins important de perceptions négatives et de conséquences pour la santé. Les enfants sont deux fois plus susceptibles de fumer si leurs parents sont fumeurs (Santé Canada, 2010). Des études récentes indiquent qu’il existe un lien entre le tabagisme, la faiblesse du rendement scolaire et la motivation chez les élèves (Breslau et coll., 2010).

• Santé psychologique : La satisfaction des besoins liés à la santé psychologique (compétences, rapprochement et autonomie) a été associée à une série de résultats positifs sur le plan scolaire et personnel, notamment une meilleure estime de soi et une plus grande participation à l’école, une confiance accrue et de meilleurs résultats scolaires, ainsi qu’une baisse du risque de décrochage scolaire (Morrison et Peterson, 2010).

La santé à l’école : une approche globale

Le Consortium conjoint pour les écoles en santé recommande l’utilisation d’un cadre global de la santé en milieu scolaire, à la fois pour l’apprentissage et le mieux-être des élèves. Ce cadre met l’accent sur la nécessité de planifier et de mettre en œuvre des approches qui intègrent des aspects et des pratiques clés dans les quatre domaines suivants :

• Milieu social et physique

• Enseignement et apprentissage

• Politiques saines dans les écoles

• Partenariats et services

Pour en savoir plus sur le cadre global de santé en milieu scolaire ainsi que sur le Consortium conjoint pour les écoles en santé, veuillez visiter le site www.jcsh-cces.ca.

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Utilisation du présent rapport de suivi

Le rapport de suivi est une source précieuse d’information pour la planification d’initiatives à partir du cadre global sur la santé en milieu scolaire. Chaque district peut donc se servir de ce rapport pour établir des priorités ainsi que pour élaborer et mettre en place des initiatives visant à promouvoir auprès des élèves certains comportements et certaines attitudes en matière de santé. Les résultats détaillés du sondage que contient le rapport permettent d’identifier les forces à développer et les aspects à améliorer en priorité. Il est essentiel que toutes les parties prenantes, c’est-à-dire les élèves, les enseignants, les parents, les administrateurs, les fournisseurs de services et les membres de la communauté, travaillent ensemble. Voici quelques idées sur la façon d’utiliser votre rapport de suivi.

Les parents et les communautés peuvent utiliser les résultats pour :

• planifier des activités avec les élèves, le personnel de l’école, les membres ainsi que le Conseil d’éducation de district (CED), le Comité d’action santé de district (CASD) ou les Comités parentaux d’appui à l’école (CPAE);

• donner l’exemple de comportements sains et encourager l’adoption de tels comportements;

• partager leurs compétences, leurs talents et leurs connaissances pour soutenir l’école, le district et la communauté;

• travailler avec des groupes communautaires afin de déterminer les problèmes.

Le personnel du district peut utiliser les résultats pour :

• communiquer les résultats avec le Conseil d’éducation de district (CED), le Comité d’action santé de district (CASD) ou les Comités parentaux d’appui à l’école (CPAE);

• intégrer les objectifs liés au mieux-être dans les plans d’amélioration du district;

• faciliter la mise en œuvre des programmes scolaires et créer des liens avec le bien-être des élèves;

• donner l’occasion au personnel de montrer l’exemple;

• appuyer des demandes de financement (p. ex. des programmes de subvention pour le mieux-être);

• prendre part à l’élaboration, à la mise en œuvre et au suivi de politiques sur les écoles saines;

• améliorer la prestation de services ou de programmes pour les élèves (p. ex. des conseils ou des programmes de petits déjeuners);

• former de nouveaux partenariats avec les parents et l’ensemble de la communauté dans le but d’agir collectivement;

• mettre en œuvre des programmes de promotion du mieux-être et les évaluer.

Légende du graphique :

Réponses des élèves de 4e et 5e année : Analyse du sondage auprès des élèves Réponses des parents : Analyse du sondage auprès des parents sur leurs propres comportements Perspective des parents des élèves de la maternelle à la 5e année : Analyse du sondage auprès des parents des élèves de la maternelle à la 5e année sur les comportements de leur(s) enfant(s)

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normalPoids infuffisant Poids Embonpoint Obésité

IMC

Alimentation saineAu cours des 25 dernières années, le pourcentage d’adolescents canadiens considérés comme étant en situation d’embonpoint ou d’obésité a augmenté de façon très importante. Les taux d’embonpoint et d’obésité à l’adolescence persistent souvent à l’âge adulte (Fondation des maladies du cœur du Canada, 2006). La consommation de repas rapides et les portions ont augmenté de façon significative au cours des 20 dernières années. Durant la même période, les jeunes sont devenus moins actifs physiquement. Avoir un poids santé dépend à la fois de l’adoption de bonnes habitudes alimentaires et de l’activité physique.

Embonpoint et obésité

La consommation accrue de glucides et de sucres simples, de portions plus importantes ainsi que d’aliments riches en calories contribuent à une augmentation des risques d’obésité chez les enfants (ASPC, 2009). Le poids santé peut être déterminé au moyen de l’indice de masse corporelle (IMC). L’IMC est une mesure du poids d’une personne par rapport à sa hauteur. L’embonpoint et l’obésité, déterminés en fonction de l’IMC, ont été établis à la fois pour les garçons et les filles pour chacune des périodes de leur développement (Cole, Bellizzi, Flegal et Dietz, 2000). On a demandé aux parents des élèves de la maternelle à la 5e année de donner l’âge, la taille et le poids de leurs enfants. Les IMC correspondants sont illustrés dans le graphique suivant.

Graphique 1 : Indice de masse corporelle des élèves Perspective des parents* des élèves de la maternelle à la 5e année

* Dans le cadre de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé de 2007 à 2009 révèle que les parents ont sous-estimé la taille et le poids des enfants de 6 à 11 ans, ce qui a entraîné une surestimation de l’indice de masse corporelle (IMC) chez les enfants de 6 à 8 ans. L’utilisation des données sur la taille et le poids déclarées par les parents donne lieu à d’importantes erreurs de classification dans les estimations de la prévalence selon la catégorie d’IMC (Shields, Connor Gorber, Janssen, et Tremblay, 2011).

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ÉlèvesParents

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ÉlèvesParents

S’alimenter

La quantité de légumes et de fruits que les adolescents consomment est un marqueur particulièrement important. En effet, les enfants et les adolescents qui consomment des légumes et des fruits cinq fois par jour ou plus sont nettement moins susceptibles d’être en situation d’embonpoint ou d’obésité que ceux dont la consommation de légumes et fruits est moins fréquente (Tjepkema et Shields, 2005).

Graphique 2 : Consommation de légumes et de fruits (journée précédant le sondage)Réponses des élèves de 4e et 5e année et réponses des parents

Limiter les aliments et les boissons riches en calories, en lipides, en sucre et en sel (sodium) est une étape importante vers une meilleure santé et un poids santé (Santé Canada, 2007a).

Graphique 3 : Consommation d’aliments non nutritifs* (journée précédant le sondage)Réponses des élèves de 4e et 5e année et réponses des parents

*Exemples d’aliments non nutritifs : bonbons, friandises, croustilles, frites.

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0 fois 1−2 fois 3−4 fois 5−6 fois 7 fois et +

ÉlèvesParents

* Exemples de boissons non nutritives : boissons gazeuses, eaux aromatisées, boissons pour sportifs, barbotines (slush).

Manger sainement à la maison

L’adoption de saines habitudes alimentaires, tant à la maison qu’à l’école, joue un rôle important dans la préparation des jeunes à l’apprentissage. Par exemple, les élèves qui déjeunent ont une meilleure mémoire et une plus grande capacité à résoudre les problèmes, et sont également plus créatifs (Santé Canada, 2007b).

Des études ont montré que les personnes qui consomment des céréales riches en fibres au déjeuner ont l’IMC le plus faible, que celles qui ne déjeunent pas ont l’IMC le plus élevé et que le fait de déjeuner peut contribuer à la perte de poids ou empêcher la prise de poids. En effet, la prise d’un déjeuner tend à minimiser la consommation impulsive de collations et à éviter de trop manger pendant les autres repas au cours de la journée. Un déjeuner équilibré fournit à une personne les nutriments et l’énergie dont elle a besoin pour commencer sa journée (American Dietetic Association, 2010).

Graphique 4 : Consommation de boissons non nutritives* (journée précédant le sondage)

Réponses des élèves de 4e et 5e année et réponses des parents

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0 fois 1−2 fois 3−4 fois 5−6 fois 7 fois et +

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Au Nouveau-Brunswick, 70 % des élèves de 4e et 5e année ont déjeuné tous les jours de la semaine précédant le sondage et 15 % ont déjeuné 2 fois ou moins durant cette semaine.

Graphique 5 : Prise d’un déjeuner (semaine précédant le sondage)Réponses des élèves de 4e et 5e année

La prise de repas en famille est associée à de meilleurs choix alimentaires et une meilleure qualité des apports nutritionnels, de même qu’à des poids normaux chez les enfants. Toutefois, le fait de regarder la télévision pendant le repas peut annuler les effets positifs des repas en famille. En effet, les enfants qui mangent devant la télévision consomment moins de légumes et de fruits et plus d’aliments gras et de boissons gazeuses. La prise de repas devant la télévision est associée à l’embonpoint (Les diététistes du Canada, 2007).

Graphique 6 : Prise de repas devant la télévision (semaine précédant le sondage)

Réponses des élèves de 4e et 5e année

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Déjeuner Dîner Souper Au moins un repasavec un parent

Vingt-deux pour cent de la consommation moyenne de gras trans chez les Canadiens proviennent d’aliments consommés en dehors de la maison, et souvent dans des établissements de restauration rapide ou d’autres types d’environnements (Santé Canada, 2007a). De nombreuses études ont prouvé que les enfants et les adultes qui consomment des aliments rapides ont plus de risques de prendre du poids, de faire de l’embonpoint ou d’être obèses. Cette relation est la plus forte chez les personnes qui consomment un ou plusieurs repas par semaine dans un établissement de restauration rapide (Nutrition Evidence Library, 2010).

Graphique 8 : Fréquentation d’établissements de restauration rapide ou de restaurants avec son enfant (semaine précédant le sondage)

Réponses des parents

Saine alimentation : influence des relations sociales

La famille influence les habitudes et les choix alimentaires des élèves. Les parents peuvent jouer un rôle important en aidant les élèves à développer des attitudes saines envers la nourriture, en fixant des routines pour les repas et en montrant l’exemple. Prendre les repas en famille peut permettre de renforcer de bonnes habitudes alimentaires et offrir aux adultes et aux enfants la possibilité de parler de leur journée (Santé Canada, 2007b). Les enfants et les adolescents qui mangent régulièrement avec au moins un autre membre de leur famille ont une meilleure alimentation et un meilleur apport nutritionnel (Les diététistes du Canada, 2007).

Graphique 7 : Prise de repas avec un parent (journée précédant le sondage)Réponses des élèves de 4e et 5e anné

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Activité physiqueL’activité physique chez les enfants et les jeunes diminue avec l’âge, et la proportion des jeunes âgés de 5 à 10 ans respectant les lignes directrices canadiennes en matière d’activité physique est presque deux fois plus élevée que chez les jeunes de 15 à 19 ans. Même si les études montrent que les garçons sont plus actifs que les filles, la baisse liée à l’activité physique se produit chez les deux sexes.

Les enfants physiquement actifs ont de meilleurs résultats à l’école par rapport à ceux qui sont inactifs, ce qui reste vrai même quand les cours d’éducation physique ou d’autres types d’activités physiques entraînent une diminution des heures consacrées à l’apprentissage (Jeunes en forme Canada, 2009). L’activité physique ne profite pas seulement à la santé physique des enfants, puisque des études ont montré que celle-ci peut être également associée à une amélioration du mieux-être physique, à une réduction des niveaux de dépression et d’anxiété, à une baisse des niveaux d’intimidation et à une amélioration de l’estime de soi (Jeunes en forme Canada, 2010).

Activité physique quotidienne

Le Guide d’activité physique canadien recommande que les élèves consacrent au moins 60 minutes par jour à une activité physique d’intensité faible, modérée ou intense (Société canadienne de physiologie de l’exercice, 2011a). Au Nouveau-Brunswick, 75 % des élèves (de 4e et 5e année) ont indiqué être physiquement actifs au moins une heure la plupart des jours.

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0 fois 1−2 fois 3−4 fois 5−6 fois 7 fois et +

ÉlèvesParents

Graphique 10 : Être très* actif physiquement pendant au moins 30 minutes (semaine précédant le sondage)

Réponses des élèves de 4e et 5e année et réponses des parents

* Très actif physiquement » a été décrit comme l’état de quelqu’un qui pratique pendant un minimum de 30 minutes une activité entraînant la transpiration et une

respiration intense, comme la course, le vélo ou les travaux ménagers.

Il est également recommandé d’être très actif physiquement pendant 30 minutes au moins trois jours par semaine en pratiquant des activités comme la course ou la natation qui font transpirer et qui entraînent une respiration intense (Société canadienne de physiologie de l’exercice, 2011a).

Graphique 9 : Heures consacrées à l’activité physique (la plupart des jours)Réponses des élèves de 4e et 5e année

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0 h Moins de 1 h Moins de 2 h 2 h et +

Devant un écranActivité physiqueLecture/Devoirs

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0 h Moins de Moins de 2 h 3 h Plus de 3 h1 h 2 h

ÉlèvesParents

Heures passées devant un écran

Selon les Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire, les enfants et les jeunes ne devraient pas consacrer plus de deux heures par jour à des activités sédentaires, p. ex. regarder la télévision ou utiliser un ordinateur (Société canadienne de physiologie de l’exercice, 2011b).

Graphique 11 : Heures passées devant un écran (la plupart des jours)Réponses des élèves de 4e et 5e année et réponses des parents

Regarder la télévision ou jouer à l’ordinateur entraîne une baisse de l’activité physique. L’inactivité augmente le risque de prendre du poids, de même que la probabilité de consommer des aliments plus riches en matières grasses, en sucre et en sel (Santé Canada, 2007b).

Graphique 12 : Heures consacrées aux activités quotidiennes (la plupart des jours)

Réponses des élèves de 4e et 5e année

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Après I’écoleSoirs de semaineFin de semaine

Activité physique en dehors de l’école

La période après l’école est idéale pour introduire des changements chez les enfants qui consacrent du temps à des activités sédentaires (télévision ou ordinateur) afin de les rendre plus actifs physiquement. Environ 5 % des élèves de niveau élémentaire au Nouveau-Brunswick n’avaient pas fait d’activité physique la semaine précédant le sondage.

Graphique 13 : Participation des élèves à des activités physiques non organisées par l’écolePerspective des parents des élèves de la maternelle à la 5e

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Oui Non Aucune activité offerete

Avant I’école, à larécréation ou le midiImmédiatement aprèsI’école

Activité physique à l’école

Il a été démontré que les écoles qui encouragent l’activité physique arrivent à augmenter les niveaux d’activités de leurs élèves (Fondation des maladies du cœur du Canada, 2005). À l’école, les activités physiques permettent aux élèves d’être actifs et de nouer des relations qui renforcent l’adoption d’attitudes et de comportements sains.

Graphique 14 : Participation des élèves à des activités physiques en dehors à l’écoleRéponses des élèves de 4e et 5e année

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Oui Non

Dans la maisonDans la voiture

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Oui Non

Vivre sans tabacL’usage du tabac à la maison est lié au tabagisme chez les élèves : plus le nombre de fumeurs à la maison est élevé, plus un élève est susceptible de fumer lui-même (Santé Canada, 2002).

Graphique 15 : Élèves vivant avec des personnes qui fument la cigarette ou d’autres produits du tabac

Réponses des parents

L’interdiction de fumer permet de réduire l’exposition à la fumée secondaire ainsi que la prévalence du tabagisme (Callinan, Clarke, Doherty et Kelleher, 2010).

Graphique 16 : Permettre aux gens de fumer à l’intérieur Réponses des parents

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Santé psychologiqueLa santé psychologique fait référence à un état de mieux-être psychosocial qui va au-delà de l’absence de maladies. Cela signifie que la façon dont on se sent, pense et agit permet d’améliorer sa capacité à profiter de la vie. Elle concerne également la capacité d’une personne à relever les défis de la vie, ainsi qu’à rebondir et à maintenir un bon équilibre (province du Nouveau-Brunswick, 2009).

Le Consortium conjoint pour les écoles en santé a récemment publié un document de référence destiné aux écoles, intitulé : Le milieu scolaire comme terrain propice à la promotion de la santé mentale positive : Meilleures pratiques et perspectives. Ce document décrit des perspectives et des pratiques clés pour la mise en œuvre d’approches globales en matière de santé psychologique dans le contexte scolaire, et peut être consulté à l’adresse suivante : www.jcsh-cces.ca.

Les analyses des données du sondage 2007-2008 sur le mieux-être ont révélé que des niveaux élevés de santé psychologique sont associés à :

• des niveaux plus élevés de l’affect positif et des attitudes pro-sociales et moins de comportements d’opposition;

• participation à des activités physiques;

• un plus grand sentiment d’appartenance à l’école (Morrison et Peterson, 2010).

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FiableModéréÉlevé

Niveau de santé psychologique

Avoir une bonne santé psychologique nous permet de profiter davantage de notre environnement et des personnes qui s’y trouvent.

Graphique 17 : Niveau de santé psychologiqueRéponses des élèves de 4e et 5e année

Besoins en matière de santé psychologique

La bonne santé psychologique s’épanouit dans les milieux et les relations qui répondent à trois besoins psychologiques interdépendants : l’autonomie, la capacité à former des liens et la compétence. Quand les besoins liés à la santé psychologique d’une personne sont suffisamment comblés, celle-ci adopte alors des comportements qui contribuent à son mieux-être personnel et à celui des autres, et fait des choix plus sains (Deci et Ryan, 2002).

Autonomie

« Je suis capable de faire des choix pour les choses qui sont importantes pour moi. »

Les élèves ont besoin de liberté pour faire des choix ou prendre des décisions qui les concernent. Lorsque ce besoin est comblé, parallèlement à d’autres besoins, la liberté et la possibilité de faire des choix s’expriment en faisant preuve de respect à l’égard de soi et des autres.

Graphique 18 : Niveau d’autonomieRéponses des élèves de 4e et 5e année

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FiableModéréÉlevé

Création de liens

« Je sens que je fais partie du groupe, qu’on me soutient et qu’on m’encourage. »

Les élèves ont besoin de se sentir liés et d’être proches de leur famille, des personnes de leur âge, des enseignants ainsi que des autres personnes qui sont importantes pour eux. Ce besoin est comblé par l’interaction avec les autres, l’appartenance à des groupes, ainsi que le soutien et l’encouragement offerts par les autres.

Graphique 19 : Niveau de rapprochementRéponses des élèves de 4e et 5e année

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FiableModéréÉlevé

Compétences

« Je suis conscient, ainsi que les autres, de mes forces et de mes talents. »

Les élèves ont besoin de reconnaître et d’utiliser leurs forces et leurs talents pour réaliser des objectifs personnels. La satisfaction de ce besoin procure un sentiment d’accomplissement personnel.

Graphique 20 : Niveau de compétenceRéponses des élèves de 4e et 5e année

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FiableModéréÉlevé

Comportements pro-sociaux

Les élèves qui ont un niveau élevé de santé psychologique ont tendance à avoir davantage de comportements pro-sociaux, p. ex. aider les gens et partager des choses sans qu’on leur demande. On a demandé aux élèves dans quelle mesure ils étaient en accord ou en désaccord avec certaines affirmations liées à cinq comportements pro-sociaux, p. ex. aider les gens et partager. Le graphique suivant indique les résultats pour les comportements pro-sociaux (réponses des élèves et des parents) par rapport au reste de la province.

Tableau 1 : Affirmations relatives aux comportements pro-sociauxRéponses des élèves de 4e et 5e année

À quel point es-tu en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes ?

À quel point es-tu en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes ?

Entièrement en désaccord et en désaccord

Ni d’accord, ni en d’accord

D’accord ou Entièrement

d’accord

Je rends souvent service aux gens sans qu’on me le demande.

8 18 74

Je prête souvent des choses aux gens sans qu’on me le demande.

14 22 65

J’aide souvent les gens sans qu’on me le demande. 9 22 69

Je complimente souvent les gens sans qu’on me le demande.

9 19 72

Je partage souvent des choses avec les gens sans qu’on me le demande.

10 17 73

L’ensemble des réponses des élèves à la série d’affirmations détermine le niveau des comportements pro-sociaux.

Graphique 21 : Niveau de comportement pro-social Réponses des élèves de 4e et 5e année

20

47

28 25

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

FiableModéréÉlevé

Comportements d’opposition

Les comportements d’opposition dans l’enfance ont été associés à un ensemble de comportements négatifs plus tard dans la vie : risques liés aux difficultés scolaires, décrochage scolaire, relations malsaines, toxicomanie, problèmes avec la loi et risque accru de problèmes de santé mentale (Van Lier, Muthen, Van der Sar et Crijnen, 2004). Il existe des liens entre les attitudes et les comportements positifs ainsi que l’amélioration des résultats au plan physique et psychologique et la diminution des comportements d’opposition (Juvonen, 2007).

On a demandé aux élèves dans quelle mesure ils étaient en accord ou en désaccord avec certaines affirmations liées à des comportements d’opposition comme la désobéissance, la résistance et la bagarre.

Tableau 2 : Affirmations relatives aux comportements d’oppositionRéponses des élèves de 4e et 5e année

À quel point es-tu en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes ?

Pourcentage des élèves qui ont répondu

Entièrement en désaccord et en

désaccord

Ni d’accord,

ni en d’accord

D’accord ou Entièrement

d’accord

Je fais faire aux autres ce que je veux. 71 18 11

Je désobéis à mes parents. 73 17 10

Je réplique à mes professeurs. 78 13 9

Je me bagarre. 79 11 10

Il m’arrive souvent de dire des choses méchantes dans le but d’obtenir ce que je veux.

90 6 4

Je prends des choses qui ne m’appartiennent pas, que ce soit à la maison, à l’école ou ailleurs.

92 4 4

L’ensemble des réponses des élèves à la série d’affirmations détermine le niveau des comportements d’opposition.

Graphique 22 : Niveau de comportements d’oppositionRéponses des élèves de 4e et 5e année

21

Comportement lié à l’intimidation

Au Canada, 36 % des jeunes ont été victimes d’intimidation 1 à 2 fois dans un intervalle de 2 mois, et 20 % ont indiqué être à la fois victimes et coupables d’intimidation (Organisation mondiale de la Santé, 2008).

Les enfants qui sont victimes d’intimidation peuvent rencontrer des problèmes émotionnels et comportementaux, par exemple se sentir blessés, gênés, solitaires et déprimés (Hawker et Boulton, 2000; Sharp, Thompson et Arora, 2000). Des études montrent que les enfants qui se livrent à l’intimidation ont des aptitudes et des notes plus faibles que la majorité de leurs camarades de classe, peu d’empathie, une perception déformée des conséquences et de leur rôle dans la résolution de problèmes sociaux, ainsi que des risques accrus de consommation de substances toxiques et de conflits avec la loi (Beran, Hughes et Lupart, 2008).

Tableau 3 : Comportement lié à l’intimidationRéponses des élèves de 4e et 5e année

À quel point es-tu en accord ou en désaccord avec les affirmations

suivantes ?

Pourcentage des élèves qui ont répondu

Entièrement en désaccord et en

désaccord

Ni d’accord, ni en d’accord

D’accord et Entièrement

d’accord

Je me sens en confiance de signaler aux adultes de cette école les situations d’intimidation.

6 7 87

Liens avec l’école

Avoir un sentiment d’appartenance pour son école peut aider un élève à faire de bons choix. Les élèves qui se sentent attachés à leur école et qui considèrent que leurs enseignants sont solidaires sont moins susceptibles de se livrer à des comportements malsains ou à risque élevé. On a demandé aux élèves d’indiquer dans quelle mesure ils étaient d’accord ou en désaccord avec des affirmations portant sur leur sentiment d’appartenance à l’école.

22

21

40 39

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

FiableModéréÉlevé

Tableau 4 : Affirmations relatives aux liens avec l’écoleRéponses des élèves de 4e et 5e année

À quel point es-tu en accord ou en désaccord avec les affirmations suivantes ?

Pourcentage des élèves qui ont répondu

Entièrement en désaccord

et en désaccord

Ni d’accord, ni en d’accord

D’accord et Entièrement

d’accord

Je me sens en sécurité dans mon école. 5 13 82

Je me sens proche des autres dans mon école. 10 17 74

J’ai un sentiment d’appartenance pour mon école.

8 9 83

Je suis heureux d’être à mon école. 15 16 69

Je sens que les enseignants à mon école me traitent de façon juste.

7 10 83

L’ensemble des réponses des élèves à la série d’affirmations détermine le niveau de liens avec l’école.

Graphique 23 : Niveau de liens avec l’écoleRéponses des élèves de 4e et 5e année

23

Résultats provinciauxCe tableau illustre les résultats provinciaux pour les réponses fournies par les élèves ou les parents pour chaque indicateur de mieux-être. Veuillez vous reporter à la légende pour déterminer la source du résultat.

Légende du graphique :

RÉ : Réponses des élèves de 4e et 5e année – Analyse du sondage auprès des élèves RP : Réponses des parents – Analyse du sondage auprès des parents sur leurs propres comportements PP : Perspective des parents des élèves de la maternelle à la 5e année – Analyse du sondage auprès des parents des élèves de la maternelle à la 5e année sur les comportements de leur(s) enfant(s)

Indicateurs de mieux-être % N.-B. 2010-11

RÉ RP PP

Indice de masse corporelle (IMC)

Poids insuffisant 11 √

Poids normal 52 √

Embonpoint 12 √

Obésité 24 √

Consommation de légumes et de fruits (journée précédant le sondage)

0 fois 9 √

1-2 fois 20 √

3-4 fois 21 √

5-6 fois 17 √

7-8 fois 15 √

9 fois et + 18 √

0 fois 2 √

1-2 fois 17 √

3-4 fois 35 √

5-6 fois 29 √

7-8 fois 12 √

9 fois et + 6 √

Consommation d’aliments non nutritifs (journée précédant le sondage)

0 fois 25 √

1-2 fois 47 √

3-4 fois 15 √

5-6 fois 5 √

7 fois et + 8 √

0 fois 29 √

1-2 fois 63 √

3-4 fois 7 √

5-6 fois 1 √

24

Indicateurs de mieux-être % N.-B. 2010-11

RÉ RP PP

7 fois et + 0 √

Consommation de boissons non nutritives (journée précédant le sondage)

0 fois 44 √

1-2 fois 37 √

3-4 fois 10 √

5-6 fois 4 √

7 fois et + 5 √

0 fois 54 √

1-2 fois 36 √

3-4 fois 8 √

5-6 fois 2 √

7 fois et + 1 √

Prise d’un déjeuner (semaine précédant le sondage)

0 fois 4 √

1-2 fois 9 √

3-4 fois 5 √

5-6 fois 12 √

7 fois et + 70 √

Prise de repas devant la télévision (semaine précédant le sondage)

0 fois 34 √

1-2 fois 27 √

3-4 fois 13 √

5-6 fois 7 √

7 fois et + 19 √

Prise de repas avec un parent (journée précédant le sondage)

Déjeuner 42 √

Dîner 26 √

Souper 77 √

Au moins un repas 83 √

Fréquentation d’établissements de restauration rapide ou de restaurants avec son enfant (semaine précédant le sondage)

0 fois 46 √

1 fois 42 √

2 fois 9 √

3-4 fois 2 √

Heures consacrées à l’activité physique (la plupart des jours)

0 h 5 √

Moins de 1 h 20 √

Moins de 2 h 24 √

2 h 19 √

25

Indicateurs de mieux-être % N.-B. 2010-11

RÉ RP PP

3 h 10 √

Plus de 3 h 23 √

Être très actif physiquement au moins 30 minutes (semaine précédant le sondage)

0 fois 5 √

1-2 fois 15 √

3-4 fois 25 √

5-6 fois 20 √

7 fois et + 35 √

0 fois 14 √

1-2 fois 28 √

3-4 fois 35 √

5-6 fois 14 √

7 fois et + 9 √

Heures passées devant un écran (télévision, ordinateur, jeux vidéo) la plupart des jours

0 h 1 √

Moins de 1 h 4 √

Moins de 2 h 19 √

2 h 14 √

3 h 11 √

Plus de 3 h 50 √

0 h 2 √

Moins de 1 h 33 √

Moins de 2 h 36 √

2 h 19 √

3 h 6 √

Plus de 3 h 5 √

Lecture/Devoirs (la plupart des jours)

0 h 3 √

Moins de 1 h 15 √

Moins de 2 h 54 √

2 h et plus 28 √

Participation à des activités physiques non organisées par l’école

Après l’école 68 √

Les soirs de semaine 69 √

La fin de semaine 84 √

Participation à des activités physiques à l’école

Avant l’école, à la récréation ou le midi 77 √

Immédiatement après l’école 58 √

Élèves vivant avec des personnes qui fument la cigarette ou d’autres produits du tabac 31 √

26

Indicateurs de mieux-être % N.-B. 2010-11

RÉ RP PP

Permettre aux gens de fumer à l’intérieur

Dans la maison 5 √

Dans la voiture 5 √

Niveau de santé psychologique

Faible 21 √

Modéré 61 √

Élevé 19 √

Besoins en matière de santé psychologique – Autonomie

Faible 18 √

Modéré 35 √

Élevé 47 √

Besoins en matière de santé psychologique – Création de liens

Faible 23 √

Modéré 41 √

Élevé 36 √

Besoins en matière de santé psychologique – Compétences

Faible 21 √

Modéré 36 √

Élevé 43 √

Comportements pro-sociaux

Faible 30 √

Modéré 28 √

Élevé 43 √

Comportements d’opposition

Faible 55 √

Modéré 24 √

Élevé 22 √

Comportement lié à l’intimidation

Je me sens en confiance de signaler aux adultes de cette école les situations d’intimidation

83 √

Liens avec l’école

Faible 17 √

Modéré 39 √

Élevé 44 √

27

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28

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