A LA UNE

ZOOM SUR

LE CAPITOLEp. 12 à 15

VIE SOCIALESURESNES SE MOBILISEPOUR HAÏTIp. 24

CULTUREDenis Podalydès dans Le cas Jekyll p. 34

T O U T E L’ A C T U A L I T É D E V O T R E V I L L EN ° 2 0 6 F É V R I E R 2 0 1 0

MAGAZINE

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2, rue du Mont-Valérien - 92150 Suresnes - Tél. : 01 45 06 17 40

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SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

2 rue Carnot, 92151 Suresnes Cedex, tél 01 41 18 15 67, suresnesmag@ville-suresnes.fr. Directeur de la publication :

Christian Dupuy. Adjoint au maire délégué à la communication : Thierry Burtin. Rédactrice en chef : Karine Pueyo.

Rédactrice en chef adjointe : Céline Gazagne. Rédaction:CélineGazagne,JulieLévy-Marchal,JoëlleDruel,LionelBros,EricDelon.

Secrétaire de rédaction : Joëlle Druel. Création graphique : Jacqueline Bretar. Couverture : Cécile Dégremont. Photogravure et

impression:GroupedesImprimeriesMorault /0153359515. Régiepublicitaire:Eser/0148120020.Dépôtlégal:1er trimestre2010.

5 DISCOURSprononcé par Christian Dupuy, lors des vœux aux

corps constitués, le lundi 18 janvier

8 ARRÊT SUR IMAGE >>>Suresnes cités danse. Quel cirque ! Spectacleburlesque né de la rencontre entre la chorégrapheBlanca Li et le collectif Jeu de jambes

10 CHRONIQUE EN IMAGES> Les vœux du maire dans les foyers >Candidats à l’accession sociale à la propriétédans la ZAC Rivière-Seine > Remise derécompenses à l’école de rugby> Les médaillés d’honneur de la ville

+ ATTRACTIVE

12 A LA UNE : NOUVEAUX

DÉFIS POUR LE CAPITOLE >>>

10 ans et après ? Au cœur de la ville etplébiscité par les Suresnois, le cinémamunicipal Le Capitole présente sesactions et ses projets

- Entreprise : Havas lance à Suresnes Havas Event- Une nouvelle direction économique pour lacommunauté d’agglomération

+ DURABLE

22 CADRE DE VIE >>>- Vélib’ a 6 mois, premier bilan

+ DE SERVICES

24 VIE SOCIALE >>>- Suresnes solidaire avec Haïti- Hôpital Foch :une nouvelle maternité bientôt à terme !

+ CONVIVIALE

32 SURESNES, REGARD DE FEMMES >>>- Questionnaire : les femmes et le sport

CULTURE >>>- Denis Podalydès au théâtre Jean Vilar- Médiathèque :

participez au concours de nouvelles- Découvrez le saxo avec le conservatoire

39 SURESNES PRATIQUE43 AGENDA44 LA PAROLE EST AUX GROUPES

Imprimé sur papier recyclé, ce magazine est téléchargeable sur www.suresnes.fr

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Sommaire

N°206

Ce magazineest édité par la ville

de Suresnes

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Nous voici rassemblés, encore une fois, pour sacrifier

à une sorte de rituel : celui des vœux de début d’année.

Sans conférer à cette cérémonie je ne sais quelle vertu

magique, il faut reconnaître qu’elle constitue un

moment privilégié qui nous offre le plaisir de nous

retrouver réunis vous et nous qui nous rencontrons

séparément au long de l’année dans l’exercice de nos

compétences respectives.

C’est aussi un moment où le présent s’emploie à la fois

à évaluer le passé, en faisant le point sur l’année

écoulée, et à envisager l’avenir en définissant les

perspectives de l’année qui débute.

Il ne s’agit pas de s’adonner à l’art

divinatoire à travers le décryptage du marc

de café ou le déchiffrage des messages

contenus dans les figures du tarot

mais d’énoncer des engagements pour

l’année 2010 et d’exprimer des souhaits

(de simples souhaits mais des souhaits

sincères) sur la tournure que pourraient

prendre nos vies individuelles et

collectives en 2010.

A propos des enjeux collectifs vous me

permettrez de déborder un tout petit

peu des limites territoriales de notre

chère Suresnes et d’enfreindre

également la règle d’unité de temps

en portant mon regard légèrement

en deçà de l’année écoulée.

Le XXe siècle a été le temps de

l’affrontement des idéologies et des

nations avec rien moins que deux

guerres mondiales, les révolutions

russes et chinoises, l’accession à

l’indépendance des nations du

continent africain, la guerre de Corée, la guerre

d’Indochine, la guerre civile espagnole, le communis-

me, le fascisme, le nazisme, l’instauration puis la chute

de dictatures sur tous les continents…

La fin du XXe siècle vit de nombreuses nations se

libérer de régimes autoritaires et la démocratie gagner

de plus en plus de terrain.

La première décennie du XXIe siècle aura été marquée

par une prise de conscience planétaire sur des sujetscruciaux comme les droits de l’homme, la sécuritépolitique face aux dangers extrémistes et terroristes,l’écologie, l’économie, la santé.A l’heure où la mondialisation n’a plus à être analysée

ou commentée comme un espoir ou un risque mais

comme une réalité objective qui s’impose à tous, le

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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Éditorial

Février

temps n’est pas à des débats théoriques sur les espoirs

ou les craintes qu’elle inspire mais à des prises de

décisions pour adapter nos modes de gouvernance à

cette nouvelle donnée incontournable.

C’est ce qu’ont initié la mise en place du G20 et,

plus récemment, le sommet de Copenhague.

La crise économique, les risques climatiques ou

sanitaires, le développement des pays du Sud, la

maîtrise des flux migratoires, les dangers terroristes,

la persistance des atteintes aux droits de l’homme dans

de trop nombreux points du globe appellent des

engagements et des actes à d’autres échelles que celle

des Etats Nations.

C’est dans cette perspective que l’Europe, par une

démarche volontaire, librement consentie et pacifique,

inédite dans toute son histoire, est en train de mettre

en place une nouvelle dynamique collective grâce autraité de Lisbonne, entré en application le 1er janvier.C’est cette même logique que les 20 principales

puissances mondiales tentent de mettre en œuvre au

travers du G20, c’est une entreprise analogue que les

environ 200 nations représentées à Copenhague

ont amorcée le mois dernier pour répondre aux enjeux

environnementaux.

La prise de consciencedes Etats Nations

Le chemin est encore long, les premiers pas sont hési-

tants, les résultats peuvent être perçus comme encore

décevants mais l’impulsion est donnée et la démarche,

par sa seule existence, encore improbable il y a moins de

dix ans, constitue en elle-même une première victoire.

L’enjeu mondial de 2010 et des prochaines années sera

de confirmer la volonté déjà exprimée, de la consolider

et de la traduire en actes.

L’urgence des sujets, la conscience que l’on a aujour-

d’hui que les réponses ne peuvent être que collectives

rend particulièrement pertinente la question de la placeet du rôle des Etats Nations dans un tel contexteet de la définition du ciment qui conditionne leurexistence et leur persistance : l’identité par laquelleils se définissent.Que le gouvernement de la France ait pris l’initiative

d’un débat sur l’identité nationale alors qu’il est lui-

même aux avant-postes sur la définition de nouveaux

modes de gouvernance mondiale, loin d’être un para-

doxe, démontre la cohérence de la démarche française.

Tout d’abord parce que nous savons que rien ne se fera

lors des vœux aux corps constitués,Discours prononcé par Christian Dupuy

MESDAMES, MESSIEURS, CHERS AMIS,

l e l u n d i 1 8 j a n v i e r

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Avant de prononcer son allocution, Christian Dupuy a souhaité rendrehommage aux victimes du séisme d’Haïti et a appelé à la générosité de

chacun avant de faire respecter une minute de silence.

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de décisif sans ou contre les Etats Nations en raison du fait qu’ils

constituent le cadre de toute souveraineté et que c’est, par consé-

quent, d’eux qu’émaneront les décisions opérationnelles, n’en

déplaise aux rêveurs et aux utopistes, d’autant plus enclins au rêve

et à l’utopie, qu’ils ne sont en charge d’aucune responsabilité.

Une nation composée d’assemblagesmultiples

Pour autant, comment ne pas s’interroger, dans un monde glo-

balisé, sur l’avenir des civilisations, des cultures, des modes de vie,

des langues qui ont constitué, au fil des millénaires, les référents

identitaires privilégiés des peuples qui composent l’humanité ?

Que la France se pose à elle-même cette question essentielle

peut avoir valeur d’exemplarité car notre nation, sans doute plus

que toute autre, s’est elle-même forgée d’assemblages multiples

au fil du temps.

A des fondements gréco-

romains, judéo-chrétiens,

sont venus s’additionner

des apports nombreux et

extrêmement divers.

Nous sommes les héritiers

des Celtes, des Goths, des

Wisigoths, des Francs, des

Vikings venus de l’est et du

nord de l’Europe mais aussi

des Romains, des Grecs,

des Maures, des Ibères, des

Gênois qui vinrent du sud et

de l’Orient. Les vagues

migratoires plus récentes

ont, à leur tour, contribué à

enrichir notre culture, notre

identité : le XXe siècle a vu notre nation accueillir des hommes et

des femmes venus de Russie, de Pologne, de Yougoslavie, d’Italie,

d’Espagne, des pays du Maghreb, du Portugal, d’Afrique sub-

saharienne, d’Asie…

Débattre de notre identité nationale, c’est l’occasion de rappeler

que si la France a une vocation naturelle à l’universalité, c’est en

raison précisément de la diversité et de la richesse des apports

qui ont contribué à fonder cette identité.

Cette mission universaliste de la France, multiséculaire et dont

l’expression sublimée, fruit de la philosophie des lumières, s’inscrit

dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789,

fonde cette « exception française » que Philippe Séguin se

plaisait tant à évoquer et à invoquer.

Parler d’identité nationale en France en termes réducteurs de

rejet de l’altérité c’est nier cette identité elle-même.

Léonard de Vinci, Mazarin, Emile Zola, Offenbach, Marie Curie,

Alexandre Dumas, Eugène Ionesco aux origines italienne,

autrichienne, polonaise, haïtienne, roumaine ne méritent-ils pas

de figurer dans notre Panthéon national, n’ont-ils pas contribué à

faire de la France ce pays qui rayonne dans le monde et que nous

aimons ?

Aujourd’hui encore, dans le monde des arts, de la culture, des

sciences, de l’industrie, nombreux sont les hommes et les femmes

qui contribuent à la grandeur et à la renommée de notre pays et

dont les origines témoignent de la diversité des composantes de

l’identité française.

Ce débat sur l’identité nationale, mal compris, détourné par des

esprits étroits, s’inscrit dans la droite ligne de celui naguère initié

par la France sur ce que l’on a appelé successivement l’exception

culturelle puis la diversité culturelle lors des débats sur l’OMC.

Défendre l’identité française, c’est défendre aussi l’identité de tous

ceux qui ne veulent pas que la mondialisation soit synonyme

d’uniformisation et qui souhaitent qu’en voyageant de par le monde

on continue d’aller à la rencontre de civilisations ayant chacune

son génie propre et s’enrichissant mutuellement de leurs

différences.

Parler de l’identité nationale ne doit pas être l’expression d’un

chauvinisme mal placé, encore moins le symptôme d’une

xénophobie insane mais l’occasion de prendre conscience de ce

qui motive notre volonté de vivre ensemble et de partager un

héritage commun.

L’identité nationale n’est pas un concept figé. Elle est évolutive,

elle s’est enrichie au fil du temps, elle continue à le faire et nous

sommes nous-mêmes en train de l’inventer.

Dans une démarche semblable à celle du développement durable,

il nous incombe de léguer aux futures générations une identité à

laquelle ils auront plaisir et fierté à appartenir ; ce qui exclut une

vision statique, étriquée et

refermée sur elle-même de

cette identité.

Les civilisations qui renoncent

à évoluer sont condamnées à

disparaître.

C’est donc l’aspiration au

progrès qui doit continuer à

constituer le moteur de notre

existence.

Celui-ci n’est possible que si

l’on a la volonté et le courage

de remettre en question les

certitudes d’hier.

C’est cette volonté et ce

courage qu’ont eu tous les

grands découvreurs de tous

les temps d’Archimède à

Einstein mais aussi, sur le plan politique, ceux qui refusèrent la

fatalité comme de Gaulle en 1940 ou ceux qui firent tomber le mur

de Berlin il y a vingt ans.

C’est de cette volonté et de ce courage que nous devons faire

preuve aujourd’hui pour répondre aux défis de la sortie de crise,

de la défense de l’environnement, de la lutte contre les fanatismes,

de la défense des droits de l’homme partout dans le monde.

Dans un geste moins héroïque, cette volonté et ce courage nous

sont également nécessaires à l’échelon local pour sans cesse

rechercher les voies d’amélioration des services que nous

rendons quotidiennement à la population, en remettant réguliè-

rement en question nos modes opératoires, notre gestion, nos

relations sociales et en inventant de nouveaux systèmes de

gestion, de travail en commun.

Le refus de l’immobilisme

Dans cet esprit, il convient, plutôt que de refuser de les envisa-

ger, d’aborder avec bonne volonté la remise en question de notre

mille-feuilles administratif, la définition de nouvelles recettes

fiscales plus justes en remplacement d’une taxe profession-

nelle unanimement reconnue comme inadaptée à la compétiti-

vité de notre économie, la redéfinition des missions confiées aux

différents degrés de collectivités territoriales…

Pour notre part à Suresnes, avec les hommes et les femmes qui

composent l’équipe municipale, notre démarche s’inscrit depuis

le début dans le refus du statu quo.

C’est aussi le cas de notre commune partenaire dans la com-

munauté d’agglomération du Mont-Valérien, Rueil-Malmaison

qui, sous l’impulsion successive de Jacques Baumel et de Patrick

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Éditorial

Février

Ollier, est devenue un véritable incubateur d’idées neuves.

Pour ce qui nous concerne, il ne se passe pas une année sans

que nous redéfinissions tel ou tel aspect de notre action.

Ce n’est pas le signe d’une instabilité chronique mais celui d’une

volonté permanente de progrès.

Les réformes ne nous font pas peur, nous en initions nous-

mêmes localement qui font école ensuite ailleurs.

Je peux citer pêle-mêle :

• Les activités périscolaires engagées dès 1983 et qui furent

par la suite généralisées à travers des contrats passés par les

communes avec l’Etat ;

• la signature en 1986 de la première convention Ville-ANPE avec

Philippe Séguin au ministère du Travail ;

• ou encore les résidences jeunes (Santos Dumont et Abbé St Pierre)

qui accueillent à la fois étudiants et jeunes travailleurs, seuls ou

n couple, que nous avons créées en 1990 et dont on s’aperçoit

aujourd’hui qu’elles pourraient constituer un modèle généralisable ;

• je peux évoquer aussi la bourse au permis de conduire que Daniel

Montet a imaginée et que nous avons mise en place il y a six ans

et dont un nombre croissant de communes et de départements

s’inspirent ou l’école d’auxiliaires de puériculture que nous avons

ouverte il y a sept ans et qui nous permet de résorber l’insuffisance

d’agents diplômés dans nos crèches…

• la structure d’aide aux aidants, ouverte au sein de notre centre

médical municipal, destinée aux proches de personnes de mala-

dies invalidantes comme la sclérose en plaques ou l’Alzheimer ;

• le quartier éco-exemplaire Carnot-Gambetta, premier projet de

ce type à avoir bénéficié d’un soutien de l’Union Européenne au

titre du FEDER (Fonds Européen de Développement Régional) ;

• il y a quelques semaines, Suresnes fut la première collectivité

publique en France à signer avec l’ensemble

des syndicats représentatifs une charte de

reconnaissance du parcours syndical.

Vous le voyez, l’innovation ne nous fait pas peur

et les réformes encore moins ; nous n’avons

jamais hésité à sortir des sentiers battus pour

accomplir toujours mieux les missions qui

nous sont confiées au service de la population.

C’est précisément dans cet esprit, que nous

avons accepté en 2009 de répondre à l’appel

du gouvernement qui, dans le cadre du plan

de relance de notre économie, a demandé aux collectivités locales

d’intensifier leurs efforts d’investissement pour suppléer le ralen-

tissement de la commande privée et permettre aux entreprises

des secteurs du BTP de conserver un niveau d’activité suffisant

pour limiter les vagues de licenciement dans ce secteur – clé de

notre économie.

L’objectif fixé par le gouvernement était d’avoir un budget

d’investissement en 2009 supérieur (ne serait-ce que d’un €) à la

moyenne des quatre années précédentes. En contrepartie, les

communes qui respecteraient cet objectif pourraient encaisser

les remboursements au titre du FCTVA, non seulement de l’année

N-2 mais également de l’année N-1.

Suresnes a rempli son contrat puisque nous avions au

31 décembre 2009, réalisé 106 % de l’objectif fixé.

Dans une démarche tout aussi positive, nous avons mis en place

le plan de vaccination contre la grippe A dans des conditions

d’efficacité telles qu’elles nous ont valu les compliments et les

remerciements du directeur général de la Santé.

Ainsi, alors que certains rechignaient à mettre en œuvre cette

mission de santé publique et se plaignaient de la désorganisation

que cela risquait d’entraîner dans leurs services, à Suresnes, nous

avons pu constater la bonne volonté des agents municipaux (pour

la plupart volontaires) qui ont eu à mettre en place ce dispositif

ainsi que la participation efficace et également volontaire des

médecins et infirmiers libéraux et hospitaliers s’ajoutant à ceux

de notre propre centre médical municipal.

Notre culture du refus de la routine et de l’amélioration constante

de nos procédures nous rend réactifs à toute demande nouvelle

dans des conditions optimales.

En 2010 nous continuerons à ne pas nous laisser enfermer dans

des routines ou des certitudes qui paralysent tout progrès.

Nous continuerons à faire sereinement preuve d’audace car seuls

l’immobilisme et le refus des changements constituent un risque,

c’est vrai en politique comme ça l’est dans les arts et dans les

sciences.

C’est aussi pourquoi nous avons décidé de faire de l’audace sereine

notre devise pour Suresnes.

C’est dans cette disposition d’esprit que nous avons encouragé

et rendu possible l’ouverture à Suresnes, en 2010, de deux

structures dédiées à l’accueil et l’éducation d’enfants autistes,

alors que notre pays manque cruellement de telles institutions.

Je compte, cette année encore, sur votre coopération sereine et

audacieuse, que vous apparteniez au monde associatif, aux admi-

nistrations de l’Etat ou des autres collectivités territoriales, que

vous soyez des acteurs économiques de notre territoire ou que

vous contribuiez par votre action à son développement urbain ou

économique, que vous apparteniez aux entreprises travaillant pour

le compte de Suresnes dans le cadre d’un marché ou d’une

délégation de service public, que vous vous occupiez des âmes

de nos concitoyens en votre qualité de

ministres des cultes ou de leur sécurité au sein

des corps qui ont cette mission qui conditionne

l’exercice de toutes les libertés publiques.

Quelles que soient vos fonctions, vos missions,

vos convictions, je vous invite, sans distinction,

à participer à bâtir ensemble, jour après jour,

une cité apaisée, solidaire et dynamique et fai-

sant preuve individuellement et collectivement

de l’audace sereine nécessaire à notre progrès

commun.

Laissons les cyniques et les pessimistes

ressasser leur ironie et leur fatalisme et retroussons-nous les

manches pour continuer à faire progresser Suresnes.

Pour ma part, à Suresnes comme au conseil général dans ma

délégation à la culture, comme au sein de la communauté

d’agglomération du Mont-Valérien avec mon ami Patrick Ollier,

député-maire de Rueil Malmaison et peut-être demain avec les

maires d’autres communes comme Nanterre, Puteaux, Courbe-

voie et La Garenne-Colombes, je continuerai à faire passer l’intérêt

de la collectivité, la qualité des services à la population, le

développement de l’activité économique et la création d’emplois

qu’il implique, l’embellissement et la protection de notre

environnement urbain, l’accès au meilleur des arts et de la culture

à tous les publics, la solidarité à l’égard des plus fragiles, avant

les querelles de clochers et les joutes partisanes.

Je sais que c’est là ce qu’attendent de nous nos concitoyens.

Je sais que je peux compter sur vous tous pour nous y aider.

ALORS, POUR 2010, JE NE ME CONTENTERAI PAS DE VOUS

SOUHAITER UNE BONNE ANNÉE MAIS UNE ANNÉE RICHE EN

INITIATIVES, EN IDÉES NEUVES ET EN RÉUSSITES.

J’AJOUTERAI POUR CHACUNE ET CHACUN D’ENTRE VOUS

ET POUR CEUX QUE VOUS AIMEZ UNE ANNÉE DOUCE,

LUMINEUSE ET RICHE EN ÉVÉNEMENTS HEUREUX.

Nous avons

décidé de faire de

l’audace sereine

notre devise pour

Suresnes.

UNE RENCONTRE RÉUSSIE À SURESNES CITÉS DANSE :Quel cirque ! Réjouissance burlesque née de la rencontre entre Blanca Li,chorégraphe mondialement connue, qui puise son inspiration dans ses racines

N° 206 / Février 2010 / SURESNES MAGAZINE

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PLUS D’INFOS SUR

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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En janvier

Arrêt sur image

andalouses tout en explorant un large éventail de formes d’expression corporelle,et du collectif Jeu de jambes, pionniers du jazz rock, style de danse de rue ayantprécédé l’arrivée du mouvement hip hop en France. PHOTOGRAPHIE : DAN AUCANTE

N° 206 / Février 2010 / SURESNES MAGAZINE

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Christian Dupuy, entouré de nombreux élus et de représentants du centre communal d’action sociale,s’est rendu dans les foyers et maison de retraite. Dans chaque établissement, la doyenne a reçu unbouquet de fleurs et le doyen des chocolats. Tous les participants ont pu déguster gâteaux et jus de fruits.

samedi 9 janvier

Bonne année 2010 !

14 décembre

Accession à la propriété

samedi 9 janvier

La tête et les jambes !

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La Cogedim a reçu des candidats à l'accessionsociale dans la ZAC Rivière-Seine. Ce programmeprévoit une mixité des logements proposés: 70 %en accession libre, 20 % en locatif social et 10 % enaccession sociale. Ces derniers ont notammentpour objet, dans le cadre d'un parcours résidentiel,de permettre à des locataires du parc social

d'accéder à la propriété, en particulier par le biaisdu prêt pass-foncier® (attribution sous conditionsde ressources de prêts et garanties de relogement).Plusieurs postulants ont été reçus à Suresnes

Habitat le 14 décembre par la société Cogedim,accompagnée de partenaires de l'opération(ADIL, établissement bancaire). Le maire ChristianDupuy et Loïc Degny, adjoint au maire délégué au logement, étaient présents lors de cette rencontre.

C’est en présence deEmile N’Tamack, entraî-neur des arrières du XV deFrance, que 200 jeunes

licenciés du RCS ont riva-

lisé de matière grise. Ilsont répondu pendant toutela journée à des quiz surl’actualité rugbystique etnationale, proposés par la Société Générale, partenaire del’équipe de France. Les vainqueurs ont eu la chance de gagnerdes places pour France-Italie au stade de France et chaqueparticipant est reparti les mains pleines !

samedi 16 janvier

F. Mitterrand à Jean VilarFrédéric Mitterrand, ministre dela Culture et de la Communication,a assisté à deux créations du

festival Suresnes cités danse,au théâtre Jean Vilar : Quel cirque !de Blanca Li et Bitter Sugar deRaphaëlle Delaunay.

1/ M. Villermois, foyer Merlin de Thionville

2/ Mme Vérin, foyer Merlin de Thionville

3/ M. Demmer, foyer Payret Dortail

4/ Mme Capron, foyer Payret Dortail

5/ Mme Reuter et M. Ruiz, foyer République

6/ M. Coste, maison de retraite La Chesnaye

7/ Mme Lallement, La Chesnaye

8/ M. Pineau, foyer Caron

9/ M. Vivas, résidence Caron

10/ Mme Brom, résidence Caron

11/ Mme Billy, foyer Caron

12/ M. Vandroghenbrock, foyer Locarno

13/ M. Laville, résidence Locarno

14/ Mme Champain, foyer Locarno

15/ Mme Caquineau, résidence Locarno

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Photos : C. Martin

^ Blanca Li, Frédéric Mitterrand,Christian Dupuy et Olivier Meyer

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Le Dr Servierrecevra lamédaille de laville dans lecadre d’unecérémonie plusrestreinte dansles prochainessemaines.

lundi 18 janvier

Médaillés d’honneur de la ville

Christiane VerdunProfesseur d’allemand au collège Jean Macé de Suresnes, elle a mis en place, depuis 20 ans, des échanges scolaires entre les élèves de 3ème du collège et ceux du lycée Grotefend de notre ville jumelle Hann.Münden en Allemagne. Elle s’est également impliquée avec enthousiasme dansl’organisation du jubilé célébrant les 50 ans de ce jumelage. Elle participera,avec ses élèves, à la fête de l’Europe, le 9 mai prochain, point d’orgue du jubilé.

Catherine DarmonProfesseur d’espagnol à Suresnes depuis 1982, elle s‘est fortement investiedans l’organisation des voyages scolaires en direction de l’Espagne,convaincue de l’importance pour les élèves de la découverte des pays dontils apprennent la langue. Ses efforts aboutissent à la pérennisationd’échanges entre élèves des collèges Emile Zola et Rosa Chacel (enEspagne), et renforce la volonté municipale de se jumeler à Colmenar Viejo.

Claude FoletTémoin d’une violente agression dans un bus dont il est passager,ce Suresnois né en 1942 intervient spontanément pour maîtriser le forcenéqui moleste le chauffeur. Lui-même est frappé mais il fait fuir l’agresseur.La ville souligne cet acte exemplaire de courage et de solidarité, trop rare,et espère que ce comportement servira de modèle à tous nos concitoyens.

Luigi BearzattoItalien d’origine, mais suresnois depuis l’âge de 2 ans et français depuis1947, il devient gérant de la société familiale « la Suresnoise », et participeà de nombreux chantiers d’envergure notamment à Suresnes, comme laconstruction de groupes scolaires ou du commissariat. Père de 4 enfants, ila su transmettre l’esprit d’entreprise et les Bearzatto continuent à contribuerà la dynamisation de l’économie locale suresnoise.

Jacques ServierLe docteur Jacques Servier a créé son premier laboratoire pharmaceutiqueen 1954 à Orléans. Aujourd’hui, à 88 ans, il préside toujours les laboratoiresServier, premier groupe pharmaceutique français indépendant qui emploieprès de 30 000 salariés dans le monde. Depuis février 2009, il écrit unenouvelle page, avec l’implantation à Suresnes du siège social del’entreprise, où travaillent près de 2 200 collaborateurs.

A l’occasion des vœux aux corps constitués, Christian Dupuy a remis la médailled’honneur de la ville. Cette distinction est remise chaque année à des personnes qui

se sont distinguées à Suresnes. Les noms des personnes gratifiées sont validés par

le conseil municipal.

Photos : François Legrix

Déc./Janv.

Chronique en images

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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À LA UNE…

nauguré en 1999, le cinéma Le Capitole s'est

inscrit dès le début dans un projet à vocation

culturelle. Plutôt que de valider l'option

d'un multiplexe indépendant, la ville a réalisé son

propre cinéma et, par voie de délégation de servicepublic, a missionné la société Espace cinémapour sa valorisation. Ges-tionnaire de la structure etdirectrice du cinéma, Clau-dine Cornillat est associéedans cette SARL à JeanHonechsberg – exploitantindépendant de cinémasparisiens (Le Balzac, leSaint-Germain-des-Prés, laPagode) – et de Yves Sutter,directeur général de Ciné-ville, un circuit de 88 sallesde cinéma situées dans le nord et l'ouest de laFrance. « Aujourd'hui, Le Capitole est un lieu debrassage de publics multiples, tous âges confondus,

I

N° 206 / Février 2010 / SURESNES MAGAZINE

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qu'ils soient des spectateurs occasionnels etprofanes ou des cinéphiles, souligne ClaudineCornillat. D'emblée, il s'agissait de tenir comptede la diversité des attentes et je crois que nous ysommes parvenus si j'en juge par l'attachementdes Suresnois à cette institution. » Reconduite pourtrois ans dans sa mission, la société Espacecinéma doit relever aujourd'hui de nouveaux défis.

Après une envolée des entrées à son ouverture,environ 170 000 spectateurs par an entre 2001 et2006, le cinéma a dû faire face à l'ouverture denouvelles salles alentour. Mais 2009 a vu s’amorcerune progression du nombre de spectateurs par rap-port à 2008. Ce climat concurrentiel a conditionnéles réflexions de l'équipe pour les années à venir. «Notre public est de plus en plus circonscrit auxlimites de la commune. Il faut tenir compte de cetteréalité et imaginer de nouvelles actions et de nou-veaux partenariats pour consolider l'attractivité dusite. »

Pérenniser et fidéliser

Côté programmation, ClaudineCornillat entend poursuivre etapprofondir les orientationsde départ. « La base est cons-tituée de films commerciauxde qualité, proposés dès leursortie nationale. Ce volet estessentiel, tant pour la satis-faction d'une majorité dupublic que pour l'équilibreéconomique du cinéma. »Les films étrangers seront

majoritairement visionnés en version ori-ginale, mais pour satisfaire également les plusrécalcitrants à la V.O., la version française seratoujours présentée dans un 2e temps. Le second

Nouveaux

“Cinéma

Capitole

”défis au

��� Le Capitole vient defêter ses 10 ans et la

société Espace cinéma a

été reconduite dans sa

mission d'exploitation

pour une durée de 3 ans.Panorama des nouvelles

perspectives d'uneinstitution plébiscitée

par les Suresnois.TEXTE : LIONEL BROS /

PHOTOGRAPHIES : CÉCILE DÉGREMONT

”

volet de la programmation concerne des filmsd'auteur, en conformité avec le label « cinémad'art et essai » du Capitole, assorti d'une mention« jeune public ». A l'avenir, les initiatives en

direction du jeune public et des seniors

vont être poursuivies et intensifiées.Suresnes offre chaque mois une séancegratuite aux seniors et le cinéma leur pro-pose un tarif réduit (3,70 €) le lundi et lejeudi à 14h. « Ces séances sont devenues devéritables rendez-vous, cinéphiles et conviviaux,où il n'est pas rare de comptabiliser une centained'entrées. Nous sommes là au cœur de notre mis-sion, qui est de donner la possibilité de découvrirdes œuvres dans un environnement chaleureux. »Pour le jeune public, Le Capitole propose chaque

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N°206

Frayeurs, frissons, ravissement ou émerveillement… toutes les émotions se vivent au Capitole^

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+ attractive

A la Une

“Outre la carte famille et la carte sanslimite, proposant des tarifs avantageux,Le Capitole va prochainement accepterles cartes UGC illimitées et Le PassGaumont. Une bonne nouvelle pour lescinéphages suresnois !

>

mercredi un film de qualité et une animation men-suelle « ciné-goûter » en partenariat avec leconseil général des Hauts-de-Seine. L'opération« collège au cinéma », coordonnée par Le Capitoledans les Hauts-de-Seine, ambitionnede donner aux élèves une culture

cinématographique par l'étude de

trois films dans l'année scolaire.

L’équipe d’Espace cinéma réflé-chit aujourd'hui à de nouvellesorientations : « des collégienssuresnois vont être sollicitéspour animer un blog sur la viedu Capitole ; ils assisteront àdes projections presse en avant-première pour communiquer surle film avant sa sortie, mais serontégalement initiés aux contraintesde la vie d'un cinéma. L'objectif estqu'ils restituent leurs expériences via le blog,mais qu'ils utilisent également des outils decommunication qui leur sont familiers commeFacebook et Twitter : ce sont des vecteursd'information très rapides, prisés par le jeunepublic et intéressants dès lors que l'on évoluedans un cadre maîtrisé. Evidemment, l'idéalserait qu'ils communiquent à la fois sur des filmsattendus et des œuvres plus confidentielles. »

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> Développer une synergie avec leséquipements culturels

L'avenir du Capitole passe également par un renfor-cement des liens avec d'autres institutions

culturelles suresnoises. L’ouverturedominicale de la médiathèque,

voisine du cinéma, permet derenforcer l’attractivité culturel-le du site et peut offrir desperspectives nouvelles de fré-quentation des salles. Despistes sont envisagées, avec lefutur musée de Suresnes (sur

le thème de l'urbanisme et del'architecture), la médiathèque

(exploration du lien livre-cinéma, car-tes blanches à des écrivains, etc.), le

conservatoire (mini-concerts en relationavec des films choisis), et bien sûr le théâtre

Jean Vilar. Pour Claudine Cornillat, « il est possibled'organiser des animations cinématographiquesvenant ponctuer la saison théâtrale, ou des actionssur les relations entre théâtre et cinéma, sous laforme de rencontres. »D'autres événements singuliers et réguliers

sont à l'étude, comme les master class, qui sedérouleront les dimanches matin, une fois parmois ; des réalisateurs et des techniciens du ciné-ma viendront parler de leurs films et de leur tra-vail, à l'image de Radu Mihaileanu qui aprésenté son film Le Concert à l'occasion des 10ans du Capitole. Autre nouveauté, les rendez-vousmensuels Capitole Classic (voir encadré) :« On s'aperçoit qu'il y a un vrai désir de revoir cesfilms mythiques sur grand écran. La récenteprojection des Enchaînés d'Hitchcok a eu beaucoupde succès. C'est un travail sur le long terme, caril faut fidéliser les spectateurs, mais je suisconvaincue qu'il y a une demande en ce sens àSuresnes. » D'autres manifestations ponctuellessont d'ores et déjà en préparation. « Nous allonsprojeter les films lauréats du Festival internationaldes écoles de cinéma de Poitiers. Je crois qu'ilest important de nouer des liens également avecles écoles comme la Femis (Paris), le master prode l'université Paris-Nanterre, le BTS audiovisuel(Boulogne) et l'ETTIC (Gennevilliers) » estimeClaudine Cornillat. Un autre partenariat est

également dans les cartons avec le Festivalinternational du film de l'environnement, qui setient chaque année au cinéma La Pagode etpourrait donner lieu à des projections à Suresnesdans une plage dédiée. Enfin, à l'occasiondu 50e anniversaire du jumelage entreSuresnes et Hann.Münden, des projec-tions seront consacrées au jeune ciné-ma allemand et un ciné concert est pro-grammé avec le trio Invite, en écho auchef d'œuvre de F. W. Murnau, L'Aurore.

CAPITOLE CLASSICChaque dernier mardi du mois à 20h30 - àl'exception de la première qui aura lieu le mercredi3 février – un grand classique du cinéma seraprojeté. Bien mieux qu'à la télé, évidemment. Cessoirées, animées par Laura Koeppel, serontl’occasion de voir ou revoir des films qui participentde l’histoire du cinéma et bénéficient pour laplupart de ressorties en copie neuve.3 février : Quai des orfèvres, Henri-Georges

Clouzot, 1947, avec Louis Jouvet, Suzy Delair,Bernard Blier

23 février: The Philadelphia Story, GeorgeCukor, 1940, avec Katharine Hepburn, Cary Grant,James Stewart

30 mars : Lola Montès, réalisé par MaxOphüls, 1955, avec Martine Carol, Peter Ustinov

27 avril : L’homme qui tua Liberty Valance,John Ford, 1962, avec John Wayne, James Stewart,Lee Marvin

25 mai : L’étranger, Luchino Visconti, 1967,avec Marcello Mastroianni, Anna Karina, BrunoCremer

29 juin : Le port de l’angoisse, Howard Hawks,1945, avec Humphrey Bogart, Lauren Bacall.

M É M O

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es.fr/suresnesma

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zin

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PLUS D’INFOS SUR

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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A la Une

Objectif numérique

Mais l'avenir du Capitole repose égale-ment sur la mutation numérique. Confi-

dentielle en Europe il y a encore cinq ans, la pro-

jection numérique prend aujourd'hui un essor

irréversible. Fin 2009, près de 1 000 salles françai-ses ont en effet adopté ce nouveau dispositif, alorsqu'elles n'étaient que 25 en 2006. D'ici deux ans,les quatre salles du Capitole seront équipées deprojecteurs numériques, qui cohabiteront untemps avec les projecteurs argentiques pours'adapter à l'offre des distributeurs. Cette nou-

velle technologie présente en effet des avan-

tages multiples : absence de dégradation descopies dans la durée, versions multilingues sous-titrées sur un même support, rationalisation desmanipulations en cabine, possibilité de diffusionde retransmissions satellite en direct. Sansoublier la possibilité de projeter des films en 3D.« La technologie 3D ne date pas d'hier, souligneClaudine Cornillat, mais elle a fait des progrèsconsidérables et n'est plus un phénomène de foire.Le cinéma 3D, qui nécessite un support numé-rique et des lunettes spécifiques, va connaître unboom dans les années à venir et probablementrenouveler l'esthétique cinématographique. En2009, une dizaine de films 3D, essentiellementd'animation, a été diffusée à travers le monde. En2010, ce sont 40 films qui sont attendus. Avatarde James Cameron est le premier film destiné àtous les publics à sortir dans une version 3D. Et lecinéma d'auteur s'y met. On attend le prochainTim Burton (Alice au pays des merveilles) et leprochain Wim Wenders consacré à la chorégraphePina Bausch. » Un nouveau format qui devraitégalement compliquer le piratage et inciter lepublic à se rendre dans les salles équipées pourpouvoir apprécier ces films à leur juste mesure…Le Capitole, 3 rue Ledru Rollin.

Tarifs et programme sur www.suresnes.fr

^ Dans la cabine du projectionniste

“Entreprises

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��� En choisissant de localiser sa nouvelle entité événementielle à Suresnes,

le groupe Havas confirme le dynamisme

économique de la commune.TEXTE : ERIC DELON / PHOTOGRAPHIES : DR

”l’honneur de nous accueillir dès avril 2003. Il estassez logique que nous demeurions dans lesmurs dans la mesure où notre entité travaillerapour toutes les agences du groupe – ses premiersclients – et pour leurs clients », explique OlivierGirardot qui précise que les mêmes raisons ayant

présidé au choix du site suresnois en 2003, se

sont imposées en cette fin de décennie. « Le m2

demeure raisonnable pour la région parisienne.Nous nous situons à proximité de nos clients, quisont principalement basés sur l’Arc de Seine,Issy-les-Moulineaux et La Défense. Par ailleurs,nous sommes particulièrement bien desservis parles transports en commun », pointe Olivier Girardotqui précise que la ville de Suresnes est parfaitementsituée dans la nouvelle configuration dessinéepar le futur Grand Paris (déplacement à l’ouest).« Nous entretenons d’excellents rapports avecla ville de Suresnes, et notamment leservice du développementéconomique de

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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ntre Suresnes et le groupe Havas,

l’idylle se poursuit. Tout début décembre

dernier, le géant hexagonal de la com-

munication organisait une grande soirée privée

pour ses 500 collaborateurs. Il ne s’agissait pasde fêter Noël avec quelques semaines d’avancemais bel et bien de célébrer la naissance d’unenouvelle entité «maison» : Havas Event.Créée à l’initiative de Laurent Habib, directeurd’Havas et président d’Euro RSCG C&O, cette nou-velle structure regroupe aujourd’hui l’ensembledes expertises événementielles jusqu’alors épar-pillées dans les différentes agences du groupe.Objectif : jouer pleinement l’effet de synergie.« Havas Event marque le rapprochement desexpertises diversifiées des agences du groupedans le domaine de la communication événemen-tielle - W one, Havas Sports & Entertainment,Euro RSCG C&O - et les activités françaisesde Euro RSCG Worldwide Event », expliqueOlivier Girardot, co-président de DDB Live depuis2007, désigné pour prendre la tête de la nouvellestructure (il a pris ses fonctions tout débutjanvier). Sur le modèle de lamutualisation, l’agence Havas

Event a vocation à élaborer

et produire des programmes

événementiels globaux au servicedes agences du groupe, en s’ap-puyant sur leur expérience desmarques et des clients. « HavasEvent a notamment des ambitionsde développement à l’internationalavec l’appui du réseau Havas Sports& Entertainment présidé par LucienBoyer », précise Olivier Girardot. Basée

à Suresnes, l’agence rassemble d’ores

et déjà 60 collaborateurs exerçantles disciplines du planning stratégique,du consulting, de la création, de la pro-duction. Elle bénéficiera d’une directiondu développement unique. Havas Eventproposera une mesure de l’efficacité desévénements à travers le ROE (Return OnEvent) qui évalue le sens produit par l’événe-ment (contenu, émotion) et sa fréquenced’exposition (avant, pendant et après). L’agences’engage également à produire tous les évé-nements sur le territoire français à impact envi-ronnemental zéro. Le choix de rester à Suresnes ?« Tout naturellement, nous avons choisi delocaliser Havas Event à Suresnes, qui nous a fait

E

+ attractive

Economie

la ville », précise Olivier Girardot. PourSuresnes, la naissance d’Havas Event permetincontestablement de conforter et de valoriser

l'image de la ville comme pôle d'excellence dansle secteur de la communication.

LE GROUPE HAVAS EN FRANCE

Le groupe Havas, groupe mondial de conseil en communication,

développe également ses activités sous la bannière Havas

Worldwide (BETC Euro RSCG, Betc 4D Digital House, Betc 4D

Shopper House, Betc Design, Euro RSCG C&O, Euro RSCG 360,

Euro RSCG Life, Euro RSCG Worldwide Events, Leg, H, W & Cie) et

celle de Havas Media (MPG, Havas Digital, Arena, Havas Sports &

Entertainment, Euromedia), soit un ensemble de 15 agences

rassemblant 2 800 collaborateurs. Parmi elles, les leaders natio-

naux de la création publicitaire, des marketing services, de la commu-

nication corporate et de l’achat d’espace.

Basé à Paris, Havas (Euronext Paris SA : HAV.PA) est un groupe

multiculturel et décentralisé, présent dans plus de 75 pays au

travers d’agences et d’accords d’affiliation, disposant d’un effectif

total d’environ 14 700 collaborateurs.

Le groupe offre une large gamme de services de conseil en commu-

nication, comprenant la publicité traditionnelle, le marketing direct,

le média planning et l'achat média, la communication d'entreprise,

la promotion des ventes, la conception, les ressources humaines, le

marketing sportif, la communication interactive multimédia et les

relations publiques.

réée par l'arrêté préfectoral du 22 décem-

bre 2008, la Communauté d'agglomération

du Mont-Valérien unit les destinées des

villes de Suresnes et de Rueil-Malmaison.

Comme l'ont souligné Christian Dupuy, maire deSuresnes et vice-président du conseil général desHauts-de-Seine, et Patrick Ollier, député-mairede Rueil, les deux communes ne disparaissentpas dans une nouvelle structure administrative ;

C

économiqueUne nouvelle direction

“Communauté d’agglomération du Mont-Valérien

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elles conservent leur identité et leur autonomie -chaque décision communautaire est soumise àl’accord des deux maires puis à la délibération desdeux conseils municipaux, auxquels sont asso-ciés les élus de l'opposition -, mais se dotentd'outils pour agir ensemble. Concrètement, dèslors qu'une communauté d'agglomération estcréée, elle dispose d'un délai de deux ans pourdéfinir la ligne de partage entre les compétences

��� La Communauté d'agglomération du Mont-Valérien entre dans une nouvelle ère avec

l'approbation de la définition de l'intérêt

communautaire en matière de développement

économique. Retour sur une décision majeure pour l'avenir de Suresnes et de Rueil.

TEXTE : LIONEL BROS / PHOTOGRAPHIE : CHRISTIAN DAUMERIE

”

^ Réunion du conseil communautaire.

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transférées à l'Etablissement public intercommu-nal de coopération (EPCI) et celles qui resterontdans le giron des communes. Cette obligation de

choix concerne des domaines de compétences

prévus par la loi, certains étant obligatoires (déve-loppement économique, aménagement de l'es-pace communautaire, équilibre social de l’habitat,politique de la ville), d'autres optionnels ou facul-tatifs. C'est dans ce cadre légal que les deuxconseils municipaux et le conseil communautai-re viennent d'adopter une définition de l'intérêtcommunautaire en matière de développementéconomique (en vigueur au 1er janvier 2010). Al'exception des artisans, des commerces de pro-ximité et des marchés forains, les actions suivan-tes seront privilégiées : renforcement del'attractivité économique du territoire, maintienet développement des activités existantes, actionsen faveur de l'accueil de nouvelles entreprises,soutien à la création d'entreprises, accompagne-ment du développement des entreprises et ani-mation du tissu économique local. Sont égale-ment d'intérêt communautaire toutes les actionssusceptibles de maintenir ou d'enrichir la vie éco-nomique locale, et déterminantes dans l'équilibresocial et économique, ainsi que les zonesd'activités existantes ou à créer.

Le dynamisme économique,pilier de la qualité de vie

Cette déclaration d'intention s'appuie sur un pro-jet de schéma directeur qui précise les actionsconcrètes à entreprendre. « Définir en prioritél'intérêt communautaire en matière de développe-ment économique n'est pas anodin, précise Jean-Luc Leclercq, adjoint au maire de Suresnes délé-gué au développement économique, déléguécommunautaire aux actions en faveur des entre-prises. En premier lieu, il faut souligner queles communautés d’agglo-mération sont dotées deressources et d’une fisca-lité propres. Leurs recettesproviennent de l’Etat, sousla forme d’une dotation glo-bale de fonctionnement (DGF)et de la fiscalité directe loca-le, avec la cotisation écono-mique territoriale (CET), dontles entreprises restent les prin-cipales contributrices. Mais le dynamisme éco-nomique n'est pas réductible à une logique comp-table. Il s'agit d'une responsabilité politique forte,qui favorise la cohésion sociale par un tauxd'employabilité élevé et offre aux administrés unequalité de vie et des services adaptés à leursbesoins, en termes de transports, de logements,

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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Economie

d'équipements publics, etc. Or cela passe par desactions concrètes en faveur du tissu économique,que les entreprises visent le marché local, régio-nal, national ou qu'elles soient tournées versl'international, comme bon nombre d'entreprisessuresnoises. »

Renforcer l'efficacité desservices et optimiser les coûts

Concrètement, les actions programmées dans lecadre du schéma directeur sont issues d'un longtravail de concertation entre les services écono-miques des deux villes, mené sous la houlette desélus responsables, Jean-Luc Leclercq à Sures-nes et Joël-Louis Colon à Rueil. Dans la mesureoù la compétence de l'agglomération induit unenouvelle logique de territoire, dans un périmètreélargi, un état des lieux (personnels, structuresen faveur du développement économique, bâti-ments dédiés à l'activité) a été réalisé afin demieux maîtriser les coûts tout en optimisant lesactions. Cette analyse a conduit à la création

d'un seul et unique service du développement

économique, composé de 13 agents issus des

deux communes, désormais basé à Rueil. Dansce nouvel environnement, l'Association pour ledéveloppement économique de Suresnes (ADES)est amenée à se redéployer, ce qui ne signifiepas la disparition de ses activités, mais leurréorganisation dans une nouvelle logique terri-toriale. La pépinière de Suresnes va s’inscriredorénavant dans un outil unique relevant d’unedélégation de service public de l’agglomération,et les entreprises locataires (avec un bail d'unedurée maximum de trois ans) vont pouvoirrejoindre la pépinière de Rueil dans des condi-tions similaires (qualité des sites et charges).

De même, en raison dugrand nombre d'hôtelsindustriels présents àRueil, l'hôtel d'activités deSuresnes va se développerdésormais sous un régi-me plus ouvertementconcurrentiel. Autre-ment dit, ce transfert decompétences doit impli-

quer une meilleure maîtrise

du développement économique, dans une airegéographique élargie, à la mesure des enjeux éco-nomiques actuels. S'agissant des entreprises débu-tantes ou en phase de développement, les actionsde soutien sont réorganisées dans une logiqued'efficience accrue, l'objectif étant de maintenir unniveau de service équivalent, voire supérieur, sansen faire peser les coûts sur les contribuables.Pour en savoir plus : www.agglo-montvalerien.fr

La Communauté d'agglomération du Mont-

Valérien compte 123 000 habitants et

occupe une superficie de 1 834 hectares.

Son tissu économique est composé de plus

de 2 500 entreprises, 1 500 artisans et

commerçants, qui constituent un bassin de

76 000 emplois.

+ attractive

Ec

onomie

« Le marché de Noël qui s’est tenu mi-décembre pendantneuf jours, et qui est devenu un véritable événement dans notre ville, a rencontré un vif succès, nous ont assuré,unanimes, les commerçants participants », se réjouitAlbany Affoyon, responsable du service commerce de laville de Suresnes. Ce service créé il y a 15 ans pour dynami-ser le tissu commercial compte deux collaboratrices. Sesmissions sont multiples. Les principales ? L’accueil et

l’accompagnement des nouveaux commerçants, artisans

ou enseignes désireux de s’implanter dans la ville, ledéveloppement du dialogue avec ces derniers, le« guidage » des acheteurs dans la mise en relation avec lesvendeurs de fonds ou de baux, mais aussi, l’utilisation dudroit de préemption sur les fonds de commerces pourmaintenir un commerce de proximité. « Le service commercedoit intégrer les problématiques commerciales au seind’une réflexion globale en termes d’accès et de projetsurbains, explique Isabelle Megret, adjointe au maire deSuresnes, déléguée au commerce, àl’artisanat et aux marchés forains, etprésidente du conseil consultatif duquartier centre-ville. La relation com-merçants/artisans et service commerces’organise autour d’une grande proxi-mité de terrain qui se traduit par uneidentification précise des interlocuteurslors de demandes de rendez-vouspour répondre à leurs attentes et faciliterle lien avec les autres services del’administration communale. » Outre la « gestion des affai-res courantes », le service commerce est impliqué dans

l’élaboration et le suivi des nombreux projets commerciaux

de la ville. Exemples récents, la mise en place du suivi du projet de requalification du centre commercial Le Pont de Suresnes, la création d’un macaron de stationnement

« autorisation livraison » pour les artisans ou encore leprojet de galerie artisanale rue Emile Duclaux.

Une grande proximité de terrain

Par ailleurs, le service commerce s’emploie à renforcer le rôle des associations de commerçants sédentaires etnon sédentaires. A l’image de « Suresnes commerce »(commerçants et artisans sédentaires) qui vient d’élire unnouveau président, Stéphane Bourgeois. « Nous mettonsen avant le rôle des associations de commerçants lors dela commission des marchés qui se tient tous les trois moiset qui permet de statuer sur les questions relatives auxinfrastructures, aux relations avec le délégataire, avec lesexposants, les usagers, la police municipale ainsi qu’avecnos services techniques », explique Isabelle Mégret. Elleprécise que le service commerce, inquiet de la dégradationde la conjoncture depuis plus d’un an en raison de la crise,

a effectué de nombreuses interventions– à la demande des commerçants/artisans - afin de régler des problèmesfinanciers avec les banques suite à dessuppressions soudaines d’autorisationde découvert, de problèmes lors decessions de fonds ou de baux. « Nous intervenons également dans

le cadre de médiations sollicitées par

les commerçants et artisans auprèsde particuliers ou de bailleurs pour

des problèmes de voisinage, d’hygiène, de voirie et de stationnement », explique Isabelle Mégret, qui espère uneamélioration de la situation économique en 2010.

RENSEIGNEMENTS :

Service Commerce, tél. 01 41 18 17 84.

N° 206 / Février 2010 / SURESNES MAGAZINE

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Commerce

Au service du dynamisme économique

^ A. Affoyon, I. Mégret et L. Blanc

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QUARTIER RÉPUBLIQUE : Si le beau temps n’était pas aurendez-vous la samedi 16 janvier dernier, en revanche lesmembres du CCQ République, leur présidente Béatrice de

Lavalette, et les habitants du quartier, eux, l’étaient.L’occasion avant l’heure du déjeuner,de profiter d’un bon vin chaud parfu-mé à la cannelle, de gâteaux et de jusde fruit, entre anciens du quartier,familles et nouveaux arrivants. C’estdonc dans une ambiance pluvieusemais joyeuse que l’élue et les repré-sentants du quartier, installés devantl’école République, sont allés à la ren-contre des habitants, venus en nom-bre (une centaine) afin de discuter avec eux de la qualité deleur quotidien et de leur cadre de vie ainsi que de leurs mis-sions. Un cahier a d’ailleurs été mis à la disposition de touspour noter questions et réflexions et Béatrice de Lavalettes’est engagée à ce que chacun, dans les quinze jours, reçoiveune réponse individuelle et que l’ensemble des habitantssoient informés des préoccupations concernant leur quartier.Le CCQ République tiendra sa seconde réunion plénière le

jeudi 18 février et se penchera surtout à cette occasion surla préparation d’une future réunion publique prévue en mai etsur l’organisation du barbecue annuel du mois de juin.

QUARTIER CITÉ-JARDINS : Le CCQ Cité-Jardins est actuelle-ment consulté sur la question du réaménagement de l’avenuede Fouilleuse, qui borde la ville de Saint-Cloud.Les travaux auront lieu dans le courant 2010 et porterontnotamment sur la création de places de stationnement bilaté-ral : 12 places supplémentaires côté Suresnes et 7 places côtéSaint-Cloud. Les membres du CCQ vous attendent le diman-

che 14 février dès 10h30, devant le marché Caron-Jaurès,pour fêter la Saint-Valentin autour d’un bon vin chaud. Al’occasion de la fête des amoureux, le CCQ lance un grandconcours de poèmes. Tous les habitants du quartier sont invi-tés à prendre leur plume pour célébrer l’amour, de leur villeou de leur quartier. Les poèmes peuvent être envoyés ausecrétariat général, 7-9 rue du Mont-Valérien, ou être déposésle jour du vin chaud au stand réservé au CCQ. Le poèmegagnant sera publié dans un prochain Suresnes Magazine.

QUARTIER LIBERTÉ : Les différentes commissions consti-tuées au sein du CCQ Liberté travaillent actuellement surles questions notamment du stationnement (réunion prévueavec les services techniques pour analyser plus en détails

l’étude réalisée sur le stationnement dans le quartier), dudéveloppement durable et de l’animation. Les travaux de cescommissions feront l’objet d’une communication ultérieuredans le cadre d’une réunion publique.

Le vin chaud du CCQ Liberté a lieu le 30 jan-

vier, à partir de 17h, à la salle des Bels-Ebats. Tous les habitants du quartier sontattendus pour discuter ensemble, au chaudet avec bonne humeur.

QUARTIER PLATEAU OUEST : Le CCQ PlateauOuest tiendra sa réunion plénière le 24 mars

prochain. L’occasion de préparer notammentses futures manifestations telles que la confé-

rence sur l’eau qui aura lieu au mois d’avril ou encore la par-ticipation au Salon de l’Univers du jardin.

QUARTIER CARNOT-GAMBETTA : Les membres du CCQ vousinvitent à un goûter crêpes, faites et offertes par les conseillersde quartier, le samedi 13 février à 17h. Venez nombreux, àl’angle de la rue du Ratrait et de la rue de Verdun, dégusterquelques sucreries dans un moment convivial et chaleureux.

QUARTIER CENTRE-VILLE : Les membres du CCQ Centre-Ville tiendront leur seconde réunion plénière le11févrierprochain.L’ensemble des membres des CCQ et du CLES ont participéau cours du mois de janvier à des séances de formation /information sur des thématiques variées : articulations descompétences des collectivités territoriales et de l’Etat, culture,sport, action sociale, santé, voirie sous l’angle de la propretéet des déchets… Ces séances ont pour but d’apporter auxmembres de vos CCQ des outils utiles à leur réflexion et à lacompréhension de la vie de la cité et de l’organisation des ser-vices de la ville. Elles sont aussi le moyen pour eux de poserde nombreuses questions sur des sujets ciblés et d’y trouverdes réponses. Deux autres séances auront lieu les 1er et 2

février, avec pour thèmes l’intercommunalité et l’urbanisme.

LE CONSEIL LOCAL ECONOMIQUE ET SOCIAL : Le CLEStient sa seconde réunion plénière le vendredi 29 janvier.

A l’ordre du jour figureront notamment le travail et laréflexion sur le forum des femmes, manifestation dont ilavait eu l’initiative dès 2008. Le président du CLES, Jean-Pierre Besse, s’est en outre d’ores et déjà rapproché desconseillers communautaires en charge du développementéconomique de la communauté d’agglomération du Mont-Valérien, Joël-Louis Colon et Jean-Luc Leclercq.

Démocratie de proximité

L’actualité des conseils de quartier

^ Vin chaud, le samedi 16 janvier

QuartierCarnot-Gambetta,présidente

Françoise Clause

QuartierCentre-Ville,présidente

Isabelle Mégret

QuartierCité-jardins,président

Louis-Michel Bonne

QuartierLiberté,président

Guillaume Boudy

QuartierPlateau Ouest,présidente

Isabelle Florennes

DES DÉLÉGUÉS DE QUARTIER À VOTRE ÉCOUTE

QuartierRépublique,présidente

Béatrice de Lavalette

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Si les conditions météorologiques âpres de l’automne ontfait chuter le taux d’utilisation des Vélib’ depuis le moisd’octobre, le transport doux sur deux roues se porte bien

depuis le mois de juillet 2009 à Suresnes et on compte 900déposes de vélos aux stations et autant de reprises ennovembre. Les week-ends présentent des pics d’utilisation,mais on remarque aussi une nette tendance à

l’abonnement à l’année. Le Vélib’ est essentiellement utili-sé pour les trajets pendulaires (domicile-travail), surSuresnes, ou vers Paris (16e arrondissement essentielle-ment), Puteaux, Neuilly-sur-Seine et Boulogne. Un moyende locomotion qui se banalise et qui retrouvera, gageons-le,un plein essor dès que la météo sera plus clémente. RAPPEL :

Depuis le 30 juin 2009, 100 bornettes sont réparties sur 3 STATIONS PRINCIPALES (avec borne d’abonnement) ET

UNE STATION ALLÉGÉE :• rue de St Cloud, • place Henri IV/cours Madeleine,

• carrefour Ledru Rollin/Gustave Flourens, • boulevard Henri Sellier/Pont de Suresnes Plan des stations sur www.ville-suresnes.fr

Rens. au 01 41 18 17 31 et n’hésitez pas à signaler

des constats de dégradation, dysfonctionnement,

bornette bloquée, vélo trouvé, etc.

Bilan

Ça roule pour le Vélib’

Le conseil municipal du 19 décembre 2009 a approuvé le dossier de création modificatif relatif à la zone d’aménagementconcerté Rivière Seine, permettant de développer un ensemble immobilier de bureaux sur la ZAC. Une modification du pland’occupation des sols est en cours, afin d'établir un plan de masse sur les parcelles concernées (extension du périmètre deplan de masse UPM10). Une enquête publique se tiendra à compter du 8 février, pour une durée de cinq semaines.Un commissaire enquêteur a été désigné par le président du tribunal administratif de Versailles. Le dossier et le registre d'enquête, destiné à recueillir les observations du public, seront tenus à disposition au service

aménagement urbain, 61 rue Carnot.

Nous vous rappelons que la collecte des déchets verts est interrompue en janvieret février. Inutile de déposer vos sacs biodégradables et fagots sur le trottoir.Reprise de la collecte lundi 1er mars. Déposez vos déchets le dimanche soir, ilsseront collectés le lundi matin. Sacs disponibles au service environnement 61 rueCarnot, dans les mairies annexes, ou auprès du camion Ecobus qui se situe sur le marché Emile Zola le 1er et le 2e samedi de chaque mois et sur le marché Albert Caron le 3e jeudi et le 4e dimanche de chaque mois. Vous devrez vous munir

d'un justificatif de domicile. Vous pouvez également vous procurer un composteur de jardin contre une participation de 16 € pour unecontenance de 400 litres et 24 € pour une contenance de 600 litressur simple appel téléphonique au 01 41 18 17 61. Guide de la collecte des déchets végétaux sur www.suresnes.fr

rubrique Cadre de vie/collecte/déchets verts.

Enquête publique sur la modification du POS

Pas de collecte de déchets verts

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+ durable

Cadre devie

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DISTRIBUTION DE

COMPOST

Le service des parcs et jardins

vous invite à retirer gratuitement

du compost les samedis de 9h à

12h, du 13 février au 13 mars au

2 rue Frédéric Clavel (accès au

service parcs et jardins,

au parc du Château), un jardinier

sera sur place pour vous accueillir.

Prévoyez sacs ou contenants

car le compost est en vrac.

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PLUS D’INFOS SUR

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PLUS D’INFOS SUR

Depuis plus de 11 ans, Suresnes s’engage en Haïti, auprès de la ville du Cap Haïtien, au travers d’accords de coopération

décentralisée. Depuis le séisme qui a gravement touché une partie du pays le 12 janvier, Suresnes mobilise tous ses

partenaires pour aider Haïti après la catastrophe.

Voilà ce qui a déjà été entrepris, à la date du 20 janvier, au moment où nous bouclons le journal.

TROIS QUESTIONS À JEAN-LOUIS TESTUD, ADJOINT AU MAIRE DÉLÉGUÉ AUX ACTIONS ET RELATIONSINTERNATIONALES, ET À LA COOPÉRATION DÉCENTRALISÉES.M. : Quelle est la situation au Cap Haïtien ?

J.L.-T. : L'hôpital Justinien du Cap Haïtien (qui n’a pas été touché par le séisme) accueille de très nombreux blessés. Les équi-pes sont à saturation, elles opèrent jour et nuit et sont en pénurie de produits chirurgicaux. De plus, l'acheminement difficilede carburant et de denrées alimentaires crée des problèmes comme la réduction de la production d'électricité ainsi que ladistribution d'eau potable. Une cellule d'urgence a été créée par la mairie du Cap Haïtien dont la responsabilité a été confiéeà la chargée de mission pour le projet de décharge contrôlée au Cap Haïtien. En l'absence totale de l'État (lui-même « déca-pité » par le séisme), la ville doit faire face elle-même à toutes les situations, nous sommes en contact direct afin de les aider.

S.M. : Comment la ville de Suresnes se mobilise-t-elle ?

J.L.-T. : Dès le 13 janvier, lendemain de la catastrophe,Christian Dupuy, président du groupe Pays Haïti deCités Unies France, avec Charles Josselin, président deCités Unies France, ont lancé un appel commun à toutesles villes françaises afin qu'elles s'engagent très fortementen faveur d'Haïti. Aujourd'hui, Suresnes a récupéré environ12 tonnes de matériel médical neuf pour l'hôpitalJustinien : des lits, des chaises roulantes, des matérielsélectroniques pour opérer... ainsi que du matériel chi-rurgical. Le CHU d'Amiens, notre partenaire, va envoyerune équipe médicale : 2 chirurgiens et 2 infirmièresdont un spécialiste orthopédique. Cette équipe devraitpartir très bientôt et pourra ainsi soulager le personnelmédical de l'hôpital Justinien. Avec nos partenaires,nous mettrons en place d’autres actions d'urgences etun programme de reconstruction.

S.M. : Comment les Suresnois qui le souhaitent peuvent-ils contribuer à l'aide en faveur d'Haïti ?

J.L.-T : Nous avons mis 3 urnes à la disposition des Suresnois dans lesquelles ils peuvent déposer leurs dons par chèque.Nous avons organisé une réunion le 20 janvier avec la communauté haïtienne de Suresnes et celles et ceux qui ont de lafamille en Haïti afin de leur apporter un soutien psychologique et les informer sur les dispositions prises par la préfecturepour le rapatriement des blessés ou le regroupement des familles.Les Suresnois pourront également assister à une représentation au théâtre Jean Vilar (la date est à déterminer) dont lesrecettes seront entièrement reversées au fond de soutien. Nous prévoyons d'autres actions et tenons à remercier le Lion'sClub, le Rotary Club et le Conseil communal des jeunes pour leur aide.

VOUS POUVEZ DÉPOSER VOS DONS (chèque uniquement) EN FAVEUR D'HAÏTI AUX TROIS URNES SITUÉES :

- à l'Hôtel de Ville, 2 rue Carnot

- au Centre administratif, 7/9 rue du Mont Valérien

- à la médiathèque, 5 rue Ledru Rollin

Les chèques sont à libeller à l'ordre du Trésor Public, mentionner au dos du chèque : dons pour Haïti

(une partie de vos dons sera déductible de votre impôt sur le revenu).

Informations au jour le jour sur www.suresnes.fr

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PARÉLIE : DONS DE FOURNITURES SCOLAIRES POUR UNE ÉCOLE AU MAROCParélie, association de médiation et de prévention urbaine, organise une action de solidarité avec une écolemarocaine, située dans la région de Casablanca. Dans ce cadre, 6 jeunes Suresnois, considérés en « rupturesociale », rénoveront les classes de cette école. En parallèle, ils apporteront des fournitures issues de donsscolaires destinées aux élèves. Stylos, trousses, cahiers… Faites-un don ! Apportez vos donc jusqu’au 15 marsà l’Association Parélie, 33 rue Jules Ferry à Suresnes. Tél. 01 41 38 07 14 ou Abdes au 06 34 21 30 38.

Urgence

Suresnes se mobilise pour Haïti

^ Port-au-Prince après le séisme du 12 janvier dernier

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+ de services

Vie sociale

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Après 6 mois d’existence, la Maison des aidants débute un nouveau cycled’activités de soutien et de ressourcement (soutien psychologique, shiatsu, gestiondu stress, art-thérapie…) et de formations aux bonnes pratiques de soin, d’aideet de prévention. Cet espace est un lieu d’accueil et d’écoute, où les aidants trouvent un soutien moral et physique, des explications sur la maladie de leur proche et des réponses aux difficultés rencontrées. Etre aidant, c’est accompagnerune personne qui a perdu partiellement ou totalement son autonomie, dans tous lesactes de la vie, 24 heures sur 24, 365 jours sur 365. La Maison des aidants de Suresnes, qui a pour mission de préserver la santé desaidants, est un lieu unique en France, mais s’inscrit dans une politique nationale deprise en charge du handicap, des personnes âgées et des malades d’Alzheimer.Pour inaugurer ce nouveau cycle, des aidants et une intervenante témoignent.MAISON DES AIDANTS, centre médical R. Burgos, 12 rue Carnot, tél. 01 41 18 16 23/19 46

www.suresnes.fr rubrique vie sociale et santé.

« Depuis un an, je m’occupe de mon mari jouret nuit. C’est très difficile et je suis épuisée.S’occuper d’une personne dépendante, ça n’enfinit jamais, je me demande d’où me vient toutecette force. Mais je ne m’en suis pas renduecompte tout de suite. C’esten allant à la Maison desaidants que j’ai pris cons-cience de ce qui m’arrivait,que j’avais besoin d’aide. Jemenais une vie de sauvage,j’étais noyée dans messoucis. Ici, on m’écoute, onme soutient, on m’offre unaccueil chaleureux : tout ceque j’avais perdu. Je me sensmoins seule, plus rassurée.Le shiatsu me permet de medétendre et quelqu’un s’occupede moi, c’est bien. Après je me sens plus forte.J’ai compris que ce qui m’arrive, c’est trèsdifficile, mais ce n’est pas la fin du monde. »IRÈNE, s’occupe de son mari, atteint par la maladie

d’Alzheimer.

« J’ai aidé et soutenu mon compagnon, jus-qu’au bout de mes forces. C’était une descenteaux enfers. J’ai vu ce corps, cet être aimé, se

dégrader devant moi. Une seule chosem’a fait tenir, l’amour. Quand il adisparu, je me suis retrouvée telle unzombie. Je continuais à vivre avec lui.Puis tout a lâché. J’ai ressenti un videépouvantable. A la Maison des aidants,j’ai rencontré des personnes qui mecomprennent. On ne s’étend pas surnos malheurs, on sait qu’on en a,nous avons ça en commun. Entrenous, tout est dit simplement. J’aientamé un travail de reconquête demoi-même. Je commence à me direque je suis là, alors que faire main-

tenant ? Je me sens comme un nouveau-né quiapprend à vivre. Pendant les séances de shiatsu,je me laisse prendre en charge, après l’avoir faitpour quelqu’un pendant longtemps. J’ai besoind’être touchée, ça veut dire que j’existe. »DANIELLE, s’est occupé de son compagnon pendant

6 ans, après un accident vasculaire cérébral.

« Le shiatsu est une pratique issue de la médecine chinoise. Elle permet, par le toucher, de soula-ger des tensions corporelles. Les aidants ne s’autorisent pas de détente. Lors d’une séance, ilsprennent conscience des tensions qu’ils ont en eux. C’est un moment qui peut être éprouvant,certaines personnes pleurent. Mais c’est une prise de conscience. Après, on peut commencer àtravailler sur ces tensions, les diminuer, parfois les dissiper. C’est un travail de longue haleine,au départ les aidants sont réticents à se laisser toucher, puis au fil des séances, ils se détendent.

Dans les heures, les jours qui suivent, ils sont plus paisibles, dorment mieux, ressentent uneénergie positive. »

CÉLINE GOMES, praticienne de shiatsu, formée à l’Institut français de shiatsu.

Santé

Une aide pour les aidants

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es bébés naissent à l’hôpitalFoch de Suresnes depuis1938. 2 568 y ont vu le jour en

2008 et 2 665 en 2009. Avec la nouvellematernité qui accueillera les mamansdès cet automne, ce sont désormaisplus de 3 000 naissances par an qui sontattendues. Un « saut » quantitatif essentielpour préserver la place de l’hôpital dansl’offre de soins de l’ouest parisien, quireprésente aussi une amélioration en faveur despopulations suresnoise et environnante, commel’explique le professeur Jean-Marc Ayoubi, chef du

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à termeBientôt

“Hôpital Foch

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service de gynécologie-obstétrique de l’hôpitalFoch : « nous développons ainsi l’offre de servicesde proximité. La demande existe. Nous n’auronsplus à dire “non” aux patientes et à les adresserailleurs sous prétexte que nous n’avons pas la

place pour les accueillir. » Dans ce nouveaubâtiment à la façade graphique quidomine désormais Suresnes et la Seine,le service du professeur Ayoubi occuperales deux derniers étages.Mais plus qu’un objectif chiffré, cettenouvelle maternité offrira aux famillesune qualité de l’accueil et des soinsaméliorée, tant au niveau des soinsmédicaux, des moyens techniques,que de l’accompagnement et del’hôtellerie. « La relation mère-enfant est au cœur de notre projet »,

précise le Pr. Ayoubi. « Les heures quisuivent la naissance sont un moment important,privilégié dans la relation mère-enfant, noussouhaitons éviter, autant que possible, de lesséparer. »

��� Fin 2010, avec la mise en service progressive des nouveaux locaux

de l’hôpital Foch, une maternité, nouvelle, moderne et accueillanteouvrira ses portes. TEXTE : CÉLINE GAZAGNE

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Concrètement, la maternité classéeaujourd’hui en niveau 2A, passera enniveau 2B. Le service de néonatalogiepourra accueillir des nouveau-nés deplus en plus prématurés et assurer laréanimation néonatale. Ce nouveauservice reflètera les progrès réalisésces dernières années dans la prise encompte de l’aspect psychologique de lamaternité. Ainsi, la néonatalogie seradotée d’une unité « kangourou ». Cetespace permettra aux bébés souffrantd’une pathologie nécessitant une hospi-talisation, de rester dans une chambrevoisine qui communique avec celle dela mère. Dans les unités de ce type, aulieu de transférer l’enfant de sa mater-nité d’origine vers un servicede néonatologie, c’est ce service quis’installe au cœur même de la materni-té, avec son plateau technique adaptéet son personnel qualifié. La duréed'hospitalisation est raccourcie et lesparents peuvent accomplir pleinementleur rôle.Dans les cas des césariennes également(20 à 25 % des accouchements), lamère et l’enfant sont séparés au coursdes premières heures. A l’avenir ce ne sera plusle cas, les mères seront transférées dans une sallede réveil où elles pourront accueillir leur bébé.

Création d’une salle « nature »

Les nouveaux locaux, plus vastes et plus fonction-nels, permettront à l’équipe de la maternité demieux répondre au projet de naissance desparents. Un instrument inédit y contribuera : unesalle de naissance dite salle « nature ». « Elle per-met d’accoucher de manière plus adaptée à laphysiologie de la mère, tout en assurant sa sécu-rité », explique Anne Paris, cadre supérieur sage-femme. Cette salle nature est spacieuse, onpasse d’environ 23 m2 à près de 40 m2. C’est plusd’espace pour marcher, pour la femme qui estsur le point d’accoucher. Dans cette salle nature,les parturientes peuvent également se relaxerdans une baignoire adaptée ou choisir de donnernaissance dans une position autre que la classiqueposition dorsale, grâce au divan d’accouchement,qui permet de rester allongée sur le côté, et quilaisse au père plus de place et un contact plusproche. Ces aménagements ont été souhaités parla trentaine de sages-femmes de la maternité quia également été formée à ces techniques.Au sein de ce nouveau service de gynécologie-obstétrique, toutes les unités seront désormaisregroupées dans un même bâtiment : 2 servicesd’hospitalisation (31 et 21 lits), unité de néonato-

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+ de services

Vie sociale

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c’est le nombre debébés nés àl’hôpitalFoch en2009.

2 665

logie (12 lits, 6 berceaux de soins intensifs), unbloc d’accouchement avec 9 salles de pré-travailet de naissance, 2 salles de césariennes, une sallede surveillance post-interventionnelle (salle deréveil) et une salle de réanimation des nouveau-nés.« Ce regroupement en un seul pôle, explique lePr. Ayoubi, permet une prise en charge globaledes patientes et une réactivité optimale au moindrerisque médical. » Dans les forums de discussiondédiés à la grossesse et à l’accouchement surInternet, la maternité de l’hôpital Foch étaitcomplimentée pour l’accueil du personnel et laprise en charge médicale. Avec ses 50 chambresindividuelles sur 56 (toutes avec salle de bains),les mères l’apprécieront désormais aussi pourson confort et sa modernité.

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Les premiers instants de la vie à l’hôpital Foch

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^ La façade très graphique de l’extension de l’hôpital

L’extension de l’hôpital Foch représente 25 000m2 supplémen-taires, qui à leur mise en service, prévue à la fin de l’année,permettront d’améliorer le travail quotidien des 2 000 profes-sionnels qui assurent son fonctionnement 24 heures sur 24.Ce nouveau bâtiment est réalisé étage après étage. Les pro-chains mois seront consacrés aux finitions : peintures, revê-tements de sol, etc. Ces six nouveaux étages abriteront lesservices des urgences, de radiologie, de gynécologie-obsté-trique, la maternité, le bloc opératoire et la réanimation. Unparking sur trois niveaux occupera les sous-sols. Par ailleurs,le bâtiment existant est rénové, deux étages en particulier : le1er étage ouest et le rez-de-chaussée sud. La rénovation de lacafétéria débute en ce début d’année 2010.www.hopital-foch.org

Site… en construction

UN NOUVEAU PRÉSIDENT• En juillet 2009, Philippe Ritter est

devenu le nouveau président du conseil

d’administration de l’hôpital Foch, en

remplacement de Georges Dominjon (qui

reste président de la fondation Foch).

Auparavant, Philippe Ritter a dirigé

l’Agence régionale de l’hospitalisation de

l’Ile-de-France (2003-2006). Il préside

également l’Agence nationale d’appui à la

performance des établissements de

santé et médico-sociaux (ANAP).

Vous êtes en classe de terminale, bachelier ou déjà salarié et le métier d’infirmier(ère) vous intéresse :l’IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) de l’hôpital Foch assure une formation alliant qualité,rigueur et humanisme et vous prépare à un métier dans lequel vous pourrez évoluer vers d’autres fonctions(spécialisation, encadrement, enseignement, direction). Le concours aura lieu le 14 avril 2010.

• Réunion d’information le mercredi 17 février de 14h à 16h• Date limite de dépôt des dossiers : 15 mars 2010 INSCRIPTION PAR MAIL : ifsi@hopitl-foch.org ou en demandant un dossier au secrétariat de l’IFSI, 11 rueGuillaume Lenoir 92151 Suresnes cedex.

Formation pour devenir infirmier(ère)

CHRISTIAN DUPUY, maire de suresnes, vice-président du conseil d’administration de l’hôpital Foch :La présence de la maternité de l’hôpital Foch sur notre territoire implique pour notre service état civilun nombre d’actes de naissance que bien des villes de plus de 100 000 habitants n’atteignent pas. Denombreuses personnalités ont vu le jour à Suresnes : Yves Mourousi, Martin Hirsch (commissaire auxsolidarités), ou tout récemment, le petit Solal Sarkozy, petit-fils du président de la République. C’estdire la renommée justifiée de notre maternité, connue pour la compétence de ses équipes médicaleset l’attention qu’elles portent aux mamans et aux nouveau-nés. Pour autant, il était nécessaire d’enaméliorer le confort et de moderniser les équipements. Ce sera chose faite dans quelques mois, aveccette maternité au « top » de la modernité.

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Tout propriétaire ou détenteur de chiens dangereux

(chiens d’attaque de 1re catégorie, type Pitbulls, Boerbulls

ou Tosa ; et chiens de garde et de défense de 2e catégorie

race American Staffordshire terrier, Rottweiler) doit être

titulaire d’un permis de détention et en faire

la déclaration à la police municipale.

Si vous avez déjà déclaré votre chien, sachezque de nouvelles dispositions législatives

et réglementaires viennent d’entrer en

vigueur (décret d’application en date du 30décembre 2009).Lors d’un contrôle effectué par un agent de lapolice, que vous soyez propriétaire ou déten-

teur du chien dangereux, vous devez être enmesure de présenter les pièces suivantes : lepermis de détention de chien dangereux,l’attestation d'assurance spécifique du chien,la carte de tatouage permettant l'identificationde l'animal, l’attestation de vaccination contre la rage duchien (amende forfaitaire de 68 € pour chaque défaut depièce), l’attestation de l'évaluation comportementale del'animal (amende forfaitaire de 90 €) et, pour les chiens de

Chiens dangereux

Nouvelles dispositions réglementaires

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

+ de services

Vie sociale

Samedi 6 février à 20h, le Lions club de Suresnes organise, avec l’aidedes commerçants de la ville, son traditionnel loto qui vous permettrade gagner des séjours vacances et de nombreux autres lots de valeur.Entrée : 3 €. Gratuit pour les moins de 15 ans. Sandwichs et boissonssur place. Le Lions club organise cette soirée pour ses actions de

solidarité à Suresnes au centre aéré des Landes, chemin de la Motte(entrée et parking face au mémorial de la France combattante).Rens. sur www.lionsclub.fr

La Croix-rouge à l’hôpitalApporter du soutien, du réconfort, faire naître des sourires ou des larmes de

joie sur les visages… Depuis trente ans, des bénévoles de la Croix-rouge

rendent visite à des malades de l’hôpital Foch qui sont dans des services de

longs séjours (psychiatrie, oncologie, unité gériatrique aïgue, neurologie,

pneumologie et en soin intensif respiratoire). Distributions de chocolats,

calendriers, stylos… des symboles pour apporter un peu de chaleur à des

malades qui passent les fêtes de fin d’année loin de chez eux (une centaine

de malades cette année). Des bénévoles qui sont récompensés par « des

sourires, des paroles chaleureuses de remerciements, des yeux embués… »

POINT CYB DE SIJLES ATELIERS EN FÉVRIER

Pour les grands : atelier « Protéger son PC », 10 février de 15h à 17h / Atelier « Découverte desréseaux sociaux » (Facebook, Twitter…), 17 février de15h à 17h / Atelier « Web 2.0 » : l'évolution vers uninternet interactif, 3 février 2010 de 15h à 17h.Pour les plus jeunes :

Réaliser un mini film avec son téléphone portable,pour les 12/17ans du 23 au 25 février.Tout public :

Réaliser un montage vidéo et photo à partir de vosfichiers numériques, du 2 au 4 mars.Tarifs et résa sur www.sij.asso.fr / 01 41 38 29 83

www.sij.asso.fr/pointcyb.htm _29

1re catégorie, l’attestation de stérilisation (délit passible de6 mois d'emprisonnement + 15 000 € d’amende).Si le propriétaire ou le détenteur d'un animal mis endemeure par l'autorité administrative de procéder à la

déclaration, n’a pas procédé à la régularisation

requise dans le délai prescrit, il encourt unepeine de trois mois d'emprisonnement et de3 750 € d'amende.EN PARALLÈLE ET POUR RAPPEL, EST PASSIBLED’UNE AMENDE DE 35 €, LE FAIT DE :- détenir un chien de 1re catégorie dans lestransports en commun, dans des lieux publics(à l’exception de la voie publique) et dans deslocaux ouverts au public- de laisser stationner un tel chien dans lesparties communes des immeubles collectifs- de laisser son chien de la 1re ou 2e catégorienon muselé ou non tenu en laisse par une

personne majeure, sur la voie publique, dans les lieuxpublics, dans des locaux ouverts au public ou dans lestransports en commun.Rens. Police municipale, 3 rue Carnot, tél. 01 41 18 69 32.

Le loto du Lions club

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« Suresnes, regards de femmes »Questionnaire

• Pour faire suite au Forum des femmes organisé le 27 juin dernier à l’initiative du Conseil local économique et social, et dans le but de répondre à lademande principale qui y avait été formulée, à savoir la mise en place d’un espace et d’un temps de rencontre pour et par les femmes, un nouveauforum est organisé le 27 mars prochain sur le thème « le sport au féminin ». L’objectif est de réfléchir et de débattre sur l’insertion (récente) desfemmes dans le monde sportif : ne faudrait-il pas changer le regard sur la femme dans le sport et peut-être aussi le regard des femmes sur le sport ?• Dans le cadre d’une démarche de démocratie de proximité, nous vous proposons une série de questions portant sur votre approche du sport, vos attenteset vos critiques. Merci de bien vouloir y répondre car nous avons besoin de vos réponses à tous, hommes et femmes, sportifs et non sportifs, afind’alimenter le débat qui aura lieu le jour du forum ! En complément de ce questionnaire, les membres de tous les conseils consultatifs de quartier seréuniront, pour une concertation en amont sur le sujet.

A ENVOYER PAR COURRIER ou DÉPOSER À L’HÔTEL DE VILLE ou RÉPONDRE EN LIGNE SUR LE SITE : www. suresnes.fr AVANT LE 19 FÉVRIER

Situation familiale : □ Célibataire □ En couple

Statut : □ Collégien / Lycéen / Etudiant□ Sans emploi□ Avec un emploi / profession libérale /

artisan, commerçant / chef d’entreprise□ Père/Mère au foyer□ Retraité(e)

Avez-vous des enfants ? □ oui □ nonNombre d’enfants faisant du sport ? □ filles □ garçonsTravaillez-vous dans le milieu sportif ? □ oui □ non

□ Football□ Vélo□ Danse□ Rugby□ Autre : ………………………………………………………………………

I N F O R M A T I O N S G É N É R A L E S

S I V O U S F A I T E S D U S P O R T

S I V O U S N E F A I T E S P A S D E S P O R T

□ sportif de haut niveau□ autre : ………………….

Sexe : □ Homme □ Femme

Age : □ 11 à 16 ans□ 17 à 25 ans□ 26 à 40 ans□ 41 à 60 ans□ 61 ans et plus

Revenu mensuel du foyer : □ de 0 à 800 euros□ de 800 à 1200 euros□ de 1200 à 2000 euros□ plus de 2000 euros

Si oui, quelle fonction occupez-vous ? : □ dirigeant(e) d’un club ou association□ bénévole□ coach sportif / entraîneur / éducateur

Pourriez-vous citer le nom de plus de dix femmes sportives françaises de haut niveau ?

□ oui □ non………………………………………………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….………………………………………………………………………….

Pourriez-vous citer le nom de plus de dix hommes sportifs français de haut niveau ?

□ oui □ non………………………………………………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….………………………………………………………………………….Vous faites du sport ? □ oui □ non

Quel type de sport pratiquez-vous ? :

□ Randonnée / Footing□ Gym / sports de relaxation□ Tennis□ Volley-Ball□ Natation

Faites-vous du sport ? □ tous les jours□ plusieurs fois par semaine□ une fois par semaine

Faites-vous du sport ? □ seul□ avec des amis□ à l’école□ en association sportive / en club

Qu’est-ce qui vous empêche de faire plus de sport ? ……………………………..………………………………………………………………………………

Avez-vous envie de faire du sport ? □ oui □ nonSi oui, pourquoi n’en faites-vous pas ? ………………………..………………………………………………………………………..………………………..………..

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□ quelques fois par mois□ quelques fois par an

Pourquoi faites-vous du sport ? □ pour la compétition□ pour le loisir et bien-être personnel□ pour maigrir / mincir / entretenir son corps□ pour la convivialité et les liens à nouer

Avec ses 350 licenciés, Suresnes Escalade est aujourd'hui le6e club français en nombre d'adhérents. Un essor impres-sionnant qui traduit l'engouement général pour cette disci-pline en France et l'excellence de l'association suresnoise.« Notre développement a été favorisé par l'installation d'unnouveau mur de grande qualité au gymnase du Belvédère ily a deux ans, souligne Gwendoline Quentin, vice-présidentechargée des compétitions. C'est un atout incontestable. Sinous privilégions toujours une approche loisir, ce dispositifnous permet aujourd'hui d'organiser des manifestationsofficielles et de former des jeunes et des adultes à lacompétition, dans de bonnes conditions et dans descréneaux dédiés. » Le club organise en effet une compétitiond'escalade de niveau régional (7 février), qualificative pourles inter-régionaux, préalable aux finales nationales. 260des meilleurs grimpeurs d'Ile-de-France sont attendus,parmi lesquels 90 décrocheront leur billet pour la phase suivante. On surveillera notamment les Suresnois ManuelCornu (cadet), Rodrigue Le Roy et Julien Forgue (juniors),tous susceptibles de disputer les finales nationales. Enmarge de la compétition, Suresnes Escalade organise àcette occasion une animation hors les murs. Samedi 6février, un menhir d'initiation sera installé place Henri IV.Le lendemain, il prendra place devant le gymnase duBelvédère où se déroulera la compétition. Une occasionrêvée pour tous ceux et celles qui souhaitent expérimentercette discipline en toute sécurité avec des moniteurs diplômésd'Etat. A noter également pour ceux qui seraient tentés deprendre de la hauteur et des couleurs, Suresnes Escaladeorganise régulièrement des week-ends d'escalade pour ses

Escalade

L’escalade à l’affiche

adhérents à Fontainebleau et des séjours dans des sitesprivilégiés comme les Calanques à Marseille, en Ardècheou dans les Alpes pour la pratique du mur de glace…Rens. : suresnes.escalade.free.fr/ 09 51 35 36 81 / 06 1762 01 66 / 06 14 63 24 67.

A l'occasion du Trophée des com-munes (Plessis-Robinson, 9-10janvier), le Karaté Club Suresnoisdirigé par Pierre Blot et assisté dePascal Pinault s'est classé troisiè-me au général (combat et tech-nique, toutes catégories confon-dues) derrière Levallois et Issy. Anoter, l’ensemble des adhérentsaux activités du club (karaté, judo,boxe loisir, etc.) ont accès à toute une gamme d’équipements de culturephysique et de gym-fitness.Rens. : 01 45 06 44 44 / 09 54 28 60 28 /www.kcfitnessclubsuresnes.com/

Trophée des communes

Le KCS en 3e position

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

En bref…

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Sports

TAEKWONDO

Fiona Souchard a décroché avec brio le titre device-championne de France junior (Orléans, 19-20 déc.).Oriane Vedrines et Hélène Phimphrachanh ont disputéles 1/4 de finales juniors et Oscar Grand les 1/4 definales cadets. Des résultats qui confirment la qualitéde la formation délivrée par Faouzi Aissa au sein duTaekwondo Dojang Suresnois.Rens. : 01 39 14 20 81 (après 19h) et

http://taekwondosuresnes.free.fr

VACANCES SPORTIVES

Du 22 au 26 février, des stages sportifs omnisports(destinés aux jeunes de 4 à 12 ans) seront organiséspar l'IMEPS et la ville de Suresnes au gymnase duBelvédère. A noter, les participants devront présenterun certificat médical attestant leur aptitude à lapratique d'activités sportives.Rens. : 06 07 66 15 51 ou 01 41 18 15 47 / Tarif : 60 €.

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��� En février, Denis Podalydès

interprète le Dr Jekyll et son

monstrueux alter ego,

Mr Hyde dans Le cas

Jekyll, un texte librement inspiré

de la célèbre nouvelle de Stevenson

TEXTE : CÉLINE GAZAGNE /

PHOTOGRAPHIES : DAN AUCANTE

le sociétaireDouble jeu pour

“Théâtre

”

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Culture

CHANSONS : JE NE SAIS QUOI

D’après les chansons d’Yvette

Guilbert et sa correspondance avec

Freud. Conception Nathalie Joly.

Après s’être rencontrés sur lacréation Rêves de Kafka dans la miseen scène de Philippe Adrien,Nathalie Joly et Jacques Verziercréent ensemble ce nouveauspectacle, sur les chansons etmusiques de Léon Xanroff, VictorLeclerc, Paul de Kock, EugèneLemercier entre autres, mais surtoutd’Yvette Guilbert. Reine incontestéedu caf’conc’, elle fut pendantcinquante ans l’ambassadrice de lachanson française dans plus detrente pays. Son art de l’authenticitéséduisit le père de la psychanalyse,et leur correspondance inédite

retrace l’exil de Freud et leurséchanges entre Vienne, Paris etLondres. Cette création témoigned’une amitié qui dura un demi-siècle.On reconnaîtra le Je ne sais quoi dela célèbre chanson Madame Arthurou le Dites-moi que je suis belle,chanson préférée de Sigmund Freud.Vendredi 5 février à 21h

CIRQUE : COMA IDYLLIQUE

Puzzle autour du cirque. Cie Hors

Piste. Mise en scène Vincent Gomez.

Ici, les éléphants (roses) l’emportentplutôt sur les idées noires et les six interprètes s’en donnent à cœur joie dans la loufoquerie etl’énergie débridée.

THÉÂTRE : IVANOV

D’Anton Tchekhov.

Mise en scène Philippe Adrien.

Ivanov est un drame du temps dilaté par l’ennui, du « vouloir-vivre »qui laisse sa place à une forme demélancolie. Une pièce profonde etsatirique qui porte un regard sombreet cocasse sur la société russe endécrépitude de la fin du XIXe siècle. Samedi 13 février à 21h.

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E T A U S S I …

l y a plus d’un siècle, en janvier 1886,

Robert Louis Stevenson (L’Île au trésor,

c’est lui aussi) publie une nouvelle

intitulée L’Etrange cas du docteur Jekyll et

de mister Hyde. L’histoire, en somme : estimé dela bonne société victorienne, le docteur Jekyll, unrespectable médecin londonien est convaincu qu'ilest possible de dissocier chimiquement le bien dumal au sein de l’esprit humain. Un soir, Jekyll expé-rimente sur lui-même la substance qu'il a mise aupoint : il se dédouble alors en un Mr Hyde sadique.Christine Montalbetti, l’auteur du texte joué sur lascène du théâtre de Suresnes Jean Vilar, revisitele dernier chapitre du livre de Stevenson, la confes-sion du docteur. A cet instant, le docteur Jekyllest au seuil de la mort. Il ne cherche plusà contenir les assauts de Hyde qui a prispossession de presque tout son être.Jekyll commence alors le récit de sonexpérience : explication scientifique dupourquoi et du comment il en est arrivélà, et histoire de ce glissement dans lafolie. Denis Podalydès, ici metteur en

scène et comédien, est sociétaire de la

Comédie française. Il a étudié au cours Florentpuis au Conservatoire national supérieur d’artdramatique de Paris. A la Comédie française, il a misen scène Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostanden 2006, et Fantasio d’Alfred de Musset en 2008. Ila reçu un Molière pour son interprétation de Révizoren 1999 et en 2007 pour la mise en scène deCyrano. Denis Podalydès s’entoure d’EmmanuelBourdieu et Eric Ruf à la mise en scène, aveclesquels il s’est déjà associé à diverses repriseset avec succès pour Tout mon possible, Je crois ?,Le Mental de l’équipe, Cyrano de Bergerac.

Podalydès se dédouble

C’est Denis Podalydès qui se glisse dans la peaudu docteur Jekyll et par la même dans celle de sondouble, Mr Hyde. Ce dédoublement de personnalité,ce double rôle ne peut que séduire l’acteur.

« L’acteur se réjouit de cette composition, ne peutque succomber ; qui ne rêve pareil rôle ? Cettepulsion de jeu ne m’est pas étrangère. Quel comédienne sent pas en lui-même le pas inquiétant et dansantde Hyde, l’envie de grimacer épouvantablement,de nouer en un seul bloc, en un seul personnage,les désirs insolents, farcesques, outrés, de jouer

enfin le plus malin des méchants, de faire etde se faire peur ? Nous viserons moins

le fantasme réalisé, la métamorphoseaccomplie, le personnage malingreet incarné, que la pulsion elle-même, la saillie du petit bonhom-me perçant sous le masque sobrede Jekyll, la pression fantastique

et contradictoire qui en résulteet s’exerce alors… On ne peut donc

pas voir Hyde. Il sera néanmoins bienprésent, et règnera, si possible, je l’espère, au

final, jusque dans le cœur même du spectateur. »Ainsi Podalydès décrit-il son Jekyll/Hyde dans sanote d’intention. Effrayant…Textes de Christine Montalbetti. D’après Robert

Louis Stevenson. Mise en scène Denis Podalydès.

Co-mise en scène Emmanuel Bourdieu et Eric

Ruf. Avec Denis Podalydès, sociétaire de la

Comédie-Française.

Mercredi 10, jeudi 11 et vendredi 12 février à 21h.

Samedi 13 février à 18h30.

Dimanche 14 février à 15h.

A cette occasion le public du théâtre de Suresnes retrouvera sur lascène des costumes

de Christian Lacroix,

déjà découverts dansZoopsie Comédi.

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Théâtre deSuresnes Jean Vilar place Stalingrad. Rens. 01 46 97 98 10 www.theatre-suresnes.frParking gratuit près du stade Maurice Hubertles jours de représentations.

Dimanche 7 février à 17h. À partir de 6 ans. Rencontre avec les artistes à l'issue de la représentation.

N° 206 / Février 2010 / SURESNES MAGAZINE

Comment penser la vieillesse sans penser vieillerie ? Comment appré-hender le passage à la retraite sans y voir une petite mort sociale, et laconsidérer plutôt comme un nouveau départ ? Comment réussir à vieillirsereinement, sans être l’objet d’âgisme (les discriminations et le méprisdu fait de l’âge) ? En cette année 2010 où l’âge et les retraites seront aucœur des débats politiques, polémiques et économiques, la média-thèque ouvre ses portes à un atelier interactif intitulé « le fil du temps »,créé par l’association Olympio, avec le concours de l’observatoire del’âgisme. Il sera question d’échanger et de confronter les expériencesde vie pour faire avancer la réflexion sur le thème du temps qui passe, defaçon conviviale et non intellectuelle. Le credo de l’association duSuresnois Olivier Katian étant la méthode participative, le public (qui setransforme en participants) sera encadré pendant 1h30 par un comédienqui jouera le candide pour relancer le débat. L’animateur s’appuierasur des outils visuels et abordera à partir d’exemples de modes de viede sexagénaires, divers thèmes tels que le sentiment d’inutilité, la luttecontre l’isolement, les vertus de la transmission ou la grand-parentalité,les moyens de renforcer les liens entre générations, le niveau de pension…Si les sujets semblent austères, le débat ne le sera pas, enrichi par leséchanges et la confrontation d’expériences entre participants. OlivierKatian se félicite que cet atelier se déroule dans une médiathèque etcompte sur les bibliothécaires pour prendre le relais et proposer desouvrages ciblés sur le sujet.Vendredi 12 février, 2 sessions : 14 h, plus spécifiquement pour lesseniors, (résa et rens. au 01.41.18.18.46) , 17 h pour tout public (rens.01 41 18 16 69), entrée libre, salle d’animation de la médiathèque.

La Science se livre

Eau rage, Eau désespoir• Jusqu’au 6 février : exposition de photos et de documents« La grande crue de la Seine de 1910 ».• Samedi 6 février de 15h à 16h30 : Ateliers scientifiques « Le cycle del’eau », l’atelier dans la nature et l’eau domestique. Pour les 6/10 ans.• Jeudi 4 février à 20h30 : La science se livre : l’eau dans lesystème solaire, conférence-débat avec Thérèse Encrenaz, directrice duDépartement recherche spatiale de l’Observatoire de Paris-Meudon.

• Mardi 9 février à 20h30 : la médiathèque à l’heureallemande. 3e conférence-débat de Nicole Barry : Lalittérature de la réunion de l’Allemagne : tournantslittéraires après 1989.

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Débat échange

Au fil du temps,bien vivre avec le tempsqui passe

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Anniversaire

Les 10 ans de la médiathèque

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

Ce mois-ci, ce sont les écrivains en herbe qui sont sollicités :

CONCOURS DE NOUVELLES

Sur un thème bien précis, « Vendredi 25 février 2050, les portes de la médiathèques’ouvrent… », soit exactement 50 ans jour pour jour après l’inaugurationde l’établissement, toutes les plumes qui le souhaitent peuvent se lancerdans l’écriture d’une nouvelle. Projetez-vous dans l’avenir, laissez librecours à votre imagination. Décollez pour le futur et retour obligatoirepour le 24 avril !Si vous ne vous sentez pas l’âme d’un écrivain, n’hésitez pas àpostuler pour faire partie du jury. RÈGLEMENT ET INFORMATIONS DISPONIBLES SUR : www.mediatheque-suresnes.frRens. au 01 41 18 16 65.

MÉDIATHÈQUE : 5 RUE LEDRU ROLLIN. RENS. : 01 41 18 16 69 WWW.MEDIATHEQUE-SURESNES.FR

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Culture

2000-2010. Depuis 10 ans, la médiathèque de Suresnes participe activement à

l’enrichissement culturel des Suresnois en mettant à leur disposition les 130 000

documents qu’elle a collectés au fil des ans (dont 70 000 livres, 4 000 DVD, 3 000

CD-Rom, 19 000 CD, et magazines et revues). Pour fêter dignement son

anniversaire, la médiathèque vous réserve de nombreuses surprises et compte

sur vous pour faire de cet événement une grande fête. Soyez vigilants si vous

souhaitez y prendre part ; d’ici octobre 2010, mois de la fête, vous pourrez

devenir acteurs de la manifestation en participant à différentes animations.

ANIMATIONS JEUNESSE :Pour toutes les animations, les places étant limitées,

il est impératif de s’inscrire à l’accueil de la médiathèque

SAMEDI 6 FÉVRIER DE 10H30 À 11H15 :

Mots & marmots : les bébés lisent aussi ! Pour les enfantsde 0 à 3 ans accompagnés d’un parent.SAMEDI 13 FÉVRIER À 17H :

« L’histoire de Babar » de Francis Poulenc, par les élèvesde la classes d’Art dramatique du conservatoire et mis enmusique par le sextuor de saxophones P-MB Sax Project.Tout public.MERCREDI 17 FÉVRIER DE 16H30 À 17H30 :

Pause cartable ciné-doc « Il était une fois… notre terre : le recyclage », documentaire en dessin animé. Pour les 6/10 ans.

ANIMATIONS ADULTES :MARDI 2 FÉVRIER À 20H30

Les Mardis de l’histoire de l’art : « Baroque et classicisme ».Les deux grands mouvements du XVIIe siècle opposentl’élan, la couleur et la lumière des œuvres du Caravage,Rubens ou de Rembrandt.SAMEDI 6 FÉVRIER À 17H :

Les Samedis du cinématographe « Japanim’ Session » part. 1.L’explosion du manga et de ses déclinaisons animées.MARDI 16 FÉVRIER À 20H30 :

Les mardis de l’histoire de l’art « Le nu ». Le travail dupeintre et l’approche des différentes écoles européennes.SAMEDI 20 FÉVRIER DE 15H À 18H30 :

Projection en audio-vision Les enfants du paradis deMarcel Carné, un chef d’œuvre du cinéma français (film endeux époques projetées avec une pause intermédiaire).

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Le Capitole

PROGRAMME DE FÉVRIER SOUSRÉSERVE DE MODIFICATION :

SHERLOCK HOLMESde Guy Ritchie

L’AUTRE DUMASde Safi Nebou

LOVELY BONESde Peter Jackson

SHUTTER ISLANDde Martin Scorcese

JEUNE PUBLIC :

LA PRINCESSE ET LA GRENOUILLEde Ron Clements et John Muster

PLANÈTE 51de Jorge Blanco

FANTASTIC MR FOXde Wes Anderson

MALIN COMME UN SINGEde Hu Xiaonghua

Conservatoire

Exposition « Henri Sellier, un visionnaire pour la ville » jusqu’au 6 mars 2010. Mercredi 03 février, de14h à 15h - A partir de 5 ans : « Fantastique mosaïque » Reproduire et interpréter les motifs années 1930 quiornent la ville. Samedi 06 février, de 15h30 à 16h30 – Adolescents et adultes : visite commentée, Henri Sellier,homme public, homme privé, urbaniste, visionnaire, socialiste, homme de terrain et homme d’État. Mercredi

17 février,de 15h00 à 17h00 – Pour tous : visite guidée, « Du vert entre les briques », quand patrimoine etbotanique dialoguent dans les allées et les jardins de la Cité-jardins, ils vous invitent à venir les écouter.

Animations gratuites, inscription obligatoire. GALERIE DU MUSÉE, esplanade des Courtieux. Rens. 01 41 18 18 75.

Mercredi 3 février à 19h, salle de l’esplanade : audition deguitare, professeur : R. Jousselme • Vendredi 5 février à20h, salle de l’esplanade : concert Zik Studio (musiquesactuelles), professeur : C. Joly • Samedi 6 février à 15h,concervatoire : audition de hautbois, professeur : F. Roussel• Mardi 9 février à 20h, salle de l’esplanade : Mots à maux,professeur : J.-P. Sermadiras • Vendredi 12 février à 20h,salle de l’esplanade : audition de piano, professeur : M.Pondepeyre • Vendredi 12 février à 20h30, conservatoire :audition de l’APE, association des parents d’élèves • Lundi 15février à 18h30, salle de l’esplanade : audition de contrebasse,professeur : V. Gautheron • Mardi 16 février à 19h30,salle de l’esplanade : Mardi musique, soirée musicale etconviviale animée par les élèves des classes instrumentalesde tous niveaux • Mercredi 17 février à 18h30, salle del’esplanade : audition de piano, professeurs : F. Fontanarosaet C. Mialhe • Mercredi 17 février à 20h30, salle Aéroplanedu théâtre Jean Vilar : rencontre de Big Band, directions :Y. Prutot et J. Guionet.CONSERVATOIRE, 1 place du Puits d’Amour, tél. 01 47 72 58 61

Musée

Les RDV culturels de FÉVRIER

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Concert et audition

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LE SAXOPHONE SOUS TOUTES SESFORMES À A MÉDIATHÈQUE :Samedi 13 février, à 16h : concert des diffé-

rents ensembles de saxophones du conserva-

toire, puis à 20h : concert « Musique d’Europe

du Nord et de l’Est » parle quatuor de saxophonesEllipsos. AU PROGRAMME :Serge Prokofiev, sonaten° 7 opus 83 ; AlexandreGlazounov, quatuor opus1009 ; Edward Grieg,Peer Gynt suite n° 1 opus46 ; Bela Bartok, dansesroumaines. Création avectous les élèves saxopho-nistes du conservatoire.

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CHAQUE DERNIER MARDI DU MOIS À20h30 - à l'exception de la premièrequi aura lieu le mercredi 3 février – ungrand classique du cinéma sera pro-jeté. Bien mieux qu'à la télé, évidem-ment. Ces soirées, animées par LauraKoeppel, seront l’occasion de voir ourevoir des films qui participent del’histoire du cinéma et bénéficient pourla plupart de ressortie en copie neuve.3 février : Quai des orfèvres, Henri-Georges Clouzot, 1947, avec Louis Jou-vet, Suzy Delair, Bernard Blier23 février: The Philadelphia Story,George Cukor, 1940, avec KatharineHepburn, Cary Grant, James Stewart

CINÉMA LE CAPITOLE :3 rue Ledru Rollin.Dates et horaires : 08 92 68 22 74.

voir dossier sur Le Capitole

pages 12 à 15

CardiologueOphtalmologueContrôleur de gestionAssistant de directionAuxiliaires de puéricultureEducateurs de jeunes enfantsDiplômés du CAP petite enfanceAgent d’entretien des espaces extérieursOpérateur vidéo-protectionGardien de police municipale

Pour ses différents services, LA MAIRIE RECRUTE :

CHRIS CORDO

CORDONNERIE

Du mardi au samedi de 9h à 13h et de14h30 à 19h, dimanche de 9h à 12h3 rue Albert CaronTél. 01 42 04 71 44

LA PETITE CHOCOLATERIE

CHOCOLATIER

Du mardi au samedi de 10h à 19h30et le dimanche de 10h à 13h22 avenue Edouard VaillantTél. 01 42 04 22 31

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Si un poste vous intéresse, adressez vos lettres demotivation, CV et photo à Monsieur le Maire – 2 rueCarnot - 92151 Suresnes cedex Profils des postessur : www.suresnes.fr rubrique « La mairie recrute »

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P H O T O : C A R O L E M A R T I NNOUVEAUX COMMERÇANTS

BAFA

Formation généraleInscriptions avant le 10 février 2010 à la formation générale du Bafa pour les Suresnois de 17 à 25 ans,

auprès de Suresnes animation, Parélie, le service municipal jeunesse-animation et Suresnes information jeunesse, ou téléchargeables sur le site www.sij.asso.fr, Des entretiens de sélection auront lieu le samedi 13 février. Renseignements complémentaires au 01 41 18 18 89.

Chers enfants, Vous avez été nombreux à m’écrire et je tenais à vous en remercier.Je suis bien sûr rentré au Pôle Nord, mais mes diverses activités - et le froid quirègne ici - m’ont empêché de vous répondre plus tôt ! Je n’ai pas pu exaucer tousvos souhaits et vous apporter tous les jouets que vous m’avez commandés, j’ai eubeaucoup de travail cette nuit du 24 décembre… mais j’espère que tous mescadeaux vous auront malgré tout comblés de plaisir. A l’année prochaine meschers enfants… et surtout… soyez sages ! Père Noël

Toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble,relative à une activité qui s’y exerce constitue une enseigne.Conformément à la nouvelle réglementation de la taxelocale sur la publicité extérieure (TPLE), vous devezdéclarer votre enseigne avant le 1er mars 2010 auprèsdu service environnement, 61 rue Carnot.Rens. au 01 41 18 17 61 ou sur www.suresnes.fr,

rubrique cadre de vie/publicité.

Suresnes pratique

Informations

NOUVELLES INSTALLATIONS :

• Sophie Laurens,masseur-kinésithérapeute : 18 rue Edouard Nieuport, tél. 01 82 64 83 67.• Sophie Delmas, pédicure-podologue : 18 rue Edouard Nieuport, tél. 06 23 72 31 07.• Audrey Yargui, chiropraticien : 18 rue Edouard Nieuport, tél. 06 24 61 68 71.• Lynda Anes, infirmière diplômée d’Etat :132 rue de la République, tél. 01 47 72 14 78ou 06 88 04 16 93. Soins à domicile. Sur RDV uniquement.

RÉPONSE DU PÈRE NOËLAUX ENFANTS QUI ONT OMIS DE DONNER LEUR ADRESSE

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PLUS D’INFOS SUR

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Déclaration d’enseigne

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NUMÉROS UTILES :

COMMISSARIAT DE POLICE :• Place du Moutier, tél. O1 46 25 03 00POLICE MUNICIPALE :• 3 bis rue Carnot, tél. O1 41 18 69 32

AMBULANCES / MÉDECINS : 15

POLICE SECOURS : 17

POMPIERS : 18

HÔPITAL FOCH :• 40 rue Worth, tél. O826 207 220

PHARMACIES DE GARDE :

• Dimanche 31 janvier : Pharmacie Sonigo, 28 rue des Bourets,tél. 01 45 06 10 33 • Dimanche 7 février : Pharmacie Lalanne-Martin, 165 av. du18 juin 1940 à Rueil-Malmaison, tél. 01 47 51 03 75• Dimanche 14 février : Pharmacie Pioger, 11 rue de la Liberté,tél. 01 45 06 19 09• Dimanche 21 février : Pharmacie Lafond, 28 rue Carnot,

tél. 01 45 06 57 37• Dimanche 29 février : Pharmacie Megaines, 116 bd de Lattre de Tassigny,tél. 01 47 72 70 31• Dimanche 7 mars : Pharmacie du Parc du Château, 52 rue J.J. Rousseau,tél. 01 45 06 10 46• Dimanche 14 mars : Pharmacie Lecompte, 15 rue du Mt-Valérien, tél. 01 45 06 05 90• Dimanche 21 mars : Pharmacie des Chênes, 55 rue des Chênes, tél. 01 45 06 09 75• Dimanche 28 mars : Pharmacie Lemée, 30 bd Henri Sellier, tél. 01 45 06 20 43

GRIPPE A/H1N1

5 963 Suresnois se sont fait vacciner,

dont 774 pour une 2e dose (chiffre

arrêté au 15 janvier). Vous n’avez

pas reçu le bon de vaccination et

souhaitez vous faire vacciner, appelez

le 0800 38 65 65 pour prendre rdv,

du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et

de 18h30 à 18h.

Rens. : www.suresnes.fr

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MAIRIE DE SURESNES : 2 RUE CARNOT - 92150 SURESNES.

TÉL. 01 41 18 19 20 / www.suresnes.fr.

La mairie est ouverte du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 19h, et le samedi de 8h30 à 12h. Pendant les congés scolaires, fermeture à 18h.Pendant les vacances scolaires de février, la mairie fermera à 18h au lieu de 19h.

Les services municipaux sont ouverts du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de13h30 à 18h (17h le vendredi). Certains services assurent une permanence le jeudijusqu’à 19h : Urbanisme et aménagement – Enseignement – Personnes âgées –Solidarité – Logement – Petite enfance – Sports – Etat civil /Elections et Affairesgénérales (également ouvert le samedi de 9h à 12h).

Permanence téléphonique du maire : le 1er lundi du mois de 18h à 20h.En raison du grand nombre d’appels, il est conseillé d’appeler avant

19h. Tous les appels ne pourront être satisfaits.

LES ÉLUS REÇOIVENT SUR RENDEZ-VOUS :

01 41 18 19 20

LES ADJOINTS AU MAIRE :• Cécile Guillou, 1er adjoint : Politique de la villeet cohésion sociale, développement durable,Maison pour la vie citoyenne et l’accès au droit,démocratie de proximité, administration générale.• Jacques Ménard : Finances, budget, état civil,élections, systèmes d’information• Isabelle Debats : Aménagement urbain, hygièneet salubrité des bâtiments• Thierry Burtin : Communication municipale• Françoise Clause : Action scolaire et éducative,déléguée du quartier Carnot-Gambetta, présidentedu CCQ• Jean-Luc Leclercq : Développement économique,emploi et formation professionnelle• Béatrix Roberti : Solidarité, famille, handicap• Jean-Louis Testud : Actions et relations interna-tionales, coopération décentralisée, fêtes etmanifestations, vigne de Suresnes, affaires fluviales• Isabelle Florennes : Jeunesse, déléguée du quar-tier Plateau Ouest, présidente du CCQ• Amirouche Laïdi : Voirie, transports, circulation,propreté• Christiane Baudat : Bâtiments communaux,sécurité des bâtiments et des manifestations• Jean-Pierre Respaut : Culture• Béatrice de Lavalette : Ressources humaines,quartier République, présidente du CCQ• Loïc Degny : Sports, logement• Isabelle Mégret : Commerce et artisanat, marchés forains, déléguée du quartier Centre-ville,présidente du CCQ

LES CONSEILLERS MUNICIPAUX DÉLÉGUÉSAUPRÈS DU MAIRE :• Aline Béjean-Lebuisson : Santé• Stéphane Perrin-Bidan : Parcs et jardins• Gunilla Westerberg-Dupuy : Relations presse etmedia, jumelage, égalité des chances• Louis-Michel Bonne : Protocole, vie associativeet accueil des nouveaux Suresnois, délégué duquartier Cité-jardins, président du CCQ• Nassera Hamza : Petite enfance• Daniel Montet : Sécurité publique, réparationpénale, prévention de la délinquance, chargé desanciens combattants, associations patriotiques etpolice municipaleLES CONSEILLERS MUNICIPAUX DÉLÉGUÉS :• Claude Lauter : Urbanisme, commande publique,garage municipal• Christian Duez : Seniors• Guillaume Boudy : Développement durable etprospective, délégué du quartier Liberté, présidentdu CCQ• Edith Parastatidis : Citoyenneté• Dan Hoang : Emploi et formation professionnelle• Josée Tilquin : Pompes funèbres et cimetières• Gérard Audebert : Médiateur de la commune• Delphine Vanner : Aide aux victimes d’infractions

NOUVEAUX HORAIRESDES MAIRIES ANNEXES :

• LES SORBIERS : mardi et jeudi de

8h30 à 12h• LES CHÊNES : mardi de 14h à 18h

Les annexes sont fermées en

juillet et en août et pendant les

congés scolaires.

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GUY PROVOST est décédé le 6 janvier dernier dans sa 81e année. Ingénieur diplômé du Conservatoire nationaldes Arts et métiers, officier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du mérite, commandeur desPalmes académiques, Guy Provost était aussi président du comité de Suresnes de la Société d’entraide desmembres de la Légion d’honneur, vice-président de la section des Hauts-de-Seine Nord de la Légion d’honneur,administrateur de l’association nationale des combattants volontaires de la résistance des Hauts-de-Seine, admi-nistrateur de l’Office national des anciens combattants des Hauts-de-Seine, secrétaire généralde l’association pour la recherche des moyens de lutter contre les maladies cardio-vasculaires (Adetec). Sesobsèques ont été célébrées en l’église du Cœur immaculé de Marie à Suresnes, devant une foule émue. Le maire et le conseil municipal présentent leurs condoléances à son épouse, ses enfants et petits-enfants.

TRAVAUX VOIRIE :

1. La construction d’un groupe scolaire, d’une cuisine

centrale et d’une salle de restauration, rues Carnot et Gambetta. - L’ÉCOLE : le gros œuvre est terminé. Les réseaux techniques d’électricitéet de ventilation, la réalisation en ateliers des menuiseries extérieures, et lamise en œuvre de l’étanchéité de la terrasse végétalisée sont en cours.- LA CUISINE CENTRALE : le gros œuvre est presque terminé et les travauxd’implantation des réseaux d’assainissement dans le parking ont commencé.L’ensemble du chantier (école et cuisine) devrait être terminé fin 2010.

2. Rue des Bourets, côté piétons : réfection du dallage à compter du 15 février,durée : 6 semaines. L'accès aux commerces sera toujours possible, des amé-nagements seront faits en conséquence.

3. Rue Voltaire : travaux d'enfouissement des réseaux (France Télécom, Noos,Numéricable), et changement des candélabres (amélioration éclairage public),durée : 6 mois.

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INFOS TRANSPORTS PUBLICS :

En attendant une modification en cours denégociation avec la RATP et le STIF (Syndicatdes transports d’Ile-de-France) du circuit dela ligne 93 d’autobus, le circuit de l’AS Répu-blique est étendu et dessert maintenant le hautdu quartier Carnot-Gambetta, avec la créationd’un nouvel arrêt près du collège Jean Macé, et la suppression des arrêtsrue du Mont-Valérien et angle rues Fizeau / Desbassayns de Richemont.

LES HORAIRES DE DÉPART AVENUE DU GÉNÉRAL DE GAULLE SONT LESSUIVANTS : 7h15 / 7h55 / 8h35 / 9h15 / 9h55 / 10h35 / 11h15 / 11h55 /12h35 / 13h15 / 13h55 / 14h35 / 15h15 / 15h55 / 16h35 / 17h15 / 17h55 /18h35 / 19h15 du lundi au vendredi. Le samedi et les jours fériés (autreque le dimanche) 1er départ à 7h55, dernier à 18h35.Renseignement complémentaire : Accueil mairie ou au 01 41 18 17 31.

ETAT CIVIL :

NAISSANCE : 2/12 : Raphaël Cohen • 3/12 : AyatBachir Bouiadjra, Tia Vezina • 6/12 : Nolanne Bras-seleur, Salma Amimer • 7/12 : Mélina Lopes • 8/12 :Gabriela Mendes Costa, Luis Leite, Ruben Leite,Océanne Le Gall • 10/12 : Louisa Bart, Alicia Sok--Gander • 11/12 : Valentine Guyot, Léa Hadda • 13/12 :Talia Ekame--Bellet, Naomie Munzila, Gabriel Rocha,Nylla Cavalier • 14/12 : Thierry Andiva, ThéodoreBroage, Emmy Pretti • 15/12 : Isaac Zribi, Jade Lob-jois-Blanchet, Aloïs Cléry--Bernard • 16/12 : JulieBokem, Colette David, Ella Verbeke • 17/12 : ArnaudLogbo, Aurélien Fradin, Lyna Miled, Anne-Gaëlle Pit-rel, Salomé Andreu, Thomas du Roure de Beaujeu,Rose Lannes • 18/12 : Marie-Céline de Ruffray, LéoCunha • 19/12 : Anatole Morice • 20/12 : Jean Bru-niau, Sacha Mouton--Henriot, Lola Mouton--Hen-riot, Romane Herou • 21/12 : Valentino Bich • 22/12 :Naomi Rochelle • 23/12 : Léo Hoeffler, SimonLauque, Nathanaël Lembert--Bouchaut • 26/12 :Anouck Le Chatelier, Antoine Evrard • 27/12 : AdrienPaquet • 30/12 : Souleïmane Ramdani.

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MARIAGE : 10/12 : Stéphane Jacolot et Rachel Chau-meil • 12/12 : Jean-Marc Colombel et Sugi Lim, LucCormorand et Salamatou Ebouely, Eric Moreau etHouria Abdellaoui.---------------------------------------------------

DÉCÈS : 27/11 : André Varoteaux • 5/12 : Andrée Grallveuve Touillez • 7/12 : Jean-Pierre Blanchard,Jacques Bernardet • 10/12 : Valérie Pioger épouseBoissinot • 11/12 : Paul Charpignon, Jean Dubois •13/12 : Jean Berardi • 15/12 : Joseph Decarpigny,Claude Jacquin • 16/12 : Michel Desclos • 20/12 :Raymonde Guelle veuve Finance • 22/12 : JeanGaillard • 27/12 : Lydie Etoc veuve Duperray.

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Suresnes pratique

Informations

M É M O

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

RECENSEMENT :Si votre logement fait partie de l’enquête de recensement annuel,vous avez reçu la visite d’un agent recenseur qui vous a remis unquestionnaire à remplir. Si vous n’avez pu le remettre directe-ment à l’agent, vous pouvez le déposer en mairie, et ce, avantle 27 février 2010.Service élections / bureau de l'état civil, 2 rue Carnot, du lundi auvendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h (fermé le jeudi matin,nocturne jusqu'à 19h / fermeture à 17h le vendredi), et le samedide 9h à 12h. Rens. au 01 41 18 16 16.

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Tél. : 01 34 34 43 60 - Fax : 01 34 34 43 61

Siège social114, rue du Général de Miribel

92500 RUEIL MALMAISON

Bureaux et correspondance218, rue Michel Carré

95870 BEZONS

SPORTS ETPAYSAGES SEPA- ESPACES VERTS

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6, avenue de la République - 91560 CROSNEwww.pps-sa.fr - E-mail : pps-sa@wanadoo.fr

TÉLÉPHONE : 01 69 48 18 84 J.M.T É L É C O P I E : 0 1 6 9 4 9 1 5 1 6

Peintures - RavalementRevêtements sols - Murs

DécorationVitrerie - Miroiterie

Mettre en œuvre vos projets

MiroiterieGlacesDouble vitrage

SerrurerieBlindage de porte

FenêtresBois - Aluminium - PVC

VoletsRoulants électriques avec télécommandeBattants : bois, PVC, alumi-nium

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Remise 15%

sur présentation

de cette annonce

LUNDI 1er FÉVRIER :Loto, à 14h et goûter (2 €), organisé parAccueil et Loisirs, 29 ter rue Albert Caron.Rens. 01 47 28 85 00.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- VENDREDI 5 FÉVRIER : Conférence, à 20h30 à la médiathèque, deMaître Gildard Guillaume sur les massacresde septembre 1792, présentée par la SociétéHistorique de Suresnes. Entrée gratuite.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Je ne sais quoi, au théâtre Jean Vilar. Voir p.35.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- SAMEDI 6 FÉVRIER : Loto, à partir de 20h au réfectoire du centreaéré des Landes, organisé par le Lions Club.Voir p.29.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DIMANCHE 7 FÉVRIER :Chansonniers, au théâtre des Deux ânes (60 €), organisé par les Veillées comunales.Rens. 01 47 28 02 09 / 06 64 37 71 14.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Coma idyllique, au théâtre Jean Vilar. Voir p. 35.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- LUNDI 8 FÉVRIER : Jeux de société, à 14h, et goûter, organisé par Accueil et Loisirs, 29 ter rueAlbert Caron. Rens. 01 47 28 85 00.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- SAMEDI 13 FÉVRIER : Ivanov, au théâtre Jean Vilar. Voir p. 35.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DU MERCREDI 10 AU DIMANCHE 14 FÉVRIER : Le cas Jeckyll, au théâtre Jean Vilar. Voir p.35.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

--------------- LUNDI 15 FÉVRIER : Animation, (danses, chansons, jeux…) à 14h,et goûter festif (2 €), organisé par Accueil etLoisirs, 29 ter rue Albert Caron. Rens. 01 47 28 85 00.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- VENDREDI 19 FÉVRIER : Réunion d’informations collectives, pour les familles nouvellement inscrites etles familles ayant un enfant à naître en avril2010. De 9h30 à 11h30, salle polyvalente dela médiathèque. Rens. au 01 41 18 19 64(service petite enfance).

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L’agenda de FÉVRIER

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

Suresnes pratique

Informations

JEUDI 11 FÉVRIER :Visite guidée de l’espace Dali, suivie d’un goûter à Montmartre. Tarif : 19 €

MARDI 16 FÉVRIER :Conférence « L’aventure surréaliste », à 14h30 au foyer Payret Dortail. Tarif : 5 €

JEUDI 18 FÉVRIER : Séance cinéma au Capitole. Penser à vous munir de votre ticket du mois de février.Forfait annuel : 10 €

VENDREDI 19 FÉVRIER :Jeu surréaliste « Le cadavre exquis » et quiz sur le surréalisme à 14h au foyerPayret Dortail. Gratuit.

INSCRIPTIONS DU 7 AU 12 FÉVRIERde 9h à 12h, au 7 rue du Mont-Valérien pour la sortie au musée Cluny, le 11 mars (deux visites guidées, de 14h à 15h : Enluminure, et de 15h15 à 16h15 :Les artistes du moyen-âge et les artisans). Tarif : 18 €.

RENSEIGNEMENTS : Unité animations seniors au 01 41 18 18 46.

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LES RDV DES SENIORS

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- LUNDI 22 FÉVRIER : Jeux divers, par équipe à 14h, et goûter,organisé par Accueil et Loisirs, 29 ter rueAlbert Caron. Rens. 01 47 28 85 00.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- MARDI 23 FÉVRIER : Goûter-conférence, à La Coupole à Paris Rens. 01 47 28 02 09 / 06 64 37 71 14.-------------------------------------------------------------------------------------------------------------

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Suresnes Terre d’Avenir / GROUPE SOCIALISTE

Nous ne pouvons pas commencer notre tribu-ne mensuelle sans exprimer notre tristesse etnotre soutien envers la population haïtienne

qui a subi il y a maintenant quelques jours unecatastrophe naturelle d'une ampleur excep-tionnelle.La communauté internationale a répondu pré-sente face à l'urgence de la situation, maisc'est aussi sur le long terme que Haïti aurabesoin de soutien aussi bien financier quelogistique pour arriver à se reconstruire.Nous souhaitons que Suresnes, qui entretientune coopération avec la ville du Cap Haïtien,continue à soutenir l'administration localepour que la reconstruction du pays se fasse leplus rapidement possible.

* * *

Chaque année, le maire s'adresse aux acteurspolitiques, économiques, associatifs deSuresnes, voire du département, lors de lacérémonie des vœux.L'année dernière, nous l'avions déjà interrogésur les frais qu'une telle réception pouvait engen-drer (sans réponse précise d'ailleurs), alors quede nombreuses collectivités territoriales – detoutes couleurs politiques - faisaient le choixsymbolique, mais aussi porteur de sens, de sup-primer ces moments « festifs » en pleine crise.Par exemple, près de nous, la ville de Colombesa préféré transmettre 10 chèques de 5000 € àdes associations municipales en lien avecl'insertion professionnelle et la lutte contre laprécarité.Plus près de nous encore, la ville de Rueil-Malmaison, en intercommunalité avec Suresnes,a supprimé ses vœux depuis 2 ans par soucid'économies.

A Suresnes, le maire est loin de faire ce

choix.

Concernant la carte de vœux, nous nesommes pas sûrs qu'elle corresponde àl'image que les Suresnois se font de leur ville,ainsi qu'à l'excellence environnementale quenotre maire dit porter, avec ses multiplesrecto verso en papier glacé, sans même parlerdu prix qu'elle a coûté à la ville, donc auxSuresnois.Au-delà du fait que cette cérémonie représen-te un budget important, nous regrettons que lemaire ne s'adresse qu'aux corps constitués, etplus encore qu'il ait présenté un discours à

côté des enjeux suresnois.

Le maire a ainsi longuement défendu, dansune salle plongée dans la pénombre, (maisdécorée pompeusement), le débat actuel surl'identité nationale, en vantant sa pertinence!Pourtant, l'année 2009 a été dure pour denombreux Suresnois, 2010 ne s'annonce pasbeaucoup mieux. Le maire aurait pus'adresser aux Suresnois afin de présenter lesprojets structurants de la ville pour l'année àvenir, et pour leur assurer que la communerestera à leurs côtés pour traverser les diffi-cultés économiques et sociales.Cette cérémonie nous laisse un goût d'autantplus amer que les services de la ville doivent

se serrer la ceinture pour tenir les budgets.

Un geste fort, parmi tant d'autres possibles,aurait été de transférer l'argent des vœux versle Centre Communal d'Actions Sociales, pouréviter l'augmentation des tarifs des anima-tions séniors (les activités de prévention duvieillissement et de l'isolement comme lesactivités d'animation, manuelles ou créatives),et augmenter le budget consacré aux finan-cières d'urgence.La municipalité aurait aussi pu faire le choixd'augmenter l'enveloppe de la caisse desécoles pour qu'elle ait les moyens d'aider unplus grand nombre de familles à payer la can-tine des enfants, ou à financer un plus grandnombre de voyages pour les enfants qui nepourront pas partir en vacances cet été.Comme le gouvernement, la municipalitéopère des choix politiques assumés.« L'audace sereine » (!!!), qui est le nouveauslogan du maire et de sa majorité UMP pourSuresnes, met en avant une communication àoutrance qui cache les lacunes d'une équipemunicipale plus soucieuse de ses privilègesque du bien-être des Suresnois.Nous sommes en total désaccord avec ceschoix, et nous ne manquerons pas de le direlors du prochain débat d'orientation budgétaire.SURESNES TERRE D’AVENIR

01 47 28 76 73 / 06 13 41 40 91

ps92150@gmail.com

Au service Maternité de l'Hôpital Foch de Suresnes, on nelésine pas sur les mesures de lutte contre la propagationdu virus A(H1N1) : suppression des coursd'accouchement, interdiction des visites aux mamans(sauf le père du bébé) etc... Mais dans le même hôpital,dans le même service, au même moment, on trouve un

étage en état de siège : 6 gardes du corps en journée,des chambres réservées pour la famille et le personnelde maison, des visites incessantes, un room-servicedigne des grands hôtels ...En cette mi-janvier, Solal Sarkozy nous a fait « l'hon-neur » de naître à Suresnes ! Et évidemment, quand onnaît « petit-fils d'omniprésident », entre autres privi-lèges hérités, on est intouchable, même par la grippeA(H1N1), et cette immunité s'étend également à toute lafamille, aux amis, au personnel de maison...

Toute la cour, en somme !Mais si l'hôpital de Suresnes est fiable et réputé, la villen'est pas pour autant jugée digne de cette publicité : offi-ciellement, « l'omni-petit-fils » est né à... Neuilly, évi-demment !L'hypocrisie gouvernementale n'a donc plus de limite, etle ridicule ne tue toujours pas, pire : il se reproduit !Les Verts-Suresnes, Viviane MEILHAC, 4 rue du Clos des Ermites - 92150 Suresnes. Mail : v.meilhac@suresnes.fr

Le président de la République lors de sesvœux a salué la résistance de la France dansla crise, grâce au modèle social français.Puis, dans la phrase suivante il indiquait laréforme destructrice qu’il comptait mettreen place pour les retraites. Mais personnen’est dupe !Il est certain que le « problème » desretraites n’est pas la durée de cotisationsau-delà de 60 ans mais bien l’organisationpar la droite de la faillite du système parrépartition. Pour preuve, les exonérationsdes cotisations sociales patronales (soitdisant pour créer des emplois avec lesrésultats que l’on connait) qui s’élèvent pour2009 à 30,7 milliards soit quasiment autantque le déficit prévu en 2010.Plutôt que de rétablir les cotisations patro-nales le gouvernement UMP propose avec

ses amis du MEDEF de pérenniser le systè-me de retraite par l’allongement de la duréede cotisations. Et oui ! Pour eux c’est vousqui devez payer alors que c’est vous qui pro-duisez les richesses dans les entreprises !A l’évidence, cela ne résoudra rien. Maisaura comme conséquence grave que pluspersonne ne puisse prendre sa retraite à 60ans avec un haut niveau de remplacement.Souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps, ilnous vantait un système de retraite parcapitalisation ; celui-là même qui a prouvéson inefficacité et sa faillite au début de lacrise et qui a eut pour effet de laisser desmillions de retraités dans les pays quiavaient fait ce choix sans aucun revenu pourvivre.MOBILISONS-NOUS CONTRE CE PROJETCOMME NOUS L’AVONS FAIT QUAND LA

DROITE VOULAIT IMPOSER LA RETRAITEPAR CAPITALISATION.Opposons au choix de l’individualisme etde la finance, la solidarité intergénéra-tionnelle !Soyez sur que vos élus communistesseront toujours avec vous dans les luttes àSuresnes dans chaque quartier commedans toute la France.

GISÈLE CAILLOUX : 06 84 43 59 53

RODOLPHE BALENSI : 06 74 72 01 94

PAULE BALLUT : paule.Ballut@orange.fr

Xavier Iacovelli Aurore Gillmann Mehdi Bournissa Chloé Trividic Nicola D'Asta

LES VERTS-SURESNES

Tous ensemble à gauche pour Suresnes / GROUPE COMMUNISTES ET APPARENTÉS

N° 206 / Février 2010 / SURESNES MAGAZINE

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Une manipulation sans précédent : il n’y aurait pas d’argent pour les retraites ? !

Les Sarkozy, une famille d'exception !

Gisèle Cailloux Rodolphe Balensi Paule Ballut

GROUPE D’UNION DE LA MAJORITÉ

La parole est aux groupes

Février

SURESNES MAGAZINE / Février 2010 / N° 206

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SURESNES, SOLIDAIRE D’HAÏTI

La catastrophe qui vient de dévaster Haïti nous a profondé-ment bouleversés par son ampleur et par l’acharnement dela nature contre ce pays qui connaissait, déjà auparavant, desconditions de vie très dures pour la population.

J’ai été d’autant plus touché par ces terribles événements,que je connais bien ce pays et ses habitants, pour m’y êtrerendu à plusieurs reprises, de même que le Maire, M.Christian Dupuy, dans le cadre des accords de coopération

décentralisée qui nous lient depuis 12 ans à la ville du Cap-

Haïtien.

A travers ces déplacements sur le terrain, j’ai appris d’unepart à aimer les Haïtiens et leur culture (notamment larichesse de leurs arts et de leur littérature), mais aussi àcomprendre les difficultés de ce pays et les obstacles quis’opposent à son développement.

Face à la pauvreté et à l’urgence sanitaire, nous avons tou-

jours eu une seule volonté : agir efficacement. Je crois pro-fondément que la coopération décentralisée est un desmodes d’action les plus efficaces pour accompagner nosamis haïtiens sur la voie de la démocratie et du développe-ment.

En effet, l’objectif de notre engagement est d’inscrire, aucœur d’un partenariat durable, des actions de transferts decompétence et de renforcement des institutions démocra-tiques, afin de permettre aux élus et aux fonctionnaires du

Cap-Haïtien, de se réapproprier les institutions dont ils ontla responsabilité et d’assumer pleinement leurs préroga-tives.

Ce partenariat est fait d’échanges, de respect etd’apprentissages mutuels. C’est pourquoi, malgrél’instabilité politique, Suresnes a réussi à nouer des liens

profonds avec l’ensemble des acteurs locaux du Cap-

Haïtien et grâce à cela, à aider à la mise en place et à laréussite de projets d’envergure.

Ces projets sont de plusieurs ordres, mais on peut citernotamment :

- le renforcement de la mairie du Cap-Haïtien

grâce à des transferts de compétences entre cadres tech-niques et administratifs,

- la création d’une décharge contrôlée et la mise

en place d’une collecte organisée en lien avec l’AgenceFrançaise de Développement, pour faire face à une situationdramatique sur les plans sanitaire et écologique,

- la préservation du patrimoine historique de lavieille ville, en collaboration avec l’Université de la Sorbonne,

- le soutien à la scolarité au Cap-Haitien, à traversl’aide apportée, conjointement avec le Conseil Général desHauts-de-Seine, à l’Ecole Française du Cap

JEAN-LOUIS TESTUDadjoint au maire délégué aux actions et relations internationales, coopération décentralisée, fêtes et manifestations.

- le renforcement de l’hôpital Justinien du Cap :

Suresnes a mis en relation le CHU d’Amiens et l’hôpitalJustinien afin qu’ils engagent une coopération hospitalière.

Nos actions s’inscrivent en outre dans le cadre des objectifsfixés par le Sommet de Copenhague, car des enjeux plané-taires et vitaux comme la préservation des ressources et laprotection de l’environnement sont entre les mains des auto-rités locales des pays en voie de développement. Notre rôle

est de les aider à relever ce défi. A l’heure de la mondialisa-tion, dans une ville comme la nôtre qui accueille de nom-breuses entreprises étrangères et les sièges sociaux degrands groupes internationaux, nous ne pouvons pas ignorerces enjeux.

Face aux nombreuses urgences, de tous ordres, auxquellesHaïti et le Cap-Haïtien vont être confrontés dans les semaineset les mois qui viennent, il est de notre devoir, plus que

jamais, d’être aux côtés de nos amis haïtiens.

Malgré la douleur et le chagrin, devant les morts toujoursplus nombreux, nous devons penser à l’avenir et à la recons-truction.

Au-delà des actions d’aide d’urgence que nous avons enga-gées immédiatement, pour attribuer une subvention excep-

tionnelle, récolter des fonds, envoyer du matériel médical

ou mobiliser nos partenaires, notre solidarité doit se décli-

ner sur le long terme. Dans ces circonstances, les apportsde la coopération décentralisée seront précieux pour servirde relais à l’aide internationale, aider la municipalité du Capà s’organiser face à l’afflux de réfugiés et créer les infra-structures nécessaires.

La situation que nous rencontrons en Haïti est plus drama-tique encore que celle qui avait frappé l’Indonésie à la suite duTsunami. Je ne doute pas qu’une fois de plus nos conci-

toyens démontreront leur grande générosité.

Au nom de nos partenaires du Cap-Haïtien, je tiens à remer-

cier tous les Suresnois qui feront preuve de leur solidarité

en transmettant leurs dons pour venir en aide aux sinistrés,ainsi que les agents municipaux qui se sont mobilisés pouracheminer l’aide d’urgence.

A Suresnes, la solidarité n’a pas de frontières.