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20 février 2020

Système de combat aérien futur (SCAF) : lancement du démonstrateur Jeudi 20 février, Florence Parly, ministre des Armées, Annegret Kramp-Karrenbauer, ministre de la Défense de la République fédérale d’Allemagne et Ángel Olivares Ramírez, secrétaire d’État auprès de Margarita Robles, ministre de la Défense du Royaume d’Espagne, ont signé le contrat du démonstrateur de l’avion de combat de nouvelle génération, composante essentielle du SCAF. Les premiers vols d’essai de ce prototype sont prévus pour 2026.

La France, l’Allemagne, et plus récemment l’Espagne, ont l’objectif ambitieux de doter leurs armées respectives d’un système de combat aérien de nouvelle génération, comprenant un avion de combat, des drones d’accompagnement et un cloud de combat, « le système de systèmes » qui leur permet d’être connectés et d’interagir.

Avec la signature de ce contrat, les trois pays ont entériné leur décision de développer le démonstrateur du futur avion de combat européen. Il s’agit d’une avancée majeure pour ce projet de coopération européenne historique en matière de défense.

« Un projet moderne compétitif à la hauteur des enjeux stratégiques, technologiques et industriels de

demain » Florence Parly.

Le SCAF est le résultat de l’expression d’un besoin militaire commun. Impératif opérationnel pour le combat aérien de la seconde moitié du 21ème siècle, il permettra à la France de tenir son rang militaire et d’assumer ses ambitions stratégiques. Par ailleurs, l’avion européen du futur sera un puissant levier d’intégration des armées de l’Air européennes.

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La ministre des Armées en Méditerrannée orientale sur le porte-avions Charles-de-Gaulle

Mardi 18 février, Florence Parly a rejoint le Groupe aéronaval (GAN) qui participe actuellement à l'opération Chammal, volet français de la coalition internationale contre Daech. Elle s'est également rendue à Chypre afin de rencontrer les autorités du pays et échanger sur la situation sécuritaire de la région.

À bord du porte-avions Charles-de-Gaulle, après une présentation de la mission, la ministre s’est adressée à l’ensemble de l’équipage. De retour de Munich où elle a participé à la réunion des principaux ministres de la défense de la coalition anti-Daech, elle a réaffirmé la détermination de la France à poursuivre le combat : « la lutte contre le terrorisme est notre première priorité à tous. […] C’est pourquoi, sur tous les fronts, la France maintient son engagement ». Dans son allocution, elle a souligné l'importance de la présence du GAN,« signal de paix [...] en Méditerranée orientale » qui permet de porter «cette liberté chère entre toutes aux marins : celle de naviguer ».

À Nicosie, Florence Parly a rencontré le président chypriote, Níkos Anastasiádis ainsi que le ministre de la défense, Savvas Angelides. Ces échanges ont permis à la ministre d'évoquer la situation sécuritaire de la région, confrontée à la crise migratoire liée au conflit syrien et aux tentatives d'intimidation de ses voisins. La ministre des Armées a également rappelé l'importance que la France accorde à sa relation avec Chypre et sa détermination à contribuer au respect du droit maritime international.

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Déplacement de la ministre des Armées à Munich

Les 14 et 15 février, Florence Parly s'est déplacée à Munich (Allemagne) afin de participer à la réunion de la coalition anti-Daech (Defeat - ISIS) et d'assister à la Munich Security Conference (Wehrkunde), prestigieux rendez-vous international de réflexion stratégique, où le Président de la République, Emmanuel Macron, s’est exprimé. À cette occasion, la ministre s'est aussi entretenue avec plusieurs de ses homologues.

Réunion de la coalition anti-Daech à Munich Cette rencontre, réunissant les ministres de la défense du groupe restreint de la coalition anti-Daech (Allemagne, Australie, Belgique, Canada, Danemark, Etats-Unis, Espagne, France, Italie, Nouvelle-Zélande, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni), s'est tenue au moment où l’opération Inherent Resolve reprend progressivement ses opérations en appui des forces de sécurité irakiennes, partiellement suspendues après la frappe américaine contre Q. Soleimani. Cette réunion a permis aux ministres présents de réaffirmer la détermination des membres de la coalition à s’engager pour la défaite durable de Daech tout en améliorant la coordination avec les autorités irakiennes.

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La ministre des Armées et son homologue australienne réaffirment leur engagement pour le Future Submarine program

Le 14 février, Florence Parly et Lynda Reynolds, ministre de la Défense australienne, ont passé en revue la mise en oeuvre de l'Accord de partenariat stratégique qui forme la base du Future Submarine Program (FSP). Dans un communiqué conjoint, elles ont réaffirmé leur plein engagement envers le FSP, son calendrier et la montée en charge des capacités industrielles australiennes. Les deux ministres se sont également accordées sur un processus de suivi de la mise en oeuvre du programme, sur une base trimestrielle en 2020, avec une réunion en France prévue en avril et une autre en Australie à mi-année. Enfin, elles ont rappelé leur détermination à travailler ensemble pour faire de ce programme « essentiel pour nos deux pays et pour notre partenariat stratégique », un succès.

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Déplacement de la ministre au 132e régiment d'infanterie cynotechnique

Jeudi 20 février, la ministre des Armées s'est rendue au 132e Régiment d’infanterie cynotechnique (132e RIC) de Suippes (Marne) à la rencontre des femmes, des hommes et des chiens de l’armée de Terre. Elle a également échangé avec des jeunes volontaires du Service militaire volontaire (SMV) à Châlons-en-Champagne.

Le 132e RIC assure toutes les missions spécifiques liées à l’emploi des chiens militaires. Cette caractéristique fait de ce régiment une formation unique en son genre dont la vocation est de préparer un binôme homme-chien indissociable capable d’apporter un appui spécialisé aux unités de combat.

Le SMV est un dispositif d’insertion professionnelle des jeunes de 18 à 25 ans. Véritable tremplin vers l’emploi, ils bénéficient d’un cadre militaire structurant pour acquérir et partager des valeurs fondamentales qui les aideront plus tard à accéder au monde du travail.

Ci-dessous la brève de l'armée de Terre pour plus d'informations sur 132e RIC

Visite de Geneviève Darrieussecq dans le Var Jeudi 13 février, Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées, était dans le Var pour inaugurer le Pôle écoles Méditerranée (PEM) de Saint-Mandrier, un ensemble sportif rénové dans le cadre de la Loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025. Elle s'est également rendu au Mont-Caume, site pilote du programme européen « Life Defense Nature 2mil » en faveur de la biodiversité des sites militaires.

Le PEM est le plus important organisme de formation de la Marine nationale. Il regroupe quatre écoles :

des systèmes de combat et des opérations aéromaritimes ; des systèmes, technologies et logistique navals ; de plongée ; des matelots.

Le PEM accueille depuis 2018 une antenne de l’école de Maistrance. Du matelot à l’officier, il délivre environ 400 formations pour un flux annuel de près de 8 000 élèves et stagiaires.

Le Mont-Caume, site appartenant au ministère des Armées, possède un écosystème favorable à de nombreuses espèces végétales et animales (chauves-souris, oiseaux nicheurs, migrateurs etc.). Dans le cadre de « Life Defense Nature 2mil » 2012-2017, il a bénéficié d’actions de préservation de cette biodiversité : restauration de 10,4 ha de végétation originelle ; création d’1,5 km de circuit pédagogique pour limiter l’impact de la circulation sur la végétation ; rénovation de gîtes d’hibernation et de reproduction des chauves-souris.

Déplacement de la secrétaire d'État à Limoges Geneviève Darrieussecq s'est rendue, lundi 17 février, à Limoges (Haute-Vienne) pour visiter les entreprises Texelis et Arquus, deux acteurs industriels essentiels du programme SCORPION.

Concepteur et fabricant de solutions de transmission de puissance et de portance des véhicules roulants et des transports collectifs (ponts moteurs, essieux), Texelis assure avec Nexter le développement et la production du Serval (véhicule blindé multi-rôle léger). Arquus, au sein du Groupement momentané d’entreprises (GME) constitué avec les sociétés Nexter et Thales, assure le développement et la production du Griffon (véhicule blindé multi-rôle).

Geneviève Darrieussecq a également présidé la signature d'une convention entre la Garde nationale et la ville de Limoges qui accordera à ses agents réservistes des facilités notamment en matière de jours d’absence et de préavis, pour les inciter à s’engager. La politique partenariale menée par le secrétariat général de la Garde nationale a en effet pour objet de susciter la promotion, par les employeurs, de l’engagement de leurs agents, tout en tenant compte des contraintes de chacun.

Signature du nouveau contrat d’objectifs et de performance de l’IGESA

La secrétaire d'État salue la signature, mardi 18 février, par Isabelle Saurat, secrétaire générale pour l’administration, et Renaud Ferrand, directeur général de l’Institution de gestion sociale des armées (IGESA), du nouveau Contrat d’objectifs et de performance (COP) de l'IGESA.

Ce COP donne un nouveau souffle à cet établissement public, opérateur social de la communauté de défense et qui propose à ses 300 000 clients trois offres de :

loisirs et de vacances ; solutions pour la petite enfance ; prêts financiers.

Il permettra à l’établissement de faire monter en gamme ses centres de vacances, d’accélérer la digitalisation pour améliorer la relation-client et d’élargir son offre de loisir.

Par ce nouveau contrat, l’IGESA va contribuer à un meilleur accompagnement social des militaires et des personnels civils, objectif poursuivi par le Plan en faveur des famille lancé en 2018. À ce titre, le ministère des Armées, qui subventionne l’IGESA à hauteur de 71 millions d’euros chaque année, investit 25 millions supplémentaires entre 2018 et 2022 pour des rénovations d’ampleur des centres de vacances.

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Jusqu'au 9 août : exposition « Espions » à la cité des Sciences et de l'Industrie (Paris) 4 mars : colloque de l’armée de l’Air « Au rythme de l’espace et des drones » (Paris)

Du 12 au 15 mars : participation du ministère au Salon mondial du tourisme de Paris Du 16 au 20 mars : Séminaire interarmées des grandes écoles miltaires (SIGEM - Paris) Du 20 au 23 mars : participation du ministère au Salon du livre de Paris

MINISTÈRE

Décès d'un militaire français au Burkina Faso

Le chef d’état-major des Armées a appris avec tristesse la mort, dans le cadre de l’opération Barkhane, au Burkina Faso, le 16 février, du sergent-chef Morgan Henry, du 54e

régiment de transmissions de Haguenau. Le sergent-chef Henry opérait au sein de l’opération Barkhane depuis le mois de novembre 2019. Le chef d’état-major des Armées s’incline devant sa mémoire et adresse ses plus vives condoléances à sa famille et à ses proches, et les assure de la pleine solidarité des armées dans ces circonstances douloureuses. Ses pensées vont également vers ses frères d’armes, à qui il exprime son soutien, et sa compassion.

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Le ministère des Armées exemplaire en matière de gestion des données de santé

Le ministère des Armées a été certifié hébergeur de données de santé par l’Agence du numérique en santé (ANS). Parce que ces données sont sensibles, leur accès est encadré par la loi pour protéger les droits des personnes. La certification « Hébergeur de données de santé » (HDS) décernée par l’ANS confirme la fiabilité des installations d’hébergement des données du ministère des Armées, hautement sécurisées.

L’hébergement de données de santé permettra au ministère des Armées de développer sa connaissance de la population des patients militaires et des pathologies spécifiques : un atout pour améliorer le conseil au commandement, la prévention et les traitements. Il rejoint ainsi les meilleurs professionnels certifiés HDS du monde privé, et devient le premier opérateur au sein d’un ministère à pouvoir proposer une offre de cette nature sur les derniers standards.

Florence Parly, ministre des Armées, salue le travail de la Direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information (DIRISI) et du Service de santé des armées (SSA) qui a abouti à l’obtention de cette certification exigeante.

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ARMÉE DE TERRE

La cynotechnie, une spécialité unique dans l’armée de Terre

L’armée de Terre compte une unité cynotechnique unique en son genre : le 132e RIC implanté à Suippes (Marne). Il assure toutes les missions spécifiques liées à l’emploi des chiens militaires.

Dans l’armée de Terre, la cynotechnie, spécialité du combat de l’infanterie, est utilisée soit pour la sécurisation des installations, soit dans le renforcement d’une unité interarmes (appui au combat débarqué). Ces fantassins fournissent un appui permanent en opérations intérieures et extérieures, à la fois dans l'aide à la détection et à la neutralisation d’adversaires (ADNH), mais aussi dans la recherche d’explosifs et de munitions.

Dans l'ADNH, les équipes cynotechniques, composées d’un chien et de son maître-chien, sont en mesure à la fois de rechercher, détecter, localiser et signaler une présence humaine. Elles savent aussi repérer, suivre, localiser et découvrir à partir d’odeurs un ennemi ou un groupe à pied, statique ou dynamique. Elles peuvent en outre dissuader, défendre, tenir en respect, neutraliser à courte distance un ennemi.

Ces binômes maîtres-chiens/chiens sont également spécialisés dans l’Aide à la recherche et à la détection d’explosif/armement (ARDE) ou de stupéfiants (ARDS).

Le recours à un renfort cynotechnique a un double avantage : garantir à la fois une grande souplesse d’emploi et une importante réactivité selon les situations opérationnelles. Il est aussi un réel appui dans les milieux exigus où l’utilisation des armes est limitée et où les déplacements sont difficiles.

ARMÉE DE L'AIR

Tactical Leadership Program : le détachement français prêt à former de nouveaux chefs de mission

L’exercice Tactical Leadership Program (TLP) est un rendez-vous incontournable pour les 10 pays de l’Organisation du traité de l’atlantique nord (OTAN) participant. Organisé sur la Base aérienne (BA) de Los Lannos, à Albacete en Espagne, ainsi que sur les sites d’Alcantarilla et de Totana pour les unités de défense sol-air, le TLP se déroule du 10 au 28 février 2020.

L’enseignement aérien est découpé en deux phases : la première théorique et la seconde plus pratique visant à développer les compétences et les capacités des futurs chefs de mission, à améliorer l'interopérabilité des forces aériennes de l'OTAN et à fournir un laboratoire volant pour l’emploi de concepts tactiques.

Les équipages français ont débuté le stage théorique le 10 février dernier. Désormais opérationnel, le détachement français a commencé les vols depuis le 17 février.

L’objectif principal du programme TLP, qui a fêté ses 40 ans d’existence en 2018, est de former les équipages chasse à l’art de la COMAO (combined Air Operation – missions complexes mettant en œuvre des raids aériens de grande envergure). Le cours permet aux équipages de décrocher la qualification de chef de mission (Mission commander – MC). In fine, le TLP permet d'accroître l'efficacité des forces aériennes dans le domaine du leadership tactique et de mettre en œuvre voire d’éprouver les initiatives conceptuelles et doctrinales de l’OTAN. Le programme permet également d’instaurer des échanges d'informations riches entre les nations participantes.

Cinq Rafale de la 4e Escadre de chasse de la BA 113 de Saint-Dizier, quatre Rafale de la 30e Escadre de chasse de la BA 118 de Mont-de-Marsan et deux Mirage 2000 de l’Escadron de chasse 2/5 « Ile de France » de la BA 115 d’Orange participent à cette édition. La participation étrangère n’est pas en reste avec quatre Typhoon allemands, quatre F-16 grecs, quatre Typhoon italiens et quatre F-18 espagnols déployés.

Un AWACS de la BA 702 d’Avord, deux Caracal de l’Escadron d’hélicoptères 1/67 « Pyrénées » ainsi qu’un Crotale NG et un SAMP-T Mamba, mis en œuvre par l’Escadron de défense sol-air d’Istres, viennent compléter le dispositif français.

Au total, près de 270 aviateurs sont déployés dont neuf commandos du Commando parachutiste n°30 d’Orléans, présents pour s’entraîner au Combat search and rescue, exercice de récupération de pilote éjecté en zone hostile.

MARINE NATIONALE

Le Contrôle de la condition physique du militaire (CCPM) : étape clé de la préparation au combat En novembre dernier, l’amiral Jean-Philippe Rolland, commandant de la Force d’action navale, rappelait l’importance de « l’endurance, de l’effort, et de la ténacité, pour obtenir les succès en mer ». La réussite de nos missions dans la durée, repose sur la qualité de l’entraînement des équipages.

Cet entraînement au combat s’appuie notamment sur la force physique et mentale de chaque marin. Le marin doit gérer son stress en mission, mais aussi un temps de travail rythmé par des quarts, et des manœuvres se déroulant tant en journée que la nuit. Par mauvais temps, le marin doit combattre le mal de mer et assurer ses fonctions coute que coute. Le service à la mer est un métier hors du commun, qui nécessite une discipline exigeante du corps et de la volonté.

La pratique du sport permet de renforcer la résilience des marins dans la durée, tout en contribuant à l’esprit d’équipage. De ce fait, il est capital que les marins prêtent attention à leur condition physique qui est évaluée chaque année lors du passage des tests CCPM. Ces derniers permettent de mesurer l’endurance cardio-respiratoire, la capacité musculaire générale et l’aisance aquatique. Des barèmes distinguant sexes et âges définissent l’aptitude ou non à l’embarquement du marin.

Au-delà de l’aptitude sportive, les CCPM ont une incidence sur l’avancement et les candidatures des marins. Les sessions de passage des épreuves se déroulent plusieurs fois par semaine et tout au long de l’année. Les moniteurs de sport de la section EPMS (Entraînement physique militaire et sportif) ALFAN organisent également, à la demande des bords, des sessions collectives de CCPM pour les équipages contraints par le temps et les missions.

Le point de situation hebdomadaire des opérations est disponible ici

Barkhane

opérations dans la région de Mopti, le groupement tactique « Acier » en opération dans le Liptako malien, destruction d’un plot logistique terroriste dans le Gourma et focus sur la fonction d’air mission commander en opération

Entretien avec le général Namata, commandant de la

force conjointe du G5 Sahel

Corymbe : exercices de coopération entre le patrouilleur de haute mer Commandant Bouan et la Marine nigériane

Chammal

la Task Force Monsabert forme les officiers irakiens à la tactique générale et première mission opérationnelle de l’A330 Phénix

Éléments français au Gabon (EFG) : Près de 10 000

militaires africains formés par les EFG en 2019

Mission Foch : les Rafale de la Marine nationale

s’entraînent au combat aérien avec leurs alliés

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Produit par la Délégation à l’information et à la communication de la Défense (DICoD) Directrice de la publication : Yasmine-Eva Farès-Emery

Rédacteurs en chef : CC Marie-Christine Berthellet, Chloé Ruard Rédacteurs : Caroline Azzuro, CNE Gaëlle Rothureau, Ninon Aiguesvives CONTACTS MEDIA : 09 88 67 33 33 ou media@dicod.defense.gouv.fr

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