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Association loi 1901, J.O. du 14/04/1993, n°15 Association de Bienfaisance Prix des Droits de l’Homme 2000 JANV-FÉVR-MARS 2018 78 Secrétariat - France : 49 rue Lamartine, 78000 Versailles, + 33 (0) 1 30 24 20 20, [email protected] - Site : www.pse.ong …. il y a peu d’endroits au monde où l’on assiste aussi brillamment à la transformation de petits chiffonniers en écoliers ... pour une vie meilleure et féconde … (M. James Morris, Directeur Mondial du Programme Alimentaire de l’Onu, après son passage à PSE). 1 22 ème tournée … Ghislaine Dufour, Présidente Du 2 mars au 16 mai, Marie- France sera à nouveau sur les routes de France, mordant par- ci par là sur les frontières. 37 soirées, en à peine plus de deux mois, pour donner des nouvelles des enfants au Centre à Phnom Penh et dans les communautés de Siem Reap et de Sihanoukville, 37 soirées pour donner envie à de nouveaux par- rains et de nouveaux mécènes de rejoindre la famille des Pépites. Merci aux 37 équipes qui ont of- fert de prendre le risque de remplir une salle ; beaucoup de "nouveaux " parmi elles. Ils comp- tent sur tous les abonnés de cette lettre pour transmettre le calen- drier de la tournée à leurs amis qui viendraient à se trouver sur son passage … En ce début d’année, FLIP, Family Livelyhood Improvement Program, s’ouvre aux jeunes qui ont décro- ché. Depuis 7 ans, FLIP offre une formation de six mois à des pa- rents en grande difficulté et les aide à développer un petit business grâce au microcrédit. À PSE, nous nous engageons à amener chaque enfant jusqu’à un métier. Les équipes pédagogiques s’efforcent de différencier les parcours et d’ac- compagner chaque enfant de façon individualisée. S’ils décrochent, il faut tenter autre chose ! Nous avons besoin de vous pour cela. Pour certains, pensez à PSE au moment de l’ISF/IFI par exemple. Merci pour votre fidélité. Où l’on reparle de la tournée Oui, le 24 février prochain, nous nous re- mettons en route pour venir vous dire ce qui se vit ici, au Cambodge, et les miracles que, grâce à vous tous, PSE accomplit au quotidien. C’est Sok Sary, qui m’accompa- gnera et témoignera de son parcours depuis que la violence lui a fait quitter sa famille à l’âge de 11 ans, jusqu’à ce jour où, marié et père de famille, d’étudiant dans notre École de Cinéma, il y est devenu professeur. Et, comme l’an dernier, fidèles au poste, ce sont mes sœurs qui, à tour de rôle, pren- dront le volant. À très bientôt la joie de vous retrouver. (Programme en pages 3 et 4) De la misère … à un métier … ça marche ! La misère, elle ne se voit pas forcément au pre- mier abord. Dans un pays qui se développe rapidement, elle se cache et pourrait passer inaperçue. Mais elle existe, cependant, pour des familles qui, à cause du régime khmer rouge, n’ont pas reçu d’éducation et, sans for- mation aucune, ne peuvent pas trouver de tra- vail. Elles survivent alors de petits boulots pré- caires mais n’arrivent pas à monter dans le train du développement. C’est pourquoi l’édu- cation de leurs enfants est capitale. Ils le sa- vaient bien, ces enfants qui, il y a 22 ans déjà, nous demandaient un repas par jour et de pouvoir aller à l’école. Ce fut le démarrage de PSE. Mais il est évident qu’un enfant ne pourra pas étudier sereinement si sa famille est dans la misère, et ne pourra même pas étudier du tout si ladite famille a besoin de son travail pour survivre. Il s’agit donc de scolariser les enfants mais, en plus, de donner à leur famille le mi- nimum pour que la scolarité se passe dans de bonnes conditions. Ces familles, nous les avons classées en 4 catégories, en fonction de leur niveau de pauvreté. La "catégorie 1", les plus pauvres parmi les pauvres, sont ceux qui ont des revenus inférieurs à 1,9 $ par personne et par jour (seuil de pauvreté du Cambodge, en ville). Ils bénéficient de tous les programmes d’aides. Ils représentent plus de la moitié de nos familles : 58%. Ensuite, les "catégories 2", un tout petit peu moins pauvres, qui ont entre 1,9 $ et 2,61 $ par personne et par jour, représentent encore 38% de nos familles. Les "catégories 3", 4% du total, ont entre 2,62 et 3,33 $. Et les "catégories 4", seulement 1%, ont entre 3.35 et 4 $. Ces deux catégories, qui sont à la limite de nos critères, bénéficient de la scolarité et de la formation professionnelle, incontournables pour tous, y compris pour ceux qui sont mal adaptés à l’école, mais participent financièrement en fonction de leur situation et ne bénéficient pas de la totalité des autres programmes..

T 22 Où l’on reparle de la tournée tournée - pse.ong · sans formation, lave des as-siettes et ne gagne pas de quoi faire vivre la famille. ... Il termine son histoire en disant

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Association loi 1901, J.O. du 14/04/1993, n°15 Association de Bienfaisance

Prix des Droits de l’Homme 2000

JANV-FÉVR-MARS 2018

N° 78

Secrétariat - France : 49 rue Lamartine, 78000 Versailles, + 33 (0) 1 30 24 20 20, [email protected] - Site : www.pse.ong

…. il y a peu d’endroits au monde où l’on assiste aussi brillamment à la transformation de petits chiffonniers en écoliers ... pour une vie meilleure et féconde … (M. James Morris, Directeur Mondial du Programme Alimentaire de l’Onu, après son passage à PSE).

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T

22ème tournée …

Ghislaine Dufour, Présidente Du 2 mars au 16 mai, Marie-France sera à nouveau sur les routes de France, mordant par- ci par là sur les frontières. 37 soirées, en à peine plus de deux mois, pour donner des nouvelles des enfants au Centre à Phnom Penh et dans les communautés de Siem Reap et de Sihanoukville, 37 soirées pour donner envie à de nouveaux par-rains et de nouveaux mécènes de rejoindre la famille des Pépites. Merci aux 37 équipes qui ont of-fert de prendre le risque de remplir une salle ; beaucoup de "nouveaux " parmi elles. Ils comp-tent sur tous les abonnés de cette lettre pour transmettre le calen-drier de la tournée à leurs amis qui viendraient à se trouver sur son passage … En ce début d’année, FLIP, Family Livelyhood Improvement Program, s’ouvre aux jeunes qui ont décro-ché. Depuis 7 ans, FLIP offre une formation de six mois à des pa-rents en grande difficulté et les aide à développer un petit business grâce au microcrédit. À PSE, nous nous engageons à amener chaque enfant jusqu’à un métier. Les équipes pédagogiques s’efforcent de différencier les parcours et d’ac-compagner chaque enfant de façon individualisée. S’ils décrochent, il faut tenter autre chose ! Nous avons besoin de vous pour cela. Pour certains, pensez à PSE au moment de l’ISF/IFI par exemple. Merci pour votre fidélité.

Où l’on reparle de la tournée Oui, le 24 février prochain, nous nous re-mettons en route pour venir vous dire ce qui se vit ici, au Cambodge, et les miracles que, grâce à vous tous, PSE accomplit au quotidien. C’est Sok Sary, qui m’accompa-gnera et témoignera de son parcours depuis que la violence lui a fait quitter sa famille à l’âge de 11 ans, jusqu’à ce jour où, marié et père de famille, d’étudiant dans notre École de Cinéma, il y est devenu professeur. Et, comme l’an dernier, fidèles au poste, ce sont mes sœurs qui, à tour de rôle, pren-

dront le volant. À très bientôt la joie de vous retrouver. (Programme en pages 3 et 4)

De la misère … à un métier … ça marche ! La misère, elle ne se voit pas forcément au pre-mier abord. Dans un pays qui se développe rapidement, elle se cache et pourrait passer inaperçue. Mais elle existe, cependant, pour des familles qui, à cause du régime khmer rouge, n’ont pas reçu d’éducation et, sans for-mation aucune, ne peuvent pas trouver de tra-vail. Elles survivent alors de petits boulots pré-caires mais n’arrivent pas à monter dans le train du développement. C’est pourquoi l’édu-cation de leurs enfants est capitale. Ils le sa-vaient bien, ces enfants qui, il y a 22 ans déjà, nous demandaient un repas par jour et de pouvoir aller à l’école. Ce fut le démarrage de PSE. Mais il est évident qu’un enfant ne pourra pas étudier sereinement si sa famille est dans la misère, et ne pourra même pas étudier du tout si ladite famille a besoin de son travail pour survivre. Il s’agit donc de scolariser les enfants mais, en plus, de donner à leur famille le mi-nimum pour que la scolarité se passe dans de bonnes conditions. Ces familles, nous les avons classées en 4 catégories, en fonction de leur niveau de pauvreté. La "catégorie 1", les plus pauvres parmi les pauvres, sont ceux qui ont des revenus inférieurs à 1,9 $ par personne et par jour (seuil de pauvreté du Cambodge, en ville). Ils bénéficient de tous les programmes d’aides. Ils représentent plus de la moitié de nos familles : 58%. Ensuite, les "catégories 2", un tout petit peu moins pauvres, qui ont entre 1,9 $ et 2,61 $ par personne et par jour, représentent encore 38% de nos familles. Les "catégories 3", 4% du total, ont entre 2,62 et 3,33 $. Et les "catégories 4", seulement 1%, ont entre 3.35 et 4 $. Ces deux catégories, qui sont à la limite de nos critères, bénéficient de la scolarité et de la formation professionnelle, incontournables pour tous, y compris pour ceux qui sont mal adaptés à l’école, mais participent financièrement en fonction de leur situation et ne bénéficient pas de la totalité des autres programmes..

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Connaissez vos enfants R et M. Un garçon de 19 ans et une fille de même pas 2 ans. La maman est seule. Chiffonnière la nuit, elle a dû s’arrêter à

cause de problèmes de santé. Malgré son désir d’étudier, l’aîné a résolu d’arrêter ses études pour gagner de l’ar-gent et rembourser les dettes. Difficile de ne rien faire !... Nous avons donc embauché la maman pour un travail social, donné le riz et un sou-tien financier afin que R. puisse continuer ses études. Quant à la petite, trop jeune

pour la garderie, elle passe la journée chez une assistante ma-ternelle. Quelle autre solution, pour que ce jeune puisse aller jusqu’au bout de ses études ?

D, S, M, P et V. L’aînée et la 3ème sont en niveau 3 (=CE2) à l’école publique, financées par PSE, , le 2nd est en prison et les 2 dernières filles, et les deux petites de 4 et 5 ans sont à la maison. L’environnement est catastrophique : drogue, petits voyous, manque d’hy-giène … Le père est parti avec une autre et ne s’oc-cupe pas de sa famille. La mère, encore une maman sans formation, lave des as-siettes et ne gagne pas de quoi faire vivre la famille. Avec 0,70 $ par personne et par jour, on ne peut pas vivre … PSE donne le riz et a inscrit les deux petites à la gar-derie car elles restaient seules à la maison.

L, L, et R. 2 garçons de 7 et 3 ans et une petite fille d’1 an. Le père est drogué et la mère, chiffonnière, aimerait pouvoir travailler parce qu’évi-demment, ils n’ont pas de quoi vivre. Alors nous procurons 2 repas par jour pour les enfants, la scolarité pour l’aîné, la garderie pour le 2nd, le lait et la prise en charge, à la journée, chez une assistante maternelle pour la petite et, bien sûr, le riz. La maman pourra ainsi trouver un travail mais il ne faut pas rêver, comme elle ne sait rien, elle ne gagnera sans doute pas beaucoup et aura besoin de PSE pendant un certain temps encore. car ses enfants, encore petits ne pourront pas l’aider tout de suite … Mais peut-être décidera-t-elle de suivre une de nos formations pour adultes, de façon à gagner davantage avec une vraie expertise.

Les "paillotes", 1ère étape vers la scolarité. Quand il n’y a personne pour s’occuper d’eux, les 3 à 6 ans, en fonction de leur situation de famille, bien évidemment, peuvent bénéficier des classes maternelles.

À Sihanoukville, nous avons 2 paillotes et 5 à Phnom-Penh

Puis, dès 6 ans, la scolarité commence, avec plusieurs sorties vers un métier.

Ensei-gnement Géneral

Rattrapage Scolaire

Parcours Classique

Année 1 Année 2 Année 3 Année 4

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

Université

PSE-I BTS

PSE-I BBA P4

Filière Professionnelle C3

Bac Pro Certifi cat 2

Certifi cat 1

Classe Prépa

Classe Passerelle

Formation Professionnelle

3

Et le résultat : que sont-ils devenus ? SOKNEOU, beaucoup d’entre vous la connaissent puisqu’elle a été une des héroïnes du film Les Pépites. C’est aujourd’hui une jeune fille rayonnante, une de nos plus belles pépites. Je le revois encore, sur la décharge où elle passait ses journées, couverte de la boue infâme dans laquelle elle était tombée … Et la voir aujourd’hui, avec son sourire éclatant, cela

tient du miracle. Après avoir suivi sa scolarité, elle a choisi la forma-tion Cuisine, dans le but d’ouvrir, avec sa sœur qui étudiait en forma-tion Service de Table, leur propre restaurant. Seulement, Sokneou est aussi passionnée de rugby, où elle excelle. Tellement passionnée qu’elle est devenue formatrice. Elle a été embauchée par Kampuchea Balopp, une belle association partenaire, qui œuvre, à travers le rugby, pour l’éducation des jeunes défavorisés. Alors, soyez gentils, si vous la rencontrez, ne lui demandez pas où en est son restaurant car elle se sent en faute, de ne pas travailler dans la cuisine. Mais pour ouvrir son restaurant, il faut bien que, d’abord, elle fasse des économies ! … Et puis, travailler à l’éducation des jeunes et des enfants en difficulté, n’est-ce pas retransmettre ce qu’elle a reçu de PSE ? Non, Sokneou, tu n’as pas à avoir honte. Profite de ta jeunesse pour aider ceux qui sont comme

tu étais quand nous t’avons connue. Tu auras bien le temps, plus tard, de retourner à la cuisine. Nous sommes fiers de toi.

LEN OUN vivait à la campagne. Un jour, à cause de la pauvreté de sa famille, il décide d’arrêter l’école pour venir gagner de l’argent à Phnom-Penh. Mais, trop jeune pour travailler, pendant un an ½, il devient chiffonnier afin de survivre et d’aider un peu sa famille. Chaque jour, il voit passer des enfants avec l’uniforme de PSE. Il rêve d’étudier comme eux ... Avec l’accord de sa famille, il prend alors contact avec l’Équipe Sociale qui vient enquêter, visiter son refuge, lui poser des questions et, peu après, il est accepté. Mais il n’a pas d’endroit où dormir, et doit continue son boulot de chiffon-nier le soir et les weekends. Seulement, comme il ne gagne pas assez, il est mis dehors et dort dans la rue. Au bout de quelque temps, PSE lui fournit de quoi vivre. Heureux, il peut ainsi se consacrer à ses études. Après un rattrapage et la classe Prépa, il choisit la formation Installation Sanitaire et Climatisation et 3 ans plus tard, il quitte PSE avec l’officiel Certificat 1, équivalent au niveau 11 (=1ère). Tout en travaillant, il continue à étudier à l’extérieur, et obtient les Certificats 2 et 3, puis un BTS en Électricité. Après un 1er salaire de 150 $, il passe à 200$, change d’entre-prise pour 350 $ puis 450 au bout d’un an. Et aujourd’hui, il responsable de l’équipe d’électri-ciens de l’une des grandes tours de Phnom-Penh, à 600 $. Ce nouveau salaire lui a permis d’ache-ter sa maison, avec un emprunt complémentaire à la banque. Il termine son histoire en disant : "I would like to say thanks very much to Papy & Mamie. I still keep both of you in my heart forever". Et ce ne sont pas que des mots car il se propose pour venir bénévolement, pendant ses vacances, donner des cours aux jeunes étudiants et leur partager son expérience, espérant ainsi apporter sa pierre à PSE, et motiver la jeune génération à devenir opérationnelle. Une belle histoire !

MARS Ve. 2

Di. 4

Lu. 5

Ma. 6

Me. 7

Je. 8

Ve. 9

Ma. 13

Me. 14

Je. 15

Lu. 19

Me. 21

18 h 15 17 h 00 20 h 15 18 h 30 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15

L-2540 69003 69400 CH-1201 38700 73230 74350 92380 92110 75018 28000

31500

Luxembourg Lyon Gleizé/Villefranche Genève La Tronche St Alban Leysse St Blaise Garches Clichy Paris 18ème Chartres Toulouse

BGL BNP Paribas, oKsigen, 2 rue Edward Steichen Nathalie Prieur. [email protected] Péniche La Plateforme, 4 quai Augagneur (Réservation conseillée) Thierry Gros. [email protected] Salle des Fêtes de Gleizé, rue des Peupliers Bruno Allenet. [email protected] Salle du Faubourg, rue des Terreaux du Temple, 8 Carole Manzon. [email protected] La Faïencerie, 74 grande Rue Sophie Mezeix. [email protected] Salle Communale, 120 route de la Mairie Geneviève Mathian. [email protected] Le Hameau du Père Noël, col du Mont Sion, 75 rue des Alouettes Nicole Vincent. [email protected] Centre Culturel Sidney Bechet, 86 Grande Rue Vincent Rattez. [email protected] Salle Paroissiale St Vincent de Paul, 84 bd. Jean Jaurès Grégoire Bourgue. [email protected] Salle des fêtes, Mairie du 18ème, 1 place Jules Joffrin Damien Messager. [email protected] Cinéma Les Enfants du Paradis, 13 rue St Michel Christian Clavier. [email protected] École St Joseph, 85 rue de Limayrac Bertrand de Gaulejac. [email protected]

(+352) 621 238 512 06 64 84 99 54 06 07 26 88 33 (+41) 79 744 66 97 06 87 68 76 10 06 81 22 53 17 06 26 98 50 79 06 14 91 01 96 06 03 90 05 52 06 20 67 74 63 06 17 01 31 77 06 83 56 64 28

4

AVRIL

MAI

Ve. 23

Lu. 26 Ma. 27 Me. 28 Ma. 3

Me. 4

Je. 5 Ve. 6 Lu. 9 Ma. 10 Je. 12

Sa. 14 Lu. 16

Me. 18

Je. 19 Ve. 20 Lu. 23 Ma. 24 Me. 25 Je. 26 Je. 3 Lu. 14

Ma. 15 Me. 16

20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15 20 h 15

20 h 15

19 h 00 20 h 15

20 h 15 20 h 15 19 h 30

19 h 45

20 h 15

20 h 15

20 h 15

20 h 15 20 h 15 19 h 30 20 h 15 20 h 00 20 h 15 20 h 15

20 h 15 20 h 15

66000 13100 83700 26740 43120

63000 86000 41200 45000 67000 10000 D-60439 59000 80094 37170 50300 85340 56340 17000 40000 64320 78170 91230 78510 92270

Perpignan Aix en Provence St Raphaël Savasse (Montélimar) Monistrol sur Loire Clermont-Ferrand Poitiers Romorantin Orléans Strasbourg Troyes Frankfurt am Main Lille

Amiens Chambray-lès-Tours Avranches Olonne-sur-Mer Carnac La Rochelle Mont de Marsan Bizanos (Pau) La Celle St Cloud Montgeron Triel sur Seine Bois Colombes (près d’Asnières / Seine)

Maison Diocésaine, Parc Ducup, Route de Prades Charley Payré. [email protected] Archevêché, 7 cours de la Trinité (parking place Bellegarde) Thierry de Jabrun. [email protected] Espace Félix Martin, 186 bd. Félix Martin Patrick Fouchier. [email protected] Domaine des Roches Clara Brand. [email protected] Lycée ND du Château (salle d’étude), Montée du Prince Fabienne Danjou. [email protected] Faculté de Droit, 41 bd. François Mitterrand Philippe Farges. [email protected] Lycée St Jacques de Compostelle, 2 av. de la Révolution Nicole Réglade-Babeau. [email protected] Cinéma Le Palace, 9 rue de la Résistance Bertrand Divard. [email protected] La Laurentia, 2 quarter rue Basse d’Ingre Régis et Isabelle Desjonquères. [email protected] INSA - Amphi De Dietrich, 28 bd. de la Victoire Hubert et Nicole Drogue. [email protected] Cours St François de Sales, 11 rue Général Saussier Muriel Hannart. [email protected] Europäische Schule Frankfurt (ESF), Praunheimer Weg 126 Agnès Sebaux. [email protected] ICAM. 6 rue Auber (Parking au fond de la rue Lestiboudois) Philippe de Jenlis. [email protected]

La Providence, 146 bd. de St Quentin Elisabete Bernard. [email protected] IRFSS - Val de Loire, 6 av. Prof. Minkowski (face Pôle Vinci)

Dominique Prost. [email protected] Théâtre, 15 bd. Léon Jozeau Marigné Jacques Brochard. [email protected] Lycée Ste Marie du Port, 95 av. Charles de Gaulle Emmanuel d’Argoeuves. [email protected] Salle du Ménec, 30 chemin du Ménec Pascale de Cournuaud. [email protected] Sup’ de Co, 102 rue de Coureilles (Les Minimes) Bettina Mercier. [email protected] Salle Lamarque Candot, allée Raymond Farbos Pierre Danné. [email protected] Espace Daniel Balavoine, 2 av. de l’Europe Agnès Cambonie. [email protected] Théâtre Municipal, 8 av. Charles de Gaulle Véronique Jeanpierre. [email protected] École Ste Thérèse, 5 rue de l’Ancienne Église Virginie Houdinière. virginie.houdiniè[email protected] Salle St Martin, 1 place de l’Église Benoit et Céline de Quillacq. [email protected] Maison Paroissiale ND du Bon Secours, 31 rue Gal Leclerc Thomas Valleteau. [email protected]

004 68 22 27 38

06 14 71 96 84

06 03 96 26 29

06 28 53 80 29 06 66 79 46 93

06 11 22 31 29 06 68 29 31 65 06 02 23 24 87 06 79 83 45 04 06 07 62 74 71

06 78 25 00 83

+49 152 257 547 15

06 26 27 40 48

06 88 03 06 11

06 33 23 55 36

06 07 97 04 39 06 10 50 74 85 06 03 55 40 71 06 03 98 83 94 06 07 72 37 40 06 17 45 64 49 06 67 66 54 73 06 81 44 06 07 06 14 93 23 90 06 32 57 22 62

Nous recherchons un ingénieur /construction, bénévole, en region parisienne, pour aider à la conception et au suivi des gros chantiers.

Pour aider les familles à s’en sortir

MARS Je. 22

Pour tous ces parents qui n’ont pas eu la possibilité d’étudier ou d’acquérir une formation, notre programme de Family Live-lyhood Improvement Program propose des formations courtes, de 6 mois, car ces pères et mères de famille ont besoin de faire vivre leur famille. Et, pour qu’ils y arrivent, ils reçoivent, pendant toute la durée de la formation, un per diem de 3,5 $ par jour, dont 0,5 mis de côté à titre d’économies. En 2016-2017, sur 79 personnes inscrites, 55 ont trouvé un travail, 11 ont monté un petit business, 5 ont laisse tomber et seules 8 n’ont pas trouvé de travail. Compte tenu de la population défavorisée à laquelle nous nous adressons, près de 87% de réussite, c’est plutôt encourageant ! Actuellement, les formations proposées sont cuisine, mé-nage et couture. Désormais, nous allons aussi étendre ce programme aux ados en échec scolaire, et diversifier les propositions.

04 68 22 27 38