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Numéro 44 — Samedi 15 Novembre 1924. 5 Centimes Quatre-vingt-onzième année. Feuille Politique, Agricole, Commerciale, Industrielle, Scientifique, Littéraire et d'Annonees CHEMINS DE FER. — Pans-Cherbourg : Départ de Yalognes : * h. 21 ai. (expr.) ; 8 h. 33 m. ; 10 h. 46 ni. ; 2 h. 24 s. (expr.) ; 5 h. 31 s. ; 10 b. 30 s. Cherbourg-Paris. — Départ de Yalognes : 6 h. 38 ui. (expr.) (semaine seu- lement jusqu’au 20 décembre inclus) ; ? h. 16 m. ; 10 h. 40 m. (expr.) ; midi 17 ; 5 b. 17 s. (expr): 6 b. 23 s.; 8 h. 42s. (expr.). Vulognes {ville) Barjleur. — Départ de Vaiognes-Ville : 8 h. 22 matin ; 10 b. 36 m. (le vendredi, jusqu’à S'-Martin).); 5 b. 48 s.; 6 h. 39 s. (jusqu’à Sl- Martin. — Bar/leur-Yalognes (ville). — Arrivée à Vaiognes-Ville :7 b. 36 m. (de S'-Martin) ; 8 h. 04 m. ; 3 h. 19 s. (le vendredi, de S'-Martin) ; 5 b. 46 s. REDACTION et ADMINISTRATION : 25, rue Carnot, YALOGNES : Le JOITMAL DS YAL08KES paraît le Samedi Les wavuscrits non insérés ne sont pas rendus. Les lettres et mandata concernant la rédaction et l'administraticit doivent être adressés à M le Directeur du Journal de Yalognes. ABONNEMENTS Ville : 3 fr. 5G; Manche et limitrophes : 4 fr. ; autres départements : 4 fr. 50. Le prix de l'abonnement se paye d’avance. Les recouvrements se font en Décembre. ANNONCES Judiciaires, la ligne 1 fr. ; Diverses 0 fr. 40 ; Réclames 0 fr. 60 ; Locales 0 fr.75 Les annonces sont reçues aux Bureaux du Journal, jusqu'au Jeudi soir. Journal légalisé : 0 fr. 50 — Registre du Commerce, Yalognes, n‘ 288 — Chèques Postaux : Paris, 45, rue Saint-Roch, C. C. 23194 — Si la France n’était immortslle... Emis avec une prime de remboursement de 50 °/o. Ie nouvel emprunt représente un intérêt annuel de 12 % ! '■ !... C’est vraiment alléchant par ce temps de vie chère !... Mais le Ministère n’a d'autre objectif que de donner prompte satisfaction a ses basses rancunes antireligieuses et de rattra- per vite le temps perdu par ses devanciers. Le Catholicisme est son unique cauche- mar : Périsse la France, pourvu qu’en même temps périsse avec elle tout élément, voire même tout atome de Catholicisme !... Aussi, au lieu de favoriser l’emprunt, il s’emploie, ce semble, à le faire échouer. C’est ainsi que Gustave Hervé, dans La Victoire, cite fort justement toute une liste c des saboteurs de l’emprunt ». « S’il (M. Herriot) veut voir le premier saboteur de l'emprunt, le plus coupable, il n'a qu’a se regarder dans une glace. S’il veut lâcher sa glace et contempler d’autres saboteurs, il n’a qu'a regarder autour de lui : il n’v a que cela, dans son entourage. Des sabo- teurs de marque, c'est son ministre de l'Intérieur, Cbautemps, l'homme qui commit l’infamie d’ex- pulser les Clarisse» d'Alençon ; c’est son ministre de l'Instruction publique, le cuistre dont le sectarisme et l’etroitesse d'esprit, étalé» dans son récent discours, ont fait rougir toute l’Université ; c’est son ministre de la Justice, Renoult, qui- non content d’effrayer les g*ns par 9on jacobi- nisme vieillot, vient, à brûle-pourpoint de sortir contre les commerçants et les industriels cette loi d'arbitraire et de désorganisation economique qui s'appelle la loi contre la hausse illicite. Des saboteurs de marque, c’est toute cette franc-maçonnerie installée dans les ministères, à la Chambre et au Sénat, et qui souffle danB ce pays ce vent de persécution religieuse. »> Au reste, qu’attendre de la dictature par- lementaire sous laquelle nous vivons de- puis 40 ans, de celte dictature anonyme faite de plusieurs centaines de rois irré- ponsables, élus à grand renfort de basses intrigues et de non moins basses pro messes démagogiques, votant des lois sans en voir le plus souvent la portée et provoquant à loisir des changements de ministère ren- dant impossible tout esprit de suite dans le gouvernement. Mais la France, forte de la foi de ses ancêtres, est immortelle. Avec et par sa Foi, elle survivra : Dieu le veut. Fr. T R O P 'T A R D ï Conscients de la fragilité de leur éphé- mère mandat, les co-associés de M. Herriot ont hâte de mettre la République en har- monie avec la loi et de donner ainsi satis- faction aux Loges, avides de la réalisation de leur œuvre. C’est logique. S’appropriant exclusivement la liberté, l’égalité et la fraternité, bases du régime, ils s’agitent fiévreusement. Et chacun dans sa sphère, paré de son petit tablier : de préparer la fermeture des Maisons d’enseignement libre ; de faire chauffer des rapides à destination de la fron- tière pour les religieux et religieuses non autorisés: d’en commander d’autres pour ceux et celles cependant autorisés; d’aviser aux moyens d’éconduire Dieu de partout pour Le consigner dans les églises’ et Le bannir ensuite comme « un indésirable » ; Enfin, tous en un mot, de bâter, à l’envijia laïcisation de la République pour en faire cette chose neutre qui ne signifie rien de bon et convient si bien au fameux régime. Aussi notre Premier, effrayé de cette fièvre, qui provoque partout en France des organisations en voie de se fédérer pour l'action comme il convient, a-t-il essayé à Rodez, de voiler ses errements et ceux de sa bande en risquant des éloges pour certaines Religieuses et pour le Clergé des paroisses. Tartuferie !... Tardiüs. Simple question Puisque, paraît-il, les religieux sont par définition, en raison de ieurs vœux, en raison du caractère international de leurs congrégations, des êtres inférieurs, dimi- nués, pourquoi les a-t-on mobilisés, pour- quoi en a-t-on fait même des officiers et des décorés, reconnaissant par là qu’ils étaient parmi les meilleurs des serviteurs de la France. Pourquoi leur a-t-on confié, pendant la guerre, les missions les plus délicates, sans crainte de les voir désobéir ou trahir, malgré leur soumission à des supérieurs étrangers ? Je ne connais qu’une congrégation qui a donné des traîtres, c’est la congrégation des frères trois points. Est-ce pour cela qu’elle prétend aujourd’hui commander à la France ! Ça va bien / L’arrivée du Cartel au pouvoir provoque à ce point la méfiance des porteurs de rente, que de mai à octobre 1924, déclare VExpress de Lyon . les détenteurs de quatre des prin- cipaux titres ont perdu plus de cinq milliards de capital. Qu’en pensent les petits porteurs qui ont fait la courte échelle à ces gens-îà ? Imprimés : par 50 grammes ou fraction de CO grammes. O fr, 15. Echantillons : par 00 grammes ou fraction de 50 grammes. 0 fr. 15 ; minimum O fr. 80. Main-d’Œuvre Agricole L’Ofûce Central de la main-d'œuvre agricole, 8, rue d'Athènes, est eu mesure de recevoir, à nouveau et de satisfaire aux demandes d'ouvriè- res agricoles ; mais eu raison du nombre limité qu'il peut recruter, il a fixé le contingent maxi- mum mensuel du département de -a Mauchc a 80. Eu conséquence, les cultivateurs désireiyt Je se procurer uue servante, pourront eu faire la de- mande au bureau départemental de la main d'œu- vre agricole, 10. rue de la Marne a Saiut-Lo. Le Directeur appelle l'aiteutiou des employeurs sur les difGculles qu’ils éprouveront oujours à se procurer des ouvriers et des ouvrières étrangers d'avril à septembre, en raison de ce que les pro- priétaires fonciers étrangers feront toujours uu effort considérable, à celte époque de 1année, pour retenir 1a maiu-d œuvre de leur pays. 11 leur conseille donc de produire leurs demandes aussitôt que possible et su tout cas avant le 1er février, autaut pour les hommes que pour les femmes. Concours-foire départemental Le concours-foire départemental se tiendra celle année à Cherbourg, le dimanche 14 décem- bre, sur la place Directe. Il sera organise par l'Office départemental d'accord avec la Société d agriculture de l'arrondissement. 7.000 fraucs environ seront distribués en prix. Les éleveurs désireux d’y prendre part, devront en faire la demande à la Direction des Services Agricoles, 10, rue de la Marne à Saint Lo, qui leur fournira tous renseignements utiles. Ces demandes serout reçues jusqu'au 10 décembre inclus. Service de la répression des fraudes Voici quelques modifications à la règlementa- tion de la répression des fraudes qu'il est utile que les commercants et les consommateurs connaissent : Vinaigre. — La dénomination sous laquelle le vinaigre est vendu, doit être inscrite d'une ma- nière apparente sur les récipients, emballages, casiers ou fûts, ainsi que leur teneur en acide acétique. Celle dernicre doit Cire indiquée en degres ou demi-degrés. Crèmes. — La dénomination de crème est ré-’ servee au lait contenant au moins 80 grammes de matières grasses pour 100grammes. La crème diluée doit contenir 15 grammes de matières grasses. Beurre. — Le salage du beurre eslpermis sous réserve que la proportion de sel commerciale- ment pur ne peut Cire supérieur à 10 o/o. Le pro- duit, dans ce cas, doit être vendu sous la déno mi nation de beurre salé ». Le beurre demi-sel contient légalement moins de 5 o/o de sel. Le beurre rénové par malaxage avec de l'eau addi- tionnée il’une petite quantité de bicarbonate de soude, doit être mis en vente sous la dénomina- tion de > beurre rénové ». Exposition régionale du travail Uue exposition nationale du travail dite des a Meilleurs ouvriers de France », aura lieu à Paris en 1925. Cette exposition est à deux degrés. Ne peu veut y prendre part que les ouvriers, artisans ou apprentis qui ont été proclamés lauréats dans une exposition départe- mentale ou régionale. Il n'a pu être organisé cette année d'exposition du 1" degré dans la Manche. Mais d’accord avec le departement d'ille et-Vilaine, les ouvrier? et artisans du département de la Manche sont autorisés à participer a l'exposition régionale qui aura lieu à Bennes du 7 au 14 décembre prochain. Peuvent se faire inscrire : P Les ouvriers, les façonniers, les contre- maîtres et les artisans ; i'* Les employés et les collaborateurs non spécialisés du travail-, 8‘ Les apprentis qui concourront dans chaque catégorie, maiz dans une section spéciale. Le3 demandes d’admission doivent parvenir au président du comité à la préfecture de Bennes le 20 novembre au plus tard et les travaux être exposés le 1er décembre au pins tard. Aucun droit d'inscription à payer. Peuvent être exposées non seulement les œuvres nouvelles, mais encore celles qui auraient déjà figuré dans une exposition locale ou régio- nale antérieure. Les ouvriers du département de la Manche sont vivement invités à se faire inscrire à celte exposition qui ne peut que contribuer à mettre eu valeur leurs qualités professionnelles. S'adresser pour renseignements, soit à la préfecture de la Manche, soit à la préfecture (l'Ille-et-Vilaine. Pour le Préfet de la Manche, Le Secrétaire Général : FLACH. Attention anx faux billets de vingt francs. — "La Banque de France avait été informée que de faux billets de 20 francs, à l’effigie de Bayard et au millésime de 1916 étaient mis en circulation. En procédant à de minutieuses recherches, on a découvert que depuis quatre ans uue grande quantité de ces coupures de mauvais aloi avaient été acceptées par des particu- liers ou des Etablissements financiers. C’est donc une somme de plus de 300.000 francs qui a été encaissée par les faussaires. Une enquête est ouverte. Dans l'enseignement. — Par arrêté du 7 novembre, M*“e Amchin Maria, institutrice à Barnevilie, a été nommée à la Direction de l’école de La Haye-du-Puits. Mtte Leterrier, née Leroy, institutrice à Sénoville est nommée en la même qualité à Barnevilie. Mme Beaudouin, née Hasnier, institutrice à Hambye, détachée à Le Rozel, est nommée à Sénoville. Réduction sur le prix du transport des pommes à cidre. — Le ministère des tra- vaux publics vient de donner .des instruc- tions pour que la réduction de 15 0 0 sur le tarif des pommes à cidre, accordée les années précédentes, soit appliquée sans tarder. Cour d’assises de la Manche. — La 4e session des Assises de la Manche s’ouvrira à Coutances, le lundi 8 décembre 1924. Parmi les jurés titulaires nous relevons les noms de : MM. Paul Couillard, cultivateur à Audou- ville-la-Hubert ; Paul Grobel, retraité à Réville. TR É SO R FaA JiÇ A IS t t i M s •/. A 10 ans. PRIX D'ÉMISSION : Au Pair, (Jouissance 25 Octobre 1924). INTÉRÊTS : S % l’an (Payable à terme échu), Les 25 Avril et 25 Octobre. EXEMPTION D’IMPOTS : Les Bons sont exempts d’impôts. La prime de remboursement sera exempte de l'impôt général sur le revenu. Coupures : 500 francs ; i.000 francs ; 10.000 francs ; 100.000 francs. REMBOURSEMENT à 150 % à raison de 20.000 titres de 500francs la 6e année 30.000 » » 7e » 40.000 » » 8e » 50.000 » » » 9B » Et le solde la 10e année Pour chaque tranche d'un million de titres, soit 1.000 séries. ON SOUSCRIT SANS FRAIS AU : Comptai r d’Escompte ds l'Ouest Banque Leherpeur, Sadoi, Cornette & 0ie 25, rue Carnot, à VALQGNES (en face la Poste). Le Mercredi au bureau de Saint Yaast-la- Hongne, rue de Verrüe. Le Samedi, au bureau de Montebonrg, rue des Prêtres. En vue de cette souscription, nous es- compterons les Bons de la Défense Natio- nale aux meilleures conditions. CHRONIQUE LOCALE Avis aux piétons éclaboussés par les autos. — Un piéton se rendant à la gare d’Auxonne fut dépassé par un auto-camior des Aciéries et Fonderies de ceite ville. Ea entendant le véhicule, le voyageur se gara le plus possible ; mais, malgré cette pré- caution, ses vêtements furent maculés de boue. Mécontent et à juste titre, il intenta à la Société sus-dite une action en domma- ges-intérêts. La Société se défendit, mais ce fut au piéton éclaboussé que le juge de paix d'Auxonne donna raison. Le principal at- tendu du jugement est ainsi conçu : « Attendu que la libre circulation des vé- hicules sur ies chaussées est limitée à l’in- terdiction de causer préjudice à autrui, à moins d'un cas de force majeure que le conducteur n'a pu prévoir ni empêcher ; mais attendu que tout conducteur peut voir les flaques d'eau ou de boue qui se trou- vent sur sa route et peut en empêcher ou tout au moins en atténuer la projection sur 1 Rouge décédés, les gens en modérant l'allure du véhicule ». Les parents et amis des défunts sont priés Le piéton a reçu 35 francs à titre de dom- j d’y assister, mage et naturellement, c est i eclabonsseur Fôte Saint Malo. — Dimanche prochain qui a ou pa»er les frais du procès. j on fêtera, en l'église de Yalognes, Saint VALQGNES Pieux hommage à nos glorieux morts. — Comme chaque année, M. l’Archiprêtre de Yalognes a tenu à célébrer en i’église Saint-Malo, un service solennel pour le repos de l’âme des soldats de la ville, morts au service de la France. Cette cérémonie a eu lieu mardi dernier, jour anniversaire de l’armistice. M. l Archiprètre officiait assisté de M. l'Abbé Mariotte, curé de Sortosville-en- Beaumont et de M. i’Abbé Robert, aumônier de l’Hospice de VaIogne3. De nombreux Valognais s’étaient associés à la délicate pensée de M. l’Archiprètre. En outre aux places qui leur étaient réservées, on remarquait,M. le Sous-Préfet, les autorités de la ville, M. le Maire et son Conseil, les Anciens Combattants, les Vété- rans de 1870-71, les Dames de la Croix-Rouge, le Patronage du Sacré-Cœur, les enfants des écoles, etc..., et une fouie de parents et amis de nos glorieux poilus. La foule assista émue et recueillie à cette pieuse cérémonie témoignant ainsi son éter- nel souvenir et sa reconnaissance envers tous les vaillants qui ont donné leur vie pour le salut de la France, Croix-Rouge de Vaiognes. — Lundi prochain, 17 novembre, à 8 heures du matin, la Croix-Rouge fera célébrer, en i’église Saint-Malo, une messe pour le repos de l'âme des soldats de Vaiognes, morts pour la France et pour les Membres de ia Croix- un nouveau billet ds 20 francs. — Les billets de 20 francs disparaissent de la circu- Malo, patron de la paroisse. L'esthétique ciselure du temple saint qui 'VOUS TRO UVEREZ |^ T les Poêles à Bois véritable M irus A LA Quincaillerie J. LEPiGEON 3, Rue du Château, ' V A .L .O C i U ï E S ü . ARTICLES DE MÉNAGE, D’ÉCLAIRAGE. DE CHAUFFAGE, OUTILLAGE. Poêles i Soi: : FAUtlUS - FHEBUS. M. Delagarde, conseiller général, démon- tra la nécessité d’un accord entre les muni- cipalités et le fisc, afin d'établir un coeffi- cient raisonnable, d'après la valeur des propriétés. M. Delagarde serait partisan d'une entente sur le coefficient 1.75 pour les ter- res en labour et 2 pour les prairies M. Poutas-Larue, président delà réunion, signale le danger d’adopter la révision pour vingt ans, la valeur actuelle des propriétés pouvant, dans l’avenir, subir de graves fluc- tuations. Il propose donc d’insister près des parlementaires pour qu’ils portent le délai de renouvellement à cinq ans au lieu de vingt. D’autre part il préconise le coefficient i unique 2, qui simplifierait les opérations. M. Delagarde se rallie à la thèse de M. Poutas-Larue. Les deux propositions de M. le Maire de Vaiognes sont adoptées. Puis avant de se séparer, l’assemblée émet, le vœu ci-après, ; qui sera adressé aux sénateurs et députés du département : Les maires de l’arrondis6ement de Vaiognes, ; réunis sur la convocation des conseillers gène- ; raux pour étudier la question de la révision ! exeptionnelie, émettent le vœu suivant : •> Considérant que l’assiette de l’impôt, en ce qui concerne ie commerce et l’industrie, et I les professions libérales, est établie en tenant ! compte du revenu réel de l'année précédente ; >Considérant que ies propriétaires de terrains, bâtis et non bâtis ont le droit de réclamer une législation qui tende au même but ; •>Considérant qu’en attendant cette réforme, il importe de rapprocher la date de6 révisions j cadastrales ; » Considérant que la révision exceptionnelle, . ordonnée par la loi du 23 mars 1924, porterait • pour certaines communes Bur une durée de 23 i années ; b Qu’il est impossible de savoir quelle sera, a une époque aussi lointaine, la valeur réelle locative des immeubles et qu’il est de l'intérêt des contribuables que cette révision exception- nelle ne puisse avoir d’effet au-delà d’une durée de 5 années, laquelle semble déjà longue, » Emettent le vœu : » Que la révision exceptionnelle à laquelle il va être procédé, n’ait de valeur que pour une durée de cinq années ; — décident de trans- mettre le présent vœu aux représentants du dé- partement au Sénat et à la Chambre, et à l'Ad- ministration. » Notariat. — Nous apprenons avec plaisir que MM. Quettier, Lucas et Viel, clercs chez Me* Meury, Thiéfcct et Caivariu, eut passé mercredi, avec succès, l’examen de princi- pal clerc devant la Chambre des Notaires de l’arrondissement de Vaiognes. Nos félici- tations. Communiqué du F. C. V. — Résultat du Dimanche 9 Novembre. — A Vaiognes, le F. C. V. (ire) bat le G. S. Cherbourgeois (lfe) par 3 buts à 2. Ce match comptait pour le championnat de Basse-Normandie, lre divi- sion. Match du Dimanche 16 Novembre. — A Vaiognes. terrain du Mont-Rouge, à 14 h.30, F. C. V. (1™) contre 1er Régiment d’infan- terie Coloniale (lrc). L’international Halotel, avant-centre de l’équipe de France qui joua ie 11 novembre contre le Luxembourg, commandera l’équipe du 1er Régiment d’infanterie Coloniale. Nous recommandons à tous les sportifs valognais deue pas manquer cette occasion unique de voir jouer un international chez eux ; ce sera le dernier match que jouera Halotel dans la région, ceiui-oi quittant la garnison de Cherbourg dans quelques jours. Convocation. — L’assemblée générale du F. C. V. aura lieu le mardi 18 novembre, à 20 heures 1/2, dans la salle de billard du Café du Nord. Cette avis tiendra lieu de convocation. Football-Association. — Résultat du dimanche 9 Novembre. — En coupe de France à Caen, Stade Malherbe Caennais (lre) bat La Valognaise (lre) par 7 buts à 0. Œuvre Valognaise de Lutte Antitu- berculeuse. — La prochaine consultation aura lieu au dispensaire, 52, rue des Capu- cins, mercredi prochain 19 novembre. Docteur Le Prieur, à 9 heures : Docteur Moissy, à 2 heures. Société de Puériculture.— La prochaine consultation gratuite pour les nourrissons, aura lieu le samedi 22 novembre à 9 heures dans une salle de la Mairie de Vaiognes. Anciens Combattants. — Dans ie but de réorganiser le section de Sainte-Mère- Eglise qui, par suite du départ de M. !e Dr Delarue, est restée sans président, le bureau de l’arrondissement a décidé de cheval non attelé. Arrivé à ia hauteur du tombereau l’animal lança une ruade qui atteignit M. Desmares en pleine poitrine. Gravement blessé, le cultivateur a été transporté à son domicile où il a reçu les soins du docteur Constantin. Depuis M. Desmares est resté alité. Son rétablissement sera long. Au violon— Vendredi, vers 9 heues 1 2 du soir, un nommé N... Louis, journalier à Vaiognes, ivre au point de ne pouvoir aller plus loin s'allongea sur les marches de la place de la mairie. Les gendarmes le dépo- sèrent au violon pour y cuver son vin et le lendemain N... fut gratifié d’un procès-ver- bal. Arrestation. — Recherché pour vol par le Parquet de Vaiognes, le nommé Chira Lucien, 15 ans, originaire de Pont-l’Evêque, a été arrêté à Saint-Malo, samedi dernier et transféré mercredi à Vaiognes où il est écrou é. La Foire. — Lundi prochain, 17 novem- bre, se tiendra à Vaiognes la foire dite La Malote. Bonne foire, d'ordinaire bien four- nie en bétail de toute sorte. Pharmacie de service. — La pharmacie Lemarquand, rue des Religieuses, sera ou- verte le dimanche 16 novembre. ETAT CIVIL DE VALOGNES Naissances Du 7, Maurice-Paul-Auguste Chopin, ju - meau 1er né, rue du Bourgfleury ; Charles- Louis-Xavier Chopin, jumeau, 2S né, rue du Bourgfleury. Du 8, Paul-Louis-Auguste Cuquemelle, i rue Mauquet-de-la-Motte. Du 9, Gilbert-Gaston-Théophile-Charles Pinel, rue du Bourgneuf. v f. m B uiusls ue traces disparaissent ae la circu- l . esmeuque ciselure au lempie saini qui uureau ae i arrondissement a décidé it l?Q FIY I f ltflO llS lation. Ou vont-ils ? La Banque de France I charme inlassablement la vne, et porte j se rendre en la mairie de Sainte-Mère- ___________ : Ies fait rentrer et les détruit parce que. invinciblement i’àme vers son Hôte, ie j Eglise le dimanche 23 courant, à 2 heures parait-il, il y a trop de faux billets de 20 fr ! suprême auteur de toutes les merveilles, { de l'après-midi el Les Ecrémeuses ALFA-LAVAL Sont les meilleurs. Vous les trouverez à la Maison H. MARTEL 31, rue de Poterie à VALOGNES, (R. C. 2.116) qui en asssure toutes réparations et fourni les Huiles spéciales pour ces écrémeuses* Police Correctionnelle Chemins de fer de l'Etat L’Administration de Chemins dr fer de TEtal, toujours soucieuse d'accorder au public de nou- velles facilites de circulation sur les lignes, vient de s'entendre avec la Compagnie Anglaise du Southern Bailway pour qu'a partir du 15 No vembre 1924, les voyageurs porteurs de billets aller el retour de Pans el Bouen a Londres via Le Havre-Sonlhamplon aient la possibilité d'ef- fectuer leur voyage de retour viâ Ncxhaven- Dieppe, sans supplément de prix. Celle facilité s'étend aux voyageurs de la ligne Dieppe New- haven oui désireront revenir par Seuil,amplon- Le Havre. L’affranchissement des envois à l’étranger En raison du nombre croissant des rér iamations provoquée par finsuffisance dafranchissement des objets de correspondance à destination de r étranger, J'A dmic ; s tralion des Postes et des Télégraphes, croit devoir rappeler que ies taxes actneilemenl applicables à ces envois sont ies suivantes Lettres : de 0 à 20 grammes 0 fr. 75 . au- dessus de 20 grammes, par dOgrammes ou frac- tion de 20 grammes, O fr. ¥j . Cartes postales . pour la carte simple el pour chaque partie tfr la carte avec réponse payée. O fr. 45 En échange, la Banque de France cous | disparaîtra quelque peu, pour la circons- donnera bientôt, dit-on, un nouveau type de ; tance, sous les magnifiques tentures et draperies des grands jours, discrètement combinées avec goût. billet de 20 fr. A propos de la révision de la valeur lo- cative.— Dana le bat d'augmenter ies impôts, on va donc réviser la valeur locative des immeubles bâtis. Mais, cette valeur locative vient d’être fixée par la loi, puisque les loyers de 1914 ce peuvent être ausmentés que dans certaines proportions. Supposons une maison louée 2.000 francs Tlî Dii é C^ e r ^’o a r? La chorale se fera entendre messe et aux vêpres. La Jeunesse Catholique avec sa donnera également son concours. Les offices seront célébrés par M. le Cha- noine Poignant, curé-archiprètre de Sainte- la grand’ üque Papiers d'affaires : par 50grammes ou fraction de 50 grammes, avant ia guerre et vendue depuis iOO.ûûü fr. Au taux actuel de l’argent et sans parler des impositions, ; habitation achetée lOû-ûüû fr. josüüerait an loyer de 6.000 fr. environ. L'Etat, après la révision, dira : L’immeuble a été payé récemment 100.000 fr. je lui donne une valeur locative de 6.000 i fr. : aiors j'établis l'impôt en conséquence ! i Cependant, ia même maison était louée précédemment 2.000 fr. ; Hausse maximum de 50= “ i.ôûû fr. ; Valeur actuelle, d'après la loi, 3.600 fr. P Voilà donc le fisc pris en défaut, puisqu'il veut faire payer l’impôt sur 6.000 fr* et que, îa loi en main, ’ Enfin le sermon sera donné par le R. ?. Maillard, prêtre distingué de l'Oratoire. Paroisse Saint-Malo. — Chants qui seront exécutés Dimanche prochain : 1er, Heure Douce, Saint-Saèns. 2e, O Saiutaris, Gounod- 3e, Agnus Dei, Gounod. it, Ave Maria, X ... 5*, Oremus Pro Ponlifice, X ... 6*; Tantum Etgo. Choral ancien. Révision des évaluations cadastrales.— de procéder à la forma- tion d’oc nouveau bureau. Tous les anciens combattants de ce canton y compris les membres des bureaux des sous-sections sont invités â se rendre à cette réunion au cours de laquelle seront exposés le mécanisme de ia caisse de re- traite des Anciens Combattants et les avan- tages qu elle présente. — Dans le même but, c’est-à-dire en vue de fournir tous éclaircissements sur la caisse de retraite, une réunioD des Anciens Combattants aura lieu le même jour en ia Mairie de Sainte-Marie-du-Mont. à 11 heuret du matin en la Mairie de Monte - bourg à 4 heures 30 de raprès-midi. Tous les camarades ae ces communes et des environs qae cette caisse de retraite intéresse, ou qui veulent en connaître les avantages, n'anront qu’a être présents à l’une de ces réunions où des explications détaillées leur seront fournies. Le Secrétaire-Général, Pillc-Rolano. Blessé par une ruade. — Lundi l'après- midi, M. Eugène Desmares, cultivateur au , G fr. minimum. O fr. Lundi dernier, la plupart des maures de l’arrondiæement de Vaiognes, répondant à w _____ T __________ l’appel des conseillers généraux, se sont j Gravier, adjudicataire du service des boues . propriétaire sera-t- réunis à la mairiepour discuter l’im- ; de la ville,se trouvait rue Alexis-de-Tocque- ;on l. imposé sortiesrevenus qu’il n'a pas en portante question de la nouvelle évaluation I ville, avec son tombereau. Un employé de /o. I faut et qu'il n a pas le droit d'avoir. cadastrale. 1l’osine Breteî vint à passer, conduisant nn Audience du 7 Novembre Moniebourg. — Dans sa dernière audience, ie Tribunal avait mis en délibéré l’affaire du jeune manœuvre de Moniebourg, inculpé de vol d’argent au préjudice d’un ouvrier cimentier. Aujourd’hui, le Tribunai ordonne l'examen mental du jeune prévenu et commet M. le docleur Viel, de Ponl- l’Abbé-Picauville pour y procéder. Négreville. — Une jeune servante âgée de 13 ans, placée chez un propriétaire de ia commune, déroba nne paire de bas au préjudice de ses patrons et prit î fr. 25 dans le portemonnaie d’une auire servante de la maison. Citée devant !e tribunal pour enfants, la jeune üiie est aquitlée comme ayant agi sans discernement et remise à sa mère, habitant Né- greville. — Le 23 août, la femme Siiolle Ernest, née Sevaux Blanche, 26 ans, couturière au hameau Brisset, au cours d’une discussion avec sa tanta, la femme Hoslingue Pau!, ménagère au même lieu, lui porta des coups avec un vase en émail. Le mari Hoslingue Paul, 28 ans, cultivateur, étant ailé demander des explications a la femme Sitoile, la querella reprit entre l’oncle et la nièce. Sai- sie par !o bras, ia couturière fut renversée â terre. Pour avoir frappé sa tante, ia femme Sitolle est condamnée à 50 franca d’amende avec sursis. La même condamnation est infligée à Hoslingue P3ul pour avoir malmené sa nièce. Saint-Vadst-la-Hougue.— Le jour des régates, Contamine Anguste. 32 ans, marin-pêcheur à Samt-Vaasl, so trouvant à bord du « Colibri », tomba à la mer. li reprocha â son collègue Colin Désiré, qui le suivait à peu de distance, pilotant le bateau « La Cocarde » de ne pas lui avoir porté secours. Colin affirme n’avoir pas vu l’accident. Le lendemain, reprochant à son collègue ea con- duite en la circonstance, Contamine le frappa d'an coup de poing qui !e blessa â la ièvre. Contamine paiera 16 francs d’amende. Sainl-Jacques-de-Néhou. — Le Tribunal rend son jugement dans la poursuite pour bris de clôture intentée contre Mme Novince. Cette dame, née Mauger Marthe, avait enlevé une vitre, déjà brisée, pour lui permettre d'ouvrir la fenêtre el de pénétrer dans la maison de ses parents, restés mdivise, afin d’y enlever du mobilier lui appar- tenant. Estimant que, sur ie refus de son frère ds lui remettre la clef, Mme Novince aurait agi ainsi sans intention coupable, ie Tribunal ia renvo e des fins de ia poursuite sans dépens. — M. Thomas François, charretier à l'entre- prise Voisin, avait loue une maison et jardin de Beriol Pierre, 32 ans, propriétaire an hameau Fan- j vtl. Ceiui-ci, contrairement anx affirmations de ; locataire, prétend s'être réserve la jardin. Le j dimanche 17 août, iî voalnt y pénétrer. Mai» M. Thomas s’y opposa et l'invita à partir, furieux, j ie propriétaire ini asséna nn coup da bâton et le frappa à coups de poing. Berloî qui a déjà été ; condamné, méconnaît ies faits. Le Tribunal lui • ' octroie 6 jours de prison. Portbsil. — M. Vasüer Eugène, journalier â Portbail, étant alié le i*' septembre â la foire de ! Fiervilie, rentra en voilure, ver» 9 henrts du »oir. : en compagnie de son beau-frère Poret Pierre, 2* ; ans, cultivateur à Porlbafl et ds .a femme de ce i dernier. La femme Vautier, née Poret Maria, 28 a es, üt observer leur retour tardif. Son frère se : répandit alors en reproches envers sa soeur, rameuse, ceile ci voulut passer son frère dehors, puis saisit au bsîon pour i es frapper. Poret le in; arracha des mains. Dans >a qasrelie. ie frère et la sœur ont été blessés. Poret me avoir frappé; as contraire, ii aurait reçu uns giSe. Incu pés de coups réciproques. Poret et ia femme Vautier sont condamnés â 25 fr. d’amende chacun. Sjtf3rT-G«a*ADr-D2-Toc*X£8trT- — La femme ■ Bachelit, née Ailix Louise, 34 an», ménagé'» à ra:nt-Germain— de- i osreebul, était sur sa porte, ie iô août, quand Bodioc Louis, 56 ans, carrier au ; mêm= heu, vint mi défendre de iaisser ae* enfants aller dans 13 carrière. Ce fui le motif d'une discus- sion. A ox injures sscoédèrent ies coup». Malmené.. Bodicu repoussa la femme Bachaieî qui tomba a terre, riposta à coups d'ongles e! gifla le carrer, Comme excuse e le i lègne que Bodioc voulait j pénétrer chez elle pour tout briser. I Tous deux sont prévenu* dé coups réciproques. Mais, tandis qubl condamne la femme Bachelel à 16 fr. d'amende, le Tribunal acquitte le carrier. — Le y courant, M. Lecharbonnier Jules, garde- particulier des propriétés deM. Berlin de la Hau- tiére, surprenait Louis François, 18 ans, journa- lier à Tamerviile, faisant chasser trois chiens sur les lerres confiées à sa garde. Invité à se retirer, Louis s’y refusa, ajoutant qu’il chasserait quand bon lui semblerait. De plus, il iojuria et frappa le garde à coups de pied en proférant à son adresse des menaces de mort. Pour ces faits, Louis est condamné à 6 jours de prison avec sursis et 100 fr. d’amende. De plus, comme il n’avait pas de permis, il devra verser 100 fr. coût du permis général. Sainte-Colombe. — Mme Veuve Valogues, cultivatrice à Sainte-Colombe, aysnt, le 10 septembre, laissé divaguer son chien lévrier, se voit infliger 50 fr. d’amende avec sursis. Bricquebec. — A differentes reprises Cardet Victor, 24 an», conducteur d ’autos a Cherbourg, vint la nuit chez son beau-père, Poirier Pierre, 45 sas, bourrelier chasse Ferrüe, à Bricquebec. Au cours de ces visites les noctambule» discu- taient fort et troublaient le repos des voisins. DanB la nuit du it au 23 août, Cardet et son beau-frère Poirier Edmond, employé a la laiierie de la Cheanée, arrivaient en auto â Bricquebec. Le bourrelier n’etant pas rentré ils allèrent le chercher chez un propriétaire du Vrétot où il avait travaillé dans la journée. A deux heures du matin ils étaient de retour. Mais chasse Ferrüe, une dispute eut lieu entre Cardet et son beau- père. On discuta fort, puia on en vint aux mains. Le fils Poirier dut » interposer et, tandis que son père rentrait chez lui, il repartait en auto avec son beau-frère. Cardet et son beau-père, Poirier Pierre, sont poursuivis pour coups réciproques et tapage nociurne. A chacun ie tribunal inflige 48 heu- res de prison et 25 fr. d’amende pour le délit et 15 fr. d'amende pour la contravention. — Sslley Jean, 45 ans, distillateur a Bricque- bec, rue de Bailly, est cité pour repondre des coups qu’il a portés, le 10 septembre, à sa femme, née Hébert Louise. Salley reconnaît les fait» mais déclaré qu’il aurait été provoque pas sa femme. 25 francs d'amende. QimONIQUS RE&IONAIS Saint-Joseph. — Accidenta Vendredi dernier, 7 novembre, M. Roui! Henri, négociant à Sainte-Mère-Eglise, revenait de Cherbourg en automobile. A Saint-Joseph, lieu dit La Frette, après avoir prévenu en actionnant son klacson, il dépassa un camion automobile, conduit par le chauffeur Malard, au service de M. Quevifion, camionneur a Cherbourg, qui se dirigeait ég le- ment vers Vaiognes. Alors que l’automobile se trouvait à la h iu- teur du camion, celui-ci appuya sur la gau :he et la roue avant du lourd véhiculé heurta cilié arrière de la torpédo. M. Rouil arrêta aus»itô: et vit le camion, l’avant dans la haie, du côté d.-oit de la route. La torpédo ayant son pont arrière déplace, était immobilisée. Le camion paraissait indemne. Il n'y a pas eu d’accident de per- sonne. Brix." — Etat-civil. Mois d'octobre. Naissances : Madeleine-Louise-Au»gustine Gillette, au hameau les Queanes ; Louis-Jean-Desire Adam, au hameau Laisné. Mariages : Auguste Dupont, employé aux chemin» de fer a Gassicourt et Aiice-Louise- Prudence Doguet, à Brix ; Emest-Auguste- Alexandre Pasquier,cultivateur à Brix et Marie- Aurélie-Rosalie Hamel, à Brix ; Auguste-Alpbonse- Désiré Cottebrune, cultivateur â Bricquebec et Gabrielle-Jeanne-Augustine Delahaye sans pro- fession a Brix. Décès : Louis-Joseph-Michel Fafin, 20 ans, au hameau Adam de Haut ; Jean-ThomasDoueanard, 69 ans, à l’Avenue du Val ; Joseph-Jean-Louis Pesnel, 20 an», au hameau Malo ; Jean-Pierre- Déairé Dufour. 74 ans, à la rue Ludet ;Jacques- Auguate-Déeiré Leblond 82 ans, à la Lande ; Timothée-Armand Napoléon, 72 ana, au Câble. Sans lanterne. — Procès-verbal a été dressé à Mn* Chislard Désiré, cultivatrice à Brix qui, vers 6 heures du soir, était rencontrée par les gendarmes, au Mont à la Quesae, avec sa voiture a âne non éclairée. HGNTEBOUR6 Anciens Combattants. — La réunion an- nuelle de l’Association des Anciens Combattants du canton de Montebourg, aura lieu à l'Hôtel de Ville, le dimanche 23 novembre, a 3 heures. A 4 h. 30, le President de l'Association de l’Arrondissement, accompagné de son bureau, viendra entretenir les Combattants sur la caisse du retraite creee par î’U. N. C. Les Camarades eont priés de venir en aussi grand nombre que possible â cette réunion. Le Président : E. Rlet. Défaut de carnet. — Bakary Fenda, sujet sénégalais, âgé de 32 ans. a été arrêté par la gendarmerie de Montebourg pour avoir voyage sanB s’étre fait délivrer de carnet anthropomé- trique d’identité. Accident. — M. Delabrousse, propriétaire, rue des Juifs, se rendait aValogaes, a bicyclette, i lorsque tout a coup la fourche de sa machine se brisa. Projeté â terre, M. Delabrousse fut relevé avec des blessures assez sérieuses et transporte chez lui. Etat civil. — Décès : Jean Hameün. priétaire, 79 ana, rue Grande-Rue. Marché. — Beurre, 12 fr. le kilog ; œuf», 10 fr. la douzaine ; poulets, 18 a 22 fr. le cou- j pie ; pouleB, 24 à 28 fr. le couple ; lapins gras, j 12 à 15 fr. ; petit» lapins, 3 â 5 fr, ; canards 18 a 20 fr. le couple ; choux à planter, 6 a 7 fr. le I cent : glui, 0 fr. 40 à 0 fr. 50 le 1/2 kilo ; pom- | mes de terre, 22 â 25 fr. ie demi-hectolitre ; | potnmeB a cidre, 100 fr. le» 1.000 ki|09. Vaudreviile. — Etat civil. — Publication: Jules Lefèvre, employé de» chemin» de fer, a Sarquigoy et Aiphonsine Lahougue, sans pro- fession â Vaiognes. Emondeville. Etat civil. — Publication: Victor Trobcl, ouvrier agricole à Emondeville et Pauline Biestel. sanB profe«sion a Azeville. Naissance : Roger Le Roux, â ia Basse Emon- deville. Mariage : Albert Leblond, ouvrier agricole à Sainte-Mère-Egiiae et Marie Lamacbe, ouvrière agricole, â Emondeville. Saint-Cyr. — Etat civil. — Naissance : Madeleine Leroux, école publique de Saint-Cyr. Saint-Marcocf de-I l3le. — Etat civil. Naissance : Alfred Lemarié, ferme du Château. Saint-Martin -d AudouviHe. 9 novem - bre. — Saint-Martin était en lie»«e. ce dimanche de l’arrière saison. C'e»t que la Bienheureuse Thérèse de l'Enfant Jésus s'installait dans son église toute claire, toute blanche. Noue aurons longtemps devant ies yeux la virion du temple tout orne de verdure et de rose», ecîoies en des mains habiles et disposées avec goût; de cette foule nombreuse qui, a la grand messe et aux vêpres, vint rendre hommage a l'humble Car- mélite. Les ceremonies de la journée furent présidée» par M. l'Abbé Piet, cbapeiain-episcopai, direc- teur honoraire de l'Institut Saint-Paul, qui donna à la magnifique statue la bénédiction liturgique. M. l'Âbbe Pinel, aumônier de Notre-Dame de l'Etoile à Montebourg. sut trouver ies accents d'un* éloquence prenante pour exalter la pieté de» fide.e» et ceisbrer le» vertu* de ia Petite Fleur du Carmel. A tous le» offices, l'harmonium sontint le» étant» et les cantique» en l’honneur ds la bien heureu»* forent enieve» avec entrein. Pais le •oir, par une faveur tocs» »peci»ie. ,e? habitant» portai venerer — ce qa ii» firent tous avec empressement — an» relique de la sainte reli- gieuse. Que ranima leur de estte fête. M. l’Abbé FeuiiSe desservant de la paroi»»*, veuille bien trouver id l’expression de la gratitude de *e* paroi**i-ne qui esperent que bientôt ii leur #era donne de revoir une aus»i belle journée comme ü Je leur a du reste bien oromi». Saint-Germain-de-ToarBebti. L'ar ■mUtice. — Mardi dernier. Il novembre be'-!ê manifestation a Saint-Germain. La Mairie était le tien tout indique pour le msnemblesE-»» *. 1* defiie comprenait ie» enfant» de» Ecoles }e pro- 3 4 © 5 W *' 4

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Numéro 44 — Samedi 15 Novembre 1924. 5 Centimes Quatre-vingt-onzième année.

Feuille Politique, Agricole, Commerciale, Industrielle, Scientifique, Littéraire et d'AnnoneesC H EM IN S D E F E R . — P ans-C herbourg : Départ de Yalognes : * h. 21 ai.

(expr.) ; 8 h. 33 m. ; 10 h. 46 ni. ; 2 h. 24 s. (expr.) ; 5 h. 31 s. ; 10 b. 30 s.Cherbourg-Paris. — Départ de Yalognes : 6 h. 38 ui. (expr.) (semaine seu­

lement jusqu’au 20 décembre inclus) ; ? h. 16 m. ; 10 h. 40 m. (expr.) ; midi 17 ; 5 b. 17 s. (expr): 6 b. 23 s.; 8 h. 42s. (expr.).

Vulognes {ville) Barjleur. — Départ de Vaiognes-Ville : 8 h. 22 matin ; 10 b. 36 m. (le vendredi, jusqu’à S'-Martin).); 5 b. 48 s.; 6 h. 39 s. (jusqu’à Sl - Martin. — Bar/leur-Yalognes (ville). — Arrivée à Vaiognes-Ville :7 b. 36 m. (de S'-Martin) ; 8 h. 04 m. ; 3 h. 19 s. (le vendredi, de S'-Martin) ; 5 b. 46 s.

REDACTION et ADMINISTRATION : 25, rue Carnot, YALOGNES :

Le JOITMAL DS YAL08KES paraît le SamediLes wavuscrits non insérés ne sont pas rendus.

Les lettres et mandata concernant la rédaction et l'administraticit doivent être adressés à M le Directeur du Journal de Yalognes.

A B O N N E M E N T SVille : 3 fr. 5G; Manche et lim itrophes : 4 fr. ; au tres départem ents : 4 fr. 50. Le prix de l'abonnement se paye d’avance. Les recouvrements se font en Décembre.

A N N O N C E SJudiciaires, la ligne 1 fr. ; Diverses 0 fr. 40 ; Réclames 0 fr. 60 ; Locales 0 fr.75

Les annonces sont reçues aux Bureaux du Journal, jusqu'au Jeudi soir.— Journal légalisé : 0 fr . 50 — Registre du Commerce, Yalognes, n‘ 288

— Chèques Postaux : Paris, 45, rue Saint-Roch, C. C. 23194 —

Si la France n’était immortslle...Emis avec une prim e de rem boursem ent

de 50 °/o. Ie nouvel em prunt représente un intérêt annuel de 12 % ! '■ !...

C’est vraim ent alléchant par ce temps de vie chère !...

Mais le Ministère n’a d 'autre objectif que de donner prom pte satisfaction a ses basses rancunes antireligieuses et de ra ttra ­per vite le temps perdu par ses devanciers.

Le Catholicisme est son unique cauche­m ar : Périsse la France, pourvu qu’en même temps périsse avec elle tout élément, voire même tout atome de Catholicisme !...

Aussi, au lieu de favoriser l’em prunt, il s’emploie, ce semble, à le faire échouer.

C’est ainsi que Gustave Hervé, dans La Victoire, cite fort justem ent toute une liste c des saboteurs de l’em prunt ».

« S’il (M. Herriot) veut voir le premier saboteur de l'emprunt, le plus coupable, il n'a qu’a se regarder dans une glace.

S’il veut lâcher sa glace et contempler d’autres saboteurs, il n’a qu'a regarder autour de lui : il n’v a que cela, dans son entourage. Des sabo­teurs de marque, c'est son ministre de l'Intérieur, Cbautemps, l'homme qui commit l’infamie d’ex­pulser les Clarisse» d'Alençon ; c’est son ministre de l'Instruction publique, le cuistre dont le sectarisme et l’etroitesse d'esprit, étalé» dans son récent discours, ont fait rougir toute l’Université ; c’est son ministre de la Justice, Renoult, qui- non content d’effrayer les g*ns par 9on jacobi­nisme vieillot, vient, à brûle-pourpoint de sortir contre les commerçants et les industriels cette loi d'arbitraire et de désorganisation economique qui s'appelle la loi contre la hausse illicite.

Des saboteurs de marque, c’est toute cette franc-maçonnerie installée dans les ministères, à la Chambre et au Sénat, et qui souffle danB ce pays ce vent de persécution religieuse. »>

Au reste , qu’attendre de la d ic tatu re par­lem entaire sous laquelle nous vivons de­puis 40 ans, de celte dictature anonyme faite de p lusieurs centaines de rois irré - ponsables, élus à grand renfort de basses intrigues et de non moins basses pro messes démagogiques, votant des lois sans en voir le plus souvent la portée et provoquant à loisir des changements de ministère ren ­dant impossible tout esprit de suite dans le gouvernem ent.

Mais la France, forte de la foi de ses ancêtres, est im mortelle. Avec et par sa Foi, elle su rv iv ra : Dieu le veut. Fr.

T R O P ' T A R D ï

Conscients de la fragilité de leur éphé­mère mandat, les co-associés de M. Herriot ont hâte de m ettre la République en har­monie avec la loi e t de donner ainsi satis­faction aux Loges, avides de la réalisation de leur œ uvre.

C’est logique.S’appropriant exclusivement la liberté,

l’égalité e t la fraternité , bases du régime, ils s ’agitent fiévreusement.

• Et chacun dans sa sphère, paré de son petit tablier : de préparer la ferm eture des Maisons d’enseignement libre ; de faire chauffer des rapides à destination de la fron­tière pour les religieux et religieuses non autorisés: d’en commander d’autres pour ceux et celles cependant autorisés; d’aviser aux moyens d’éconduire Dieu de partout pour Le consigner dans les églises’ et Le bannir ensuite comme « un indésirable » ;

Enfin, tous en un mot, de bâter, à l’envijia laïcisation de la République pour en faire cette chose neutre qui ne signifie rien de bon et convient si bien au fameux régime.

Aussi notre Prem ier, effrayé de cette fièvre, qui provoque partout en France des organisations en voie de se fédérer pour l'action comme il convient, a-t-il essayé à Rodez, de voiler ses errem ents e t ceux de sa bande en risquant des éloges pour certaines Religieuses et pour le Clergé des paroisses. Tartuferie !... Tardiüs.

Simple question

Puisque, paraît-il, les religieux sont par définition, en raison de ieurs vœux, en raison du ca ractère international de leurs congrégations, des êtres inférieurs, dimi­nués, pourquoi les a-t-on mobilisés, pour­quoi en a-t-on fait même des officiers et des décorés, reconnaissant par là qu’ils étaient parm i les meilleurs des serviteurs de la France. Pourquoi leur a-t-on confié, pendant la guerre, les missions les plus délicates, sans crainte de les voir désobéir ou trah ir, malgré leur soumission à des supérieurs étrangers ? Je ne connais qu’une congrégation qui a donné des tra îtres, c’est la congrégation des frères trois points. Est-ce pour cela qu’elle prétend aujourd’hui commander à la France !

Ça va b ien /

L’arrivée du Cartel au pouvoir provoque à ce point la méfiance des porteurs de rente, que de mai à octobre 1924, déclare VExpress de L yon . les détenteurs de quatre des prin­cipaux titres ont perdu plus de cinq milliards de capital.

Qu’en pensent les petits porteurs qui ont fait la courte échelle à ces gens-îà ?

Imprimés : par 50 grammes ou fraction de CO grammes. O fr, 15.

Echantillons : par 00 grammes ou fraction de 50 grammes. 0 fr. 15 ; minimum O fr. 80.

M ain-d’Œ uvre A grico leL’Ofûce Central de la main-d'œuvre agricole,

8, rue d'Athènes, est eu mesure de recevoir, à nouveau et de satisfaire aux demandes d'ouvriè­res agricoles ; mais eu raison du nombre limité qu'il peut recruter, il a fixé le contingent maxi­mum mensuel du département de -a Mauchc a 80. Eu conséquence, les cultivateurs désireiyt Je se procurer uue servante, pourront eu faire la de­mande au bureau départemental de la main d'œu­vre agricole, 10. rue de la Marne a Saiut-Lo. Le Directeur appelle l'aiteutiou des employeurs sur les difGculles qu’ils éprouveront oujours à se procurer des ouvriers et des ouvrières étrangers d'avril à septembre, en raison de ce que les pro­priétaires fonciers étrangers feront toujours uu effort considérable, à celte époque de 1 année, pour retenir 1a maiu-d œuvre de leur pays. 11 leur conseille donc de produire leurs demandes aussitôt que possible et su tout cas avant le 1er février, autaut pour les hommes que pour les femmes.

C oncours-fo ire départem entalLe concours-foire départemental se tiendra

celle année à Cherbourg, le dimanche 14 décem­bre, sur la place Directe. Il sera organise par l'Office départemental d'accord avec la Société d agriculture de l'arrondissement. 7.000 fraucs environ seront distribués en prix.

Les éleveurs désireux d’y prendre part, devront en faire la demande à la Direction des Services Agricoles, 10, rue de la Marne à Saint Lo, qui leur fournira tous renseignements utiles. Ces demandes serout reçues jusqu'au 10 décembre inclus.

S erv ice de la rép ression des fraudesVoici quelques modifications à la règlementa­

tion de la répression des fraudes qu'il est utile que les commercants et les consommateurs connaissent :

Vinaigre. — La dénomination sous laquelle le vinaigre est vendu, doit être inscrite d'une ma­nière apparente sur les récipients, emballages, casiers ou fûts, ainsi que leur teneur en acide acétique. Celle dernicre doit Cire indiquée en degres ou demi-degrés.

Crèmes. — La dénomination de crème est ré-’ servee au lait contenant au moins 80 grammes de matières grasses pour 100grammes. La crème diluée doit contenir 15 grammes de matières grasses.

Beurre. — Le salage du beurre eslpermis sous réserve que la proportion de sel commerciale­ment pur ne peut Cire supérieur à 10 o/o. Le pro­duit, dans ce cas, doit être vendu sous la déno mi nation de ■ beurre salé ». Le beurre demi-sel contient légalement moins de 5 o/o de sel. Le beurre rénové par malaxage avec de l'eau addi­tionnée il’une petite quantité de bicarbonate de soude, doit être mis en vente sous la dénomina­tion de > beurre rénové ».

E xposition rég ionale du tra v a ilUue exposition nationale du travail dite des

a Meilleurs ouvriers de France », aura lieu à Paris en 1925. Cette exposition est à deux degrés. Ne peu veut y prendre part que les ouvriers, artisans ou apprentis qui ont été proclamés lauréats dans une exposition départe­mentale ou régionale.

Il n'a pu être organisé cette année d'exposition du 1" degré dans la Manche. Mais d’accord avec le departement d'ille et-Vilaine, les ouvrier? et artisans du département de la Manche sont autorisés à participer a l'exposition régionale qui aura lieu à Bennes du 7 au 14 décembre prochain.

Peuvent se faire inscrire :P Les ouvriers, les façonniers, les contre­

maîtres et les artisans ;i'* Les employés et les collaborateurs non

spécialisés du travail-,8‘ Les apprentis qui concourront dans chaque

catégorie, maiz dans une section spéciale.Le3 demandes d’admission doivent parvenir

au président du comité à la préfecture de Bennes le 20 novembre au plus tard et les travaux être exposés le 1er décembre au pins tard. Aucun droit d'inscription à payer.

Peuvent être exposées non seulement les œuvres nouvelles, mais encore celles qui auraient déjà figuré dans une exposition locale ou régio­nale antérieure.

Les ouvriers du département de la Manche sont vivement invités à se faire inscrire à celte exposition qui ne peut que contribuer à mettre eu valeur leurs qualités professionnelles.

S'adresser pour renseignements, soit à la préfecture de la Manche, soit à la préfecture (l'Ille-et-Vilaine.

Pour le Préfet de la Manche,Le Secrétaire Général : FLACH.

A ttention anx fau x billets de v in g t francs . — "La Banque de France avait été informée que de faux billets de 20 francs, à l’effigie de Bayard et au millésime de 1916 étaient mis en circulation.

En procédant à de minutieuses recherches, on a découvert que depuis quatre ans uue grande quantité de ces coupures de mauvais aloi avaient été acceptées par des particu­liers ou des Etablissements financiers. C’est donc une somme de plus de 300.000 francs qui a été encaissée par les faussaires. Une enquête est ouverte.

Dans l'enseignem ent. — P ar arrêté du 7 novembre, M*“e Amchin Maria, institutrice à Barnevilie, a été nommée à la Direction de l’école de La Haye-du-Puits.

Mtte Leterrier, née Leroy, institutrice à Sénoville est nommée en la même qualité à Barnevilie.

Mme Beaudouin, née Hasnier, institutrice à Hambye, détachée à Le Rozel, est nommée à Sénoville.

R éduction s u r le p r ix du tran sp o rt des pommes à c id re . — Le ministère des tra ­vaux publics vient de donner .des instruc­tions pour que la réduction de 15 0 0 su r le ta rif des pommes à cidre, accordée les années précédentes, so it appliquée sans tarder.

Cour d ’assises de la M anche. — La 4esession des Assises de la Manche s’ouvrira à Coutances, le lundi 8 décembre 1924.

Parmi les ju ré s titu laires nous relevons les noms de :

MM. Paul Couillard, cultivateur à Audou- ville-la-Hubert ; Paul Grobel, re tra ité à Réville.

T R É S O R F a A J i Ç A I S

t t i M s • / .A 10 ans.

PRIX D'ÉMISSION : Au Pair,(Jouissance 25 Octobre 1924).

INTÉRÊTS : S % l’an(Payable à term e échu),

Les 25 A vril e t 25 Octobre. EXEMPTION D’IMPOTS : Les Bons sont

exempts d’impôts.La prim e de rem boursement sera

exem pte de l'im pôt général sur le revenu. Coupures : 500 francs ; i.000 francs ;

10.000 francs ; 100.000 francs.

REMBOURSEMENT à 150 % à raison de20.000 titres de 500 francs la 6e année30.000 >» » » 7e »40.000 >» » » 8e »50.000 » » » 9B »

Et le solde la 10e année Pour chaque tranche d'un m illion de titres,

soit 1 .0 0 0 séries.

ON SOUSCRIT SANS FRAIS AU :Comptair d’Escompte ds l'Ouest

Banque Leherpeur, Sadoi, Cornette & 0 ie25, rue Carnot, à VALQGNES

(en face la Poste).Le Mercredi au bureau de Saint Yaast-la-

Hongne, rue de Verrüe.Le Sam edi, au bureau de Montebonrg,

rue des Prêtres.

En vue de cette souscription, nous es­compterons les Bons de la Défense N atio ­nale aux meilleures conditions.

CHRONIQUE LOCALEA vis au x piétons éclaboussés par les

autos. — Un piéton se rendant à la gare d’Auxonne fut dépassé par un auto-cam ior des Aciéries et Fonderies de ceite ville. Ea entendant le véhicule, le voyageur se gara le plus possible ; mais, malgré cette pré­caution, ses vêtements furent maculés de boue. Mécontent et à juste titre , il intenta à la Société sus-dite une action en domma­ges-intérêts. La Société se défendit, mais ce fut au piéton éclaboussé que le juge de paix d'Auxonne donna raison. Le principal a t­tendu du jugement est ainsi conçu :

« Attendu que la libre circulation des vé­hicules su r ies chaussées est limitée à l’in­terdiction de causer préjudice à autrui, à moins d'un cas de force m ajeure que le conducteur n 'a pu prévoir ni empêcher ; mais attendu que tout conducteur peut voir les flaques d'eau ou de boue qui se trou­vent sur sa route et peut en empêcher ou tout au moins en atténuer la projection sur 1 Rouge décédés, les gens en modérant l'allure du véhicule ». Les parents e t amis des défunts sont priés

Le piéton a reçu 35 francs à titre de dom- j d’y assister, mage et naturellement, c est i eclabonsseur Fôte Sain t M alo. — Dimanche prochain qui a ou pa»er les frais du procès. j on fêtera, en l'église de Yalognes, Saint

VALQGNESP ieu x hom m age à nos g lo rieu x m o r ts .

— Comme chaque année, M. l’A rchiprêtre de Yalognes a tenu à célébrer en i’église Saint-Malo, un service solennel pour le repos de l’âme des soldats de la ville, morts au service de la France. Cette cérémonie a eu lieu mardi dernier, jou r anniversaire de l’arm istice.

M. l A rchiprètre officiait assisté de M. l'Abbé Mariotte, curé de Sortosville-en- Beaumont et de M. i’Abbé Robert, aum ônier de l’Hospice de VaIogne3.

De nombreux Valognais s ’étaient associés à la délicate pensée de M. l’Archiprètre.

En outre aux places qui leur étaient réservées, on rem arquait,M . le Sous-Préfet, les autorités de la ville, M. le Maire e t son Conseil, les Anciens Combattants, les Vété­rans de 1870-71, les Dames de la Croix-Rouge, le Patronage du Sacré-Cœur, les enfants des écoles, e tc ..., e t une fouie de parents et amis de nos glorieux poilus.

La foule assista émue et recueillie à cette pieuse cérémonie témoignant ainsi son éter­nel souvenir e t sa reconnaissance envers tous les vaillants qui ont donné leur vie pour le salut de la France,

C roix-R ouge de V aiognes. — Lundi prochain, 17 novembre, à 8 heures du matin, la Croix-Rouge fera célébrer, en i’église Saint-Malo, une messe pour le repos de l'âme des soldats de Vaiognes, morts pour la France et pour les Membres de ia Croix-

u n nouveau billet d s 20 fran cs . — Lesbillets de 20 francs disparaissent de la circu-

Malo, patron de la paroisse.L'esthétique ciselure du temple saint qui

' V O U S T R O U V E R E Z

| ^ T les Poêles à Bois véritable M i r u sA LA

Quincaillerie J. LEPiGEON3, Rue du Château, 'V A .L .O C iU ïE S ü .

ARTICLES DE MÉNAGE, D’ÉCLAIRAGE. DE CHAUFFAGE, OUTILLAGE.Poêles i Soi: : FAUtlUS - FHEBUS.

M. Delagarde, conseiller général, démon­tra la nécessité d ’un accord entre les muni­cipalités et le fisc, afin d 'é tablir un coeffi­cient raisonnable, d 'après la valeur des propriétés.

M. Delagarde serait partisan d'une entente su r le coefficient 1.75 pour les te r­res en labour et 2 pour les prairies

M. Poutas-Larue, président d e là réunion, signale le danger d’adopter la révision pour vingt ans, la valeur actuelle des propriétés pouvant, dans l’avenir, subir de graves fluc­tuations. Il propose donc d’insister près des parlem entaires pour qu’ils portent le délai de renouvellement à cinq ans au lieu de vingt. D’autre part il préconise le coefficient i unique 2, qui simplifierait les opérations.

M. Delagarde se rallie à la thèse de M. Poutas-Larue.

Les deux propositions de M. le M aire de Vaiognes sont adoptées. Puis avant de se séparer, l’assemblée émet, le vœu ci-après, ; qui sera adressé aux sénateurs et députés du départem ent :

Les maires de l’arrondis6ement de Vaiognes, ; réunis sur la convocation des conseillers gène- ; raux pour étudier la question de la révision ! exeptionnelie, émettent le vœu suivant :

•> Considérant que l’assiette de l’impôt, en ce qui concerne ie commerce et l’industrie, et I les professions libérales, est établie en tenant ! compte du revenu réel de l'année précédente ;

> Considérant que ies propriétaires de terrains, bâtis et non bâtis ont le droit de réclamer une législation qui tende au même but ;

•> Considérant qu’en attendant cette réforme, il importe de rapprocher la date de6 révisions j cadastrales ;

» Considérant que la révision exceptionnelle, . ordonnée par la loi du 23 mars 1924, porterait • pour certaines communes B ur une durée de 23 i années ;

b Qu’il est impossible de savoir quelle sera, a une époque aussi lointaine, la valeur réelle locative des immeubles et qu’il est de l'intérêt des contribuables que cette révision exception­nelle ne puisse avoir d’effet au-delà d’une durée de 5 années, laquelle semble déjà longue,

» Emettent le vœu :» Que la révision exceptionnelle à laquelle

il va être procédé, n ’ait de valeur que pour une durée de cinq années ; — décident de trans­mettre le présent vœu aux représentants du dé­partement au Sénat et à la Chambre, et à l'Ad­ministration. »

N o taria t. — Nous apprenons avec plaisir que MM. Quettier, Lucas et Viel, clercs chez Me* Meury, Thiéfcct e t Caivariu, eu t passé m ercredi, avec succès, l’examen de princi­pal clerc devant la Chambre des Notaires de l ’arrondissem ent de Vaiognes. Nos félici­tations.

Com m uniqué du F . C. V. — Résulta t du Dimanche 9 Novembre. — A Vaiognes, le F. C. V. (ire) bat le G. S. Cherbourgeois ( l fe) par 3 buts à 2. Ce match com ptait pour le championnat de Basse-Normandie, l re divi­sion.

Match du Dimanche 16 Novembre. — A Vaiognes. terrain du Mont-Rouge, à 14 h .30,F. C. V. (1™) contre 1er Régiment d’infan­terie Coloniale ( lrc).

L’international Halotel, avan t-cen tre de l’équipe de France qui joua ie 11 novem bre contre le Luxembourg, com mandera l’équipe du 1er Régiment d’infanterie Coloniale. Nous recommandons à tous les sportifs valognais d eu e pas manquer cette occasion unique de voir jouer un international chez eux ; ce sera le dernier match que jouera Halotel dans la région, ceiui-oi quittant la garnison de Cherbourg dans quelques jours.

Convocation. — L’assemblée générale du F. C. V. aura lieu le mardi 18 novem bre, à 20 heures 1/2, dans la salle de billard du Café du Nord.

Cette avis tiendra lieu de convocation.Foo tball-A ssociation . — Résultat du

dimanche 9 Novembre. — En coupe de France à Caen, Stade Malherbe Caennais (lre) bat La Valognaise ( lre) par 7 buts à 0.

Œ u v re V alognaise de L u tte A n titu ­berculeuse. — La prochaine consultation aura lieu au dispensaire, 52, rue des Capu­cins, mercredi prochain 19 novembre.

Docteur Le Prieur, à 9 heures : Docteur Moissy, à 2 heures.

Société de P u éric u ltu re .— La prochaine consultation gratuite pour les nourrissons, aura lieu le samedi 22 novembre à 9 heures dans une salle de la Mairie de Vaiognes.

A nciens Com battants. — Dans ie but de réorganiser le section de Sainte-M ère- Eglise qui, par suite du départ de M. !e Dr Delarue, est restée sans président, le bureau de l’arrondissem ent a décidé de

cheval non attelé. Arrivé à ia hauteur du tom bereau l’animal lança une ruade qui atteignit M. Desmares en pleine poitrine. Gravement blessé, le cu ltivateur a été transporté à son domicile où il a reçu les soins du docteur Constantin. Depuis M. Desmares est resté alité. Son rétablissem ent sera long.

A u v io lo n — Vendredi, vers 9 heues 1 2 du soir, un nommé N... Louis, journalier à Vaiognes, ivre au point de ne pouvoir aller plus loin s'allongea sur les marches de la place de la m airie . Les gendarmes le dépo­sèrent au violon pour y cuver son vin et le lendemain N... fut gratifié d’un procès-ver­bal.

A rres ta tio n . — Recherché pour vol par le P arquet de Vaiognes, le nommé Chira Lucien, 15 ans, originaire de Pont-l’Evêque, a été arrêté à Saint-Malo, samedi dernier et transféré m ercredi à Vaiognes où il est écrou é.

L a F o ire . — Lundi prochain, 17 novem­bre, se tiendra à Vaiognes la foire dite La Malote. Bonne foire, d 'ordinaire bien four­nie en bétail de toute so rte .

P h arm a c ie de serv ice. — La pharm acie Lemarquand, rue des Religieuses, sera ou­verte le dimanche 16 novembre.

E T A T C IV IL D E V A LO G N ES Naissances

Du 7, M aurice-Paul-Auguste Chopin, ju ­meau 1er né, rue du Bourgfleury ; Charles- Louis-Xavier Chopin, jum eau, 2S né, rue du Bourgfleury.

Du 8, Paul-Louis-Auguste Cuquemelle, i rue Mauquet-de-la-M otte.

Du 9, Gilbert-Gaston-Théophile-Charles Pinel, rue du Bourgneuf.

v f. m B uiusls ue traces disparaissent ae la circu- l. esm euque ciselure au lempie saini qui uureau ae i arrondissem ent a décidéi t l ? Q F I Y I f l t f l O l l S lation. Ou vont-ils ? La Banque de France I charm e inlassablem ent la vne, e t porte j se rendre en la mairie de Sainte-Mère-

___________ : Ies fait ren trer et les détru it parce que. invinciblement i’àme vers son Hôte, ie j Eglise le dim anche 23 courant, à 2 heuresparait-il, il y a trop de faux billets de 20 fr ! suprême auteur de toutes les merveilles, { de l'après-midi el

Les Ecrémeuses ALFA-LAVALSont le s m eilleurs.

Vous les trouverez à la

Maison H . MARTEL31, rue de Poterie à VALOGNES,

(R. C. 2.116)qui en asssure toutes réparations et fourni le s H uiles spécia les pour ces écrémeuses*Police Correctionnelle

Chem ins de fe r de l'E ta tL’Administration de Chemins dr fer de TEtal,

toujours soucieuse d'accorder au public de nou­velles facilites de circulation sur les lignes, vient de s'entendre avec la Compagnie Anglaise du Southern Bailway pour qu'a partir du 15 No vembre 1924, les voyageurs porteurs de billets aller el retour de Pans el Bouen a Londres via Le Havre-Sonlhamplon aient la possibilité d'ef­fectuer leur voyage de retour viâ Ncxhaven- Dieppe, sans supplément de prix. Celle facilité s'étend aux voyageurs de la ligne Dieppe New­haven oui désireront revenir par Seuil,amplon- Le Havre.

L’affranch issem ent des envois à l ’é tranger

En raison du nombre croissant des rér ia mat ions provoquée par finsuffisance dafranchissement des objets de correspondance à destination de r étranger, J'A dmic ; s tralion des Postes et des Télégraphes, croit devoir rappeler que ies taxes actneilemenl applicables à ces envois sont ies suivantes

Lettres : de 0 à 20 grammes 0 fr. 75 . au- dessus de 20 grammes, par dOgrammes ou frac­tion de 20 grammes, O fr. ¥j .

Cartes postales . pour la carte simple el pour chaque partie tfr la carte avec réponse payée. O fr. 45

En échange, la Banque de France cous | d isparaîtra quelque peu, pour la circons- donnera bientôt, dit-on, un nouveau type de ; tance, sous les magnifiques tentures et

draperies des grands jours, discrètement combinées avec goût.

billet de 20 fr.A propos de la rév ision de la valeur lo ­

c a tiv e .— Dana le bat d'augm enter ies impôts, on va donc réviser la valeur locative des immeubles bâtis. Mais, cette valeur locative vient d’être fixée par la loi, puisque les loyers de 1914 ce peuvent être ausmentés que dans certaines proportions.

Supposons une maison louée 2.000 francs Tlî Dii é C e r ’oar?

La chorale se fera entendre messe et aux vêpres.

La Jeunesse Catholique avec sa donnera également son concours.

Les offices seront célébrés par M. le Cha­noine Poignant, curé-archiprètre de Sainte-

la grand’

üque

Papiers d'affaires : par 50grammes ou fraction de 50 grammes,

avant ia guerre et vendue depuis iOO.ûûü fr. Au taux actuel de l’argent et sans parler des impositions, ; habitation achetée lOû-ûüû fr. jo süüera it an loyer de 6.000 fr. environ. L'Etat, après la révision, d ira :

L’immeuble a été payé récem m ent 100.000fr. je lui donne une valeur locative de 6.000 i fr. : aiors j'établis l'impôt en conséquence ! i

Cependant, ia même maison était louée précédemment 2.000 fr. ; Hausse maximum de 50= “ i.ôûû fr. ; Valeur actuelle, d'après la loi, 3.600 fr. P

Voilà donc le fisc pris en défaut, puisqu'il veut faire payer l’impôt sur 6.000 fr* et que, îa loi en main, ’

Enfin le sermon sera donné par le R. ? . Maillard, prêtre distingué de l'Oratoire.

P aro isse Saint-M alo. — Chants qui seront exécutés Dimanche prochain :

1er, Heure Douce, Saint-Saèns.2e, O Saiutaris, Gounod- 3e, Agnus Dei, Gounod. i t , Ave M aria, X ...5*, Oremus Pro Ponlifice, X . . .6*; Tantum Et go. Choral ancien. R évision des évaluations cadastra le s.—

de procéder à la forma­tion d ’oc nouveau bureau.

Tous les anciens com battants de ce canton y compris les membres des bureaux des sous-sections sont invités â se rendre à cette réunion au cours de laquelle seront exposés le mécanisme de ia caisse de re ­tra ite des Anciens Combattants et les avan­tages qu elle présente.

— Dans le même but, c’est-à-dire en vue de fournir tous éclaircissements su r la caisse de retraite , une réunioD des Anciens Combattants au ra lieu le m êm e jo u r en ia M airie de Sain te-M arie-du-M ont. à 11 heur e t du m atin en la M airie de Monte - bourg à 4 heures 30 de r après-m id i.

Tous les cam arades ae ces communes et des environs qae cette caisse de retraite intéresse, ou qui veulent en connaître les avantages, n 'anront qu’a être présents à l’une de ces réunions où des explications détaillées leur seront fournies.

Le Secrétaire-Général, Pil lc -Rolano.B lessé par une ruade. — Lundi l'après-

midi, M. Eugène Desmares, cultivateur au

, G f r . m in im u m . O f r .

Lundi dernier, la p lupart des maures del’arrondiæem ent de Vaiognes, répondant à w _____ T __________l’appel des conseillers généraux, se sont j Gravier, adjudicataire du service des boues

. propriétaire sera-t- réunis à la m airie pour discuter l’im- ; de la ville,se trouvait rue Alexis-de-Tocque-;on l. imposé so rtie s revenus qu’il n 'a pas en portante question de la nouvelle évaluation I ville, avec son tombereau. Un employé de/o. I faut e t qu'il n a pas le droit d 'avoir. cadastrale. 1 l’osine Breteî vint à passer, conduisant nn

Audience du 7 NovembreMoniebourg. — Dans sa dernière audience, ie

Tribunal avait mis en délibéré l’affaire du jeune manœuvre de Moniebourg, inculpé de vol d’argent au préjudice d’un ouvrier cimentier. Aujourd’hui, le Tribunai ordonne l'examen mental du jeune prévenu et commet M. le docleur Viel, de Ponl- l’Abbé-Picauville pour y procéder.

Négreville. — Une jeune servante âgée de 13 ans, placée chez un propriétaire de ia commune, déroba nne paire de bas au préjudice de ses patrons et prit î fr. 25 dans le portemonnaie d’une auire servante de la maison.

Citée devant !e tribunal pour enfants, la jeune üiie est aquitlée comme ayant agi sans discernement et remise à sa mère, habitant Né­greville.

— Le 23 août, la femme Siiolle Ernest, née Sevaux Blanche, 26 ans, couturière au hameau Brisset, au cours d’une discussion avec sa tanta, la femme Hoslingue Pau!, ménagère au même lieu, lui porta des coups avec un vase en émail. Le mari Hoslingue Paul, 28 ans, cultivateur, étant ailé demander des explications a la femme Sitoile, la querella reprit entre l’oncle et la nièce. Sai­sie par !o bras, ia couturière fut renversée â terre.

Pour avoir frappé sa tante, ia femme Sitolle est condamnée à 50 franca d’amende avec sursis. La même condamnation est infligée à Hoslingue P3ul pour avoir malmené sa nièce.

Saint-Vadst-la-Hougue.— Le jour des régates, Contamine Anguste. 32 ans, marin-pêcheur à Samt-Vaasl, so trouvant à bord du « Colibri », tomba à la mer. li reprocha â son collègue Colin Désiré, qui le suivait à peu de distance, pilotant le bateau « La Cocarde » de ne pas lui avoir porté secours. Colin affirme n’avoir pas vu l’accident. Le lendemain, reprochant à son collègue ea con­duite en la circonstance, Contamine le frappa d'an coup de poing qui !e blessa â la ièvre. Contamine paiera 16 francs d’amende.

Sainl-Jacques-de-Néhou. — Le Tribunal rend son jugement dans la poursuite pour bris de clôture intentée contre Mme Novince. Cette dame, née Mauger Marthe, avait enlevé une vitre, déjà brisée, pour lui permettre d'ouvrir la fenêtre el de pénétrer dans la maison de ses parents, restés mdivise, afin d’y enlever du mobilier lui appar­tenant. Estimant que, sur ie refus de son frère ds lui remettre la clef, Mme Novince aurait agi ainsi sans intention coupable, ie Tribunal ia renvo e des fins de ia poursuite sans dépens.

— M. Thomas François, charretier à l'entre­prise Voisin, avait loue une maison et jardin de Beriol Pierre, 32 ans, propriétaire an hameau Fan- j vtl. Ceiui-ci, contrairement anx affirmations de ; locataire, prétend s'être réserve la jardin. Le j dimanche 17 août, iî voalnt y pénétrer. Mai» M. Thomas s’y opposa et l'invita à partir, furieux, j ie propriétaire ini asséna nn coup da bâton et le frappa à coups de poing. Berloî qui a déjà été ; condamné, méconnaît ies faits. Le Tribunal lui •' octroie 6 jours de prison.

Portbsil. — M. Vasüer Eugène, journalier â Portbail, étant alié le i*' septembre â la foire de ! Fiervilie, rentra en voilure, ver» 9 henrts du »oir. : en compagnie de son beau-frère Poret Pierre, 2* ; ans, cultivateur à Porlbafl et ds .a femme de ce i dernier. La femme Vautier, née Poret Maria, 28 a es, üt observer leur retour tardif. Son frère se : répandit alors en reproches envers sa soeur, rameuse, ceile ci voulut passer son frère dehors, puis saisit au bsîon pour i es frapper. Poret le in; arracha des mains. Dans >a qasrelie. ie frère et la sœur ont été blessés.

Poret me avoir frappé; as contraire, ii aurait reçu uns giSe.

Incu pés de coups réciproques. Poret et ia femme Vautier sont condamnés â 25 fr. d’amende chacun.

Sjtf3rT-G«a*ADr-D2-Toc*X£8trT- — La femme ■ Bachelit, née Ailix Louise, 34 an», ménagé'» à ra:nt-Germain—de- i osreebul, était sur sa porte, ie iô août, quand Bodioc Louis, 56 ans, carrier au ; mêm= heu, vint mi défendre de iaisser ae* enfants aller dans 13 carrière. Ce fui le motif d'une discus­sion. A ox injures sscoédèrent ies coup». Malmené.. Bodicu repoussa la femme Bachaieî qui tomba a terre, riposta à coups d'ongles e! gifla le carrer, Comme excuse e le i lègne que Bodioc voulait j pénétrer chez elle pour tout briser. I

Tous deux sont prévenu* dé coups réciproques. Mais, tandis qubl condamne la femme Bachelel à16 fr. d'amende, le Tribunal acquitte le carrier.

— Le y courant, M. Lecharbonnier Jules, garde- particulier des propriétés deM. Berlin de la Hau- tiére, surprenait Louis François, 18 ans, journa­lier à Tamerviile, faisant chasser trois chiens sur les lerres confiées à sa garde. Invité à se retirer, Louis s’y refusa, ajoutant qu’il chasserait quand bon lui semblerait. De plus, il iojuria et frappa le garde à coups de pied en proférant à son adresse des menaces de mort.

Pour ces faits, Louis est condamné à 6 jours de prison avec sursis et 100 fr. d’amende. De plus, comme il n’avait pas de permis, il devra verser 100 fr. coût du permis général.

Sainte-Colombe. — Mme Veuve Valogues, cultivatrice à Sainte-Colombe, aysnt, le 10 septembre, laissé divaguer son chien lévrier, se voit infliger 50 fr. d’amende avec sursis.

Bricquebec. — A differentes reprises Cardet Victor, 24 an», conducteur d ’autos a Cherbourg, vint la nuit chez son beau-père, Poirier Pierre, 45 sas, bourrelier chasse Ferrüe, à Bricquebec. Au cours de ces visites les noctambule» discu­taient fort et troublaient le repos des voisins.

DanB la nuit du i t au 23 août, Cardet et son beau-frère Poirier Edmond, employé a la laiierie de la Cheanée, arrivaient en auto â Bricquebec. Le bourrelier n’etant pas rentré ils allèrent le chercher chez un propriétaire du Vrétot où il avait travaillé dans la journée. A deux heures du matin ils étaient de retour. Mais chasse Ferrüe, une dispute eut lieu entre Cardet et son beau- père. On discuta fort, puia on en vint aux mains. Le fils Poirier dut » interposer et, tandis que son père rentrait chez lui, il repartait en auto avec son beau-frère.

Cardet et son beau-père, Poirier Pierre, sont poursuivis pour coups réciproques et tapage nociurne. A chacun ie tribunal inflige 48 heu­res de prison et 25 fr. d’amende pour le délit et 15 fr. d'amende pour la contravention.

— Sslley Jean, 45 ans, distillateur a Bricque­bec, rue de Bailly, est cité pour repondre des coups qu’il a portés, le 10 septembre, à sa femme, née Hébert Louise. Salley reconnaît les fait» mais déclaré qu’il aurait été provoque pas sa femme. 25 francs d'amende.QimONIQUS RE& IONAIS

S ain t-Jo seph . — Accidenta — Vendredi dernier, 7 novembre, M. Roui! Henri, négociant à Sainte-Mère-Eglise, revenait de Cherbourg en automobile. A Saint-Joseph, lieu dit La Frette, après avoir prévenu en actionnant son klacson, il dépassa un camion automobile, conduit par le chauffeur Malard, au service de M. Quevifion, camionneur a Cherbourg, qui se dirigeait ég le- ment vers Vaiognes.

Alors que l’automobile se trouvait à la h iu- teur du camion, celui-ci appuya sur la gau :he et la roue avant du lourd véhiculé heurta cilié arrière de la torpédo. M. Rouil arrêta aus»itô: et vit le camion, l’avant dans la haie, du côté d.-oit de la route. La torpédo ayant son pont arrière déplace, était immobilisée. Le camion paraissait indemne. Il n'y a pas eu d’accident de per­sonne.

B rix ." — E ta t-civil. Mois d'octobre. — Naissances : Madeleine-Louise-Au»gustine Gillette, au hameau les Queanes ; Louis-Jean-Desire Adam, au hameau Laisné.

Mariages : Auguste Dupont, employé aux chemin» de fer a Gassicourt et Aiice-Louise- Prudence Doguet, à Brix ; Emest-Auguste- Alexandre Pasquier,cultivateur à Brix et Marie- Aurélie-Rosalie Hamel, à Brix ; Auguste-Alpbonse- Désiré Cottebrune, cultivateur â Bricquebec et Gabrielle-Jeanne-Augustine Delahaye sans pro­fession a Brix.

Décès : Louis-Joseph-Michel Fafin, 20 ans, au hameau Adam de Haut ; Jean-ThomasDoueanard, 69 ans, à l’Avenue du Val ; Joseph-Jean-Louis Pesnel, 20 an», au hameau Malo ; Jean-Pierre- Déairé Dufour. 74 ans, à la rue Ludet ;Jacques- Auguate-Déeiré Leblond 82 ans, à la Lande ; Timothée-Armand Napoléon, 72 ana, au Câble.

Sans lanterne. — Procès-verbal a été dressé à Mn* Chislard Désiré, cultivatrice à Brix qui, vers 6 heures du soir, était rencontrée par les gendarmes, au Mont à la Quesae, avec sa voiture a âne non éclairée.

HGNTEBOUR6Anciens Combattants. — La réunion an­

nuelle de l’Association des Anciens Combattants du canton de Montebourg, aura lieu à l'Hôtel de Ville, le dimanche 23 novembre, a 3 heures.

A 4 h. 30, le President de l'Association de l’Arrondissement, accompagné de son bureau, viendra entretenir les Combattants sur la caisse du retraite creee par î’U. N. C.

Les Camarades eont priés de venir en aussi grand nombre que possible â cette réunion.

Le Président : E. Rlet.D éfaut de carnet. — Bakary Fenda, sujet

sénégalais, âgé de 32 ans. a été arrêté par la gendarmerie de Montebourg pour avoir voyage sanB s’étre fait délivrer de carnet anthropomé­trique d’identité.

Accident. — M. Delabrousse, propriétaire, rue des Juifs, se rendait aValogaes, a bicyclette,

i lorsque tout a coup la fourche de sa machine se brisa. Projeté â terre, M. Delabrousse fut relevé avec des blessures assez sérieuses et transporte chez lui.

E ta t civil. — Décès : Jean Hameün. priétaire, 79 ana, rue Grande-Rue.

M arché. — Beurre, 12 fr. le kilog ; œuf», 10 fr. la douzaine ; poulets, 18 a 22 fr. le cou-

j pie ; pouleB, 24 à 28 fr. le couple ; lapins gras, j 12 à 15 fr. ; petit» lapins, 3 â 5 fr, ; canards 18

a 20 fr. le couple ; choux à planter, 6 a 7 fr. le I cent : glui, 0 fr. 40 à 0 fr. 50 le 1/2 kilo ; pom- | mes de terre, 22 â 25 fr. ie demi-hectolitre ;| potnmeB a cidre, 100 fr. le» 1.000 ki|09.

V audreviile . — E ta t civil. — Publication: Jules Lefèvre, employé de» chemin» de fer, a Sarquigoy et Aiphonsine Lahougue, sans pro­fession â Vaiognes.

Em ondeville. — E tat civil. — Publication: Victor Trobcl, ouvrier agricole à Emondeville et Pauline Biestel. sanB profe«sion a Azeville.

Naissance : Roger Le Roux, â ia Basse Emon­deville.

Mariage : Albert Leblond, ouvrier agricole à Sainte-Mère-Egiiae et Marie Lamacbe, ouvrière agricole, â Emondeville.

S ain t-C yr. — E ta t civil. — Naissance : Madeleine Leroux, école publique de Saint-Cyr.

Sain t-M arcocf de-I l3le. — E ta t civil. — Naissance : Alfred Lemarié, ferme du Château.

S ain t-M artin -d A udouviH e. 9 novem ­bre. — Saint-Martin était en lie»«e. ce dimanche de l’arrière saison. C'e»t que la Bienheureuse Thérèse de l'Enfant Jésus s'installait dans son église toute claire, toute blanche. Noue aurons longtemps devant ies yeux la virion du temple tout orne de verdure et de rose», ecîoies en des mains habiles et disposées avec goût; de cette foule nombreuse qui, a la grand messe et aux vêpres, vint rendre hommage a l'humble Car­mélite.

Les ceremonies de la journée furent présidée» par M. l'Abbé Piet, cbapeiain-episcopai, direc­teur honoraire de l'Institut Saint-Paul, qui donna à la magnifique statue la bénédiction liturgique.

M. l'Âbbe Pinel, aumônier de Notre-Dame de l'Etoile à Montebourg. sut trouver ies accents d'un* éloquence prenante pour exalter la pieté de» fide.e» et ceisbrer le» vertu* de ia Petite Fleur du Carmel.

A tous le» offices, l'harmonium son tint le» étant» et les cantique» en l’honneur ds la bien heureu»* forent enieve» avec entrein. Pais le •oir, par une faveur tocs» »peci»ie. ,e? habitant» portai venerer — ce qa ii» firent tous avec empressement — an» relique de la sainte reli­gieuse.

Que ranima leur de estte fête. M. l’Abbé FeuiiSe desservant de la paroi»»*, veuille bien trouver id l’expression de la gratitude de *e* paroi**i-ne qui esperent que bientôt ii leur #era donne de revoir une aus»i belle journée comme ü Je leur a du reste bien oromi».

Saint-G erm ain-de-ToarB ebti. L 'a r■mUtice. — Mardi dernier. Il novembre be'-!ê manifestation a Saint-Germain. La Mairie était le tien tout indique pour le msnemblesE-»» *.1* defiie comprenait ie» enfant» de» Ecoles }e

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Page 2: t t i M smediatheque.mairie-valognes.fr/wp-content/uploads/... · qui s'appelle la loi contre la hausse illicite. Des saboteurs de marque, c’est toute cette franc-maçonnerie installée

Mai.e avec le Coueü Municipal et le. Aade». J objet! et 1 H o ^ V f ^ e t e v é e sans connaissance. Sono cimetière M le Curé reçoit le I côte, M. Gui bert c o u t 'I . que ae. timbres- ; é tat est assez grave.

cortè'erètYait” à chaque groupe lea honneur, de ! poate, place, dan» un tiroir Je sou bureau, i po rib a il. — Bons disparus. - M“ ' _ ■ „t- „ " i diminuaient rapidement. I Henry Jules, née W agner, eultivatiice a

Combattants.A l’entrée du i

lesi diminuaient rapidenr; La bonne fut soupçonnée. Partie passer ! fêles Toussaint chez son père a Carentan.! elle rentra le 3 novembre. Dès ton retour la I gendarmerie opéra une perquisition dans sa I chambre. K'ie fut fructueuse. Les gendarmes i découvrirent 12 nappes a beurre, un litre d huile

son église.La belle église a revêtu une décoration de

circonstance : lea tentures funèbres sont disciè tement melées aux couleurs nationales ; le catafalque est imposant.

L'office sedérouîeavec la solennité qui convient.Il fait bon entendre M. le Curé qui évoque

en des sentiments élevés, mis a la portée de tous, le souvenir de l'armistice avec les grandes levons de cet événement. Il réclame pour nos soldats morts la gloire, la reconnaissance et laprière pour constater qu’a Saint-Germain les ... .Anciens Combattant» ont bien compris ce triple I Angot teconnul egalement qu en di 1er, nies devoir qui est du au , Mo.l., i foi», elleav.it pn . envi,ou une dizaine de franc.

Précédé du clergé le défilé s'organise de nou- ! dans le portemoonate de sa patronne....Innr du cimetière, défilé rouet où chacun La jeune femme a ete ecrouee à la maison

d ’olive, un carnet renfermant 39 timbres- poste de 0 fr. 25. La femme Angot reconnut avoir pris nappes et huile a sa patronne, mais prétendit avoir acheté les timbres.

Au moment de son arrestation, ia femme

! Henry Jules, née W agner, cultivatrice ! portbail. vit depuis quinze ans, sous le j régime de la séparation de biens avec son i mari. Le 3 courant, Jules Henry, qui ts t i employé au restaurant de la Poste, ch>z M. i Poisson, a Périers, vint, à P o rib iil et pria

sa femme de lui ouvrir la porte de sa maison contiguë à la sienne, ce qui fut fait . j^me iLiury étant sortie, au ia it trouvé a,

son retour, son uiari occupé à fouiller le lit lui avant demandé ce qu il faisait là, i

veau autour du cimetière, défilé muet oii chacun marche dans un silence recueilli, tandis que les cloches sonnent le glas. La foule se masse au­tour du monument, on chante le Libéra, et les enfants des écoles déposent pieusement sur les marches de granit de forts jolis bouquets.

Ceux qui pieuxcœent sont morts pour la Patrie Ont droit qu’à leur cercueil la loulc vienne et prie.

SAtNTE-M È RE-ÉGLISE

A rrêté dans ses voyages. — Débarqué à Marseille le 5 octobre. Sahad Louis, 36 ans, sujet américain, se rendit a Paris pour chercher du travail. Il passa ensuite en Belgique, revint a pied jusqu'à Paris, gagna Cherbourg et se diri­geait sur Le Havre, quand lea gendarmes de Saint-Mère Eglise lui demandèrent ses papiers. Sans profession, ni domicile, Sahad qui ne possé­dait ni carnet anthropométrique, ni carte d’identité, parut tout étonné d’apprendre qu’il lui fallait se faire délivrer ces pièces pour voyager en France. Arrêté, l’américain a comparu mercredi devant le tribunal qui l’a condamné à 8 jours de prison et à 5 fr. d'amende.

R avenov ille . — Fidèle à la tradition établie depuis plusieurs années, Ravenoviüe a célébré comme il convient l’anniversaire de 1 armistice.

D’abord, un souvenir ému aux morts de la guerre a réuni toutes les familles à un service religieux après lequel lea anciens combattant», accompagnés de la municipalité et les enfants des écoles se sont rendus à l’école des garçons où un vin d’honneur a été servi. Les accents de La M arseilla ise firent vibrer un instant tous les cœurs d'un patriotique enthousiasme, et tout le monde se retira impressionné a la pensée de la grande tourmente où sont disparus tant de bons Français.

SA1MÏ SAUVEUR LE-VICOMTE

Une jeunesse q u i prom et. - - Noua ayons relaté la semaine dernière l’arrestation d'une femme Angot, servenle chez M. Guilbert, huis­sier a Saint Sauveur-le-Vicomte.

La femme Angot, née Lepelletier Marie, 47 ans, mariée depuis peu, et déjà en instance de divorce, s’était placée chez M. Guilbert.

Les premiers mois qu’elle était a son service.Guilbert constata que sa domestique faisait

des dépenses exagérées en raison de son gain. Plus lard, elle remarqua la disparition de divers

* jeune 1d ’arrêt de Yalogaee, en attendant aa comparution devant le tribunal.

Ivresse. — Beuve Loui», employé a la Laitet rie de Nrhou, rencontre le 3 novembre en eta- d’ivresse a Saint-Sauveur-le-Vicomte, a été cueilli par les gendarmes et déposé, pendant quelques heures, a la chambre de sûrete pour y cuver son vin. En lui rendant la liberté, les gendarme» l’ont gratifié d’un procèa verbal.

La lam pe électrique é ta it dans sa poche. — M. Sourgoise Pierre, cultivateur à Saint Jacques-de-Nefcou, était rencontre dans le bourg monte sur sa bicyclette dépourvue de lumière. A la vue des gendarmes il tira de sa poche une lampe électrique et la clarté brilla Mai» he.la» ! malgré ce geste prompt, il apprit que le fait de posséder en poche une lampe électrique, ne suf­fisait pas et récolta un procès-verbal.

Fourrure perdue. — Il a été perdu, dans l'après-midi du samedi 8 novembre, sur la route de Rauvilie-la-Place à Saint Sauveur le-Vicomte, une grande fourrure noire, neuve, doublure satin marron. Prière aux personnes qui l'auraient trouvée de la remettre soit a M. l’Agent de ville de Saint-Sauveur-le-Vicomte, soit a M“ c Tatard, mercière a Pont-l’Abbe-Picauville. H y aura récompense.

Contributions indirectes. — M. Portais, vérificateur des Contributions indirectes à Saint- Sauveur-le-Vicomte, est nommé vérificateur, eisant fonctions de receveur à Saint James en remplacement de M. Datin, maintenu vérifica- feur à Granville.

N éhou. — Le parricide Travers. — La quatrième session des assises de ia Manche s'ouvrira à Coutances le lundi 8 décembre.

A cette session, reviendra l’a fl aire du parricide Travers, qui fut renvoyé* à la demande du dé­fenseur par suite de l'ahseaee U'un témoin.

A la session de septembre, Travers nia avoir étrang’è 9a mère. Depuis lors, il aurait passé des aveux.

BARSEVILLEAccident de voiture. — M. Gustave Ro­

bert. m aître d’hôtel, se rendait à Portbail, accompagné de sa mère, quaud sa voiture en tra en collision avec celle de M. Leballois, cultivateur. Le choc fut si violent que les deux occupants de la voiture de M. Robert

lui ayant demandé aurait répondu : « Je suis chez moi et fibri­ne faire ce que je voudrai ». Des échange.' de coups résultèrent de cette riposte. Peu aptês M“ e Henry constatait la disparition d’une boîte à lait placée sous laquelr*contenait quatre bons de la Défense Natio­nale de 1.000 fran cs 3 billets de 20 franc et un billet de 50 francs, qu’elle accuse so mari de lui avoir pris. Uoe perquisition pratiquée dans le local habité par H m y . n’a donné aucun résultat ; celui ci, d ailleurs, nie énergiquement le vol.

S ain t-P ierre d a r tb é g lise .— Fête de Tar- m istice et bénédiction d'un drapeau. — Les Anciens Combattants de Saint-Pierre-d Ar- théglise ayant fait l'achat d’un magnifique drapeau, la fête de l'arm istice a été reportée au dimanche 15 novembre, avec- bénédiction du drapeau.

Programm e :A 10 heures, réunion des anciens combat­

tants à la mairie e t remise d’insignes.10 heures 1 4, départ du cortège composé

des anciens com battants et mobilisés de la grande guerre, auxquels se joindront le Conseil municipal et les enfants de l'école,

10 heures 1/2, réception du cortège par le clergé à l’entrée du cim etière. Bénédic­tion solennelle et remise du drapeau par M. le Doyen de Barneville. Allocution. — Salut au Drapeau. — Grand’messe suivie du Te Deuw. •

Soir. — A 2 beurps 45, pouyeau défilé ses anciens com battants de la m airie à péglise. Vêpres et cérémonies funèbres à la Ré- moire de nos glorieux m orts ; chants patrio tiques ; dépôt de fleurs au pied du monu­ment ; appel des m orts ; absoute ; salut solgppel. i

Retour 4.4 cortège à 1a mairie, distribu­tion de gâteau* au£ enfants des écoles.'et vin d’honneur aux anciens cqm&attapts.

QUETTEHOUFête de VArm istice. — Une réunion de*)

Anciens Combattants a eu lieu dimanche ; il a été décidé que U fête de l’Armistice serait reportée à dimanche prochain. Voici le programme :

Réumofi 4es Anciens Combattants de 1914 et 1870, à la Mairie, à $ h. 30. Défilé à l’église, drapeaux en tè te ; enfants écoles, Conseil Municipal e t Anciens Com­battants. Messe. Manifestation au Monu ment des Morts, avec le chant du « De Profun- djs ...

Distribution de pain aux pauvres.

B arfleu r. — Ecrasé par un wagon. — A . Paris, M. V ictor David, âgé de 58 ans, né à | Barfleur. dem eurant à Vitry, a été écrasé en | gare de Vitry-Marchandises, par un wagon j en m anœ uvre.

CHERBOURGT ou rlav ille . — Un homme sérieusem ent

blessé p a r une explosion. — Un bizarre accident sV.-t produit mercredi soir, à la G m rrand-rie . en Tourlaville : M. Travers, garçon livreur, demeurant rue du Val-de- Saire, à Cherbourg, passait rue Thiers, à Tourlaville, conduisant son attelage, Ion que soudain, s ’étau t penché pour r< garder la roue de son véhicule, il reçut en pleine face ur, mystérieux projectile en même temps qu’une form idable détonation déchirait l’air. Blessé à la face, ayant un œ il atteint et perdant sou sang en abondance, M. Travers fut conduit d’urgence ch-z M. le docteur Canuet. Les recherches faites jusqu’à pré­sent ont perm is de découvrir que le mysté- lieux engin dont il s’agit est un pétard à griffes, semblable à ceux dont se servent les gardes barrières pour indiquer aux chauffeurs que la voie n’est pas libre. Les débris 4e cet explosif ont été recueillis par ia gendarm erie qui a constaté la présence de deux détonateur*. Le Parquet a été saisi de ce tte étrange affaire.

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leur exposition : MM. Angot et Gravelle, de. Valognes.

Mal de doset mauvaise Santé

Toute personne qui soutire <J un niai de dos, même léger, doit craindre que ce mal de dos ne soit le signe d'une fai­blesse ou d ’une maladie des reins et doit se soigner en conséquence.

Dès que les reins fonctionnent mal. la santé devient mauvaise. Beaucoup de ma­laises, comme îa lassitude le matin au ré­veil, les maux de tête, les vertiges, l’inapti­tude au travail, ont pour cause le mauvais fonctionnement ou la faiblesse des reins.

Dès que les reins sont fortifiés, les malaises disparaissent, car l’acide urique est alors chassé régulièrement. C’est pour­quoi les Pilules Foster sont si efficaces lorsque la santé laisse à désirer. Elles sont souveraines contre le mal de dos et contre l'acide urique. Il suffit de les essayer pour ressentir leurs bons effets. Elles n’ont aucune action sur le cerveau, le cœur ou l’estomac, elles peuvent être continuées sans danger, et. dans les cas de rhuma­tisme, de sciatique, de goutte, d’hydro- pisie (enflure des chevilles) elles donnent des résultats souvent inespérés. La bcûse % fr, 60, la double boîte g fr. 6o. Toutes pharmacies ou franco H. Binac, Phar. macien, 25, rue St-Ferdinand. Paris-17.

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L’adjudication au ra lieu le Sam edi 13 Décembre 1924, à 2 heures de l’après-m idi, en l'étude et par le mi­nistère de M e M allet, N otaire à Saint-Vaast-la- Hougue.

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Mise à prix : 1.200 francs.Cette vente se poursuit en vertu

d’un jugem ent su r requête du Tribu­nal civil de Valognes, en date du 7 octobre 1924, rendu sur la demande collective de :

1° MDe M ane-Berthe-G abrielle Ba- zile. épouse assistée et autorisée de M. Jean-Louis H eurtevent, marin, avec lequel elle dem eure a Saint- V aast-la-Hougue ; 2° M. Joseph Le- paslier, com m is-greffier au Tribunal civii de Cherbourg, agissant en sa qualité d’adm in istra teu r provisoire et comme m andataire spécial de M. Louis-Henri Bazile, m arin-pêcheur, actuellem ent in terné à l'asile d’a lié­nés de Poni-l’Abbé-Picauville, fonc­tion a laquelle il a été nommé par jugem ent du Tribunal civil de Cher*

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