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30 e Année - N.° 294 JUILLET - AOUT 1984 -tíA LE ARE S "LES CADETS DE MAJORQUE" Association Etrangère Autorisée par le Ministre de l'Intérieur FRANCISCO VICH, 1953 - ABBE JOSEPH RIPOLL, 1979 DIRECTION REDACTION ADMINISTRATION: 20, Avenue Foch - 66400 CERET LA SIERRA DE TRAMUNTANA A pesar de ser Mallorca una isla de moderadas dimensiones, tiene zonas perfectamente diferenciadas en paisaje y producción. La sierra de tramuntana, que comprende una longitud de un centenar de kilómetros, desde San Tel- ino -o la Dragonera- hasta el cabo de Formentor, es completamente distinta a las llanuras cerealistas del centro y sur de la isla. La montaña tiene un tipo de explotación agrícola-forestal-ganadera específicamente propia que por la con- figuración del terreno no permite un empleo extensivo de la mecanización. Este es su handicap que la soslaya para seguir el ritmo actual de progreso. De ahí proviene su escasa —o negativa— rentabilidad dados los costes actuales de los métodos primitivos de trabajo. Por eso d cultivo de dicha sierra se degrada ostensiblemente. El descuido o abandono de los terrenos se generaliza notoriamente. Se derrumban sus infini- tos bancales, construidos, en el pasado, con tanta profusión y sacrificio. Se si- guen arrancando los viejos olivos —pese a todas las protestas— tan caracterís- ticos de dicha zona para aprovechar su Hermoso mirador en la Sierra de Tramuntana. Estallenchs (Mallorca). madera tan bonita y hacer con ella souvenirs. Y esto si que hará cambiar, lamentablemente la fisonomía peculiar de la montaña mallorquina. El interés y la productividad son razones muy pode- rosas y determinantes para esas decisio- nes irreversibles. Aquellos troncos que configuran for- mas tan diversas y siempre originales que han perdurado al paso de los siglos resistiendo todo tipo de contratiempos (Termina en la página siguiente) NOS PLAGES Selon la revue "Ciudadano" (équivalent espagnol de "50 mi- Lions de consommateurs"), les pla- ges de Majorque sont les meilleu- res d'Espagne. D est évident que c'est là une bonne nouvelle, sur- tout pour une île qui vit presque exclusivement du tourisme de pla- ge. Ladite revue donne "cinq étoi- les" (le maximum) aux plages de S'Arenai, de Cala Millor, de Ca'n Picafort, d'Alcudia, de Palma Nova et de Magalluf; et "quatre étoiles" à plusieurs autres belles plages comme Cala Santany, Plat- je d'En Repic (Pto. de SoBer), Camp de Mar, Paguera, et Cala Mayor. Le reportage qui examine la si- tuation de deux cents plages de toute l'Espagne, tient compte de l'existence de divers services tels que: signalisation de l'état de la mer, service de secours aux no- yés, premiers secours, eau couran- te et douches, lavabos; mais aussi de la présence de déversements d'eaux sales sur la plage ou près de la plage. Les auteurs ont fait analyser le sable des plages pour déterminer le niveau de contamination. En général les résultats sont favora- bles et optimistes; mais il faut préciser que les analyses ont été faites en avril-mai, au moment les plages sont désertes, et où la température fraîche et les pluies freinent le développement des virus. C'est ce qui explique que Palma Nova et Magalluf ont été classées "cinq étoiles" du point de vue de leur infrastructure (et elles le méritent bien), mais elles auraient été "déclassées" si les analyses avaient eu lieu en juillet et août Les parents le savent bien, et vous verrez peu d'enfants majorquins sur les grandes plages; car ils préfèrent les petites "ca- las" moins bien équipées, mais moins contaminées, même si elles sont apparamment plus sales (plastiques, bouteilles, boites de conserves, que personne ne ramas- se). Le reportage de "Ciudadano" tient également compte du niveau d'insécurité existant dans chaque région, et là, naturellement, les Baléares sont mal placées. Ú est évident que l'avalanche touristique de chaque été, attire inévitable- ment toute une armée de délin- quants, voleurs, escrocs, filous, voyous, chenapants, pickpoquets, et autres... n n'en reste pas moins, et c'est un devoir pour nous de le souligner: les plages de Majorque sont les meilleures d'Espagne. A. s.

-tíA LE ARE S

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Page 1: -tíA LE ARE S

30e Année - N.° 294 JUILLET - AOUT 1984

-tíA LE ARE S"LES CADETS DE MAJORQUE" Association Etrangère Autorisée par le Ministre de l'Intérieur

FRANCISCO VICH, 1953 - ABBE JOSEPH RIPOLL, 1979

D I R E C T I O N R E D A C T I O N A D M I N I S T R A T I O N : 20, Avenue Foch - 66400 CERET

LA SIERRA DE TRAMUNTANAA pesar de ser Mallorca una isla de

moderadas dimensiones, tiene zonasperfectamente diferenciadas en paisaje yproducción. La sierra de tramuntana,que comprende una longitud de uncentenar de kilómetros, desde San Tel-ino -o la Dragonera- hasta el cabo deFormentor, es completamente distinta alas llanuras cerealistas del centro y surde la isla. La montaña tiene un tipo deexplotación agrícola-forestal-ganaderaespecíficamente propia que por la con-figuración del terreno no permite unempleo extensivo de la mecanización.Este es su handicap que la soslaya paraseguir el ritmo actual de progreso. Deahí proviene su escasa —o negativa—rentabilidad dados los costes actualesde los métodos primitivos de trabajo.

Por eso d cultivo de dicha sierra sedegrada ostensiblemente. El descuido oabandono de los terrenos se generalizanotoriamente. Se derrumban sus infini-tos bancales, construidos, en el pasado,con tanta profusión y sacrificio. Se si-guen arrancando los viejos olivos —pesea todas las protestas— tan caracterís-ticos de dicha zona para aprovechar su

Hermoso mirador en la Sierra de Tramuntana. Estallenchs (Mallorca).

madera tan bonita y hacer con ellasouvenirs. Y esto si que hará cambiar,lamentablemente la fisonomía peculiarde la montaña mallorquina. El interés yla productividad son razones muy pode-rosas y determinantes para esas decisio-

nes irreversibles.Aquellos troncos que configuran for-

mas tan diversas y siempre originalesque han perdurado al paso de los siglosresistiendo todo tipo de contratiempos

(Termina en la página siguiente)

NOS PLAGESSelon la revue "Ciudadano"

(équivalent espagnol de "50 mi-Lions de consommateurs"), les pla-ges de Majorque sont les meilleu-res d'Espagne. D est évident quec'est là une bonne nouvelle, sur-tout pour une île qui vit presqueexclusivement du tourisme de pla-ge.

Ladite revue donne "cinq étoi-les" (le maximum) aux plages deS'Arenai, de Cala Millor, de Ca'nPicafort, d'Alcudia, de PalmaNova et de Magalluf; et "quatreétoiles" à plusieurs autres bellesplages comme Cala Santany, Plat-je d'En Repic (Pto. de SoBer),Camp de Mar, Paguera, et CalaMayor.

Le reportage qui examine la si-tuation de deux cents plages detoute l'Espagne, tient compte del'existence de divers services telsque: signalisation de l'état de la

mer, service de secours aux no-yés, premiers secours, eau couran-te et douches, lavabos; mais ausside la présence de déversementsd'eaux sales sur la plage ou prèsde la plage.

Les auteurs ont fait analyser lesable des plages pour déterminerle niveau de contamination. Engénéral les résultats sont favora-bles et optimistes; mais il fautpréciser que les analyses ont étéfaites en avril-mai, au moment oùles plages sont désertes, et où latempérature fraîche et les pluiesfreinent le développement desvirus. C'est ce qui explique quePalma Nova et Magalluf ont étéclassées "cinq étoiles" du pointde vue de leur infrastructure (etelles le méritent bien), mais ellesauraient été "déclassées" si lesanalyses avaient eu lieu en juilletet août Les parents le savent

bien, et vous verrez peu d'enfantsmajorquins sur les grandes plages;car ils préfèrent les petites "ca-las" moins bien équipées, maismoins contaminées, même si ellessont apparamment plus sales(plastiques, bouteilles, boites deconserves, que personne ne ramas-se).

Le reportage de "Ciudadano"tient également compte du niveaud'insécurité existant dans chaquerégion, et là, naturellement, lesBaléares sont mal placées. Ú estévident que l'avalanche touristiquede chaque été, attire inévitable-ment toute une armée de délin-quants, voleurs, escrocs, filous,voyous, chenapants, pickpoquets,et autres...

n n'en reste pas moins, et c'estun devoir pour nous de lesouligner: les plages de Majorquesont les meilleures d'Espagne.

A. s.

Page 2: -tíA LE ARE S

PARIS-BALEARES

AUTO-STOPUne jeune fille faisait de l'auto-stop,

sur unee des routes nationales que con-duisent vers Paris.

Elle avait déjà fait signe a plusieursvoitures sans succès, quand elle vitapparaître un camion de ceux quiapportent les légumes frais de la pro-duction, directement aux Halles Centra-les de Paris. Elle esita, car dans uncamion le confort n'est pas le même

La Sierra de Tramuntana(Viene de la página anterior)

y temporales, caen abatidos por laacción de la sierra demoledora. Y conello se fulmina un importante vestigioirrepetible de los tiempos pasados. Ypaisajísticamente se pierde el mejorornato natural de la parte más atractivade Mallorca. Porque salvando las cuevasde Manacor y Arta —que son un objeti-vo concreto- no hay en toda la islanada comparable en alicientes, de unavariedad infinita, como los que ofrecela vertiente norte de la cordillera quebordea la costa del mar. Eso lo paten-tiza el entusiasmo de los turistas quedesafiando los peligros de aquella carre-tera —más propio sería llamarle cami-no- se atreven a recorrerla.

Pero no se puede exigir a todos lospropietarios de aquellos terrenos quesean unos quijotes que sacrifiquen susintereses solo para ofrecer motivos con-templativos a los turistas viajeros. Sialguno tiene el prurito de hacerlo así,no se le puede imponer ni generalizar.

Aquello necesita una contrapartidaque es preciso arbitrar. Habría que pro-teger las formas tradicionales de cuidaraquellos terrenos. Hacer posible compa-ginar la protección de la zona con unasmedidas compensatorias que permitieranla subsistencia. No es fácil hallar unaforma de equilibrio para su manteni-miento. Pero si se quiere conservaraquel ecosistema natural es preciso tu-telarlo de una manera idónea. El Decre-to N° 984/1972 que lo declaraba"Paraje Pintoresco" es una proclama-ción platónica que condiciona y trabalas futuras obras o reforma de las cons-trucciones, sin aportar ninguna rever-sión de los múltiples benefícios turísti-cos. Y aquello lo que necesita es incen-tivar los esfuerzos para que los propie-tarios conserven aquella naturalezaprivilegiada en su forma más natural.

La sierra de tramuntana precisa untratamiento especial. Serían todos loscuantiosos intereses que mueve el turis-mo mallorquín los que saldrían benefi-ciados.

JUAN BAUZA

que dans une voiture; mais elle fit toutde même signe automatiquement sansréfléchir; et le camion s'arrêta pile a sahauteur.

Le chauffeur et la jeune fille se re-gardèrent, et celle-ci demanda: -"Ha-llez-vous jusqu'à Paris, Monsieur? "

-Oui, -fit-il- Vous montez?Elle monta, et prit place a coté du

chauffeur, pendant que le camion re-partait. D y eut un silence, pendantque la jeune fille approcha ses genouxvers ceux du chauffeur, comme si elleavait eu froid.

Le chauffeur pour rompre la glace,dit: -Alors, comme ça, vous allez aParis?

-Oui, -fit-elle- Et vous me rendezau grand service en mi conduisant.Aussi, si un jour on se rencontre denouveau, -saiton jamais? ,- et que jepuisse a mon tour vous rendre service,en quelque chose, et bien je le feraisde bon coeur.

Il y eut un autre silence, puis ce fûtle chauffeur qui dit: -Alors vraiment,si je vous fait plaisir en vous y condui-sant; ce service a me rendre dont vousparliez tout a l'heure, et bien vouspourriez peut-être me le rendre aujour-dhui même?

i ¡Je me demande, —repondit-elle—ce que je pourrais bien faire d'ici Paris,qui vous soit vraiment agréable.

Alors ce fût lui qui tout en pous-sant son genou vers la cuisse de savoisine dit: -Quand une femme veutbien faire plaisir a un homme, elle saittoujours ce qu'elle doit lui donner.

Puis, il y eut un silence assez pro-longé, après quoi la jeune fille dit: -Jecomprends bien ce que vous voulez demoi, mais je pense que ce geste de mapart, est bien trop important pour leservice que vous me rendez. Et je pen-se que vous devriez m'offrir quelquechose en plus, pour que nos servicesrendus s'en trouvent égalisez. Il repon-dit: -Et vous offrir quoi, par exem-ple?

n y eut un nouveau silence, et lafille dit: -Ce qui me ferait bien plaisir,c'est un téléviseur, car je suis la seuledans ma rue a ne pas en avoir.

Le chauffeur trouvant la plaisanteriemauvaise, et tout en dégageant legenou de la voisine, dit: -A mon tourje trouve le cadeau exagéré pour leplaisir a prendre.

La jeune fille fût vexée a son touret dit: -C'est comme vous voudrez!C'est la seule chose qui me ferait plai-sir. Donc, a vous de voir.

Le chauffeur en avait sec, mais voi-là, il ressentait a nouveau la doucechaleur du corp féminin qui montaitpar sa jambe tout doucement. Et celal'enervait. Aussi après un long silenceet mûre reflexion, il dit: MMMM-D'acord pour le téléviseur, et si vousétéz aussi d'accord, on s'arrêtera auprochain village, ou je connais un bar-hôtel qui loue des chambres.

-On s'arrêtera ou vous voudrez,Monsieur.

Ils s'arrêtèrent devant le bar-hôtel duprochain village.

Une heure plus tard, le camion seremettait en route.

Le chauffeur trouvait trop lourd, lecadeau qu'il avait promis de faire, pourégliser la valeur des échanges a recevoir.Aussi il refléchissait. La jeune fille res-pecta son silence, puis elle aussi réflé-chissait de son coté, et après mûrereflection elle dit: -Alors vous étezcontent Monsieur? D répondit d'un tonvexant et sans réplique:

-Contant Cui, et satisfait.—Alors pour le téléviseur, ce será

quand vous voudrez. Je connais un ma-gasin d'appareils électro-ménagers auprochain village, et si vous voulez onpourrait si arrêter.

Alors le chauffeur prit une voix per-siflante disant: -Tout a l'heure al'hôtel tu as eue l'antenne, et a présentdans neuf mois, si tout va bien, tuauras a la fois l'image et le son.

G. SIMO

JAIME VicH RIPOLLÓ P T I C O

yAGOtflC*!

LfciUfcihifciU

Gafas de Sol, Lupas, Prismáticos, Barómetros, Termómetrosy Lentes para toda clase de Vistas

Material Fotográfico Revelado Rápido de Carretes

C/. Aníbal, 22 (frente Mercado Santa Catalina) - Teléfono 23 34 27PALMA DE MALLORCA

Page 3: -tíA LE ARE S

PARIS-BALEARES

TRES POEMAS DEDICADOS A LA MARE DE DEU DE LLUCCON MOTIVO DEL

CENTENARIO DE SU CORONACIÓN PONTIFICIA

ARA I SEMPRE

I

Mare de Déüteva i meva.Com la foscasou morena,com la llumenciserai del mónla més bella.

II

Mare de Déuteva i meva.Dels dolorssou pal-liera,dels malaltscuranderai de la paupregonera.

Ill

Mare de Déuteva i meva.De la vidasou senyera,de la mortcompanyenii del celau primera.

IV

Mare de Déuteva i meva.De la fesou randera,de l'amoralmoinemi dels corsmissionera.

Mare de Déuteva i meva.Ara i sempre,¡de Lluc siaumasovera!

A la Mare de Déu de Llucamb motiu delCentenari de la seva Coronació

Per JOSEP REINES REUS

"CA'N LLIS"CAMPANE! (MALLORCA)

1984

BELLA PALOMA DEL CIELO

Entre montañas anidauna Virgen muy morenaque mi alma tiene rendida.

En su mirada serenacaben la paz y el consueloporque está de gracia llena.

Bella paloma del cieloentre peñas, escondida,quieta, en reposo de vuelo.

A ella acude, agradecida,la gente de nuestro llanosin temor a la subida.

Y ante su imagen, hermano,se hace tu vida y mi vida¡fogata de amor mañano!

AQUESTA VERGE SANTA

Per dins de les muntanyesde l'ili a de Mallorcaes va perdre una Verge,—com la foscor morenai bella com la rosa—,junt amb el nin Jesús...

Més tard va ésser trobadaper un pastor i un monjo.

Aquesta Verge Santa,—com la foscor morenai bella com la rosa—,cent anys redons fa araque just fou coronadacom reina de Mallorca.

I Reina segueix essent,¡Reina de nostra fei de nostra esperança!

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PARIS-BALEARES

Ce mois aux Baléares* La dernière fabrique majorquine de cierges vient de fermerses portes. Tous les cierges utilisés l'ors de la Semaine Sainte84, furent apportés du continent. De toutes ces petites entre-prises qui vivautaient tant bien que mal, plutôt mal que bien,il ne reste plus rien.

C'est le progrés.

* Dispersés un peu partout dans l'De, il existe 18.000 puitsparticuliers á Majorque. Le problême est que la demanded'eau, en augmentation constante, dépasse les possibilités. Leproblême s'agrave du fait que les puits sont de plus en plussalinisés dans plusieurs zones de l'Ile.

Le problême parait insoluble, a moins qu'on désalinise lamer.

* Les eaux dépurées de Palma, destinées a Campos, ont duretard sur l'horaire; car le plan devait être terminé en septem-bre 1983. La bas la situation est critique du fait que lesquatre grammes de sel par litre que contient l'eau des puits,ne permet même pas d'abreuver les vaches.

* La Consellerie d'Agriculture pense invertir cette mêmeannée 1984, près de 600 milions de pesetas en dépuration deseaux usées qui serviront pour l'arrosage.

Le garde manger de Majorque est en péril.

* Un établissement commercial sur trois est illégal au Portd'Alcudia. Un conseiller municipal a reconnu qu'une soixantai-ne de commerces sont illégaux.

Le Club Niutique a demandé le permis 'pour créer unepremière ligne de cent magasins et autant d'appartementsdevant la première ligne actuelle pour punk les fautifs.

Mais comme cela changerait le paysage du Port, lesautorités ne sont pas chaudes.

* Le Conseil Municipal de Palma, á preparé 15 projets dedémolition d'autand d'immeubles construits sans permis.

Les dossiers sont prêts, et cela entretient et fait parlerl'opinion. Demolirat-on?

* A titre d'essai, et en vue de favoriser le tourisme decroisière, une randonnée va être organisée au cours d'aoûtprochain, sur la Méditerranée, assurée par le navire "Ciudadde Gran Canaria", avec départ et arrivée a Barcelone; faisantescale a Palma, Ajaccio; Nce et Florence. La croisière durerahuit jours, pour un prix moyen de 60.000 pesetas.

* La Télévision allemande a présenté début juin, un espacedédié a Majorque, qui a duré trois éepisodes d'une heure.

EXPÉDITIONEXPORTATION FRU|TS

ET LÉGUMES

Georges COLL1, Avenue Paul Ponce • CAVAILLON • 84300 (Vaucluse)

Téléph. 780143

II s'agissait de faire parler un allemand habitant Major-que depuis 25 ans; appelle Hesso Schuntzendorf, multimillion-naire, qui a fait une bonne propagande- pour notre Ile.

* La Mairie de Fornalux, prés de Soller, avait organisé un .plébiscite pour savoir ce que préféraient ses administrés, ausujet de ce qu'on devait faire de la place principale de lacommune, savoir: Installer des bancs publics avec des parterresde fleurs; où la destiner a parking a voitures.

La majorité des votants a préféré, les bancs et les fleurs.

* Le toréador de Sanlúcar, Paco Ojeda, devait toréer a Nimesle 8 juin dernier; mettant a mort les six toros de la journée.Blessé 15 jours plus tôt a Madrid, le responsable de la plazade Nimes, Simón Casas, crût qu'il ne pourrair pas remplir sonengagement; et il écrivit au toréador Manuel Benitez "ElCordobés" pour lui dire que sil allait a Nimes pour ce gala, illui donnerait le million de Francs (Plus de 18 milions depesetas) promis a Paco Ojeda. Le Cordobés repondit NON, etle Paco Ojeda a peine remis, grâce a son médecin, fit acte deprésence.

A combien étaient les places?

* La récolte des câpres est par son ampleur une importantesomme de revenus pour les agriculteurs de Campos et Llubi.

Toutefois, si les soirées fraîches de juin devaient durerplus que souhaité, la récolte s'en ressentirait. Mais on espèremalgré tout, une production record.

* Les moulins a vent de la rue de l'industrie sont enfinrestaurés, et vont être prochainement inaugurés. Ils serontentourés de parterres de fleurs; et un seul aura les ailes prêtesa tourner.

Mais pour obtenir ce résultat, il a fallu laisser construiresur le même terrain 120 appartements.

MORIRIA DE AMOR(Soneto)

Como rayos de Sol, tu luz resplandecienteme deja entre destellos abrumadocon el Alma cegada, a tientas en su andary el corazón —que es tuyo—de penas siempre abarrotado.

El timbre de tu voz —verbo de Amor—suena a concierto y excelsa melod.'ade aves en vuelo en su canto y su rumorllenando el Universo de alegría.

Te alcanza en sueños, mi prolongada nochey me tienes soñando, mientras transcurre el díaevitando que sepas mi reproche......que son celos...pues temo me abandones y entonces... moriría.

JARQUE

Primavera de 1984

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PARIS-BALEARES

ESPAÑA: TRIUNFADORA EN PARIS Y LYONLa derrota más fulminante que recibió el equipo alemán

en la capital francesa, fue sorprendente para el mundo entero.El equipo español hizo cuanto pudo en la primera y

segunda parte; podía haber marcado dos o tres veces, comosu contrincante pero la suerte no les favoreció; por lo tantoera de dominio público el triunfo alemán, ya que los alema-nes durante más de quince años eran los reyes del fútbol enEuropa.

Empero en el medio minuto que faltaba para la termina-ción del partido se oyó como un rugir de leones, era el grancabezazo de Maceda que dio al balón entrándolo como unaflecha en lo más hondo de la portería. Después del triunfo, eldelirium tremens de los españoles. La prensa francesa casiunánime elogió al equipo español; salvo "Le Figaro" dijo"que Alemania perdió ante unos mediocres españoles, cuyomayor mérito fue no desalentarse". Pero leamos la opinióndel gran periódico "France soir" "Alemania el campeón, fuederrotado de su trono en pocos segundos; ese fue el castigoen un partido que entusiasmó anoche a 48.000 espectadores;por su intensidad, su forcejeo, y también por la calidad de sufútbol".

Esto es la noticia increíble, es lo inesperado en esa euro-copa 84 que nos sorprende a todos una y otra vez, es larealidad a todas luces, es la noticia verídica por excelencia apesar de todos los pesares; España a la final. Y digamos depaso, que las naciones que fomentan los deportes, son nacio-nes que se prestigian dentro y fuera de sus fronteras. Es muyimportante que así suceda porque la Patria se beneficia de loséxitos de sus hijos fuera de ella; claro que cada época poseesus ídolos, sus modas, y sus mitos. Hoy España hemos deadmitirlo, suena fuerte en todo el mundo; millones de ojosestán fijos en nosotros, motivado todo ello, por nuestrostriunfos en todos los deportes. Ostentamos una situación dis-tinguida en tenis, fútbol, motociclismo, baloncesto. Pero elhombre del que más se habló en el siglo XX y dio más augeal deporte español fue Paulino Uzcudum, nadie le superó;dediquémosle pues unas lineas por su gigantesca labor en latierra del Tío Sam. Sería interminable si repitiera yo lasincidencias que tuvo que soportar el bravo vasco antes de ir alos Estados Unidos.

Venció brillantemente en París, Londres, Berlín, despuésde estos triunfos, Europa lo tildó como el más serio aspirantea la categoría de los dinosaurios del boxeo. Luego en Américatendría que hacer la peregrinación para abrirse paso, entre lamuralla enorme de otros tantos aspirantes a la gloria a fin delograr la atención de los grandes empresarios con sus fabulosasbolsas.

Su primera gran victoria la obtuvo Paulino sobre HarryWills, después en Nueva York, en el Stadio de Brooklyn, tuvoque vérselas con el "panadero de Boston" una mole de carne

í

y hueso; dejándolo Paulino, sin respirar en el tercer round porK.O. El Stadio estaba llenísimo, nadie hablaba inglés, todo elmundo hablaba español ¡Viva Paulino! . Aquello era la alegríadesbordante de la raza hispana. La victoria sobre el panaderode Boston fue el toque de alarma, la gran campanada quehizo volver la cabeza a más de uno. La crítica americana noquiso dar demasiada importancia a la derrota que sufrió elbostoniano; aminorándola en múltiples de atenuantes, ya queconsideraban a Paulino como un advenedizo del boxeo, sintécnica, ni arte. A Paulino le faltaba lo que le sobraba el pesopluma mallorquín Gregorio Vidal -la técnica, para podersoportar la lucha con las primeras figuras. Después tuvo algu-nos tropiezos, más por falta de errores de quienes lo dirigíanque por falta de condiciones. Por momentos parecía que lafigura de nuestro campeón se esfumaba de las grandes compe-ticiones internacionales, quedando relegado a un mediocre se-gundo plano.

Esto parecía pero luego se impuso con su terrible pegada,ganando casi siempre por K.O. Los americanos le birlaron uncampeonato mundial de los pesos pesados. Fue el primerboxeador español que logró escalar unas altturas tan pocoasequibles en un ambiente hostil en aquel entonces. Por esocomo españoles nos congratulamos de los éxitos deportivos denuestros compatriotas para la misma consideración internacio-nal de nuestra Patria. En aquel entonces el nombre de PaulinoLkcudum dio fama y dinero a España, tenía también lassimpatías del mundo entero por sus méritos relevantes. Comoahora le dan prestigio todavía Ángel Nieto, José Legra, yporque no, Timoner, Santana, y en otras actividades Masiel,Rocío Jurado, Raphael, Rocío Durcal. Y por no olvidar nom-bres de valía pongamos un montón de etceteras.

¡Adelante pues por el triunfo en los deportes!No miremos despectivamente la cantera deportista para el

desarrollo del cuerpo y el espíritu.Además se pueden obtener resultados positivos que pue-

den influir en la prosperidad y el prestigio de nuestra Nación.Y para terminar querido lector que me lees, que me sigueshasta el final, te voy a hacer una pregunta ¿Ganará Francia?¿Ganará España?

Cualquiera lo sabe. Los dos son merecedores de calzarseel triunfo por los méritos demostrados. Vaya pues, mi cordialenhorabuena desde mi atalaya de "París-Baleares" al que ganela Eurocopa de Naciones 84

¡Todo sea por el deporte!JAIME ALEMANY

Gol de Francia. Único fallo de Arconada. (París)

MEVA, MEVA I MEVA...

Ni un núvol, ni un bri de núvoltorben aquesta tarda meva,meva, meva i meva.Jo no som res dins l'espaii dins aquesta Natura verda,verda, verda i clara.El cel és blau i blausense un bri de núvol.Jo no som resno posseesc ressinó es aquesta-tarda claraverda,blavai meva...

MIQUEL ARCA

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PARIS-BALEARES

CHRONIQUE DE FRANCE

BOURG-EN-BRESSE

AU FAISAN DOREARBONA - NOVIER

Grenouilles - Ecrevisses - Gibrerdes Dombes - Volailles de Bresse

20, 20 bis, rue de la SamaritaineTels. (74)2361 16 -(74)22 65 90

REIMS

BRASSERIE DE LORRAINERaphaël Ferrer et Cie.(Président des Cadets)

Service à la carte et à toute heure7, Place d'Erlon - Tél.: 47-32-73

HOTEL RESTAURANT BARDU PONT NEUF

1 ETOILE NNPropriétaire: Guillermo Vieh

Place du 14 Juillet(Face au grand parking)

AGEN Tél.: 66-15-67

ABREST

* Nas amis Mr. et Mme. Jean Aubertsont a San Telmo et S'Arracó pourpasser tout l'été; car sans eux, la saisonne se ferait point, us font partie deceux qui ont découvert Majorque, ouils vont chaque année sans s'en fati-guer.

AGEN

* Nos amis Mr. et Mme. Gabriel Vichsont aux Baléares pout tout l'été; com-me c'est leur habitude. Ds reviendrontfrais et dispos.

ANDORRE

* Les représentants de la Confrérie duRIZ, en Espagne et de MALLORQUE,se sont regroupes en l'HOTEL PRESI-DENT, avec leurs confréries gastronomi-ques et vinícoles et les Chevaliers deProvence, les Anisetiers, le Bontempsde Medoc, et autres, sous la Présidenceet les talents de leur Président LluisMUÑOZ HILPKE.

La soirée fut très agréable, suivie del'intronisation de nouveaux membres ausein de la confrérie. Toutes nos félici-tations aux nouveaux promus.

ANGERS

* Le 25 mars dernier, à l'Auberged'Eventard, de haute réputation, dansles environs d'Angers, M. Marc PAL-

MER de "Mestre Marc" fêtait, ensem-bles, son soixantedixième anniversaire,le quarantième de son mariage avecLucienne Dupont, et le cinquantièmede la création de son commerce defruits et primeurs.

Cette heureuse coincidence suggéra àM. et Mme. Marc Palmer l'idée de con-vier autour d'une table copieusement etagréablement garnie Marguerite Ale-many, soeur de Marc; Tomeu Palmer,leur frère, et son épouse; Jean Bauza,de Ca'N Sampol, et son épouse, leurscousins; Roland Bretagne, directeur dela maison Palmer, et son épouse; Hu-bert Pecot, comptable de la maison, etson épouse; Paul Langé, leur meilleurclient, et son épouse.

Le rédacteur ignore si, à cette occa-sion, Marc Palmer offrit une émeraudeà son épouse. Car l'émeraude pierreprécieuse d'une belle couleur verte,comparée parfois à celle de la mer, est,pour certains, la marque du 40° anni-versaire de mariage. Donnons, en touscas, à M. et Mme. Palmer le feu vertpour bien d'autres années de bonheur àvenir.

Et permettons nous de leur rappelerqu'en matière de sciences occultes,l 'émeraude favorise les entreprisesd'amour, donne la vigueur aux viei-llards; qu'elle est aussi nommée "pierrede chasteté" et se brise quand son por-teur commet un crime contre lesmoeurs; et enfin que Victor Hugo, dans"Notre Dame de Paris", fit d'Esmeralda( E m e r a u d e en f r a n ç a i s ) uneBohémienne ravissante de beauté et degrâce sauvage.

AVIGNON

* Nos bons amis Mr. et Mme. Jean-Louis Pieras, accompagnés de leur filsFabien, et de leur filleul Marc Pajuelo,membre de la Sélection Française deFoot-ball; ont passé juillet dans la mai-son familiale de San Telmo, d'où ilssont revenus tout bronzés

CAVAILLON

* Nos bien chers amis, Mr. et Mme.Sébastien Juan sont a Majorque pourl'été.

Nos meilleurs souhaits de bonheurles accopagnent.

ELBEUF

* NDS jeunes amis Mr. Martin et Mme.née Michéle Flexas, accompagnés deleurs enfants; leurs vacances a San Tel-mo terminées, ont repris le collier.

Nous leur souhaitons bonne traversée.

FORCALQUIER

* Nitre cher ami, Mr. Sebastien Palmerpasse l'été a Majorque où il joue a lapétanque sous un soleil torride a

4'ombre des pins, prés de l'ami Ricard.

FREJUS

* NDS bons amis Mr. et Mme. LucienDuboé, après avoir pris un bon repossous le beau climat de Majorque, oùleurs amis de la-bas furent charmés deles voir; ont repris le collier.

ISSOU

* Nos bons amis, Mr. et Mme. AlainSavi, accompagnés de leur charmantJulien, passent leurs vacances a SanTelmo parmi des familiers et amis, d'oùils reviendront plein la tête d'agréablessouvenirs.

LE HAVRE

* Nous relevons avec joie, parmi laliste des Nouveaux diplômes DU BRE-VET NATIONAL DES SECOURISTES,FEDERATION SAINT THOMAS, lenom de Mademoiselle RAPHAELLERETOUT RIPOLL, fule de notre trèsdévoué secrétaire adjoint et filleule deM. et Mme. Raoul PERRIGAULTRIPOLL, notre secrétaire Generale.

L'association des Cadets de Majorqueet du PARIS BALEARES, sont heu-reux de lui adresser leurs félicitationset de lui souhaiter bonne continuationdans ses études et réussite.

* Nos jeunes amis, Mr. et Mme.Hamel, accompagnés de leurs deuxcharmants poupons, Frédéric et Cami-lle, après avoir pris un bon repos dansla maison de leurs parents; a San Tel-mo; sont rentrés a regret, contents etsatisfaits.

LE MANS

* Nos chers amis, M. et Mme. JeanVICENS HAYET, viennent pendant cemois de juillet, prendre un repos bienmérité dans leur villa "SON AQUI" dupor de SOLLER, Nous leur souhaitonsbonne traversée et bonnes vacances.

LE PUY EN VELAY(Haute Loire)

* M. et Mme. Luc FAYEL, sont heu-reux d'annoncer la naissance de leurpetit DAMIEN, né le 7 mai 1984, ainsique leurs grands parents M. et« Mme.Marc FAYEL et M. et Mme. Paul DE-LOLME.

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PARIS BALEARES

CRONICA DE BALEARES

PALMA

* El doctor Garcia Bellido, obtuvo elpremio "Príncipe de Asturias" de inves-tigación Científica y Técnica 1984, porsu investigación sobre la genética deldesarrollo y la diferenciación celular.Explica la paradoja de que a partir deuna sola célula que contiene toda lainformación genética para la forma yfunciones del organismo adulto, se for-man células en sucesivas divisiones quese van diferenciando en su forma y ensu función. Al final de su función, seagrupan en estructuras muy precisasformando los diferentes tejidos y órganos.

* Palma a reçu, au cours du moisde juin, la visite du croiseur fran-çais "Colbert" portant à bord 24officiers, 191 sous-officiers, et 300matelots.

Le "Colbert" fut lancé le 24mars 1956, mis en service le S mai1959; et modernisé en avril 1970,date à laquelle il fut doté de missi-les antiaériens.

Le jeudi 7 juin, le Commandantet les officiers offraient une récep-tion aux autorités espagnoles, et àune représentation de la coloniefrançaise, avec, à sa tête, M.M.Guidoni et Serge Bataille, Ambas-sadeur de France à Madrid, etConsul de France aux Baléares res-pectivement.

Quelques jours plus tard, dansles salons de l'Hôtel Valparaiso, lesfrançais de Palma rendaient 1 Invita-tion aux marins du "Colbert".

* La Comisión para la aplicación deldecreto del bilingüismo solo se ha reu-nido dos veces en un año.

De tratar el bilingüismo así, dándolela espalda, después ciertos "mallorqui-nistas" se quejarán de que se nosimponga el catalán.

* El urólogo Antonio Puigvert de pasopor Palma, dijo:

-"No es posible que un médico ten-ga 500 cartillas de la Seguridad Sociala su cargo, ya que tiene bastante concien; dedicando media hora a cada pa-ciente". Añadió que la medicina es unarte, y que como tal, debería de sersocializada.

-"En Cuba, todos los médicos estánen el seguro, que da un servicio exce-lente".

Referente a los trasplantes dijo laduda que tenía sobre la paternidad deun niño, cuyo padre tuviera un testícu-lo trasplantado.

Les CADETS DE MAJORQUE et lePARIS BALEARES, se joignent a euxet leur adressent toutes leurs félicita-tions et joie et bonheur.

Cette VILLE est a une altitude de630 métrés, et était fréquentée par lesSouverains, qui passaient par le PorteRoyale. Elle est célèbre par sa cathé-drale qui abrite Notre Dame du Puy,portée en procession le 15 août. LaStatue est colossale, elle fut fondueavec les canons pris à Sebastopol ellepèse 110.000 Kg. elle a une hauteur de22 m. 70. Un escalier intérieur de 107marches donne accès a la couronne,d'où une vue panoramique débouchesur les environs. Le sculpteur est JeanBNNASSIEU, et date de 1860.

La cathédrale est du XII et XViemesiècle. A proximité est le rocherd'AIGUILLE de 95 mètres, avec lachapelle romane de Saint Michel,auquel on accède par un escalier de280 marches.

Et sans doute beaucoup d'entrevous, se souviendront de leur classe etde la MAISON DES DOMINICAINS etdes deux soeurs ANTOINETTE ETFRANÇOISE.

LES TAILLADES

* Nos amis Mr. et Mme. ManuelPajuelo, sont a San Telmo, dans lamaison familiale, d'où ils reviendrontcontents et reposés; ramenant leur fusMarc qui les avait précédés.

LYON

* Après avoir passé un bon mois parmi

ses nombreux amis de San Telmo,notre charmante amie Madame veuveAnselme Flexas; a rejoint ses pénates,pour combien de temps?

NANTES

* Nos chers amis, Mr. et Mme. CharlesSymoneaux, sont a San Telmo, où ilspasseront tout l'été comme d'habitude

Nous les re verrons en septembre,tout bronzés.

ORVAULT* Nos amis Mr. et Mme. GérardSchaupp, accompagnés de leur charman-te Anne-Sophie, leurs vacances a Ca'nPicafort terminées, sont rentrés a regretjusqu'aux prochaines.

PAMIERS

* Nos bons amis Mr. et Mme. JacquesPalmer, accompagnés de MademoiselleAnna Palmer, passent comme tous lesans, l'été a S'Arracó, dans leur maison;où souvent leurs enfants viennent les yrejoindre.

PERPIGNAN

* Le MUSEE DE L'HOMME sera visi-ble jusqu'au 2 septembre 1984, au Pa-lais des Rois de Majorque. L'expositionest remarquable. Nos félicitations auxorganisateurs.

RENNES

* Nos bons amis M. et Mme. AntoineMAYOL, et leurs enfants sont à SO-

LLER, oîi ils passent leurs vacances etoù ils auront la joie de revoir leur fa-mille. Bon repos.

* M. et Mme. Gabriel VIVES, nos bienfidèles CADETS, sont partis joyeux àSOLLER et DEYA, avec leur petitefille CELINE, et partageront leur séjourentre ces deux villes et FORNALUTXdans leur famille. Nous leur souhaitonsd'agréables vacances et repos.

SAINT-NAZAIRE

* Nos chers amis Mr. et Mme. MarcAlemany, sont a Majorque pour toutl'été, dans leur gentille maison deS'Arracó.

Nos souhaits de belles vacances etbon retour, les accompagnent.

VILLEPARISIS

* Madame veuve Alemany de Ca'n Bac;très alerte et pleine de santé, a fêté ses87 ans dans la maison familiale deS'Arracó, auprès de ses enfants Mr. etMme. Pollet, ainsi que de ses quatrearriére petits enfants qui sont, Fabien-ne, Valérie, Charline, et Philippe.

Les autres filles de Madame Ale-many étaient attendues également aS'Arracó, savoir: Mr. et Mme. Rochero-lle, ainsi que Mesdames veuves Bessonet Gatellier.

Nous souhaitons a la veuve Ale-many, de pouvoir se recueillir á S'Arra-có entourée de tous ses familiers, pen-dant encore de très longues années;avec la santé dont elle jouit.

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8. PARIS-BALEARES

* En una declaración hecha el 13-6-84,el alcalde de Campos dijo: -"Ya tenía-mos firmada una escritura pública conel notario D. Raimundo Ciar, en la queSkandian Plan ofrecía al pueblo deCampos, la totalidad de 56.188 metroscuadrados, más el 10 por ciento de lazona a edificar, oferta que por supues-to han retirado al no llevarse a cabo laprevista urbanización".

* El profesor Severo Cchoa, premioNobel en 1959, en unas declaracionesacerca del cáncer dijo: -"Creo que noestamos muy lejos del objetivo, aúncuando ignoro a qué distancia estamos.La investigación es intensa y con resul-tados aparentemente alentadores, quenos inspiran confianza. El cáncer no esun virus, es un crecimiento desmesura-do é incontrolado de las células afecta-das del mismo por una alteración detipo genético. De vencer al cáncer, sepodrían curar asimismo, ciertas enfer-medades genéticas".

* El resultado de la guerra entre Iran eIrak, que las grandes potencias habríanpodido evitar en lugar de proporcionararmamento a las dos, encarecerá elprecio del petróleo, lo que conllevará lasubida de los combustibles, y quizás suracionamiento. Amén de una grave cri-sis.

* Al celebrar el día del Medio Ambien-te "ICONA" abrió las puertas de SantAntoniet donde se exponía una mues-tra de sus realizaciones. Desgraciada-mente hubo que anunciar que ciertasplantas de la fauna autóctona están envías de extinción, por culpa de la polu-ción ambiental.

* Con 3.734 millones de pesetas, laComunidad Autónoma Balear, es,-excepto La Rioja- la que menos di-nero le debe al Banco de Crédito Lo-cal. Los Ayuntamientos isleños, noparecen apreciar la facilidad con que sepueden obtener préstamos para el aguapotable, saneamiento, con un gran etc.

* La poca agua caída en Baleares esteaño, tuvo lugar en mayo; y precisamen-te por eso, la cosecha es buena enalmendra, albaricoque, y en general alos cereales.

Los embalses, estaban en junio, al40 por cien de su capacidad.

* Según Cambio 16, el gobierno apla-zará para 1985, la cirugía a fondo de"UÑOSA" que perdió 22.000 millonesde pesetas en 1983. Cada día de huelgaen dicha empresa cuesta 200 millonesde pesetas, y 100 millones los días quese trabaja. Lo desencallarán con nuestrodinero, claro que sí.

* Según confirmaciones no oficiales, lasautonomías no consideradas históricas,

sufrirán un frenazo en el proceso detransferencias, durante al menos un pe-ríodo no inferior a cinco años. Si elpoder central traspasa todas sus compe-tencias, será como si dejara de existir;y eso a nadie gusta.

* Las nuevas Generaciones de AP, rea-lizaron un seminario sobre Ecología, yMedio Ambiente; la problemática ecoló-gica en Baleares, estudiando la ecologíay el Turismo, a fines del mes pasadoen un hotel de Palma.

Ya es hora que AP defienda la eco-logía.

* La bella Rocío Ramos, nacida en Sa-lamanca hace 22 años, elegida Miss Pal-ma 84, vive en nuestra ciudad con sunovio; trabajando de cajera en Conti-nente.

A preguntas nuestras, dijo que nosufriría ningún trauma si su novio nose casaba con ella; que le gustaba mu-cho Mallorca, donde puede bañarse unaen Top Less; y que no pensaba tenerhijos, porque en el mundo hay bastantegente ya.

* La vacunación de perros que está enmarcha, terminará el 31 de agosto. Lavacunación es obligatoria para los pe-rros y voluntaria para los gatos. Losperros vagabundos serán capturadospara ser vacunados. Los gatos no vacu-nados, no podrán salir de casa.

PRIMERA COMUNIÓN

El niño Antonio Simó Cárdenas, re-sidente en Palma, se desplazó a S'Arra-có acompañado de sus padres, abuelos,y demás familiares para recibir por pri-mera vez a Jesús Sacramentado; comolo hicieron ya en su tiempo sus herma-nos mayores.

Luego, se trasladaron a Palma Novadonde les fue servida una minuta espe-cial que fue del agrado de todos, mien-tras que el niño tuvo que escuchar a suabuelo, que le dijo:

Toniet, saps que he hu ets de guapoGuapo sempre ho has estatPero anit tant ben espinsellatSembles de la bellesa es retrato.

Dins sa familia sempre un ángelMos ha mostrat el bon carni,A fi que poguem conseguirDe lo més xerec fins a lo més fi,Lo que de bona rel mos sol venir;Tu ets el nostro ángel xerefíS'Alegria de sa padrina i padriI aixó no se pot acabar així,per molt que se torni repetirJa qu'un no pot intervertir,Lo que du traçat pel DestiMentres Sant Biel es arcángel.

Avui tu has rebut a Cristo,Amb molta de dignidat

P'els familiars acompanyat,I del padri per contar-ho;I tu sembles un SenyorDe lo més be que sa creatAmb alegria i bondatDins aquesta reunió.

El nou de juny haurà estatEnguany per tots festa major,Reunits junts amb procesió,A l'església t'hem acompanyat.

Després d'haver combregatPurificat pel Nostro SenyorHauràs d'ésser un poc millor,Si es qu'en tenguis necesidat.

Ton pare i ta mare honraràsI també els germans i germanaI es beso que es padri te dona araSi no t'el mareixes, el me tornaràs.

G. SIMÓ

ANDRAITX

* Nuestro cura párroco, Mossèn Santia-go Cortés, dimitió de la Presidencia dela Asociación de la Prensa Forana deMallorca por la incompatibilidad exis-tente con el cargo administrativo queocupa en la Comunidad Autónoma.

Momentos antes, Mossèn Santiagohabía ofrecido al Prior de Lluc, PadreRamón Ballester, la Medalla de Plata dela Asociación de la Prensa Forana deMallorca, que fue colocada a la Marede Déu de Lluc, para que proteja a lascerca de 40 revistas, de la que tambiénnosotros formamos parte, y les permitasobrevivir.

* La nueva Junta Directiva de la Aso-ciación de la Prensa Forana de Mallor-ca, es ahora la siguiente: PresidenteCarlos Costa Salom, revista Sant Joan;Vocales, Gaspar Sabater Vives de "Di-jous" Inca. Lluc Qiver, revista S'En-cruia de Deià. Pere Mulet, revista "EsSaig", de Algaida; Pau Reines, revista"Lloseta". Josep Cortés, revista "Florde Card" de Sant Llorenç; y JaumeTugores, revista de Sineu.

Gran acierto les deseamos a todos

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PARIS-BALEARES

en los cargos donde ejercen sus funcio-nes.

* Visto el auge del mercadillo de losmiércoles, y para aliviar la circulaciónrodada, a quienes vienen a visitarlo-que son legión- se ha creado unaparcamiento para vehículos al lado dela parada de los autobuses; y otro, allado de la escuela de las monjas.

* El 23 de junio fue reinaugurado elórgano de la iglesia tras su restauraciónllevada a cabo en un tiempo record.

A la misa solemne que se celebró,Francisco Bosch cantó el "Benedictus"de Perosi, y "Plegaria" de Alvarez^acompañado musicalmente por el PadreRubí.

Luego tuvo lugar una cena en loslocales de "Son Más" a la que asistie-ron nuestras Autoridades, seguida de unconcierto, con las voces melodiosas deFrancisco Bosch y Maria José Martorell,acompañados al piano por Andrés Ben-nassar; cuyo objeto era recaudar fondospara sufragar los gastos de la restaura-ción del órgano.

* El problema más acuciante que tienenuestro término, es el del agua potabley saneamiento, con "depuradora. Es unaobra titánica, pero imprescindible; y sies preciso hay que hacer un esfuerzocomún todos juntos, y nada de dejar elproblema para nuestros hijos.

El grupo que gobierna en el Consis-torio, al no tener mayoría, pierde granparte de su iniciativa; y claro está, nohace más que lo que puede. La culpade que no se emprendan grandes inicia-tivas, proviene de que el grupo delAlcalde no haya encontrado -por lomenos hasta ahora- la colaboraciónpor parte de los demás grupos oposito-res. Y ahí está el problema. Los oposi-tores se oponen a todo y a nada, queal f in y al cabo lo mismo da. El Con-sistorio no tiene porqué ser político,cuando se trata de aumentarle al ciuda-dano su nivel de vida, ofreciéndole lascomodidades a que aspira. Por ejemploeso, el agua potable, sin luchar contralos que tienen pozos, sino que al con-trario, en colaboración con ellos.

El concejal no tiene porqué investi-gar lo que pasó en precedentes Consis-torios, sobre todo que mientras se haceesto, se pierden todas las demás opcio-nes, y se pierde poco a poco la pocaconfianza mútua que podían haber te-nido al principio unos con otros. Hayque pensar con el consenso, que escomo se pueden aunar esfuerzos paraobtener resultados de peso. Hay quesoportarse unos a otros, intentandocomprenderse ya que condenados a vi-vir y obrar, juntos.

Algunos que predican lo que nocreen, harían bien de mirar la labor delconcejal Aguilera, y tomar modelo

sobre él. Este hombre es sólo, y sinembargo es el único que demuestra encada Pleno como sus años de rodaje,suponen haber aprendido mucho, loque permite estar siempre del lado delas oportunidades que se presentan,cualquiera que sea el que las propugne.De haber tan sólo otro del mismo gru-po en el Consistorio, todavía se po-drían llevar a cabo grandes empresas.En el término hay mucho que hacer,empezando por el agua. Pero hay tam-bién, quienes parecen no saberlo.

TOBI

* Los feriantes que año tras año, vie-nen visitando nuestra villa por las Fies-tas de San Pedro, se han venido que-jando, del nuevo emplazamiento queeste año les ha puesto el Ayuntamientoen la Avenida de Son Más, diciendoque la gente no acude como en laPlaza de España, cosa cierta, que en laPlaza de España hace más fiesta y vie-ne de paso, pero lo que no dicen losferiantes y de esto si se queja el públi-co, es que cada viaje cuesta 50 ptas.

* La preocupación por la cultura ysobre todo por los actos culturales quenuestro Ayuntamiento tiene, son dignosde mencionar y que quedaron refleja-dos en el reciente Festival celebradopor "AGARA", en el que participaron87 personas entre niños, niñas y mayo-

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10.

res de la localidad, registrando dos lle-nazos de público que elogió y aplaudiótodos los números presentados al igualque la labor que "ACARA", realiza ennuestro pueblo.

Al finalizar el espectáculo un miem-bro de dicho grupo comentaba por lospasillos, el poco interés de los conceja-les hacia este grupo al no haber asisti-do ni uno a tan importante espectáculoy en particular los tres de cultura.

* Puntuales a la cita, la Caja de Balea-res "Sa Nostra", celebró el anual home-naje a la vejez que se vio muy concu-rrido en su nuevo marco de lasEscuelas Graduadas de Son Perro, dichafiesta se inició con una misa en honora los homenajeados y seguidamenteactuaron Escuela de Danza deAndraitx, Tuna juvenil, Banda deTrompetas y tambores, Majorettes, Gru-po "Agara", el glosador Guillermo Bar-celó, su esposa, y una niña con unaguitarra que fueron calurosamenteaplaudidos, mientras nuestros mayoreseran obsequiados por Sa Nostra yAyuntamiento a un exquisito refrigerio.

* Ha sido asfaltada la carretera delPuerto, que tanta falta hacía, si bienlas quejas siguen lloviendo ya que pare-ce que se ha hecho de mala gana enparticular los bordillos, si bien pareceque se van a arreglar.

* Un año más, como el nombre de unconjunto que estuvieron a punto decontratar 'Teor imposible", resultaronlas Fiestas de Sant Pedro en nuestravilla, mala organización, actos progra-mados que no se realizaron, y la pocacalidad, ha sido el comentario unánimede todos los andritxoles, lástima quenuestro Ayuntamiento no se dé cuentade esta poca calidad comentada añotras año y las organice él, con un pro-grama puramente popular ya que sonlos que más traen a la gente actualmen-te.

* Coincidiendo con el fin de cursoescolar, el Claustro de profesor.es de laEscuela Nacional Mixta de Andraitx,Asociación de Padres de Alumnos yAyuntamiento, rindieron homenaje ados de sus maestras, se trata de lashijas de nuestra villa Doña AntoniaMoner y Doña Ana Alemany, las cualespor imperativos de la edad han finaliza-do sus labores de enseñanza, desempe-ñando más de 40 años en nuestra loca-lidad.

* En el templo parroquial de nuestravilla, recibieron por primera vez a Jesússacramentado, los niños Tomás y DavidCasado Llamas, finalizada la función re-ligiosa, los numerosos invitados se tras-ladaron al restaurante Es Grau, dondefueron gentilmente invitados a un sucu-lento almuerzo. Reciban los nuevos co-mulgantes junto a sus padres nuestracordial enhorabuena.

JAUME

PARIS BALEARES

CALVIÀ

* Lors d'un coctail à bord du croiseur"Colbert", en visite à Palma, nousavons eu le plaisir de saluer M. etMme. BURN et leur fille, Mme. YvetteVEZARD qui passe quelques jours àCalvià avec ses enfants. Quelques joursde repos dans le cadre tranquile etagréable de notre village.

PUERTO DE ANDRAITX

* Las granjas de peces, son la industriadel porvenir mallorquín.

En ningún otro sitio, el auge puedecompararse con el nuestro a causa detodas estas rocas agujereadas que con-tiene nuestra costa. El pescador quedesee seguir viviendo de la pesca, debe-rá crear su propia granja y criar suspeces, como otros crian pollos y cerdoslechales. En la época en que las espe-cies han disminuido en todas las pes-queras del mundo, lo primordial es eso,crear y criar para seguir viviendo delmar. Además cada cual puede escogersus especies. Por ahora lo que másabunda, son las sirviólas, la carpa y lascopinas. Mañana habrá otras especies,las que serán domesticadas; en esperade serlo todas, o casi, los seres vivosque viven en los mares.

Pero eso nos obligará a destruir losresiduos sólidos en la tierra, y limpiarel mar de la más mínima polución,siendo por ahí, por la limpieza de losmares, por donde debemos empezar.Los criaderos no cumplirán su misión,si no es en un medio limpio.

Conservar una cantidad de pescadosuficiente para nuestras necesidades,que son muchas miles de toneladas alaño, garantizando el trabajo a nuestraindustria conservera, solo se obtendrápor medio de las granjas de peces.

Además, esos peces, se pueden sacarde su ambiente, los días en que haypoco pescado en los mercados, y tam-bién los días de buena venta; o losdías de tempestad, cuando los pesque-ros no pueden salir del Puerto.

Es una industria que solo tiene ven-tajas.

Infórmate pescador.Nuestro Puerto puede y debe ser,

uno de los primeros.

* La recogida de firmas contra la urba-nización del Saluet, dio a conocer laamplitud de la protesta.

Las alegaciones al Plan Parcial, indi-caron también la importancia de laacción para la conservación de la únicazona húmeda de que dispone nuestrotérmino. Además habrá que vigilar queno se concedan derechos por simplesilencio administrativo; que otras vecesha ocurrido ya.

* El arreglo de la vía que nos une conAndraitx era imprescindible. El arregloha sido general y bien hecho. Pero des-

graciadamente los malos tramos quedancomo estaban, en espera de tiemposmejores. Se circula mejor que antes,con más seguridad, pero la peligrosidadsigue la misma.

SAN TELMO

* La Asociación de Vecinos se reunióel 16-6-84 en el salón del hostal Drago-ñera. El presidente leyó el estado decuentas y aseguró que la Asociación notenía ninguna deuda importante, con-trariamente a lo que en cierto sector sedecía; y acto seguido, la Directiva dimi-tió en bloque. Acto seguido se nombróuna Gestora de cuatro miembros quebuscarán un presidente que se encarguede reponer la Asociación en marcha ypresentar a la Asamblea Soberana, lanueva Junta Rectora que esta elegirá siprocede.

La gestora solicitó de los afiliadospresentes, que los que deseen ser presi-dentes de la Asociación renovada,hagan acto de candidatura por escrito,dejando un sobre cerrado en un bar dela localidad, antes del 30 del mismomes.

Esperemos que la Asociación encon-trará en su seno at grupo de hombresjóvenes y dispuestos a dar de sí quenecesita, y que en adelante pueda inter-venir en todos los asuntos que se plan-teen en la Cala, que sean de interésgeneral, o que afecten al paisaje.Hemos de comprender, quienes del tu-rismo vivimos, que es hora de limpiarla cala de aguas sucias; y antes detodo, no ensuciarla más.

* La playa grande es insuficiente, paraque todos sus visitantes puedan tumbar-se al sol. Nuestra Cala, nadie lo ignoratiene otras playas yendo hacia Sa PuntaBlanca. Algunas incluso llevan amonto-nadas sobre su arena, las algas de 10años; y eso es un grave error. El Ayun-tamiento debería ponerlas en subasta almismo tiempo que la grande, sea inclu-yéndolas, sea por separado. Los quehabitan cerca de esas playas no tienenpor qué, en lugar de bañarse, confor-marse con mirarlas, como si estuvieranpolucionadas y pestilentes; que esotambién es verdad, las algas amontona-das bajo el sol, y en el agua, suelenpudrirse.

* La playa está muy limpia, y lasaguas apetecibles por ahora, gracias aldesvelo de Miguel Vich.

* Al final de junio, los cartelitos de"se alquila" florecían aún en aparta-mentos y casitas, que normalmente aesta temporada estaban ocupados ya ennuestra Cala. A fuerza de aumentarlesel alquiler nada menos que de 10.000pesetas más de un año para otro, handejado de venir, sin más ni menos. Uncasetón antiguo apenas remozado,100.000 pesetas al més, copiado sobre

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PARIS-BALE ARES .11

lo más caro de la isla; ya está bien¿No? De no alquilarse las casetas tam-poco se venderán los pisos que en dosaños han subido en la misma construc-tora en dos millones de pesetas. Yestando así las cosas, se puede asegurarque esos albañiles venidos, quizás Diossepa de donde, se están comiendo elpan de nuestros hijos; porque de seguirasí, pronto habrá más pisos que com-pradores. Además ninguno de ellostiene agua, todos confían con el ca-mión, y eso solo durará un tiempo.

* Más de media Mallorca, depende delsuministro de agua potable, por los ca-miones cisternas. El precio de cadaservicio, oscila según los casos, entre lasmil doscientas y las cuatro mil seiscien-tas pesetas.

Carecemos de agua porque en lasnuevas construcciones no se recupera elagua caída del cielo; bastante sustancio-sas en invierno. El problema vista suimportancia, necesita una solución, queno puede ser otra, más que la naciona-lización de los acuíferos. Claro está quelos dueños de los terrenos en dondeexistan pozos, no se les va a quitarnada. Podrán beber su agua y utilizarlapara el regadío, si así lo desean. Lasocialización del agua, solo será para lasaguas en exceso, y sin abusar; para evi-tar su salinidad, siempre posible desdeque llueve menos. El agua como elaire, por ser irremplazables, ha de estaral servicio de todos.

Por ahora, los camiones de transpor-te carecen aún de reglamentación, ytambién de tarifas más o menos políti-cas, a fin que todos seamos solidariosante el grifo.

* Hay quienes están soñando. Se nosinforma que un parque acuático podríaser instalado en Magalluf. Un parqueacuático que desplazaría a él sólo, nadamenos que a 14.000 visitantes diarios.La inversión sería nada menos que de600 millones de pesetas creando suspuestos de trabajo. Un sueño doradoque ni ellos mismos se lo creen.

Lo triste es que muchos españolitosson así. Se creen todo cuanto se lescuenta, menos que hay que trabajarpara vivir.

* Una constructora desmontando terre-nos despide una polvareda insoportable,mientras que otra, al tener parte delmaterial sobre la calzada; en la mismí-sima calle principal, impide el aparca-miento, cuando no corta la circulación.

La opinión mayoritaria es que elAyuntamiento debería de prohibir talestrabajos en los lugares turísticos, duran-te los meses punta de Julio y Agosto.

S'ARRACO

* Entregó su alma al Señor, *n Palmadonde vivía, a los 85 iños, i» M "-garita Vicens Juan "< fr».

viuda del que fue D. Pedro AlemanyEsteva "Cabrera"; dejando entristecidosa cuantos la conocían.

La ñnada, mujer buena y simpática,era una verdadera mujer casera, que nohabía salido nunca del pueblo; ejercien-do de jornalera en sus años mozos yayudando a su marido tras su enlacematrimonial. En aquellos tiempos nohabía otra opción, a no ser salir haciaCuba. Desde poco a esta parte vivíacon sus hijos en Palma, disfrutando deun retiro bien merecido.

Testimoniamos a sus apenados hijos,Guillermo y Jaime; hijas políticas,Juana y Cecilia; nietos, Margarita yFrancisca; de un lado; y Margarita, pe-dro y Cecilia del otro; como también alos demás familiares, la expresión denuestra muy viva condolencia.

* Desde Alemania, donde trabaja en lacarrera consular, vino a visitar a susfamiliares, D. Antonio Bauza Alemany"de Ca'n Diñé". Su estancia en esa nofue muy larga, pero el hecho es lo quevale. Desde luego, Antonio es un serioamante de nuestro terruño.

* Un elevado número de fieles, no tansolo de nuestro pueblo, sino tambiénde Andraitx y Puerto, capitaneados porlos curas de los pueblos citados, lleva-ron el escudo del término a Lluc; porno haberlo llevado al curso de la pri-mera peregrinación realizada a princi-pios de año.

* El niño Pep Pujol Ferra, hijo de losconsortes D. Gaspar y Doña Margarita,fue presentado a la pila bautismal deS'Arracó. Un refrigerio muy bien surti-do, fue servido a los numerosos invita-dos; en la casa de los abuelos maternosde San Telmo.

* La Conselleria de Agricultura preparala campaña contra la "Procesionaria".15 mil hectáreas serán tratadas por pri-mera vez con productos no tóxicos.Hasta ahora lo único que se obteníafue de matar a los enemigos de la"procesionaria". Por eso, esta, por másque se la fumigue, más potente regresade un año para otro. La Naturaleza haprevisto que cada ser viviente tiene asu enemigo; y es así, como todo seestá renovando y pereciendo a cadamomento. Los países que menos "Pro-cesionaria" padecen, son los que nuncafumigan. Pero esto por mucho que unolo diga, tampoco nadie se lo cree.

También los fumigantes han de vivir,¿NO?

* Una muy importante construcción,justo a la llegada a San Telmo, evacúa-y si no lo hace ya al aparecer estaslíneas- lo hizo en junio, casi todo elmes; una cierta cantidad de agua diaria-mente, que atravesando la carretera vaa perderse en el torrente. El agua salepor un agujero por donde entran los

coches en el garaje, por debajo delsuelo de este; y pensamos que eso debeser subsanado, si todavía no lo está.

En el mismo lugar, el camino pordonde salen los coches del bloque, esta-ba en un tramo, por encima de la ca-rretera de S'Arracó; y eso fue subsana-do, tras la visita de un teniente dealcalde del Municipio.

* La playa ha perdido gran parte de suencanto. En efecto gran parte de laarena ha sido transportada mezcladacon las algas al interior de las tierras.No lo parece y sin embargo son másde 25 camiones de arena que han desa-parecido así, sin más ni menos. A pocomás de un metro de la linea del agua,se ve en varios tramos, la pedrea queocupa el puesto de la arena. Un gastomás para el año próximo.

El estanco también ahora traspasado,está en la playa; cuando varios arraco-nenses lo hubieran querido para sí,caso de saber que se cedía.

* El niño Carlos Hernández Gelabertfue llamado a Madrid en compañía desu padre para una estancia de cuatrodías todos los gastos pagados. Allí seencontró con tres pintores más, dosmás viejos que él, y más pequeño elotro. Eran los super campeones delCertamen de Pintura que organizó laJefatura de Tráfico a escala nacional.

Un premio que les gustó mucho,pero mucho, con recepciones, visitas alos museos, además del importe en me-tálico; y un gran etc.

INCROYABLE...

Incroyable, oui, mais... vrai! Unjeune "Cadet" de Palma a acheté, cesjours derniers, une voiture Renault 5TX, le dernier modèle.

Imaginez sa surprise quand, quelquesheures plus tard, il découvre que laroue de secours de la voiture est d'unmodèle totalement différent des quatresautres roues. Croyant à une erreur, ilretourne à l'agence Renault locale, oùon lui explique fort aimablement queTOUTES les Renault 5 sortent de l'usi-ne èqui pees, de quatre roues en alliaged'aluminium, et d'une roue ordinairedu modèle utilisé antérieurement! Onlui dit également qu'il peut échanger laroue de secours ancien modèle contreune en aluminium... moyennant une"rallonge" de huit mille pesetas!

Notre ami n'a pas encore digéré sasurprise. Comment est-il possible queles cinq roues d'une mèmee voituresoient différentes les unes des autres?Quelle raison peut-avoir la FASA-Re-nault pour faire ce genre de stupidité?En cas de crevaison, quelle allure aurala voiture avec une roue différentes desautres?

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12. PARIS-BALEARES

LA CENICIENTA ARRACONENSEAntonia Palmer Colomar, hija de Pe-

dro-Juan y Antonia, natural de S'Arra-có, cumplirá este invierno, sus 80 años.

De sus años moza, recuerda que supadre era navegante por los mares delCaribe, mientras que su madre entrete-nía la casa, yendo de jornalera cuandoencontraba trabajo, lo que permitíaendulzar los días festivos. Ella, mientrastanto, aprendía a bordar, y esa fue sugran ambición; realizar flores y pájarosde ensueño para el taller de bordadosque había en Ca'N Jesús primero, yluego en Ca'N Moreü. Su padre al re-gresar de las Americas, pescaba en SanTelmo, como marinero del que fue elpatrón D. Gaspar Alberti (Bac). Amedida que pasaban los años, se leinfectaron unas llagas que tenía en unapierna, y tras pasearla algunos años, sela cortaron. Aquí comenzó su gran tra-gedia. Tenía 57 años. El médico queoperó, quiso ponerla al retiro, comoincapacidad permanente, pero el resulta-do fue, que las casas de bordados dePalma, por quienes trabajaban los talle-res ya citados, no la conocían; y elseguro, cuyas mensualidades pagaba re-sultó que no la tenían afiliada. Se tratade una presunta estafa, que ahora noviene al caso. Y se quedó sin podertrabajar, y sin pensión. Por piedad, lefue reconocida una pequeña pensiónque revalorizada en 1983, asciendeahora, a 17.650 pesetas mensuales, conmédico y medicinas pagadas.

Hace 27 años que vive recluida en

su casa, donde vecinas y amistades lellevan las noticias de todo cuanto ocu-rre en el caserío, y le tienen compañía.Su caso es muy serio, ya que con esas

17.650 pesetas que cobra, ha de pagarel butano a 855 pesetas la bombona, yla electricidad al precio que está meti-da, y no puede ir adelante como qui-siera. Tenía un trozo de tierra y tuvoque venderlo, porque el estómago aprie-ta.

Intentó aumentar sus recursos, solici-tando una pensión complementaria,donde pensaba que se la darían. Perono le han dado nada, bajo el pretexto,que ahora que ha vendido el terrenoque le quedaba, no puede alegar la fal-ta de dinero, y por lo tanto no se lepuede dar nada.

—Que se lo coma, y después vere-mos.

Mientras tanto, ella gasta lo menosposible, por miedo que si gasta lo pocoque le queda, tampoco le ayudendespués.

Además, necesidad imprescindible,no tiene water, sólo un hoyo en ungallinero desafectado, al otro lado delpaso peatonal, que le sirve de calle; yque su estado no le permite atravesar.Y el remate del dinero del terreno nole basta para pagar al al bañil.

Es curioso en nuestra sociedad,como el que tiene uuiero, con tal deque tenga la casa sucia, siempre se letenga compasión; mientras que el verda-dero necesitado, si por desgracia tienela casa limpia, —lo que es el caso— nose le dé nada.

Lo peor es que no puede bordar,porque su vista ha bajado seriamente alser afectada de cataratas. Tampocopuede hacer cuerda de palmito, que eraen los años 20 al 40 la gran industriadel pueblo; cuando ahora ya nadie lacompra.

Necesita una criada y no la tiene.Una vecina le entretiene la casa, a

razón de una hora de limpieza cadadía; y en esa limpieza, entra el ir allevar el chocolate al hoyo; donde ellano puede ir.

Es un caso serio que a nadie preocu-pa.

G. SIMO

HOMENATGE AN ES VELLSUna gallina quan cova

Sols no té ganas de menjarRes me faria covarEs vintimi dia qu'ellas ho fanSi jo poria tornarA coranta anys mes jove.

Per ésser ben respectatSa de tenir pacienciaSi te duven a una residenciaEs perqué n'ol si has datLo que havias ahorratI per això tenen paciencia.

El món va canviantEs un mal qui no te curaS'en riuen de sa VelluraSe creuen que no he hi tomaran.Pero els qui arribaránLlevonses ja veuran

Lo qu'és viurà d'amarguraSense fer cap lletjuraHasta es seus l'avorriran.

Senyors es per demésSa vellura ningú la volViva es poble Andritxol,I que no mos falli "la Vejez"Perquè si tenim doblersNo es tan mal de dur es feix,I no te deixam tan tot solEs fill, es nebot, i es fillolEs padri que no se queix.

Sant Isidro llauradorLlaurave per ses vorerasJa no baten per ses erasNi tampoc ses farinerasFan farina ni segó,Pero tenim televisió,

I per sa corema fan verbenasAmb alegrias i penasTothom viu a lo senyor.

Lo únic que jo séJa està escrit i remarcatTornar vell no es un pecat,Sobre tot si un està béLo més guapo vos diréAnar a jeura en haver sopatI no ésser dematinerEncara que sigas fenerTot això ja sa acabat.

Senyors per acabarI vos don sa despedidaDe bon gust desitjariaA cent anys porer arribar.

GUILLEM BARCELÓ

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PARIS-BALEARES . 1 3

SAVIEZ VOUS...• Que l'Espagne compte 8.100 makes(alcaldes) et seulement 8.000 pompiers;c'est à dire cinq fois moins, en moyen-ne, que dans le reste de l'Europe. Maisle plus grave, c'est que ces pompiers,trop peu nombreux, sont mal répartiset mal équipés. Les grandes villes, quireproupent 38°/o de la population, dis-posent de 70°/o des soldats du feu. Lamoyenne d'âge des pompiers est de 45ans. et la plupart des véhicules ont plusde 15 ans de service, contre cinq ansdans le reste de l'Europe.

Dans 18 provinces, seule la capitaledispose d'un corps de Sapeurs-pompiers;les autres villes, villages, et hameauxsont pratiquement sans protection.

• Qu'il ne reste plus que 95 couplesde vautours noirs en Espagne, sur untotal de 250 couples dans toute l'Euro-pe. Curieusement, cet animal qui n'ajamais fait le moindre mal à aucun êtrevivant, puisqu'il s'alimente UNIQUE-MENT de charognes, est victime de lastupidité humaine!

Pour les esprits simples, le vautournoir était un oiseau de mauvais augure,ce qui suffisait à justifier sa mise àmort. Il était également classé parmi lesespèces nuisibles, et dans certaines ré-gions, ont offrait une prime au chas-seur qui les abattait. Et combien dechasseurs ont exhibé vaniteusement lesdépouilles d'un magnifique et inoffensifvau tou r devant leurs amis. Dansd'autres cas, des poisons étaient dissé-minés dans les champs pour éliminerles animeaux nuisibles... Se nourrissantdes charognes, le vautour tombait à sontour... La disparition des grandes forêts,victimes de la rage des constructeurs, aégalement mis en péril la survie desvautours noirs, peu soucieux de cohabi-ter avec les humains.

A Majorque, le Groupe d'orni-thologie Balear lutte de toutes ses for-ces pour essayer de sauver les quelquescouples qui habitent enr.ore ' ',• nt r

a également créé un centre de repro-duction à Son Reus; tâche ardue car levautour noir ne se reproduit que trèsrarement en captivité.

• Que, selon la Loi d'Amnistie du 15octobre 1977, les années passées en pri-son son valables pour le calcul des re-traites de la Sécurité Sociale. Et, pardessus le marché, les cotisations sontprises en charge par l'Etat. Ces mesuresgénéreuses font grandement plaisir àcertains petits retraités (25.000 ptas.par mois = 1.300 F.) qui subissent con-trôle sur contrôle, après avoir cotisétoute la vie, car la Sécurité Sociale estobsédée par la peur d'une fraude tou-jours possible.

• Que les financiers du monde entierse trouvent devant un problème insolu-ble: les pays pauvres sont de plus enplus pauvres, et les Etats-Unis de plusen plus riches. Non seulement les payspauvres son endettés jusqu'aux oreilles;non seulement ils sont incapables derembourser; mais ils se trouvent mêmedans l'impossibilité de payer les intérêtsde la dette. Or, comme la detteaugmente un peu plus chaque jour, lesintérêts sont chaque jour plus élevés,etc... Le pire, c'est que la dette estsouvent motivée par des achats impro-ductifs: armes, whisky, armes, parfums,armes, essence... et encore, et surtout,des armes...

A Mn. Isidor Macabich, dévoraes seu monument, a Eivissa, enes I centenari d'es seu neixement

"Clara nit de gener,claror de lluna plena"

(Isidor Macabich: "Miratges")

Pujant Dalt Vila he trobates vostro repòs d'estàtuai es meu pas he alliberatde tanta quimera fàtua,

i vos he vist amorósrecercant per dins s'historiaper aixecar sa memòriade ses Pitiüses, vós

que vàreu viure i ritmareivissenques poesiesde mariners i de diesde bona i de mala mar.

Pujant Dalt Vila he sentit,devora d'un món frenètic,es vostro repòs poèticple d'un miratge infinit.

LLORENÇ VIDAL

JA SOM A SANT PERE

Sant Pere ja es aquiConservem sa tradicióMos em de posar d'humorTant es casat com es fadríSa festa sol venirQuan comença sa calor,I d'Andraitx es lo millorQue existeix se pot dir.

En aquell temps no hi haviaLo que es diu tante beldorI sin embargo mes humorI també mes alegria,Sa gent se divertiaAmb un duro i un vellóNo pasavem es biulóNecesita! no en teniaAccidents també ni haviaI no eren de circulació,Lo que sa filla des SenyorAmb so pastor s'adormia.

Senyors devertiu-vosNo mireu amb una pesetaEs Govern mos fa sa punyetaTornaran els inspectorsJa no hi val ésser ronyós,Mos treurán sa rejoletaTant d'esquerra com de dretaCap a Isenda o penjau-vós,

Gracias an es futbolersQui organiseli sa festaDes demati fins al vespreVeureu papers pes carrersSon es millors obrersSense tenir doblersSon allots molt feinesI hasta se buiden sa testa.

Senyors quina alegriaAndrixols i mallorquinsEn temps des nostros padrinsSant Pere ja existia,Molts d'anys per tots voldriaVells, casats i fadrinsQ Q seguesquin es nostros ninsCom es pá de cada dia.

GUILLEM BARCELÓ

canseu IHSULAR DC MALLORCA

EL CONSELL INSULAR DE MALLORCAAMB LA TERCERA EDAT

ASSOCIACIONS DE LA TERCERA EDAT

Us convidant • una r*c*pc*ò i • l'asrapraiantació al Taatra Principal

Pr«oam qua las n tociackmiintarassadas anviin un« sol licitud iU Comissió da Cultura d*l ConsellInsular da Mallorca (Palau Raial,1. Ciutat) abana <W dia 30da juliol.

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14. PARIS-BALEARES

INVITATION AU VOYAGEHeureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage.C'est ainsi que notre ami, venant nous rendre visite, nous

conta le sien.Je garde volontairement l'anonymat de ce cher ami, mais

je suis encore toute éblouie du récit qu'il nous fît de ce simerveilleux voyage.

Après l'avoir écouté, presque comme une enfant la bou-che béante et les yeux grands ouverts, je me demande perfoissi l'on ne rêve, un peu, de temps en temps.

J'ai parfois des regrets d'avoir vieilli trop vite et de nepouvoir présentement faire des voyages, aller a la découvertecomme tous ces grands voyageurs qui découvrirent le monde;grâce a eux, il nous a été permis de connaître de par leursrécits qu'ils en firent l'existence des sept merveilles du monde.De tout temps, les hommes ont été des curieux, des cher-cheurs voulant connaître d'autres horizons voir et découvrird'autres choses que celles qui leur étaient familières, estainsi, grâce à eux, que nous avons enrichi nos connaissancecesculturelles.

Munie du petit opuscule que venait de me remettre notreami, je me plongeai dans la lecture, qui ne tarda pas a mecaptiver.

Gardez ce petit livret touristique, il vous dira et explique-ra tout ce que mes yeux ont vu réellement, dit ce bon ami,Je souhaite pour vous de pouvoir faire ce voyage, cela méritele déplacement, c'est une merveille, prenez le temps de le lireet si possible faites comme lui, allez sur place. Faites commeSaint Thomas, allez toucher du doigt et croyez vos yeux.

Donc voici, ce que nous recommande le livret pour lavisite touristique, (d'après le texte traduit en français) etnotes de voyages.

VISITE AUX MINES DE SEL - WIELIEZKALES RELIQUES DU LABEUR DES MINEURS

Les reliques du labeur des mineurs de WIELIEZKA, cons-tituent depuis très ongtemps une grande attraction touristique,mondialement connue. D'années en années le nombre croissantde visiteurs en témoigne. Actuellement on enregistre de700.000 a 800.000 visiteurs par an dont 120.000 a 150.000touristes étrangers, venus du monde entier. La visite a lieutoute l'année, mais c'est en été que la fréquentation est laplus accrue. D mois de Mai au mois de septembre le trajetsouterrain est adminré par 4.000 a 6.000 personnes par jour

Le mineur d'aujourd'hui est fier de l'oeuvre de ses pères,oeuvre qui inspire une si grande admiration. C'est pour celaque la partie artistique est entourée de soins constants. Lesmineurs souhaitent la bienvenue à tous les visiteurs, ainsi-qu'une agréable visite de la Mme.

AVANT LA VISITE ET LA DESCENTE AU PUITS

La production de sel dans la région de WIELIEZKA"BARYEZ" date de l'époque néolithique (environ 3.500 ansavant Jésus Christ) Mais, les premieéres traces de productionde sel par evaporation des eaux salées ont été découvertes à

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WIELIEZKA, depuis l'antiquité jusqu'à notre ère. Durant plu-sieurs siècles les eaux salées puisées aux sources ont été lesmatières premières. Les eaux salées étaient évaporées dans desrécipients d'argile chauffés en plein air. Avec le temps, lessources ont été approndies en creusant des puits d'eau saline.Du Xe au Xile siècles, la production de sel par evaporation

'était très importante et les récipients d'argile ont été rempla-ces par les containers en tôle, avec du bois comme com-bustible.

Le "sel gemme" fut dabord découvert a BOCHNIA (envi-ron vers l'an 1250) où l'on extrait du sel par evaporationégalement. La découverte se fit par hazard, en approfondissantun puit d'eau saline. A WIELIEZKA, par contre la recharchedu sel était systématique, son exploitation remonte un peuavant 1290; le manque de documents écrits ne pernettent pasde déterminer avec précision la date de création des premierspuits. On connaît seulement leurs noms et approximativementleur localisation. Le plus ancien de ces puits, le puits "RE-GIS" a probablement été creuxé au début du XIV iemesiècle. Durant les siècles suivants on a creusé de nombreuxpuits parmi lesquels le puits DANILOW1Z, qui est actuelle-ment utilisé pour la descente des touristes. Les débuts duforage remonteraient a l'année 1638, le puits fut progressive-ment approfondi en fonction des besoins. Durant 3 siècles, cefut un puits d'exploitation normale, puis en 1935, il futadapté au tourisme.

Le bâtiment du puits qui existe actuellement fut construitdurant la seconde moitié du XIX ieme siècle. A cette époquele puits fut doté de la première machine a vapeur. En 1960ou 1961, le puits fut reconstruit et, le bâtiment du puitsrestauré, une nouvelle tour d'extraction érigée, une nouvellesalle de machines construite et un nouvel extracteur électriqueinstallé. C'est ainsique la mine de sel de WIELIEZKA existedepuis 700 ans. Les dimensions sont énormes, presque 300kilomètres de galeries et de creux. Tout ce labyrinthe s'étendau dessous de la ville et dépasse ses Uni tes. Les dimensionsdu dédale s'élargissent d'année en année puisque la mine esttoujours en activité.

Le gisement de sel de WIELIEZKA, contitue un petitsecteur de la zone saline de PODKARPACIE, formée U y a18 a 20 millions d'années à l'énnoue MIOCENE' Pendant desmilliers d'années la mer les recouvrait. Ensuite, la période declimat sec et chaud est arrivée. Les eaux de la mer se sontprogressivement évaporées en laissant de nombreux dépôts,parmi lesquels -le plus précieux- le sel "NACÍ" La forma-tion des dépots a duré au moins 15.000 ans, en subissant denombreuses inversions et retours ou reprises. Au cours desépoques suivantes il y eut de forts mouvements tectoniques,pendant lesquels les dépots primaires ont subi de fortes perturbations et déplacements. Ainsi le gisement de WIELIEZKA,est devenu très compliqué et confus. Des argiles imperméableset schistes argileux qui entourent les gisements de sel les ontprotégés contre le lavage par l'eau.

La longueur du gisement actual exploité dans cette mine,mesure 6 kilomètres environ et a environ 1 km. de largeur.

En descendant de haut en bas, le gisement est composéde deux parties visiblement différentes. Dans la partie supé-rieure, où se trouvent les trois premiers niveaux de la mine, lesel est présent seulement sous la forme de grands blocs, c'esta dire de simples roches dispersées parmi des couches d'argile,de schiste et de sable. Par contre, le conp lexe inférieur où setrouvent six niveaux ultérieurs, comprend des couches de selintercalées de couches d'argile, d'anhydride de sable, deschiste et de plâtre. Ici également on aperçoit l'effet de fortesperturbations tectoniques. La dernière couche de sel se trouvea una profondeur de 340 m. environ.

LE TRAJET TOURISTIQUE

Les chantiers d'exploitation qui ont été rendus accessiblesaux visites ne sont pas la partie la plus ancienne, mais c'est acause de leurs accès. La plus part d'entre eux furent crées auXVIIe siècle, ou phistard. Presque tous les chantiers ont étécreusés de mains d'homme, par le fatiguant travail manuel,sans machine ni explosif.

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PARIS-BALE ARES .15

Le trajet touristique et les musées sont situés dans lecomplexe supérieur ou le sel se présente uniquement sous laforme de mottes. Les chambres visitées sont précisément desblocs de sel qu'on a creusé du dedans; l'homme avait laissé,après avoir enlevé le noyau, tout autour, des cavités bienétablies et une carapace en sel qui devait protéger le videcreusé contre l'écroulement imminent sous la pression desargiles et des sables qui l'entourent. Mais si, malgré cetteprévention, le plafond ne résistait pas aux tensions ou pres-sions, et qu'une fracture du toit apparaissait, le chantier étaitimmédiatement protégé par des supports (un tas de troncsd'arbreset de conifères empilés) ou bien par des supportsverticaux de madriers. A travers les siècles la mine a dévorédes forêts immenses. Heureusement, le bois dans la mine desel ne pourrit pas, car le bois saturé de sel peut durer dessiècles. Et, les mineurs de WIELIECZKA, savaient non seule-ment extraire le sel et défendre leur mine contre l'eau, le feuet les pressions de terrain, mais encore, il y en avait parmieux qui par plaisir faiaaient des sculptures en sel. Cettepratique se perpétue jusqu'à nos jours. Pendant ces dernièresannées des mineurs sculpteurs, Antoni WYRODEK, MIECZYS-LAW KLUZEK, WLADYSLAWW HAPECK, STEFAN KOZIKet leurs aides, WLADISLAW, JANAUWSK, PIOTR CHOLEWA, TADEUS JARCZYNSKI et les autres, travaillaient sur ladécoration du trajet touristique. L'ingénieur AlexandreBATKO, a joué le rôle de leur mécène, grâce a qui l'itinérairetouristique est ce qu'il est à présent technique et estéthiqueet original.

DEBUT DE LA VISITE

Apres être descendu par les escaliers au premier niveau(394 marches, profondeur 64 m.) le guide présente les instruc-tions et le règlement de la visite de la mine. C'est ainsi qu'ilest interdit de fumer ou d'allumer du feu, de toucher auxinstallations électriques, à cause du danger d'electrocution, lespersones de grandes tailles doivent baisser la tête dans lesendroits trop bas, en passant par une porte d'aération, il fautla retenir, car a cause de son poids, elle se referme touteseule; il est également interdit de se séparer du poupe et demarcher sans guide; on est prie de ne pas toucher aux sculp-tures ainsi qu'aux objets; les enfants et les personnes ayantdes difficultés pour marcher doivent être entourées de soinsdans le cas d'indisposition ou d'une quelconque blessure, ilfaut immédiatement en avertir le guide...

CHAMBRE DE NICOLAS KOPERNICK(COPERNIC)

Le lieu principal de cette chambre est occupé par lemonument d'un des plus célèbres touristes qui visita la mîneau cours des siècles. Selon la transmission historique, NicolasKDPERNIK (ou COPERNIC) y serait probablement venu vers1493, lorsqu'9 faisair ses études à l'Université de CRACOV1E,en compagnie de Bernard WAPOWSKI, le futur auteur de lapremière carte géographique de la Pologne. Nicolas COPER-NIC, est né a THORN en 1473 et est décède en 1543, aFRAUENBOURG, dont il était le Gouverneur du Chapitre etadministrateur du domaine du Château de ALLENSTEIN. En1973, quand le monde entier célébrait le SOOieme anniversairede la naissance du grand astronome, les mineurs de WIE-LICZKA, ont reconstruit cette vieille- chambre pour y érigerun monument à la mémoire de Nicolas KOPERNIC, quis'appelait en réalite KOPPERNIGK mais comme les savants dutemps n'écrivaient qu'en latin, ils se donnaient aussi des nomslatins et c'est ainsique le nom de COPERNICUS, se trouveformé puis déforme et traduit. Cette chambre a une hauteurde 4 m. 50, elle a été sculptée par l'artiste sculpteur Wladys-laww HOPEC. Le noyau ou creux, lui-même date duXVIIieme siècle, sa forme est arrondie et témoigne du travailqui s'y est fait durant de longues années, et notamment dutreuil a chevaux, qui transportait le sel des niveaux inférieursau niveau I, pour le transporter ensuite par le puits DAM-LOWICZ, a la surface, et de la vie en galerie des mineurs defond.

Nous continuerons notre article par les visites de la cha-pelle et des autres chambres sculptées dans le sel.

Madame A. R. PERRIGAULT RIPOLL

(A SUIVRE)

PROBLEMESD'ELECTRICITE

Nous sommes nombreux à tracter caravane ou remorquependant les vacances. Pour ceux qui ne sont pas des expertsen électricité, la mésaventure suivante vaut d'être relatée.

Nous sommes partis de la région parisienne pour le midifin mars, en fin de journée. Au tiers du parcours, profitantd'un arrêt, on a vérifié, et constaté que le clignotant arrièregauche de la remorque ne fonctionnait plus. Echanged'ampoule. Rien. Vérification des fils et de la prise: tout étaiten ordre de ce côté... Nous nous sommes arrêtés dans presquetoutes les stations service sans trouver personne capable de sepencher sur notre problème. En faisant attention, noussommes quand même arrivés à bon port, en constatant cepen-dant, à partir d'un certain moment, que les feux de détresses'allumaient lorsque nous mettions le clignotant gauche...? ? ?Pendant les congés j'ai changé la prise de la remorque: leplastique était fendu et ébréché... Essais satisfaisants.

Le jour du retour. On attelé la remorque, on fait desessais: plus rien! Ni clignotants, ni feux rouges, ni stops, nifeux de détresse, rien! ! ! En outre l'aiguille de la jauge etcelle du témoin de charge étaient à zéro...

On change le fusible, tout marche, on est soulagé. Onpart. Dix kilomètres, les aiguilles retombent à zéro.

Changement de fusible. Encore dix kilomètres, les aiguillesà zéro de nouveau. Sans être d'un tempérament anxieux, onse fait du souci un samedi soir à 18 heures quand on a 900kilomètres à faire.

Un mécanicien de Cavaillon consulté nous a dit simple-ment: "Les fusibles (16 ampères) de ces voitures sont tropfaibles. Mettez donc des 21 ou 25 ampères".

Sitôt dit, sitôt fait, et nous voilà repartis. 10, 20, 30kilomètres, nous nous croyions sauvés. Jusqu'au péage avantVienne. Encore une fois, les aiguilles à zéro, il était 20heures, la nuit tombait, nous étions plutôt angoissés.

Renseignements pris, nous avons été voir un garagistes deservice, quelque part le long du Rhône, qui a bien voulu sepencher sur nos ennuis. Le lendemain matin nuit à l'hôtel. Lelendemain à la première heure chez le garagiste. Le bravehomme a vérifié les fils de la prise sous la voiture: le courantarrivait partout, ou presque...! Il a pensé, comme moi, queprobablement des fils étaient dénudés et provoquaient descourts-circuits.

Devant le peu d'enthousiasme du mécanicien à poursuivredans ses recherches, nous sommes rentrés la remorque débran-chée, les feux de la voiture étant visibles.

Parlant de mes déboires à un collègue un peu plus...branché que moi sur la question, je me suis entendu dire qu'ils'agissait sûrement de la masse.

Le soir même nous étions à quatre pattes en train dedémonter la prise sous la voiture: derrière tout était rouillé.On a gratté avec une lime la rouille au point de fixation dufil de masse.

Remontage, essais: tout marche désormais comme avant.Un quart d'heure de bricolage!Faute d'être... au courant... nous avons passé une nuit à

l'hôtel, payé une heure au garagiste, perdu une journée.Nous aurions aussi pu tomber en panne sur l'autoroute,

et être contraint d'appeler une dépanneuse. Alors que 10 ou15 minutes suffisaient pour tout remettre en ordre...

P Ã RI S-B ALE ABES Organo de los"Cadets de Majorque"

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16. PARIS-BALEARES

PARIS-BALEARESOrgane mensuel de l'Association Amicaledes Originaires et Descendants des Baléa-res résidant en France:

"LES CADETS DE MAJORQUE"Siège Social: 20, Avenue Foch

66 400 CERET

Association Etrangère Autoriséepar le Ministre de l'Intérieur

Directeur de la Publication:Miguel Ferrer Sureda

Président Honoraire:Raphaël Ferrer Alemany

7, place d'Erlon. 51100 REIMS

Président: Gabriel Simó AlemanySanjurjo, 13. S'ARRACO. Mallorca.Tel. 67 25 03

Vice-Président: Juan Juan Porsell,Capitán Vila, 64.°-A. Palma deMallorca 7. Tel. 27 22 96.

Vice-Président pour la France: MichelF. Gaudin. 3, rue de Damrémont44100 N ANTESTel. (40)73 3697.

Secrétaire Générale: Mme. AntoinetteR. Perrigault "Villa du Canigou" ,20. avenue Foch 66400 CERETTel. (68) 87 08 49

Sec .taire Général Adjoint: HenriKetout 15, rue des Ormeaux,76600 LE HAVRE.Tel. (35) 41 2032

Trésorier, et Délégué Général pour lesBaléares: Antonio Simó Alemany,PI. Navegación, 19. Tel. 28 1048.07013. Palma de Mallorca.

BULLETIN D'ADHESION

Je désire faire partie des "CA-DETS de MAJORQUE" au titre de:Membre adhèrent . . . 50 Frs.Membre donateur . . . 70 Frs.Membre bienfaiteur . . 100 Frs.Membre mécène (I partir de) 150 Frs.

et recevoir gratuitement"PARIS-BALE ARES".1

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Lieu et date naissance

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Biffer la mention inutile.

Nota.- Tous les règlements, adhésions,publicité sont à effectuer au nom des"Cadets de Majorque", C.C.P. Paris1801-00-S.

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Palma de Mallorca-Baleares-España

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Trayectos del

15 de Junio al 15 de Septiembre de 1984

PALMA- BARCELONA Diario, excepto Lunes y DomingoDiario, excepto Jueves y Sábado

BARCELONA - PALMA

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I BIZA- PALMA

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MAHON- PALMA. i ;--

l/RJ-tes, Miércoles y Viernes . .Diario

Diario, excepto Lunes . . . .

Diario, excepto Domingo . .

Jueves y Domingo

Martes y Viernes

Diario, excepto SábadoSábado

Diario, excepto SábadoSábado

Diario, excepto Miércoles y JuevesJueves

Lunes, Martes, Sábado y DomingoMiércolesJueves . . . .

12'30h.23'45 h.

12'30h.23'45 h.

12'00h.

23'30 h.

09'00 h.

10'OOh.

23'00 h.H'OOh.

11'00h.23'00 h.

23'00 h.11'OOh.

11'OOh.24'00 h.23'00 h.

Lunes, Jueves, Sábado y Domingo 23'45 h.

Lunes y SábadoJueves y Domingo

Miércoles

Miércoles

11'00h.15'OOh.

16'30h.

09'00 h.

BAR - RESTAURANTE

COCINA MALLORQUINA Y FRANCESA

Cerrado los lunes por descanso del personal

TELEFONO 63 1406PUERTO DE SOLLER