TEAM SUISSE DE RALLYE-RAID MOTO: OBJECTIF «DAKAR» 2019, C’EST PARTI

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QUE SOMMES-NOUS?- Un team 100% suisse- Deux pilotes- Une structure d’accompagnement complète- Un journaliste spécialisé engagé dans la course

LE «DAKAR», C’EST QUOI?- Un rallye-raid mythique- Un pionnier visionnaire- Un déménagement obligatoire- Plus de 500 participants

LA SUISSE ET LE «DAKAR»- 1981, les pionniers- Jean-Jacques Loup, record à battre- L’exploit de Mirek Kubicek- Le drame de Joël Udry

QUE PROPOSONS-NOUS?- Une participation «win-win»- Près d’une année de promotion- Des retombées médiatiques importantes- Des opérations «à la carte»

UN BUDGET À LA HAUTEUR DU DÉFI> exclusivement sur demande

TEAM SUISSE DE RALLYE-RAID MOTO: OBJECTIF «DAKAR» 2019 I page 3TEAM SUISSE DE RALLYE-RAID MOTO: OBJECTIF «DAKAR» 2019 I page 2

1) UN TEAM 100% SUISSEAutour de Nicolas Monnin (49 ans le 10 février, ingénieur civil au service de la Ville de La Chaux-de-Fonds), une équipe s’est formée avec, pour objectif, de créer une structure suisse de rallye-raid moto. But: participer dès cette année à des épreuves comme le «Morocco Desert Challenge», dans le cadre de la préparation au «Dakar 2019». L’idée? Engager un team indépendant formé de deux pilotes. Ce projet est appelé à s’établir sur la durée, afin de permettre à des Suisses de découvrir l’épreuve.

2) DEUX PILOTESAux côtés du Neuchâtelois Nicolas Monnin, qui a déjà participé au Dakar en Amérique du Sud à une reprise (2016), un deuxième pilote suisse sera engagé (différents contacts existent). Les motos seront des KTM Rally Replica 450 «compétition-client», les machines reconnues comme idéales – parce que très fiables - pour les équipes privées. Comme l’usine autrichienne KTM fournit l’essentiel du plateau, l’accès aux différentes pièces de rechange est en principe toujours assuré... même en plein désert.

3) UNE STRUCTURE D’ACCOMPAGNEMENT COMPLÈTELe rallye-raid est une discipline sportive individuelle qui se gagne – voir la ligne d’arrivée est déjà une victoire! – en équipe. Sur le terrain, techniquement, elle sera composée d’un chef-mécanicien, d’un deuxième mécanicien et d’un aide, qui conduira le véhicule d’assistance principale, un 4 x 4 spécialement aménagé. La préparation physique des pilotes est réalisée avec un entraîneur spécialisé, la partie administrative (inscriptions, réservations, documents) est gérée professionnellement.

4) UN JOURNALISTE SPÉCIALISÉ ENGAGÉ DANS LA COURSEUn service médiatique et de promotion est partie prenante du projet: Jean-Claude Schertenleib (59 ans le 10 mars, journaliste RP spécialisé dans les sports mécaniques), sera dans la course et gérera non seulement les informations quotidiennes pour les médias «print» et sociaux, il sera aussi en contacts avec plusieurs stations de radio. Il pilotera la voiture «presse» et sera accompagné d’un JRI (journaliste reporter images) qui pourra fournir des images aux différents diffuseurs de télévision.

1 QUE SOMMES-NOUS?

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1) 1981, LES PIONNIERSD’abord considéré comme un événement franco-français, le «Dakar» s’est rapidement internationalisé. Il va bientôt convaincre les grands constructeurs de s’aligner dans ce qui deviendra une véritable course. Il a aussi conquis des participants de près de 70 nationalités différentes. Dont des Helvètes. En 1981, un «team suisse» est au départ, avec notamment les side-caristes Pasini/Leonardo et Tabarin/Quiblier, mais aussi six «solistes». Le meilleur d’entre eux, Hansruedi Möri, termine dix-neuvième.

2) JEAN-JACQUES LOUP, RECORD À BATTREL’important est non seulement de participer, mais surtout d’arriver. Reste que le Dakar est une compétition, avec différents classements. A ce jour, le meilleur résultat d’un pilote de moto suisse est toujours le 13e rang du Payernois Jean-Jacques Loup, en 1983, qui a trouvé en Willy Läderach un importateur KTM déjà passionné, passion qui perdure en 2018! Quatre autres Romands figurent parmi les 28 classés: Mirek Kubicek (18e), Urbain Delacombaz (26e), Pascal Suardet (27e) et Yves Racine (28e).

3) L’EXPLOIT DE MIREK KUBICEKEn 1984, Mirek Kubicek (KTM) signe l’exploit, en réussissant le scratch dans la dernière spéciale, 80 kilomètres sur les rives en direction de Dakar. C’est encore une sacrée équipe suisse – SMB (Swiss Moto Boal)-Team - qui était de la partie, avec des KTM 650 aux couleurs d’une marque française de cigarettes! Cette année-là, une femme – Denise Grosjean – se lance dans l’aventure. Elle sera imitée, une quinzaine d’années plus tard, par Isabelle Jomini: «Une expérience qui m’a rendue plus forte.»

4) LE DRAME DE JOËL UDRYLe Dakar, ce sont aussi des drames. Ainsi celui du Genevois Joël Udry, sur l’ultime parcours de liaison (1995). Alors qu’il vient de parquer sa moto, il est renversé par un concurrent. Il évite de justesse le pire. Son équipier, Olivier Monnier, est à ses côtés; le rapatriement est organisé, mais Joël va perdre une jambe. Trois mois plus tard, il remonte sur une moto et aujourd’hui, il est co-organisateur de plusieurs rallyes en Afrique. 20 ans plus tard, son fils Damien, termine le «Dakar 2015».

3 LA SUISSE ET LE «DAKAR»

1) UN RALLYE-RAID MYTHIQUEParticipant du rallye Abidjan-Nice, en 1977, le Français Thierry Sabine se perd dans le désert libyen. Sauvé in extremis, il est rapatrié au pays. Subjugué par les paysages qu’il a découverts, marqué pour toujours par son aventure, il se promet non seulement de revenir, mais aussi de faire partager ses expériences. Dans son esprit, un parcours se dessine: départ de Paris au cœur de l’hiver, passage par Alger, Agadez et arrivée à Dakar: «Un défi pour ceux qui partent, du rêve pour ceux qui restent!»

2) UN PIONNIER VISIONNAIREThierry Sabine a compris beaucoup de choses avant tout le monde en planifiant «sa» course dans une période où l’actualité semble s’arrêter. Il est convaincu, on le traite de fou. Mais le projet se concrétise: le 26 décembre 1978, 170 concurrents prennent le départ de la place du Trocadéro, à Paris. «J’étais comme tous les autres, un poireau qui venait au guidon de sa 500 XT. Sans les sacoches de cuir...», se rappelle le premier vainqueur, Cyril Neveu. Un seul classement mélange motos et voitures.

3) UN DÉMÉNAGEMENT OBLIGATOIREC’est une réussite, que plus rien ou presque n’arrêtera. Même pas la mort de son créateur (1986), dans un accident qui emporte notamment le chanteur Daniel Balavoine et le pilote de leur hélicoptère, François-Xavier Bagnoud. Mais en 2008, face à des menaces terroristes et répondant aux recommandations du Ministère des Affaires étrangères de ne plus se rendre en Mauritanie, les organisateurs annulent le rallye à la veille de son départ. Douze mois plus tard, il reprend vie, en Amérique du Sud.

4) PLUS DE 500 PARTICIPANTSMême si on n’évite pas la querelle avec quelques anciens (les «Africains» qui crient au crime de lèse-Majesté), le «Dakar» sud-américain rencontre un succès populaire sans précédent: près de 4 millions de spectateurs au bord des routes et des pistes, en Argentine eu au Chili. En janvier 2018, pour la 40e édition de l’épreuve, 525 concurrents sont inscrits, pour 337 véhicules (190 motos/quad), 105 autos et 42 camions. 54 nationalités différentes – en comptant les assistances – sont représentées.

2 LE «DAKAR», C’EST QUOI?

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1) STRUCTURE COMPLÈTEEpreuve d’entraînement + Dakar 2019: (sur demande). Ce montant comprend les achats de deux motos, de deux véhicules d’assistance, les inscriptions auprès de l’organisateur, A.S.O., de deux pilotes, deux mécaniciens, un journaliste et un journaliste-reporter-image, les coûts de voyage (avions, hôtels, nourriture) et les différents frais de fonctionnement de la structure technique, administrative et promotionnelle. Les membres de l’équipe ne reçoivent pas de salaire, mais un très modeste défraiement.

2) AMORTISSEMENT (sur demande)

3) FUTUR À MOYEN TERME (sur demande)

4) PLAN «B»«Gouverner, c’est prévoir»: au cas où nous ne parvenions pas à rassembler le budget complet, nous avons chiffré, que ce soit pour l’offre «Entraînement Merzouga + Dakar 2019» ou pour le seul «Dakar 2019», un plan «B» (un seul véhicule d’assistance/accompagnement). L’idée est de compléter le budget en fonction de la configuration, toujours adaptable, du partenariat contracté (mise à disposition d’un des véhicules par un partenaire, par exemple).

5 UN BUDGET À LA HAUTEUR DU DÉFI

1) UNE PARTICIPATION WIN-WINNous avons besoin de partenaires pour financer notre projet, nous vous offrons la possibilité de participer directement à un événement qui est aujourd’hui considéré comme le deuxième plus important en termes de retombées, après la Formule 1 automobile: LE DAKAR, appellation contrôlée qui garantit des émotions, des images fortes, des souvenirs profonds. L’image de cette épreuve a de multiples aspects: le sport - donc le défi technique et physique -, mais aussi l’aventure la plus extrême qui soit.

2) PRÈS D’UNE ANNÉE DE PROMOTIONNos partenaires bénéficient d’une promotion qui s’étend sur près d’une année. En 2018, nos pilotes participeront à un rallye de préparation et à différentes séances de travail. En 2019, nous serons présents lors d’opérations auprès du public (expositions, salons, manifestations, etc.) Pendant la course, notre service de presse/promotion assurera une couverture complète; après l’épreuve, nous publierons notamment un livre grand format dans lequel nos partenaires apparaîtront par le texte et l’image.

3) DES RETOMBÉES MÉDIATIQUES IMPORTANTESLes médias changent, ceux qui ne s’adaptent pas à cette tendance, disparaissent. C’est pour cette raison que notre structure proposera ses services à la fois aux médias traditionnels, qu’ils soient généralistes ou spécialistes, mais aussi aux nouveaux médias électroniques, via un site Internet et les réseaux sociaux. Nous travaillons également sur un projet qui pourrait permettre au public suisse d’avoir une couverture télévisée complète – et ciblée autour du «Team Suisse Dakar», du Dakar 2019.

4) DES OPÉRATIONS À LA CARTEEn plus des opérations promotionnelles et des retombées médiatiques dont il est fait état par ailleurs, des opérations «à la carte» peuvent être réalisées en tous temps – en tenant compte bien sûr des obligations professionnelles des membres de l’équipe et des périodes de préparation intense. Conférences, stages découverte, mise à la disposition de la structure pour des événements auxquels votre entreprise participerait, voire des voyages d’accompagnement sur certaines épreuves, tout est possible!

4 QUE PROPOSONS-NOUS?

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CONTACTSContact général: Nicolas Monnin, Chemin des Mésanges 2, 2208 – Les Hauts-Geneveys+ 41 79 538 10 39nicolas.monnin@net2000.ch

Contact médias: Jicé Informations, Fleuri 2, 2206 – Les Geneveys-sur-Coffrane+ 41 79 600 65 80jice12@outlook.com

UNE ANNÉE DE PRÉPARATION, 14 JOURS D’AVENTURE EN DIRECT