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8/8/2019 toolsworkplace-fr

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LASCIENTOLOGIE :Pour faire du monde un endroit o il fasse meilleur vivre

Fonde et dveloppe par Ron Hubbard, la Scientologie est une philosophiereligieuse applique offrant une route par laquelle quiconque peut recouvrer la vritet la simplicit de son identit spirituelle.

La Scientologie consiste en axiomes spcifiques qui dfinissent la cause premireet les principes fondamentaux de lexistence et en une immense quantitdobservations sur les domaines des sciences humaines, formant une philosophie quisapplique la vie tout entire.

De e aste nsemble e onnes sont ns deux champs dapplication pour laScientologie : dabord, une technologie par laquelle lhomme peut accrotre sonniveau de conscience spirituelle et atteindre la libert qui a t recherche par denombreux grands penseurs et philosophes ; et ensuite, un grand nombre de principes

fondamentaux que les hommes peuvent mettre en uvre pour amliorer leur vie.Dailleurs, avec cette seconde application, la Scientologie offre rien moins que desmthodes pratiques permettant damliorer chacun des aspects de notre vie lemoyen de crer une nouvelle existence. Et cest ce domaine quappartient ce quevous tes sur le point de lire.

c v e d d

Compil partir des uvres de Ron Hubbard, le contenu de ce livret necomprend que lun des outils prsents dans Le Manuel de Scientologie. Le manuel estun guide dtaill et complet contenant de nombreuses applications de la Scientologie,lesquelles pourront tre utilises pour amliorer bien dautres aspects de la vie.

Pour ce livret, les diteurs ont ajout aux donnes mmes une courteintroduction, des exercices pratiques et quelques exemples dapplications et de leursrsultats plus que positifs.

Des cours permettant daugmenter votre comprhension du sujet ainsi que desouvrages supplmentaires pour largir vos connaissances peuvent tre suivis ouacquis votre glise ou mission de Scientologie la plus proche.Vous pouvez trouverles listes d adresses www.scientology.org.

La Scientologie ayant dcrit de nombreux phnomnes jusquici inconnusconcernant lhomme et la vie, il se peut que vous rencontriez dans ces pages des

termes que vous ne connaissez pas. Ils sont expliqus la premire fois quilsapparaissent et sont aussi dfinis dans le glossaire, la fin de ce livret.La Scientologie est destine tre utilise. Cest une philosophie pratique. Elle se

traduit par des actions. En vous servant de ces donnes, vouspourrez changer ltatdes choses.

Des millions de gens qui veulent faire quelque chose pour changer les choses etle monde autour deux ont mis cette connaissance en pratique. Ils savent que la viepeut tre rendue meilleure. Et ils savent que la Scientologie marche.

Utilisez ce que vous lirez dans ces pages pour vous aider vous-mme et aider lesautres, et vous le saurez aussi.

LGLISE DE SCIENTOLOGIE INTERNATIONALE

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Chute de productivit, licenciements en masse, relations tenduesentre la direction et les ouvriers, incomptence des cadres et affairesmalhonntes sont autant de flaux qui infestent le monde du travail.Il nest donc pas tonnant que pour des millions de gens, le travailsoit source de stress et danxit.

Comment accrotre lefficacit et la productivit, comment rsoudreles bouleversements et la confusion qui prennent place dans lemonde du travail, comment surmonter lpuisement, ce sont desquestions qui concernent louvrier au mme titre que le cadre. Rsoudre

ces problmes apporterait non seulement davantage de scurit, maisaussi davantage de satisfaction.

Dans ce chapitre sont exposs certains des nombreux principes ettechniques dvelopps par Ron Hubbard pour le monde du travail. Letravail peut tre enrichissant et profondment satisfaisant ; tantlactivit principale de la plupart dentre nous, il se doit de ltre. Enmettant en application les informations qui suivent, cest le rsultat que vousobtiendrez.

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LIMINER LACONFUSION AU TRAVAIL

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n peut tre amen croire que le monde du travail estsource de confusion quand on cherche diriger le coursde sa carrire. Et de la confusion, il y en a quand on

nest quip ni de guides ni de cartes.Lorsque lon considre les nombreux facteurs suscep

tibles de troubler la vie dun homme et de miner sa proprescurit, on voit quen apparence, la confusion est bientablie. Et lon peut dire juste titre que les difficults,

quelles quelles soient, sont fondamentalement des confusions. Confront suffisamment de menaces et suffisamment de facteurs inconnus, lhommefinit par se battre laveuglette, tte baisse. Les confusions ont eu raison de lui.

Trop de problmes irrsolus rsultent en une confusion monumentale. De

temps autre, au travail, trop dordres contradictoires mettent louvrier dansun tat de confusion. Une usine moderne peut tre dirige si mdiocrement,quelle semble ntre, dans lensemble, quune vaste confusion laquellepersonne ne puisse trouver de solution.

En gnral, lorsquon est dans la confusion, on sen remet la chance.Quand on se sent cras par les forces qui agissent tout autour de soi, on sedit quon peut toujours compter sur sa chance . Par chance, on entend ladestine que lon ne gouverne pas soi-mme . Mais quand on lche le volantdune voiture en comptant sur la chance pour quelle ne quitte pas la route, onest souvent du. Ainsi en est-il de la vie : les choses quon abandonne lachance deviennent bien moins susceptibles de se rsoudre. Qui na jamais vuun ami faire la sourde oreille ses cranciers et serrer les dents en espranttoucher le tierc et ainsi rsoudre tous ses problmes ? Nous avons tous connudes gens qui graient ainsi leur vie des annes durant. La philosophie de lundes personnages principaux de lcrivain britannique Charles Dickens, ntaitelle pas, dailleurs, d attendre que quelque chose se produise ? Mais alorsque lon reconnat que la chance est un lment dune puissance certaine, elle

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nest ncessaire quau sein dune avalanche de facteurs prtant confusion. Silon a besoin de la chance pour sen sortir, cest quon a dj lch le volant desa propre voiture et cela signifie aussi quon a affaire de la confusion.

Il serait donc sage de comprendre exactement ce que sont les confusionset de savoir comment les rsoudre.

La Confusion et la Donne stable

La confusion peut se dfinir comme un ensemble de facteurs ou decirconstances qui semble ne pas avoir de solution immdiate. Dune manireplus gnrale, la confusion est dfinie comme un mouvement dsordonn.

Si vous vous trouviez debout, pris au cur dun trafic intense, il estprobable que vous vous sentiriez confus du fait de tous ces vhicules quifoncent de tous cts en fendant lair autour de vous. Si vous tiez pris dans larage dune tempte et que des feuilles et des bouts de papier tourbillonnenttout autour de vous, il est probable que vous vous sentiriez confus.

Est-il rellement possible de comprendre ce quest une confusion ? Existet-il une chose telle quune anatomie de la confusion ? Oui, absolument.

Si vous tiez standardiste, et que vous deviez rpondre dix appels enmme temps, vous pourriez vous sentir confus. Mais, existe-t-il un remde ce genre de situation ? Si vous tiez chef datelier, et que soudain vous voustrouviez confront trois urgences et un accident en mme temps, vouspourriez galement vous sentir confus. Mais existe-t-il un remde cela ?

Une confusion ne demeure une confusion quaussi longtemps que toutesles particules qui la composent sont en mouvement. Une confusion nedemeure une confusion quaussi longtemps quaucun facteur nest clairementdfini ou compris.

La confusion est la cause fondamentale de la stupidit. Toutes les choses,

mises part celles qui sont trs simples, sont perues comme confuses parcelui qui est stupide. Ainsi, si lon connaissait lanatomie de la confusion, quelque soit son degr dintelligence, on deviendrait plus intelligent.

Vous comprendrez ceci aisment sil vous est dj arriv davoir formerune jeune personne ambitieuse qui ntait pas des plus brillantes. Vous essayez delui expliquer le fonctionnement de telle ou telle chose. Vous le lui expliquezet rexpliquez, maintes et maintes fois, et lorsque enfin vous la laissez faire,demble elle sabote le travail. Elle navait pas compris , elle navait pas saisi .

Vous pouvez simplifier votre comprhension de son incomprhension en disant, trs juste titre, quelle tait dans la confusion .

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En matire dducation, 99 % des checs sont dus au fait que llvetait dans la confusion.

Et lorsque lchec survient, non seulement dans le domaine du travail mais

dans la vie en gnral, il doit son existence, dune faon ou dune autre, dela confusion. Quil sagisse dtudier des machines ou de vivre sa vie, chacundoit pouvoir soit faire face la confusion, soit la dmonter.

Nous avons, en Scientologie, un certain principe concernant la confusion.Il sagit duprincipe de la donne stable.

Sil y avait dans une pice une nue de bouts de papier en train de tourbillonner en lair, ils donneraient limpression dune confusion jusquaumoment o lon en choisirait un comme tant celui par rapport auquel tous les

autres sont en mouvement. En dautres termes, un mouvement confus peuttre compris en concevant une particule comme tant immobile.

Dans un flot de circulation dense, tout ne serait que confusion, moinsque vous ne vous reprsentiez une voiture comme tant immobile par rapportaux autres, pour pouvoir considrer ensuite les autres par rapport celle-ci.

La standardiste qui reoit dix appels tlphoniques en mme temps rsoutla confusion en dcidant, tort ou raison, que lun des appels sera le premierauquel elle accordera son attention. La confusion cre par ces dix appelssimultans deviendra moins troublante ds lors quelle aura choisi de rpondre lun de ces appels en particulier. Si trois urgences et un accidentsurviennent en mme temps dans latelier dun chef dquipe, il naura besoinque de dcider sur quoi porter son attention enpremier lieu pour amorcer lecycle qui rtablira lordre.

La confusion persiste tant quon na pas choisi une donne, un facteur, undtail particulier au sein dune confusion de particules. Et cette chose seule,que lon isole et que lon utilise devient la donne stable du reste.

Tout ensemble de connaissances, plus particulirement et plus exactement,

est construit partir dune donne. Il sagit l de sa donne stable. Invalidez-laet cest lensemble qui se dsagrge intgralement. Une donne stable na pasbesoin dtre la bonne donne. Cest simplement celle qui empche les chosesdtre dans la confusion et celle sur laquelle les autres salignent.

Maintenant, sil vous est arriv denseigner un jeune homme ambitieuxlutilisation dune machine, et sil sest avr quil navait pas compris vos directives, cest uniquement parce quil lui manquait une donne stable. Il auraitdabord fallu quil assimile parfaitement un fait. Ayant assimil celui-ci, il

aurait pu en assimiler dautres. Dans une situation prtant confusion, unepersonne se sentira stupide ou confuse tant quelle naura pas parfaitement

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La confusionexiste tant quetoutes les

particules sont enmouvement.

La confusion se calme quand on en isole unlment, lequel devient alors la donnestable pour les autres.

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assimil un fait ou un lment. Aussi normes et insurmontables que puissentparatre les confusions, elles sont toutes composes de donnes, de facteurs oude particules. Elles sont constitues de diffrents lments. Saisissez lun deces lments et localisez-le parfaitement. Regardez ensuite comment les autreslments fonctionnent par rapport au premier que vous avez isol, et vousaurez calm la confusion. Reliez ensuite les autres lments celui que vousavez saisi, vous aurez bientt matris cette confusion tout entire.

Lorsque vous apprenez le maniement dune machine un jeune homme,ne le submergez pas sous un torrent de donnes pour ensuite le reprendre surtoutes ses erreurs ; tout cela ne serait que confusion pour lui et il y ragiraitstupidement. Trouvez un point dentre sa confusion, une donne. Parexemple, dites-lui : Cest une machine. Il se pourrait que toutes ces

instructions aient t jetes la tte de quelquun qui na aucune vritablecertitude ni ide de lordre des choses dans la vie. Dites-lui : Cest unemachine. Puis faites en sorte quil en soit convaincu. Faites-lui la toucher,faites-lui en tourner les boutons et la dplacer. Rptez-lui : Cest unemachine. Vous serez surpris de voir le temps que cela prendra, mais sereztout autant surpris de voir quel point sa propre certitude augmentera. Parmitoutes les complexits quil va devoir apprendre pour se servir de cettemachine, il va dabord falloir quil assimile une donne. Peu importe quelledonne il assimilera compltement en premier, bien quil soit prfrable de luienseigner une donne simple et fondamentale. Vous pourriez lui montrer ce quefait la machine, lui expliquer le produit quelle permet dobtenir, ou lui direpourquoi cest lui qui a t choisi pour la faire marcher. Mais vous devez veiller ce quune donne fondamentale devienne claire pour lui, sans quoi il seperdra dans la confusion.

Confusion = incertitude. Confusion = stupidit. Confusion = inscurit.Quand vous pensez incertitude, stupidit ou inscurit, pensez confusion etvous aurez tout compris.

Quest-ce alors que la certitude ? Labsence de confusion. Quest-ce quelintelligence ? Laptitude rsoudre les confusions. Quest-ce enfin que lascurit ? Laptitude passer au travers ou viter, ou encore mettre delordre dans les confusions. La certitude, lintelligence et la scurit signifientlabsence de confusion ou laptitude matriser la confusion.

Et la chance ? Comment intervient-elle dans la confusion ? La chance estlespoir quun hasard incontrl nous sortira dune situation critique. Compter

sur la chance, cest abandonner le contrle de la situation. Cest tomber danslapathie.

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Le Contrle et la Confusion

Il existe ce quon peut appeler le bon contrle et le mauvais contrle. Ce

qui les diffrencie, cest la certitude et lincertitude. Le bon contrle estcertain, positif et prvisible. Le mauvais contrle est incertain, variable etimprvisible. Avec le bon contrle, on peut tre certain. Avec le mauvaiscontrle, on nest jamais certain. Le chef dquipe qui dcide quune rgle esten vigueur un jour mais pas le lendemain, qui oblige Georges obir mais pas

Jean, exerce un mauvais contrle. Il sme de lincertitude et de linscuritdans son sillage, quelles que puissent tre ses qualits personnelles.

Au regard de tout le contrle incertain et stupide quil peut y avoir, certainsdentre nous commencent croire que tout contrle est mauvais. Mais cette ide est

trs loin dtre vraie. Le contrle est ncessaire si lon dsire mettre un tant soitpeu dordre dans les confusions. Quoi quon fasse, on doit tre capable de contrlercertaines choses, son corps et ses penses, au moins jusqu un certain point.

La confusion pourrait tre dfinie comme du dsordre incontrl. Seulsceux qui peuvent exercer un certain contrle sur ce mouvement dsordonnpeuvent rsoudre les confusions. Ceux qui sont incapables dexercer un minimum de contrle engendrent en fait des confusions.

La diffrence entre le bon et le mauvais contrle devient donc plusvidente. La diffrence entre bon et mauvais est ici une question de degr. Enprsence dun contrle rigoureux et positif, les autres peuvent prvoir ce quiva se passer. Il sagit donc dun bon contrle. Un contrle non positif etnonchalant ne permet aucune prvision. Cest donc un mauvais contrle.Lintention a aussi voir avec le contrle. Le contrle peut en effet tre exerc des fins constructives ou destructives, mais vous constaterez que lespersonnes qui sont motives par des intentions destructives exercent unmauvais contrle.

Il y a donc beaucoup dire sur le domaine tout entier de la confusion. Il

peut vous paratre en effet assez trange que la confusion soit ici devenue lacible. Mais vous dcouvrirez quelle est en fait un excellent dnominateurcommun de tout ce que nous considrons comme nfaste dans la vie, et quecelui qui peut devenir matre des confusions peut librer son attention etdavantage se consacrer des activits constructives. Tant quon est emptrdans les confusions, on ne peut penser quaux choses destructives car cequon dsire avant tout, cest dtruire la confusion.

Pour commencer, donc, apprenons comment dtruire les confusions. Etnous trouvons que cest assez simple. Lorsque toutes les particules semblent

tre en mouvement, arrtez-en une pour voir comment les autres se meuventpar rapport elle. Vous constaterez alors quil y a dj moins de confusion.

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Ayant adopt lune de ces particules comme donne stable, vous parviendrez aligner les autres. Ainsi peut-on voir et comprendre une situation urgente, unemachine, un emploi ou la vie en gnral, et peut-on tre libre.

Jetons un coup dil la faon dont cela fonctionne. Un certain nombrede facteurs peuvent influer sur le fait dobtenir ou de conserver un emploi ouencore damliorer sa situation professionnelle. On peut remdier au problmedans son ensemble, comme le font dailleurs la plupart des gens, en y introduisant cette unique donne : Je peux trouver et conserver un emploi. En secramponnant cette seule conviction, on se sent dj moins perplexe et moinstouch par les confusions et les inscurits de la vie.

Supposons cependant quune personne, sans vraiment approfondir le problme, ait dclar toute jeune, en grinant des dents et en fermant les yeux : Je peux trouver et conserver un emploi, quoi quil arrive. Je ne vais donc plusme soucier des aspects conomiques de la vie. Bon, cest bien.

Plus tard, cette personne est renvoye sans pravis, et reste deux mois etdemi au chmage. Elle se sentira alors, mme lorsquelle aura retrouv unemploi, moins en scurit et moins confiante quauparavant. Supposons quunaccident se produise et que cette personne perde de nouveau son emploi. Seretrouvant pour la seconde fois au chmage, elle sera encore moins confianteet moins en scurit. Pourquoi ?

Examinons le revers de ce principe de la donne stable. Nous y observons

que les confusions sont neutralises par des donnes stables et que, lorsquunedonne stable est branle, la confusion renat.Imaginons une confusion arrte. Elle est encore dispersion, certes, mais

elle est arrte. Quest-ce qui la arrte ? Ladoption dune donne stable. Supposons quune personne ait sans cesse subir, chez elle, les critiques acerbesde sa belle-mre. Un jour, la suite dune querelle, cette personne sortfurieuse de la pice en se disant, comme inspire : Toutes les belles-mressont malfaisantes . Il sagit l dune dcision. Cest, tort ou raison, unedonne stable adopte dans une confusion. Aussitt la personne se sent

mieux. Elle peut dsormais rsoudre ce problme ou vivre avec. Elle sait que toutes les belles-mres sont malfaisantes . Ce nest pas vrai, mais a nen estpas moins une donne stable. Et puis un jour, alors que cette personne connatdes difficults financires, sa belle-mre se prcipite sa rescousse et, faisantpreuve dune loyaut absolue, rgle non seulement le loyer mais une autredette galement. Notre personne se retrouve immdiatement dans la confusion. Un tel geste de bont ne devrait pourtant pas tre source de confusion.Aprs tout, la belle-mre na-t-elle pas rsolu le problme ? Comment se faitil alors que notre personne en soit perturbe ? Parce que la donne stable a t

branle. Toute la confusion du problme pass a ressurgi parce que la faussetde la donne stable a t dmontre.

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Pour plonger quelquun dans la confusion, il suffit de localiser ses donnesstables puis de les invalider. Que ce soit par la critique ou laide de preuves,il suffit dbranler les quelques donnes stables dune personne pour activer

ses confusions.Car, voyez-vous, les donnes stables nont pas forcment besoin dtrevraies. Elles sont simplement adoptes. Et lorsquelles lont t, toute nouvelledonne est regarde par rapport celles-ci. Par consquent, ladoption denimporte quelle donne stable tendra annuler la confusion en question. Mais,si jamais cette donne stable est branle, invalide ou rfute, on se trouverade nouveau aux prises avec la confusion. Bien entendu, tout ce quil suffit alorsde faire, cest dadopter une nouvelle donne stable ou de rtablir lancienne,mais il faudrait connatre la Scientologie pour y parvenir en douceur.

Prenons lexemple dune personne qui ne redoute aucune crise conomiquecar les finances du pays sont entre les mains dun homme dtat hroque quifait de son mieux. Cet homme dtat est la donne stable de toutes lesconfusions de la personne en matire dconomie nationale. Elle ne se faitdonc pas de soucis . Mais un jour, les vnements ou les ennemispolitiques de cet homme prouvent quil ntait quun individu malhonnteet lbranlent en tant que donne stable. Les inquitudes de la personne propos de lconomie nationale vont alors ressurgir. Peut-tre avez-vous pousune philosophie parce que le confrencier vous semblait tellement charmant.

Plus tard, quelquun vous apporte la preuve quen vrit, ce confrencier ntaitquun voleur, voire pire. Vous avez adopt cette philosophie un moment ovous aviez besoin dun peu de rpit par rapport vos penses. Le fait que ceconfrencier soit discrdit ranimera immdiatement la confusion danslaquelle vous tiez lorigine.

Ainsi, lorsque jeunes, nous avons observ la confusion qui rgnait dans lemonde du travail, nous lavons repousse en dclarant, dun ton premptoire : Je peux trouver et conserver un emploi. Ctait alors la donne stable. Et eneffet, nous avons dcroch un emploi. Mais nous nous sommes fait renvoyer. Laconfusion rgnant dans le monde du travail est devenue source de confusionpour nous. Si nous navons, comme seule et unique donne stable que : Jepeux trouver et conserver un emploi , nous allons assurment traverserquelques priodes confuses au cours de notre vie professionnelle. Bien meilleureserait la donne stable suivante : Je comprends la vie et le travail. Je peux, parconsquent, obtenir des emplois, les conserver et les amliorer.

La confusion nest pas ncessairement un lment invitable et continuelde notre vie professionnelle. En appliquant le principe de la donne stable, on

peut progressivement remettre en ordre et comprendre nimporte quellesituation.

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ATTEINDRE

ET SE RETIRERQuand on comprend ce quest une confusion et pourquoi il est ncessaire

davoir un bon contrle pour mettre de lordre dans les choses, on peut facilement observer les ouvriers et les cadres qui, en exerant un mauvais contrle,engendrent de la confusion. Il existe une mthode, trs simple mais extrmement puissante, qui permet damener une personne se familiariser et entreren communication avec les choses qui lentourent afin davoir davantage de con

trle sur elles. Nous appelons cette mthode atteindre et se retirer .On peut difficilement demander une personne dexercer un vritablecontrle, ou de faire preuve de comprhension ou de savoir-faire vis--visdune chose quelle connat mal.

La communication est llment essentiel de la familiarisation.Lorsquune personne nest pas en communication avec une chose, cest

quelle sest retire de cette chose et nest donc pas trs dispose latteindreou en contacter une quelconque partie.

Si une personne ne peut ni atteindre une chose ni sen retirer, elle sera

leffet de cette chose.Si une personne peut atteindre une chose et sen retirer, on peut dire

quelle est en communication avec cette chose.tre en communication avec quelque chose, cest tre dans une position

do lon est plus mme dtre cause par rapport cette chose.Par ATTEINDRE, on entend toucher ou prendre. Cela se dfinit par

arriver ou parvenir .Par SE RETIRER, on entend reculer par rapport , lcher.

La procdure atteindre et se retirer met lindividu en communicationavec des objets, des gens, des endroits, des limites ou des situations, et le rendplus mme dtre cause par rapport eux.

Dans lunivers physique, la meilleure faon dentrer en communicationavec des objets, des formes, des endroits et des limites est le contact physique.

Atteindre et se retirer est un outil de valeur utiliser pour mettre unepersonne en bonne communication avec son environnement professionnel,en particulier avec les objets et les outils quelle utilise.

Un pilote ferait atteindre et se retirer sur tous les objets et sur les dif

frents espaces de son avion, de son hangar, et terre. Une secrtaire ferait ceprocd sur sa machine crire, sa chaise, les murs, les locaux, son bureau, etc.

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Se sentir laise avec les outils de son mtier est une tape trs importantepour obtenir les produits de ses fonctions. Grce cette action, on peut accrotre la production de faon extraordinaire.

Nous pourrions citer lexemple dun mdecin de larme de lair qui,connaissant le procd atteindre et se retirer , la appliqu son escadron.Pendant toute une anne, il ny a pas eu un seul accident, pas mme un boutdaile qui nait touch un autre bout daile. Cest probablement, de toute lhistoire, le seul escadron navoir subi aucun accident, mme mineur, durantune anne entire.

La Procdure

La procdure atteindre et se retirer est facile apprendre. Elle peut treapplique sur nimporte quel objet ou nimporte quel endroit : le lieu de travailde la personne, un nouvel instrument, une machine, nimporte quoi. La procdureest poursuivie jusqu ce que la personne soit en bonne communication avecson environnement en gnral ou avec la zone particulire dont on soccupe.

1. Emmenez la personne lendroit choisi pour excuter la procdure.Dites-lui que vous allez lui appliquer la procdure atteindre et se retirer etexpliquez-la-lui.

2.Annoncez-lui les commandements que vous allez utiliser et assurezvous quelle les a bien compris. Voici ces commandements :

A. Atteignez ce... (en nommant et dsignant du doigt lobjet, la personne ou la zone).

B. Retirez-vous de ce... (en nommant et dsignant du doigt le mmeobjet, la mme personne ou la mme zone).

Remplissez lespace blanc en nommant un objet, une partie dun objet (parexemple : le gros bouton rouge sur le devant de la machine ), un endroitou une personne.

3. Donnez-lui le premier commandement. Par exemple : Atteignez cegros bouton rouge sur le devant de la machine.

Montrez toujours lobjet du doigt (ou la personne, lendroit, etc.) chaquefois que vous donnez un commandement afin que la personne ne fasse aucuneerreur en lexcutant.

4. Lorsque la personne a excut le commandement, accusez-lui rceptionen lui disant merci ou bien , etc.

5. Maintenant donnez-lui le deuxime commandement : Retirez-vous de

ce gros bouton rouge sur le devant de la machine. Lorsquelle la excut,donnez-lui un accus de rception.

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6. Continuez alterner les commandements A, B, A, B, et ainsi de suite, enlui accusant rception aprs chaque excution dun commandement, faisant ensorte que la personne touche les diffrentes parties de lobjet ou de la zone.

7. Faites atteindre et se retirer sur cet objet, endroit ou personnejusqu ce que la personne laquelle vous appliquez le procd en retire unpetit gain ou quaprs lui avoir donn la srie de commandements trois foisconscutives, elle nait pas manifest le moindre changement ni dans ses mouvements ni dans son attitude. Par petit gain on entend une lgreamlioration pour la personne : elle se sent mieux par rapport un objet ouune zone, ou fait simplement lexprience dun plus grand sentiment de bien-tre.

8. Choisissez ensuite un autre objet, endroit ou individu et donnez lescommandements la personne, sur le mme item, jusqu ce quelle en retire

un gain.Nappliquez pas indfiniment atteindre et se retirer la mmepartie de

la chose choisie. Plutt, faites en sorte que la personne touche diffrentspoints ou parties de lobjet utilis.

Dplacez-vous avec la personne qui reoit le procd, en vous assurantquelle tablit vraiment un contact physique avec les points ou les zones desobjets, endroits ou personnes viss.

Lorsque vous choisissez des objets, commencez par prendre de petits

objets puis utilisez progressivement les objets plus grands qui sont votre disposition, en veillant ce que la personne touche, tour tour, les diversesparties de chaque objet jusqu ce quelle en tire un petit gain ou qu lissuede trois sries de commandements successifs, vous nayez constat aucunchangement sur le mme objet. En excutant cette procdure, incluez lesmurs, le sol ainsi que les autres parties de lespace environnant.

Lorsque vous appliquez cette action un espace ou une pice plutt quun objet, faites en sorte que la personne entre et sorte de la pice maintes etmaintes fois.

9. Poursuivez cette action jusqu ce que la personne ressente un grandgain ou ait une prise de conscience et soit trs heureuse par rapport lensemblede la zone aborde. Un grand gain serait une grande amlioration ressentie parla personne ; par exemple, une nouvelle prise de conscience propos de sonlieu de travail ou bien un sentiment de certitude dans son travail. On ne doitpas poursuivre atteindre et se retirer au-del dune telle amlioration.

Lapplication de atteindre et se retirer sur les objets, les gens, les situations, les espaces et les limites de lenvironnement professionnel dun individu

aidera considrablement la personne amliorer son contrle et sa comprhension et se familiariser avec cet environnement.

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ATTE

INDR

E

SERETIRER

On administre atteindreet se retirer endemandant la personned'atteindre puis de se retirerde choses qui se trouventdans son environnement.

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ATTEI NDRE

SERETIR

ER

mesure que l'individu atteintpuis se retire des objets, murs,sols et autres parties de sonenvironnement

son aptitude les contrler, les trouver familiers et lescomprendre peut augmenterconsidrablement.

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COMMENT VENIR BOUTDE LPUISEMENTDANS LE TRAVAIL QUOTIDIEN

Travailler ou ne pas travailler, l est la question. Dans lesprit dun bonnombre de gens, la rponse est l puisement .

Aprs tre rest longtemps sur le mme travail et y avoir t considrablementmalmen, on arrive ne plus avoir envie de continuer, avoir le sentiment quecest au-del de ses forces. On est fatigu. la seule pense de faire certaineschoses, on se sent fatigu. On pense se refaire de lnergie ou bien tenir lecoup un peu plus longtemps. Mais ce genre de raisonnement ne mne nullepart car la rponse lpuisement a fort peu sinon rien voir avec lnergie.n

Lpuisement est un sujet dune grande importance, non seulement pourlindividu occup gagner sa vie, mais aussi pour ltat.

La Scientologie a tabli de manire assez complte que la dchance delindividu samorce au moment mme o il nest plus capable de travailler.Pour rabaisser ou bouleverser un individu, il suffit de lempcher de travailler.Mme la police reconnat aujourdhui ce principe fondamental de Scientologie : leprincipal dfaut du criminel est quil est incapable de travailler. Et elle adailleurs commenc rechercher ce facteur dincapacit chez la personnedont elle doit tablir la criminalit.

Le thme de lpuisement est galement le thme du travail empch. Dansle cas des soldats et des marins hospitaliss pendant la guerre, il a t dcouvert quun sjour de quelques mois lhpital avait tendance briser le moraldu soldat ou marin tel point quil risquait de devenir un atout discutablepour lunit quil rejoignait ensuite. Et ce ntait pas ncessairement la consquence dune diminution de ses capacits, mais plutt la consquence duneblessure complique par linactivit. On saperoit que le soldat bless, soigndans une antenne mdicale proche du front et qui reprend le service au

moment mme o son tat le lui permet, garde, dans une large mesure, lemoral. Bien sr, sa blessure aura tendance lui inspirer une certaine aversion

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pour le niveau daction plus lev quil prfrait auparavant, mais il sera nanmoins en meilleur tat que le soldat quon a transport dans un hpital situ

larrire. Ce dernier aura limpression quon lui dit, en quelque sorte, quonna pas particulirement besoin de lui pour faire la guerre. Et sans que cesprincipes naient pour autant t vritablement saisis, il est devenu habitueldassocier puisement et nvrose, par le simple fait que les nvrotiques avaienttout simplement lair dtre puiss. Le rapport tabli entre ces deux tatssarrtait l. En vrit, la personne qui se voit refuser le droit au travail, et enparticulier celle qui a t blesse puis prive du droit au travail, finira par connatre lpuisement.

Il a t dcouvert que le fait dtre continuellement en contact avec quelquechose ne pouvait pas tre la cause dune diminution graduelle de lnergie dunindividu. On ne spuise pas du simple fait davoir travaill trop longtemps outrop dur. On spuise davoir travaill suffisamment longtemps pour ractiverla douleur et lmotion contenues dans le mauvais souvenir dune vieille blessure.

Lpuisement savrera tre lune des caractristiques de cette blessure.Lpuisement chronique nest donc pas la consquence de longues heures de

travail et dune tche ardue. Cest la consquence de laccumulation des chocset des blessures survenus au cours de la vie, chacun nayant dur que quelquessecondes ou quelques heures, et lensemble ne totalisant peut-tre que cinquante ou soixante-quinze heures. Mais cette accumulation, de blessures, dedgots et de chocs, finira par engendrer une complte incapacit faire quoique ce soit.

On peut conditionner une personne jusqu lpuisement force de lui

refuser, lorsquelle tait enfant, toute participation la socit, ou bien cetpuisement peut rsulter des divers chocs ou blessures quelle a pu recevoir

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dans le cadre de ses activits particulires. Remdiez lun ou lautre de cesdeux points et vous remdierez lpuisement.

Lpuisement est donc vraiment du ressort dun praticien entran de

Scientologie, car seul un scientologue pourra y remdier convenablement.

Il existe cependant un tat pire que lpuisement : celui de ne plus du toutse rendre compte quon est fatigu. Lindividu peut devenir une sorte de pan-tin frntique qui continuera travailler sans relche sans mme du tout serendre compte quil travaille, pour seffondrer soudain sous leffet de la fatiguequil na pas ressentie.

Nous sommes ici en prsence dun individu qui na pas russi contrler

les choses. Il finit par tre incapable de matriser quoi que ce soit qui ressemble ses outils de travail ou son milieu professionnel. Il est donc incapabledoccuper un tel environnement ou de matriser ces outils. Lindividu risquealors dessuyer de nombreux reproches. On peut le traiter de paresseux, letraiter de vaurien et le traiter de criminel. Mais la vrit, en labsence duneaide experte, il ne sera pas plus mme de redresser sa propre condition quede plonger au centre de la terre.

Il existe cependant des moyens de recouvrer son nergie et son enthousiasme

dans le travail sans mme avoir recours un praticien de Scientologie. Cesmoyens sont relativement simples et trs faciles comprendre.

Extraversion et Introversion

Lintroversion est quelque chose de trs simple. Cela signifie regarder verslintrieur de trop prs. Lextraversion est aussi une chose trs simple ; celasignifie seulement tre capable de regarder vers lextrieur.

On pourrait dire quil y a des personnalits introverties et des personnalitsextraverties. La personnalit extravertie est capable de regarder tout autourdelle. La personnalit introvertie ne peut regarder que vers lintrieur.

La personne qui peut regarder le monde qui lentoure et qui le voit defaon assez relle et lumineuse, est bien entendu, dans un tat dextraversion.En dautres termes, elle peut regarder au-dehors. Elle peut aussi travailler. Ellepeut galement voir les situations, et rsoudre ou contrler ce quil lui faut

rsoudre ou contrler. Elle peut rester l observer les choses quelle na pas contrler et de ce fait peut sy intresser.

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La personne introvertie a probablement dj dpass le stade de lpuisementdepuis un certain temps. Son attention sest concentre de plus en plus surelle-mme (fondamentalement cause de vieilles blessures encore capables

davoir une emprise sur elle) jusqu ce quelle finisse en fait par regarder verslintrieur et non plus vers lextrieur. Elle fuit les objets solides. Ni les personnes, ni les choses qui lentourent nont de ralit pour elle.

Venons-en maintenant au thme du travail proprement dit. Le travail consiste appliquer son attention et ses actions des gens ou des objets situsdans lespace.

Lorsquune personne nest plus capable de faire face aux gens, aux objetsou lespace qui lentourent sans sourciller ou les viter, elle commence sesentir perdue et avancer dans le brouillard. Pour elle, les choses ne sont pasrelles, et elle sera relativement incapable de contrler les choses qui lentourent.Elle aura des accidents. Elle aura de la malchance. Cependant, si les choses seretournent contre elle, cest tout simplement parce quelle ne les rsout pas, neles contrle pas ou ne les observe mme pas correctement. Lavenir lui sembletrs sombre, parfois si sombre quelle ne peut y faire face. On peut dire dunetelle personne quelle est gravement introvertie.

Au travail, elle a son attention rive sur des objets situs gnralement auplus un mtre delle. Cette personne met presque toute son attention sur lesobjets quelle a porte de main. Ainsi, elle nest plus extravertie mais a sonattention concentre au moins sur quelque point situ juste devant son visage.Son attention sy fixe. Si cette fixation concide avec un vieil incident contenantune blessure ou avec une quelconque intervention chirurgicale, il y a de forteschances que la personne fixe galement son attention sur un de ces momentsde son pass et ractive un mauvais souvenir au point den ressentir de nouveau les douleurs, maladies, fatigues, sentiments dapathie ou de sous-apathiequelle a ressentis lors de la blessure en question. Son attention tant continuellement rive sur ce point, elle a tendance, bien entendu, ne plus regarderqu cet endroit, mme lorsquelle ne travaille plus.

Prenons lexemple dun comptable. Son regard se porte continuellementsur des livres de comptes toujours situs une mme distance de ses yeux. la longue, il a la vue courte . En ralit, il na pas la vue courte, il a vuesur livres . Son regard tendra se fixer le plus facilement une distance par

ticulire. Mais force de fixer son attention cet endroit, il finira par avoirtendance sen retirer, si bien quil narrivera mme plus tout fait regarder

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aussi loin que ses livres. On lui prescrira alors une paire de lunettes pour quilpuisse voir ses livres plus clairement. Sa vue et son attention sont presque lamme chose.

Lorsquelle quitte son travail et rentre chez elle, la personne qui passehabituellement tout son temps une certaine distance dune machine, delivres ou dobjets quelconques, aura tendance maintenir son attention fixeexactement la mme distance quau travail. Autrement dit, son attention nequitte jamais vraiment son travail. Bien qutant rentre chez elle, la personneest en ralit toujours assise au bureau. Son attention reste fixe sur son environnement de travail. Et si cet environnement concide avec celui dune vieilleblessure ou dun accident (et qui nen a pas eu au moins un ?), elle se met

ressentir de la lassitude ou de la fatigue.

Y a-t-il un remde cela ?

Bien sr, seul un praticien form aux techniques de Scientologie pourraitfaire compltement disparatre une condition comme celle-ci. Mais il y a nanmoins quelque chose que le travailleur peut faire.

Voici maintenant la chose ne pas faire, que lon soit comptable, employ

de bureau, cadre ou oprateur de machine-outil. La chose ne pas faire consiste rentrer directement la maison pour sasseoir et fixer son attention sur unobjet situ peu prs la mme distance que celui auquel on est continuellementconfront au travail. La chose ne pas faire pour un chef datelier, par exemple, qui sadresse longueur de journe des ouvriers une certaine distancede lui, serait de rentrer chez lui et de se placer la mme distance pour discuter avec sa femme. Trs vite, elle se retrouverait recevoir des ordres commesi elle tait un gars de latelier. Et sil y a vraiment une chose ne pas faire, cestbien de rentrer chez soi, de sasseoir pour se reposer en lisant le journal,de dner et daller se coucher. Lhomme qui pratique la routine consistant travailler et rentrer chez lui le soir pour sasseoir et se reposer en lisantun livre ou un journal, ne devrait pas stonner de trouver tt ou tard quilcommence se sentir puis, puis plus tard de tomber encore plus bas, aupoint de ne mme plus se demander pourquoi il trouve pnible de faire deschoses qui lui semblaient autrefois si faciles.

Y a-t-il une chose correcte que lon puisse faire ? Oui. Lindividu qui fixe

continuellement son attention sur un quelconque objet au cours de son travaildevrait, lorsquil en sort, fixer son attention ailleurs.

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Faire une promenade

Il existe en Scientologie une procdure intitule faire une promenade ,

trs simple mettre en pratique. Celui qui se sent fatigu aprs avoir terminson travail, mme si lide seule de le faire est totalement au-del de ses forces,devrait nanmoins sortir faire une promenade autour du pt de maisons

jusqu ce quil se sente repos. En somme, il devrait aller se balader autour dupt de maisons et regarder les choses qui lentourent jusqu ce quil les voie.Peu importe le nombre de tours de pt de maisons, il devrait continuer

jusqu ce quil se sente mieux.

On sapercevra, chemin faisant, quon commence par se ranimer un peu,

pour se sentir ensuite beaucoup plus fatigu. On sera suffisamment fatigupour penser quil est temps daller se coucher et de passer une bonne nuit desommeil. Pourtant, ce nest pas le moment darrter de marcher, car on est entrain de traverser lpuisement en marchant ; on marche pour venir bout delpuisement et sen dbarrasser. Il ne sagit pas de rsoudre lpuisement parlexercice physique. Les gens ont toujours pens que lexercice physique taitle facteur important alors quil est en soi assez secondaire. Le facteur important consiste pour lindividu dtacher lattention quil a fixe sur son travail

pour lorienter vers le monde matriel dans lequel il vit.Lorsquon est fatigu au point davoir du mal se traner ou quand on est

dans un tat de fatigue nerveuse tel quon est tout fait incapable de se reposer,il devient vraiment ncessaire de confronter des masses. On peut dailleurs douterde lexistence de cette chose appele chute dnergie physique . Naturellement,cette procdure a ses limites. On ne peut pas travailler toute une journe, sepromener autour du pt de maisons toute la nuit, et retourner au travail lelendemain en esprant toujours se sentir soulag. Mais on devrait, sans aucun

doute, consacrer du temps lextraversion aprs toute une journe dintroversion. Faire une promenade est presque, toutes proportions gardes, une

panace. Si un homme prouve de lantagonisme envers sa femme, la chose nepas faire, cest de la battre. La chose faire, cest de sortir faire une promenadeautour du pt de maisons jusqu ce quil se sente mieux et de demander safemme den faire autant dans le sens inverse jusqu ce que lun et lautre arrivent tre extravertis. On sapercevra que toutes les querelles de mnage,notamment parmi les travailleurs, proviennent du fait quun individu, aprs

stre trop fix sur son travail et sur les situations qui y sont lies (plutt quede stre surmen), na pas russi contrler certains lments dans son

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AgentImmobilierDupont

Faire unepromenade estun remdesimple

lpuisement. Lapersonne marchesimplementautour du ptde maisons etregarde deschoses quilentourent.

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Si elle continue faire le tour du

pt de maisonset regarderautour delle...

Agent

ImmobilierDupont

la sensationd'puisement

peut disparatreet elle se sentirarevigore.

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environnement professionnel. Lorsquil rentre ensuite chez lui, il est alors enqute de quelque chose quilpuisse bel et bien contrler. En gnral, il tombesur son conjoint ou sur ses enfants, et si l encore il choue, il aura tendance empirer de faon dramatique.

Lextraversion de lattention est tout aussi ncessaire que le travail luimme. Il est un fait quil ny a rien de mal l'introversion ou au travail. Silon ne devait jamais sintresser quoi que ce soit, on finirait par perdre lespdales. Mais quand on travaille, il peut arriver quon se sente envahi par unefatigue peu naturelle. Sil savre que cest bien ce qui se passe, alors la rponsene consiste pas plonger dans linconscience pendant quelques heures, commedans le sommeil, mais plutt lextraversion de son attention pour ensuiteprofiter dun sommeil rellement rparateur.

Ces principes dextraversion et dintroversion ont de nombreuses ramifications, et si faire une promenade est dune simplicit presque risible, ilexiste en Scientologie dautres procds bien plus complexes pour ceux quiaiment entrer dans les complications. Il reste nanmoins que faire unepromenade permet de rsoudre un grand nombre de difficults inhrentesau travail. Rappelez-vous quen effectuant cette procdure, on passe par unephase o lon se sent dabord plus fatigu pour ensuite se sentir ragaillardi. Cephnomne a dailleurs dj t remarqu par les athltes ; ils appellent cela le

second souffle. Ce second souffle consiste en fait rcuprer assez son environnement et assez de masse pour dissiper lpuisement survenu lors de lacourse prcdente. Le second souffle nexiste pas rellement. En revanche, ilexiste bien un phnomne de retour lextraversion dans le monde physiquedans lequel on vit.

Regardez-les

Il existe une autre procdure, similaire faire une promenade , connuesous le nom de regardez-les . Quand on a pass toute la journe parler des gens, vendre des choses des gens ou soccuper toute la journe degens difficiles, la chose ne pas faire, cest de fuir le monde. Le fait est quecelui qui est surmen quand il soccupe dindividus a dj rencontr de

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grandes difficults avec les gens. Peut-tre sest-il fait oprer par des mdecins,et limage diffuse quil a garde de ces gens autour de la table dopration identifie tout le monde des mdecins, cest--dire tous les gens qui sont debout.Soit dit en passant, cest lune des raisons pour lesquelles les mdecins sont ce point dtests dans une socit : ils insistent pour pratiquer la chirurgie etles anesthsies, et ces incidents dans lesquels ils sont impliqus simbriquentensuite aux autres incidents du quotidien.

Lpuisement au contact des gens est li au fait davoir fix son attentionsur certaines personnes alors quon avait le sentiment quon devait la portersur dautres gens. Cette tension de lattention a en fait eu pour effet de rduirele nombre de personnes quon a observes.

Le remde est trs simple. Il faut se rendre dans un endroit trs frquent,

comme une gare ou une grande avenue, et tout simplement sy promener pied en remarquant les passants. Simplement regarder les gens, sans plus. Ontrouvera au bout dun certain temps quon ne les trouve plus si mauvais, quonadopte une attitude beaucoup plus aimable envers les autres et, surtout, lestensions motionnelles quon peut avoir avec les gens dans son environnement de travail tendront diminuer si lon pratique cet exercice chaque findaprs-midi pendant quelques semaines.

Cest lune des choses les plus judicieuses quun vendeur puisse utiliser, car

plus que quiconque, un vendeur a tout intrt savoir comment traiter les gens etleur faire faire ce quil veut, notamment acheter ce quil a vendre. Tandis quilfixe son attention ne serait-ce que sur un seul client de trop, il est envahi parla lassitude la seule ide de parler aux gens ou de faire de la vente, et tombedans des motions plus basses dans toutes ses activits ou oprations, commence se considrer comme une sorte descroc, puis la longue, se considre commentant plus rien. Ce vendeur devrait, comme les autres, aller se promenerdans des lieux frquents pour y regarder les gens. Il trouvera au bout dunmoment que les gens existent vraiment et quils ne sont pas si mauvais. Une

des choses qui arrivent aux personnes qui occupent des positions leves ausein dun gouvernement, cest quelles sont constamment protges desgens, et qu la longue, le sujet tout entier finit par les dgoter et ellesrisquent de se comporter de manire trs bizarre. (Voir, par exemple, les viesde Hitler et de Napolon.)

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Un individu peutse sentir puisd'tre sans cesseen contact avecdes gens.

Un remde cela consiste

se promener dansun endroit trsfrquent et remarquer lesgens tout enmarchant.

mesure qu'il

regarde de plusen plus de gens

il trouvera quilse sent un peu plusaimable enverseux. Lessensations detension lgarddes autres peuventdisparatrecompltement.

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Application gnrale

Ce principe de lextraversion et de lintroversion pourrait avoir une porte

bien plus considrable dans la socit. Gouvernements et entreprises russiraientprobablement faire disparatre lide de grve et accrotre trs sensiblementla production. Les travailleurs qui se mettent en grve sont gnralement mcontents, non pas tant de leurs conditions de travail que du travail lui-mme. Ils ontle sentiment dtre des victimes, dtre contraints de travailler quand ils nenont pas envie, si bien que la grve leur apporte en fait un soulagement. Ainsi,ils ont quelque chose combattre ; ils peuvent faire autre chose que de resterplants l tripoter un mcanisme quelconque ou crire sur des livres comp

tables. Les employs insatisfaits sont des employs grvistes. Les gens qui sesentent puiss par le travail, qui ne tirent pas de satisfaction de leur travail ouque le travail perturbe, ne manqueront pas de trouver des sujets de revendications pour faire grve. Et si la direction dune entreprise rencontre assez dedifficults et de manque de coopration de la part de ses subordonns, il est prvoir que cette direction crera tt ou tard des situations qui inciteront lesemploys faire grve. Autrement dit, les mauvaises conditions de travail nesont pas vraiment lorigine de lagitation parmi les travailleurs ni des conflits.La lassitude du travail lui-mme ou lincapacit contrler la zone de travail etles divers aspects de lenvironnement professionnel sont les vraies causes desproblmes sociaux avec les employs.

La direction dune entreprise, pourvu quelle en ait les moyens et si ellenest pas terriblement irrationnelle, versera des salaires dcents ses employs.Et lemploy, pourvu quil en ait un tant soit peu la possibilit, excutera sesfonctions avec joie. Mais lorsque lenvironnement lui-mme est devenu troptendu, lorsque lentreprise elle-mme sest introvertie la suite dactes nfastes

commis par le gouvernement, lorsquon a dmontr aux employs quils nepouvaient avoir aucun contrle sur leur direction, alors il peut y avoir des con-flits avec eux. Quoique vidents, tous ces principes reposent sur ceux delintroversion et de lextraversion. Les travailleurs ou employs sintrovertissentdans leurs tches au point o ils ne peuvent plus ressentir daffinit pour leursdirigeants et narrivent plus vraiment voir lenvironnement dans lequel ilstravaillent. Quelquun peut donc dbarquer et raconter aux travailleurs quetous les cadres sont des monstres, ce qui nest videmment pas vrai, et au

niveau des cadres, quelquun peut aller leur raconter la mme chose au sujetdes ouvriers, ce qui est tout aussi faux.

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dfaut dun ample traitement de chaque individu, ce qui reprsente unetche gargantuesque (norme), on pourrait concevoir un programme completqui rsoudrait le problme de lintroversion. Il est certain que si les travailleursou les directeurs deviennent suffisamment introvertis, ils trouveront toutessortes de moyens dinventer des jeux irrationnels tels que des grves, et ce faisant, perturberont la production et dgraderont les bons rapports et lesconditions de vie dans lusine, les bureaux ou lentreprise.

Le remde serait dextravertir les travailleurs trs grande chelle. Unesolution, par exemple, consisterait offrir tous les ouvriers la possibilitdavoir deux emplois. Il incomberait alors lentreprise, ou aux parties prenantesde lopration comme le gouvernement, de mettre la disposition des travailleursun nombre suffisant dactivits dutilit publique pour leur fournir du travail

hors du domaine de lapplication dun travail minutieux. En dautres termes,un homme tenu de travailler continuellement lintrieur une tche trs fixeprouverait un immense soulagement sil pouvait sortir travailler en pleinair et se consacrer en particulier une activit sans rapport avec sa fonctionhabituelle. Un comptable, par exemple, pourrait prouver un soulagement considrable creuser des fosss pendant un moment. Un ouvrier travaillant sur unemachine immobile prouverait un grand plaisir conduire un bulldozer.

Un projet comme celui-ciprendrait ce principe dintroversion et dextraversionet le mettrait en uvre grande chelle. Les ouvriers qui travaillent

constamment dans la mme position et dont lattention est limite un espacerduit, auraient ainsi la possibilit dlargir leur champ de vision et de soccuperde choses qui tendent les extravertir. Un tel programme peut sembler trsambitieux, mais il rsulterait sans aucun doute en de bien meilleures relationsentre travailleurs et dirigeants, permettrait daugmenter la production et derduire considrablement les tensions au travail et les tensions sociales liesaux problmes de lemploi et des salaires.

Bref, on pourrait entreprendre beaucoup de choses partir de ce principe

fondamental de lextraversion-introversion. Le principe est trs simple : lorsquunindividu est devenu excessivement introverti, les choses qui lentourentdeviennent moins relles, il ressent moins daffinit pour elles et il narriveplus bien communiquer avec elles. Dans cet tat, il se fatigue facilement.Lintroversion entrane la lassitude, lpuisement et pour finir, une incapacit travailler. Le remde est lextraversion, un regard direct et une communicationavec lenvironnement plus large ; et dfaut dutiliser ce remde, dans lamesure o tout travailleur est sujet toutes sortes de blessures et maladies, ilsensuit une spirale descendante qui rend le travail de moins en moins acceptable

jusqu devenir infaisable, et cest ainsi que lon jette les bases dune socitnon seulement improductive, mais criminelle.

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LIMPORTANCE

DU TRAVAILLe travail est la donne stable de cette socit. Sans rien faire, on na gure

de raison valable de vivre. Lhomme qui ne peut pas travailler est comme mortet gnralement il prfrerait mourir. Dailleurs il y travaille.

Aujourdhui, grce la Scientologie, les mystres de la vie ne sont plus trsmystrieux. Le mystre nest pas un ingrdient ncessaire. Seul lhomme trsirrationnel dsire que de grands secrets soient gards hors de sa porte. LaScientologie a balay un grand nombre des complexits qui barraient la route lhomme et a jet la lumire sur le cur de ces problmes. La Scientologie,pour la premire fois dans lhistoire de lhumanit, peut de faon prvisibleaugmenter lintelligence, accrotre les aptitudes, notamment faire renatre laptitude jouer un jeu, et permet lhomme dchapper la spirale descendantede ses propres inaptitudes. Ainsi, le travail lui-mme peut-il redevenir unechose plaisante et une source de bonheur.

La Scientologie a dcouvert une chose de trs grande importance pourltat desprit du travailleur. Dans cette socit, on a trs souvent limpressionquon travaille uniquement pour son chque de fin de mois, et quon napporterien dimportant la socit en gnral. On ignore certaines choses. Lunedelles, par exemple, est quel point les bons travailleurs sont peu nombreux.Au niveau des cadres, il est intressant de remarquer quel point les grandesentreprises considrent vraiment comme prcieux lhomme qui sait diriger lesoprations et les hommes. Ces gens-l sont rares. Dans la hirarchie du mondedu travail, les places vacantes se trouvent au sommet.

Il y a une autre chose trs importante savoir : le monde daujourdhui at port croire, sous linfluence de philosophies du mental conues pour letrahir, quavec la mort tout sarrte, tout est fini, et on na plus aucune autreresponsabilit envers quoi que ce soit. On peut fortement douter que cela soitvrai. Lhomme hritera demain de ce quil a laiss hier en mourant.

Il y a une autre chose que nous savons aussi, cest que les hommes ne sontpas des commodits dont on peut se passer. Il existe dans les philosophies

anciennes une certaine faon dexpliquer aux hommes que sils pensent quilssont indispensables, ils feraient bien daller faire un tour au cimetire et

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douvrir les yeux car ces hommes-l aussi taient indispensables. Tout cela estcompltement idiot. Si lon examinait attentivement le cimetire, on y dcouvrirait le mcanicien qui nagure a mis au point les machines sans lesquelles

lindustrie daujourdhui nexisterait pas. On peut douter qu cet instantmme, de tels accomplissements soient en train dtre raliss.

Louvrier nest pas seulement un ouvrier. Le manuvre nest pas uniquementun manuvre. Lemploy de bureau nest pas juste un employ de bureau. Cesgens vivent, respirent, et constituent dimportants piliers sur lesquels toute lastructure de notre civilisation repose.

Ils ne sont pas les rouages dune machine toute-puissante.

Ils sont la machine elle-mme.

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EXERCICES PRATIQUESLes exercices ci-dessous vous aideront comprendre ce chapitre et augmenteront

votre aptitude appliquer effectivement ces connaissances.

1Rappelez-vous une confusion que vous avez observe ou vcue. Dterminezcomment le principe de la donne stable aurait pu tre appliqu cette confusion.

2Sortez et allez trouver une confusion. En utilisant le principe de ladonne stable , venez bout de cette confusion.

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Exercez-vous administrer le procd Atteindre et se retirer . Exercez

vous donner les commandements du procd en vous adressant un mur,en insrant le nom dune partie dun objet dans chaque commandement, endsignant du doigt la partie en question et en accusant rception (enrpondant bien , merci , etc.) chaque fois. Au moindre doute,rfrez-vous la procdure pendant que vous faites cet exercice. Continuez

jusqu ce que vous vous sentiez capable dadministrer atteindre et seretirer facilement et sans incertitude.

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4Administrez prsent atteindre et se retirer une personne sur sesoutils de travail ou son environnement professionnel.

Rappelez-vous un exemple de mauvais contrle que vous avez observou vcu. Expliquez en quoi il sagissait de mauvais contrle.

Rappelez-vous un exemple de bon contrle que vous avez observ ouvcu. Expliquez en quoi il sagissait de bon contrle.

7Rappelez-vous un moment, observ ou vcu, o quelquun ntait pas enbonne communication avec la machine quil exploitait ou ne la connaissaitpas bien. Rappelez-vous son efficacit au travail et la qualit de ce quiltait cens produire.

8Rappelez-vous un moment, observ ou vcu, o quelquun tait en bonnecommunication avec la machine quil exploitait ou la connaissait bien.Rappelez-vous son efficacit au travail et la qualit de ce quil tait censproduire.

9Faites une promenade autour du pt de maisons jusqu ce que vousvous sentiez extraverti et plus alerte.

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Trouvez une personne puise par son travail ou bouleverse par une

rcente dispute, comme une dispute de mnage, par exemple, et faites-luifaire une promenade jusqu ce quelle se sente extravertie.

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RSULTATS DAPPLICATION

RUSSITEPROFESSIONNELLE 91 %

FOYERS DONT LES

REVENUS DPASSENT LE

SEUIL DE PAUVRET

Ceux qui se serventde la Scientologie 66 %dans leur carriredisposent d'outilsefficaces pourprosprer etatteindre leursbuts.

POPULATION DES TATS-UNIS SCIENTOLOGUES

Le fait que les scientologues poss-

dent et utilisent une technologie quileur permette de survivre aismentdans le monde du travail est clairementdmontr par le fait que 54 % dentreeux occupent des positions profession-nelles, telles que chefs dentreprise,artistes, techniciens, ingnieurs, pr-sidents ou associs dune entreprise,avocats, mdecins ou autres profes-sions mdicales.

Mais la mise en pratique de ces donnesna pas seulement des effets sur ceuxqui les appliquent : elle a une influencepositive sur lenvironnement et sur lesgens alentour, en aidant crer deshavres de paix dans un monde du travail chaotique. Les exemples ci-dessous en tmoignent.

Un homme qui se sentait souventpuis en fin de journe eut loccasionde prendre connaissance des crits de

M. Hubbard sur la faon de venir bout de lpuisement.

Autrefois, lpuisement signifiaittout laisser tomber et me reposer. Pourtantle repos ne rsolvait pas le problme. Lavritable cause de lpuisement, et doncla vraie solution, semblaient mchapper.Onpeut venir bout de lpuisement en

faisant simplement ce que dit M. Hubbard.Cela reprsentebeaucouppour moi. Main-

tenant, je peux rester frais et dispos toute lajourne.

Un musicien qui on administra atteindre et se retirer sur son environnement, pensait tre dj en excellente communication avec celui-ci. Ilfut nanmoins trs surpris de voir lesrpercussions que cette simple actionpouvait avoir sur son activit.

Ce fut une trs bonne expriencepourmoi. Grce ce procd, jai soudaineu un concept clair de ce que serait unesituation idale dans le domaine de lacration musicale et du niveau jusquoon pourrait lever lesthtique. Seule laScientologie pouvait permettre un telidal de devenir ralit. Atteindre et seretirer est un morceau de technologiesimple, mais quelle puissance !

Ayant appris les donnes fondamentales sur la faon de rsoudre les situations inhrentes au travail, un hommedcida quil pouvait faire ou devenirtout ce quil voulait. Il choisit donc dedevenir traiteur et trs vite se retrouvagrant dune importante socit derestauration ayant servir plus de 1500personnes travaillant la constructiondune nouvelle usine de papeterie enAfrique du Sud.

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Javais au moinstrente-cinq employssous mes ordres, et en mettant en application les fondements de Scientologie que

javais tudis, jai pu rendre mes employsvraiment productifs. Il y avait deux quipes,et quatre chefs dquipe. Mon patrontait toujours surpris de la facilit aveclaquelle les choses se passaient lorsquemon quipe tait au travail et aussi de larapidit avec laquellenous pouvions finirles choses. Je me suis alors vraiment

rendu compte de lefficacit complte decette technologie et de sa capacit changer et amliorer, en peu de temps,des situations apparemment sans espoir.

Une jeune femme travaillait depuisde nombreuses semaines, jour aprs

jour, relire et corriger des preuves.Un jour, cette activit lui parut de plusen plus ardue, alors que cela navait

jamais t le cas auparavant.

Un beau jour, ma vue a fini parsuser compltement et vers la fin de la

journe, je suis reste aveugle pendantquelques secondes. Javais mal aux yeuxet tout tait trouble. La personne aveclaquelle je travaillais, connaissait le remde Faire une promenade et elle memmena

faire un tour. Au dbut, je ne voulais pas

regarder autour de moi car mes yeux mefaisaient souffrir, mais elle a insist pourque je le fasse. Aprs un moment, mes

yeux ne me faisaient plus mal et jtaiscapable de regarder autourde moi. Jtaisredevenue gaie et jai pu continuer relire mes preuves sans effort.

Une femme daffaires avait des problmes avec son patron. Une amie luiindiqua quelques donnes fondamentales de M. Hubbard sur la faon de

sentendre avec son entourage professionnel.

Vers le dbut de lanne, je narrtaispas davoir des ennuis avec mon entreprise.Mon patron me critiquait constammentet sautait sur le plus petit dtail pourvenir se plaindre moi. Mais tout achang depuis que jai tudi ces donnes.Maintenant, il nexprime plus une seulecritique en ma prsence et me fait mme

des compliments. Je sais que ceci est d ce que jai appris car, en mon absence,mes collgues le laissent encore leurgcher la journe. Je peux maintenantcontrler mon environnement et fairemon travail dans des conditions trsagrables.

Une directrice du personnel dansune grosse socit avait beaucoup demal soccuper de tous les employsdont elle tait responsable.

Javais une longue, longue liste denoms de gens dont je devais moccuperet qui ne cessaient de rclamer messervices.Le temps que jaurais dconsacrer moccuper de leurs affaires, je le passais repousser leurs demandes. Dune certaine

faon, je narrivais pratiquement rien.Plus ceretard samoncelait et plus je mesen

tais submerge. Jai alors dcid dappliquerle principe de la donne stable . Jaienvisag la scne idale et jai commenc mattaquer chaque tche diffrenteavec pour objectif de la terminer avantde passer la suivante. Ctait de lamagie pure ! la fin de la journe, jtaisgaie, avec un sentiment de libert. Jesavais que javais encore de nouvelleschoses faire, mais je savais que je

pourrais men occuper. Ce ntait plus unproblme.

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La surcharge de travail dune jeune

femme aurait abouti un tat dpuisement, mais elle appliqua la technologiequi consiste faire une promenade .

Il y a environ quatre ans, jenseignaislducation physique dans une cole primaire. Je travaillais depuis tt le matin

jusqu tard dans laprs-midi, classeaprs classe, toutes composes de jeunesenfants pleins dnergie.

La deuxime partie de laprs-midi,je faisais des traductions. Ensuite, dansune sallede gymnastique locale, jedirigeaisdes classes dexercices jusqu vingt-deuxheures.

Ctait un programme trs prouvant. Javais toutes les raisons du mondedtre puise, selon les critres courants.Mais je ne lai jamais t, simplement

parce que jai recouru faire une promenade. Pendant les pauses, lcole, jepartais me promener. Ensuite je marchaisjusqu mon job de traduction, tout enportant mon attention sur lenvironnementchemin faisant. En bref, chaque fois que

jen avais loccasion, jappliquais cetteconnaissance. Les gens admiraient magrande forme et ma capacit endurerce rythme de vie. Mais le vritable secrettait lapplication de cette technologie.

Un plombier deGorgie a dcouvertqu atteindre et se retirer tait unde ses outils de travail les plus importants :

Jai appliqu atteindre et se retirertrs souvent, et toujoursavec grand succs.Un jour, mon atelier tait un dsordretotal, avecdes objets et des outils parpills et l. Javais attribu cela la grandesurcharge de travail du moment. Mais

aprs un moment d atteindre et seretirer, jai dcouvert, ma grandesurprise, que je ne pensais pas pouvoirme retirer confortablement de lespacede travail ! Javais acquis une sorte dide

fixe selon laquelle il ne fallait pas melaisser dpasser par la charge de travailet jtais trs coinc dans la situation.

Jaimerais vous exprimer le grand soulagement que jai ressenti lorsque jai dcouvert cette incapacit me retirer. Cette

ide dtre coinc avait disparu et javaisrecouvr un jugement sain sur les choseset pouvais ainsi mettre de lordre dans lemagasin.

Entreprendre une action efficace poursoccuper dun collgue de travail at une exprience utile pour unefemme entrane lapplication de latechnologie de Ron Hubbard.

Il y a quelques annes,une employede la socit o je travaillais a fait unedpression nerveuse. Mes patrons se sontsentis concerns mais ne savaient que

faire. Une amie scientologue semblaitsavoir comment sy prendre dans de tellessituations. Je lai donc appele.

Elle ma dit demmener la personneen promenade et de lui faire regarder les

choses dans lenvironnement. De retourdans le bureau, jai dit : je sais quoi

faire ; je vais men occuper.

Jai parl la femme et lui aiannonc que je souhaitais lemmener

faire une promenade. Nous sommes sortieset avons commenc marcher. Je lui aialors dit de regarder diffrentes chosesalors que nous marchions, comme monamie me lavait conseill. La femme commena bientt spanouir et me

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demander galement de regarder leschoses !Au bout dun moment, elle taitcompltement sortie de son problme etbeaucoupplus heureuse. Jai t ravie dagirdans cette situation plutt que de simple-ment en parler.

Un cadre allemandresponsable dunimportant projet de production a faitface une formidable confusion. Lacomplexitet la dlicatessede lopra

tion dpassaient de loin tout ce queson groupe avait vcu jusqualors etils ny taient pas prpars. Ce cadrea fait appel aux outils de base concernant le travail dvelopps par RonHubbard.

La premire fois que jai pass enrevue la description du projet, jai franchement t constern. Je ne voyais pas

comment nous pourrions finir le travaildans le temps imparti. Mon personnel nestait jamais occup de ce genre dechose et aucun de nous navait ni la

formation ni lexprience ncessaires pourgrer quelque aspect de ce travail.

Comme si cela ne suffisait pas,nous venions juste de terminer un autre

projet important et nous nous remettions peine de la tension organisationnelle

quil avait gnre.

Aprs avoir barbot dans la confusion initiale avec des interrogations detype Comment diable allons-nous fairecela ?, jai ralis que ctait une confusion. Une prise de conscience lmentaire,mais qui ma fait voir comment rsoudrele problme. Je savais quil me fallaitdabord trouver unedonnestable, simple.

partir de l, je me suis occup dunechose puis dune autre et ainsi de suite.

Et voil comment jai, de cette faon,men bien le projet tout entier.

En rsistant au sentiment de devoirtout faire dun coup et la vitesse delclair, jai cherch ce quil fallait rsoudreen premier pour que le projet se droulesans encombre. Jai dcid de placer unresponsable pour une phase spcifiquede la production. Ce simple fait tait unsoulagement. Au moins, je disposais dunecertitude sur laquelle je pouvais meconcentrer. Ensuite, jai pass en revue le

personnel disponible. Jai nomm quelquunet lai inform de ses responsabilits.

Javais non seulement un peu de confusionen moins sur mon chemin, mais quelquun

pour maider moccuper du reste.

Je vous passe les dtails de ce quisest pass alors, mais nous avons traitun aspect la fois. Comment obtiendraiton telles matires premires ? Qui seraitresponsable de cette fonction-ci et decelle-l ? Comment allions-nous viterdes choses dont on ne saurait que faire,que lon naurait pas remarqu et dont onne se serait pas occup? Et ainsi de suite.On prenait un dtail aprs lautre, encherchant sans cesse obtenir une

vritable production. La confusion taitmatrise et nous avancions.

Ce ntait en aucun cas un travailfacile, sans sa part dengueulades et dedsastres vits de justesse. Mais noussommes rests calmes et avons terminle projet. Nous avons galement acquisde nouvelles donnes stables partir delexprience qui, jen suis sr, feront queles futurs projets se drouleront avecbeaucoup moins d-coups.

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LE GLOSSAIRE DES TERMES

accus de rception : ce quon dit ou faitpour informer quelquun que ce quil vient

de dire ou faire a t not, compris et reu.

accuser rception : donner un accus derception (quelquun).Voir aussi accus de

rceptiondans ce glossaire.

affinit : un sentiment damour, degrdaffec-

tion ou de toute autre attitude motionnelle. La dfinition fondamentale de

laffinit est la considration de la distance,

bonne ou mauvaise.

atteindre et se retirer : une mthode qui

permet damener une personne se familiariser et entrer en communication avec

les choses qui lentourent afin davoir

davantage de contrle sur elles.

confronter : faire face sans broncher ou

se dfiler. Laptitude confronter consistevritablement en laptitude tre l con

fortablement et percevoir.

gain : laccomplissement de toute amlioration dsire. Une personne, par exemple,pourrait amliorer son aptitude communiquer et en ressentir un plus grand bien-treou gagner plus de certitude au sujet dundomaine de sa vie.

invalider : rfuter, dgrader, discrditerou renier quelque chose que quelquundautre considre comme tant vraie.

masse : les objets physiques, les chosesde la vie mme.

Scientologie : une philosophie religieuseapplique dveloppe par Ron Hubbard.Cestltude et la faon daider un esprit enrelation avec lui-mme, les univers et toutce qui est vie. Le mot Scientologie vientdu latin scio qui veut dire savoir et dumot grec logos qui veut dire le mot oula forme extrieure par laquelle sexprime

et se manifeste la pense intrieure .Ainsi, la Scientologie veut dire savoir ausujet du savoir.

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PROPOSDE RONHUBBARD

Ron Hubbard est n Tilden dans le Nebraska,le 13 mars 1911. Son aspiration dcouvrir

comment aider ses semblables et son dvouement leur gard dbutrent lorsquil tait trs jeune. lge de dix-neuf ans, il avait dj parcouru plus de400 000 kilomtres, et examin les cultures de

Java, du Japon, de lInde et des Philippines.

De retour aux tats-Unis en 1929, Ron repritle cours de son ducation scolaire puis sinscrivitlanne suivante luniversit George Washington.

Il y tudia les mathmatiques, lingnierie et unenouvelle discipline pour lpoque : la physiquenuclaire. Ces connaissances allaient se rvler fortutiles dans ses recherches ultrieures. Pour financerses recherches, Ron entreprit une carrire littraireau dbut des annes trente et devint rapidementlun des crivains les plus lus de livres de fictionpopulaires. Toutefois, ne perdant pas de vue sonbut premier, il continua ses recherches fondamentales au travers de multiples voyages et expditions.

Au dbut de la Seconde Guerre mondiale, ilfut nomm lieutenant (enseigne de vaisseau pre

mire classe) de la marine amricaine et servit entant que capitaine de corvettes anti-sous-marines.En 1945, estropi et moiti aveugle la suite deblessures au combat, il fut diagnostiqu commehandicap vie et hospitalis Oakland en Californie. Il avait cependant dj formul cettepoque ses premires thories sur le mentalhumain, et les mettant en pratique, il russit nonseulement aider dautres compagnons de guerremais mme recouvrer sa propre sant.

Aprs avoir pass cinq annes de plus travailler la question avec ardeur, il prsenta sesdcouvertes dans La Diantique : la puissance de la

pense sur le corps, le premier livre de vulgarisationou manuel sur le sujet du mental humain, prcisment crit pour lhomme de la rue. La parutionde La Diantique marqua le dbut dune nouvellere despoir pour lhumanit et dune nouvellephase de la vie de son auteur. Mais il ne cessa passes recherches et cest ainsi qu force de dcouvertes systmatiquement codifies les unes aprs

les autres, naquit, la fin de lanne 1951, la philosophie religieuse applique de Scientologie.

Parce que la Scientologie explique la vie danssa totalit, il ny a pas daspects de lexistencehumaine auxquels les recherches ultrieures deRon Hubbard ne se soient pas intresses. Rsidanttour tour aux tats-Unis et en Angleterre, il poursuivit ses recherches en apportant des solutions des problmes sociaux tels que le dclin du niveaude lducation scolaire et le problme de la drogue.

Pour rsumer, les travaux de Ron Hubbard surles sujets de la Scientologie et de la Diantique

comptent plus de quarante millions de mots critsou enregistrs qui constituent lhritage de touteune vie qui prit fin le 24 janvier 1986. Toutefois, ledpart de Ron Hubbard de ce monde na pas mis fin sa prsence puisque avec plus de cent millions deses livres en circulation et des millions de gens quiappliquent quotidiennement ses techniques dedveloppement, on peut certainement affirmerque le monde na toujours pas trouv de meilleurami.

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ISBN 87-7968-139-5

1994, 2001, 2003 L. Ron Hubbard Library.Tous droits de reproduction et d'adaptation rservs.

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