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Page 1 sur 9 TOUT, TOUT TOUT A PROPOS DE CES HISTOIRES DE NASREDDIN HODJA….. POUR COMMENCER Nasr Eddin Hodja est un ouléma mythique de la culture musulmane qui aurait vécu en Turquie, à une date indéterminée entre le XIIIe siècle et le XVe siècle. Sa renommée va des Balkans à la Mongolie et ses aventures sont célébrées dans des dizaines de langues, du serbo-croate au persan en passant par le turc, l'arabe, le grec, le russe et d'autres. Son personnage s'est fondu à celui de Joha (au Maghreb). Le personnage de Joha (en Égypte il s'appelle Goha, en Turquie il s'appelle Nasreddin Hoca préexistait à celui de Nasr Eddin Hodja sans que l'on puisse clairement déterminer l'origine de ce personnage ingénu, faux-naïf du monde arabo- musulman. En Iran et Azerbaïdjan, on l'appelle Mollah Nasreddin et en Asie centrale Appendi (du turc efendi: monsieur), mais ce sont toujours les mêmes aventures que l'on raconte à son propos. Ses histoires courtes sont morales, bouffonnes, absurdes ou parfois coquines. Une partie importante d'entre elles a la qualité d'histoire enseignement. Nasr Eddin vit en général à Aksehir (Turquie) où il a sa tombe canular vide. Ses histoires ont parfois pour protagonistes le terrible conquérant Tamerlan, pour qui il joue le rôle de bouffon insolent bien que la situation soit anachronique. D'autres histoires mettent en scène son âne et sa première femme Khadidja ; il exerce parfois la fonction de Cadi voire d'enseignant dans une médersa. L'Unesco a déclaré l'année 1996 année Nasr Eddin Hodja. http://fr.wikipedia.org/wiki/Nasr_Eddin_Hodja ET ENCORE… D’où vient ce personnage ? Certains disent qu’il a vécu à Koufa, au sud de l’Irak, au VIIIème siècle. Les autres affirment qu’il a passé sa vie dans un village d’Anatolie… Mais dans le monde arabo-musulman, nul n’ignore les fabuleuses histoires Nasreddine le fou-sage. Mullah Nasr Eddin est un personnage du folklore traditionnel du Moyen-Orient, que l’on retrouve de l’Afrique du Nord jusqu’à la Chine en passant par l’Egypte, la Syrie, la Turquie. Son nom peut changer. Les Afghans et les Iraniens l’appellent Mollah Nasr Eddin, les Turcs, Nasr Eddin Hodja. On trouvera aussi Ch’ha, Goha, Djeha, Jiha, Srulek ou encore Effendi… Il est parfois prêtre, rabbin ou mollah mais les histoires sont semblables. On lui donne le titre de Hodja, ce qui veut dire maître. Qui est ce personnage ? Tantôt idiot, tantôt sage, toujours facétieux, il nous fait toujours sinon rire, du moins sourire par sa naïveté feinte ou son sens de l’absurde qui tourne en dérision l’arrogance, l’orgueil, la vanité et la bêtise des puissants et des riches aussi bien que des ignorants… qui s’ignorent. Il peut être grave, sérieux ou absurde, souvent taquin et rusé. C’est un personnage moitié fou moitié sage dont on a dit qu’il est « tellement intelligent qu’il en devient bête » ou qu’il est « si bête qu’il finit par dire des choses intelligentes ». On le trouve en action à la mosquée, au hammam, dans son vignoble ou sa maison, sur la place du marché. Il est souvent en compagnie de sa femme ou de son âne. Il traite de l’injustice sociale, la paresse, l’étroitesse d’esprit, la gourmandise, l’égoïsme, l’ignorance, les privilèges de classe, la mort, le destin de l’homme, les mystères de la vie… Il s’implique dans un large éventail de situations, de la narration enfantine à la méditation profonde, religieuse ou philosophique. Les personnages qu’il campe ou ses protagonistes, souvent issus du milieu rural, proviennent de tous les milieux sociaux : du prince au mendiant, de l’érudit à l’ignorant, le politicien comme le prêtre, le marchand comme le client, le jeune homme comme le vieux, le riche comme le pauvre…

TOUT, TOUT TOUT A PROPOS DE CES HISTOIRES DE NASREDDIN

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TOUT, TOUT TOUT A PROPOS DE CES HISTOIRES DE NASREDDIN HODJA…..

POUR COMMENCER

Nasr Eddin Hodja est un ouléma mythique de la culture musulmane qui aurait vécu en Turquie, à une date indéterminée entre le XIIIe siècle et le XVe siècle. Sa renommée va des Balkans à la Mongolie et ses aventures sont célébrées dans des dizaines de langues, du serbo-croate au persan en passant par le turc, l'arabe, le grec, le russe et d'autres. Son personnage s'est fondu à celui de Joha (au Maghreb). Le personnage de Joha (en Égypte il s'appelle Goha, en Turquie il s'appelle Nasreddin Hoca préexistait à celui de Nasr Eddin Hodja sans que l'on puisse clairement déterminer l'origine de ce personnage ingénu, faux-naïf du monde arabo-musulman.

En Iran et Azerbaïdjan, on l'appelle Mollah Nasreddin et en Asie centrale Appendi (du turc efendi: monsieur), mais ce sont toujours les mêmes aventures que l'on raconte à son propos. Ses histoires courtes sont morales, bouffonnes, absurdes ou parfois coquines. Une partie importante d'entre elles a la qualité d'histoire enseignement. Nasr Eddin vit en général à Aksehir (Turquie) où il a sa tombe canular vide. Ses histoires ont parfois pour protagonistes le terrible conquérant Tamerlan, pour qui il joue le rôle de bouffon insolent bien que la situation soit anachronique. D'autres histoires mettent en scène son âne et sa première femme Khadidja ; il exerce parfois la fonction de Cadi voire d'enseignant dans une médersa. L'Unesco a déclaré l'année 1996 année Nasr Eddin Hodja.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nasr_Eddin_Hodja

ET ENCORE… D’où vient ce personnage ? Certains disent qu’il a vécu à Koufa, au sud de l’Irak, au VIIIème siècle. Les autres affirment qu’il a passé sa vie dans un village d’Anatolie… Mais dans le monde arabo-musulman, nul n’ignore les fabuleuses histoires Nasreddine le fou-sage. Mullah Nasr Eddin est un personnage du folklore traditionnel du Moyen-Orient, que l’on retrouve de l’Afrique du Nord jusqu’à la Chine en passant par l’Egypte, la Syrie, la Turquie. Son nom peut changer. Les Afghans et les Iraniens l’appellent Mollah Nasr Eddin, les Turcs, Nasr Eddin Hodja. On trouvera aussi Ch’ha, Goha, Djeha, Jiha, Srulek ou encore Effendi… Il est parfois prêtre, rabbin ou mollah mais les histoires sont semblables. On lui donne le titre de Hodja, ce qui veut dire maître. Qui est ce personnage ? Tantôt idiot, tantôt sage, toujours facétieux, il nous fait toujours sinon rire, du moins sourire par sa naïveté feinte ou son sens de l’absurde qui tourne en dérision l’arrogance, l’orgueil, la vanité et la bêtise des puissants et des riches aussi bien que des ignorants… qui s’ignorent. Il peut être grave, sérieux ou absurde, souvent taquin et rusé. C’est un personnage moitié fou moitié sage dont on a dit qu’il est « tellement intelligent qu’il en devient bête » ou qu’il est « si bête qu’il finit par dire des choses intelligentes ». On le trouve en action à la mosquée, au hammam, dans son vignoble ou sa maison, sur la place du marché. Il est souvent en compagnie de sa femme ou de son âne. Il traite de l’injustice sociale, la paresse, l’étroitesse d’esprit, la gourmandise, l’égoïsme, l’ignorance, les privilèges de classe, la mort, le destin de l’homme, les mystères de la vie… Il s’implique dans un large éventail de situations, de la narration enfantine à la méditation profonde, religieuse ou philosophique. Les personnages qu’il campe ou ses protagonistes, souvent issus du milieu rural, proviennent de tous les milieux sociaux : du prince au mendiant, de l’érudit à l’ignorant, le politicien comme le prêtre, le marchand comme le client, le jeune homme comme le vieux, le riche comme le pauvre…

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Que dire de ses histoires ? Ses histoires drôles et moralisantes sont assez courtes et acérées, véhiculant le plus souvent des sous-entendus philosophiques. Selon les pays et les époques, elles ont subi des transformations les plus diverses. La célébrité du personnage dépasse les siècles, les générations et les âges. Elles ont plusieurs niveaux de signification mais elles doivent être étudiées pour leur sagesse cachée ou savourées pour leur humour stimulant. Elles présentent à chacun la vérité dans toute sa cruauté. Pour mieux comprendre la culture de Nasreddine Hodj a LA RELIGION

« Allah »

est le mot arabe qui désigne « Dieu ». C'est aussi le nom de Dieu dans l'islam http://fr.wikipedia.org/wiki/Allah

La mosquée

La Grande Mosquée de Kairouan est le plus ancien et le plus prestigieux sanctuaire de l'Occident musulman11, à Kairouan en Tunisie.

Une mosquée est un lieu de culte où se rassemblent les musulmans pour les prières communes . L’ensemble architectural est le plus souvent entouré d’une ou plusieurs tours, ou minarets, dont le nombre est limité à six pour ne pas excéder les sept de la mosquée de La Mecque. Le toit est souvent en forme de dôme. C’est du haut d’un des minarets que le muezzin appelle à la prière. Une mosquée est devenue plus qu’un lieu de culte ; elle sert d'institution sociale, éducative et politique. Elle sert aussi de lieu de rencontres et d’échanges sociaux. Les fidèles doivent enlever leurs chaussures à l’entrée de la mosquée afin de respecter la pureté du lieu de prière. En effet, le Coran précise que la prière n'est valable que si le corps, les vêtements et le lieu sont exempts d'impuretés. http://fr.wikipedia.org/wiki/Mosqu%C3%A9e

Le muezzin

Le muezzin (signifiant celui qui fait l'appel) est le membre de la mosquée chargé de lancer l'appel à la prière au moins cinq fois par jour, souvent depuis le sommet d'un des minarets de ladite mosquée. Cet appel par la voix a semble-t-il été choisi pour se démarquer de l'appel juif, par une corne, et de l'appel chrétien, par une cloche et également parce qu'il est le moyen le plus naturel d'appeler. Le muezzin est choisi pour sa voix et sa personnalité. Dans certaines mosquées, il se place tour à tour face à chaque point cardinal lorsqu'il appelle à la prière ; pendant la prière, il se place parfois sur une plateforme particulière… Le muezzin (celui qui fait l'appel à la prière) : - ne doit pas demander de salaire - ne doit pas être en état de grande ni de petite impureté - doit être debout en direction de la Ka'ba (qui se trouve à La Mecque) - doit tourner son corps de droite à gauche (pour être entendu dans toutes les directions) - doit se boucher les oreilles avec l'index ou le majeur (afin de ne pas être perturbé) - hausser la voix pour être bien entendu - parler posément pour être bien compris.

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Un tapis de prière

Un tapis de prière est un type de tapis sur lequel les Musulmans pratiquants se prosternent au cours de leurs cinq séances de prière quotidiennes Bien que ce tapis ne soit pas indispensable à la prière, il permet au croyant de prier dans un relatif confort et sans se salir malgré la proximité avec le sol. http://fr.wikipedia.org/wiki/Tapis_de_pri%C3%A8re

La prière musulmane

La prière musulmane, demande au croyant de louer la grandeur de Dieu (Allah), de se soumettre à Lui, et de Lui demander de pardonner pour ses péchés. Il faut pour cela s'être purifié par les ablutions et avoir une pureté de l'intention (niyya). La prière musulmane est aussi une forme de méditation pratiquée (la prostration) pour se remémorer et ne pas oublier Dieu (Allah). http://fr.wikipedia.org/wiki/Pri%C3%A8re

L’école coranique

La chaire de la mosquée

À côté du mihrab se tient la chaire à prêcher (minbar), qui rappelle le siège en bois de tamaris où le Prophète s'asseyait : juchée à l'extrémité d'un escalier, souvent monté sur roues, le minbar est une petite plateforme carrée où se tient le prédicateur pour le prêche du vendredi. Un des plus anciens minbars est celui de la Grande Mosquée de Kairouan (IXe-Xe s.). En bois ou en marbre, cette chaire est parfois surmontée d'une coupole, qui introduit alors une résonance ésotérique dans l'édifice : le carré semble symboliser la Terre avec ses quatre points cardinaux, ses quatre saisons et ses quatre éléments, tandis que la forme circulaire évoque le Ciel et l'infini. Cette superposition du cercle sur le carré pourrait signifier l'alliance de la Terre et du Ciel grâce à Dieu (Allah en arabe). Parfois, dans la salle de prière, une balustrade ou une cloison ajourée (la maqsura) délimite la partie de la mosquée réservée aux femmes, comme elle marquait autrefois l'emplacement où le souverain pouvait se tenir en toute sécurité. http://www.larousse.fr/encyclopedie/nom-commun-nom/mosqu%C3%A9e/71586

La psalmodie

La psalmodie est une technique vocale consistant à réciter un texte sur une unique note. Souvent la psalmodie porte une connotation religieuse. Le style psalmodique est en plain-chant le plus dépouillé des styles d'ornementations. Le style psalmodique est le style de base des oraisons, des lectures, des leçons brèves et des capitules. Il se retrouve dans la psalmodie , les versets et les répons, où une formule existe pour chacun des huit modes. http://fr.wikipedia.org/wiki/Psalmodie Psalmodie du coran : http://www.mosquee-de-paris.org/index.php?option=com_content&view=article&id=60&Itemid=29

Rites et traditions islamiques

L'Aïd al-Adha , appelé aussi Aīd al-Kabīr « la grande fête » principalement au Maghreb, par opposition avec l'Aïd el-Fitr, est la fête les plus importantes de l'islam. Cette fête commémore la soumission d'Ibrahim (Abraham dans la tradition juive) à Dieu, symbolisée par l'épisode où il acceptait d'égorger son fils Ismaël sur l'ordre d'Allah, celui-ci envoyant au dernier moment un mouton par l'entremise de l'archange Gabriel pour remplacer l'enfant comme offrande sacrificielle. En souvenir de cette soumission totale d'Ibrahim à Dieu, les familles musulmanes sacrifient un mouton ou un bélier, mais parfois d'autres animaux comme des vaches ou des chèvres, en l'égorgeant, couché sur le flanc gauche et la tête tournée vers La Mecque, après la prière et le sermon de l'aïd. Selon la tradition judéo-chrétienne, c'est le second fils d'Abraham, Isaac son héritier qui a failli être sacrifié, et non Ismaël. Le jour de Aïd el-Kebir constitue un jour de fête dans la tradition prophétique musulmane. En effet dès l'annonce de la vision de la nouvelle lune (cela signifie la fin du mois précédent et le début du suivant selon le calendrier lunaire), les musulmans où qu'ils soient, glorifient la grandeur d'Allah http://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%AFd_al-Adha

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Le hammam

Appelé « bain maure » (en référence à l'Espagne musulmane et « bain turc » par les Occidentaux, le hammam soit « eau chaude » en arabe) est un bain de vapeur humide puisant ses origines dans les thermes romains. Dans sa forme actuelle, le hammam s'est développé dans l'empire ottoman, des pays du Maghreb jusqu'au Moyen-Orient (comme en Syrie) à la faveur de l'expansion de l'Islam. Le hammam fut en effet adapté aux préceptes de la religion musulmane qui préconise une hygiène méticuleuse et des ablutions régulières notamment avant les prières rituelles. http://fr.wikipedia.org/wiki/Hammam Bey Hamam est un édifice de bains turcs connu aussi sous l'appellation Bains du Paradis, situé le long de la rue Egnatia à Thessalonique, à l'ouest de la Panagia Chalkéôn. Construit en 1444 par le sultan Murad II, c'est le premier bain ottoman de Thessalonique et le plus important encore existant en Grèce : à ce titre, il fait partie des rares vestiges de l'important passé ottoman de Thessalonique et de la Grèce en général. http://fr.wikipedia.org/wiki/Bey_Hamam

La pierre chaude Au centre du hammam se trouve une pierre chaude. Celle-ci permet de décontracter les muscles tout en soulageant les douleurs articulaires et rhumatismales.

LES VETEMENTS

Le burnous

Le burnous ou bournous est un manteau en laine long avec une capuche pointue et sans manche. http://fr.wikipedia.org/wiki/Burnous

Le turban

Le turban est un couvre-chef, d'origine asiatique, consistant d'une longue écharpe enroulée autour du sommet de la tête ou d'un chapeau. Le turban est de multiples formes, couleurs et tailles, la longueur de tissu excédant rarement cinq mètres. http://fr.wikipedia.org/wiki/Turban

La djellaba

Le Jilbab est un vêtement en forme de longue robe, avec ou sans capuchon, porté par les hommes et les femmes, en Afrique du Nord majoritairement , dans la péninsule Arabique aussi. A ne pas confondre au jilbab pour les femmes ou qamiss ou encore kamis qui est différent(habit recommandé pour les musulmans). Très ancien, et parent du caftan turc, c'est un vêtement confortable. Il peut également être porté de différentes matières en fonction du climat. Le jilbab est un long voile qu'il est recommandé aux femmes musulmanes de porter, il est souvent noir mais peut être d'une autre couleur. http://fr.wikipedia.org/wiki/Jellaba

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LES OBJETS

Le narguilé

Le narguilé désigne une sorte de grande pipe à eau utilisée principalement en Tunisie, au Moyen-Orient ou en Asie pour fumer le tabac. http://fr.wikipedia.org/wiki/Narguil%C3%A9

LA CUISINE

Le pilaf

Le pilaf est un mode de cuisson du riz provenant du Moyen-Orient et d'Asie centrale au cours duquel le grain, tel que le riz, le blé broyé ou le quinoa, est généralement revenu dans de l'huile et des oignons sués ciselés, avant d'être cuit au four pendant 18 minutes. Au gré des traditions culinaires de la cuisine locale, il peut également contenir une variété de viandes et de légumes .

Les dolmas

Spécialité de Grèce & Turquie. Du riz de la viande hachée, des épices composent une farce que l’on enveloppe dans une feuille de vigne. L’ensemble est mis à cuire lentement dans de l’eau additionnée de jus de citron… Sous le nom de dolma, les Turcs servent farcis : courgettes, aubergines, tomates, choux et feuilles de vigne. Si la farce est à la viande, les dolma se mangent chauds avec une sauce au yaourt. Avec une farce au riz, ils se mangent à température ambiante. “Manger le raisin et ne demander pas la vigne.” dit un proverbe turc. http://ja6.free.fr/fichiers/f634.htm

Les baklavas

Un baklava est un dessert traditionnel commun à tous les peuples de la Perse et de l'ancien Empire ottoman. Il est le gâteau national en Bulgarie, en Grèce, en Turquie et dans les cuisines des Balkans, du Moyen-Orient et du Maghreb. Ce dessert est également assez répandu chez les Arméniens et les Chypriotes. C'est un mets assez sucré et constitué de pâte phyllo, de sirop de sucre (remplacé par du miel en Grèce) et, selon les recettes, de pistaches, de noix ou de noisettes. Le baklava est un dessert raffiné, compliqué et long à réaliser car constitué de fines feuilles de pâte beurrées ou huilées une à une, superposées dans un plat rond ou carré, ou bien enroulées sur elles-mêmes. Un mélange de fruits secs finement moulus et concassés est déposé entre les feuilles, lesquelles sont ensuite cuites puis trempées dans de l'eau sucrée (avec du jus de citron pour éviter de caraméliser), du miel ou encore de l'eau de fleur d'oranger ou de rose. On y ajoute quelque fois des clous de girofle moulus. En Tunisie et en Algérie, la baklava est un gâteau souvent servi dans les fêtes de mariage.

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LES ARBUSTES OU ARBRES

Le pistachier

La pistache est un fruit sec, produit par un arbuste de climat méditerranéen, le pistachier vrai (Pistacia vera L.) de la famille des Anacardiacées. Elle se présente sous la forme d'une petite graine de couleur verdâtre et de saveur douce, logée dans une coque qui s'ouvre quand le fruit est mûr. Sur le plan botanique, la pistache est une drupe, à pulpe très mince, à noyau scérifié contenant une graine unique. Ce sont les cotylédons de cette graine, vert clair, couverts d'une mince pellicule rougeâtre, qui sont comestibles. La pistache peut se consommer crue, comme les amandes, ou grillée. On incorpore la pistache aux sauces, aux farces, aux terrines, aux pâtés, à la crème glacée et aux pâtisseries. Elle renferme environ 50 % de matières grasses. Elle a été introduite en France au XVIIe siècle et y était nommée alors amande de Persie. À l’origine cultivé sous les climats chauds du Moyen Orient, de l’Asie Orientale et de la Méditerranée, le pistachier est l’un des plus anciens arbres à noix. De récentes découvertes archéologiques prouvent que les pistaches étaient déjà dégustées en 7 000 avant J.C., en Turquie. http://fr.wikipedia.org/wiki/Pistache

Le prunier

Le Prunier ou Prunier cultivé (Prunus domestica L.) est un arbre fruitier appartenant au genre Prunus de la famille des Rosaceae, cultivé pour ses fruits, les prunes. http://fr.wikipedia.org/wiki/Prunier

Le peuplier

Les peupliers sont des arbres du genre Populus de la famille des Salicacées. Le genre populus englobe 35 espèces des régions tempérées et froides de l'hémisphère nord. Il comprend aussi de nombreux hybrides naturels ou créés par l'homme. Les peupliers, arbres à la croissance rapide se rencontrent rarement en forêt dense. Ils croissent sur les terrains humides voire temporairement inondés. Leur système racinaire, important, souvent superficiel et traçant (comme celui du peuplier d'Italie par exemple) peut détruire des murs, soulever les enrobés bitumés et coloniser des tuyaux d'égouts. Certaines espèces (peuplier tremble) peuvent pousser sur des sols sableux pauvres et supportent relativement bien les embruns marins, à une certaine distance de la mer toutefois. http://fr.wikipedia.org/wiki/Peuplier http://www.lesarbres.fr/peuplier.html

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Le figuier

Le Figuier ou figuier commun (Ficus carica L.) est un arbre fruitier de la famille des Moracées qui donne de délicieux fruits comestibles appelés figues . Le figuier commun est l'emblème du bassin méditerranéen, où il est cultivé depuis des millénaires. On l'appelle aussi "figuier de Carie" ou "arbre à cariques". Le figuier mâle (parfois appelé "figuier sauvage"), qui ne donne pas de fruits comestibles, est appelé « caprifiguier ». http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%BBrier

Le mûrier

Le genre Morus, appartenant à la famille des Moraceae, est le genre des mûriers , il est composé d'une dizaine d'espèces. Il s'agit d'arbres ou d'arbustes dont certains sont cultivés pour leurs fruits (les mûres) ou leur feuilles, qui servent de nourriture au ver à soie. Ne pas confondre le mûrier-arbre avec le mûrier sauvage, ou ronce commune ; bien que leurs fruits se ressemblent par l'aspect et le goût. Ils portent des noms différents : mûron pour la ronce et mûre pour le mûrier, les deux espèces sont différentes. http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%BBrier

POUR ALLER PLUS LOIN http://espritdumoment.over-blog.fr/article-28405509.html Deux bandes dessinées

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Différentes statues représentant Nasreddine Hodja

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Et enfin… Une conférence sur le conte facétieux, genre de conte auquel appartiennent les histoires de Nasreddine Hodja http://mediatheque.montpellier-agglo.com/action-culturelle-/conferences-enregistrees/conference-de-marc-aubaret-directeur-du-cmlo-le-conte-facetieux-rire-de-ce-que-l-on-ne-souhaite-pas-transgresser-septembre-08-18-1-mo-82213.khtml