Neptune invité à un festin de sardines, astucieux cabanon nature, parenthèse hippie… les tablées

Au Salon Vivre Côté Sud, qui s’estdéroulé du 10 au 13 juin dernier àAix-en-Provence, impossibled’échapper à la thématique gour-

mande ! Dès l’entrée, l’Atelier culinaireinvitait à la découverte des produits duSud sous la houlette de Gérard Vives, lecuisinier des épices. Au-dessus du bassin,les tablées d’été des stylistes et des déco ra-teurs, A la table de Neptune, Pique-Niqueà Alibag, Nuit d’été dans un jardin decorail… créaient la surprise. Dans larotonde, une barre de crédence géante,imaginée par la scénographe du Salon,Fabienne Spahn, aiguisait l’appétit avecses couverts XXL, Arzinc, sa guirlanded’ustensiles et les accessoires insolites de laMaison Empereur qui faisaient l’objetd’un jeu. Au centre, entourée de specta-teurs attentifs, la cuisine Leroy Merlin,Grand Littoral, était la scène de démons-trations culinaires passionnées… En face,le Cabanon, restaurant de Reine Sammut,offrait sa terrasse ombragée sous des voiles

d’été, thème de l’année du Salon Vivre Côté Sud,

à Aix-en-Provence, ont libéré l’imaginaire des créateurs ! Et tandis qu’ondulaient les fumets, d’ateliers en démonstrations culinaires, les esprits

curieux furetaient de stand en stand, en quête d’un objet du désir ou du petit détail déco qui change tout ! STYLISME MURIEL GAUTHIER. PHOTOS PIERRICK VERNY. TEXTE MIC CHAMBLAS-PLOTON.

Page de gauche, poteries Ravel sur lesmarches, zénitude de La Brocante de Victor,méduses de Philippe Xerri, harmonietextile de L’Ane bleu ou de Soukotyssu,Armand Arnal en cuisine… Le décor estplanté. Ci-contre, l’installation de GenevièveDortignac et le concours d’assiettes.

Une 13e édition créative et gourmande!3

Neptune invité à un festin de sardines, astucieux cabanon nature, parenthèse hippie… les tablées

Au Salon Vivre Côté Sud, qui s’estdéroulé du 10 au 13 juin dernier àAix-en-Provence, impossibled’échapper à la thématique gour-

mande ! Dès l’entrée, l’Atelier culinaireinvitait à la découverte des produits duSud sous la houlette de Gérard Vives, lecuisinier des épices. Au-dessus du bassin,les tablées d’été des stylistes et des déco ra-teurs, A la table de Neptune, Pique-Niqueà Alibag, Nuit d’été dans un jardin decorail… créaient la surprise. Dans larotonde, une barre de crédence géante,imaginée par la scénographe du Salon,Fabienne Spahn, aiguisait l’appétit avecses couverts XXL, Arzinc, sa guirlanded’ustensiles et les accessoires insolites de laMaison Empereur qui faisaient l’objetd’un jeu. Au centre, entourée de specta-teurs attentifs, la cuisine Leroy Merlin,Grand Littoral, était la scène de démons-trations culinaires passionnées… En face,le Cabanon, restaurant de Reine Sammut,offrait sa terrasse ombragée sous des voiles

d’été, thème de l’année du Salon Vivre Côté Sud,

à Aix-en-Provence, ont libéré l’imaginaire des créateurs ! Et tandis qu’ondulaient les fumets, d’ateliers en démonstrations culinaires, les esprits

curieux furetaient de stand en stand, en quête d’un objet du désir ou du petit détail déco qui change tout ! STYLISME MURIEL GAUTHIER. PHOTOS PIERRICK VERNY. TEXTE MIC CHAMBLAS-PLOTON.

Page de gauche, poteries Ravel sur lesmarches, zénitude de La Brocante de Victor,méduses de Philippe Xerri, harmonietextile de L’Ane bleu ou de Soukotyssu,Armand Arnal en cuisine… Le décor estplanté. Ci-contre, l’installation de GenevièveDortignac et le concours d’assiettes.

Une 13e édition créative et gourmande!3

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d’Aude Cayatte. Une volée de marchesplus haut de l’escalier décoré par lesPoteries Ravel et arboré par ThomasGentilini, l’espace brocante invitait à uneescapade dans le temps, avant de rejoindrel’espace jardin où pépiniéristes et décora-teurs d’extérieur avaient recréé leur petitunivers. Deux tablées de la thématique s’yétaient installées, le très convivial Rendez-vous de 10 heures aux Mayons, de PierreGautier pour les Habits neufs et l’exotiqueDîner aux Antipodes, de Fabienne Spahn.Et, lorsqu’on n’avait pas la chance de s’as-seoir à la table de Pierre, on pouvait s’ins-taller Chez Armand, pour un sandwich ouune salade. Un moment de détente avantde se lancer à l’assaut des stands déco,découvrir un petit meuble élégant, craquerpour du lin de couleur ou pour un panierorné de macramé… Puis de se glisser denouveau dans la ville, chargé de ses trésorspour réinventer sa maison, ravis de cesbeaux moments d’art de vivre harmonieuxque vous avez été 21 300 à partager…Prochain rendez-vous en juin 2012 !

MONIQUE DUVEAU ET JOSÉ ESTÈVES DÉJEUNER AUCABANON O’NATUREL

« Sous les “verres luisants” de José, une bohémienne dans une cocotte noire... »

Avec ses touches de vert cru, sa belle salade dansune cuvette en émail jaspé, ses cagettes deplantes aromatiques… la table conçue par lesculpteur José Estèves et la styliste MoniqueDuveau affiche une fraîcheur pimpante ! Abritée parun toit en cannes de Provence posées en mikado,auquel sont suspendus des éclairages réalisés parJosé dans de vieilles bouteilles qu’il baptise poéti-quement du nom de « verres luisants », elle dévoileses matériaux recyclés, palettes récupérées pourla table et le fauteuil, nappe fabriquée à partir desacs de produits indiens ou marocains rapportésde voyage, verres recyclés, vaisselle en palmier ouen tôle émaillée achetée à Bali… Avec la touchevintage des chaises Bertoia et la promessedu contenu de la cocotte noire, c’est parfait !

Huit histoires de tables...

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PIERRE GAUTIER RENDEZ-VOUS DE 10 HEURES AUX MAYONS

«A la table de Gustave, tout le monde peut s’asseoir…»

Dans l’espace jardin, on devient acteur du décor à la table dressée par PierreGautier pour Les Habits neufs. Pierre a fait son marché le matin et offre à ceuxqui ont trouvé place sur ses bancs pain croustillant, saucisson, fromage,tomates, fraises et cerises. L’ambiance est chaleureuse alors que personne nese connaît ! Cet ancien cuisinier, devenu antiquaire, s’est inspiré du cabanondes Maures de l’un de ses copains, Gustave, toujours ouvert aux amis pourune omelette aux asperges sauvages, une brouillade de truffes d’été, desfraises des Mayons… A côté de la table de Pierre, une petite brocanteinstallée avec son épouse Patricia qui stylise textiles et matières vintage.

PHILIPPE XERRI UN APÉRITIF À SIDI BOU SAÏD

« Quand les pêcheurs se retrouvaientaprès une journée en mer... »

L’installation du créateur de la marque Rock the Kasbahdéroule l’histoire de l’artisanat tunisien dont il est un ferventdéfenseur. Dans ce repaire de simplicité, chaque objet a sonhistoire, mis en scène avec une authentique poésie. Sur destapis en alfa qui protégeaient les matelas, les mida (tablesrondes) se chargent de kémia (petits mets d’avant-repas) servisdans des bols disparates. On s’assoit sur des selles d’âne deSidi Bouzid, blanc et beige, symboles de paix, on sirote l’eau-de-vie de figue de l’oasis de Boukha dans des verres de Tuniset l’on picore olives, seiches grillées ou fèves au cumin dansdes cuivres de Kairouan ou dans les assiettes des potières deSejnan patinées au coquillage. Des chapeaux en alfa deKairouan symbolisant des méduses dansent dans l’air marin.

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FRANÇOISE QUINTA NUIT D’ÉTÉ DANSUN JARDIN DE CORAIL

« Un tête à tête intime éclairé par un rayon de lune »

« Je suis partie du titre pour construire mon décor, car lesassiettes existent dans nos collections. » Une nappe en papierbulle peint, des couverts imbriqués dans de l’éponge, un cheminde sable pour placer des bougeoirs sans bougies dont les feuillesde nacre reflètent la lumière de la lune… l’univers imaginé parFrançoise Quinta, créatrice de Maison Quinta, est onirique. Undîner pour fée romantique, assise en robe aérienne sur un siègeen bois flotté devant de la vaisselle ornée de dentelles de corail,alors que les étoiles du ciel encore bleuté descendent vers la mer.

GENEVIÈVE DORTIGNACNÉOHIPPIE CHIC

« La gourmandise etle farniente sans table ! »

C’est une autre façon de vivre le temps, unvoyage immobile sous les feuilles de cannesvagabondes, ponctué des souvenirs rapportésdes souks, d’objets coup de cœur achetés àun artisan d’ailleurs. Un territoire de liberté oùl’on grignote à son gré les pieds dans l’eau,chacun inventant son propre rituel. Tablesnomades, lits indiens où l’on se pose ous’allonge parmi des coussins en coton brutou recouverts de tissus de paréos devacances, ont une présence légère qui laissele premier rôle au tapis à fleurs sixties au pointde chaînette. Pour plus d’intimité, la natteen palmier d’Hichraf, jeune Tunisienne deSomâa, près de Nabeul, tamise la lumière.

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GIL DEZ À LA TABLE DE NEPTUNE

« Explorer ce qui est marin et mettre de l’humour dedans »

Le décorateur Gil Dez n’a pas fait dans la demi-mesure. Il a convo-qué Neptune à s’asseoir à sa table sur un tabouret en coquillagesparmi les ruines antiques. Ambiance ! Le dieu est bien fatigué et,comme les temps sont durs, on ne peut lui offrir qu’un festin desardines ! Les poissons ne savent pas nager et utilisent masqueset tubas. « J’aime planter des décors classiques et les détournerensuite totalement. » Créateur de la Villa Gallici et du 28 à Aix, cedécorateur léger et papillonnant, à la Cocteau, aime inventer ens’amusant et mêler humour et imaginaire. Mission accomplie !

FABIENNE SPAHN DÎNER AUX ANTIPODES

« Nonchalance polynésienne commeun balancement de feuillages… »

Scénographe du Salon, Fabienne Spahn se devait dereproduire la nuit pour intégrer l’éclairage de jardin enverre soufflé du designer de lumière Jean-PhilippeWeimer. D’où l’idée de cette tente noire qui abrite unemystérieuse ambiance d’esprit polynésien où l’on pénè-tre en écartant un rideau de perles de buis. Les piedsdans le sable, dans un écrin de plantes exotiques, lanonchalance des îles diffuse sa magie comme un lentbalancement de feuilles tropicales. Panier porc-épic enfeuilles de palme, vaisselle aux contours ondulantscomme une vague, nappe en chanvre Longmétrageet oiseaux de couleur nous emportent de l’autrecôté de la Terre, « là où l’on marche la tête en bas »…

VALÉRIE BARKOWSKI PIQUE-NIQUE À ALIBAG AVEC BANDIT QUEEN

« Mélanger les cultures indienne et méditerranéenne »

Sur une plage, à Alibag, près de Bombay, où ils se sont rendus en bateau, assis sur descoussins à une table basse, les invités s’apprêtent à déguster le thali, plat traditionnel servidans une farandole de petits contenants. « J’ai voulu mettre en scène la collection de lingede maison Bandit Queen, inviter un peu de culture indienne. » Designer et directriceartistique de la marque, Valérie Barkowski a créé un véritable univers poétique tissé pour elleet ourlé à la main qu’elle a baptisé du nom d’une fascinante Robin des bois indienne.

Façonné main, pêche d’argile coloré, Tarente.

Créations Caravane, IV Home/Un Esprit en Plus.

Chaises à empiler, table et canapé Gervasoni… Une déclinaison de carreaux de ciment, Carocim.

Petits sacs en jute pour lampes baladeuses, Dédale.

Esprit 1950 en kilim et fauteuil, Rock the Kasbah.

Sandales à nouer, cuir et voile de coton, Baobab. Porcelaine artisanale en camaïeu nature, Laibajan.

Pichets, bols et saladiers géants, Atelier Buffile.

Table blanchie et cabas Transat, Les Habits Neufs.

Des coups de coeur au fil des allées

…et tapis Second Life à fouler chez Misraki.

Jeté de lin grand teint, Longmétrage.

En pur lin indigo, tablier signé Philogène Ravel. Sièges mexicains Mama Silla chez Murielle Boisseau. Bocaux habillés de perles indiennes, Soukotyssu.

Façonné main, pêche d’argile coloré, Tarente.

Créations Caravane, IV Home/Un Esprit en Plus.

Chaises à empiler, table et canapé Gervasoni… Une déclinaison de carreaux de ciment, Carocim.

Petits sacs en jute pour lampes baladeuses, Dédale.

Esprit 1950 en kilim et fauteuil, Rock the Kasbah.

Sandales à nouer, cuir et voile de coton, Baobab. Porcelaine artisanale en camaïeu nature, Laibajan.

Pichets, bols et saladiers géants, Atelier Buffile.

Table blanchie et cabas Transat, Les Habits Neufs.

Des coups de coeur au fil des allées

…et tapis Second Life à fouler chez Misraki.

Jeté de lin grand teint, Longmétrage.

En pur lin indigo, tablier signé Philogène Ravel. Sièges mexicains Mama Silla chez Murielle Boisseau. Bocaux habillés de perles indiennes, Soukotyssu.

Particulier.Lin en teintes sourdes, Linge

Andrieu.La porcelaine fine de Bernadette

Coussins graphiques, Violette pour Tensira. David Frendo dans sa jungle ! Savoir vert. Nappe en lin brodé fleurs, La Maison Robinson.

L’art de la table imaginé par Album di Famiglia.

Bijoux Véronique Ciccarelli chez Murielle Boisseau.

Assises en matière recyclée, Tayssa et Baraka.

Chargé d’organiser démonstrations et ateliers, Gérard Vives, créateur duComptoir des poivres et président du Conservatoire international des cuisinesméditerranéennes, orchestrait un savoir-faire de plaisir et de partage, simple,festif et convivial. Dans la rotonde, des chefs qu’il avait voulu « pas trop tech-niques », Armand Arnal (La Chassagnette), Jean-André Charial (L’Oustau deBaumanière), Hissa Takeuchi (Kaiseki), Reine Sammut (La Fenière)… alter-naient avec stylistes culinaires, auteurs d’ouvrages de cuisine, passionnésdes fourneaux, comme Monique Duveau, Andrée Zana-Murat ou AnneGarabedian. Menés de main de maître, Velouté de poivron rouge au gingembre,Riz rouge sauté façon thaï, légumes de printemps et tofu et Cappelletti rosesalternaient ainsi avec une Salade Fatouche, un Tajine de keftas, graine decouscous et l’art de faire les tapas. Dans l’atelier, des spécialistes de produits,Gérard Vives, Frédéric Chaix, Mina Kouk, Véronique Lazérat, Michèle Gay…dissertaient sur le poivre, le safran, la vanille, l’huile d’olive ou le chocolat…« Je trouve que l’élitisme de la restauration est extra, mais il n’apporte aucunesolution au quotidien… », explique Gérard Vives. Or, pendant ces quatrejours, c’est bien notre quotidien que l’on invitait à sortir de l’ordinaire !

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Des chefs en scène !Dans la rotonde ou l’atelier, sous l’œil exigeant de Gérard Vives,

Georgiana Viou, Hissa Takeuchi et Jean-André Charial, très appliqués !

Premier prix : Fred Secall,Torreilles (66), voit son assietteéditée à 8 exemplaires par JarsCéramistes, consécration pour unartiste ! Il a en outre accès à uneformation de 5 jours à la mise enœuvre des bétons décoratifs auCentre de formation Vermillon auxMilles, près d’Aix-en-Provence, etreçoit un abonnement d’un an àMaisons Côté Sud. 2e prix :Nancy Grün, Bouc-Bel-Air (13).3e prix : Véronique Kempf,Cahors (46). 4e prix : PascalGueydan, Cabrières-d’Avignon(84). 5e prix : Chantal Novelli,Bandol (83). 6e prix : MarionGivaudan, Marseille (13). 7e prix :Muriel Raude, Ensuès-la-

Redonne (13). 8e prix : MichelineMarchand, Barjac (30). 9e prix :Karine Clynckemailie, Nantes (44).10e prix : Suzanne BerramdaniLe Goff, Nîmes (30). 11e prix :Nathalie Vaucheret, Arpaillargues(30). 12e prix : Bertrand Carrière,Nogent-sur-Marne (94). 13e prix :Frédéric Lefol, Gassin (83).14e prix : Clotilde Augot, Paris(75). 15e prix : VéroniqueCossalter, Tournefeuil le (31).16e prix : Daniel Simard, Nîmes(30). 17e prix : Monique Letty,Paris (75). 18e prix : ChristineBataille, Perpignan (66). 19e prix :Eveline Ribeyrol, La Rochelle (17).20e prix : Eric Vaucheret,Grimaud (83). 21e prix : Francine

Micout-Gence, Marseille (13).22e prix : Danièle Cukier, Draveil(91). 23e prix : Béatrice Testet,Clermont-l’Hérault (34). 24e prix :Olympe Quinta, Toulouse (31).25e prix : Christine Vilaine,Chatenay-Malabry (92). 26e prix :Co r i n ne Can t eno t , V i e i l l e -Toulouse (31). 27e prix : AmélieBarbot, Sanary-sur-Mer (83).28e prix : Roselyne Guegan,Rennes (35). 29e prix : NievesLopez Gonzalez, Saint-Genis-les-Oll ières (69). 30e prix :Colette Ripley, Marseille (13).31e prix : Catherine Gauchon,Sainte-Foy-lès-Lyon (69). LES LAURÉATS SE VOIENT ATTRI-BUER, en fonction de leur classe-

ment, carreaux Carocim, cous-sins Baobab, nappe, servietteset accessoires Artiga, table enlave émaillée Alain Vagh, transatsLes Toiles du Solei l… et desabonnements d’un an à MaisonsCô té Sud . PR IX CATÉGOR I E

PROFESSIONNEL : Henri Quinta,Perpignan (66). PRIX COUP

D E CŒ U R D E S V I S I T E U R S :Chantal Novell i, Bandol (83).Elle reçoit : deux mètres carrésde carreaux de ciment Carocim,mélange spécial patch ; unejournée de formation pour s’ini-tier au béton ciré au Centre deformation Vermillon aux Milles,près d’Aix-en-Provence ; deuxcoussins et un paréo Baobab.

Tous les prix sont consultables sur notre site www.vivrecotesud.fr

Dans notre n°128, nous proposions à nos lecteurs de décorer une assiette en carton sur le thème du Sud. Lesplus réussies seraient sélectionnées par un jury composé de professionnels de la déco. Sur les 380 projets quinous sont parvenus, 83 ont été présélectionnés, 62 ont été exposés au Salon et32 ont reçu un prix. (Certainesassiettes, pourtant très jolies, n’ont pas été sélectionnées pour des raisons de faisabilité). Par ailleurs, sur le Salonmême, le public était invité à voter pour son assiette préférée en participant au Coup de cœur des visiteurs.

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Et vos assiettes primées

Ci-dessus, premier prix :Fred Secall. Ci-contre, 2e prix : Nancy Grün.Ci-dessous, prix catégorie professionnel :Henri Quinta.