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EHESS Une étape: La XIe Conférence internationale de Sociologie religieuse Author(s): Henri Desroche Source: Archives de sociologie des religions, 16e Année, No. 32 (Jul. - Dec., 1971), pp. 3-8 Published by: EHESS Stable URL: http://www.jstor.org/stable/30195943 . Accessed: 10/06/2014 22:18 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . EHESS is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Archives de sociologie des religions. http://www.jstor.org This content downloaded from 91.229.248.162 on Tue, 10 Jun 2014 22:18:42 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

Une étape: La XIe Conférence internationale de Sociologie religieuse

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Une étape: La XIe Conférence internationale de Sociologie religieuseAuthor(s): Henri DesrocheSource: Archives de sociologie des religions, 16e Année, No. 32 (Jul. - Dec., 1971), pp. 3-8Published by: EHESSStable URL: http://www.jstor.org/stable/30195943 .

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Arch. Sociol. des Rel., 832, 1971, 3-8. Henri DESROCHE

UNE eTAPE

La XIe Conference internationale de Sociologie religieuse Opatija (Yougoslavie), zo-23 septembre 1971

C ETTE XIe Conference internationale de Sociologie religieuse aura dtd

en fait sinon une premiere, du moins une avant-premiere confirence internationale de sociologie des religions. L'association de ce nom, fondie en 1948 pour promouvoir de telles rencontres, s'dtait en effet rivhlde (1) comme rassemblant d'abord des thdologiens et des sociologues catholiques dans leur rdflexion concertie portant prioritairement sur le catholicisme. Cette prioriti se conjuguait au surplus avec une primautd donnde aux tra- vaux de sociologie pastorale. Peu a peu, cependant, cette plate-forme s'dtait blargie pour ouvrir la voie a un universalisme tant dans les domaines itudids que dans les mithodes d'approche ou m~me dans un recrutement interconfessionnel des (( confirenciers

). D'autre part, une autre < internationale ,,

celle du sous-comit6 de sociologie des religions auprbs du Comiti directeur de l'Association inter- nationale de Sociologie (International Sociological Association), connaissait une ivolution complhmentaire. Dans le cadre des successifs congrbs mon- diaux de sociologie (2), elle avait certes trouv6 & insdrer vaille que vaille sa propre plate-forme de rencontres triennales, puis quadriennales, pour tous chercheurs de toutes obddiences, mais cette plate-forme n'dtait pas sans &tre menace d'drosion dans la grande foire intellectuelle de ces mani- festations.

(1) Ire Conference internationale: Louvain, 1948. Puis: Louvain, 1949; Brida, 1951; La Tourette, 1953; Louvain, 1956; Bologne, 1959; K6nigstein, 1962; Barcelone, 1965; Mont- rbal, 1967; Rome, 1969.

(2) 3e Congrbs mondial: Amsterdam, 1956; 4e: Stresa, 1959; 5e: Washington, 1962; 6e : Evian, 1966; 7e : Varna, 1970.

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Enfin, un nombre croissant de chercheurs se trouvait Stre de fait partie prenante A l'un ou A l'autre de ces internationalismes, la C.I.S.R. ou l'I.S.A. Le fait que cette XIe Conference se situait A Opatija en You- goslavie, le fait surtout que son organisation, par un secrdtariat gindral sidgeant en France (Jacques Verscheure), se conjuguait A la coopdration de deux centres yougoslaves, l'un(3) plutSt de rdfirence ecclisiastique et catholique, I'autre (4) plut6t de rdfirence universitaire et marxiste, con- duisait au surplus A escompter non seulement une coordination entre les deux filibres pricities, mais aussi avec l'importante filikre dite des ( insti- tuts des religions et d'athdisme prdvalant dans les pays de l'Est. Les dernibres ann6es, en Yougoslavie, ont en effet, sur ce terrain, de plus en plus substitud des kchanges ou des concertations A ce qui avait it6 trop longtemps ichauffourdes ou anathbmes.

Ainsi, A ces grands courants de sociologie des religions, diffirencids par leur gendse - confessionnelle, << inddpendante a ou marxiste -, Opatija pouvait apparaltre comme une grande premiere occasion de rencontre A ne pas manquer. Premiere, en effet: car il ne s'agissait pas de prendre rang dans la suite dejk longue des < dialogues a christianisme-communisme, dialogues dans lesquels des reprisentants plus ou moins mandatis de ces deux << ismes a se mesuraient pour expliciter leurs antagonismes ou esquisser des retrouvailles, en l'absence de ce tiers exclu qu'aurait pu Stre une socio- logie sans mandat pas plus de Rome que de Genbve ou de Moscou. Beau- coup moins spectaculairement, mais aussi beaucoup plus fondamentale- ment, entre chercheurs pratiquant tous le mame metier de sociologue, quelles que soient les variantes d'un tel mdtier, les varidtis des dossiers, les variables des hypotheses et les variations des idiaux ou iddologies sous- jacentes, il s'agissait d'explorer, dans la confrontation ou l'affrontement, chances et risques, portie et limites d'une 6pistimologie, d'une ddontologie, et peut-8tre d'une axiologie, qui soient malgr6 tout communes.

Il est sans doute trop t6t pour tirer les legons de l'opdration. Ces quatre journdes ont 6td trop denses, les chassds-croisds trop multiples, le thbme trop vaste, les reprisentativitis trop inigales, les dossiers trop minutieux. A travers ces quatre journies de session intensive, trop de messages ont 4td 6mis pour Stre regus aussit6t selon une m~me signification A l'imission et A la rdception. Et d'autre part, le dispositif de / free sessions a simulta- ndes, entre lesquelles il fallait bien choisir, n'a permis A personne de dominer l'ensemble. Des dicantations et des assimilations seront nicessaires, et seule pourra les permettre une lecture, au calme, de la documentation collectie (5).

(3) ( Present chr6tien *, de Zagreb (< KrZicanska Sgdalivjost ,). (4) D6partement de Recherches en Ath~isme et Religion de l'Institut de Recherches Sociales,

a l'Universit6 de Zagreb. (5) A commencer par celle des communications 6crites dbposbes avant congrls et recueillies

dans un volume (18 textes frangais, 13 textes anglais) : * Actes de la XIe C.I.S.R. a

Opatija (Yougoslavie), Septembre 1971: Religion et Religiositd, Athisme et non-Croyance dans les socidtis industrielles et urbaines ,, Lille, 1971, 578 p.

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UNE ETAPE

Sans vouloir entrer dans le ddtail des huit sessions plnikres et encore moins dans celui des communications libres, on peut tout de m~me relever trois traits a l'actif de ce diroulement.

1. Le premier aura 4td son oecuminisme scientifique. La liste des participants put exciper de la prisence de quelque 210 personnes apparte- nant ? 23 pays. Le tiers environ de cette participation 6tait naturellement assurd par le pays h6te, la Yougoslavie. Et, d'autre part, on a pu regretter la faible reprisentation des pays du Tiers-Monde. Ii n'en reste pas moins que, du point de vue des communications prdsenties, un rdel dquilibre a permis d'dvoquer et la diversiti des religions, et la diversiti des aires culturelles et gdographiques, et la diversit6 des positions et des tendances, y compris , l'intirieur d'un m~me pays comme la Yougoslavie. De ce point de vue, le titre m~me de la confirence a 6td ddbordd, puisque les ccsocidtis industrialisdes et urbanisies D ont 6td doublhes latdralement par l'impor- tance accordde aux problimes de l'urbanisation ou de l'industrialisation ailleurs que dans les socidtis occidentales. Les rapports sur Ceylan (F. Houtart), sur le Japon (Morioka, Calderola), sur l'Australie (H. Moll), sur le Brdsil (A. Gregory) dtaient tous de nature a plaider pour une oecumd- nicitd contre ce qui aurait pu Stre un europiocentrisme. Pour l'Europe mime, une sdance consacrie B un groupe de recherches occidental (G.S.R., France) itait balancde par une autre sdance liant une gerbe de recherches en Europe de l'Est (Yougoslavie-Pologne). L'approche thdorique (une autre sdance) s'dquilibrait par une prisentation assez intensive d'enquates empiriques. Aux d6bats sur la < sdcularisation a pouvaient faire pendant des analyses sur la spicificit6 du phdnomhne religieux. Enfin, A la pluralit6 des domaines s'ajustait le pluralisme des mithodes, et de celui-ci se d6ga- geait en particulier l'dmergence de la math6matique sociale ou de la socio- logie historique.

2. Le deuxibme trait tient A l'atmosphbre, on dirait volontiers & la discipline de laboratoire, qui a su Stre maintenue dans une conf6rence qui aurait pu si facilement glisser sur la pente savonnie des diatribes ou des dithyrambes, des propagandes ou des prddications. Plusieurs dispositions y ont contribud. Les textes dcrits de la quasi intigraliti des communications avaient dt4 livrds dbs avant le congrbs entre les mains des participants sous la forme particulibrement ilhgante et manipulable d'un volume broch6. Un rapport oral d'un outsider les prdsentait tranches par tranches en formulant remarques, objections, critiques auxquelles les auteurs des communications pouvaient opposer leurs rdponses ou apposer leurs com- mentaires. La discussion gdndrale embrayait alors sur ce brain-storming. Assuriment un tel dispositif n'est ni sans lourdeur ni sans alhas. Mais il coupe court au double emploi d'une lecture et d'une audition d'un meme texte, catalyse la discussion et les 4changes, aseptise le tout contre la contagion des morceaux de bravoure ou des ddclamations. De ce fait, si cecumdnisme il y eut, il ne fut aucunement polaris6 ni par une confession ni par une iddologie, et il serait invraisemblable que quiconque ait pu 6prouver la gene d'etre pidgi dans une captation ou une ricupdration. L'envers du dicor est certainement le dessein encore vague des contenus ainsi dilimitds. Mais au-delk m~me des contours, il y eut l'apprentissage

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d'une forme, d'un genre littdraire, d'un langage: le langage du labo- ratoire.

3. Un troisibme trait enfin peut $tre relev6: celui du potentiel de sociabilitd qui semble avoir 6td vicu. Pratiquant une demi-douzaine de langues, nourrissant une bonne demi-douzaine de contestations croisdes, une telle confirence pouvait facilement devenir une petite tour de Babel. Elle ne le devint pas. Il n'est pas sir que pour autant elle ait digag6 un systkme d'iddes, sinon les iddes nombreuses fastueusement assign6es A l'une ou l'autre des rencontres futures ou les projets partiels mfiris dans les couloirs. Mais en elle semble s'8tre ddgag6 un systhme de forces, celles qui ont 6td prdcisdes dans la fete que fut malgrd tout ce travail. Mer et soleil d'Opatija en 4taient certes les officiants, davantage en tout cas que la cuisine autogestionnaire ou la surpopulation de l'h6tel. Il n'y a pas eu non plus de cultes, sinon un micro- ou un para-culte de quasi possession oi, selon le voeu d'Harvey Cox, certains burent joyeusement (( la santd des trois filles du temps )) : la mdmoire qui rd-anime le passe, la conscience un peu ddlirante qui c4l1bre le prdsent, et l'imagination qui adjure l'avenir. Mais sous cette c6l1bration spontande, courait en pointillhs la visitation d'une solidaritd, d'un humour, d'un sursaut qui font la joie de vivre, y compris pour les hommes de science. Au surplus, m~me si personne n'est en mesure d'additionner les rencontres, tractations, connaissances ou reconnaissances qui ont 4td le fait de ces journdes, il est certain que cette addition d'images ou de sensations n'est pas sans avoir jeti les bases d'un associationnisme A suivre.

Si l'expirience ne se solde pas, comme d'aucuns l'avaient peut-8tre espird, par une unification des (( internationales

) en prdsence, une telle

unification se laisse ndanmoins entrevoir sous I'accolade de ce qui pourrait Stre, A plus ou moins brbve dchiance, une Association Internationale des Sciences Sociales des Religions. D6jA cette XIe rencontre aura 4td pour la C.I.S.R. le temps et le lieu oh parachever sa mue: celle du ddpirissement de ses postulats eccl6siastiques dans le franc-jeu d'un cecuminisme mdta- thdologique. De cette mue timoignent ses nouveaux statuts (6). Il est curieux de constater que leur ridaction aura 6td blaborde sous l'hospitalitd d'un pays qui se trouve aux prises avec sa propre mue: celle du dipdrisse- ment des corsets 6tatiques dans le libre jeu d'un socialisme A la recherche d'un fonctionnement libertaire.

DijA, moyennant cette transformation, des centres yougoslaves envisagent de ratifier leur adhision. DijA, le Comit6 international de l'I.S.A., en la personne de ses prdsident (N. Birnbaum) et vice-prdsident (H. Moll), a tenu A apporter A cette plate-forme la caution de leur double prdsence active. Nous-mfmes, dans cette perspective, avons tenu A assurer avant, pendant et aprbs ces journdes, notre entibre et m~me parfois harcelante coopdration. DejA, on a envisagd d'un commun accord l'organisation

(6) Voir Annexe 2.

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UNE ETAPE

conjointe des prochaines assises, peut-Ctre a l'occasion du prochain et ultime Congrbs mondial de sociologie a Montrial, en 1974. Ce n'est un mystbre pour personne qu'un tel congrbs mondial est devenu trop volu- mineux pour $tre opdratoire. Une association internationale de sociologie ( religieuse ) ou ( des religions a ne serait-elle pas de nature A etre plus opd- ratoire en 4tant moins volumineuse et plus cohdrente, surtout si sa plate- forme s'avdre A la fois assez rigoureuse pour limiter le genre commun et assez irdnique pour fiddrer les diffdrences sp6cifiques de son membership ? De ce point de vue, Opatija Ctait un test. Dans ce test, un essai a dtd validd. Cette validation permet de parier qu'un tel essai ne ratera pas sa trans- formation en un but marqud compldmentairement par la science sociale, l'internationalisme et l'cecuminicitd.

Henri DESROCHE

Annexe 1

TABULATION DES PARTICIPANTS

Conference d'Opatija: 211 participants, 23 pays. (1tranger: 18833 - Yougoslavie: 78)

Afrique du Sud: 1. France: 26. Allemagne Ftdlrale: 6. Grace: 4. Angleterre : 6. Hongrie: 1. Australie : 1. Irlande: 1. Autriche: 9. Italie : 24. Belgique: 20. Japon: 1. Br~sil: 1. Kenya: 1. Canada: 5. Pays-Bas : 4. C6te-d'Ivoire : 1. Pologne: 5. Espagne: 8. Rhod~sie: 1. Etats-Unis : 5. Yougoslavie : 78. Finlande : 1.

[Conference de Rome, 1969: 105 participants, 14 pays. (1tranger: 47 - Italie: 58)]

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Annexe 2

NOUVEAUX STATUTS

Quatre modifications importantes par rapport aux statuts de 1967, proposdes par le Comit6 ex~cutif et l'Assembl~e g(ndrale & Opatija, ont 6t6 votbes par les membres de la C.I.S.R. (appartenant i 47 1tats) A la quasi-unanimit6 (3 abstentions, 2 voix contre):

a) L'addition que le caractbre de l'Association est a scientifique )).

b) La suppression, dans I'objet de r'Association, que les membres doivent $tre a intbress~s au progrbs de la religion >. c) La suppression que le Comit6 ex~cutif doit inclure au moins deux catholiques

romains et deux personnes membres d'autres Eglises chr~tiennes >. d) Une nouvelle rddaction sur I'objet de l'Association :

1967

- L'Association a pour objet :

a) De favoriser les contacts personnels et les 6changes d'id~es et d'informations entre des sp~cialistes en sciences sociales int~resscs au progrbs de la religion;

b) D'organiser p~riodiquement une conf6rence internationale de sociologie religieuse.

1971

- La C.I.S.R. est une association de caractbre scientifique. Elle a pour objet de faire progresser la sociologie et les sciences connexes, dans l'analyse, l'interpr~tation et la syst~matisation des ph~nomenes religieux ou en rapport avec eux.

- Pour remplir son objet, l'Associa- tion privilkgie les deux modalitls sui- vantes :

a) Favoriser dans le monde entier les relations entre sociologues, et plus g~nbralement entre sp~cialistes des di- verses disciplines concernbes par l'objet de l'Association;

b) Organiser pdriodiquement une Con- f~rence internationale.

Le texte des statuts (soit en frangais, soit en anglais) est envoy6 sur simple demande au Secrbtaire g~n6ral de la C.I.S.R. : J. VERSCHEURE, 39, rue de la Monnaie, 59- Lille (France). De m~me que l'Annuaire des membres de la C.I.S.R., 1971 (15 francs fran~ais) et les Actes de la conference d'Opatija (65 francs frangais).

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