VINGTIEMF,ANNEE. - N" 7.928

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internationalee

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SOCIALISTERédaction et Administration 56. Rue Roqueleine - TOULOUSE - Tu, o-43 - Compte Chèques postaux 5.277

BUREAUX A PARIS 3, Rue d'Amboise. 3 (. Arrondioement) Téléphone Cenool 09-08

25 CENT.

. ji so . monts étranger. Le fait sent do vis an Publisi sot" ealMaroueo d'écu"lire et tranmillor en Prame chan- frais, des cets gui, en réalité, ont été UNE PARODIEt ,organisation economique

ngérait donc leurs q.lités . dé- conserves artellement par .mute, leur utilité en nuises., moyen quelconque.leurs vertus civiques en passions _2_1! lampait

ea,,,,iri,;;,,erez,,,,,cre

risit'eurdil.is-ajAt dgrup"ti'"I'fers,...1.rn"sit 010010001,

au contraire, il n'est La sensationnelle int ormsfson 1mettre qu'une si factieuse m'étamer- Pi" filtMet"

V

al" " " "ne."' à En aver-vous pris connaissance ?{Mose s'opérerait Oben uns religieux CI"eeienni eese 't,I,Ilet eéieé"eruidrà:,,aala'ie Ne vous a-t-elle pas émerveillé?et uog religions. dna Meils lall. u, a Po. nuralt-elM echappe par hasard

Léon JoUltallx publie dans le Momeemmd écononifque in- ,,,,,, , i,, am. ae , pg_ long dans rpp armd I prtee, mn,Ira dideculté de définit réent fram Souffrez., que je vous en reproduise la substanee :

'ferrational un article qui retiendra l'attention de tous les mili- trie? » n Le Gouvernement, depuis son avènement, c'est-a-direSiandement ai fortement raison- d "III'M'à IIIdgeâ " I"e l'ad..hd.-ï.b. .tion de ibglem denter la vente es

Le awaaire de la G Cl. T. s'y occupe ,de la Conférence Seo- n'I" IKIII à qu'i. à 3.' eà"t. à° f"'' par utt deern analogue à celut dt'Ptfis M mois d'..Ût, a pris une centaine de décrets-Mis, quino do rainottnemoà, 5IntMe tN" du 29 mars 1924 qui régit /e. co. sont entrés en vigueur aussitôt après Mur publication. Le Parle-

eamique prochaine. On sait qu'il en est /e véritable initiateur messiresLor.y_senno, 0,hariag Rimer, latence dra lait et des

p

pimduits de la. . merd va élre appelé à Ms ratifier dès sa rentrée, c'est-à-dire

en en tançait ridée dès septembre 1924 it rassemblée de la lielamard, Lel., Georges Du- omis la detmeme qutmenne cm potiner.is. D. N. Il a pris, aux travaux. pas poires une art narei, no savent-, Del., erurlmout ^ --'-." -- - '- -I-- -ofd

les jouaseaux do droite- interPrêtent ijd,'-9»,,,,,',' .UTee'Ziee'Veje`o. Za`g'sd. N'est-ce pas rulmirable ? Et ce régime de délnocredie parle-ée C nul n'est plus qualifié que lui pour nous dire ce que dein 'leur POidttn

qU , t

e Va-b.. ... bunaus de nondamiter ce. qui trout mentaire ou de parlementarisme démocratique ne vous semble-.s>otts pouvons attendre de ses délibérations. IIII'll.rer "ITà.° '' o. la. le'.,l'' III'II t raelleleer dans la nen" des t-il ps proche. parent des proce'de's de mosiiert Mussolini ou de

Personne, parmi /IPS camarades, n'aura Sain doilte. Vint,. I bé,, irali erle sot .m. o, tuF0eOG ' tteve, et:et:eue dee, eelle e,

sien qu'un programme d'ensemble puisse, surtout en ce qui Platressive des lois Ferry. sur, ré- marchandism. Le tout est vue l'ache- tnossiett Primo de Rivera?rép.reition rojemene deà ràsnp, premières , Jusqu'a la lm Brand aur leen te. ne se refuse pas Mi-même à fa- Voilà des mesures qui sont déjà eXéClitées, OU en -voie

se, abrogatton quo eo cessent d° aller l'aellar° d° le j'est.: Il est, eu en bonne voie - of ra,ération ; dont la mise en vigueur a provo-ja main---dee.'ro, être anylique Mut d'une piène et sans délai. reetamer tout te cleaga. tonie le Fmace, el débonnaire t Et il lui ar-

,

Personne non plus, sans doute, n'imaginera que la Conférence cléricature et tous tes cléricaux0 rive si souvent de faire comme. ce On,' ,M véritables petites révolutions locales, et de ci de là desOn 10 croiliavit a ordendre ic Lo persormage de comédie qui, nye. été déménagements assez emtsidérables, et que ton na soumettre

.éC91100/igltà internationale puisse sortir un. plan toMI immédia- Gaum, s, per exempte,. féliciter battu, se dada. tout de même eau- à la relification du Parlement, Mrsqtr'il n'y a plus possi bil ité deCern oit et simultanément applicable par tous les gouverne- , L'Alliance Frarrçaise ri d'avoir lent. les repousser IMenas et par tons les gouvernements et par toin les pays. » Ces don,» son aimai°n g Faille ae.

I conclusions réalistes sont amplement justifiées par la corn- q grands muter:glaires o. Cette fois, g. ,I e rese

ematê même de Io tâche à aceolnplir. Elles sont m, pm 'om l.it le titre Preolame , No.e un rage anglo-amériLa plaisanterie n'a rien de savoureux.

cain La dig t l p tig du Parlement n'y gagneront rien.re, o! u u's e s'iss

la conséquence nécessaire de la règle adoptée pour la connio- à,,It 0"gle.,d"nupkgre V 1h! ficht n n Pourv q il n y enl tut pu définiti-

sition des délégations. Les gouvernements ne seront pas repré- virer- 90110 osons n000no ro ie Londres. 4 ranyier, _ selon rod.. cernent !

sentés directement, au se. diphn,,atique da mot Cham, d'eux emernetnent saura traduire par ficieux. c Daily Teslegraphe ii, il est Parmi Pe.'s décrets-Mis, figure celui qui réalisa la préMndue. . . , jii

désigner cinq porrrroard,,no 00111 paleron, sons odeir..t,o,c.,nrct,fmo, nuenj si. po.. de penser que l'appel lares réforme u DeirlitritarliCDIVe el ualcunre, contre laquelle protes-cévar . earst, en ur e a renienes és s rrons

leur responsatil oplié prre, sa. engager leur pays. Les déci-te

re"? gardai mOnntennt Itè PI' "..15niM

nnH fave d l M t v olemm t l déput de tous le a dissement pii-

d "n étneie natIn I" cés e ri on e ous-ré, e oriédo. prises ne pourront donc avoir que le caractère de %mus: fesseurs . ta Sorbonne st du Gots ats-Unie, la Grande-Br

d t bunal d s p (et dest-iedir la maj t desetagne et

tott de recommandations dont ensuite les Etats participants mse de Franco : nous commenoongi ks pa,,,,,,,,as acarmatnas. q se..tiendront le compte qu'il leur plaira, et qui aboutiront peut- ànruimlrr qu'on ne voue rirêne. , ig sinsarion de plastaa, hum'

'être à des conventions, mais ne pourront le faire qu'et la suite beau..? trop Min, plus loincertainement Mue ve. . vont>,

ion arumrItoon

de conférences nouvelles ou de nouvelles recommandations. aiter... te-muent être bien accueilli parMais si les résultats 014..9 ne peuvent ainsi avoir un na- M. Coolidge. Il convient égale-

ragtime définitif, faut-il renoncer pour ce/a à leur donner unIL des MINISTRES reermsecrat27%t,caractère général? Jouhaux ne le croit p., et Pots ne petit CONSEIL, à

mon sens, qu'approuver ses raisents. L'expérience à montre', àquel point toutes les parties du problème à résoudre, celui de

In reconstitution économique du inonde, sont étroitement liéeset combien il eut vain de vouloir résoudre quelquesmnes desdifficultés présentes si l'on néglige la considération de totttesles autres, Les stabilisations monétaires ri00 poursuivent cocomanient presque tous les pays éprouvés par la guerre - d'aprèsdes méthodes diverses et avec des succès variables - seraient-elles bien solides si /e é nationalisme économique a continuaità détraquer Im échanges et à isoler des économies nationalesdont la-stabilisation a pour condition autant que pour obj etl'étroite interpénétration? Et est-il n'aiment possilde, dans lemonde actuel, de restaurer un réglisse normal d'échanges sun- P smt égaiement ..tretenu, du pro-,Mentent en abaissant les frontières douanières sa. assurer du ors mn de production neje:sate quit g, dfin rAa,km.

sera minois l'approbation dtr Par-; Id nnui Lu uug : um lungm' èm e coup une répartition rationnelle des matières, Premièreset de /a main-d uvre. M. Boltancovdd, trdnishe du LA LIGGE

Ainsi done appmait une doldole vérité t on ne peut Mou- 'lloeee°,10.neelrilrIrloInsterrooer =Ce» nEs miens DE. v,,,,,,EBr tout de suite et il faut préparer une solution d'ensemble. ment d.atit'le'Chambre sur le 'tarif demande qu'elle soit assuréeC.tomment pourrait-elle être Pieuvre de colderenees successivesMd ne se rattacheraient pas étroitement l'une à l'autre, dontles travaux ne seraient pas soigneusement préparés, d'après des-vues d'ensemble? lei, comme en toute autre matière interna-tionale supposant un effort prolongé, on découvre la nécessitéd'une organisation permanente solidement constituée et pour-suivant sa tâche dans un esprit de continuité. IL faut un Con-

dépt! es.C'est du reste la seule n réforme e dont puisse se vanter ce

trio d'impuissants Poincaré-Barthou-Sarraut.Vad-on la ratifier ?Eh! parbleu ! Qui peut en douter 7 Tous ceux qui la criti-

quèrent, gni s'en allèrent chez, les ministres, en suppliant, ouqui extériorisèrent bruyamment leur coiere, tous ceux-là, enséance publique de la Chambre ne diront rien, et voteront laratification.

Des eunuques, vous dis-je.Les voyer-vous, refusant obéissance aux maîtres du jour ?

Les voye,coas, se joignant nous, pour signifier au Cabinet

MER.Ç,REDI 5 JANYIEJI 1027

Moue verrons bien si los nolleollquesfrançais devrouno.st 584$50 pao.ueteu quefour pape.

Ors nouvelles perspectiscs de laPares, 4 janvier. eeeiuiseers Wfaison Blanche et du (MG..."

fie sont réunis ce matin, à l'Ellysée, ment d'Eut am les silanes euro-se. la prendrienne de M. Dox.ergite. aé.apaas

PIM. Briand, Barthou et Painieve, bei, Toronh »o de»

tesnAsde Paris, n'ametaient pas

,sooselconciper que st le aune:1,e InspuMeur de la reforme est dendele,Le conseil s'est entretenu de la re,aaa apijgapja.as a, In, GagmkEtr,ra. convena it d'en étudier, uni cM l es fixer, l es morm.LeSI Pt

des projets dont O demandera Fins-. gne acceptées en conformité du .110,, locales à cause des profondes perturbations que cescriphort attendre du jour de Sa Cham.; covenant de la D et de Lo-transformations fatalement provoqueraient ?

nnnpo.b,ilit6 Les noyer-uons, refusai-d sur ce point, tu confiance au ;

d Indu "' elele I Golmernement ?communes, latubermilose bovine,

onCar lions pensec bien que POillearé va poser lu question f'ee'sta création en. caisse d'avances aux' re aénone

de confiance. El plutôt deux fris qu'une !Le Gouvernement renversé 1 Abomination de la cleAsola-

lion ! Qui done en pourrait prendre ler responsabilité, si ce n'estces malinois français qu'on appelle Socialistes et qui ne sontpas satisfaits de voir descendre la valeur de la livre, sous pré-texte que tout le reste augmente ?

Une crise ministérielle ? Mais alors, c'est la réaction ^.`'.

finement écartée ! C'est le pouvoir redonné aux radioaux qui -

ne te veulent pas pour le montent, parce qu'il y a trop de dan-gers à l'exercer !

Pets de ça !Tout, plutôt qu'une crise.Que ill. Poincaré foute,,' qu'il voudra. Tant qu'il ne nous

lichera pas dehors, nous l'approuverons.Ce West yu pour lui que nous l'aimons, ni pour ce qu'il

fuit. C'est par frayeur du sort qui items est réservé, eit partaitavec toute son escouade hétéroclite.

Ainsi, parlent ainsi pensent, tout au moins tous les t'éludésde la majorité.

La ratification des décrets-lois, n'est donc qu'une fortnalité.A proprement parler, c'est une parodie.Cest elle qui urt notn, donner la mestire dr l'aboulie de la

"najorité et da e chiqué » de ses récentes protestations.C'est elle qui Pet révéler à quiconque réfléchit, la similitude

du régime poinrariste et du régime mussolinien, tous deux im-posant au Parlement tous leurs caprices. le second DD, desmanières brutales, le premier avec plus de formes et de poli-tesse mais tous deux avec une égaM désimmittrre et un égalmépris des mandataires the peuple

QUATRE CANIMDATSà le

PBESIDENCE DE LA CHILIMHE

FERNAND POUMONDéputé U, Mareeilie

Sacialiate

Id LION PCCDéputé dei Là..Dadicai drs s '

dm douanes., La Ligue des Droits de l'HommeM. Le. Ferrier, ministre des colo. communique la note suivante

Id"' d' fuit .Ied" I'le Ir I'"edere droit de tente dm retenions2 ePi : te<Yeien% ds.gura:','In 'e ,,2,.'cr- ' P,b' is.' d'Yfoi eu, : '

itiô. ,oouiae ineetio.i. e ,,,,à, .à. ààd'U'ààs, d"IIT'àx er10001 arrêtent l'organisation tr.L.I.ufeelre-s, .Ill,t Itun d. dr.' 0

trots du atterrit dans une dé-. marrane. Mats, 11 ne suffit pas de

Soitpé:corserai...1ed

Internlational dOnt réent.° pourrait être d'au- proclames. la liberté dmyéline on; il

des conseils économiques qui suis:coust6uélit/en, duos nombre grau- ta itloyalité commfrciale "er.';',"',, z' de, -..,,, .,,,tant lus fécone q serait sur le modèle général. .

'dissent de pays, et que les nombreuses organisations teehni- à 0. i..abo.tien systématique,::ques de- la S. D. N. et du B. I. T. pourraient fournir une part LES FRAUDES DIT LAIT .dr. riumossibtliti de se faim ens

importante de ses éléments. DE8 0-connuser "ES octaveteidre. La loi no donne â oes tu-Aucun prad-uit alimentaire .n'est tnnitsg amuit,' sanetion qua is ais_

La question est Mimportanee et mérite d'être discutée dans Irisaid'auSsi n'équeutes fsladlea- solution de la réunion. L'autoritéI es Orga1113flt1011S OUvrières. Il stafire pour aujourd'hui de tiens nue le tait vient anisi au amours des Ie..-ravoir signalée. Da. une poursuite en maigre de j.istaaas ai atstgbaa taa,., ag.

1510 c pour salon' s'il } G NU. LemenL. DE BROUCKERE. nronn,nno on ,rononn, on eonnnoeo Il serait southaitat. quo M Mi ré-

Dclégué de Belgique à lu S.D.N. Par discuter sur le nombre de vaches Re'rue4.."'"Ueiri'", 0àqat 0111 le.' elaet Li d'étable, Ste len, 1" fraePO 40Pai,nes de sttuPto Pit-race, sur leur âge,- sur l'heure de la , lie, Ito tIntnett, jj., la relatif. de-traite, SUT l'arimentatign, l'état de witit avoir nt °la" da fal. °an,

Le discours duN once L'esDion Stranders c',VuteCPz :U;àZlev'élt,-;`,',`, 1,.=.'',',',..`îe-''''''''''''' ''''''d.it ,, f. Lig. dee Moits de Ilion.°

Puis, la grande fraude établie, il ' a demande au genternement de.4. 51 rioassas, ,,es , is,sr's l_ordies, 4 janvier. bon! parcourir da série des tetenuattbiendre l'initiative lie nes morntrat:

i , à, te menee par 1 oc t' g" le timmes pour encrer. l'auteur ou lesImotactrice . la liberté. 9gs ,,,,, , p,..,,,, aj a ,,,,, ,,,,. sur l'affaire de \titi. &rende-m. auteurs du délit

l

Léon lit,DELLE.ceed que e tacot:Tl e gr reh0,,e eld --tue e Enera - ,

de 04. A,ede ,tte, Il tr,, ete,et yeti,. .d.,i,,,,,,,a .Cets, mourpêche évidemment Ints.bien le Vatican à la .5. D. PL au service de rAJlelea.gne, a pris r;,Acê,:,..aielt2.0','Întry't:eur e>re..., D'APRÈS LES MINISTRESthi. tus plus Min finmeetnnte al. un développement inattendu. gurde 1.985, dont certaines à sis .

locution pro... Bien â IIDlys. Au <tan' de la ieulmée de yen' mois de Prison st Plattenrs "illicnnP. le noric9 en sa q.lité de do- d.di dernier, des polictem ont de .fraa, cramendg qat, aaaoieêai 1- ,yen du corps iiiplorreatique. perquisitionné dans une maison par io nouveau ceeffictent fiscal,!

nul, en on chaleureux tangage, un tIdondreit et ont saisi des &tett-.(l'et, du, peint de vue intornaties de Brixton, dans le sud-ouest de aboutissent à un joli Mill.

ce.

.t n y a pas de chômage Le château de Mirahal411mmage éolatant mindu à le From- ments dont certain- étaient écrits 4,.,,, ja iaa, si ,,,,,, ,,,rapaptionsi. ------

attà efforts "convint, Par elle en anglais, d'aunes en attenrano. ee Innove, cruelles fraudes constatons- 4 janvier. ._ Mat APsert Sarraut. qu'on a enregistré la tolus forte domande g .p, as. La train de n'apaise --."'"----...A Sein et ms, s, '. '. à -8f.ell° In laseifiontlen d. Pe uplel. On leur attache asses d'Ulm...ni nom ? En premient i m 1lietl, ..q1s....Ce-,minieee de rIntirtour, et Ts,di,,,, min, et Ie nonybre ne dépasse:Pas .4..1)1' fco. en gare de Saint-Girons. De rebat ettuaror te ,01.1.1 la!Notre pay, q ëni. st ,,,,,,,, mos., ce, car les kttres écrites en alle- fion par addition . margarine, et,' trc êss Trays.s. troblica, ont réom les re- les miros, a ensuite fart une rapide lepPd audelllOn3, Pendant le guerre et mend ont été portées au ministère suite t'emploi de conservaient, in- arasootsots data pcossopom leu tirdignor ru,, dna .05,11005 nef kt rus 005 à'Ir''''' .St'e'onitts'e'..ttri'élssalor5fit'guritrêi'oru'imo'dt'll'IraIa... 'eigettentait. Et nous partons?depuis la victoire, nos taiversairm d In nneno n, do nodnennn, Miels et la fraude par addition rétst erset de la crise de ahossass. eme op les ingénieurs en chef dao déport, ,,s., ,,,nr_p pleporjugan. ,tes -Os ,,,. ,,,,,i:,,,,,,.,a.,,,, ,,,,,,,,,,..',.stcuè U-ak..iant si voimmess, e si li . 1..,,, ddeenr.., horrn. ,r,,u. diver/es inforrnations de presve renrésen- mer. II résulte des rensehmemetne foc.souvent, taro nous gourmes Peureux hau.,.e, 1, m,a,. or, Pour contbaltre ln falsification du tom oomme très irevootorne , tli ces rapporte iCla on profite pour Mire I. pro-

jetsautr.t. qe fl.rpri. d'entendre . ootro., ér.nren, onirno le con» b.rre per addition de margarine, Il céanIto dm eaquems que mon collègue 1. Que Ie aharssas est insignifianb pour .....1.1...Y.1° °V°. 'an bdd r°,ade, d]°°- e.,,,..,.d'i.,,,dd°e,%,1,,,,,,,,,,,r7,1,;,4

one...1 leu'et'leedesab un'osti'->:'go'n4.0"er-nerrnetnre. ndr' 'tinuerq 0.e lem' retour rt'é'tuil dt'l ta détention, en vue de la vente, pte'serites dans tous les départements, a uv-- met., tel, ege.l.pere, I, Gord, ta Go.o. 9.mtent num die, Un Pan 'eut Ialre Er' tee' Il ià ell''''''III, e loi du 16 aVrii 1897 avaU inter- des nem. publics et moicrueine avons ne pas dire nal dans .nondee de départe- 1-11I Ill]0.1,,_

c,,,, ,,,, ,,,, , i.0.,,,0 , m. Aorno pas attendu avant hie, lundi.àré - tido Briand qua Mgr Alagnon° a licre'r's'deesPkt:ms'pC'ivaroirri'

Pn:

de deux prodnits coreurr.ts dans doré M. Alb. Smmot, ao, la annstion de, Flece, le Loi,,t, h H

memà

0, k froid par exemple, eu derpart de Mas D., et les roveurs Paccourent te/es mêmes locaux, bes néeeosités du n 0 traput nen truputetant et quelle Bos-Rhin !Aube, !Aude. te Cantal. la tablera, à 6 h. 19 lo tamile de Bous- Gliamrs-le-Ma. (l'orgueil dos Saint'.

toués particuliérontent, et partit.-de. aiarameat, a, sair,sy,aia. ,.... I . garde ut Is mais... a eutemps dg guerre (en 1010) ont uter: est hien lom, par exemple, de présereer Correm. le Finistère, la Haute-Leise, le se. n'était pas .très chaud. Giro.aist . admirant la premiarn

enct9n des (comma dora l'émbe retmlInte heu la Perquisition avec deu ins. détention cher leu commerçants de l'hiver 19204921. A part dem ou mois cem Moselle, FOPe. le Saencet-LoIre, la Vien-

ae.ge qui poudré do- blanc les vas-«mué t'administration à tolérer cette la siort. do Is crise qui avait nmeirtO L., Io Lovito. la !blasas, la Meurthem- Alors natio alio.?ça, Le on a raconté que le actions defnues sur ce em ds eu_ détail et seus eertaines garanties nor inGdortants, tel, que. Pariv, Lyon, Mar- ne, la Charente-Inférieure, oto.

tes assises du cirque . l'anal lire

Eatinau songeait h se faire rem& raient à fat a si ks deux individus ' me p i s ou. aines, sot o e mon . menra o. on 2 Qu l. e e none]. d es d as,as,as ss, ses,NOW/ passonS sur le vit. pont

e ,,eote à Gesteve, L'allocution «tuer cités plus brans revenaient. donmnMation bien apparente).cle mierinntovieelliMI,,alci,rureitlernur,i9êéegolitn.;

riftnon raIns smart ciad sur k reste du terri. à fait restreint dans quelques autres dé- navigaMes, de raids ou de chensins,de fe:. 33:1..e LC.°,1.11,,,, dé,,,,edd

gentes, croavenatt mituirablPment à Hier. un d e ces homme ts. sel- Ilmitis cette époque, la tourna., jar,. j,,, aaesse,t memccante muss les dé- ,,,,,le,1,S, tels nue l den (10) tL

Arnes 1. te a jusqu' présent, nous Ir a uneld1 lia eéré.menie etty ; ,,,", n'a p. cessé Hu projet de loi est panel-non. Cher (30.à 40), la Seine-et-Oise Mn le loin de ce chere. exit' aièoiet) es ...a. m.. terénekf

'' ' séeun'. EH' eût ''Ié. duh'IchIen' ee "'rivé à Hnt'wtc° M en instance &gant j. pi, ms,a,, catatscro cks T ravaux P . ...h m do cant a &encas travaillant M . .Allsert Sarraut a fourra ensuite anot mrvant de clocher. En' facc. dorgé "

lestement applaudie à-,n, sor,jefé de, e été pu ju,utà p,,,nues, Ila éte tranafeemer en un régime Med ou- blies, a ensuite indiqué qu'il avait 'Mame'. dms la dépastemhen't ne dépasse pas 700 0 ques prévistans sm 10 situation à Paris : l'autre côté du Sale.t qui roule oes

setflatter.. Ifais ce.

1000 d

qui jugent que, ensuite interrogé par les rolkie,o. veau, deus lequel 1...r:farine serait eloté suc ingénieurs o hn eoi do, trosom otsa 0-eh,.le the I250]. la Maine-el-boire la Ou cur, semellement dans ta casaale, eaux vertes sue ifit ilt-de sable et_,I:I. "ut°d inerte."là."" àtet,pa

Lcoarno,q

Des recherches cormilarnentairesaddrioant

itionnéed'unePliligatoirmsubstancenent

ar les nabi. dons los demi... PeGr lom thààle (250 chômeurs a Valence). . a-bil déolart. 13.000 chômeurs qui se dé-fl m d, grxximse,noue eplesous Ioad'un s u'un aI.itse à le suivre, liront. av. une 7i, `ansont actuell e t el. ' ' dabs ' Préqq1a. dommader de se met tre à la disposition des 3. Qpe lmm cr ontec eades embarchage composent ainsi : 3.000

manceuvres.o.2.000 refuge de la maststrature défdernAerteun,

tiraeior bi« grande i. ré,.... -.-,,,,, dve5 nc."'"" . d''' 1"1" 'IIII' s" lie mit de- - curcents saisis.ete magnifiants dans cermmes villes m- meeanieiervI. . Iraaadka'r. ao ]. el le vieux château aux inenrirteres

MM B. Donmerg. adressa, au nom desere ct Ge MaGer.130, _ambrerait nécessaires PGGr caola arxr 0 des .vaux dasmemea,.slitt de le France, à cette al/mutina ro

fs.oi ott au chimiste la falsifie, do voirie et de refont. d, Paiiià ies ehô- yees voyez donc, a emelu el. Fardiou, yojg7i.mar--139?1,317rell'u:'d71 vditesn"e"nret'te- 'dItrespi'x'',1,,M1.e]ae.: feajlvG1t111011'nbeniGe.'tion commise. ...in su,ou'°`°°°1 In. d°131°.da S.l. spi% concernent parles il n'y a pas crise que. centaines 11155 divers autres corps de 9 h. 30, _-parofIgen est toujoursrgne". el /II" " le e du sis.- - L. piège da libéralisme C'erst également Dar .. d'une fo- mot loa polodsheas d1-.°111aaro. IGG scr et que la ,ittiatoni n'es: pas Gonna tderq à m ..,,.etters. i ,,..o, c,.... .,. I, , 0,,,,,,, (,,,, arrricoarg, lo/ dseuppelin7é%, 'ree PeUriaosi en: ih7te'ted'e'ttl'o'vtt'2=`,. ri.<187000Pr,r,',,,,,, t'IS]] <]e`-'2`.`2.12.92,°,- en.!,,l. relie'r'moited;:risk,'17ton. rm'enridiad'telsn'enS estIn' IZIa'n° b7`17:: 'Is]''doek'Ira«- oni- nduip'.r.',...:']]ra,S,i1Iiir,1,..r 'ro.:

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dOSe. 5 gq/C- r,... oe Marseille.. La ceMe..clu nesarbon de ces vaux de voirie dm, bsni,otisesene..z:. Nom reno,,, 1,,, e...0,..., ,,,,,,t, e,t,,,,àb[FRA IC MA.LtE i, ROC ,,,," DC lus tramail/ont hOre Tee,n,I 1.1.5irr..eea...ec:,,m....,e: olt'o\n,Ierle,zz.-1-8eà7-: rrl'..1t.-;,:.=,.-,:,b-.%:,-'=,_ rz,-c=z1-,..,...,upidt dlouvrie.re sp- lU,.treZrj.,:di',:ener VZDAKAR

ci,«,,,,.,e4 IiI.i%aitu,e.are leàsept-Ire...z,l,stesl,. on beurre, comme d'aineurs . la mar- ten.ots, Do o" répons. fi coSoito c, .. mos quo nem.. en ait lamais Pad,. Cal,.,. ,. ,....°. " " ." no no h p o,. receit 'uis Lacurt e,par les u'e, t.- gamine. ilontiers de FE. P.LIrra ient absorbe, im- En mem, e toditrooPu

dennoom doa nre difficulté.LIANES AÉRIERILER LATÉCOÈRE l'ailerrredtouta ra'n'r'esprerci'G'roeler'a Pour les cours, ia 7°SeadO, en II1Sel- soc a' en '''e:]1°M .=.,1°1;',' ' ::: nr,.;' '''' '''''''" ''''''..i' '''.2.:' d'u:P'''''' c« E' t' '''ntj'' ' ''7' 'hall' p'*é= 'da Salat se ressors; et c'est le

'gor.

-

anatorammoarsam-tagoavotwoà. 'déplore Mur éviction par des été- que sorte casemate, con.ite à veadtn dos d''andallada':':::'°°°°°'°'.11°°° '''''A-' lea P'''''''''":,

2 -`, ---r'": -72: :- - ' "' 'ee ..' e' eP» '''' '''''''''' d' neet».

\-aotilLICIfq

Convos r)..(Lert.IÉG.

M. FREGERIC BRUNETDépoté de Paria

Sociaii,te indét/end.,1

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

rLe Scandale des Uécoratk ns

UNE HAUTE PERSONNALITEDE LA CHANCELLERIE

DECLARE

Paris, 4 Janvier. Ce matin, uneires haute persomulité de la grandechaimelerie de la Légion d'honneurn hien voreu neus env... le Miletde vue cette institution dans Vat-/faire ;Motte. On a mis la grandeehancellerie en cause, nous dibeitc.C'est mal savoir comment les clamesse passent. Nous recreons ici lesprojets de décrets des différents mi-nistères. Chaque proposition et lm-murée d'un d.sier qui c.nirene lesétats de mrvires min candidat son«curriculum ville D, etc..., et an basduquel se trouve cette in-d/nation

Après enquête, le ministre certifierpre la mana/lité de M. X... Lui per.met Meritrer dans tordre de la Lé-gion dlimnneur, indication signée duministre luismême.

J'insiste ta-dessus, car ert ven,cela ne nives en-Mye-Lit pas Mutepossibilité de faire nonernemes uneenquête irni ne pourrait une jeter lasueicion sur Mie ein gouverne-ment rr An sure., eette ihsteete,comment la feriops-nous ?

Pur l'intermédiaire des maires, désprefres, c'est-e-dire par des tale...-Mur. Mentieen a ceux du germer-,riment.

Et puis, nous n'avons nullement lesmoyens pour erda. Quel personnel etquels matairca cola exigerait t

Un extrait du eusier indiciairen'este es joint à la proposition ?

Si, rd neme nn extrait nui doitêtre mitriementmt récent. Pourtant,que posrvonemous set s'agit de mme-dennations amnistiées ?

Ah t Combien y en addl en ? Aeupposer que la lettre de l'Imiteenole de condamnatiens de tétine'osier,, il y a toutes les chances pourque eut condamnations soient de tel-les ausequilles nous navres pas I

<troll de faire /a moindre annal..miel est le coupable ? Ici ce n'est pasnom, Ott raconte aussi que cette fa-meuse lettre énorme te cas De citeapproximetivmmet) de tel comme,gant, tué d'une trentaine d'années,qui aurait été décoré pour quinze anade sem.. commerciaux.

Volet un candidat mi a vingt .11de services dans Parrni-e, hi mort.«l'administration, on bien un nem.dal qui a Pet ans de pratique pro-1fessionnege (commerce, ine.thel.Dans ces deux ras, la loi mons union-ne de neer en remettre, comme jevous l'ai dit, à eindioation du suirtis-Ire. Mais si ces candidats n'ont ni cesvingt amo de services, ni ces vingt-Une son de servie., me des servigesteinter part irrite valoir, c'est m ilspeuvent se targuer de Servires excep-tionnels, et c'est là que notre avis in-tervient, et c'est là que nous refil-e.% très muvent.

En conclusion, les vingt-cinq ansSerViCeS dent parlait Buotte ne:

sont .pes obsehenent nécessaires.Pur ailleurs, g faudrait dem.tre

que cents ayons été abrsnés purfaux états des services exception-nels; enfin, trot-ii rePelerpeut pas.nne officier de /a Legiond'honneur après »Mea e enderans cheval., et mon peene oommanneur aprés ne on a été,deux mis officier ?

Ne recevez- vous jamais delplatine au sujet de candidats deLégion miihonneur ?

Mais si, certes, à tout instant; et.lorsque ces plaintes relatent un fait,tombant la moralité, nous nous ené!pressons d'en transmettre une copienu ministre intéressé, lui demandants'il maintient toujours son opinion

Enanrasur le candidat.

tant-il ue ces plaintet.nous parviennent muet le jugementdu Conseil de l'ordre, composé demilitaires et de civils, jugement quiintervient après etre taules les piècesont été consultées par le reporteur,lequel est un légionnaire dont legrade est au moins de conmandeuret peut même êtae celui de grand-croix.

Ah 1 bien sûr, mais ne demandonspus einspossible, contentons-nous dedéplorer que Pro vote des fournéesdurs M genre de celle Mes arts déco-retils, celle-li cmnportait tant decrue que le ministre ne savait qu'en

Taire,'est 50 ou 60 individus à lalais eue nous dûmes alors refuser el

n'y eut pas moins de trois ou qua-tre échanges de listes de candidatsentre le ministère et nous. Ce futhamérique.

UN COMMUNIQUE AJOURNEIl Hait question, ce matM, au mi-

nistère de la guerre, de donner à lapresse un cre.mniqué relatif à tert-iaire dee décrati.s, dont le textePavait être imali par MM. Painlevé,ministre ded la guerre, et Denirecent. Mais M. Painlevé, étant elmenede Paris, il n'a été fait mcnee com-munication aux journanx. Smnaionsgué quelques copies de la liste Ruellenrcieent, mais une telle liste, muneti elle est authentique, ne peut Pusètre L'athée e le légère; elle porte lés

'110meililbee brtseeue d'sfeaires

reitilric'elererrnééeaTi'i1as tin., d'un courtier, d'un fabri-cant de liqueurs, etc...

Le eutur transpyrénéen (tés êtec-local ce chemin de fer) s'arrête aupont de l'A -oc et nous traversonseu tunnel le rocher de Ber/m.10nm.

Voire les sereineinv tanibeaoma dumartbre noir des ri Américains.» rieeand-Sernin, Soue. et son sr 1M-M/ester° castel de la Tour, Vu etson ormeau centenaire, un pont surune rivière dune pureté de retotatel au lit de ma-ere Le Gaibet. De-vant nous, dans les bois rouilles, unetâche noire Ifirabat. L'a.utolusParrête sur une place aux platanesCentenaires (

c Sein, tout le monde descend. nOn_ met sac de dos,ir Trois fois la Meus Eiffel à es-

caleder a, dit te Parisien de la ban-de. La, route de Salan est abandon-ner et un sentier d.e moutons,perro tracé nous permdt. en une de-m-heuee de regagner te large sen-tint muletier tracé par l'Adminis-tration Forestière.

Ohl la joie de monter, la vesteroulée sur le sas, par ce beau di-Planche de décembre lumineux etdoux. Les tarets du ebernin nousfont passer brusquement du pleinsoleil â l'ombre et avant de fera'Ointe ta dernière crête, noue nous

LA VERSION DU !JIN/SIREDU COMMERCE

Voici ce mer on raconte dans les nailieux du ministeme du commerce elde l'industrie

e An ISOLS de janvier 1926, Falunlion de M. Daniel Vincent, dors mi-nistre du c.unerce, ahrit été attiréesur I. agissements de AL Marcelluotte, m.-chef de bureau eu mi-nistère du commerce. Diapres lesbruits qui émanaient des milieux par-lementaires, on laissait entendre yuet linotte se livrait à un veritabletrafic de décorations.

Ml Daniel Vincent, sur ces simplesindiretiona clmrgeart la sûreté gene-rale Mens-mater sur les faits repro-ches aux faentietplarreb de sou DO'nistére. Il ne venint pas sai/rir(collent M. Charmeil, directeur duservice de M. linotte, afin de ne pasdécon.siderer celui-ci aux yeux de sonchef direct, dons /e cas ou I engamese terminerait négativemeut. L'en-mêle tic la sûreté générale releirebien un fait, mais qui n'était pasd'ordre adininistratif, mais /entred'ordre privé et auquel il ne fut paedonné mite.

L'ENIIIjETE pE LA S'UMMMadere le résultat n-Latif de ses

remberchea, la Sûreté, crut dmeammatisuivre peis l.gbernes Oeta ta-verne/Lions Salis mem M. Dame! V.cent les ait spi...ruent ticerentiees.

sont can investigations qui amm-' tirent à la réveration do scaturiaile.

Les rirons que tOu.t le monde mur-mure, les muet truns berrifimuts queRootte jolie dams la baientm de djustice pour la faire pencher sousIn poids Lin grande:a trent point et,frayé les magistrat,.

:a. Prouimram, po/mers Ide laiimputleique, continuesa Sula caque..Les commerçants décorés b Ferma-sion de I Expuelthes des. _Arts dé.-

firS, t Ont ete agréas qUe leurs den-iers cureou die vérifus qiair uneeillarldaSien instituée par M. Daniel

liment, qu'on eseaie de mâter âmite histoire.

linotte, certainement imup.egle.était °barge par le erre de eurvinetde muter à la diancolario la listede la promotion dams la Legion

d'Ir.;Merl. quai de Montebello,reeu selon Flialeitude par un Ormetfonctionnaire, â qui ut remettait lesdossiers du commerce. A ce moment/Motte sortait une lutai de décora-bles, éerite au m'ayons Voici, di.itlinotte la liste du mierstre qui se-rait fort heureux de voir ces per-sonnes retenir .tisrfaetion. La listedu ministre était truquée par Runete qui y anuit ajoute deux ou troisnom, intéressants pour lui.

C'est M. de ces décorés que' flu-ette remit mn superbe chronomètre

or, qui valet, affirmait orgueil-leux le muSchet de bureau inculpé,plus de 20.0. francs.

At° LAGOUTTE DIEGLABE...Nous avons pu joindre en anatin

He Lagoutte. Il houe orpini n quemalgré son vif désir de netteté ilne dort pua livrer au pub., lesnom,, Ugurent sur la liste four-nie .par le sous-clide de bureau, listeqm peut, dit-il, daItleure étire est.raceaile/tige° si Men le désirait. Sonunique souci c'est de défendre sonclient qu'il affirme innocent.

Ruotte ni moi n'amine l'intentiond'attaquer ni d'accuser qui que cesoit, . qui explique que dans /alettre adressée â 11. Bacq.st, mon.client se soit contenté de dresserune liste mie décorés, étrange muséed, curootites, sans donner le nomdes fonntionnaires qui aura.ient aidéà cette ,pnemotion de cour des mi-rantes. L'accusation qui père surMette ne lient pas dee., non plouque celle qui veut quel ait glissedes Massiers parmi eem déposés starla table du ministre, purpura Mondes obevaliers qu'il a citée a été dé-coré par un autre ministre que lesien.

a Vous duel que Puotes a Ouu-ahi-1 Or, sil avait vraiment gagneders /es candoinaleons où vous lemêlez sans preuvm desMommess con-sidéral...lés, il lui était Melle, à ré-er.m même oû on se plarenatt del'exportation des capitaux, de fairere, même. Fon argent était â Salera-i). e4 à Paris, visible. Et puis, fautil rappeler -hien des affaires caties'te' où la justice Pa pas rechercheIMPeine de l'argent trouvé ? L'af-faire Hans Postard est am de c.exemples. .tA

l'acEnefuss'natreein''ufa'r Laelu '9:tZ1-1.11!e'rierrl'argent tronvé ebez Ruotte provientMan du trafic dus décorations qu'onIon repr.he à tort s

Pour Mn Lagoutte, en fin de comp-te il . pourrait que /Motte n'eûtete qu'uno instrument, un paraventpour mieux dire.

.« Pureté, °onglet-il, voudrait pourIc moment être eetfronte avec M.tharmetl. Cest uni.

Pour nous, quoi quel en soit, noesespérons que toutes la lumière seraPu ite.

attarde, au pied d'un /etre peurun dêbeuu me reearateur.

1 heure. Un dernier tournantet neus pénetrons dans eeneeinte.

Lherbe a presque partent recou-vert les ruines de ou qui fut unmies postes fortifié-, les pRs formi-date. de la vallée. L'enceinte se-croule peu h peu, mais le dernierpan de mur du donjon (tout en mar-bre blanc) garde encore fiere allmcc. Par se, meurtrières surgit de-vant nous, irreirr.sionnant d.s son

de neige, Ix célèbre « Mont-Nallier Ores nette, aPPereitcassure du col de Pet-reirlerrque,

par où nous décelâmes cet été etdans le lointain un peu mod, temmerise plaine toulousaine s'étend âperte de vue. Une multitude do vil-lag. apparais.re Sone 110e pieds,e solen dore leurs maiSons aux

murs souvent lépreux. Le., dernierstrumeaux de moutons escaladentencore les -pentes à Pherto rou.ieTrès lointaine, m,ais tels distincte(tellement l'atm.phere est /Pei-dee la cloche d'une vieille «Osetinte pour les vêpres.

La 'Descente se eait rapidement.Neue suivorav les tournas tracéspour l'expleitation des bois et no.&Ivens Io t'acore les haler dr

buis au parfum amer. 3 heure» 001m-la-Or au cloreur médite. d» Sein

quand nous dedeurshons sur la atm

Cette foin P.Lolous est vide oupresque. On MOIS attend. Un der-ut.' regard aux 1272 mètres de Ml.rabotet nous partone. Peu à peu,l'ombre s'eueont eur la mentagne, lesemude piro de in Moine espagno-l. de rose, qu'ils étaient tout àl'heum prennent maintenant destentes umreurielles. tin vent fraisse lève- Les bêtes regagnent Petah..La grande féerie du soleil va mou-rir. Ledba,s, toute°ou au fond del'horizon, ta Vieille capitale du Cou-serans, la ville déchue de Saint-Li-Der montre encore la leen° faça-de flanquée de tours de min palaisepreopal et la large enceinte deses glorieux- remparts.

Et le railway de 5 heures em-porte vers la MM de Glesteenceteance un joyeux trio Phornmes,encore jeunes boueux cl las, arbo-rant sur Ms sms usagés de brasMes de la Fleur la plus vieille deFrance, de o fleur sacrée, que lesgrands ancêtres ne coupaient qu'a-vos la f.eille d'or par le, rituellesacres lunaires ( le Gui portedion-hum symbole ffes desirs humainset des aspirations des humilies versl'Année Nmmeile que Fon souhaiteplasu dme.e aux dgehreite, de la

Julien MELLE,

La Crise allemandeSCI-IELDEMANN DEMANDE

LA DISSOLUTIONBerlin, 4 janvier. Le député

social-démocrate Sr-heidemann aPadé hier soir dans une réunionpublique organisée Par In P....6-re do Reich. Il a déclaré que leparti républicain devait dans tetteIra cas faire partie du gouverne-ra-rent pour en:esches que I égal/te

lcivile, cette conquête la pinm pré-cieuse de la révolution, ne devien-ne un butin de la réaction. La for-mation d'un cabinet de la petitedroite serait en réalité urne viola-tion de La Constitution. La forma-tion d'un Hoc bourgeois est à peuprès impossible dans les cimons.tances actuelles et la grande coali-tion n'est pas sauhaitable pour lemoment.

Scheidernann est d'avis queseide possibilité est un cabinet

minoritaire des partis républicains,ou partis de Weimar, qui prépare-rait la dissolution du Reichstag. Il

distur'ne on f'se

ssur/es agr-sentent illégaux de la Reich:-mem, il avait reçu plus de centlettres de menaces de mort danslesquelles on lui annonçait s qu'onle refroidirait (sic) d'une façon end'une autre, mais toujours avecconfort s.LES SOCIAILISTFS

CONTRE GELERBerlin, 4 janvier. La presse

tocialiste annonce que le parti Su-do:liste a décidé de cooperer à ungouvernement de coalition, à lacondition que eif. Lesler soit excludu nouveau cabinet.

La Vie du Partilems, 4 Métier. Certains mn..

50:,f.7:;élrzdrsommes

dus teréné'eserientales, ànnruismeooumol do saint

rr2rUZ' d'eDus clair elle plus empare. eue

'este à avides tootoe /e$ dtrolations, a ma-Isun, ausur

e e

e'utt7Zapréciaea et fermes mddies par le dernierConseil National du parti à /a Toassaint,à propoa Patement de ce ecrutin.

Nous airnma â moine que la Fédérationjustifiera mn action. que la publicité saurs.erdinaire et vraiment atm/male de la gitan.de presse a pu trameur et faire mal m.terpréter.

La Fédération estimera sans doue cesexplications d'autant p/us nicessaireaqu'elle a été clCa critiquée au sein duneà reemsion demes amuie mur r.oi-tode qu'elle permettait à certains de sesNéneibiel tellementmarge dee déclame de noa Connus, °de.le firent ereie Mune demande de con.:rôle et d un tappel à la discipline dontne 0e amuble là-bss carder a mem

L'éternel moribond

Bucarest, 4 janvier. Le tois affaedissant de plus en plus, legouvernement vient d'envoyer unmédecin de la Crue à Berlin poury conférer avec les spé.cialistes al-emands radiologistes et examineres diagnostics et ks traitements

preurits par les docteurs français.Quoique le bulletin médical of-

ficiel déclare que le monarque vaainsi oue possible, on ap.

b,;, lue que sonétat est loin d'être satisfaisant es.mardi] ne faut per envisager pourl'instant la possibilité d'un voyageà Pont, où il devait se faire soi-gner à l'Institut Curie.

On s'attend à ce que les spé-gialistes allemands soient appdAnprochainement au chevet du roi',Fierdinand, dans l'espoir de re-tarder l'issue fatale de quelquesmois. le temps nécessaire d'éclair-cir la situation molitique, uni estdes plus compliqués.

LOCATAIRES !Voici un livre qui va expliquer et

mettre au point toutes les questionsrelativnt à la dernière loi des loyersLe Commentaire pratique de la loidu ie avril 1926, que la LibrairieMarqueste mettra en vente le 6 jan-vier: a pour auteur, un maître dubarreau, au talent éprouvé,Milbaud, défenseur ardent des Mea-taises. On aura grarid profit à leconsulMr dans tous lee cas diffi.

LE MIDI 'OCIALISTE

'Les candidatssocialis es

POUR LE SCRUTIN( SENATORIALDE DIMANCHE PROCHAIN

DANS LA RÉGION

TARN

LOUIS PIEU, Secsétaire fédéral,coiseillet général.

HENRI SIZAIRE. Maire de Cas-tres, député.

PAUL CARRIERE, Alédecin à(,aillac.

TARN-J5T.G.nlaNiNECAPGRAS. député,LAGARDE, Conseiller municipal

de Montauban.

Chez les MutilésProtestation contre un arrêt

du Conseil d'EtatLe Conseil d'administration de

FA.M.A.C. de Toulouse, aprèsavoir entendu ses rapportems Oie.auneet Beltège sur la situationcrée< aux bénéficiaires de l'ami-ale 18 par la récente décision duConseil d'atm annulant l'article 4du décret du 3 avril 1925.

Proteste énergiquement contrefie torpillage déloyal.

Affirme solennellement qu'il en-tend maintenir tous les avantagesconcédés par cet article dans lesens des des digérents con-geèt de l'Union Fédérale.

Décide d'employer pour la réa-lisation de ces décisions les mo-yens d'action les plus énergiquesen son pouvoir.

SISSes».--

cc Ça barde s toujoursau Maroc

Tanger, 4 janvier. On mandede Tetouan qu'une certaine brui-comté continue à se manifesterdans la zone espagnole. Dans uneerrenacade tendue par les Beni-(der. vingt soldats espagnols ontété tues. Le cheik El Idn, des On-led-Aicha est parti en dissidenceavec une harka. Une contrebandeactive des armes est signalée m ellese fait par tes aorte du Riff, mal-gré la surveillanée maritime.

Yoroitirre-C

EN EMILIEBeyrouth, 4 janvier. Une bande, mem

mandée mr Ali Armee, nui avait prispied à Rome., a été dispersée per lecavalerie, qui s'est lancée à sa poursuitc.le faisant areir un ée. sangla.. Laemde a nardu vise tués. Nem avons faitde neeederevax prisonnieve et capturé unimportant butin. Cent &dames de che-vaux ennemi. eice recés sur le heu ducondaat. AIl Attrache a pu se sauve, riomimera:ne de eirra cavaliers, sotte à la vi,esse de son cheval.

Aussitôt que hi nouvelle a été canna, àSameida, les heti/ante ont revois& or

COURS DIS CHANCESLondrea, 122.88 New-York, 25.31. ra. jean de Remis, à ex mes de rem»;

Emma., 392. Sem, 488.29. ia femme du principat amusé, Mme Aida,Um fera Mem. m à Loadrert à ber, à deux mes de erosen et 200 francs

0 fr. 205 ; à New-York, t à Genève, è d'amende. Tous les incultrés eent, en ma.0 fr. 201 ; à Barcelone. à 0 fr. 255. ne, condamnes à payer 3.880 francs de

' la h b atm!

Glunsomut do Intimin Humarnt6 e revient

matin sur la tactique qui sera celledu parti communiste ; elle l'énon-ce en quatre propositions (

I° Nous ne voulons pas d'élus t2° Nous voterons pour nos candi-date au prendre tour ; 3° Nous in-terviendrons aux 2e et 3e tours

.de manière à battre les candidatsde droite ; Echec au fascisme I

Ne d tes plus : isit lourdsDITES : nQULDEIIIU,IBAISDSI

La directe. de l'Oeil. NationalMétéorologique noua communiquela note suivante

A partir de janvier 1927, les va-leurs des pressionm sont mprimeiesen millibars et en dixièmes mie mil-libers, dans I. bulletins quotreicusde etheise National Méteorologi-

« Le milliem vaut mille bary..Le bars.) eut l'unité. de pressionmondiale da. le system° C. O. S.généralement aelmate dans le tra-vail scientifique

r, Le milernètre de hauteur de laeolanue Infratbannanistre à mercure-correspondant â 1.103/760, mit 1.33miresban pour trad.:fermer apprO-

ximativennut avee une précisionsellsante le millimètre de mercure

menter,il suffit eauenenter lenombre de anellinnetres Mun tiersPour un cale. plus exact, on cm-Plein de, tables de conversion cal-culé ues ne fois pour toutes sur lescartes d'imhares dressées do 5 eno millibars. La correspondance enmillimètres sera indiquée pour les

isobarrs principales. s

MIES 011115183PIS DE DEMISSION DE IL JASPAR

Brnxeries 4 janvier. Il eonvientde dementir la nouvelle de /11. stérilisedrop de M. Jaspar, premier ministre.

M. Jaspar ne sauge pas à. abandon-mec le pouvoir. Fln bon état de santéIl vient de .partir pour Paris oh ildemeurera quelques jours.

UN INCENDIE DANS UN (IINEPalerme, 4 janvier. Uts vireent

meendie s'est dé dam,.s la jour-née ehler dans un eineus pour en-fants.

Des scene ale tereere se soort pro-

UMIOldlaar Nesenammanneenamensenneseerase,

dultee et les enfants So sont préci-pité, en deserdre vers les portes.

-Maigre la prometteur» des se-cours et l'arrivera immédiate despompiers, quater., ereants ont étéble.es dont qmtre tres grièvement.LA SENTE DE NOS MINISTRES

Paris 4 jerivier. 51. %Merise de-vait se rereire âLyon. hier, efin deprésider une séane.e du. Conseil mu-nielle. Il a été obligé de standarpar suite derme forte grippe.LA QUES'T/N DU DESAIRAIEMENT

Pouls, .janviem Le général vonPaseres et 59 Von Forster ont quitteBerlin hier soir, a destination deParis.

Les d ores &t'ends rd/amarrasvienmult à Paris, afin de eltiesUivreles dernières négeciatime en es quiemnrerne .la gASStiS21 du ...rare-ment

LNE Man:STATIONDE LA MUSSE

(lranèvo, 4 janvier. Le Conaellfédéral suis. a charge un de sesdé és nlégu de se redre auprès duGouvernement français idin de pro

re n-

tester rtre la ouvelle loue eremtepar /a Me grart. ançasse relative 11la carte d'identité dcc étrange.résidnnt en Fra.° sLA COURSE MS SIX JOURS BELGE

Brume., 4 Jaarinc, La Courseoiuil.six jours cyclistun vient de seterminer au milieu dime très gran-de affluente.

Les 6.quipes sent arrivéesdansl'redsnspirant .

1. Riremes-Vermande/ 091 points ;

2. Oharlier-Durray à 4 tour 435qmints; 3. flores-Bele., 320 points.

PETITS FAITSLE FEU AB TI-IF-AIRE ANTOINE

Paria, 4 décembre. Un incendie s'estdéelere, ce marin, a° thétare Antoine. Ila eré rrearstiment rreerise ma bs pom-ma. après quarenteeing minutes de tut-vat/. Leo dém. <amis mai nea 10010.-tants.

Ceet à 8 heure. 15 qu'un courkeiecuitredevenu dans la /rafle, caté .ua. a pro-voqué le No. Lee flammes ont fait fondreune colonne mentante d'eau alimenta./a edie ceate colonne a crem et, paremte, une importante fuite d'eau aest

Ox plus, le maure court-circuit a riovre deus mu salle muaarg..e, théâtre,et ai-est iemllé un débit, lm commence.

'ment d'incendie. Des papiers et un caf fà bois 0mété la proie die flammes.

La comeadoion technique d'électricités'eat rendue cette aprèsmidi, nu that,où elle a procédé à des vérifications, afinde savoir si la repréaentation de ce eoirpeut avoir lieu.

LES CONOREFACTEUR5DE TIMBRESPOSTFaS

Fuie, 4 jeu.. La euxièmecorrectionnelle vient de condonuer POSTcontletaren de timbressoste français eteparoquefie

Georges Aldeleert, demeurant à Asniù, à d p entaI d'

mande 1 Louis Fauche, an art de prison,ci, cents francs d'amende ; un camp/d

mathabres de timbre-pute mi s'Iraeportée partie civile.

On sait que cette affaire avait éM dé.couverte am la dénonciation de Mme Alde,heu qui, ayant à se plaindre de son mari,avait déclaM à /a police nide possédaitather lui mut un matériel de fakificationet notamment des timbrea étran.gers. ManeAldehert avait ensuite pris /a fuite POSZa Suis. avec sen ami, M. Louis Parole,mais le coupie a été arrêté la /a frontièreet Mcialpi de complicité dem la falsifiem,men des timbres. Perm ces timbres tram

tais, é y avait des quantité de timbre.Poste étranger.

M. Timon, avocat de Georges Addebed,avait plaidé devant le tribunal que dandam lea 1,1, fronaises ne p<rmettaitpoursuivre ta febrication des farm timbrasétrangers. On voit que le tribunal a .memus rete. la contrefaçon des tire:meaposte français et /e délit diesemoquerie.

LE LORD-MA/RE DE LONDRESA PARIS

Londram 4 janvier. Le lerdanaire deLondres. sir Rovdand Macles, accompagnéde lady Bleds, ae rendra officiellement, le21 janvier, à Paais. Il assiatera, le mimeucr, à un banquet offert par la Chambrede Commerce baitannique, et auquel pren-dront également patt o marécha/ Foch, le

q e limon,. ombae,adnu, d Anq/e-terre à Paria et la marquise de Crewe.Le lendemain, le In-rd-maire et lady Ma-de. visiteront FEageoeition internationaledu caoutchouc, où ils aerent peésentés àM. Doumergue, président de la Républi-DIDe.

CHRONIQUE de h T.S.F.

rRoGridmmE DU 5 JANVIER

BADIO-TOULOUSELongueur d'ondes u MO mètres

A 10 h. le, cours officiels menhir'.ipar la municipalité de Toulouse (lé.smies, fruits, poissons, lait).

A 12 h. 30, cours les marchés ré-gionaux du Sud-Guest; changes; Bul-letin météorologique.

A 12 b. 45, concert pur l'orchestre(

1, e Marche turque n (Mozart); 2.« Lamento D (Guy Roparte); 3.« LeDésir a Dioltermann), par M. Cela;4. « Mun.ra sans paroles r (F.Schmitt); 5. « Paillasse a, sélection(Leoncavallo); 6. o Orem afflige e(René Delaunay); 7. « Lés \mes «(Mascisti-Debroux), mr M. Pie.; 8.o Clochm d'automne i. trio (AyméKunc); 9. « Ah t Anna pas a, fax-Holt (E. Gavele

A 13h, 45, radiosnicsnage de « Tou-louse-Spectacles a.

A 13 h. 50, informations générales.A 14 heures, cari/Ion horaire; fin

de l'émi.ion.A 17 heures, cours des marchés ré.gionaux; Bourse de commerce ne

Théâtre et Cinépropos fin douaire

:dread Un dile de id. Glande Lemstient irtotolo u Voici Paris a, cm.

lo sont Cette .nee teuteS I.revues des Boulevards et de Mont,martre. On n'y me, cela s'entendni compère, ni petites femmes, ingrandes vedette», mais la Ville lu-mière mue cerlar. mie s. horizons.Le sous-titre interroge le. specta-teurs. El es-voue bien certain de»lunette° la capitale? Et remuacomprend que l'oesismtif curieux ascruté les vingt arrondissementsurivreva, que,/ en a lourde les rue,/es, embrasse Ms perspectives, quela plane sur les revenues, regardél'eau couler sous les ponts, inven-terie les boutiques, apereeie lesphis nobles architectures et ciel.de Free en face du soleil quen ilso couche, tout mi haut des blrampe-lltycdcn.

L'écran restituera fidèlement lesuns après lea mitreo les elementsmultiples do cette analyse minu-tieuse et sans bouger de leur fau-teuil l'étranger, le ProvioffielMme le parisien ignorant pasicour-rant la cité et les faubourgs.

La réalisation ne tient pas toutrnles promesses du titre.

L'ambition d'établir un tel docu-ment mérite toutes les epproba-Mus. Male on, suppose Men qUmieut falin, pour arriver à une salu-tion satisfaisante d'un proeihmeaussi vaste et amer complexe,adopter orne evétfule sévère et lesprocédés les plus logiques.

S4. Claude Lembert pas évitequelq. désordre. Son film femelleun peu lt tout et bouscule /es néo-phytes plus mmel co les instruit. Ilseule de façon inemeeete d'uni ab-jet â un autre.

Qui veut visiter une ville com-mence généralement Par eoneulter11P erten. L'avion dournissait à ro-p(ratene do prise de vues le moyenMen tracer Lieu tiessiqui.er, Mutau moins, par fragments, la pro-Pet*. homizenta't. d. diffler'quartier'. (Le dent. pdmvare rtejouter e la ahOteerriphie pour si-tuer certains points, établir des re-péras. On n'a pas r.e. à Pouaide.

Grimper - l'appareil jussmià Inlanterne do la Tom Eiffel, c'est lepl.er sur un marchepied inen.ffi-sun-meut élevé et, déplorablement

La superposition de deux cli-chés fixes, différemment teintée,que Fon trouee dane Mus les traitus,srelatifs b l'histo.i. de Lutèce au-rait renergue exactement l'Ott/Marees-tepographie sur da dispositionrelative deS vocs et carref.rs etsur leurs transformations à enversles âges. On a négligé ce procédé,

j.e viens de feurlieter un livre deLéandre 'Veillai, intitule .0 Paysue.de Paris o. L'auteur gu.e le rec-teur avco décisions lui Sait de...en-Ore 10 fmuse, qui ceint de ses deuxara, le noyau °Dein. salue an pas-sage chaque lump/ment qui so mm-cl dam la .Seene, waitame dans iaCité, fait escale â 111m tiaint-Louis.Pue, il suit en détail ce quel ap-pelle justement l'avenac dee tenta'liane qui sillonne la ville d'un ur-ge troll, de eerdure de Saint-Ger-main /Auxerrois à. /a porte 11051-lob Il s'attarde 00 eu ferveur augrime. Lairn et (Menine iSele-ment quelqu. mommenta. Il ne

eitrUdsoe%leeerchls/eA'lierlsirrsbielle Mare ce quel rnentre il lemet en lumière et en valeu.r

Le félon qui noue proanretait da-vantage ne Lent pas s. prenme-ses Men qu'il ait à sa disp.ition hemages LSOUNSSOSOLês de la pellicule.

On croirait fouulelme reit...,ces decueils de cartes postalesqu'achètent ies touristes.

Quoique ta-rouie/eut I. cartes,n'ayant pao le courage d'éliminertrop d elve.n.. Incomplets, M.Le-Mbert pouvait ouvrir un chapi-tre qu'il a complètement négligé.

Lee éditeurs de Mstos aecturnolentdepuis trente ane, dans leurs sous-sres, mies semmo de la rue prisesentre Montrouge et Montmartre,entre Neuilly et Vincennes. Tousces témoignages de la vie parisien-ne dhier et d'avant-hier ne sontpas definitismclunt /perdus. Sansdoute 0.11 été aisé d'en exhumerqu.elques mètre, et d'oppe.r à laTan de 1926 ce/le de 1902. Le co-cher de l'Urbaine et 1mo clennem àtrois Umvaux auraient pittoresque-ment male leurs chap.umu de cuirbouilli aux easquettnu dao chauf-feurs actuels. Quai (P'S eh c/,/,O Votai Paris a represente un eati-marelle effort et par seg défauts mê-Mcn il peut aider à découvrir les

1s encore mal connues qm per-,mettralent d'établir enfini des do-cumentaires impeocables.

&an MONGLA.

Paria (avoine, blé, farine); Bonace decommerce de Toulouse-. Bourse desvaleurs de Paris et de Toulouse(cours officiel dm changes; il/tonna-lions.

A e7 h. 25, bulletin quotidien agri-cole du journal < Le Blé et le Vin aet de la Confédération des Associmfions agricrees du Sud-Ouest.

A 20 mires, dernières nouvelles dela journée; Bourse des valeurs de Pa-ris( pronestics et résultats dmv Cour-ses de chevaux; ,Beeetin de l'Auto-mobile-Club da Midi.

A 20 h. 25, cours des changes et desmétaux précieux.

A 20 h. 27, récréation peur les bé-hés; concours avec jouets.

A 20 h. 25, ...es-élection 1 « LePetit Duc a, de Meilhac et Halévy,mustang de Ch. Lecocq (sélection).

Le due de Partbonay, Mlle Ger-maine de Portes, pr.nière chanteused'opérette ru Theatre des Varende; laDuchesse, Mlle Joly Delahaye, pre-mière clunteuse d'opérette; Mme dela Roche-Tonnerre, Nhon agdenea, duThéâtre des Variétés; Montlandry,II Comme., baryton d'opérette; Fri-aeneirei M. D000. du Théâtre de

A 23 heures, programme en lende-main; fête à soubeitcr; meSsage mé-léordoeque,

TRUQUAGEC'est Une .querelle qui ne d-

du cinéma. Le musisatme acicerna

'

el le cirque av.aie-hall, lai ont fourni des

.- p. mieux .oiu truquage que de °vett

ger une vie humaine? Lest rerelese et revetsouvent bien contraires.

Lu truquage de la misedépartage au.i les Mils Surlitai qu'il pal:1S :prOrrenter dude vue de la réalisation.

Cantonnons-nous ad le ternir snreiregna- Partisane des eiles;jar,'"mexement aux daeoseurs d

Parme d'atelier. (Le plus drôle, casjque, souvent, /es belleerants,gent de camp retrouvent des.'te même lorsqu'ils transposent tadébat dans le domaine du lirlicr

eeneuut toute une els. dor.;.nri.s s'affrontant de part et dee,Ire, sur les je.: .de luttliler,le,prises de vues, etc..11. y a lieu de remarq,erlas-una a lait quaker., pdkj,,,,j-dans Yes dernières nanties, og

doit Ft la technique du studio, te,plus, c'est là quo les différenteécoles national. (Cern-amie, frai,gaises suédoises américaine) se dPbr'muoirsl In plus nettedis que la con.rptinn des ext....Semble rallier tout le mende autourd'une fornrerle à peu près identi-que ( entre tes paysages dm ir

Belle Nivernem a et ceux cl% u Pn-r,ecrits a, par exemple, il n'y atisaI-' monde qui sépare la signe del'infirmerie du film d'Epstein desintérieurs de ferme de lbeuvreSjoestrom.

Le studio, où leur perso.re1t6ee developpe aves plus d'aisance etde caractère, retient donc les met-teur, en scene qui neeigent depoueser leurs recherches du côte dela nature. Nice et la montagne,la France, leurs equivaIentsd'autres pays, nous ont dévoile teeInc leurs riche.esj et ees riehessetcemmencent à noua excéder. -

II ne ettfilt pinv qu'un paysage Reonotre Art lite paSiee au Mou ppm;mus émouvoir. Là, mrnme .dio peu, demandons au inetteur enscène déforme la mture de-venue disponible, par suite de ou.bec tango.° habitude d'ehle, et quelmus la resteuu trasellieuree parpl. expressive te.mr été recrééeIhr /ui.

GUa, p.gibile? Et Pest-ce -

pas moi mm le studio et ses biome-lori l'emportement de nouveau surles extérieurs?

Repoudre oui serait trondarnnu àjamais /es /documenter.. EAvommeeres pas vu da simple

« journaliste, e de l'écran, ces ana.siernes opérateurs qui noue apprismaronnent et.tualites, réali.r demérita.m petite edues-dheuvre detechnique de prise de vues? Son-ge). aussi aux beamx frasneeetesur les sports d'hisser, insérés dans

Force et Beauté e et combien I.paysages y acquièrent do vitalité.

Qu'est-c-e, en effet, Q.S. praferèei.nel de la ir camera u inc pourraréaliser, du jour où il aura eu le.neevoir, si, avec d. mou nos ré-duits oomnm il en possédait seule.nient, l'opérateur oie replat-11i.Brégeault, G.ton Ohell, parvint à'rendre plus pa.ionnant qu'un filmà épisodes un simple documentai-re? Or, ce rémetrat a res) atteintsans truquage, saaus perearmances,sans aerobati..

Et cepemlant, tous oeux quaeu le privIlêge de voir « L'As.n.sien du Orean a n'ont pas oublie -.1. moments 3)athetiques où l'équi-pe des ..nsionnistes jaionne lacheminée Dustod, ou la fissureMummeby, et aussi la belle deseen- '

te du eol des Nanitillons à heveslenenensItg glacée.

Qu'une mi. au point plum sorgneen'eût [Mt qu'ameliorer un tel filnecela n'est pas doute.. nids on nepeut pourtant perdre de vue qu'ila fallu quatre asce.ions pour letransport du matériel. Et, eueqdune teetnigns plus savante et tesmoindre souci réaliste e..nt gen,'mis d'arriver à doc résultats pl05originaux, nous n'en r.to.ns paS

sereins épris de cette image de Lamontagne, dont un las de me,

n'avaimt <RIO troproussi â °eus dégoûter.

Il importe qu'on noue délivre deces clichés qui, avant peu de terne&provoqueront ta nausée du perlaIn plus rudimentaire. Ils n'elot-tem.. déjà que trop de monde ducinéma.

'litons que se fa.e aidour de luile vide des intellegencra et des bel' -les .nsibilité.

Georges ROANE,

STATION RAMOTELEPHONIQUEDES P. T. T. DE TOULOUSE

A 9 h, th, cours db marchés mu.ci.50 des légumes et du poisson dela ville de Toulouse.

A 17 h. 15, concert organisé /lel'Association des amis de In sitat.M.avec le concouls de commereants cela vie.; imformations; cours deschanges.

A 18 heures, signal horaire (heurede la Tour Eiffel).

A 18 h. 15, chronique chien:lots-gruPuA 21) h. 45 chronique artestique etscientifique, ,par M. le docteur Marte.

A 20 h. 5 informations; bulletinmétéorologique.

A 21 heures, signal horaire (heurede la Tour Eiffe».

Retransmission do mea.. clàla station Marseille P. T. T.

Bandages-Ceinturestees berlues- Membre art/idole

BASTE14, Rue Bacheliertopa Rae occoetteel

sPeoto 0, ausoo TOULOUSEFabrication ter maure

D su ordonnas medicalaaf <deep. la pila modemrdela Régie

.00amo eatorre Sei feria.

2 10884aafalIgfentimaiMP aMOOla. dealetsOl

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

rt.1.

é

Chronique de Teulouse-in FlânantpROMENADE DE FIN D'ANNEE

Devant les Vitrines des petitesboutiques

/I n'est pas nécessaire d'avoirun budget de publicité 0 colossal s

r.tdon viiHaen acuu,rur»,, cle

Si les grands magasins triom-phent dam II mécanique etles scènes animées. les petiboutiques ont Fapantai,ge d'un cadre plus étroit, où l'étalage estplus facile à composer, à transfor-mer, à perfectionner, à changerdus souvent. La petite boutiquegs6 presspue toujours comme unlaboratoire où Fon essaie des

trucs nouveaux. Bien souvent'c'est là qu'il -faut chercher les ini-tiatives les plus heureuses. .cellesmûmes qui, plus tard, seront re-prises en grand et, si je puis dire.

'ulgarera.sard et deux lettres que' reçues nv ont fait connamepe de ces petites boutiques. 11

S'agit d'un fleuriste, d'un marchandele journaux-mercerie-lingerie d'unpapetier et d'un marchand de lam-pes et d'abat-iour.

M. A. B. présentait des. fleursIdenriére une vitre qui n st pasplus de 3 m. de long sur 2m. dehaut Cette petite boutique de etT-ee nouveau, ie veux dire, sunp/e,Léon:én-Mue, et toute en lignesdroites et aides droits était corn-posée COMME UT IMIUkaLD, commeune nature morte d'une étonnanterichesse, et telle qu'une toile deDufy ou de Kisling. Un bouquetcentra/ eu un socle cané, au som-met d'une pynamide de fleurs,les plus diverses mais mariées se-lon les principes mêmes des cons-plérnentaires. Le tout encadré deguirlandes de feuillages. Mais voi-ci /a nouveauté. De /'eau coulaittout au large de la Vitre, au long deta vitre et formait un rideau sansfin, un rideau ondoyant qui ani-mait /es roses, les oeillets, les chry-santhèmes. Les fleurs ainsi calcul-chies apparaissaient comme au fil'de l'eau dans un courant très min.ce qui ne les ineline pas mais lestriait° et semble chiffonner leurspétales. C'était d'un effet char-ment qui donnait son unité à l'en-semble de l'expositiou

- Dans une rue perdue, M.D..., s'est étaHi marchand de lote-roux, mercerie, lingerie. Lesmouchoirs de poche, km rubans et

les cache-corsets voisinent avecdes bobines et les journaux. "MmeD. tient la maison et Mlle D. mon-te les étalage ans la direction deson père. L'étalage est renouveépresque toutes les quinzaines, etje vous assure qu'il est presquetoujours très beau. M. D. a inven-té un appareil transformable .com-poeé de réglettes de bois mobilesauteur d'im certain nombre devis et qui peut prendre toutes lesformes qu'on veut bien lui donner.Sets ce squelette feavnAe et discret,'ville D... drape des foula-ds, destravates, des chemises ou disposedes boîtes de iripinr, des revues131ustrécs, des pelotes de laine...Lin simple carier, de petites am-pou/es électriques fait valoir cesprrangernents qui sont d'un goûtlrés sûr. Il est vrai que Mi D., toiaime les étalages en vérite ar-tiste a envoyé sa fille à l'école desétalagistes.

- M. F. est papetier. An-des-sous de trois grands éventails enPapier à lettres, voici parfaitement...gis, vernis, luisants formantdes lignes, des figures, des ene

aciers des baltes a plume. ToutCela peut paraître- simple,mais &est en vérité d'un goût0 classique 0. L'étalage est sabre,clair, chaque objet mis en valeur,bien édairé. La vitrine est entes>rée de givre une cuillerée de selde magnérie Clans un verre de Hé-re. Et ce givre qui nous vient..,d'Italie, à la rrepriété d'écarterdes mouc,hes.

- t'ourquoi les n archands d'ap-pareils d'éclairage et de tout ré-

, taliperreent électrique ignorent-ilshi présentation, la 0 montre ii 7Leurs magasins sont, en général,des bazars. Ces marchands cepen-dant ont toute posslilité d'orge-nmer de beaux étalages et c'est

chez eux qu'on pottrrait trouver In I

Phis grande originalité.- A un coin de rue. un vendeur I

de lampes et d'abatdiour offre auPassant un coup d'il. Voiciun parterre de champignons lumi-neux et, sur le devant, en guise deParme. une série d'aquariums, parordre de taille, suémentés d'uneampoule et d'un abat-jour à petitsplis, Dans les aquariums, bouleset lumières teintes aux sent cauleurs de l'arcgreciel, dans une eauIpmfaiternent ,transparente, des

popsons rouges et des poissons deChine scintillent comme des bijouxvivants.

Devant ces petits houtioues ilfaut être très fort peur résister audésir d'acheter quelque chose.

ENTRE DONC,La rigueur de la températureavait rendu presque désert l'autremi, dès 8 heures, les citrrefoursles plus fréquentés. Et même auxtestasses des cuéét, ou la protec-

tion des braseros pouvait paraîtreefficace on ne voyait aucun clients tevrusse d'un grand établis-

sement, les pastants enomnOufléSeIni se joressnient.yern len/ train ouleur domicile n etadent Pes sansconsidérer avec stuPéiaélion ouear,on de café qui en tenue deeie. petite veste et tablier blanc,

suait /a semelle en attendant deseBrde Onn ne venaient pas.

-.-/àEîtrte elceer 11%ui*e'c'rt ceiàiun titi.

étaitig'crtnerrna'sseài7 entdilitelepvaanii lyi

rester ITout de même.

NOUV1PAUTES

Vous souvenex-vous qu'il y adix ans, sur /es souliers des [MIDMes, les larges lacets de rubans'épanouissaient en s betifettesaux caques arrondies 7

Depuis, les lacets ont été sup-primés et remplacés par toute unesérie de systernes de lanieres en-Pecroisées et ajourées.

Dans les vitrines des magasinsde chaussures, voici qu'à nouveauréapparaissent les lacets.

On expose un nouveau type deenfiles" /féminine reasspelég on nesait potn,quei 0 charleston s.

Sur le s coup de pied il y adeux petits oeillets et un grosncend de ruban.

La mode n'est qu'un éternel re-commensement

ÇA ET LAMAIICHE MUNICIPAL

béguines, - Choux 0.90 à 1 fr.poireaux 3.70 ; salades 0.40 ; caret.teS 1.15 et 2.20 ; oignons 210 et 1.30navets 1.50 ; scor.nèree 3.60; ail0.20; bettes.. 0.50 ; dinnands 3.10;choux de Bruirelles 5.20 ; ehâtaignes2.80 ; céleri 0.70 et 0.50 ; eMeri rave2.50 ; pommes de terre 0.95.

Lait. - 1 irr. 20 le ,litre.Poissera - Inerbelion 4 fr. ; reus-

seau 3.50; limande 3.50; hareng 0 fr.sardin. 4 fr. limules 1.20 ; le toutla livre.GRAND BAL DE BLENTALSANCENeas rappeler. gra le bel donné

ce, -emdZertorule--sai'ne's' de.ii Protection derrEnfanceest fixé au samedi 8 janmer a 22heures, dans les salons du GrandHôtel (Mirée, rue Potufbenee3.

Ce bal, placé sous le haut :patro-nage des :internes obi un de ton.Nase, et qui s'annonce .anne leplue gros succès rie la saison, seraprésidé par 31. le Doyen P. Sabatim.,

Aux deux erribestres (L'Oasis,Grand-Hôte, Dieeetiall Galli-Amen)se Joindra un chanteur auàlera ve-inant spécialeumnt de Paris. Fachibi.tien de danses espagnoles, dansesm00ule:1gs, eolithing ci recessoire,Lunch.

Le ufs assuré que le punie ré-pondra à son appel avec un empres.sement aussi vif que l'an dernier,l'en remercie d'avance.

Leu invitations pourront 01ccérabaregva contre dvo cartes d'en-tiges cher M. Emile Perch., 12, rued'Alsace ou à Peng. du 4041.

AVIS AU mulyumNsSEJOURNANT A rouLou.sE

Il mt porté à la connaissance desinféra.éo ce qui unit

a) En cenformite avec l'ordre N.765,1036 du Ministère de lu Guerre,Grand Elabldajor, en procédera jou-era au 23 janvier 1927, au visa sa-ciel des diesels nulltaires des hom-mes uppastenant aux classes 1900 a1023 inclusivement et aux diapau-ses des classes t900 h 1924 inCIUS.

[sevrent egalement se présenterau visa venu qui .turont pas en-core he inscrits dans les contrôlesde Panade.

Imet, Iptrsonnes qui ne peuvent passe .presenter personnellement à M.tAttaci. /Militaire, sont autoriséesà lui eivosrar leur livret, soit direc-tement par poste, sort, par l'entre-mise des Cansulats respect In, en fa-tiguant leur adresse aetualla à Pt,tranger, /eue don:celle oit Remuante(Inipartement, Commune, rue et nu-ages)) et leur oce ation (métier).

hi Ln °enferme aveu Park 175a. Règlement de la lui sur le Re-eratement, les sujets munaitss nésen /906 el résidant en Franee, se-ront recrutes par le Conseil de Re-crutement gai siégera à la Légation1162:ale de ftemnanie b Paris. 17, rueBug/entier, dans l'intervalle du lerOu 10 février /921.

Devront également comparaîtredevant ce Conseil, les jeunes Pwisqui auront été ajournés unedeux fou, pour debidità eu paruequ'ils avaient un frère sous les Mm-e...

Pièces à présenter le pas.pert,l'extrait de naissance et les certi-fies!. d'études giplônie de bacca-lauréat en original).

Le Consul de Roumanie àGINE-'11IFATRE »

Sommaire du Numéro du Vendredi7 Janvier

« Notre Salut-Sylvestee et l'OncleSam » par 39. Jean Doyau ; « LeSEltennes do M. Aulioui s (P. lias-Mins) ; o Musiq. et Cinéma » (Jas.<p. Rab.) ; ii La Via Toulousaineartistique » Serai.) ; « Atravers la Pre.e toulousaine unIhre de M. Bardiere-Flavy » (PierreGrefNrée) ; Le Cinéma, ou °MM-toit d arts la (hl. Does. ; « Lettrede Paris » (P. Riait)

;ii"La Chroni-que sportive » (André Parant) 'n LaVie régionale » ; « La Botte à Se-clets de Pol Pee t 'ii Au logeai

1eur, .tes amudaines, notes d'art,phetegraglim, etc .. (Rédacteur cechef René Bonnet-Devilliers).

En vente partout : le Numéro 0.50.VOL ILEUM PORTEFEUILLE

Sur plainte de M. Bart Henri, de-meurant rue Ste-Thérèse, 7, une in-formation mt, ouverte au 3ei'inocirrnltefeuille .nteilantunune sol%' p00..

plaignait dans lu boettée d

IL N'ETA/T PAS EN RUILEPrecès-verbal a été dr... centre

le nonmié Blas daime, 81 au., do na-tira-alité espagnole, demeuranl ruedes Jaardins, O la Salade, pour in-fraetiM1 au deerot de la lei sur lerenouvellement des cartes d'idem.tité.

UN VIEILLARD MET FINA SES JOURS

Hier matin vers 7.,houires, le empsde M. G_ Pierre, agi de 76 ans, re-traité, a été découvert dune an ce.duit trtria inirreenble situé Chemin dela gloire. Le vieillard avait mis finii sirs jours en se pen,dant lotie cor-de fluée à 001m. Une enquêLe estouverte.

UN JEUNE ESPAGNOL SE SUICIDECet après midi vers 1 heure, le

riceing Gainée Ferningo, 25 anade nstiormligi espagnole, s. d. f. con.u y tenté/ de ce suicider sur I.

berds de la Garonne, au lieu dit « /obac 0 en ...tirant une balle de re-volver dans la tète. Ansés nien. re-çu des soins du. lai bine Lmumlen-gne. lv Liesse a été transporté dansun état assez grave aUne enquete est ouverte.

TRLMAILLF.SBadamer à M. Entrante, Tue SI-

Papoul, 5, un tour en /mis, pourcharrotte; b M. Barstolome concier-ge ri. Cujas, 9, un garteieuille ;

arc Epaves : an pertofeuiPe." tl

COURRIER THEATRAL

THEATRE 1312 CAPITOLE« Les Contes d Hoffmann »

La reprise ste Pieuvre d'Offenbachrecelait an elat exceptionnel, du faitde /a présence de hime Ritter.Ciampi;aussi, les '1'.1ousains se soisenantde la très artistique interprétationdes trois rôles rie « Olympia u, a Giu-licita n, Antonia u, ,que nous endonna, la saison dernbee, réminentecantatrice, étaient-ils vents fort nom-breux applaudir s son beau talent;disons tout de suite que l'attente gé-nerge n'a pas été tronahs., La. vota

Mme Ilitter,Clainpi, dont IMe latpalalt s'être semildenient amaril, estconduite selon la belle méthode an-cienne arreordlavidoens euuter, opaeritik

rZS'Crfie une Gr/puissante virtuosité,. àlaqueile s'allie une technique d'unesûreté incomparable. On ne saluaitdemander une plus riche et plus pue'dalle interaprétallon des trois rôles si

ivers, chacun d'eux est compom etréatise mec vs est excmis et un tu-ent tout à fart remarquable. A ses

côté, il convient de mter anniediate.ment 21.Pernel, qui a donna un cola.sis et un pitlorehme intenses auxraies si différents de « Lindosf n,« Coppet. n, Dappertmto D, M Mtra-lle a, dont H a fait de saisissantes

compositions, habillant ses pessoana-ges avec un goût des plus sur, M.

qocoonirnovarienleoduavec plaisir, intêrpréta très adroits-suent st non sans vaillance le râle

d d'H ffmann °-Mlle Laplace a tenu correctement

le ride de Nieldausse, fidèle etdévoué d'Hoffinann.

If. Albony apporte une nate deseus fines à l'interprétation d. rûk:s

Spalannani D et Franz n,joue en comédien expert et intelli-gent.

M. Darelles donne un relief trèsallumant aux pemsonneges de Andréa,Cachemille, Pitichinaccio, qui nous

lifult regratter de ne pas l'entendreplus sonyent.

Inc. Bicher, Pasayre et Crespy,Ont tenu ooec oo sûr». correc-tion les rates secondais.,

la mise en scene te ai, Berthaudmt t.jours irréprochable es an alunsidursant tiret,

Les diseurs et l'orchestre, sous ledme.ition souple et vigdante de Nt.Gabriel Leporte, :fournirent une so-lide exécution de là partition d'Of-fenbach.

CLAUDE-MAN.

LES SOIREES POPULAIRESAUX VARIETES

190us sel/nones heureux d'appreedreart public In création de grandessoieées populaires qui auront lieu5oaslesererntmn.nuThéâtre deiVariétés. Ces représentations, avcimer prix des places mime...aientduit (parterre, 2 Ir.; troisièmes, 1 fr.,pour ne parler que dar petitnu pis.

tin dr tous, Ce mi-in, peuc les l;m;egens et Ire imuvres halai., le para-dis reterouvé.

Rojedu.ommons de cette ra emtereconséquence - on nous en fait pré-Nein d'autres - du beau geste de taanunicipulité, salmentionnant repli,renie pour 4e Plus grafi& 1M4publie, et associons dans une mêmepensée de remewienents nos édileset M. Audoui.

+.0

COURS ET CONFERENCES

SOCIETE FRANÇAISEDES ELECTRIC/ENS

tenni, de Toutoums et dee Piebee.)Un certain noiniee du conférenees

pu:bagues seront Miles, cette année, àl'institut electret...rate et de mé-canique appintinée, 4, boulevard Ri-quet.

tas conférences, dont les dates se-ront ultérieurement fixées, amontlieu de 10 h. 30 à 41 h 30.

Les premières conférences seront4PS suivant. 7

M. Andel/en, ingénieur A. et M.« Les relais E

hl. Celles, direeteur d, la SociétéToulousaine du Primach « Les onginrs du moulin du Bay.ie s.

31. Corsuulet, ingénieur r « Lescennnutateurs de prise n.

hl Hanocq, prolésseur la l'Univer.cité de Liège : cinq confère.. sur« Le tracé des aubes des imbues etsur « Les hirboheinpes n.

M. itioviet, ingénieur conseil de laConapagnie pour la fabrication descumpleurs « La protection des ré-seaux n.

hl. fusait, ingénieur I. E. T. : « L'é-tat actuel des centrai. thermiques,,

M. Ledoux, ingénieur /. E. T. ru Lesstirtensions n.

M. Whitehead, doyen de l'Eco/ed'ingénieurs de 'Université JohnsHopkins rEiats-Unis ) i cinq eenfé-rences surs L'isolement des câbles àhaut voltage et sur les progrès ré-cents dans les transmissions descourants O hauts voltages pur câbles

'Les titres des anises conférences

seront bilifilléS prochainement.Pour les aditesMns à la Société

Fredimaise des Ellectriciens (Groupede Toulouse et des Pyrénées), s'a-dresser à M. Péridier, directeur gé-néral de la Seeiété des transports encommun de la réginis t.lousaine,vice-président de la Sociale Fran-

.çaise des elegriciens,,

LE MIDI SOCIALISTE

CONFERENCEDES AVOCATS STAGIAIRES

La Conférence des avocats stagiai-res, sous /a presdenst de 21 Ime-tags, britonnier de l'Ordre, a dis-cuté la question suivante t « L'actionpréventive du mari, contre FevemMette réclamation d'etat d'un enfantconçu, par sa femme en debers desm uvres et inscrit ii l'étatOsas les conditions de l'art. 323 daCade civil est-elle assujettie auxconditions de délais et modes depesa,u mIn dé.ven propremed do(Art. 312 à 316 du Code CiV11.) D

M° Périsse, rapporteur ; Sau-nière a soutenu l'affirmative; M'pris .past à la discussion . ) Ed-ga)esrs a soutenu /a négative. A mispaet ales discmstien, M. Marty, M. LaPelley conclu en (Matité de minus-.

Après le résumé présente sur laquestion par M. le bâtonnier, la rom:exerce, emmultee, s'est prononcéepour la négative.

PARTI SOCIALISTE S.F.I.O.)

Cenien NordGroupe Arnatarbgerased Coneerde

MatabiaLee membres faisant partie do ce

groupe sant .mstarrun.t priés d ai-â la réunion qui aura lieu le

jeudi 6 litanies 1997 à 21 heures ausirge 1 Bar de Paru, 3 Avenue deParis.

Ordre dis jour t Q.Udieu centraldu Parti ; causerie à envisager peurle rnois suivant ; questions diver.s,

la, presence de tous est indispen-sable à seule fin qua for eommencebien Palmée et que le travail soitbien same au point (1e vue pro-pagande et éducatien. Le camaradeDelle Berlia est spésialement invi-te à cette rémien pour donner sonavis sur la questiuus de la :presse etsur l'organe. central du Parti, ainsique les canseilfers muniefpaux ap-partenant air grume et disponiale.

Le Secrétaire u F. Corhière.EuNessEe SOCIALIMMES

A.entige générale mercredi 5

Rirmier 5927 à 21 :heures, Café He./NOS.

Ordre du jour t adhésions et eo.Mations bilan de la SOItée du 1.inmer ; cisnola rendu /essai et fl-nanelsr de 1927 ; renouvellement duBureau ; fplegli0116 iltVergen.

Eigni rirmné l'importance excep-te/anale do cette J'étymon, l'appel

nontoni sera fait. - Le Secrétaire :

L.

VIE OUVRIENE

ACHATS EN COMMUNd'anhe. d. la Bouse tiTis'

mal fera sa répartition aun camdiquée cotefédérés seulement ce mes. de 16 berme à19 heurs, samedi, aux mêmes heures, edimanche mies, de 10 heures à sud.

SYNDICAT DE LA T. C R. T.Le...a....des dm ateliers et dmigais

sont priés d'umistes à ln réunion qui auratas le jeudi 6 janvier 1917, à 18 heures.Présence indispensable.

LES SOCIETES

Coloniaux de la Houte-Guronne et Colo,nicao combattants. - Réunion generaledimandhe 9 janvier. à 9 heur.. 30, au sièce,15, pdace du Capitate.

Association dee Compter/es. - Meuseda5 janvier, cous de comptabilisé. Réunioni20 ilmures 30, ree du Taus, 71.

Euh Philluerménique. -- Ce sais rues»uedi, répétition indispensable à tons peurle lofe prochain concert salle Café BeriosCapitole.

&ale Galinate Toulousaine. - Lesmurs de musique, Interrompu Pas 7os 78-tes du Jour de l'An. reprendront /osemarche comme ;précédeminent. à partird. 5 coment, les mercredi et samedi, à20 heures 15 et Ics jeudi, à 14 heures 30.A mue occasion, de nouvelles innesip-tium seront reçues aur Feus et heures descours, au esigte de Yesole, rue TsaversièrSaint-Gearges, /2.

Fédération des Syndicat, dos .idettchand,Forains de France. -- :Troues catégories).- Rés.rn mensuelle le 9 janvier 1927. à

/6 heure:, a. auge GaN M.cciOrdre du Mur t AsEttésions, versements,

compte rendu ddégation Congrès de Paris.- Le sessétaire.

Anciens Cgrenwees de Tou/ouse. -Dans sa dernière assemblée générale du4 décembre. 1 Association a procédé aurenouvelleras00 de mn bureau MM, PuM, 1927est constitué de la manière suivante

Président, M. A. Foucade, T. Beldia-1: i secsétaire general u A. Lava/ use.

crérviresajoint, J. Bordes ; trésorier, Bail-;Ieud ; trésorier adjains, Sabehies ;nittsateurs t Radium, Boyer, Bonnefond,Merv ; archiviste, F. Radian.

Samedi 8 janvier, premier samedi dumois, réunion mensuefle à 2I hemes,siku Arcades Caphoh, gui sera suivied'une canfésencs, par M. le docteur Co-tanaisies.

Société des Amie... de Midi. - Lessociétaires sont priés de hien vou/oir assis-'cm 4 1/` m.Icks, qui aura lieu /e dimamdm 9 janvier. à 10 heures, rue Chenne, 9.

Sooiété d'Hotticultere de la liceute-Garor,ne. - Réunion générale le dimanche 9 jan-vier, à 14 hanses, au siège, Maison de FAericulmre, 9, rue (benne.

Distribuirm des récompenses aux lauréatsdes Expositions de Fennec.

AVIS EDE DÉCÈS

M. et Itlim Giellaume MALREL eteuie filles Andrée ot Odette ; M. A. AU.

CENDRE et Mme AUGE:NDRE, néeMALidEL r Mime Mania MAUREL, moie.ie. Sie SAINT-EMRE ; mue, Lee:,

et Regmende ALICE>DRE les famillesLARE.04O.E. CABIE et LAROCHE ontla dealear de faire sair s km, amie ecormalemnom de la pose mage cgilsviennent d'éprouver en la samoane d.

Madame veuve Emite MACHELnieusenem décédée à l'hm de 67 mgEt Ics prient d'assister à ses obsèques qui

auront lieu jeudi 6 janvier 1927, à 14 Ileu-ms, en 1,,éé, Saint-Semas.

On se réunira à la maison mortuaire : 15.me es Pis.

11 ne sera psi fait d'autre imimtion.

Pompes Fané.. Junicipe/eo, 34. ruePas gamin ières - Te/énhanc 1 I 1-40.

COURONNES /ARGENTER.Pt'tlses.32, /prés du Capitole/Claie non majoré P. Fore*. 5tss46s2,

AffitS 13,6 DECES

Mme veuve Eugène VAN ERKELENS,sen enfame et petits-ealame r àdme et m.Aue.. VAN ERKELENS leurs enfants

POUX r Mme et M. Henri MELLIAFIDpetirvenfants Ms. et M. Félisc I

et leu fille Jeanne erg k douten d. faim

17'se t;:7,7ia peinai. deMadiune Blanche VAN EREELENSLrar ors, lr,lr'r.eir, unir ii

19i'1; àéd'e a'n/,'''rn:OliceefeoiaStdcrnernenn,de

Et les anima damaa, à ms obsèquesqui amont lima le jeudi 6 janvier. à 8 beu-rre, en levli,e Saint- es m.

On se réunisa à ta mua. monuire 3,Piece Fabre,

Il ne sera pas fait d'autre invitation.

Pompes Funèbres Messie:pal,. 94, hmPargarninaéres -- Téléphone ; 17.40.

SWO/tifiNENESOSore turria de. ru. de licou:sate

Parures mariées , (animunresGourneues 9Ineueres.

ELaL-ClvIl de Toulouse

Publications es mariage.da 30 décembre 1926

Albe/ Maury, maréchal-dee-logis au 2nod'et/Rets, à Mayenee, et Mardse Mangea,employé, avenue de Muret, 19 ;

Ramène leo/onde, chaudronnier, run duCalvaire, 2 Ms; et Alexandrine Justmfré,ê p., boulevald des Récothts. 4

Jun Caysssud, artiste neIntre. avenueCrama., 80. et Marie Frai, chemisière, rue

Piesse Massonnié, employé. mcc Mont-rites Lanemade, nt Marie Sammhars, em-ployée, allée Seinte.Aane, 141.

da 31 devers.. 1926Henri Boneet, ajuseur, tue des Lois, 9

bts, et Laurance Quille, =ému:sienne,avenue Jmn-jeua, 12 s

iherre bldlinna, solde au 196. régimentd'artillerie leude à trameurs, ea gessismsà Bordeaux, e Marie Lemmes, tailleuse,<manies Laleaule.du 31 décembre e26. 1,, et 2 ja.viei 1927

r;;; `Cei`Z:""`

eks.89.08.4du 30 décembre 1926

Mea, Foi-and, ebe de l'Industrie, /1.- Niché Gardes, rosse de Castres. -flerence (toc, gammes 5...Mar.-dmTench - Elie 1....sme, rue Ah., 10. -Lesai Dole., amuie Sont-Mantuèdra'Ponds - Eine. Penne, ma Trayais«.Samt-Geonges, 7. - jean Meaml, rte desPrés, IL -- Geolges Coutsade, me Joue.se. 3. - Framema CDRIPM, o, Sa..Nlea.lee, 17. - Re.. Pinde, nue 130yard, 24.

Pimr Memel, nie SansTrember, 1

bi, - Anne lassons, boulevard Mata-Lao, 4

lu 31 décembse 1926Dbnise Pénis, sue DIeu (P.r.Deason

salles). - Christiane Rab, me Parme.Mères, 17, - Andrée Craben, sue de Ver-dun, 2. - André. Mak. rue Cruas, 2.

ManueBe Lasagne, queues Sain/Alarme-da-Tonds. - Jacruce Vase., avenue desMinimes. 78. - Madeleine Vil:luth, sueJeamPésint, IL

COSI Eh 20. rue de nermists1Loure/mea nectualege

Dée8sda 30 dacenthe 1920

Maressitta Cam, 32 ans, chemin de San,Venancia Viceno, née Moro, 65

ans, rue dis Traénes. - Bêtnerdeeux. veuve Famé, 65 ans, à Saint-Martin-du-Tosich. -Suzanne EyMenié., 4 me, sueiSamaSylve, 2. - Henri Lange., o mois,Plue Mme.., fr. - Bernard Frécisou,ans. quartier Csaurv-Dausade. -isuos13. - laule Marcs.. rions.6ans. ne de h;Laque, 0.- Elisabeth Bertran-ai, 80 an,'ce Malaxe, 20. - Françoise Cammas, 76ans, rue du Pont-SaintiPierre, 15. - JeanCorbaneu, 73 ans, rve Coulpe., 17. -Marie Mantouans, née Débamis 52 ans,Hame-Bartière Saint-Agne. - Marie Bon.nefous, veuve Jacob, 82 ane, faubourgBonnefoy, 12. - Eugènie Pic, 50 ans,mamies CroiaDiaunade. - Victor Seau.,83 ans, Cate.Pavée, 126. - Clovis deMannevilb, 73. ans, rue Joum-Aygnes, L -Pkagge Bertrand. 66 ans, rue de laPanure, 61. - Marie Ourmade, veuveBouchet, 73 ans, rue dee Trame-Six Ponts,17. - Masie Lacoue, rue du Féséna, 49.

Philippe Dulemil, 76 sas, rue d'Au.ael, dl .3eezélaaeL - Amélie 'MUN< deVenbrvien, 88 ana, rue de la Psovidence,57. - Asquane, veuve Cabibel. 91 ans,rue Saba-Thomas-d'Aquin, 23. - IrmaFan, épouse Sentenac, 59 ans. rue Tapin,23. - Jean Rebong, 57 ans, place desPénitents-Blancs. 17, Jean Bonnet, 81na, rue Lespinasse, 3.

Hospices : 4 ; aliénés, /.

O u 31 décembre 1926

Grégoire Lambc, 73 ans, quarter L,.lied, - Mirouse-Rigaud, épouse Ver-ger, 47 ans, impasse Cahamas 28. -Adrien SaiuMertin, 60 ans, bdulevard de/a Gare, 54. - Jean Damans, 56 ans, quar-tier Saint-Simon. - Ernest Dulie, 66 ans,ree P.1.13.e, 22. - Henry Usité, 60 sas,im Latérale Reymond-/V, 3. - HenryTirosesee, 10 ans, Vis...Clish. Lashoges.- Aisne Fabriès, veuve Monsane, 72 au,rue Tourne:malle, 58, - Marie Lacranum.veuve Péné, 85 ans, allée Share-Aima. 24.- Célesta. Pikan-Beard, éenota Sème,64 ans boulmard d« Strasbourg, H.

Séaalbe, 46 ans, meBernard-Mulé, 22. - Jeonneveuve Baysrd, 84 am, rue jeanSum, 7.

Antoincue Rouera, épouse Cingla,43 ans. sen Romne, 10. -- Anne Mandats-bic. veuve Lagarde, 76 ans rie du Télé-graphe, 5. - Calandla Ba. ve.ve VI.adi. 75 ans, rue Saint-Denis, Il -Maur.. 70 ans. rue Sainte-Croix. 3. -Yvette Bordes, I an, place des Feuillants,

Pierre luoutan. 64 ans, rue Omis,Porta, O - Marie Fonts, dm., 1-ausent,36 ans, boulevard Riga. 12. - Jban Bel,86 ans, allée de Brienne, 891 - lemPousse, 91 ana. me de l'Abreuvoir SainePinne, 2. - Maile Ses.), ...se limés,62 ans. rue Traversa-Saint-Georges, 24. -Catchas, veuve &Beate, 59 ans. quartierL.adenne..- Matic ?imam, 48 ans, meSaiute.U.suie. 20. - Joseph Cassia.. 64ans, rue Saint-Nicolas, 21. - Aegustorvuuvenel, 48 ans, place de la Dausede. -Pierre Delmas. 62 ans, rue de la Calmébette, 7. - Jeanne Fournie, veuve Rongé,86 ans, rue des

Glsasnps-Flysées'27. -

Françoise Au. veuve Delmas, 88 ans.chemin Fontaine-Lestang, M. - FripcoieeBardié, épouse Caneton 51 ans, Ne d.Goes, 18 ; joséshine E.se.a, el ans, ruedes Lots. 34 r Plarstade, rve Bos,sPos, 26.- Veuve Ponceux, (ii ana, soc C.M.Ba-agies, 19,

THEMIMiiu Cette%DEMAIN JEUD/

r , 19 h. 45 ; rid. 20 h 15 Ian bénéfice de /Institut I

des fennec Aveugle.

e Barder de Séville'MM Masa/ Cime Paine,Lanmann.

Man. Riens-Cas.Chat doreneere

Manse.ni

Le Via AigleFtené Maleon, Pen

.111e Pauly.

Chef d'orchestre :

Logone

Speeicles ic Teulouse

THEATRE DU CAPITOLE. - Cgmainendi, à 23 heures 15, au bénéfice de l'Ins-titut des Jeunes Aveugles Le Barbiede Séville », avec Mme Ritter-Ciampi,MM. Martel, Girard, Perse, Lacoume

Et r Le Vieil Aigle r. avec Mme Pour,MM. René Maison, Pernet. La repreeents-ian commencera peso Le Vieil Aigle n.

/2 auteur et le directeur du TIrvidre duCapitole prient instamment le public debien vouloir venir dès le commencementdu spectacle ; les portes devant être fer-mees des le iever du sadean peur ne pasdistraire le public pendasu

Samedi t s Sigurd s, avec Mlles Cay-lus, de Swetska, Cardy ; NEtl. Vemsni,Rougenet, Galinier, Ciwrd.

Dimanche, en matinée 2 t Les Contesd'Hoffmann m. En soirée t s Messaline r.

Le bureau de location est ouven pour'eudi et samedi. Fou dimanche, la Inca-Ion cammencesa vendredi matin, à lé heu-re,

Service spécial de tramway, à la sag.du Théâtre.

THEATRE DES VARIF.TF_S. -- Ce soismercredi, à 20 heures 30, inauguration dessoirées pepulairea Ces sepsésentations or-ganise. d'us commun accord pe la mu-nicipalité et M. Campes Audois', pennegIront skis facilement an petit public l'amdès de notre Masse etopérette.

Le am dm al.... nom d.nons neaprès permettes d'en juger

Loges avant-scène, 10 h I PI e faeas, 7 fr. /a place tissllai,bukou 00mLa ;idem ; premières et petesses susaho-ées, 4 fr la place t loges de secondes,3 fr la place ; parterres libres, 2 h. laPlace s +mégi:uses, 1 h. /a place.

Au anagramme e La Demoiselle duPrintemps o, avec le concoure de Mmes;Dames, Lefèvre, Mady, Lorand. etc.-'VITI. /chia, Laroche, CaosS. Bond.,

Le snemade se reimisera par /a balletde s La Feule Bokame sa. dansé pat Mllesfiataitle. Artigues et les darnes do corpside halle

TIMATRE LES NOUVF.AUTES, -;Les Nouveautés, ce soir avant-dernière se-mese/dation da cros ...ès de la troupedr mu.iehall.

lier, e. vos places à l'avance.APOLLO-TflEATRE. -3 h. et 9 hem

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/amine, et e La Manière Forte », cooldru Réductions vatables.

GAUMONT-PiALACE. TOULOUSAIN.- Programme du vendredi 31 décembre1926 au jeudi 6 janyfes 1927- MatinéeO 3 heures; soiree à 9 heures. Samedi etdimanche ; matinées à 2 h. 30;et 4 h. 30;oirée à 9 heures.

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Le roi des pince sans rire

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PLEIN LES BOTTESLa marelle dit fou rire

lie Fils de la PrairieAvoc W. S. PAlOT

LES DEVOYES(2' ePetlee)

3 MICIMMIII

Sous bonBet de paysanCC tfonve bon jugementLe pay.ri ne wit petd-titre pasbeaucoup de ch.., muutouqail

voit, il le voit bleu et. if saib étatiser-ons. lhe utile sans stage, 10 nuit,ir genseao qui distingue les desuselions04011 tire de et qui se passe autourde lui. C'est ainsi que M. Paul lignede Saint-lacqu., pur Barrème(Basses - Alpes, Mufti:rant *guisquelque temps de d.leurs rhuma-tismal., ont occasion de se rendrecompte des résuttats surprenantsqu'en au ea, sembla/Je au Sien, 1.Pilules Pink ovnis-ut don taifa

Quand on sotalthe de rhumatismesse dibusl cela veut dire que le sanga besoin d'étre refait et purifié. Etmaisgue les Pilules Pink le sefon,tdieu le sang, prenons des PilalesPinb. » M. Faut 131ane fit doue usagede, Pilules Ptah, et VOiDi ee qu'il eudil maintenant

« Jasais rénale de faire une curede Pilules Pink .pour faire dhpa-reître certaines delleurra rhumatis,amies tiarUguiièrmnent algues etqui Menaient pre.fue paralysé 1021Ir bras muante, test grjea. aux Pi-ntes Pink, que, seul on continuant

tranauX peelbles do la nui-nu,j'ai in disparaître tette deideur stgenante, ainsi quo biett d'autres dont's souffrais depuis quelque temps

las Pihaks Pink recatmtituent larichessg du sang, retrempent lesmerl', et stimulent Mules les fonc-tions de Porgeninne. Elles sent undes remèdes les plus ends contrel'anémie. la oblorose, la neurasthé-

releabliesement général, /estrembles de la Croissance et du re-tour d'Ise, les maux d estemaermaux de tete, épuisement nerveux.

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fr. les O 'rentes, plus 0 fr. 75 detineregme par bette

er.e.ognonennone,ggenoaneing6Getigeneong

Chronique rlionlie

liazsta-Sarollt3PARTI SOCIALMTE S.F.1.0.1

Héidération de la Haute-GaronneNOS REUN1ONS PUBLIQUESDes réunions publiques et con-

trodictoires auront lieu samedi 8et dimanche 9 janvier, noce leconcours du citoyen

VINCENT AURIOLDéputé

Amien président de la Commis,sien des Finances de le Chamebre.Elles seeont données

Le Samedi 8 janAer a 24. li. 30 IF/a/e-en-Dedon.

Le dimanche 9 jsmaierA Paucharramet, à 13 h 311A Rirà.; O 15 h. 30.A SuM1-Lue, 0 A/ h. 30.Au cours de ces rSt=ions, notrq

camarade traitera de I action auParti Socialiste dans la politiqueintérieure et extérico. de la Pm.ce et inVitera les électeurs socialisstee a adhérer au Parti.

SAINT-GAUDENSPARTI SOCIIALISTE

(sect)on de St-Gaudens). - LesMembres de /a section de Saint-Gaudens, sont invités à se réunirdans le /osai mdinairo de ses réu-nions, dans une salle du café Samt-Paul, boulevard du Nord, le di-manche I. courant à 8 h. 30 du

Ordre du jour. - Recouvrementdes cotisations en retard pour 1926Renouvellement du bureau de lasection pour 1927 Qu.tions di-verses à discuter dans l'intérêt duParti et de la section r Réceptionde nouveaux membres.

El/NOUE:TC DE COM:MCDO ET- Le maire de la

hum/mune de Saint-Gaudens aFhorinsur - d'informer ses adminis-trés eue, conformément à un arrê-té de M. le préfet de la Haute-Garonne, en date du 24 décembre1926, mie enquête de commodo etincommodo est ouverte sur /e prjet d'installation per M. Pour Lés-pull, alimentation en gos à Saint-Gaudens, d'un dépôt à. essencede 10.0,70 litres, dans sa propriétésise à St-Caudens, avenue de lis-te

Le projet ci-dessus visé avec lespièces à l'appui sera edlsesr,ab à lamairie pendant quinze iours, du 6au 20 janvier courant inclusive-ment. pour que les habitants puis-sent en prendre connaissance tousles jours de 9 heures du matin àmidi et de 2 à 5 hemes diasolr,

A l'expiration de ce dé/ai et pendant le jom qui suivra, cens à di-re le 21 janvier 1927, un commis-saire enquêteur, désigné à cet ef-fet car M. /e préfet, re,cevra à lamairie de 9 heures du matin à mi-di et de 2 à 5 heures du soie, les

observations qui pourraient êtrefaites sur le dit projet

AUTERIVE

TAXE DU PAIN. - A daterdu 5 janvier et jusqu'à ce qu'il ensoit ordonné autrement, le prix dupain de consommation couranteest fixé à 2 fr. 15 le kilo.

Les +sains de fantaisie pesant aumoins 900 grammes seront vendueéga1emexe 2 fr. 15.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

t> Cet

Une édition socialiste sermetionnelle

Au delà du MarxismePst Henri DEMAN

AU DELA DU MARXISME, pu Henri lent être au courant des mouvements d'i-dées dans le socialisme cantempmain. Pa.[kraal, est la traduction frmçaire du livre

socialiste le plus passionnémem tbatasdans les paye de /an,e a/lernande, depuisle revisionnisme Bermmin en 896. IlInmq. mo rupture radicale avec la demBirre marxiste traditionnelle. Il formulekne théorie nouvelle du socialisme, badéed'une put sur l'expérience du mouvernemPuvrier. d'autre part, sur l'analyse Psycho-logique de la pemée socialiste en tmt40'expression d'eue croyance. C'eu rne*dadas à t. sociologie de I. PinlemidiePHionatique do Bergson et de William Je.mea et de Ie poychmunalyre de Freud etd'Alfred Adler. Il en résulte uneSi.,,cmcen-du socialisme aussi différente de celleil. Marx que le mouvement ouvrier de 1926diffère de celui de la Première IMermtio.Inde. Dans les p,t nique. sa lais'Baleinées dans la Hee. arnMliam, 010me ms ad...g:paires recommiesent qm c'es.l'étude psychologique la plue 5,1110, eile plas vaste 011o0110été publiée eue lomouvement sedans. mondial. Ce livre estdoue indispansalde pour top ceux qui veu.

Cloprès l'opinion 0, quelques grande

iomnaux

Emme. tHedin. organe. do pani social.démocrate)

livre de Deman tan penser au,grands Angl,], destructeurs de vieillesMéee. à Shaw et à W... Il fait le procès àla science de 1800 au nom da la science de930. Ce procès n'est pas superflu. L'am

que est dirigée contre ee qu'il y e de m.duc dans le svetème doctrinal du marxisme.Phis qu'aucura autre, il est <qua 61e, measa ckhee vision dor réalités os mouvementsocialiste universel, de réduire à néant ré.,sa,a conception d'après laquelle le smia.gime »haie défait, mals k marxisme A.car.

Weefaliehe AI:grume Vorkzeituna(quotidien social-démmrste de Wetpha.(id

Depuis le livre do Porno., en 1854.I. littérature socialiste na Hus produitd'oeuvre de utte importance. s

Det Aefbau (revue mcialiste suisse) /

Ce livre .ntient une telle Wh,. d'ob.mrvations et dc peusées on'ummuu

PrAn-

itige ne le /ha sana être vigouremememeti.mea ei instruit. s

luuouer.cher Idude, (M'Oui conserva.tem)

Ce lima retlacIte le socialisme a.soume apirituellee occklen.

Eue raison nmjeure, decisiveque Ln vas comattre.

Et le comte eut mie oropréme hé-sitation Mie de dire

Cette jeune fille n1 peut êtreta femme peine que dos liens sa-ines l'caiooeetO toi.

Père, que me dis-tu. là?Sans giaraitre remarquer L'inter-

notation du lieutenant, le comtemn/Muait

PSU`, que le 1110ille MAg pa-ternel roule dam vos veines._ par-c, qu'oie amtriaige entre Lolo se-rait un inceste.

Le magne sang paternel?Oui, num enfant.

Le jeune 'homme avait poilméari. Il reculait en ellêMe temps, per-lait se, maints à son front, et ses

rue r y a ult mois e Pmiért édition allemande en est déjà iptdeée,ung éditiou Populaire est mus presse etdes traductions en Horn. langues 1z1111.l.neci mois eetie année.

XLa souscription au livre de Den. ser

clore le I5 décembre 920.Le valu... 50 francs Urne.. 450 p)Le prix est fixé mas engagement.Ions ceux qui veulent s'assurer la Pat.

session de cm harpon. sevrage, doiventse faire inscrire en envoyant le bulletin demuscription cl-dessous. Joindre ta sommede 10 francs à la souscription. II ue nom,.pas Are Lent compte soumriptions quine seraient pas amman.némmusai. de 10 fmn..

L'édition sortira de me»,, nt I, rotoripait. A époque. If édite. mettraen circulation les quittances pour recouvrer

compléreent du mix de l'ouvrage. mit40 &aut.

BULLETIN DE SOUSCRIPTIONJe soussigné (nom ri prénoms) ....... . - . ......

(adresse)déclare souscrire 11 exemplaires de l'ouvrage intituléAU DELA DU MARXISME, par Henri Demain, au pris de 50 fr.l'exempluire. Je verse ce jour à votre compte de cheques pos-faux 5277 à Toulouse, la soitune de Dix francs, eomme premieracompte. Le solde soit 40 francs, sera payé lors de l'édition et011m préseuta,, de la quittance.

(Dale et signature)Le présent bulletin de souscription est à renvoyer au Midi

Socialiste, 30, Rue Roquelaine. d Toulouse.

/aie et lui /end ses ancêtte aristecratiquesle christianianp et l'humanisme. "I faut enremmmander la lecture à tous tee Emme.

(ml injustice aux nécessités du tempsprémnt parce codila ne savem pas distin.suer entre I, socialisa, constructif et leAnuniurieme marxiste.

Rhein-Heiniache Vollumitring (catholi.que) j

Ce livre marque un tourna. dans Mateireplu mcialinne, C'est une remue éton.namment omthétique. un document de cetesprit humaniste qui nous frappe si pria.pat/tique.u1 cher deà socialistes /muid.mus commetrotta. Amtole France ma

Shaw.. Ce livre est une couvre de ut».uuce, de totalité et de durée. qui réduit lacritique à l'impuissance.

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Nous minmes convaincus no.,, livreaura une importance européenne voiremondiale... Il a ea place auprns du Capital,A, Karl Marx..

KdVed,..e (directeur dethotim de ph:lasso-hie h Darmstadt

Le livre de Demutl est l'ouvrage le pl.imPortant sur k problème menai depuisLe Copi./ de Midi Personne avamd'a représente ce qu'il o, d'éternel dans laPensée mcialiste avec autant de pasaiontérkure et autaM de mnviction.

MAIS ONâPouf' TaltuLA REVUE PRA tlelldde l'HABITATION et de FOYEA

exuplionnelie Je jardine et Deus-ComMates le smilere de Salie rteften1 au emplis

si tom nem dm.UN AN sa Fascicules Albums 7 Le Fascicule tr.

HACHETTE. 79. BOULEVARD SAINT-DERMAIN DIOPLIVEELumsamm. spasmes,*

Mes s'y crispaient comme Cil eûtveule, ensacher quelque voile cancomprimait, qui Obscurcissait sespensées.

Comme Mi Ivoulait mettait unpeu de imingre ao Miel de, Me-in-es qui l'environnaient.

Et après un instant :

Mais Mors_ si je comprends.je ne suit pas. à aetto seconde, Io

jonet d'un cauchemar horrifiant,c'est lei, fiée°, dUi fus coupable_c'est toi qui m'ends une faute?

60,lvépine sema le tête.Tu ne peux rien me reprocher.

aluns... C'est ma mère...Mi l'affreuse Pensge que jg re-

pousse do toutes mes forces.Serge.

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Le gérant : DARRICAU

?RIDOIR

Ma aigre_ tu accuses nm mè-re?

Je n'accuse pas ta mère_ EtLu ne dois pas toi-même l'accuser_J'ai pardonné oe qui fut pour elleune doujoureuse erreur de Mimes-.. Tu pardonneras comme moi.Mais tu ginelineras devant le faitactimpii. Tu te résitmeras à on

Mers ma mère est aussi lamère de nette seatee

Et comme le comte haletant levisage. °mort de sueur. visible-ment en proie à une torture atinsce, hésitait encore quelques secon-des avant de détruire tout ee que'M'amis et lui avalent édifié, meutde Are toute la vérité à ee mnreux.

n'osb» nad répondre._ trie-re.:. Tu vois bleu que tout cela estpour m'éprouver._ que tu joues ence minent je ne sais quelle offre.yable comédie_ Non... non... entrecotte jeune fille et ma mère, il n'ya aucun lien... aucune attache_

Geai est vrai.vois... tu vois Hen_

Et déjà un éclair d'mpOranee fol-le tmersait le regard de l'officier.

Et un soupir obehapiesit de satptitrine thOldIbileinnend gOntrandéo.

Pendant me seconde il respirait.

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L. SOMME

glais le comte ajoutaitCe qui est vrai, Berge_ c'est

que le père de cette iourte fille estton père h Mt

Mu,, pstet,Lor.que épousé la mère-,

je tai reconnu comme mon fits...mita la vérité.

01001lin noraveau cri s'échappait des

lèvres blêmis, des revues frémis-santes du jeune homme.

11 fal»ait ereore im pas de recul.Et il devait soudain se cramponnerà un meuble. car il voyait tes chu-cru Verifier autour de lui

Los paroles du ceinte ne lui arri-vaient plus que Mintoirms.., prou.'lue moi/st:notes

Je EU recousu pour mon fils,mais Lu n'es pas nen DIS_ Tu avaisprès de- cinq ans tomme je te vispour la première fais Ton père s'ap-pelait de Rammil. C'était le père decolle jeune fille qu'iule fatalité hn-placable... effroyalic a placée sur

Le vieillard ,'arrdt.Cst Ore. lui était affreusement

failMle. Et pois i/ avait pour Ser-ge une affeetion très profonde et ilsouffrait sincèrement de le faireMuet souffrir,

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Le

La lieutenant, accablé, s'était lais-se tondier sur un fauteuil.

tle,ulp0tnoi,sla,t il resta jefront entre ses mains.

Dolvérine vint à lui.Mon pauvre enfant!Ah que je souffre.Pourquoi Dieu astsil voulu

pour toi cette gatiÉtfrance?La mort serait plue douce.

lais-toi...Le vieillard s'empara dm mins

l'officier.Celuisci relevait la Ode. .

Il fit un effort désespéré et eu-no voix changée, mecomaissable

Il faut tout nie dire, je veuxtout savoir.

Je ne puis te Aire ce que j'igno-re moi-in(me. Mais tout ce que jeseis. Serge, tu le muras à Lon toueDo la minute où j'ai connu ta Mi-re, je lui ai voué une affection lega-to et sans bornes. Elle Ma déciardqu'il y avait une Mirette.., rine fautedans sa vie_ dan, son passé Decelte erreur, de cette faute qu'el-le avait d'ailleurs expiée par hiendel larmes, tu étais né.

C'était perûlent 01, séjeur que,jeune fille, elle fit en France.

» Je m'inclinai devant ce que tamère me déclara.

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» Je n'avais à m'ériger en justl-eier.

» Je lui promis que Mono trnoncour .ralisolvais nepassé et que ja-mais entre nous r n'en serait plusquestion.

n Je tins ma parole.si Voilà ce que je pujis te dire.

Mais ce nom de Ronieuil..,mcn père?

Ta mère m'avoua ce nom I ce-lui d'un homme aux serments dequi elle crût

Et elle fut trompée?931e fut trompée.

Serge malt UMM la tete.Et tout à coup, se redressant

brusquement!delà, ce nom de Romeuil, plu-

sieurs hommes ont pu le porter enFrance. Out 0000 prouge que monpêne est celui do eimone.

Une dernière lueur oh tien foi-ide palpitait elle011e Inle secondedans leu largets prunelles de l'offi-cier.

Golvérine impitoyablelas pour accomplir gon devoir jus-qu'a.0 bout ne devaihil pm l'être?

forçait cette lueur k s'éteindreaumilût.

Au cours du voyage que nousaccon-MM.» en Suisse el dent hi Lnsouviens puisque lu dosais y yen-

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.stte jeune tille, ta mei,me fd une déclaration qui ne ergmet de garder amun doute à tesujet. Gel homme, ce M. de Itorniamadont on retrouva le cadavre de»;d'aussi tragiques ch:must:Inc. Mil'hien celui qui avait abusé de tecnnfiarge et de son mur.

men père: fut iro W,clio?

Ta mère a garilit sonquo j'ai, moi, respectés

Dec !annela' apparurent dansveux du jeune homme.

I, ne put les contenir. Jiront tout à coup de ees pan0

roulèrent sur ses joues.Pleure, mon pauvre mil'

murmura le comte. les ISIVItteelSPI ont peutetre un Pe, hmgrin.

itn ence tragique pesa pen1.ut: moment.

1.4 suie.,

-- ----..,-,:crcrummaremmr:rnmrcm7mmum,ca,ammenuremmercrurr memnrcrcawnrcrnmmMM;Furmr::mcmmrcra:mrrmrr --crnrmrmrmrrru,mrmmea,,,,,,s:rcmrrp'AIttibli.aelemmazamm.lammzmmuntemaummetemur-mmumanmemmai ,,:amzum..r. ... ......................................................................................................................

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