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Une série documentaire de Domingo Moreno

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Une série documentaire deDomingo Moreno

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SUR LES TRACES DE LA TRANSHUMANCE, LA TRANSHUMANCE EN ESPAGNEAu rythme des troupeaux, guidés par leurs empreintes dessinées sur la neigeou sur la terre des drailles, nous nous immergeons dans ces chemins detranshumance et dans les vies qui les peuplent, en dialogue constant avec lanature qui entoure cette activité ancestrale.

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La serie documentaire Sur les traces de la transhumance, la transhumance enEspagne propose dix itinéraires, dix voyages aller-retour, en compagnie debergers transhumants et de leurs différents troupeaux: bovin, ovin, caprin,chevalin et taureaux de combat. Chaque épisode propose une approche à laréalité complexe des hommes et des femmes transhumants, un parcoursunique à travers des cañadas, veredas, cordeles et chemins de transhumance quisillonnent toute la péninsule ibérique, reliant ses espaces naturels et leurgrande diversité biologique.

Les documentaires montrent le présent de l’un des plus importants etsignificatifs phénomènes naturels, économiques et culturels de l’histoire del'Espagne.

La transhumance est le mouvement de troupeaux entre zones géographiqueséloignées, visant une exploitation raisonnable des pâturages disponibles. Cesdéplacements se font au rythme des saisons, à la recherche de terres auclimat doux en hiver et de zones plus fraîches en été. La transhumance est unexemple d’élevage durable, fortement lié au territoire.

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Leurs témoignages structurent engrande partie le récit documentaire.A travers leurs paroles nous découvronsl’héritage reçu de leurs ancêtres (ilssont tous fils ou petit-fils de bergers), etles difficultés contre lesquelles ils sebattent aujourd’hui pour continuerdans l’activité. Leur mémoireprodigieuse dévoile une profondeconnaissance du territoire dans lequelils se déplacent au rythme des saisons.

Les bergers, avec grand zèleprofessionnel, veillent toujours surleurs animaux, ils les connaissentparfaitement un à un. Leurengagement avec l’élevage estexclusif. L’existence de toute lafamille est consacrée à lamaintenace du troupeau.

De nos jours l’élevage berger etla transhumance contribuenttoujours au développementéconomique et social de beaucoupde villages de montagne. Dans lepassé, ces activités ont modelé lespaysages que nous connaissons etont donné lieu à un mode de viecyclique, très lié au monde rural.

Les transhumants ne sont pas desimples meneurs de bétail, dessiècles durant ils ont été l’un desrares collectifs à voyager au long dela penínsule ibérique. Ils sontaujourd´hui des porteurs detraditions et de culture échangées enaller-retour entre le nord et le sud.

La transhumance est un systèmed’élevage extensif parfaitementintégré avec le milieu naturel. Elledonne lieu à un espace unique formépar les chemins de transhumance, lesdivers sentiers et les drailles, et celui-ci, en conjugaison avec les zonesmontagneuses du nord, les plaineset les pâturages du sud forme uncadre de paysages ruraux de grandevaleur écologique.

Les diverses drailles en Espagnesont des biens du domaine public.Ces chemins tracés pour et parl’élevage traditionnel sont structurésdans un vaste système dont lalongueur atteint les 125 000kilomètres avec une aire de 425 000hectares (4 250 km2), soit 1% duterritoire de l’Etat Espagnol. Ce sontdes voies migratoires qui agissentcomme de véritables couloirsécologiques en favorisant labiodiversité de la flore et de lafaune, la distribution géographiqueet les échanges génétiques desespèces sauvages.

La bonne conservation d’unegrande partie des espaces naturelsde montagne et de pâturage enEspagne dépend de la transhumaceet de l’élevage traditionnel. Lesbergers sont d’ailleurs les acteurs

principaux dans préservation de lasurprenante diversité génétique destroupeaux qui transhument,composés en grande partie par desraces autochtones. La maintenancede certains écosystèmes uniques enEurope dépend en grande partie dela sauvegarde des bonnes pratiquesd’élevage, en coexistanceharmonieuse avec le milieu naturel.

Les bergers et leur monde sontles véritables protagonistes de laserie Sur les traces de la transhumance.

L’ESPACE TRANSHUMANT

LES BERGERSTRANSHUMANTS

“Nous sommes tous petit-fils ouarrière petit-fils de bergers”

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LA TRANSHUMANCE DES VACHES " AVILEÑAS" D'ESTRÉMADURE À GREDOS

LA TRANSHUMANCE DES MÉRINOS DES MONTAGNES CANTABRIQUES À L'ESTRÉMADURE

LA TRANSHUMANCE DES TAUREAUX DE COMBAT DE LA " SIERRA MORENA" À LA " SIERRA D'ALBARRACÍN"

LA TRANSHUMANCE DANS LES PYRÉNÉES DE NAVARRE LA DRAILLE DE LA VALLÉE DU RONCAL

LA TRANSHUMANCE DES CHEVAUX DANS LES PYRÉNÉES " LA VALL FOSCA"

LA TRANSHUMANCE DES CHEVRIERS D'ESTRÉMADURE " LA VALLÉE DU JERTE"

LA TRANSHUMANCE DES CHEVRIERS D'ESTRÉMADURE LA " SIERRA DE LA VERA"

LES TRANSHUMANTS DE GUADALAVIAR LA " CAÑADA DE CUENCA"

LA TRANSHUMANCE VERS LA MÉDITERRANÉE LA " RUTA DEL LLOSAR"

LA TRANSHUMANCE DANS LES PYRÉNÉES ARAGONAISES

SUR LES TRACES DE LA TRANSHUMANCE LA TRANSHUMANCE EN ESPAGNE10 épisodes

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Nous assistons à l’une desdernières transhumances de longparcours qui se maintiennentencore en Espagne. Plusieur famillesoriginaires de Guadalaviar (Teruel),localité de la Sierra d'Albarracinmarquée social et économiquementpar la transhumance, y participent.Elles unissent leurs troupeaux, plusde 5000 moutons pour réaliser lepériple. Elles partagent ainsi leurconduite au long de la duretraversée à pied qui dure 25 jours,suivant la Cañada de Cuenca, pouratteindre les pâturages andalous deJaén. Les Serranos nous fontdécouvrir, outre un richepatrimoine ethnologique et culturel,les précieux écosystèmes et paysagesque traversent les grands cheminsde transhumance de la péninsuleibérique. Malgré les difficultés qu’ilsdoivent surmonter de nos jours, ilssont un exemple de l’importancequ’a la transhumance commemoteur de développement debeaucoup de villages de montagneet comme facteur de conservationdes pâturages du sud.

Les frères Sanz sont descendants d’une lignée de bergers des montagnes deNavarre qui depuis des générations réalisent la transhumance. Ils parcourent laCañada Real de los Roncaleses, un chemin berger qui unit les pâturages des portsde la Vallée du Roncal, dans les Pyrennées Navarres, avec les Bardenas Realeset la communauté de communes aragonaise Las Cinco Villas. Ces bergers sontconnus du fait qu’ils maintiennent un troupeau de moutons de grande puretégénétique appartenant à la race autochtone Rasa Navarra. Ils sont des témoinsautenthiques de l’évolution de l’élevage extensif dans les 60 dernières années.

L’éleveuse Elena García est marquée depuis son enfancepar la transhumance et la conduite du bétail. Malgré sesétudes en Beaux Arts et une période vécue en ville, elle estrevenue à son village dans la montagne d’Avila pour y revivrel’élevage traditionnel. En dépit des problèmes économiqueset sociaux avec lesquels elle butte à chaque pas, elle conduit200 vaches de la race Avileña Negra Ibérica au long d’untronçon de la Cañada Real de la Plata et par les cordeles quiunissent les pâturages de Trujillo avec les montagnes deGredos. Elle est acompagnée par deux vachers, bonsconnaisseurs du chemin de transhumance et du maniementdu bétail. Les vaches de la race Avileña sont des bêtes trèsrustiques, habituées aux déplacements et aux différentespâtures de plaine ou de montagne.

SINOPSIS

LA TRANSHUMANCE DANS LES PYRÉNÉES DE NAVARRE

LA TRANSHUMANCE DES VACHES " AVILEÑAS"D'ESTRÉMADURE À GREDOS

LES TRANSHUMANTS DEGUADALAVIAR

LA " CAÑADA DE CUENCA"

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Nous découvrons les traverséesde printemps et d’autômne d’untroupeau de plus de 600 taureaux decombat, conduit par cinq bouviers. Ils’agit d’une transhumance uniqueau monde, singulière en vertu desdifficultés trouvées dans lemaniement et dans l’agressivité desbêtes. Les bouviers sont demagnifiques cavaliers. Ils ne peuventjamais s’éloigner du troupeau etdoivent être autosuffisants tout lelong du chemin. Nous les regardonsquitter les pâturages et les oliviersd’Andalousie, silloner les mers de bléde La Manche et s’enfoncer dans lesfôrets des montagnes de Cuenca. Ilstraverseront des routes, des ponts etdes rivières pendant 25 jours pouratteindre les riches herbages de laSierra d'Albarracin (Teruel). Avecl’arrivée de l’autômne ils descendentdes ports enneigés et rebroussentchemin vers les doux pâturages du sud.

Les chevaux ont toujours participé dans les transhumances de long parcourscomme bêtes d’appui. Cependant, depuis longtemps, dans quelques zones demontagne des déplacements de chevaux entre les vallées et les ports sont réaliséschaque année. Josep Banlles, est reconnu par les habitants de la Vall Fosca, dansles Pyrénées de Lleida, pour son engagement dans l’élevage de chevaux hispano-bretons. Homme inépuisable, il fait à pied la transhumance avec 200 juments etleurs poulains. Il s’agit d’un parcours circulaire depuis la Vall Fosca au Port Filia,dans le Pallars Jussà, sans sortir de la province de Lleida. Au long du chemin nousobservons les difficultés liées au maniement des chevaux dans les déplacements,malgré la bonne aide des membres de la famille et des amis de l’éleveur.

SINOPSISLA TRANSHUMANCE DES CHEVAUX DANS LES PYRÉNÉES" LA VALL FOSCA"

LA TRANSHUMANCE DES TAUREAUX DE COMBAT

DE " SIERRA MORENA" À LA " SIERRA D'ALBARRACÍN"

Lionel Martorell transhume avecson troupeau de moutons de raceCartera. Il suit le Chemin du Llosar,une des voies de transhumance de laMéditerranée qui unit les montagnesde Gúdar et du Maestrazgo (Teruel),avec le nord de la province deCastellón et le sud de Tarragone. Lechemin berger se dessine bordé demurs de pierre sèche et de veillesmasures. Il traverse le ravin desSalvasories et la Rambla de Cerverapour atteindre des pâturages louésdans le Delta de l’Ebre.Pilar Gargallo est la compagne

infatigable de Lionel, elle aussibergère transhumante. Ils se sontconnus à Fortanete, village d’où elleest originaire, dans lequelaujourd’hui ils habitent et où letroupeau passe les étés.Lionel est un berger engagé avec

la profession. Son témoignage etcelui d’autres bergers et bergères duMaestrazgo nous font découvrirl’importance de la transhumancepour la conservation du territoire.

LA TRANSHUMANCE VERS LAMÉDITERRANÉE

LA " RUTA DEL LLOSAR"

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Les vies de Longinos et de MaríaEugenia sont entièrement vouées ausoins de leurs Merinas. La laine decette race de moutons fut des sièclesdurant la plus grande source derichesse d’Espagne. Ils pratiquent unetranshumance qui évoque les grandsdéplacements médiévaux de la Mesta.Après avoir séjourné dans les

pâturages d’été de la montagnePalentine, les bergers et leurtroupeau composé de 1500 moutonscommencent un long pélerinage de700 kilomètres, parcourant parfoisjusqu’à 30 kilomètres par jour. Ilssuivent les itinéraires marqués par laCañada Leonesa Orientale et laCañada de la Plata, traversent lesvilles de Salamanca et de Madrid. Leslongues journées semées d'obstaclesde toute sorte les conduisentfinalement en Extremadure, auxpâturages proches du parc naturel deMonfragüe (Cáceres). C’est dans lesud où auront lieu la mise à bas, letondage et le marcage des moutons.Ils y resteront jusqu’à l’arrivée duprintemps avec lequel ilsretourneront à nouveau dans lesmontagnes cantabriques.

Avec les neiges d’autômne qui habillent les montagnes pyrénéennes lestroupeaux qui y séjournent sont obligés d’entreprendre le voyage transhumantvers les pâturages des Terres Basses. Celui d’Alberto Suils s’engage dans laCabañera, le draille la plus orientale des Pyrénées Aragonaises. Le jeune bergerse fait acompagner d’Antonio, qui à 72 ans est encore capable d’endurer unetranshumance de plus. Il a découvert à Alberto les secrets de la transhumancequand celui-ci était adolescent. Après de longues journées de marche, traversantdivers espaces naturels et villages, franchissant de modernes obstacles, letroupeau atteint sa destination. Alberto et ses moutons passeront six mois dansla vallée du Cinca. Là aura lieu la mise à bas, le tondage, le marcage et lavaccination des bêtes. Puis, les premiers jours de Juin, débarrassés de leur laine,les moutons retournent à la montagne.

Felipe Gálvez est le dernier d’une longue lignée de chevriers transhumantsde la Vallée du Jerte (Cáceres). Il fait les déplacements à pied avec toute safamille. Dépourvu de terres de pâture en propriété, ce berger est obligé de vivreen permanence dans un état provisionnel. Avec ses chèvres productrices deviande et de lait, il se déplace le long du Cordel del Valle, chemin pastorauxqui mène au contrefort de la Sierra de Gredos. C’est dans la zone montagneusede Tornavacas où il a la bergerie et les pâturages d’été. Il y a quelques ansencore il produisait le fameux fromage artisant du Jerte. Les témoignages duberger et de sa famille nous font comprendre l’importance que l’élevage a eutdans cette région d’Estrémadure, tant pour l’économie des villages commepour ses paysages.

Les frères Luciano et ManuelVelázquez sont, comme l’ont été leursparents et grand-parents, des chevrierstrashumants. Fin Juin tout est prêtpour commencer le voyagesaisonnier depuis les pâturages duparc naturel de Montfragüe, vers lesterres fraîches de la Sierra de Vera.La transhumance parcourt untronçon de la Cañada de la Plata etcordeles, dans la province de Cáceres.Le troupeau de 500 chèvres de raceSerrana, est conduit à pied avec l’aidede magnifiques chiens mâtins. Lesdifficultés du parcours sont accruesdu fait d’avoir à traire les chèves tousles jours et du transport du lait.Une fois l’été terminé, ils

quittent la sierra pour retrouver lespâturages reverdis chaque autômne.

LA TRANSHUMANCE DES MÉRINOSDES MONTAGNES CANTABRIQUES À

L'ESTRÉMADURE

LA TRANSHUMANCE DES CHEVRIERS D'ESTRÉMADURE" LA VALLÉE DU JERTE"

LA TRANSHUMANCE DESCHEVRIERS D'ESTRÉMADURE:

" SIERRA DE LA VERA"

LA TRANSHUMANCE DANS LES PYRÉNÉES ARAGONAISES

SINOPSIS

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IMÁGENES DE LA SERIE

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ou l’assainissement des bêtes.Le degré d’engagement acquis

ces dernières années par DomingoMoreno vis-à-vis de l’évolution de latranshumance en Espagne, l’ontmené à participer dans des congréset des rassemblements nationaux etinternationaux au sujet des peuplesnomades et transhumants, ainsiqu’au developpement d’autresdocumentaires sur les racesautochtones et l’élevage demontagne dans différentes régionsde la peninsule ibérique. Poussé parce même intêret il a réalisé desincursions dans des pays comme la

France et le Portugal à la rencontred’éléments du patrimoine naturel etculturel partagés par beaucoup depeuples liés à la transhumance.

Aujurd´hui, après un travailminutieux d’études sur le terrain etla découverte d’autres mouvementsbergers, nous avançons dans lapréparation de nouveaux épisodes.Nous ne voulons pas perdre la tracedes chemins encore marqués par lesmilliers d’empreintes.

Le récit de leur expérience exprimédevant la caméra se révélait alorsêtre un document irremplaçabletémoignant d’un mode de vie et deconnaissances héritées en rapportavec l’élevage traditionnel. Nousavons toujours évité d’utiliserl’expression “le dernier destranhumants”, mais en beaucoup decas cette phrase usée et qui, avec uncertain air romantique, prétendfaire des bergers une relique dupassé, s’accomplissait.

Outre le voyage aller-retour, sontrecueillis dans les documentaires les

aspects quotidiens de la vie menéedans les pâturages d’hiver et d’été, lesactivités relatives à l’élevage qui ontlieu tout le long de l’année telles quela mise à bas, le tondage, le marcage

Depuis 1998, le cinéasteDomingo Moreno et son équipe ontparcourru les chemins detranshumance, cañadas, cordeles,drailles et sentiers à la rencontre destroupeaux qui transhument encoreen Espagne. Chaque épisode de lasérie est un récit essentiel du longvoyage vécu, de très près, avec lestranshumants.

Dans un début l’objectif était demontrer les différents mouvementsbergers qui demeurent actifs dans lapéninsule, et de voyager avec lesdifférents troupeaux, la plupartcomposés de race autochtonesovines, bovines, caprines etchevalines.

Nous avons vite découvert que lematériel filmé lors des premièresannées acquérait une valeur depatrimoine. Quelques uns deséleveurs que nous avons connu àl’époque, poussés par différentesraisons, ont arrêté de transhumer.

Este es el zurrón

de un viejo pastor trashumante.

En este zurrón guardo yo las piedras

—pequeñas y ligeras—

que se acomodan a la medida de mi honda.

(…)

León Felipe

El zurrón de la piedras

LE TRAVAIL DOCUMENTAIREFilmer les chemins transhumants

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Réalisateur, scénario

Musique

Image

Edition, montage

Graphisme

Consultant naturaliste

Opérateur caméra additionnel

Assistant caméraman

Son

Assistants à la production

Photographe de plateau

Voix

Mixage

Directeur de Production

Produit par

En collaboration avec

Domingo Moreno

Joaquín Pardinilla

Domingo Moreno

Luisa Latorre, Domingo Moreno, Paula Barcelona

Luisa Latorre

Eduardo Viñuales

Jorge Yetano, Sebastián Vanneuville, Carlos Gil

Arturo Pérez, Enrique Yebra, Javier Estella

Arturo Pérez, Enrique Yebra, Jorge Yetano

Arturo Pérez, Carmen Moreno, Josep Martí, Jorge Bautista, Loreto Val

Carmen Moreno, Josep Martí

Jesús Brotons

Estudios Roma

Domingo Moreno

Domingo Moreno P.C., TVE y Multicanal

Fundación Biodiversidad

FICHA TÉCNICA

COPYRIGHT

De l'œuvre audiovisuelle (4 épisodes): © 2006, TVE, Domingo Moreno PC, MulticanalDe l'œuvre audiovisuelle (6 épisodes): © 2009, Domingo Moreno PC, TVE

DOSSIERGraphisme: Luisa Latorre

Photographies: Carmen Moreno, Josep Martí, Jorge Yetano, Domingo Moreno

Traduction: Sebastián Vanneuville

CONTACT

Domingo Moreno Producciones Cinematográficas S.L., Tel.: (+34) 976 56 58 69, Móvil: 629 25 93 14

[email protected] www.domingomoreno.com

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Produit par En collaboration avec