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62 Le magazine des VOYAGES DE CHASSE Hongrie Ce pays de forte tradition cynégétique fait partie de la communauté européenne. Les armes passent facilement et les grands animaux abondent. Deux bonnes raisons pour faire le voyage. A près avoir vu de nombreuses vidéos sur le brame du cerf nous réservons auprès de Bertrand de Courcy et de son organi- sation, qui allait devenir HUNTING AGENCY, un séjour de cinq jours pour tenter de prélever un cerf. Bertrand nous explique que si nous souhaitons absolument des trophées de 9 à 15 kg nous devrons nous rendre dans les régions au sud-ouest du Danube et du lac Balaton. Dans cette région, le brame s’écoule entre le 1 er et le 15 septembre. Cependant si nous souhaitons des trophées infé- rieurs allant jusqu’à 8 kg alors nous pourrions aller dans les montagnes du nord (les pays nordiques de la Hongrie) où le brame a lieu entre le 15 et le 30 septembre. Ce décalage de temps est dû au climat et au change- ment de température. A partir du 1 er novembre on ne tire plus que des cerfs de sélection (bois anormaux, un mauvais aspect, etc.), en quelques mots, ceux qui ne sont plus parmi les meilleurs reproducteurs. Il nous est clairement expliqué que les cerfs de récolte sont des animaux qui sont en train de terminer leur vie de reproducteur et que leur prélève- ment est indispensable à la bonne gestion des populations afin qu’ils laissent leur place à des plus jeunes. Le poids pas le nombre d’andouillets En Hongrie on ne récolte pas les cerfs en fonction du nombre de cors de leur ramure. En effet ce nombre n’est pas significatif de l’âge ou même de la qualité des animaux. Si vous vou- lez un cerf de qualité, ne demandez surtout pas un 12 ou un 14 ou encore Grand cerf

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Hongrie

Ce pays de forte tradition cynégétique fait partie de la communautéeuropéenne. Les armes passent facilement et les grands animaux

abondent. Deux bonnes raisons pour faire le voyage.

A près avoir vu de nombreusesvidéos sur le brame du cerfnous réservons auprès de

Bertrand de Courcy et de son organi-sation, qui allait devenir HUNTINGAGENCY, un séjour de cinq jours pour tenter de prélever un cerf.Bertrand nous explique que si noussouhaitons absolument des trophéesde 9 à 15 kg nous devrons nousrendre dans les régions au sud-ouestdu Danube et du lac Balaton. Danscette région, le brame s’écoule entrele 1er et le 15 septembre. Cependantsi nous souhaitons des trophées infé-

rieurs allant jusqu’à 8 kg alors nouspourrions aller dans les montagnesdu nord (les pays nordiques de laHongrie) où le brame a lieu entre le15 et le 30 septembre. Ce décalage detemps est dû au climat et au change-ment de température. A partir du1er novembre on ne tire plus que descerfs de sélection (bois anormaux, unmauvais aspect, etc.), en quelquesmots, ceux qui ne sont plus parmi lesmeilleurs reproducteurs.Il nous est clairement expliqué queles cerfs de récolte sont des animauxqui sont en train de terminer leur vie

de reproducteur et que leur prélève-ment est indispensable à la bonnegestion des populations afin qu’ilslaissent leur place à des plus jeunes.

Le poids pas le nombre d’andouillets

En Hongrie on ne récolte pas les cerfsen fonction du nombre de cors deleur ramure. En effet ce nombre n’estpas significatif de l’âge ou même dela qualité des animaux. Si vous vou-lez un cerf de qualité, ne demandezsurtout pas un 12 ou un 14 ou encore

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un 16 cors. Il n’y a qu’en France oùl’on utilise ce critère pour qualifier uncerf.Bien que souhaitant un trophée de8 kg Nous optons pour le sud-ouestcar cette région nous semble plusbelle, avec une densité de cerfs etmême si nous ne prélèvons pas au-dessus de ce poids nous aurons peut-être la chance de voir de très grandcerfs. Nous avons la possibilité dechoisir entre un territoire plat sesituant entre les villes de Labod et deBarcs et un autre, vallonné, autourde la ville de Pecs. Nous optons pourun terrain plat.Nous nous fixons la deuxièmesemaine de septembre et nous nousdonnons rendez-vous à l’aéroport deBudapest.

En ce jour de septembre nous atter-rissons à Budapest-Ferihegy aprèsdeux heures de vol depuis Paris. Larécupération de nos armes et muni-tions se fait sur le tapis roulant com-mun à tous les bagages. Il nous suffitd’ouvrir notre valise de carabine pourqu’un douanier puisse vérifier avecnotre carte européenne d’armes à feule numéro de série et nous entrons enHongrie.Philippe nous attend avec une tra-ductrice car notre connaissance de lalangue hongroise est succincte. Il aun grand sourire et nous annonce :« Le brame a commencé hier soir surla zone de chasse ». Nous nous diri-geons rapidement vers le minibus carnous voulons arriver pour la sortie dusoir. Le réseau routier hongrois est detrès grande qualité et ce pays, sur ceplan, n’a rien à envier au nôtre. Enun peu plus de deux heures nousarrivons en vue du territoire. Nousavons posé tellement de questions etobtenu tellement de réponses quenous n’avons pas vu le temps passer.Il est 15 h 00 lorsque nous arrivons àla maison de chasse. Celle-ci com-porte deux bâtiments : un pour leschambres vastes et de grand confortet l’autre pour le restaurant et le baravec une belle terrasse qui sur-plombe un grand pré bordé par des

bois et coupé d’une rivière. Aprèsnous être changés, nous nous instal-lons sur la terrasse pour faireconnaissance avec les gardes etmettre au point les détails de notreséjour.Nous partons vers 16 h 30. Après uncourt déplacement en voiture noussommes déposés avec notre garde àl’angle d’une grande prairie et rejoi-gnons un mirador. Nous nous instal-lons et l’attente commence. Noussommes dans une prairie bordée debois et bosquets. Il n’est pas questionde pirsher car nous ne pourrions quedéranger les cervidés qui se sontréfugiés dans les bois et ils nousrepèreraient bien avant que nouspuissions les identifier.Rapidement, nous entendons un pre-mier brame puis un second et enfinun troisième. Le concert a com-mencé… Les voix se déplacent. Onsuit à l’oreille la progression de cha-cun des protagonistes. Soudain, il n’yen a plus qu’un seul. A-t-il impres-sionné ses adversaires ? Déjà les pre-mières biches et faons apparaissentdans la prairie. Nous en comptonssept. La voix du cerf s’est tue. Va-t-ilapparaitre et où ? Nous scrutonsdésespérément les lisières des boismais sans succès. Mais est-ce le cerfque nous espérons ou tout du moinsun de ceux que le garde envisage ?L’attente est longue mais palpitante.A la bordure du bois sur notre droitenous croyons discerner quelquechose. Oui c’est une ramure. Maispourquoi ne sort-il pas ? Il prend toutson temps tout en observant lesbiches. La tête sort, puis l’encolure. Ils’arrête. Pour pouvoir le juger et lequalifier il faut que nous puissions levoir en entier : appréhender sonallure et pas seulement ses bois. Ilporte 12 mais est-ce un vieux cerf derécolte et dans le poids que nousnous sommes fixé. Les minutes sontlongues. Maintenant, il a fait plu-sieurs pas précautionneux et unegrande déception nous prend : beau-coup trop jeune !Nous allons rester jusqu’à la tombéede la nuit à jumeler ce magnifique

cerf et sa harde qui a encore devantlui de nombreuses années à vivre.Il fait presque nuit et c’est sans fairele moindre bruit que nous descen-dons de notre mirador et regagnonsla voiture pour retourner au pavillonet nous installer au bar. Nous avonsencore tout le séjour et durant ledîner nous échangeons nos expé-riences de chasse.

Un incroyable concert

Lendemain matin le levé est à 5 h 00,il fait nuit. Après un petit déjeunerrapide nous prenons la voiture. Uncourt trajet, nous ouvrons les fenêtreset écoutons. Rien encore mais aprèsquelques minutes le brame com-mence. Plusieurs cerfs se fontentendre. Les cerfs se déplacent etnous les suivons à la voix. Maisaucun de ceux que le garderecherche apparemment. Nousrepartons et après 10 minutes nousnous arrêtons de nouveau : rien. Ilnous faut repartir et aller dans uneautre zone du territoire. Nous des-cendons de la voiture bien que l’onn’entende pas bramer. Il fait nuit etnous marchons précautionneuse-ment pour atteindre un mirador.Nous montons. Le garde à l’air sûrrde lui. Cela fait à peine quelquesminutes que nous sommes installéset dans cette obscurité profonde unconcert incroyable commence. Celabrame en face, sur notre gauche, versla droite : le garde sourit. Une voixsur la droite est rauque, profonde,d’une grande force. Le ciel est cou-vert et il est impossible de voir quoique ce soit. Les cerfs se déplacent etleur voix nous semblent tellementproches. On imagine, on sent lesdéplacements des cerfs, quelquesprovocations, les biches aussi peut-être. Le jour se lève doucement et il ya de la brume. Cela donne un spec-tacle féérique. On entend les cerfsbramer mais on ne les voit pas ! Ilsévoluent comme des spectres. A la pointe du jour nous assistons àbeaucoup de déplacements : lesvieux cerfs commencent à rentrer en

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Une chance à saisir

Les biches se couchent et il brame.Nous avons une chance à saisir. Acette distance le tir est possible. Quedit le garde ? Je le regarde et ilapprouve le tir. Un genou en terreavec ma canne de pirsch raccourcie,je lève la carabine. Dans la lunette jevois le cerf la tête haute qui lance unbrame puissant. J’attends qu’il aitfini, place la croix de mon réticule audéfaut de son épaule et serre la poi-gnée de la carabine. Le coup part et ils’écroule. Toute la harde rentre en forêt et seulà la lisière git ce grand cerf. Nousnous approchons doucement. Laballe est impeccable et il n’aura nul-lement souffert. De longues minutes,

trer en forêt et lui aussi ne va pas tar-der. Nous sommes encore à centciquante mètres, nous sommes enplaine et les animaux sont en lisièrede forêt. Ils ont plus de chance denous voir que le contraire. Nousnous abritons derrière une haie où enprogressant silencieusement, nousréduisons la distance. Maintenantnous devons être à 80 mètres. Legarde prend sa longue vue pour qua-lifier ce cerf : son âge, le poids de sesbois… Aucune erreur n’est permise.Cela semble durer une éternité.Surtout qu’à tout moment il peut ren-trer en forêt et cela sera très délicatde l’approcher, car avec les autrescervidés nous pourrions être surprisà tout moment dans les sous-bois.

forêt, les jeunes restent sur les petitesplaines… Nous repérons un cerf quicorrespond à notre recherche. Entout cas en principe, car noussommes loin et la brume n’est pasencore complètement levée. Au tra-vers de mes jumelles, à son allurec’est un cerf de récolte. Je faisconfiance au garde quant à la tailledu trophée. Nous descendons dumirador et allons tenter uneapproche. Nos déplacements sontlents et silencieux. Le cerf est enmouvement et il ne nous faut pas êtredécouvert par les biches qui sontnombreuses. Nous nous en appro-chons et l’étudions à la jumelle. Legarde semble confiant dans sonchoix. Les biches commencent à ren-

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avec le garde, nous contemplons cemagnifique animal, qui après plusample analyse nous donnera sonâge : 12 ans. Il est à son apogée etporte 14 cors. C’est avec une trèsgrande émotion que nous nous félici-tons enfin et lui rendons les hon-neurs.Lorsque le trophée aura été préparé ilaccusera sur la balance 7,950 kg : «Félicitation Monsieur le garde ». Le

contrat est rempli sans dépassementbudgétaire.La brume a disparu, le soleil est là etun grand silence règne. Nous pre-nons tout notre temps pour regagnerle pavillon de chasse : il est 9 h 00.

Durant ce séjour la chance fut avecmoi, car réussir dès le premier jourest extrêmement rare. Il faut recon-naitre aussi que je recherchai un tro-phée considéré comme banal pour laHongrie. Si l’on veut un très grandcerf il faut être prêt à patienter plusde temps.Il faut aussi savoir choisir le territoireet la qualité des gardes et cela n’estpas toujours facile.

Étant sur place et n’envisageant pasd’écourter mon séjour. Je demanderaià Bertrand et aux gardes la possibilitéde continuer les jours suivant de sor-tir matin et soir comme si nous chas-sions mais sans emporter ma cara-bine.J’aurai encore des expériences inou-bliables. Du mirador je pourrai voirsangliers, chevreuils, renards et touteune faune que l’on prend trop rare-ment le temps d’observer. C’estcomme cela que l’on se rend comptede la qualité d’un territoire.

Pourquoi aller en Hongrie chasser le cerf à l’approche ?

Les grandes plaines agricoles de l’est du pays, sont réputées pour les grands trophées de chevreuils. Les grands cervi-dés se trouveront eux dans la partie ouest du pays et pour les plus grands au sud du Lac Balaton, région vallonnée avecses grandes forêts. Au cours des ans la Hongrie a détenu plus de 10 records mondiaux de trophée de cerfs. Le dernier en date est de sep-tembre 2009 avec un trophée pesant plus de 16 kg.

La culture cynégétique hongroise et l’éthique de chasse de ce pays n’a d’égal nulle part ailleurs. La gestion du grandgibier y est portée au niveau d’une science. Tout d’abord il est hors de question de chasser en battue les cervidés, seulsles sangliers le seront et relativement peu puisque surtout chassés à l’approche toute l’année.

La Hongrie fait partie des plus belles destinations de cerfs d’Europe de l’est. Elle a su garder ses traditions et les prélève-ments n’ont jamais été excessifs depuis des dizaines d’années. On y trouve encore, et on continuera à trouver tant queles Hongrois géreront leur faune sauvage avec la même rigueur, les plus grands trophées d’Europe.

Pourquoi l’approche et l’affût ? Simplement parce que c’est le seul moyen de savoir exactement ce que l’on va prélever.Ce n’est pas au saut de l’allée que l’on peut juger un cerf ou des défenses de sanglier ! Tout au plus on arrive à compterle nombre de pointes de la ramure, mais certainement pas l’âge du cerf. Le nombre de cors ne donne pas l’âge du cerf !De plus chaque trophée prélevé est envoyé au bureau des cotations pour être répertorié. Ainsi des statistiques régionaleset nationales peuvent être établies pour mieux gérer les populations.Le comptage global est très peu pratiqué car il ne donne pas suffisamment de précision sur la faune, surtout en termesde tranches d’âge. Ce sont les gardes des associations de chasse ou des territoires nationaux qui, en permanence sur leterrain, font un inventaire précis des populations. Ce sont eux qui guident les chasseurs et peuvent ainsi garantir le tro-phée recherché.La chasse est considérée en Hongrie comme une activité touristique importante. Les chasseurs étrangers sont fortementappréciés, bien accueillis par la population citadine et rurale. Mais aussi toutes les facilités sont faites par les autorités,qui profitent de leur appartenance à l’union européenne, pour que l’on puisse aisément amener ses armes de chasse.

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Un matin nous décidons même defaire une approche en forêt. Aprèsavoir situé un cerf à la voix, celui-ciavait décidé de rester au bois. Nousavons mis plus d’une heure pour arri-ver à 30 mètres de lui. En cette sai-son la végétation et le feuillage sonttrès denses. Même à cette distancenous ne pouvions pas bien le voir.Mais l’entendre : oui ! Allongés, nousavons rampé et nous nous sommesapprochés à 20 mètres, pour décou-vrir un superbe 18 cors dont le tro-phée fut estimé à 11 kg ! Voir et sur-tout entendre bramer un cerf à cettedistance : quelle expérience !

Guillaume de Falaise

Transport : Avion Paris/Budapest (2 heures) puis70 minutes de routeLocalisation et Hébergement : Barcs, Labod, Pecs,plusieurs territoires.L’hébergement a lieu dans un pavillon de chasse au grandconfort. Les chambres sont doubles avec salle de bainattenante.

Gibiers : Cerf élaphe (Cervus elaphus) mais on peutaussi chasser chevreuils, sangliers, renards.

Saison de chasse : Le cerf se chasse au brame à par-tir du 1er septembre.Meilleures périodes : deuxième semaine de septembre

Calibre : 270 WSM, 7x64 ou 300 Weatherby aveclunette. On tire rarement au-delà de 150 mètres.

Cartouches : On peut importer jusqu’à 40 cartouches(ce qui correspond aux 5 kg autorisés par les compa-gnies aériennes)

Passage des armes : Nous sommes dans la commu-nauté européenne donc, au-delà des conditions imposéespar les compagnies aériennes, seule la carte européenneet un permis de chasse français sont nécessaires.L’organisation s’occupe de l’obtention du permis dechasse hongrois ainsi que de l’assurance responsabilitécivile hongroise.

Technique de chasse : A l’approche et à l’affut.Chaque chasseur a son guide de chasse personnel. Onchasse de 5 h 00 à 9 h 00 et de 16 h 00 à 21 h 00.

Vêtement : C’est l’automne, il fait encore chaud, maisattention à la pluie....

Monnaie : le Forint (250 HUF/1 €) mais les hongroissont familiarisés avec l’Euro qu’ils utiliseront dansquelques années.

Contact : Hunting Agency www.hunting-agency.com

Tél. : 01 74 13 60 52

CARNET DE VOYAGES

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