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ABONNEMENTS mois, 33 tr.; 6 mois. 64 fr. ; un art 112 gr. LE Parti socialiste a obtenu, résultats. Tous les esprits dissernent est tellement contes- .. premier tour, de beaux L'utilité des Conseils d'arron- table que leur suppression est demandée périodiquement depuis 1928. Il est vrai qu'ils ne font le moindre Mal, et ne coûtent Pm cher. Les Conseils généraux ont dans la vie, politique et économique, du tanParhaux reconnansent qu'il a été le Vainqueur de la journée. A l'épreuve du pouvoir, il a démon- tré son aptitude ô gouverner, ses facultés de réalisation, Les mili- tants ont compris et admis les resd ponsaluhtes que comporte I exer- cice du pouvoir. Les électeurs ont Pays une Importance mprtale, déclaré que nous étions dans la Niais actuellement, le cadre du &- bonne voie. Le socialisme les ut- partement est devenu trop étroit. Ainsi se trouvent bridées et même brasées, d'heureuses initiatives. Au département il faudrait substituer la région ; et, on réduisant les pré- rogatives du pouvoir central, créer des assemblées chargées d'organi- ser, de contrôler la vie écono- mique et sociale. Un décret-loi du septembrd 1937 a, très justement, étendu pour /a coordination des transd ports, la compétence (les Conseils généraux. Ils auront, dorênavantî la mission d'établir le plan d'ord ganisation des transports et M possibilité de maintenir les serd vices sous leur autorité et lem, contrôle Mmes. Or, tes nécessités de communication, de circulation, débordent les limites du départe- ment. Il serait intéresmnt d'en envisager Forganisatien per ré- fion, et de ne pas multiplier et différencier les méthodes et les règles. Il en est de même pour la distri- hution de la force et de l'éclairage électrique. Les syndicats de rom- jnunes augmenteraient leur puis- sance en s'étendant sur un plus Vaste territoire, Les questions d'assistance et d'enseignement gagneraient à être réglées corna plan plus vaste que celui du département. La loi du 7 septembre 1919 sur l'assistance aux tuberculeux, par exemple, en, serait plus aisément et plus effica-1 cernent applicable. Les départements pauVres, les' coins déshérités trouveraient dans je cadre de la région, la possibilité de développer leur activité. La communauté d'intérêts qui ne s'arrête pas aux frontières du département est tellement évi dente, que la loi organique du 10 août 1871 a prévu et réglé la réunion de deus ou plusieurs as- semblées départementales. Mais ces dispositions sont difficilement, réalisées. Au surplus, depuis bh, ans, let vie économique et sociale a été totalement transformée. Déjà, les cadres du canton et du département ont êté brisés Poux différents services administratifs. Il n'existe plus un Conseil de pré- fecture par département. On a créé le Conseil de préfecture inter-, départemental. Jadis, chaque candi ton m'ait sa justice de paix. De- puis quelques années, on a dis supprimer un grand nombre de ces tribunaux, et grouper plusieurs cantons sous une juridiction' unique. Chaque département conserve encore sa Gour d'assises, et plu- sieurs pourraient être supprimées. IIMs la méthode qui consiee fractionner, à étriquer une ré- Mame d'ensemble est détestable. Les élections aux assemblées régionales auraient, évidemment, un caractère nettement politique, bien que leurs attributions fussent essentiellement administratives et économiques. Il est évâdent qu'un sueialiste et un modéré ont des conceptions tout I fait différentes sur les problèmes économicnies et sociaux. En tout cas, cette réorganisation serait nue à la vie de n. 1, e pays, I la condition, bien entendu, que les régions ne soient pas décan- sles au petit bonheur. Elle pour- -ait servir de point de depmt lo (Foe Cinformorion es dearibm page , mande réforme administrative,, ".41 tout on parle depuis tant dan') JEAN BATTEN A RANGOUN rées, sans jamais oser la tenter. 1 ' Albert SEIIOL -- Rang., 20 octobre. L'aviatrice némélitelaise, Oison natte, ut arri- président du Groupe peirlemeninire. h. 05 (he're tare de plus rupins, Au deuxième tour, le Front po- pulaire a triomphé. Le pays en- tend rester fidèle à cette forma- lion, dans laque/le il trouve, ac- tuellement, des garanties pour la sauvegarde des institutions et pour l'exécution d'un programme de réformes. Les partis du Rassemblement populaire, et le Parti socialiste no- tamment, derront prochainement préciser dans quel sens, dans quelles limites, devra s'exercer leur activité. Avant d'exposer ma pensée sur les problèmes que son. lèse cette question et dont je réserve l'examen pour les se- mannes à venir, jr voudrais au- jourd'hui, à l'occasion des élec- tions, jeter un regard sur ces as. kassablharm-slai Ntumment d'être re, nouvc ides. Les électeurs sont répartis, dans les 3.000 cantons, en dépit du bon sens. Ici, un candidat est élu El premier tour par 300 voix. Là, nu autre est en ballottage avec 13,090 voix. lima est de même pour les élections au Conseil municipal de Paris. Il semble quê nous Pre- nions plaisir à délier la logiqud et le suffrage universel. En vérité, pour les élections cantonales, ne se pose pas comme pour Paris, une simple question de pe 'réquation. L'institution doit être rénovée. Conseils généraux et Conseils d'arrondissement, qui sont les re- flets des assemblées provinciales de l'ancien régime, ont été insti- tués par la Constituante. Le statut des premiers a été établi en 1838 et en 1871 ; celui des seconds en 1833. On peut se demander si la France républicaine, démocra- tique, ne met pas quelque coquet- terie à paraître le pays le plus Ranh', et le plus routinier du FIE TRAGÉDIE DE LA MISÈRE ENTRE ÉMIGRÉS Ses conséquences, et ses leçons ! meurtrière Elisabeth Noms dans le box des accusés. gerLssion ri Administration s 33, rue noquelainr, TOOLOESE s.. ta 200.43 C. C. Postaux 3277 BEDEAU A PARIS s 3. rue StAuoustin 124 niée Richelieu 03.00 13 Mem noues. sur m unira RÉSOLUTION VOTÉE HIER SOIR par la Commission Administrative Permanente du Parti Socialiste La Commission administrative perma- nente enregistre avec fierté les brillants ré- sultats obtenus par le Parti socialiste aux élections cantonales. Malgré les attaques de grand style de ses adversaires, non seu- lement le Parti socialiste n'a été entamé nulle part, mais encore il a renforcé ses positions et conquis des positions nou- velles. Les Fédérations, pauvres d'argent mais embus de dévouements, ont dû faire face avec les seules ressources de leurs coti- sants, de leurs petits journaux locaux, de leurs candidats actifs et courageux, aux campagnes soûrnoises ou brutales, puis- samment orchestrées, de tous ceux qui poursuivent le socialisme de leur hostilité ou de leur haine. Le succès est venu cou- ronner leurs efforts. Même la presse adverse est contrainte de reconnaître l'augmentation importante de la représentation socialiste au sein des assemblées départementales et la solidité des troupes électorales du Parti socialiste. La C.A.P. adresse donc ses plus vives félicitations à toutes les Fédérations dé- partementales du Parti. Elles ont montré qu'aucun combat n'est au-dessus de leurs forces et établi une fois de plus la valeur de nos doctrines, la haute signification de entre idéal et la vertu de la discipline li- brement consentie par tous. La C.A.P. fait appel à tous les citoyens qui, en votant socialiste, ont marqué leur sympathie pour notre Grand Parti, afin qu'ils rejoignent les rangs de notre orga- nisation la seule qui puisse les con- duire jusqu'à leur émancipation totale et deviennent des lecteurs fidèles de la presse socialiste. Nouvelles tlu Par1emen1 L'examen du budget Lu Commission des imamne sa se réunir prochainement pour examiner Ion 'budgets de dévoie. mû 1113 SOILM- vont aumme conMstation. Le 3 novembre, elle entendra M. Georges Bonnet sur la sit.tion de la ut prrded%ruogéétdee muassionsl'édun. Le droit de vote des marins o. Le Bail a 0800,8 uns demande aur . mesures que compte prendre le gouvernement pour assurer a. pécheurs et aux marins de commerce la possibilité d'user de leuf droit de vats. « Il y a quelques semaines, une vois n'hésitait pas à réclamer, de "autre côté de la frontière, l'Europe fasciste. La France, une foie de phis, vient de répondre a a Non ! déclare M. VIOLLETTE, au Conseil général d'Eure-et- Loir. L'enquête sur l'affaire de Neuilly piétine Les pistes suivies s'effondrent les unes après les autres DANS UN COFFRE LOUE PAR LA VICTIME DANS UN ETA- BLISSEMENT DE CREDIT ON TROUVE... UNE SERVIETTE VIDE Et, de plus en plus, ou est conduit à penser que Le Blond vivait d'expédients (Von [Won.lnn en deuxième page) RUSQUE revirement à Londres dans la séance d'hier après-rni. s' sit :Cri soà.= 1m Sen POkitie. françaises, a nrioncé que sen gouvernement était disPosé à ies gééri?- , ter. tout au moins en partie. Il n'est pu facile de déterminer exac. tentent jusqu'où va cette acceptation. Lorsque ce Comité a voidu insérer les déclarations Grandi dans le commun, qné final qui en aurait donné l'interprétation authentique l'accord n'a pu se faire. Cependant, et tout en faisant les ré- serves nécessaires imposées par l'extrê- me mobilité de l'attitude adienne, Peet ramener les changemente nus dans cette attitude sue Pl... 33i. Vents 3. L'Italie nen seulement ne refuge PI. de &muter les propositione frais taises du 16 octobm, snMs ras Masa (disons parait) les accepter 1 Elle accepte d'envoyer immédiate- ment en Espagne une commission te- ternationale, chargée de déteranMer ls. nombre des étranger. combattante dans, lee deux eall11/0 Elle n'insiste plus, doue, sur le ire. Orale,,, nombre émi v, car Il eet évi- dent que le recensement d. combat. Mnte étrangers n'aurait aman sens s'il demis pas déterminer les promu.: Mons du retrait ; Elle ne parait plue exiger la mcon. naissance préalable do droit de belligé- aune«. Sur ce dernier point, le discours de Grandi West Pas très explicite. L'Italie eoulèvera la questMn du droite de bel. ligéran,n lorsque le Comité de Londres aura à sa dispuition le rapport de Commiesion envoyée en Espagne »1' M Comité décidera Mors « à quel mo- ment et de quelle manière les droits belligérante devront être re.nnue La discussion, en somme, est myée, Mme la meilleure des hypothe- gee, sa jour où /e Comité devra exami- Les initiales brodées socle serviette qui entourait la tête du cadavre et un fragment de rideau marqué 6.056 qui enveloppait le corps. On re- marque le, tâches de sang. DETENTE A LONDRES La petite Odette Omaha', âgée de 8 ans, qui a été blessée de plusiems coups de couteau, en se défendant contre le domestique de ferme Hen- ri Emile, (dans le médaillon) âgé de 17 ans, qui tentait d'abuser d'elle, b Esse (Ille-et-Vilaine). La résistance chinoise à l'invasion nippone Ch.ghai, 20 octobre 01.1. Une bataille lez plus Mue., dent reuin p:est autre que le sort de ataimi et de Riang-Ouan, fait rage au nord-ouest de Tachang. Les troupes 0,1501540, all- puyéez de puissants renforts, Inc situ- ai it encercler les Japonais de trois 0414e. L'avance nippone se trouverait ainsi arra50e et on compterait de leur. des pertes dans le camp japonais. I/ SeMble se c.firmer que les Mg. taenia chinois qui poursuivent leur tactique de suerais en Chine du Nord ont inflisS, au cours des Jours derniers, plusieurs écimes aux Japonais, notam ment au gord de la province du Chans! Irtt;"/0..,74;1"eniert0,1e.à1C,',1 4,0 CENT: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I « LE SUFFRAGE UNIVERSEL A OPTE POUR UN GOUVERNE. MENT DE FRONT POPULAIRE A DIRECTION RADICALE o. DISENT M. CHAUTEMPS ET LES GAZETTES VALOISIENNES, CE N'EST PAS VRAI. LE SUFFRAGE UNIVERSEL A MARQUE SES PREFERENCES POUR UN GOUVERNEMENT DE FRONT POPULAIRE, OUI MAIS A DIRECTION SOCIALISTE. LE NIER, C'EST CONTESTER L'EVIDENCE. Elle Duce qui refuse toujours qu'on rentre en Italie ! Tu parles s'il s'en f... Mi, il y est ! n croit par (IIl croit rêver quand on lit cor. ) tables nouvelles d'Allemagne. Avez-vous remarqué celles qu'on a pu trouver dans la grande presse au sujet des récentes mesures prises contre /es juifs du IL.' Reich t C'est désormais au parti mai bri- mbale et non plus aux autorités of- ficielles qu'il appartiendra de a li- quider n /a question juive; et pleins pouvoirs sont donnés aux chefs nazis /maux et régionaux. Que vont-ils faire ? Ce qu'ils ont déjà, fait nous permet de l'imaginer. C'est ainsi que le chef nazi à Berlin le Ilr Goebbels, on le set, est aussi ministre de la propa- gande a interdit aux juifs de s'as- seoir sur d'autres lianes que ceux qui leur sent réservés et que distingue Issu coutelas jame, Et comme ces bancs sont rares, cet- re mesure revient pratiquement à ex- SlUre les bufs des promenades et des jardins publics de Berlin. On prévoit, en outre, qu'obligation ers faste aux Juifs de porter sur leurs vêtements une marque distinctive Nnne. Plusieurs chefs nazis sent en train de préparer cette mesure. On signale enfin, toujours dam les nouvelles /es plus récentes qu'en plusieurs lieux, interdiction a été faite aux non-juifs d'assister aux funérailles de juifs. Il est difficile d'imaginer pire. Certes, le régime que le tsarismt n'ait imposé aux juifs était inhumain, se souvient sans doute de ses pain, aipales caractéristiques 1 les juifs pas gués dans les gouvernements de l'ouest avec interdiction de résider ailleurs; /es juifs écartés de tolates tes fondions publiques; le nombre des juifs étroitement limité dans les éon.' ies Oc, Les Italiens en Espagne rever... J.-B. MÉVEBAC I Jamais pomiant le tsarisme n'avait, dé, au XIX' siècle, restaurer les praj tiques odieuses du MoyemAge, quand /es juifs non seulement étaient celé.' gués dans le ghetto, mais encore' Strient signalés par des marques ex-, grimés aux alla vexations' et aux violences des non-juifs. Ce que /e tsarisme n'a pas osé faire au siècle dernier, le gouvernement dn Reich l'a fait ou Pa laissé faire au xr. Cette Allemagne a pourtant un pas- sé de culture infiniment plus rielej que celui de l'ancienne limsle. Cette! Allemagne est tout de même celle des grands poètes, des grands philosophes, des grands savants, qui oint si puis- samment élargi b patrimoine intel- leetnel et ramal de l'humanité en don- nant à l'idée de justice, au respect de la personne, aux droits naturels de! Phomrae et du citoyen la place Mid- nen. que Phistoire allait consacrer.' D'oh, hélas, cette constatation déce- vante que nos instincts, même les pi- res, peuvent toujours fane éclater l'enveloppe que leur a imposée le pro- grès de l'intelligence et de la raison., Qui dons oserait affirmer que si, il pi a quarante ans, l'antisémitisme du' mot d'orare de o La France aux Fran- çais s, avait trouvé plus large andienj ne, nous n'aurions pas cula démooraj tir française déshonorée par des mm-' sures semblables a celles que nous dé- plorons aujourd'hui de l'autre côté di Rhin ? D'où aussi, pour nous, la nécessité, de poursuivre sans découragement mal lassitude, la propagande de nm trines, dans lesquelles se trouvent in.' Glusm l'idée de Végalité de tous len hommes et la condammtion de toutes/ les haines de religion et de race. _1 SEVERAC.7 MORT DU FRERE DE Mme CURIE Varsovie. 20 Octobre. Le DeJOsepit Pmlodovaki, frère de Mme Curie es Prgi eut de la Godait médicale de Vamps e, est décédé dans cette dernière vina â Mue do 74 ans. ARES LE SCRUTM L'institution des Conseils Généraux doit être rénovée ner le rapport 0, 10 Commiesion en. voyée en Esnagne am le retrait des vo- lestais. Tentee les difficultés, les me. m. sonlevéee en août et mardi desMer, pourront se représenter à cette occa- eion. A Londres, en cherche les raisons Ma ont pu déterminer le revirement lien. Pression de l'Allemagne, désirense d'éviter une .itose 7 Sensation pré- aise. à Rome, que son intransigeance renforçait Peatente franco-britanni sas 7 Om tout simaMment, désir et be- soin de samier temps pour attendre la chute, désormais Inévitable, des As- tasie, et /e développement dee opéra- tionienillitaires sur B. fronts de Ma- drid et de l'Aragon ? . Avant de tenter une réponse à ces meetions, il faudra attendre la nom velle réunion du Comité mi se tiendra vendredi, et aussi le discours que M. Eden promu.00 aujourd'hui aux Com- Man.. André L E ROUX. UNE FILLETTE BLESSEE PAR UN JEUNE SADIQUE Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

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Page 1: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

ABONNEMENTSmois, 33 tr.; 6 mois. 64 fr. ; un art 112 gr.

LE Parti socialiste a obtenu,

résultats. Tous les esprits dissernent est tellement contes-.. premier tour, de beaux L'utilité des Conseils d'arron-

table que leur suppression estdemandée périodiquement depuis1928. Il est vrai qu'ils ne font lemoindre Mal, et ne coûtent Pmcher.

Les Conseils généraux ont dansla vie, politique et économique, du

tanParhaux reconnansent qu'il aété le Vainqueur de la journée. Al'épreuve du pouvoir, il a démon-tré son aptitude ô gouverner, sesfacultés de réalisation, Les mili-tants ont compris et admis les resdponsaluhtes que comporte I exer-cice du pouvoir. Les électeurs ont Pays une Importance mprtale,

déclaré que nous étions dans la Niais actuellement, le cadre du &-bonne voie. Le socialisme les ut- partement est devenu trop étroit.

Ainsi se trouvent bridées et mêmebrasées, d'heureuses initiatives. Audépartement il faudrait substituerla région ; et, on réduisant les pré-rogatives du pouvoir central, créerdes assemblées chargées d'organi-ser, de contrôler la vie écono-mique et sociale.

Un décret-loi du septembrd1937 a, très justement, étendupour /a coordination des transdports, la compétence (les Conseilsgénéraux. Ils auront, dorênavantîla mission d'établir le plan d'ordganisation des transports et Mpossibilité de maintenir les serdvices sous leur autorité et lem,contrôle Mmes. Or, tes nécessitésde communication, de circulation,débordent les limites du départe-ment. Il serait intéresmnt d'enenvisager Forganisatien per ré-fion, et de ne pas multiplier etdifférencier les méthodes et lesrègles.

Il en est de même pour la distri-hution de la force et de l'éclairageélectrique. Les syndicats de rom-jnunes augmenteraient leur puis-sance en s'étendant sur un plusVaste territoire,

Les questions d'assistance etd'enseignement gagneraient à êtreréglées corna plan plus vaste quecelui du département. La loi du7 septembre 1919 sur l'assistanceaux tuberculeux, par exemple, en,serait plus aisément et plus effica-1cernent applicable.

Les départements pauVres, les'coins déshérités trouveraient dansje cadre de la région, la possibilitéde développer leur activité.

La communauté d'intérêts quine s'arrête pas aux frontières dudépartement est tellement évidente, que la loi organique du10 août 1871 a prévu et réglé laréunion de deus ou plusieurs as-semblées départementales. Maisces dispositions sont difficilement,réalisées. Au surplus, depuis bh,ans, let vie économique et socialea été totalement transformée.

Déjà, les cadres du canton et dudépartement ont êté brisés Pouxdifférents services administratifs.Il n'existe plus un Conseil de pré-fecture par département. On acréé le Conseil de préfecture inter-,départemental. Jadis, chaque canditon m'ait sa justice de paix. De-puis quelques années, on a dissupprimer un grand nombre deces tribunaux, et grouper plusieurscantons sous une juridiction'unique.

Chaque département conserveencore sa Gour d'assises, et plu-sieurs pourraient être supprimées.

IIMs la méthode qui consieefractionner, à étriquer une ré-Mame d'ensemble est détestable.

Les élections aux assembléesrégionales auraient, évidemment,un caractère nettement politique,bien que leurs attributions fussentessentiellement administratives etéconomiques. Il est évâdent qu'unsueialiste et un modéré ont desconceptions tout I fait différentessur les problèmes économicnies etsociaux.

En tout cas, cette réorganisationserait nue à la vie de n. 1, e pays,I la condition, bien entendu, queles régions ne soient pas décan-sles au petit bonheur. Elle pour--ait servir de point de depmt lo(Foe Cinformorion es dearibm page , mande réforme administrative,,

".41 tout on parle depuis tant dan')JEAN BATTEN A RANGOUN rées, sans jamais oser la tenter. 1'

Albert SEIIOL--Rang., 20 octobre. L'aviatrice

némélitelaise, Oison natte, ut arri- président du Groupe peirlemeninire.

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(he're

tare de plus rupins,Au deuxième tour, le Front po-

pulaire a triomphé. Le pays en-tend rester fidèle à cette forma-lion, dans laque/le il trouve, ac-tuellement, des garanties pour lasauvegarde des institutions etpour l'exécution d'un programmede réformes.

Les partis du Rassemblementpopulaire, et le Parti socialiste no-tamment, derront prochainementpréciser dans quel sens, dansquelles limites, devra s'exercerleur activité. Avant d'exposer mapensée sur les problèmes que son.lèse cette question et dont jeréserve l'examen pour les se-mannes à venir, jr voudrais au-jourd'hui, à l'occasion des élec-tions, jeter un regard sur ces as.kassablharm-slai Ntumment d'être re,nouvc ides.

Les électeurs sont répartis,dans les 3.000 cantons, en dépit dubon sens. Ici, un candidat est éluEl premier tour par 300 voix. Là,nu autre est en ballottage avec13,090 voix. lima est de même pourles élections au Conseil municipal

de Paris. Il semble quê nous Pre-nions plaisir à délier la logiqudet le suffrage universel.

En vérité, pour les électionscantonales, ne se pose pas commepour Paris, une simple questionde pe 'réquation.

L'institution doit être rénovée.Conseils généraux et Conseils

d'arrondissement, qui sont les re-flets des assemblées provincialesde l'ancien régime, ont été insti-tués par la Constituante. Le statutdes premiers a été établi en 1838et en 1871 ; celui des seconds en1833. On peut se demander si laFrance républicaine, démocra-tique, ne met pas quelque coquet-terie à paraître le pays le plusRanh', et le plus routinier du

FIE TRAGÉDIE

DE LA MISÈRE

ENTRE ÉMIGRÉS

Ses conséquences,et ses leçons !

meurtrière Elisabeth Nomsdans le box des accusés.

gerLssion ri Administration s 33, rue noquelainr, TOOLOESE s.. ta 200.43 C. C. Postaux 3277

BEDEAU A PARIS s 3. rue StAuoustin 124 niée Richelieu 03.00 13 Mem noues. sur m unira

RÉSOLUTION VOTÉE HIER SOIRpar la Commission AdministrativePermanente du Parti Socialiste

La Commission administrative perma-nente enregistre avec fierté les brillants ré-sultats obtenus par le Parti socialiste auxélections cantonales. Malgré les attaquesde grand style de ses adversaires, non seu-lement le Parti socialiste n'a été entaménulle part, mais encore il a renforcé sespositions et conquis des positions nou-velles.

Les Fédérations, pauvres d'argent maisembus de dévouements, ont dû faire faceavec les seules ressources de leurs coti-sants, de leurs petits journaux locaux, deleurs candidats actifs et courageux, auxcampagnes soûrnoises ou brutales, puis-samment orchestrées, de tous ceux quipoursuivent le socialisme de leur hostilitéou de leur haine. Le succès est venu cou-ronner leurs efforts.

Même la presse adverse est contrainte

de reconnaître l'augmentation importantede la représentation socialiste au sein desassemblées départementales et la soliditédes troupes électorales du Parti socialiste.

La C.A.P. adresse donc ses plus vivesfélicitations à toutes les Fédérations dé-partementales du Parti. Elles ont montréqu'aucun combat n'est au-dessus de leursforces et établi une fois de plus la valeurde nos doctrines, la haute signification deentre idéal et la vertu de la discipline li-brement consentie par tous.

La C.A.P. fait appel à tous les citoyensqui, en votant socialiste, ont marqué leursympathie pour notre Grand Parti, afinqu'ils rejoignent les rangs de notre orga-nisation la seule qui puisse les con-duire jusqu'à leur émancipation totaleet deviennent des lecteurs fidèles de lapresse socialiste.

Nouvellestlu Par1emen1

L'examen du budgetLu Commission des imamne sa se

réunir prochainement pour examinerIon 'budgets de dévoie. mû 1113 SOILM-vont aumme conMstation.

Le 3 novembre, elle entendra M.Georges Bonnet sur la sit.tion de la

utprrded%ruogéétdee muassionsl'édun.

Le droit de vote des marinso. Le Bail a 0800,8 uns demande

aur . mesures quecompte prendre le gouvernement pourassurer a. pécheurs et aux marins decommerce la possibilité d'user de leufdroit de vats.

« Il y a quelques semaines, une voisn'hésitait pas à réclamer, de "autrecôté de la frontière, l'Europe fasciste.La France, une foie de phis, vient derépondre a a Non !

déclare M. VIOLLETTE, auConseil général d'Eure-et-Loir.

L'enquêtesur l'affairede Neuilly

piétineLes pistes suivies

s'effondrentles unes après les autres

DANS UN COFFRE LOUE PARLA VICTIME DANS UN ETA-BLISSEMENT DE CREDIT ONTROUVE... UNE SERVIETTE

VIDE

Et, de plus en plus, ou estconduit à penser que Le Blond

vivait d'expédients(Von [Won.lnn en deuxième page)

RUSQUE revirement à Londresdans la séance d'hier après-rni.

s' sit:Cri soà.= 1m SenPOkitie. françaises, a nrioncé que sengouvernement était disPosé à ies gééri?-

, ter. tout au moins en partie.Il n'est pu facile de déterminer exac.

tentent jusqu'où va cette acceptation.Lorsque ce Comité a voidu insérer lesdéclarations Grandi dans le commun,qné final qui en aurait donnél'interprétation authentique l'accordn'a pu se faire.

Cependant, et tout en faisant les ré-serves nécessaires imposées par l'extrê-me mobilité de l'attitude adienne,Peet ramener les changementenus dans cette attitude sue Pl... 33i.Vents

3. L'Italie nen seulement ne refugePI. de &muter les propositione fraistaises du 16 octobm, snMs ras Masa(disons parait) les accepter 1

Elle accepte d'envoyer immédiate-ment en Espagne une commission te-ternationale, chargée de déteranMer ls.nombre des étranger. combattante dans,lee deux eall11/0

Elle n'insiste plus, doue, sur le ire.Orale,,, nombre émi v, car Il eet évi-dent que le recensement d. combat.Mnte étrangers n'aurait aman sens s'il

demis pas déterminer les promu.:Mons du retrait ;

Elle ne parait plue exiger la mcon.naissance préalable do droit de belligé-aune«.

Sur ce dernier point, le discours deGrandi West Pas très explicite. L'Italieeoulèvera la questMn du droite de bel.ligéran,n lorsque le Comité de Londres

aura à sa dispuition le rapport deCommiesion envoyée en Espagne »1'

M Comité décidera Mors « à quel mo-ment et de quelle manière les droits

belligérante devront être re.nnueLa discussion, en somme, est

myée, Mme la meilleure des hypothe-gee, sa jour où /e Comité devra exami-

Les initiales brodées socle serviette qui entourait la tête du cadavre etun fragment de rideau marqué 6.056 qui enveloppait le corps. On re-

marque le, tâches de sang.

DETENTEA LONDRES

La petite Odette Omaha', âgée de 8ans, qui a été blessée de plusiemscoups de couteau, en se défendantcontre le domestique de ferme Hen-ri Emile, (dans le médaillon) âgéde 17 ans, qui tentait d'abuser

d'elle, b Esse (Ille-et-Vilaine).

La résistance chinoiseà l'invasion nipponeCh.ghai, 20 octobre 01.1. Une

bataille lez plus Mue., dent reuinp:est autre que le sort de ataimi et deRiang-Ouan, fait rage au nord-ouest deTachang. Les troupes 0,1501540, all-puyéez de puissants renforts, Inc situ-ai it encercler les Japonais de trois0414e. L'avance nippone se trouveraitainsi arra50e et on compterait de leur.des pertes dans le camp japonais.

I/ SeMble se c.firmer que les Mg.taenia chinois qui poursuivent leurtactique de suerais en Chine du Nordont inflisS, au cours des Jours derniers,plusieurs écimes aux Japonais, notamment au gord de la province du Chans!

Irtt;"/0..,74;1"eniert0,1e.à1C,',1

4,0 CENT:VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I

« LE SUFFRAGE UNIVERSEL A OPTE POUR UN GOUVERNE.MENT DE FRONT POPULAIRE A DIRECTION RADICALE o.

DISENT M. CHAUTEMPS ET LES GAZETTES VALOISIENNES,CE N'EST PAS VRAI.LE SUFFRAGE UNIVERSEL A MARQUE SES PREFERENCES

POUR UN GOUVERNEMENT DE FRONT POPULAIRE, OUIMAIS A DIRECTION SOCIALISTE.

LE NIER, C'EST CONTESTER L'EVIDENCE.

Elle Duce qui refuse toujours qu'on rentre en Italie !

Tu parles s'il s'en f... Mi, il y est !

n croitpar

(IIlcroit rêver quand on lit cor.

) tables nouvelles d'Allemagne.Avez-vous remarqué celles

qu'on a pu trouver dans la grandepresse au sujet des récentes mesuresprises contre /es juifs du IL.' Reich t

C'est désormais au parti mai bri-mbale et non plus aux autorités of-ficielles qu'il appartiendra de a li-quider n /a question juive; et pleinspouvoirs sont donnés aux chefs nazis/maux et régionaux.

Que vont-ils faire ?Ce qu'ils ont déjà, fait nous permet

de l'imaginer. C'est ainsi que le chefnazi à Berlin le Ilr Goebbels, on leset, est aussi ministre de la propa-gande a interdit aux juifs de s'as-

seoir sur d'autres lianes que ceux quileur sent réservés et que distingueIssu coutelas jame,

Et comme ces bancs sont rares, cet-re mesure revient pratiquement à ex-SlUre les bufs des promenades et desjardins publics de Berlin.

On prévoit, en outre, qu'obligationers faste aux Juifs de porter sur leursvêtements une marque distinctiveNnne. Plusieurs chefs nazis sent entrain de préparer cette mesure.

On signale enfin, toujours damles nouvelles /es plus récentesqu'en plusieurs lieux, interdiction aété faite aux non-juifs d'assister auxfunérailles de juifs.

Il est difficile d'imaginer pire.

Certes, le régime que le tsarismtn'ait imposé aux juifs était inhumain,

se souvient sans doute de ses pain,aipales caractéristiques 1 les juifs pasgués dans les gouvernements del'ouest avec interdiction de résiderailleurs; /es juifs écartés de tolatestes fondions publiques; le nombre desjuifs étroitement limité dans les éon.'ies Oc,

Les Italiens en Espagne

rever...J.-B. MÉVEBAC I

Jamais pomiant le tsarisme n'avait,dé, au XIX' siècle, restaurer les prajtiques odieuses du MoyemAge, quand/es juifs non seulement étaient celé.'gués dans le ghetto, mais encore'Strient signalés par des marques ex-,grimés aux alla vexations'et aux violences des non-juifs.

Ce que /e tsarisme n'a pas osé faireau siècle dernier, le gouvernement dnReich l'a fait ou Pa laissé faire auxr.

Cette Allemagne a pourtant un pas-sé de culture infiniment plus rielejque celui de l'ancienne limsle. Cette!

Allemagne est tout de même celle desgrands poètes, des grands philosophes,des grands savants, qui oint si puis-samment élargi b patrimoine intel-leetnel et ramal de l'humanité en don-nant à l'idée de justice, au respect dela personne, aux droits naturels de!Phomrae et du citoyen la place Mid-nen. que Phistoire allait consacrer.'

D'oh, hélas, cette constatation déce-vante que nos instincts, même les pi-res, peuvent toujours fane éclaterl'enveloppe que leur a imposée le pro-grès de l'intelligence et de la raison.,Qui dons oserait affirmer que si, il pia quarante ans, l'antisémitisme du'mot d'orare de o La France aux Fran-çais s, avait trouvé plus large andienjne, nous n'aurions pas cula démoorajtir française déshonorée par des mm-'sures semblables a celles que nous dé-plorons aujourd'hui de l'autre côté diRhin ?

D'où aussi, pour nous, la nécessité,de poursuivre sans découragement mallassitude, la propagande de nmtrines, dans lesquelles se trouvent in.'Glusm l'idée de Végalité de tous lenhommes et la condammtion de toutes/les haines de religion et de race. _1

SEVERAC.7MORT DU FRERE DE Mme CURIE

Varsovie. 20 Octobre. Le DeJOsepit

Pmlodovaki,

frère de Mme Curie es Prgieut de la Godait médicale de Vamps

e, est décédé dans cette dernière vinaâ Mue do 74 ans.

ARES LE SCRUTM

L'institutiondes Conseils Générauxdoit être rénovée

ner le rapport 0, 10 Commiesion en.voyée en Esnagne am le retrait des vo-lestais. Tentee les difficultés, les me.m. sonlevéee en août et mardi desMer,pourront se représenter à cette occa-eion.

A Londres, en cherche les raisons Maont pu déterminer le revirementlien. Pression de l'Allemagne, désirensed'éviter une .itose 7 Sensation pré-aise. à Rome, que son intransigeancerenforçait Peatente franco-britannisas 7 Om tout simaMment, désir et be-soin de samier temps pour attendrela chute, désormais Inévitable, des As-tasie, et /e développement dee opéra-tionienillitaires sur B. fronts de Ma-drid et de l'Aragon ? .

Avant de tenter une réponse à cesmeetions, il faudra attendre la nomvelle réunion du Comité mi se tiendravendredi, et aussi le discours que M.Eden promu.00 aujourd'hui aux Com-Man..

André L E ROUX.

UNE FILLETTE BLESSEEPAR UN JEUNE SADIQUE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

2

Comité national mixtedes jeunesses socialistes

Commissions de propagandeet de trésorerie

AVIS TRES IMPORTANTPar cuire du départ au régiment

Fon certain nombre de nos camarades,Ies noms et adresses de nos secrétaireset trésor.,a fédéraux ne correspondentplue à ceux des fichiers du O.N.M.

Les Fédérations n'ayant pas fait lessectlficat1ons nécessaires, des retardset des erreurs peuvent être constatésdans l'expédition du matériel,nolfinprdieonr:mntsdier.t.olLtatddee nr;

COMMUNIQUER SANS RETARD tacomposition actuelle de leurs bureaux!Scléreux.

Envoyer les noms et adresses H Fenseand Inshert, 6. rue Lallrer, Parla ..j

Les secrétarresMarcel AVE, Fernand IMBERT. I

La commission- administrativede la C. G. T.

manifestesa solidarité...l'égard des revendicatiow

des -fonclionuaires

Elle a mandaté son bureaucour faire une démarcheauprès du gouvernement---

La Commission administrative de laConféderation générale du Travail s'estréunie mardi après-mi.

Elle a délibéré) sur les Problèmee nefuels et partioulièrement sur celui del'indemnite de vie Mère dut travailleursd. service. Papi.)

Voici, h ce sujet, le communiquéqu'elle a publié :

La )Carmnission Admilnastratine de lae.u.T. a affimné, par ailleurs, sa pleineolidarité d rendrait des Fonctionnat

. es -et Agents des Servius Publics.Internant la situation de eu derniers,

phig géne,rotentent, s'agissant de,evendications ourrières du moment

la Commiselon Administrative de.G.T, a mandaté 302t Bureali.Poah eus damarshe pressante sait Rats dg

près . Gotagernemeat d l'effet d'altiras l'attention de oetui.ci sur la gra.tê de qinquiétudc gui gagne la cluseouvr.. et Out n'est pas sans légitimes1.6ements.- __-Notre confrère André Guérin

de l'uvre" victimed'une agression fasciste

Hier soir, vers lé hases, alors quenese confr,e André Guérin arrivaitl'upre, il fut ...elle dans le cou.lois par un individu gal lui demanda- Vaut e blet lutera

nt, sauv.einent, nin.aen sc PréelPita sue-h. l'assommant It cone, deMont eut lu tete.

'Pendia gelé aolrroocnrpeeearetnildes soins à la pharmacie voisine,l'agresseur était conduit au commisse.rlat du q.rtier.

O s'e,pitnommé Jimenes, détaché à rEcoleplicatIon du génie de VersaMes et dé-tenteur d'un passeport diplomatique.

Amas interrogatoire, il a été remisen liberté en attendant la mesure ad.Intubtrative tel s'impose.

- -Dans les Conseils

Généraux

Léon Bon, sénateur, est réélu

pour la 8° fois président

du Conseil général

des Bouches-du Rhône

(0e notre correspondant particulier.)Marneille, 20 octobre (par téléphone).Cet aprèamidi, /e Conseil général,

gui comprend 16 socialistes sur 34,rent réssul pour désigner son bureau

No. moi Léon Bon, sénateur, a SteEn prasident par 24 soin.

Le bureau est entlerement FrontPoPulatre, Albert Lucchini, députe,so.eil/er général du 12e canton deEar.ille, a (té Lu premier vicepre-ehlmt, pi Cama..., conseiller gene-ts/ de Salons, par 24 volx, égalementsecrétaire.

Au cours de son discours, Léon Bona selud le triomphe du Front Popu-laire, puis i/ a ajouté

Nous devons nous réjouir des ré-formes réalisées en Mveur de ceux quiproduisent tout et qui n'ont rien. Nousacceptons d'un cur léger les dépensesque comportent ces réformes ns1i0trouver des ressources, il n'y a d'ailleurs qu'a jeter les Jena sur 0. Sne "nuitee Etats totalitaires, nous pouvonsfaire pour des feihrTeS de paix ce qu'ilstant, eux, p.our des de guerre. e

Betoulle est -élu président -

ans la Haute-VienneDans la Hante-Vienne, notre ami

once, sénateur, a Me élu président dConseil) genérals .- -

De même M. Caillaux, dans lahe ; M. de idonsie ,daes le Lot s

Queuille dans /a Corrêse ; 0E LéonArehambuud da. la DrSdie ; M. PalMade dans la Charentolnférieure;Tee. en Seine.etétarne, etc.

Bureau socialistedans les Pyrénées-Orientales.4ans, les Pysénées-Orlentales, le bu.

ré. a Hé ainsi conittlinePrésident Joseph Parayre, sêna

te. (socialiste S.F.I.O.) ; viee-prési.dente l Patère., sénateur, et Thorent(S.F./.0.) ; me/étages : Jacquet etVidal-Barras. (S.F.I.O. et Union So-sialiste).

Le Conseil a ensui. envosb n laCommission un vu'« renéant hom.mage aux sentiments étayés qui ontcondnit Léon Blum & s'écarter dupouvais.

Constatant que les M'inchoa démo-n...es qui s'étalent imposes en mal11936 ont êta maintenus par le scrutin[cantonal ;! Affirmant son attachement â /a pe-ptique de Rmsembiementpopulairelet faisant confiance sux ministres so-lciailstes «léguas au 20 gon...MentI. Front Populaire s.) Cet ordre du jour a 500 proposé par110tre ami Iggsuèrea, secrétaire fédéral,

L'affaire de Neuillyreste mystérieuse

L'affaire Le Blond semble s'achemi-ner vers un enterrement de premlêseel.se. l'enterrement d'un dossier paraitant d'autres sur lesquels est tombée lapoussiére de rdithlt.

Tontes les reMerches falna à. jourse sont avérées vaines. Aucune daa ets.tee n'a abouti.

Tout au plus sait-on que Le Blondmenait un train de vie espérie. sesr.sources normales. 00 trouvait-il adifférence 7

Mystère..) qui est certain également s'est

que, depuis que/que temps, sa sims,s'on financier° était ohérée. Nous ra.mins d'ailleurs laissé entendre dês ledébut de l'affaire. On a .pris depMsque la luxueuse Talbot Optait pas Parée,sue Le Blond qui avait accepté des tral.tes n'avait pas fait honneur à sa si.gnature.

Sans doute en allant chercher Pa,gent 1h où il peneait 0011 se trouvaitsera-t-il tombé sur un « os e,commedisent c. masie.s du gang. .

En tout cas, Il appasail gile la viede Le Blond n'était pas aussi nettemion avait pu le supposer.

Drame du milieu.Reglement de comptes.Teille sont maintenant les hypothèses

ascréditées par la police elle-même.On sait par expérience que dans ces

e.tes d'effanes, comme dans celles -quiagfectent ne autre milieu spécial, celui

UNE TRAGEDIE

DE LA MISÈRE

ENTRE MIGRES

Itj'er=it. 01 toue lules uns

ioeLlee'autres, eette

1171. eétaitItolf",Cel.T:"Se uniCajittaa laronanaeturtaeêtds'a j'ut n'ira%je le voadrals être afin de crier mica)man indignation l Mais je sais de Dra

rets% aart'len; allaurso%11,"acInt aro')dermement résolus, ici, à ne lame,laisser insulter ou molester .. rudeMent intervenir, un Juif parceJuif, ou une juive .rce que Poin

n,,ee4;1: ZJuive.n d'assoi, en prenne in ferme et fière' résolution, Qui sait, sinon, jusqu'où /es MUSriens et leurs .itateurs nous conduiraient.

La rentrée des Chlmbresn'est pas encore fixéeLa date de la rentrée d. Chambré

airt.le's'abenedataaut is":Île Jairesoit au 9, soit au 16 novembre.

A la présideme du Conseil, os déclareque toute information it ce sujet estPrématurée. car le souveramuent n'ena pu encore &libéré, ,

dee Leplée et des Dttfresne, le silence estde rigueur.

Peu de amides, donc, pour que l'enquête aboutisse.

Hier, le commissaire Lefebvre, dè laPolice judiciaire, s'est rendu dans uneagence du Crédit Lyonnais, rue de Pa.acm, ou Le Blond possédait un coffre età l'intérieur, a trouvé une serviette decuir fauve... vide.

Les hunes.os de la P. J. ont en.esse recherche rte Cognacq., El.,meuble on Le Blond et le pe.do PreMer auraient visite des locaux ou ilsprojetaient d'installer leurs bureaux.

Ces recherches snat ratées raMes.Encore nue fausse piste

En enurs d'après-midi, une blanchiecarie de la rne Saint-Symphorien sigmalait a la poilie que. parmi le linge rttses clients, se trouvaient des pièges>.tant les chiffres aga et 5.056. Ces chiéfres correspondeot b ceux figurant cmla languette de percale attachee au rl.

Des vérifications entreprises immgdiatement ont abouti à cette conclusionqu'il ne pouvait 0.e établi aucun lienentre I. MUR. relevée de part et

Le linge nettoyé rue Saint-Symphorien est immatricuM à l'alde d'un nom.postear spécial ators que les chiffreémort. sur le rideau ayant servi de lin,ceul au cadavre sont tracés t la main

l'almanach

Midi Socialisteva biffât pareratoujours avec son

BILLET GRATUITde Tombola destiné

O tout souscripteur

En Espagne

n est curieoa de constater que lessituations les plus dramatiques se peu.vent parfois résumer en quels.. meteTel était notamment le ma hier, h lacour d'amasse. En Smondant ce malades déMils inutiles qui l'encombrent,00 1101 en donner un compte renducomplet en quelques lignes. Car ce quicompte, dans uo cas comme Orbi-ci,dest uniquement le mouvement inté.me et désesperé dm adversaires en

Un Mec... hongrois, d'origineMI., Léopold Uranes, était venu s'ôta- .911HarVOI. Il êtait chômeur et platis...Elle faisait des travaux de couturepour un grand magasin. Ils v votmenC'est dans ces einconstanc. 0.151cueillirent chez eux une petite bonemagyare, Elisabeth Kosma, une comtnote, qui, lasse de servir dans les hôMls, préférait . mettre it coudre. Ledeux femmes se lièrent rapideniend'amitié La nouvelle venue pré. 150francs à ses logeurs, afin que le ma/astepllt ...taller plus it l'aise. Et elle gaiPet en retour, dix franes qatidie.siElle se contentait ainsi de moins détrois cents tranos par moisi

Et Oct revers /es amablarent tous

elab'e caerfaaaantrottlarElaerek,48.14reprendra du servie dans un neublQmais qui bientôt. Mute de locataire,la congédia. C'était la ruine, d'une partconnue de l'autre. Et c'est alors que leprateuse demanda que son argent luinu rendu, InunueibleLes mnnnetétaient aussi pauvres, si ce n'est pluSPauvres qu'ellemême. De part et d'au.tee, la misére fit naître l'affolement,Et ces gens qui avaient vécu heureodensemble te mirent à se détester, à sehaïr I

St bien que, le 5 avril dernier,aneth Kosma recontrant Léopoldgrau..ns la cour de M maison ',-clama son dû. L'autre, vol ne pouvaitrien restituer, /a pria de se calmer e/l'invita à entrer, afin de couper courtau scandale. Peine perdue. La petitebonne cria au oubouc, . sale jutfet l'alectricien, devenu pale mue l'ou)brase, lui jeta à la face le smu d'eauqu'Il tenait h bout de bras !

Cl vol .ivit reste stupéfiant.sabeth Kama alla changer de vetements puis partit acheter un long coutau pointu de bou.oher. Cette aspaeus le bras, elle revint ch. /. Kraustroua fit plus °ressaute, déclarant mg.le ne sortirait pas les mains vides. Lemalade la saisit par le bras et voulutla pousser dehors. Elle, alors, lui piong. sa lame dans la poitrine, lui mu,eant une blessure mortelle-

La veuve, Mme Kraus), a fait de cidraine, avait longtemps aressenti et a va venir n une relatinn inUniment émouvante. Et sus plaidoirieOu Mlle Lucienne Seheid, le jury, ego0tant l'appel de l'avocat seneral Fat ,

prononça la peine de cinq annêes dereclusion. La partie civile 6 obtenule franc ...otique ...se par M.Paul Sage...

On remarquera que la .upable, Ell.se.he. avait été IMmie de MmeCloues, et pourtant krequ'elles setrouvèrent en conillt, le cri gni montaspontanément h ses lèvres est cele dea sale juif e. N'estoa pas désolantat surtout à cette heure oû Me nouvel-les d'Allemagne parlent d'exactions etde mime. nouvelles I les Juifs n'ontlus te droit, dans les squares, que de'asseoir sur dee bancs spécia., peints

bn jaune, et, dans certaines provincee,lia vont être Rétreints à porter uneen.que jaune sur leurs vétements Proadê vexatoire renouvelé du mos.àge 0010005laquelle on inunis.it de

nitettes Ire le reC'est lb que/que chose d'horrible, de

révoltant, et vol bouleverse et datire

GIJON S'EST RENDUEFront des Asturies, 21 octobre

(Agence Ha.vas). - La ville de Ot-hon s'est yontille à >Mai aux natio-naliste,

I St-Sébedstien, 21 octobre (Agence

IM'illi0cem;-appartlent lithres 'et deRtà l'armée nationaliste. Le dernierode, de la tragedte astUmenne d'estdéroulé dans des circonstancesanaLogueS it celles de la chute deSantander. D'es hier soir, le gou-vernement socialiste d. Asturiesabandonnait la ville, dont /es trou-pes du général Davila n'étaientplus qu'a 14 hilometres de distan-ce par la route, Cl à 8 kilomètres à.

I vol d'Oiseau.I Une partie des milices aSturien-nes abandonnaient egalemefft laville dans les vapeurs qui motel-/aient depuis plusieurs jours, aularge de Gijon. Le reste des mili-ces a déposé les armes devant 11m-minence de l'arrivée de l'armée na-tionaliste.

Simultanément, la garde civile,une partie de la population et deSgroupements armés de grolle, par-mi lesquels des organisations pha-langistes qui attendaient depuisplusieurs jours, le moment propicepour se soulever, se rendaient ra-pidement maîtres de la ville et enoccupaient las points stratégiques.

Aux premièrrt heures de la ma-tinée, ces groupes patroulilaient

I dans les rues et assuraient l'ordre.0'.t la radio R. D. U. de Olion quia annoncé elle-même la nouvenede la révolte, aux stations natio-

' stalleea avec leSquelles elle est res- ,

tee en contact. L'armée nationalls-, te brûle les etapes pour attendrela ville. Elle espère p faire son en-trée demain.

I D'Oviedo, on annonee que la Ista-r part des batelions asturiens quientouraient la ville depuis seizemots, se livrent à la garnison na-tionaliste.

Le congreseaeicai-soeatiste

S'OUVRIRA LE 27 OCTOBREA LILLE

Lille. 20 octobre. - Voici le pro-gramme du congrès radlcal-socialistegui se tiendra prochainement f Lille

Le mercredi 27 se 11101es na Bel..rère de Lille. la séance agricole quiprécèdera le COngreb et uni Peru,idée par M. André Llautey, sous..cretaae d'Etat à lAgnoulture.

La séance suivante du congres secendre au Pales Rameauble jeudi SSous la présidence de te, Deadier, miUstre de ta Défense nationale, prés)dent du parti radical et M. tonalassole, président de la Fédération)adicale du Nord, en présence de M.Tamire Chantemps, président du Con-seil et 11. Herriot, président de laChambre.

Ce bar-if b 20 heures. se tiendra!le congres dm jeuneas. radical.. I

Le vendredi M aura lieu le Prenderartel

M.dyntb,rt.setitr entiim ere.atiger:.

étr..rta prononcera un ammure, Le samedi 30 commencera dansI raprês-midi. le grana débat sur latique intérieure. Oct y fixera l'attitudedu parti radlesa à l'égard des s.teslistes et let communis.. Une séancede nuit est envisagée.

Le dintan.e 10, lecture sera fade de/a déclaration du Parti età la Foire commerciale de Lille auralieu le banquet de clôture.

Au nom lino.

LE MIDI SOCIALISTE ligsmommmernmeirmlowLaidomess_umw--

La confrontation

de Troncosoavec l'équipagedu sous-maringouvernementalespagnol

est interrompue àla suited'incidentssoulevés par la défenseBrest. 20 octobre. - Une animation

inacceUturnee regnail ce mai10 dans lesrues habituellement désertes qui con.msent au Palma e .

Cerbtnaullée. noue laie

"""..Trd'e'`.,,"èt.Piractanibiroceef tenirlaL ulule .v. éqZ1Jut% 40 4004'îl'sria

Le bourreau gela cité martyre -d'Iranarsiva conduit polie gardien chef de laprison du smgucn et encadre par p.-sieurs setidarmes.

Dans les coulées du Palais ..go su mers 1

La promlae confrenstation tut mile'avec l'officier mécanicien du CI, Hennandeg

Ce dernier affirma tout de euiteTrOhertao et sa bande Suaient armeslorsqu'ils montèrent à bord du mua.

Mann.Tronc°. soutenant le contraire, uSetangs de propOS très vifs suivit,

) Me Dansais, défenseur de rancieactisf de la 100,111 Ire, intervint alors polirdernander A Hernandez son lieu de nais-sance.

- Je suis originaire d'un faubourgde Carthagène, répondit l'officier mé-canicien, on habitent ma funiille, niamare, ma femme et mes deux enfants.

En posant cette question, le défenseurOh commandant Troncoso ne vouMitautre chose que démontrer gue sa fa-mille h.ltant Serra in °cape parles gouvernem.tatx, le témoin ne Pou.rait faire autrement que de abuserson client.

Aptes cet incldent, /a suite des inter.rogatoires fut remise â

Le premier Matelot interrogé par ail,.

de'a nan'dcaairl) araaarrialof or en erna des etses précédentes déclarations, à savoirque Troncoso et ses amis étaient arméSlors n'ils mirent le pied sur le pontdu .

Me 'monts interrompit aussitôt letémoin pour lui poser /a même ques-tion «Il avait, le matin, posée à Pennandez.

Le juge s'in.rpo. et (Molern que lequestiop ne serait pas posée.

Devant l'insistance du Of MMOUr C/UIsou/avait un incident de procédure M.do Larmyre décida de surseoir it Eln.terrogatoine.

rummlimmillroàmmermiltrummimm.

POUR ARIdETER LA GUERRE a seconde journee

C'estbien dentas dl, confirme Pertinex

17 ! di !

se prononcent unanimement

pour le boycott do Joon

Walter Citrine précisele but poursuivi

Rarement initiat.e d'un Organismenternat.r. ouvrier aura rencontreun accueil aussi enthousiaste et aussi

edl'elle "Legte. '1 'Meirt ,

boycott des marchandises japonaises.Daprès le communiqué que nos ca.

malades Walter Citrine, président, ntSchevenels, secrétaire général de la FI-

1.1e."aprotes avieelere,eenlerege:.tes des Etes.IMis, duCanada, delalsouvellegéhime, de l'Australie,

du0100100e,da q qte Hollande, de la France, de la Suisse,des quatre nationsScandinaves, de laTchécoslovaquie, de l'Irlande se sontgêiâ. maintenant prononcées en

faveur...du boycott. La Grandas. etaitscquise dès le premier loue.

Mame en Autriche, malgrê /e stupideet brutal régime Méricofasciste impo.pi la classe ouvribre, le mouvementWest déclenché, les ménagères de Vien-pe refusant immédiatement dans to.les magasins /es Marchandises nippe

l'etItrine a précisé en termes excellenteles deux °Mati. principaux poursui)Oie par la Fédération

D' b d 11 dAolard, nous sainions faire un puisante démonstration

501001100e bol le peume chinois enlutte contre la brutalité de lunvattionlalsonaise.oa Ensuite le boyatt es

atle moyen 15

ue efficace pour faire nnaltre aupeuple Japonais lui-même l'exécrationSue la politique de son gouvernementprovoque dans le monde entier. L'extra.lot rigueur de la censure exercée sueta presse japonaise empèche la nationJaponaise de oonnattre l'impressionUhorreur que suscite partout le mas,Imre des populations civiles chinoisespar les fore. armé. du Japon et latreteateltors'q'au: lleas Cgranamteace. m:lv1101 1 1 ta on

commerce cal perdu ils exercerontrom leurs gouvernantsla pression né-eesmire pourqu'ils arratent cette

Sure: i-eed e dupore humain » que sont les dictateurste nome et de Berlin ont choisi cemoment bleu Dams...

100mMrleurssyrspathies l'égard des bru-

nue IdeaMingar,de tonnai,deCanton.Nenoue an rlaitoone paa: lia cou'trament ainsi puissamment faire

ro'r'trodIrea aque0,0alue1r zd"=.Inmime, ils se sore' . dehors deau.manite civilisée.

Jean LONGUET,

1 9 37

LOTERIE NATIONALETIRAGE DE LA 10.° TRANCHE

NO v EMBUA PARIS

AU COMITE PLYMOUTHLea affaires de la paix ne vont pas

bien. Di.nale ambages ellesvont mal. L'Italie fasciste, attestant unemauvaise foi, punique, a infligé mardiau comité Plymouth, réuni tout expiespour lui étre agréable, un no. quipourrait bien être celui de la mort. Quidonc croyait, au reste, qu'il en irait au-trement 7

alutre deux thème. la conciliationn'aimerait guere possible. R.I. desvolante.. au prorata des effectifs engagés disent Londres et Paris, nui

dota Fra010 coOr 00111 Vedtele:lign. républicaines. Octroi Immédiat dela belligérance à Franco, rêpond rase;après quoi rappeL tete pour tete, desvolonMires. Et y a aussi la sugges-lion soviétique retrait de tous Ms volontairee, proportionnalité, - maisse n'est qu'une suggestion, les Sovietsse ralliant pratiquement à la thèsefranco-britannique.C'EST LA FAUTE

AUX SOVIETS 1Cependant, c'est sur les Soviets lus

le Journal, plus monstrueusement Ils-ciste et mussolinien que jamais - ce

qui frise, cette heure, la haute trahi-son - rejette la responsabilité du mes.qur inévitable Scheel

Voici I. titres qu'étale en premièrepage l'organe de M. Guimier

Lee Soviets s'opposent an plan Iran-gais.

L'obstruction systématique du délé-gué de Moscou, pui parait bien r.oeuO faire échouer toute espèce d'accord,mespromet les négociations.Et voici ce qu'écrit, de Londres, le

torrespondant de M. Guunier, qui MatteYves Morvan

Or, Mme loin de se montrer contagant, M. Male. s'est livré 0100 11-taque en règle contre le plan de pale

gouvernement franeais. Les Aa-viets rest.t ainsi fidèles leur no.litions bot le but est d'empêcher partous les *ope. mien accord soit con.au entre les nations d'Occident.

M. D'ORMESSONCONVIE LE JOURNAL oToutemis, reconnais...le, l'organe

Guimier fait heureusement cavaliereet.

M. d'Ormesson, dont les symParld.franquistes sont notoires, accuse (Figmro) le de/egue Italien Grandi d'avoir en-f 1 di i n dans la lu

Le délégué italien ne démordit pasde son point le us et scie collègue

, allemand le seconde- (*.atèle demie. enfoncer ta discussion gai s'ou-Irait dore ia glu et de bolicher tout.

lea perspectives d'accord... .

eneruescencebon

Sahno,earandam. poneao*cie,Il. es,

du conseil nal °nal CI181 leS lonctemares

des elfiliOyéS des P.T.1.

Volci les résolutions adopté. perle Conrca lqational des Employés desP.T.T. an mars de Parr réunions<Phi. )

Le Conseil National des Employésdu P.T.T., prenant acte des «aiglonsdo Conseil des minXtres du 10 octo-bre MW, relativement à l'attsibutionaux esses des se,svices publics d'uneIndemnité Mein. par laugmentationnotable et croLssante du coût de la vie,constatent que l'india est pas. de600 en juillet 1937 d 642 en septem-Ira 1937, et que la majorita ,des em.ployés des P.T.T, ne perçoit qu'un Mal.tement mensuel inférieur 1.000 fr.

"i) t ' tpart le .00001 des PTT. ne bénéficie pas dela loi des quarante heurm appliquéedans l'industrie, le commerce, 1u che-mins de fer et de nombreux services

Sa.° qu'alors que ransmente-lion des tarifs des P.T.T. procure unsupp/ément de recett. de RIO mil-lions, le ...net dont le travail as-sure la marche des services, ne sau-rait admettre qu'il soit exclu du hé-nefice de la loi des quarante heures.

Invite d'ores et déjà tons ses mili-tante et adh,ents h agir auprês desgroupements départementaux et loca.uxconstituant le Rassemblement Populai-ru sour soMen. c. revendications.

Donne mandat aux bureaux syndi-cal et Hetet de se con.certer avec lecartel des services publics pour ame-n, le gouvernement satisfaire c.légitima revendications,

.90 cas ail il n'en serait pas ainside prendre toute décision d'.tionla. situation ferait apparaître commeindisp.mble y amer. la grève mi.ner.e.

Le Conseil National des Employasdes P.T.T. considère toutefois que sides mesures três énergiques étaientprism à regard des spéculateurs etgeit p'a'rt:al

de 10001,et lot ahailette mobile, seule gar.tis du pou-voir d'acbat da nos traitements, il se.rait acore possible Cerner le pire.

000Le Conseil National des Employés

des P.T.T., considérant que les princi-Pales revendamtions déjà présentéesan u gst e et reprism à celuide 1938 ont été reietées par I. sen-akenetastate f la'srafa.1s de p/us que l'onoppose f revendimtions toutes fortlégitimes l'argument du manque decréédit.

Regrette d'être amené à constater

eetntrers es es o nt u a,se, avant juin 1936, les gouvernements

Estime que le rejet des propoeitions

reaaacoial:fitluee eg'grietaliteaa;rodve,...belon, devant laquene le gouverne.Ment se dolt de réaer av. vigueurla 'C.T.upe'lly;%rioTte'reltre''stenéetralala le ce jour pour letrevendisations

s e no amment pour I unificasion des traitements des chargeurs rua-butentiomnalres et agen. mann.lents, pour t'augmentationde la rê-lnunèration des garants Pos-talm et se.. auxiliair. Cl pour detombremes et indispensabl. émanionsd'emplois.

Inesto sur ta gravite d'une 'tellesltuation enimant inadMItts/ble que ceSoit toujours les petits personnelsjarce que plus no. notreldministration oul se voient refuserkto"..11,: ete-ci

mbre dans

cZnueilarie, eepen.d.tDon. mandat au bureau et Aiset leur fait confiance pour queloft menée toute tien nése.aire et

tall'eleas' ulat'easa'r'e t ta.'" d'easaadM.. dos P.T.T.

Devant cette Mise de eéeatttt déni'mante, l'interv.hon du «lep. al.viéttque allant.. semble avoir étésecondaire.Elle ne 'semble pas... elle l'a êta.

...ET PERTINAX AUSSI

(0100 de Paris), .1 a jeté la négocia-tien dans l'impasse. La .daMrationviétipue a n'est que sur le rebord de lacontroverse o et, s'il Y a rupture, elle

Pour' RBSte d savoir ce 'que décideront, ce

mat., les gouvernements de Londreses de Paris. Dellant t'obstruction sys.tenatIque de Pltalie, laisseront-Ilstombe, ta Pahiklue de non-interven-lion pEsemieronbas de sauver, toutau motos, Fun de ses débris, la pro.messe Dm... cl tous de ne Musachentner Vers la péninsule de nou-veaux combattants et de neuve/tes er.mes f Ga ont quelques heure Pourprendre Ur. résolution.M. Donnadieu souhaite (l'Epogue)

cette résolution ne casse rien. Mals pro.dence n'est pas toujours mère de la sa-raté, n'en déplaise à La Fontaine. Laprudence Moxige me qu'on alie éter-nellement au biuff et au chantage,

0 0 0Signmons que les agents français de

Mussolini, continuant leur campagne,nous avertissent c.ritablement que sile bluff et le chantage ne nous flot pasbroncher, nous n'avons rien battendrede l'Angleterre

Un hebdomadaire de eh. écrit paresemphs

L'Anet.. ne bougera p. I senos interventionnistes n'ont pas ind.me, comme le Kaiser In 1914, la P..sibinté d M'en douter, puisque les ien-/dom de Londres s'expriment derement tette fois par ht voix de ses re.préseeents officiels.

L'Angleterre ne nous aidera . quoiDee ce Mt Voila l'affirmation leimériterait d'étre affichée Partout enFrance en lettres 41 /01.0111005e aux free de Mus./.1 t'avec

l'argent extorqué ses capitalistes DPOLITIQUE INTERIEURE

Un regard sur la politique Intérieure.Les Débats se demandent si les radi.

eaux ont compris qu'ils ont 1001 0011'gation de devenir nationaux. Et le se.ciologue du faubourg Saint-Germain. M.Lucien Corpechot, fait chorus acre lesDébats da. l'organe du file EdmondBlanc (Echo de Parle)

L'expérience leur a4-elle P0000 as.ses de cl...voyance pour juger d savaleur le préfuge gui a conduis leurmarche, vertu duo)Del rapt* mo-derne doit aner d gauche, t000ersplu gauche, comme ei faucher a>

,ruxswejeefflge,AVEC M. CHARLES LAURENTParis, 20 octobre. 'IL Camille

21'.fuêtrZPt.n la Sreirési.de'Otde

Meegee g' 'én'éçrr d lM.

Ce h 'a 1 ré dtr l'na tsdes fonctionnaires.

'UNE GREVAI A LA CAISSEDES ASSURANCES SOCIALES

Paris, 20 octobre. L'agitations'étend da. tous les services pu-blics de

111101.Cematin, l'effervescence a gagnéle personnel de la caisse interdé-

rr Ctenedeest iseala Prion-et-Ol.see, dont le sMge est 69, rue deDunkerque.

Pour appuyer leur demanded'augmentation de salaires de 140francs par mois, ces employés, aunombre de £100ont fait grève de8 h. 30 à 10 h. 30.

Après avoir gagné leurs diffé-rente services, les intéressés sesont croisés les bras devant leursbureaux.

Les grilles de l'immeuble avaientété fermées et le public fort nom-breux dut stationner pendant deuxheures sur le trottoir, tandis qu'unservice d'ordre avait été organisé

'Ill eateMivient de préciser que laCaisse interdépartementale est au-tonome, simplement placée sous lecontrôla du ministre du travail etque, par conséquent, les employésne peuvent être considérés commedes fonctionnaires.

A la fin de la matinée, une délé-Cation du personnel s'est rendue auministère du travail.

CHEZ LES INSTITUTEURSDe leur côté les instituteurs ré-

clament une augmentatMn des Irai'tements 15 30% au minimum et un

relèvement des indemnités Moules.

DE PARTOUTALLEMAGNE

L'Associe., des institutricès catho-G=tall'eaêr" ss a. a" dl""ta

qu'ersa"re%serA.sionneds catholiplus importants. Son existence avait Mûgarantie par le Concordat.

.LU,'!;;.?;.1'.`.1% f°1;.î'

oisonoistmot lllll 01111 lllllll t11111111110

La Vie Sportive

duedéfinitive vol me as de mOiF

RUGBYSAHUC A SIGNE

A TOULOUSE-TREIZECie à A/bi, dimanche 24 octobr,. que

lu Toulouse Olympique treize fera ees dé.

L'équipe qui jouera ce prends, match,a déclare un dirigeant du T. O. 13 aurabelle ellute. Mais l eong, ne sera ren-

a'raiêaelniaq'uasa: e7rs'ssaa)r.'hêt';les av

b

Le ...s 'Uniate, S ce Mur, ne cédi,

qu'u neesl nom. celui du Touloeseln

Parte." de droit aux utopies lu phisabsurdes, aOo rêveries les phis SI.gelées de tout ce gui rivai, jusgu,,,créé la for. et la vie, l'ordre et kt job,de t'univers ILa force sels vie, t'ordre et la hi,

1C.11.uveLrsqu'ici que des nota Le Socialisme a,.

fera une réalité.Le colonel fait ses comptes I L. ,

S. .10 I - a conquis trois Nm4Meg. (Peri, Journal). Progrès r,drops:ni,

s'ecrled-a, dans le réve et l'ers

Le sexes P S. F. indignemet. d suivre. Ri. d'utt. au pay,Men de stable ne sera obtenu. ft roin'allie point la volonté de maint.,Ire progrès sociaad rotes antscue.,,,O cette d'êtintiner une lois pour tout,les doctrines du collectivisme et sabolchevisme. Le propres foudroyantde notre Infimere excite l'aigreur tescepticisme aussi *bien mea les off,ciels gue chra les tenants de l'extrêmedroite et ce. de l'extrême (saucéeVoilà) le P. S. P. devenu centriste, La

P.Ifion ne porte pas bonheur, et c'estce qu'aurait pu dire au Petit Journal.,qui Justement P.terviegait, M. Pierre.Etienne Flandln. Il a préféré HI amfier que s la condamnation Sn maniame, te/ est le verdict du pays s ets qu'une modification d, factuelle ma.Jorlte gouvernementale, qui a tonjouraété souhaitable, devient pOSsible s.

Fia.10 croit son heure revenus) LeFront populaire, maintenu et renforcéCille faut), es chargera de le desClu.sionner.SUR LA VOIE

DU MARXISME/Me nouvelle L. Le vidame Henri tle

Relais - ce cher vidame -'au matérialisme h,torique- maitre.55pHca du marxienne-

Pour une nouvelle, c'est une Ilemellel.Ayant «couvert à son tour que, der.

Hère la révolte aati.julve des ArebeePatestiniens, chemine la main de Ma-lle, le rédacteur de l'Epoque falt cetteremarque, b laquelle nous serons lesderniers h contredire

Par uol détour extraordinaire, lecisme italien qui répudiait autrefoisle racisme el t'antisémitisme, a trou-ssé un terrain sur lequel il se resco,Ire avec le fascisme allemand Tantil eat vrai que I. Idéologies s'alla- -

mereineusement aux intéretePatiques et, au tond, ne servent qu'A

masquer... .Tant il et vrai que le marxisme, toms

me la mauvaise herbe, envahit tout V. )

Voila M. Se al-tilla noise laisse sesgner I Nous ferons-de te jeune hommequelque chose, vo08 verres

esn.

le poste d'arrière sera confie h tin jeteurtreize et dudau centre de la ligne des

trois-quarta opéreront Seimuc et as as.international h quinze (1).

s ,A leurs n'ôtés joueront deux imma

vrera dénie, le mêlée es.. ne brih.i.

es, enfin, Toulouse sera risSec!, Deux vedettes de /a Ligue Y 41srent simi que quatre joueurs ',ne.). ve.ne du Len.edoaRouseillon.

(1) On parle de Desclaus. Dee d.ter.ches ont été faites égaiement auprès Ostalonneur du S. T. Lopez.

DEMANDE DE MATCHESjuniors Lezignanais libres,- dimanche

prochain 24 octobre pas ssite forfeit rece.vraie. sur leur terrain. Earl,. ou télé.phones à Boyer Anhur, LésignanCorbie.res (Aude), Telephone 2.65. Urgent.

ASSOCIATIONFRANCE-HOLLANDE

Voici la composition de l'équipe prem)ésro qui smashera dimanche la Hollande

Di Lon, Cazenave, Meuler, Courbe..François, Delfour, Courtois, Heisserer, Ni-colas, Veinante, Limaille,

ninninintirniumnilinuutunutm.Dia antifascistes condamnés

en ItalieRome, 20 octobre. - On publie oe

Pan, que le ,mmunat soéMal,,P,OgéInsleaadn'oes ierruer:gar

001oes

quinze Subversifs %culer

tif 01011. di; l'amlt O.allut0110a,d'établir la dictatuse d'une classe so.

Virfel,"majvne"adê) ps" ji,iree'aâmoyen de livres et de traacts,alalts'se passaient dans1 mi

Le principal inculpé, di GmvannlAntonio, résidant à Paris, g qui o. 1).prenait également l'usage de feusPCBSepOrtS, et qui fut arrêté en félnietdernier a Gênen, a Me condamneans de reclusion.

Di Donate a 17 ans, di Muette.12 ans, Celino et Damia00 â mena,tonnouet111,111 en Utes'. âMirer

Six autres accusés ont été acquitte'.111111111111111111J111111111111111111111111111111

Le retraitdes Illei0111:81reS

LA COMPOSTITION DESCOMMISSIONS DE CONTROLEQUI SERONT ENVOYEER EN

ESPAGNE

Londres, 21 octobre. -- A la sn)CIra décisiojtéedrie.:ns2tr..,..einre,

l'OreZ non-intervenrtion Cie

:ilTsc=geredePelo=iiihrtv":Emissions qUi .ront envoyées en -Pagne afin de vérifier le nombre reevolontaires étrangers dans les eu'armées.

Le romilè de non-intervention dtvre naturellement apures,re le ch.'de PMU..

Le gouvernement de Valenee timeautorités de Salamanque devront Mreconsuliés sur le principe de l'envoidès commission

Avant que l'action du comité lite:se aller eus avant, on ne Itur.4lofais pas prévoir dans les unit.diplomatiques anglais de saleuses_difficultés h cet égard: les deux POr_tir espagnols n'auront d'ailleurs P.?voix au chapitre en ce nui con.d`.ê

filechoix des commissaires.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

e.

A rénonlo dédision du gouver-

Lnemantfrançais en es qui

concerna le < rapatriementdes réfugiée espagnols a sua

Cité une émotion bien compréhensi-ble et des protestations justifiées.

Je puis assurer que dans les orga-nisations syndicales un courant trèsprofond contre cette mesure se ma-nifeste. L'autre jour, au Vélodromed'Hiver, les travailleurs des servicespublics n'ont pas voulu es taire euece point, et ils ont eu raison.

Les revendications corporatives nesont pas le seul but, le seul objectifeu mouvement syndical. Laissons lejournal Le Temps s'indigner une foiseh, plus. Cela a été depuis bien long-temps l'honneur en môme tempsqu'un des caractères originaux etspécifiques du syndicalisme fran-çais que de greffer MM les revendi-cations strictement corporatives !esrevendications sociales plus larges.De même la lutte pour la paix inter-nationale a toujours été, et avec rai-Son, considérée comme de la soupé-Pensa "du mouvement syndical. Nouscous rappelons b ce sujet les oppo-Citions qui ont surgi avant la grandeguerre de 1914-1918 entre les re-présentants de la G.G.T. franeaise etKarl Legien, le secrétaire de la Cen-trale syndicale allemande.

C'est pourquoi 11 ne faut pas s'éton-ner de voir que le problème espannelsous tous ses aspects divers, intéresseal fortement la ce.T. française qui,'dès le début, a pris une positionalaire et juste et a développé uneffort de solidarité, sous toutes sesformes, absolument remarquable

LB question du rapatriement desréfugiés a a occasionné déjà pas malde démarches au ministère de l'Inté-rieur. Les efforts conjugués de Geor-ges Blii6S00. seorétaim de la C.O.T,et de Jean Channet, secrétaire du Se-meurs pont/Mire de France Ont aboutiâ certaines atténuations des mesuresprimitives, notamment anse qui con-cerne les enfants Orphelins.

Néanmoins, I/ y a les autres victi-mes les femmes et /es enfants, qu'ilne faut pas oublier. /I convient detpréciser la situation qui est faite;Cet afflux de réfugiés dans Ire pro-

répell.ines, dom enrpel3eàfa. par lez anseék provenant anHee grand nombre des zones occu-pées par les franquistes, va a.ggra-ver considérablement le problènialimentaire et la difficulté de ravi-Zaillement,

Programmes du jour

Toulouse-PyrénéesA 6 h. 30. - Relaie d Peris-P. T. T.,

Infestations: Météorologie; revue depieu

A 11 h. 3h - journal parlé.A II h. 35. - Tour Eiffel.A /I h. 45 - ConcertA 12 h, 45. - Informeras.A D heures. - Strasbourg r Conan.A D h 30 - Tous EiffelA 14 h. 30. -Pelées du noue co/ouiel.A té b. 55. -Tue EiftatA 16 h. 10. - Museum t Concert.A /6 sr. 50. - Tour Ente.AI? heures. - Pordeam r Concert.De D le 45 h 18 theme. - Conférence

par Mme folly-C-ethale.A,18 heures. - Suite da re'se de Pr,

trels/e Concert.

A 18 h. Si. - Emission donnée par leCentre confédéral d'Educetion ;Minière.

A 19 heures. - Radiojourral de Fran

A 19 h. 35. -Palais da la Tour MW;Emiesion économique et sociale.

A 19 h. 30. - Communiera diveretsteeple

Lee souffrances et les Misèresd'une m'Inflation civile, déjà grandes,seront ainsi augmentées. Je ne parlepas des dangers aunquels elle setrouve de plus en plus exposée dufait de la guerre aérieme, conduiteméthodiquement, avec toutes les res-sources d'une teohnique perfection-née, par l'aviation italienns et al-lemande.

Mais je ne veux pas rester sur leplan strictement humanitaire. Je nemains pas d'aborder une autre facede cette question si douloureuse, etangoissante.

La tâche du gouvernement répu-blicain d'Espagne, déjà si extraordi-nairement lourde, va encore êtrerendue plus compliquée, plus absor-bante avec les réfugiés venant deFran.. Et cela au moment où l'onpeut s'attendre à une recrudescenced'activité militaire de la part deefranquistes qui poursuivent - endépit da Phérejsme des Asturies,coupés de toute communication etde tout ravitaillement - la dosa.-tien du front Nord.

Non seulement l'Espagne répubH-ceins continue à se voir privée dudroit absolu de s'approvisionner enarmes et en matériel de guerre, cequi gêne la constitution des arméesde réserve en formation pour le déolenchement des offensives coordon-née, qu'avec raison la gouvernementrépublicain ne veut entreprendrequ'après avoir réuni /es facteurs ma-tériels et moraux du succès, alors quel'agression italo-allemande, sous tou-tes ses formes, sur terre, sur mer,dans les airs, es développe et seprécipite, mais encore Me est ac-culée h des difficultés économiquesgrandis.ntes qui ont leur Maint/S-elon à la fois au point de vue hu-manitaire et au point de vue desconditions mémos de /a conduite deIn guerre.

Qu'on le veuille m non. Ist mesureprise par le gouvernement françaiscontribue k imposer it 'Espagne ré-publicaine un rationnement de plusen plus sévère.

Et n'oublions pas que notre ..6srade Julien Deutsob, qui prend uneparti si active à la guerre, vient dela empancr à une forteresse assié-gée par le fascimmenet gni attend lesecours des pufssaftneS démocrati-ques.

L'Espagne républicaine attend, elleattend toujours-

Jean ZYROMSRC

LA T. S. P.A 20 I,. - journal parlé uleusram.

émission).A 20 h. D. - Concert de disque. p.

ToultinemPyrees.A 20 h. 15. - Concert de disques par

Toulouseestrénées.A 20 h. 30. - Soirée de gala avec 'e

amours de l'orcherae de /a «fanon.A 22 h. 30. - Relais de Parie-P. T. T.

Informations; Météorologie.De n herase à la fin, relais du poste

national e Radio-Paris et Cannes dejammelelimMil

T. S. P. - PICK-UPLes Diffusions Rsoui DUBOISII,na de Metz, Touloans. Têt. am.bée/alité Os location Amplificateurs

Radio-ToulouseA8 heure. - Informations. Orchestre

de Won. Comédies musical..A 12 heur. - Informations. Orchestre

militaire. Le quees d'heure des auditeur.Dancing de Teddie. Refrain musette.

A 14 heures. - Informations.A I 8heures. Orchestre

Extra. de films. Chante .0schatre mi-che

FEU/LUTON DU MIDI (701

Egyzmuzweez, umzurzegezzrzee

FAN-MUAS 0JOUE, ET GAGNE

par Marcel AilainIreEMMarliZEMO rii=efflrsaikleate

Mais Hélène ne semblait pas mé- à jan.. le Oxonien En..., usme voir cm brou qui se tendaient craquement ébranla la pauvrevers e/le!La file de Fantômes n'avait-el coque.leLa quille avait touché ?pas hérité de la volonté farouche - Vite ! Vite donc 1 supplia la

de son père? Ne méprisait-elle pas voix épuisée d'alélène. Les brisants.le péril? Cramponnée toujours à la patteCalme, sa voix s'entendit, chan- d'ancre, C'était miracle, vraiment,tante, dominant le vacarme du vent qu'Hélène ait pu éviter d'être em-

et des flots 1 portée.- Fmdor ! Vite ! Filez de la Et voilà que l'apercevant, messe-

chaine ! Vite ! Vite donc ! lente, ses beaux cheveux mêlés- Remontez ! Remontez ! gue, son clair visage enfiévréUne vague passa... de volonté farouche, Jérôme Fan-Submergeant les deuu jeunes dur perdait un peu /a notion des

Ce s, elle parut prête à engloutir choses.

niera

Ledentier numéro d'Europe fis sep-

tembre) est presque tout entleconsacré au souvenir de GeorgesChemesière, mort il y a déjà dix

- te si août /gra - avant d'avoirattiré sur lui l'attention du grand publiaCes dix années ont-elles fait mieux con-naltte son uvre? II ne le semble pas.Cl pourtant les écrivains qui lui apportentaujourd'hui leur hommage ont sans denseraison de penser que l'histoire littérairedu COMMenCeMent du ms siècle devra luifaire une place importante.

Ce poète a été, en effet, trèssensible non pas seulement aux beau-tés de la nature qu'il a chantéespeut-être un peu trop it demi-voix, maisencore aux espérances et aux cohres d'unpeuple qu'il a exprimées dans des Camasmu, comme L'Appel au Monde, l'Ode dJaurès et l'Ode d Zehtdemeureront le fieramorçasse de sa vo/oMé de servir à samanière - la meilleure lenup sûr - lesintérêts de la cité. Il faut aussi se sou-venir de la place, peut-être éminente,qu'ocenent dans Pauvre de GeorgesChennevIère /es chants écrits pour cesEntes du Peuple dont il fut avec AlbertDoyen, l'un des principaux Ramas..

Mannevlara écrit M. mené Arcos,va anonyme, fummt cette petite paeoui ne le quittait guère, parmi le flotdes travailleurs en marche. ni n'a ja-mais rayetaiqué aucune eaveurridee n'encan pu MI Venirso dne

re"7,r,' ReMfiugermgrenetui uv'att'fout sacrifié. Je 'net .neeitrisu tee L'IIMZehne=500 ramasses d'autrui, il m'a toujoursnana sana carnassan. pour nn,

rueouoeuer,muve. r:UMg,`",r_rees1Wa essle;.,tire,e°tfel,M.parmi l'époque d'amènenerre onl'on vit oestre et pramerer cet énor-me maman littéraire que Von sait. e.M. Georges Duhamel nous parle de

son fi musicie.e o.Ohennevière - acuv.lt - fréquen-

tait les Fêtee du 'Peuple. Il y donett d. cour-

a'.nnsbhiaseooact 050 nu es sa dv cas'

A 195, 15 - thheemenes. Famealctadionhonique s Le Concert d'aujora.d

A .9 bettes. - Sélection ma. Le Ven.a Joyeuse.. Ordhestre agentoin du ran-Mo.

A 21 h. 15. - Concert.A 22 heu, - Informeras. Concen

anglais. jareé. Orchestre musette,A 23 heutre. - Opéra. otchesne mu-

mue.A 23 heures. - Opérettes orchestre. Sb

leclion sur Le Cannas du Châteaud'lif à ,éiatte de Scotto Caveau Chebehmouna

A 23 h. 45. - Informations.A 24 heures. - Fm de l'émission.

Réunion du bureaupolitique

du Parti CommunistePalis, 21 octobre. - Le bureau du

Parti mmmuniste français s'est réuniaujourd'hui sous la présidence deMandas Toren secrétaire général duParti

Il s'est félicité des résultats des

Oh f il l'aimaitEt l'amour est une tempête aussi.

Il a ses vagues terribles qui sub-mergent le cceur humain, qui mé-suffissent toutes pensées, qui ren-dent impossibles tous les vouloirs !-Hélène ! Par pitié !LI ne pouvait que se pencher vers

elle, et lui tendre les bras, et vou-loir l'arracher au péril fou.

Mais Hélène se détournait del'étreinte !

- Etes-vous donc fou ! Regno-dec les brisants...

Si impérieux était, alors, le gestede cette jolie tète fine se détour-nant, que Jérôme Fondue regarda,en effet..

Oui ! Les brismts étaient pro-ches-

Dans les eaux tourmenté., àmoins de trois encablures, unefrange d'écume, un remous terribleannonçait les écueils...

Toute cette mer bretonne n'est-elle pas dangereusement semée dece que les marins appellent si dé-amneusernent t des a cailloux o?L'archipel d. Glenans est, hélas,

célèbre pour se dangers ! Combiende navires y sont venus à mal ?

1.E MIDI SOCIALLSTE

h'''eé':éC,°tr,rotuteu'uvroo.m,dx pareueaeen don0 rcen

l'negetkeets66:118egler

a °mes, .e Mus .Dell, qui venaitPde paradas au Mec.cure de Franm et dans lequel étaientcélébrées les souffrances et la mortdes nommes de la averse. Le CanalOs dgelieeergru'arsZe,==lement moula Ja mort de Doyen, mar-que 1x00000 d'une col.boration exem-

taira. Alors que, sollicites par milleproblèmes nous chers/no. les uns etses autres nota voie da.. forêt desévénements ai des hommes, Miennes.-ceeneree;,,,I:;150ne. n devintaa pour ses téoibuis Id chnenes minons auxquelles. Doyen don.

ederead'entt'eld eiiiiteP,e0Tâze"rond de notre cur. Gra. aux Fe.e.reel'omeoiume dm

tt?a tuMue7te,uneueri.lsoeugn2.;cette musique libératrice qui demem15.telr tant d'am., lumière et con-

'C'est au prunier livre de GeorgesChennevière - Le Printemps - que MLuc Durtain consacre son ertnle.

Ce 'ramier /me de Chennevière- rameroda'

idautatale

'dsceslkirrPlItdeon peut le rouvâr sans..cra4nte.d..nuseelet ddjur. e je, e.s.p.ri.z,

Mol.enn. pax placee, certains foisonne,mente, il monta déjà cette transita-"P"dP"01rtdent"'ejidt.

ovules.eiedàëiienoramerr son aMeurt'inemvneOheoslou les

On se rappelis que c'est avec GeorgesGbennevière que hl. Jules Romains gla-bore,

titee

,s luremisnanndéesds '

a

cz.

sil;

dso'lledele nom dbiumthddi'misme. Fras:rai%

dacs le mon, al qui e inspiré `:'2` pire:s q 1 es pages qu'il vient

Icleompautier ld "qdans Europe sous le titreé Lettre h Chennevière th On peut ylire

Nous n'avons pas pu t'empêcher;

MANUVRES DE L'AIRDes fantassins de l'air viennent d'être inhibée par les avions de transport de

taupe. et ils descendent lentement dans ne limes ennemis.

êlectims cantonales qui ont été unenonnette et éclatante victoire dufront populaire et nau ont donné aupaMi communiste plus de voix qu'auxélections législatives de 1938 1107élus cantonaux au lieu de 25 dont lemandat venait à eXpiratiOn le 10 no'lober dernier). Le bureau politiquea constaté e que /e mode de scrutina donné à la réaction près de deuxcents sièges de pion qu'elle ne de-vrait avoir et a dénide de mener cam-pagne en faveur de la représentationproportimalle, vieille revendicationde la démocratie française dont JeanJaurès se fit le défense.' Passion-né.

Considérant qu'und avoir d'huma-nité s'impose à la France en ce quiconcerae les femmes, les enfants etles vieillards asturiens qui Per mil-liers, seront ma.acrés si leur éva-cuation n'est pas organisée, il a déci-dé de demander aux pouvoirs publicsl'organisation de l'évacuation des As-turiens sous la protection de la ma-rine de guerre française; le rétablis-Sarnen( de la liberté de commerceavec l'Espagne républicaine e l'a-doption de mesures propres it assu-rer la liberté des mers contre /es pi-rates; l'interdiction de Mut trafic

Combien de bâtiments se sont dé-chirés sur ses roches traîtresses ?

Et le vent poussait, implacable,le thonier vers 1. pierres

- Vite ! Vite done 1 n fautmouiller. .

Une fois encore, l'adinmtifin énPtpliante...

Alors, nell de désespoir, Fanantse rejeta en arrière, courut au an-

Cette manoeuvre que réclamaitHélène, il allait la tenter. Il la com-prenait si bien !

Vite ! Vite ! En effet !

Cent Hélène, maintenant que lejournaliste veut muser ! C'est àelle, à elle seule qu'il songe, tan-dis qu'il fait effort pour libérer lapound du treuil qui retient encorela rhume d'ancre a 1 etranglOir...

Ne sait-il pan, aussi bien, qu'Hé-rêne se refusera à remonter sur lepont tant qu'il ne lui aura pasobéi?

Et la chaîne, enfin, commenceaxer,..Maillon à maillon, d'abord, elle

râcle sur l'armature de l'écuvier...Puis, plus vite, elle court, serpentde fer, hors de la soute,,,

de mourir ; same nous no rayon. nets"'""uerl'tee.,^àtif:tinel

O .0z-tee:Telp<r,a. de vivre

esses longtemps pour mir ce. s Cam.ment Jueerainn ce me vient de fat.'teutle1.'uiuleelluilirMirelr:fueuelreet Juec urulfee;neeteennteneetbs.a toujoure ful male meaen de nousersiiiihdveslr'ii lu au, Ptelest calme, réussit à nous conne' rine

gieten'oUetdoeigetïe'àerM. Charles Vildrac cite ces quelques

vers que Chenneviàre, s'adressant à lui-même, a placés dans la Préface à msPoèmes

Plia dl n'esaigetesie et "'plus d'amourQu'il

Dos%',etrZtg`t?Zle

and gni te tais, toi qui regardesSac m"ge.,'t clebs t terz:,Et M. Charles Vildrac montre ensuite

que l'oeuvre de Chenneviére pourrait erreentendue comme une réponse à cette dou-loureuse interrogation, et comme une ré.ponce à laquelle 11 555511 demeuré fidèle

ê Pour none fi est bon d pouvoirpenser avec certitude que si tu à atallciMan'e.."'en'a tucee'oPudidinota motmener Pa. nna

tdnd. iPrPtedtieneerulgt:âu_umgeértle.s..;tunnt.ttu. contmuerais d'apposa iechâtiment sur les criminels et sur entas d'escamoteurs. Tu serais te/courscelui de L'APPel au Inonde, da ramisde La IzelUces-eruz,rd.,;.e,:mAprès les quelques pages agréables que

M. Bidet annate 1 la conttibmionde Chennevière à la chanson et à la poé-sie populaires, elle portrait évocateur queM. André Chenneviare nous donne deson père. Pompe aigri son hommage aupoète par la publication de suf petiapoèmes cteR intitula Epigraphes pour cinqportraits,

nnici que/eues-uns de ces vers, quip01.11 le date du 27 mai 10181

ni ent naines, nt ces fleuraDont mevenn;leatines s'efforcentNi ces vre'rs,'Vortillt comme une eau

lde uu,etr ?fuenr,runA qui tro-'.itédrerminde'rest vaine.Aecentenes p5071005. osa vers

Ce qui n'y es Mut se tiraDans mois ra.utt.

Accepta:en surtout l'hommage,.t garde-les,

Came I3'd Pcfnî gl'e'n'redansZfr`

goût du mielffie da. le harn

l.adirTdaratlinV2ede lumière m'inonde

nana le ciel ou daine mon meus.Un vrai poète, un écrivain probe, ne

suints délient, un homme modeste et cou-ra,eux, Georges Chennevière a été toutcela. C'est plue qu'il n'en faut pour jus-tifier non seulement l'heureuse idéequ'eut Europe de célébrer sa mémoire,mais la reCOnnaieSanCE de tous ceux quialment s'attarder au souvenir d'un rareexemple d'accord parfait entre uneet son créateur.

SEVERAf.

se

asansoteuessmaesl'adup-zomos mzrcirnal.a.rieese Franc,,

eserv,i.c.es..ediecsovIonttenaz, ,,

el' la dénonciation vigoureuse de l'en-

par ar três717.1.7t reer". osE"ag"eprolsa, eaLrès avoir délia:en=

des marchanee's YeleensesYes cons

es'z'V.rt'eoUrzee.u.elt d,;;,.r`a1m mansesmasses laborieses, /e bureau s est

é

salaires et des fonctionnaires etagents des services publics qui de-mandent au niveau du coût de /a

dl Os 45551151. sana M.A.,

ABONNFZ.VOUSEUT Li inEUL MOYEN

s eee, virriee=::

Av Ccr TE TREZE PAIN A LEPARGNE

Ce p0111 pays nordique, dant leclimat rude sentine devoir arrêterl'extension, le développement demates jeux sportifs done, an con-traire, un prodigieux enseignementsu monde. Les prouesses athlétiquesde SC, Challe ORS, la continuité desexploits de ceux-cf. et (a poussée fiincessante de jeunes cracks capablesde reptendre - des mains de leursatnés - le flanibeau spartif. MéritentVadmantan.

Peut-être la Finlande est-elle te-bellement, dans PhiStoire du spOrt(de l'athlétisme en particulier) le plusbel exemple que Von puisse citer El-le peut s enorgueillir de inanimésprestion.nn Qu'on en luge

Volet un tableau des victoires fin-landaises eux 1. 0.

/906 ; 1606 111912; 1920 : 18:1824 16 ; 1928 10 ; 1932 6 1936 9.

Et voici Une autre statistique, Celledes pédesirtans de demi-fond ayancouvert les cinq kitameires en moinsd, 14 minutes 40 s. 22 coureurs ont or.

çrgriitProu'

japonais, n Polonais. 1 Hangrots, elIl iquaterbe) Finlandais.

Etats dalsCe eine ka fédérations sportives

adhérentes au - une partie d'en.tee elles, tout au moins. Ces Fédérationsn'admettent pas QU'au ranis/Ore on met-te le nos dans leurs af faires. Ellest'ignorent ou veulent rinnorer. Saufbien entendu lorsqu'elles ont besoind'argent. Adors, dans ce dernier cas, unconnaît le chemin de la rue Tilsitt,sait quémander.

Mais autrement, MM, les pontifes k-erma ne daignent pas meule réPondreme lettres émanant des CanuntsSionsdo consen supérieur et demandant d oesdirigeants oe qu'ils pensent des problè-mes du jour.

Arasa, rue de ces commissions sepraccupe actuellement de la /imitationdes infime sportives, et osa modifie«.tioes d apporter, pour rémédier A cer-taines épreuves présentant des dangers.

piusieurs fédérations ont négligede fournir leur réponse. C'est 1500e deSa 2 P.N.B. (pour les pk..8.ee de dixmares) et de 101 F.B. (gants de quatre«ce).

Est comble des combles, ami le Prési-dent mémo de cette cOmmi,SSiOn (ému-anon du Conseil supérieur des sports,répëtOna.le), nt Jules Minet, rats cou.8s510 a sa fédération - la 3 FA -

Petites NouvellesEVASION DE PUPILLES

D'UNIANE

Montpellier, 21 octobre. - Quatrepupilles de la codante pénitentiaired'Aniane, qui travaillaient S la bou-langerie de cet établissement, e sontévadés après avoir ligotté leurs gar-diens.

Ce sont l Pierre Guerdoux, 19 ans;René Demain 18 ans; Henri Dugrull,17 ans et Roger Carton même âge.Le police alla gendarmerie les re-cherchmt.

A LA BANQUE DE FRANCE

La couverture or s'amélioreà 51,25 %

Paris, 21 octobre. - Le bilan de laBanque de Fran. Pont' le Semaine

L'ancre est-elle à poste ? Jérôme Fandor invente me chose,Fandor quitte le treuil, court de atroce-.

nouveau vers l'avant.. Cramponnée à l'ancre, Hélène n'aLes vagues peuvent déferler, la pu remonter sur le pont du bâti-

houle terrible peut se jouer du bâ- ment ! Et rmcre qui bat la coque,liment, les écueils d'une seconde it l'ancre dont le poids et terrible,lantre peuvent le dedurer... Jérô- va écraser la jeune fille, lui broyerme Fendus n'a plus conscience de la tête...rien ! Seulement, il aime Hélène et - Hélène !

il veut la presser dans ses bras, C'est un cri d'agonie ! C'est unl'arracher a /a mort, est de mort ! Le coup qui tuer, la

Fou, qui ne sait plus même rom- jeune fille tuera aussi Fendue !ment il agit ; dément, qui pense à Mais le miracle déjà se produit ;l'amour quand la mort est /a, pres- - Adieu t Soyez sans peur !que triomphante déjà, Jérôme Hélène a vu /e danger...Fonda se penche sur la lice, cher- Cette enfant, qui semble si frêle,che l'adorée qu'il va, enfin pouvoir cette Ie.,e qui paraît si fragile, a

gardé, dans ces instants terribles,Mais un cri d'horreur lui échappet tme parfaite présence d'esprit...

La Maine d'usure, filant a donné Au moment même où la massedu liche au lourd appareil. Qtalt- pesante va l'atteindre, elle Echetant le poste où l'amarrait la bossa prise, s'abandonne à la vague finqu'Hélène a réussi à larguer de ses rieuse, se laisse emporter par lamains fragiles, l'ancre a commence merde ... Allons donc ! Jadis, au Trans-

Mais le flot bat toujours le tho- mat à l'époque insouciante de sonnier ! enfance, Hélène n'était-elle pas une

Mais la mer furieuse le secoue intrépide nageuse ?comme un jouet qu'elle s'acharne- Elle se confie aux flots...ait à brimer t Il n'y a pas cent mètres de ceEt, dans l'éclat d'une seconde, navire en perdition à ces rochers

3

Et dans le classement par tempsiles Finlandais prmnent les cinq maimieres places. Leur sUpérieritéabsolument écrasante.

Derniérement, les athlètes finnoisont largement battu la selectian

Enfin, citons que, rayon travaillés*te, les Finlandais montrent. en &hie*fume principalement, une veneur fortgrande, et qui leur ft valu onanititlde lauriers and .1. O. ouvriers ê Franc-fort, d Vienne, à. Anvers.

.heei,cgee5001 1m elosibob 05v,signe fort poussée el généralisée. Claussi de rengoternent de ce petit peu,pie pmr cri 000rnirs do base gu'rcde briller dans d'autres jeux musamposture sur l'exlrasuemeus, l'alimcn

nnegiane sportiveatns de vapeur).Pocmpie

sur Inostri natt, d,;:''ge,en France.

ne as donna ravis demande, sur Gdlimitation dea saisons.

guai M. Binet, président du football,pousse cc dernier d se moquer des serf.vices et commissions .1.113107, Ma-me de la commission présidée par ismôme M. Rinfet. On aura tout nia!

Le e multi-président e Menet se cou-sidère sans doute comme un trop grandParannnage pou, s'abaisser d répondreO des demandes dictée, uniquement par,l'intérêt gêndrat du sport français. Le-quel ferait paraît rire le cadet de sessoucis.

La 2 FA., elle, a.i,ePendie, en 0'econcerne le Marathon et tes corapéti-aocc de marche. Mais son Président

tenu, dans sa missive des reis000e0entà1tellement /male. que S'on se dentandri,s'il n'a pas l'intention de se payer Patéte du Conseil supérieut,

d moins - ce mi est micoreSic- que ce haut dirigeant ne connais.se rien au sport qu'il est censé présider,

ne tonte façon, cette Oiddeldre riponSe, comme ces silences, constituengune Moore...a, ni c'est me nomensPreuve que les fédérations métendentcontinuer d vivre sans g. >Tenon«mette le nes dans Mur gestion.

P. M.

du 7 au 14 octobre 1937 fait ressortirune encaisse.ar de 55.805.022.187 I. 93sana changement cor la semai. pré-.Mdente.

Les engagements à sire sur e mugisIra bitte. ms cires:Salien Laurent.pour 90.624.516.120 francs en demi.nation de 366.888.315 francs me lasemaine précédente représentent t/08.833.048.827 L 99.

La proportion do Pencaissear auxengagements à vue est de 61,28 néscontre 50,65 5 /a semaine Pliée&dente.

UN PRISONNIER EST TROUVEMORT DANS SA CELLULE 3

Douai, 21 octobre. - Le nomneEdmond Dekeyser, qui devait con,paraitre devant la cour d'assises ab,assassinat commis à Dunkerque, étaitil y a quelques jours, tombé grave-ment malade. On l'a trouvé ce matinmort dans sa cellule, h la prison deCuiney.

1.E ,..UNIE NIPPON AU TIC

nini bordent l'un des petits Rots desGlénans... Hélène se sauvera, abomdere-

Et, cependant, Fandor /l'hésitepar, ne peut pas hésiter. ,A son touril enjambe la lice, va sauter dansIon eaux tourbillonnantes. Ils manamont ensemble ou se sauveront ensemble !

Jérôme Fandor, cependant, nesante pas !

Derrière lui, une voix clame t- Au secourus,Et le temps qu'il tomme la tête,

I est infiniment trop tard pourtenter seulement de rejoindre lanageuse...

Mais qu'est-ce donc encore ?Sur le pont, à l'arrière, un hom-

me se dresse, qui se cramponne àla barre du gouvernail, qui semblequelque apparition fantastique...

- Berlingot !Le marin a-t-il donc eu la force

de monter jusqu'à ce pont battude tempête ? Veut-il, quand même,veiller au sa/ut de son bâtiment ?A-t-il perçu, dans son demi som-meil, ces raclements sinistre de laquille, commençant de heurter leseuil rocheux de l'ilot proche n

POIDS NET RÉELQUALITÉ PARFAITE

ezdL'EXEMPLE FINLANDAIS H,

A travers les RevuesGEORGES CH1ENNEVIÈRE

THEUNE.IPAPIIee.,=

Solidarité avec l'Espagne

républicaine

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

Au Conseil Généralc : première et absolue nécessité, sur

Le Conseil généra/ him a été / ce ma concerne le sucre, denrée decalme et laborieux des vux, des prerapports, la fixation is une .ssion laquelle l'on vient d'enregistrer enextraordinaire et hilverna. du quelques mois une hausse de 35 %,problème des tranports et de celui qu'If est impossible de justifierdes traitements du personnel.

Toujours des voeuxParml les voeux déposés, signa-

lons ceux de nos. amis.VU DE BER LIA

Geudronnage des routes et n'on- (lier la création d'un Office ayantgons de route enepruntéeS Par .

l'autobus de Toulouse-Fenouillet- 1. l'organisation de la oultureGdgme.Le Conseil générgiConsidérant russes rapide des

parties de routes non goudronnéesempruntées par 1¢ .rviee des au-tobus .burbains

betteraviere2. le contrôle de la fabrication du

sucre3.i fixation de son prix de ven-

te, en tenant compte au désir devoir alléger, autant que Possible,Emet le vu . . son prix de revient des taxes et im-pots qui le grêvent.

pruntés par rainerais° habituel de'autobus Toulouse-Fenouil/et-Ga-

galas, soient entièrement goudron-nés par les services départemen-taux.VU DE BERLIA ET CAZABON

Classement dans la seine départe-mentale du chemin rte St-Capraissi n'Omise par Gagnoa et Fe-nouillet. .

Le Conseil général,Considérant que le chemin qui Va persistante dont II est facile de Io-

de St-Caprais à Toulouse en pas- I emjser poiriers, pu-se sur feriseirivsant pas Gagna° et Fenouillet est, blé des consommateurs,'utilisé par les piétons et Véhicules Fmet le vceu que le Gouverne-de toutes sortes qui se rendent au. [ ment refreine la hausse des prixmar.. de Toulouse, ou aux foireS pour amener la stabilisation écono.

e Grenade mique et envisage toutes les dispo-Considérant que les reources de silices permettant la rénovation de

la taxe vicinale sont InSuffisantes nome paya.pour le bon entretien de ce 015e-

VOEU'Exact le vu : REMIS PAR ROGER CAZABON

catégorie des ces d'intérêtQue ce Chemihmin

n solt classé dans Za miodoti. I

tous Ies agriculteurscomma. .

1,e Conseil général de /a HVU DE BERLIA Garonne se félicite que le Gouvex-

nernent de Front populaire ait ap-Efiegissement p.s.eà /11,1'qn,i1 pliqué la loi sur les allorotions fa-de Lalande millaies da. nos campagnes ;

.pLeasCelelMais co.idérant que cette loi est

ell général, ému des accl- imparfaite et ne peut, ainsi qu'elleents graves et mmbreux qui Se est appliquée, donner satisfactionproduisent au passage à niveau de complète aux travailleurs desLalande,! champsConsidérant la gêne de la Cire, Considérant par ailleurs que nous

embouteillages dangereux qui m choquantes,.produisent an milieu de la voie fer- Emet le voeu n

rée, après les fermetures proton- Que le projet de loi en Instancerées et fréquentes de Ce Passage 15 au Sénat et étendant le bénéfice finiveau,. tous les agriculteurs, soit voté au

Comtatant le grand SM.. de plus tôt.vehiroles qui s'accumulent de Part

d'autre à chaque fermeture, VU01555010155501 le voeu PRESENTE PAR MASQUERE

Que soit élargi le Pas..e à au nom des élus socialistesveau de La

soi

Il et que soit cons-truit un tronçon de route de de_ Pour la création d'une te atm

e. travailleursretrM

congestionnement longeant la voieferrée, dee.. le passage à ntv.0 Le Conseil général,de Ludande jusqu'au Pont de la Co.idérant inclination angois-

dans seroute de Toulouse Fronton. santevieux travailaquellelleursfigés

trouvent lesde plus de

VU DE BERLIA 65 ans, travailleurs anales des assu-;Autobus Suburbains rances social.

1 ti n dans les deux sens et lese pouvons observe des inégalités

Le Conseil général, considérantque le service des autobus subur-bains est destiné à intensifier et àfaciliter les relations des commu-nes de la grande banlieue avecToulouse,

Emet le vu:Que tous les autobus qul s'arrê-

tent à Feneuillet poussent Maqu'àGagnas

Qu'un prix de transport unlquesoit adopté pour re.emble de larosit/mine des.rvie

Que les arrêts fréquents et fange,nécessités par la distribution desbillets et l'échange de la monnaie,rotent réduits par la création decarnets de tickets pour les usagescquotidiens de l'autobus, avec unelégère réduction sur le prix du par. VU

PRES ENTE PAR MASQUEREPour les Pêcheurs

Vu l'arrêté préfectoral du 24 no-Del. Ponts sur le Giron vembre 1936 réglementant la pêche

I fluviale en /937 dun. ce dopera-Prie Monsieur le Préfet debien 'ment de la Haute-Garonne, qui

vnnioan i.tênvenin alOrqs de °t'in- classait dans la deuxième catégo-sieur l'Ingéni.r en chef du Servi- ije (espère prédomieurde opprin,ce Vicinal afin que dés) le Salat et ses affluents de laPrts qq.. retard 10 Fé1.11. lie rive droite dans départemeMdeux ponts sur Giron, a Bonze- maure_Gruroune,pos-Riquet et à Grognague. . Vu l'arrêté préfectoral du 15

Cette réfection avait ete ;der-idée m 1, ars 937 portant réglementationurécedemment par le Conseil gene pmanente de ai pécha fluviale le-quel a cl.se en prennes° categorie(espèce prédominante truite) lesaffluente de la ri e droite de /a Ga-ronne, entre le pont du Roi et leSalat, y compris cette dernière ri-vière

Considérant que les .P.m do-minantes dans le Sa/nt sont sur-tout les iyprimdes (barbeau, vau-doise, chevesne, goujons, etc.) et

leur pleine efficacité que tout au- que la capture de truias presquetant qu'elrn sont accordées aux exceptionnelle, permet d'estimer àépoqu. _de l'aminés. ois la main- 7 et 8 % par rapPort aux eV-Print-d'uvre agricole est la plus néces- dés le contingent de cette copiée,cuite aux travaux des champs, tels Emet le vu :que : fenaisons, moissons, vends, Que les dispositio00 antérieuressen, semaillee ; à l'arrêté du 15 mars 1937 soient

Exact le vu f remises en appliemon et 'que leQue le Ministre de la Guerre tas- Salat, dans le département de la

se une obligation aux chefs de majde_Gerenue, soi, de nouveaucorps de satisfaire M. In Pi55 classé dans les cours d'eau de 2me

VUDEPOSE PAR DANDRIEU

rai sur mon iobosoesuloa.VU

PPESENTE PAR G. DANDRIEUSur les permissions agricoles

Le Conseil général,Considérant d'une part que les

permissions agricoles réservées auxagriculteurs accomplissant leurservice militaire ne peuvent avoir

large mesure possible, les demandesde permissions agricoles qui leurseront présentées,

VUPRESENTE PAR G. NYON

en son nom personne/ et au nom deses collègues du groupe socialiste

Exact le

catégorie.

mess que l'an peut expliquer par lamainmise de quelques dizaines decapitalistes maitre du marché,

Co.idérant que les P.M.I.blies doivent avant toute autrepréoccupation d'intérêt egaite,s'inspirer de la défense des produc-teurs et des co.ommateurs,

Demande au Ctouvernemnt d'élu-

VOEU PRESENTEPAR LE DOCTEUR DAVID

en son nom personnel et celui deses collègues du groupe socialistePeur rermner fa hausse des prixLe Conseil général,Considérant que eurent le 255e

trimestre de 1937 l'indice du coûtde /a vie s'était senssblement stabi-lisé, mais étant donné que depuisquelqueo semaines, une aggravation

aute-

Que le Parlement vote le plus ra-pidement possible la retraite auxvieux travailleurs en faisant appel,s'il y a lieu, aux sentiments de so-lidarité des différent. classes so-ciales.

VUPRESENTE PAR MASQUERE

Pour la création d'une ligne d'au-tobus tous les hindis de Betebot dSalies-du-Salat.

Messieurs,J'ai l'honneur de vous prier de

vouloir bien adopter la créationd'une ligne d'autobus qui tous leslundis amurerait les communes deCassagne, de Marsoulas et de Ma-zér..

VUPRESENTE PAR BEDOUCE

Pour la Vallée de las SeilhonneTendant à la présentation d'un

projet d'étude d'un chemin de G.C. dans la vallée de la Seilhonne,entse In écots nstloualt 112 et

Pour la mention d'un OHloed. :ries° la R. N. 621 demandé piusieurs foispar le Conseil Général.

Le Conseil générai, Renvoyé à la première commis-En. d'avoir à constater, à côté sieu,

d'un relèvement normal du coût dela vie, un renchérissement dont la Pour l'amélioration de l'assistancevendation est seule collImblei En dehors des voeux, Vincent Au-

Corssidérant en pàrtbuller qu'eu rim signale au Conseil panerai

térêt qu'il y aurait à coordonnerles divers services de l'assistancemédicale gratuite et dans ce but, àconststuer surestimé restreint.

Après un échange de vues entreM. le Préfet et MM. Ducasse, Vivês.Vincent Auriol, M. le Président de-mande à M. le Préfet de bien vou-loir prendre acte des suggestionsprésentées pour que, à la prochaine.ssion, le Consell général puisseratifier la composition du Comitéenvisagé.

Quelques rapportsL. e tapât ii .v tcétt.anret

des rap-Ilports ci-aprêsLES RAPPORTS DE BEDOUCECanaux. Reconstruction des

ponts de Vie, Castanet, Mangepom-me et du Pont des Demoiselles surle Canal du Midi

Donné acte.D'autre part, sont adoptées les

conclusions du rapporteur deman-dant que l'exécution du projet deiroonstructIon Ce ce pont, soit pré-vue dans les crédits du budget na-tional pour l'exercice 1938, les cré-dits prévus sur le plan des GrandsTraVaon n'ont pas été réservés.

Forons Hydrauliques. Rapportde l'Ingénieur en chef.

Donné acte.s*.

Forces Hydrauliques. Concescionset autorisations. Délégation à le Cominisiosn départementale.

Conclusions du Rapport adoptées.

LES RAPPORTS D'AUDOUYChemins de fer du Sud-Ouest; Li-

gnes de Toulouse é Fievel; Troisièmeavenant am actes de concessionObservations de M. le Ministre desTravaux Publics.

Donné acte, Conclusions du Rap-port adoptées.

Chemins de les? de Castres à Tou-louse et à Revel; Conférences inter-départemental.; Désignation des dé-légués.

Sont délOges I Aux conférences in-tudépartementajes des chemins defer de Castres à Toulouse et à Revel

vaux parmi lesquels figurent lestade pour le rugby et pour l'asso-ciation et la piste cycliste.

DEPENSES DIVERSESLe conseil vote ensuite les som-

mes nécessaires pour fournituresdiverses o papeterie et articles sco-laires (1)10.000 fr.) ; alimentationde la cavalerie municipale; carbu-rant d'essence pour les voituresalimentation de certains servicescombustibles (charbons et bois)pour les services, etc.

LA GESTION DES REGIES/1 approuve les budgets des ré-

gies qui se soldent par 54.000 fr,de boni pour /es abattoirs; 445.000fr. de boni pour l'électricité135.000 francs de déficit pour teParc des Sports; un million pourl'usine des gadoues.

Approuvé encore, les comptes ducrédit municipal et le budget deshabitations à bon marché; une ré-vision des prix de marchés divers,en faveur des fournisseurs; quel-ques liquidations de pensions; untraité de fourniture de bitume avecla société « Le Bitume Liquide n;

sliasseledsériarisobneeecete asfsraVauislae,l'Etoiled'Or, h l'Iris.UN PROCÈS

Le conseil autorise le maire àplaider contre la société a L'Epar-gne s

Celle-ci, nous apprend le rappor-teur Navet, à la suite de /a grèvede ses entrepôts de l'été dernier,avait assigné la ville au civil enpaiement de 200.000 frmcs. Depuiselle a changé de juridiction, s'esttransportée devant le conseil depréfecture et demande une indem-nsté de 1 'Ili on 600 mille francs.La demande étant excessive, le rap-

iè's rl.eIr.esre"sptpropose

de=Iris le Drr 's

FELICITATIONSAvant d'aborder les travaux le

maire avait tenu à féliciter lesvainqueurs de dimanche dernier,Bedonné, Beria, Linières et Sassa-con et a constater à cette occasionque /a majorité du cors électoralconserve au socialisme ia confiance

Après épuisement de l'ordre dujour, le suaire fait savoir gosse desplus laborieux administrateurs dela ville, notre ami François Neves,vient d'obtenir eue. gronde joie, parla nomination de sors fils à unechaire de la Faculté des Lettres deToulouse, en remplacement de M. ledoyen Marsan qui vient de pren-dre sa retraite.

Le fils Naves va donc professer

MM. Cézar-Bru, Président du Con-seil Générai;

Henry Auriol, Dominique Rien, An-drieu, Gouzy, Ducasse, Audom.

Ligne de Centres à TOU/011ne età Revel. Taux de versement aufonds de renouvellement pour l'an-née 1937.

Conclusions du rapport adoptées.

Autobus. Ligne Revel-Saint-Ferréol.

Conclmions du rapport adoptées.

Electrificatinsdes campagnes,.%Mentions départementales.

Conclusions du rapport adoptées.

affaires sérieuses

reportée à deux mois, c'est-a-dire à

MANUVRES TORTUEUSES

-

La numide

Le maire souligne la gravité du desResdes".. Eindiants.

/e personnel Dewoitine va tre IROUVEMENTestée.

Une démarche identique ayantélu faste au con.II general ou M. DE TOULOUSE-FRANCAZAL

LEÇON Dk

GEOG/ZAME

PROFESSEUR. Ém. 8.aernaaoù trouve-ton tis 6, dumanda 8L'EÉVE VAEL/014Welea

PROFESSEUR. tes.Nen/ 00L'ordre du jour étant épuise la u,,

séance est levée à 16 h. 15. Aujoursd'hul, séance publique à 14 h. 30. 4.5_,end

du Calé Ga.A plus tard les

Comme on le voit aucune émotionnt'eassee.c.o.e. l'assemblée Pondant cet- OU coin de la vie

Cependant une décision imper'muets y a été prise. Une partie destravaux figurant à cette sessionef. Devant la montée toujoués crois-

sante du coût de /a vie les Syncli-à la vérité la plus importasrte a Me ouvriers, se devo, , sauve_

garder le pouvoir d'achat de arc

ont """ ""r"renere " inannantS restes Indif-tndra vers le rai leu .

jL Union Départementale de las.__,_

I/ s'agit du problème des traite- I tstin''''ments du personnel départemetal Rante-Garonne ne sont Plus Pr.,et du probleme de la coordinationdes transports.

; dre en considération la pause nES A

CERCLE CHORAL Pe..,11- I

e tic Luction des conventions DIEUX DE Dane son assemblée en urI tgur premier d

e recieur 811011Sas

/e;7,.c

collectives si, pendant que l'on de-points, il est entendu que dépar-tement suivra l'Etat dans i'effort

mande eux salarié. de marquer lebre 1937, la société a conetitué son bureaucomma suit, pour Fses m osioals 1937-

financier que ce dernier vient d'an- lirinoiril1enirqiepnoilisierrei'qsleisif M. l."" .Pn 1. nnsienn.se.' , c eursleshir,en

rréajustementsafflant aux consomma- à l'Université de ToidouseEt comme préemement m Pane- t de salaires

nient en décidera dès les premiers en luin 1936jours de sa rentrée, le C. G. estime LitT. D. constatant l'insuffisance M. le recteur Gheusi a fait hierjudicieux d'attendre les décisions des Comités de surveillance des ses adieua à l'Université de Tou-du Parlement pour calquer dessus prix, dernande au gouvernement de bouse. A cette occasion, une cern-les siennes propres. , réagis Elle indique que pour erré-

L'établissement du budget dé- ter les abus, que tous nous consta- nisjiiiiiiii esnutpluieirliederres dit jlsionspnuéeeurrsupartemental ne va-tsil pas pâtir de tiosn, D y aurait utilité de créer un fil.e's Lettres professeurs, ies

co pouvoir .

me a été donné par le dernier Con-

AU CONSEIL"» MUNICIPAL tions collectivessiblees

s na onalleses seulmoyen de faire bénéficier rensem-

dica fassentFédéeffort lm réaliseraussitôt que Po conven-

Que les rations et Syn-sell National E.nomique.

ble des travailleurs de la même in-

e.e nsoiCoint en considération.

. .Midi Socialiste n joint les siennes.vanent prises Mais voici que l'indignation ap-

ffPour votre chauage, l'hiverUTILISEZ LES

Radiateurs à gaz

Limie d'elles cependant mérite

deune

mrempenti.t LES NATIONALISATIONSon particulière. Il s'agit robre 1936 a flié laes disposa.. , avec

condvéhémence

taul

nomt

des treizer pour l'exécution du générales permettant au gouverne- ' amnés don i cie les noms etplan du stade municipal des sports. Enfin, avant de lever la séance ment de provoquer la révision deS dont il fait partie, les mises à la

On sait que . conseil a voté pour le maire donne lecture d'une lettre - ...es des corme/gitons colletaes retraite par antpation. Alors, dit-cette exécution, attendue avec tant du personnel des usines Dewoitine relative. aux salaires dans le cas ots il que physiquement et moralementd'impatiens une somme de près de qu'il venait de recevoir quelques une haus. notable du coût de la , nous n'avions pas déchus et étions10 millions La caisse de crédit au. et., ,rsi Ler, qui révèle vie viendrait à se produire avant le [ capables de servir te bien public,communes ayant fait savoir qu'a toutes les embûches qu'on dresse 31 décembre 1936. I Certes, M. le recteur, le bien pu-l'heure actuelle ses disponibilités ne devant la nationalisation des Que dans ces conditions les orga- [ blic peut se servir, surtout lors-lui permettent pas de livrer plus de grands services publies pour la pa- nisatio. syndicales qui n'ont Pas qu'on est à la retraite avec les2 millions. C'est donc une tranche rmys, en tout cas l'entraver, vu les salaires de leurs commettants pieds au chaud. On n'a alors quede 2 millions que la ville va enga- l'embrouiller, la gâcher. Cette let- réajustés sont en droit da s'inspirer [ cela à faire et on est libre d'em-

er ourieffectuer les premiers tes- tee dit ceci 'm de l'article 15 de la loi du ler octo- ployer son activité dans telle bran-'lise 1936. elle qui vous intéresse.

Toulouse, le 21 octobre 1937.; Que soit enfin votée la loi don- Vous vous plaignez des mises àLe Personnel du 6e Groupe d'Avis.' nant une retraite aux exclus des i je truite pour les puis de d, ses?

parait à un certain moment de son

tion Nationalisé à Monsieur le A....sq. Sociales. . Mais, lorsque vous êtes rentrés

nquesques du Mais pour se rendre gard des patrons travaillant au comptecompte de la bonne volonté et des de rotas n'appliquent pas 1m lois sa.efforts de tout te personnel pour la rial..réussite de la nationalisation dansnotre cité

C.1.1 .nes .1 2, rue des Lois. km;velle Direction.requête le personnel vous assure de Spécialité de Vin Blanc. Petit dé-ses meilleurs sentiments. jeunem 1 fr.. Apéritif de Marque.

nommée et ira faire la visite molli-OU PORT AERIEN

le président César Bru et nos amisBedonne et Berlia ont écouté les T.10.. Emme - - Marre d6 ladoléances des intéressés, le maire Compagnie Ah France, parti de Toulousedit qu'il agira de concert avee le passagers. Il kilos debureau de l'assemblée départemen . h.- no, 431 kilos de est arqué à Casa-0055e, 49)

ii35107 3201.tale pour sauvegarder dans cesconjonetur.

.tous les intérêts de la! L'avion Meroc Espagne F i I

vilie et de la région. ce matin de Casablanca, ristarrél' T.PctEt le conseil se réunit en séance I4 h. 45 avec paaagers, 61 kilos

privés du reune. 545 Lise de Osés,

vent. au MAGASIN DE LA

'E du GazStand de la Compagnie du 8az

a la FOIRE DE TOULOUSEBénéficies de la RÉDUCTION SAISONNIÈRE

DE 40 °/ accordée pour ce mode de chauffage

SYNDICAT UNIQUE DES TRAVAIL.LEURS. Toue les adhérents du S. UT. eon tinvires à aesister à l'assembléegénérale ce soir vendredi. à 20 h. 30, asiège, 3, boulevard d'Artillerie.

SOC1ETE PHILANTHROPIQUE LEPELICAN s. Réunion ce soir, 21 heu-res précises, au siège, café de l'Avenuedes Minimes.

1938

Présidera d'honneur M. jeu. rournié;Viemprésident M, Abeibas jSeciére M.

lc,,,551Secrétairesida. M. Rex sTrésorier M. MenquetTrésorier adjoint M. Metclhe gArchiviste M. fh,andPorte bannière [ M. Fouinés.Commission de morosuoda ; M. g,.

des. Many.Cornmimion létes MM. Lion pète,

Henri Lion.commission du bal MM. Pouf.,

Meugle. Mérou., Aribant, Soni., Con.bo.

Quepar ail eurs a ith u ce ae discours. Et M. Gheusi de flétrir

'Sesenusuudolute non puisque . raF-Iqntrôle,uis'exercayanterait sur chdeaqMstieeueusietne; étudiants II Bella avaient tenuporteur n'a pas fait d'objection. l magasin de gros et d administra l'Université.

e dé- , a venir saluer celui qui pendant 6

Nous ne parlerions pas plus bu-de vente, ne leur pernttant pas la![ tail leur accordant un pourcentage a.

M. le recteur Deltheil, ancien4 s

glairent de cet aprês-midi si nous possibilité de bénéfices immoraux. I doyen de notre Faculté des Scie,n'avions pas à signaler le nouvel ; L'Union Départementale ne Peut ces, préside cette séance ayant à saaménagement proposé Inc M. Mon- [ adm.ettre la nonchalance avec la- droite M. le rente. Gheusi et à satalègre à la marche du temps. ' quelle se meut la loi sur l'arbitrage gauche notre ami Ellen Prévot,

Le distingué représentant du et les possibilités données aux pa- [ manse de Toulouse.canto0 d'Auxignac, parlant d00 0é mens de m p. accorder a mai per- I On remarquait en outre M. Pro-

,

!gram. partie â la fatigue des eon- lent général de l'instruction publiquecidents de la route, les attribua en sonnet les résultats qui en déco, ! et". nomme récemment inspecteur

ducteum des camions-cinernes, les- i Elle n'oublie pas qu'un grand M. Dop, doyen de la Faculté desquels chauffeurs, affirme-t-ii, con- ' nombre de traVailleurs dans les Sciences et M. Alquier, conseillerduisent jusqu'à 50 et 36 heures par ,.mpagnes et les petites industries de préfecture, représentant M. lejour.

Grées à cette révolution horaire, .1e'repallilcaletalonn'eduel 1Pu'acincolrednMaeastelgeengnu. Après Mu 11:U.1etes que M. Predère, Don etnous ne vieillirons pas aussi vite. I Demande Mie la loi Mu' Perte, Deitheil eurent exprimé les senti-

Hourrahl pour le réformateur du sion des conventions collectives soit mente de gratitude et de reconnais.temps ! votée sans délai puisqu'avis unani- sance que l'Université doit à Son

[ recteur honoraire, sentiments qui- seront jalousement conservés, et cl` ``,° .14 .0'1.04ims Mla M.,. Jeaprès qu'ils eurent exprimé l'espoir .°F, iF0A.LEêqd/lDqEs° est ANIIMI:smbinue t75:

autres setelaetioenee elituniiéerealitresel,uneartlisatiquluaosulfeeu 05AbitecIC'eeeedees.

égager toujours assai REGIM.ENT l'INFANTERIE. _ V.-vivante la silhouette de celui qui arroi 22 courant, à 21 heures, aura lieufut le chef vénéré, M. Gheusi prend la grande réunion de l'Amicale au rege

p aro e.Le conseil municipal a am hier la littérature française à une chas- dans les dites conventions il Certes, n Cheusi est encore, Cei communiqué ne. lien de convoca.

soir, de 18 à 19 hem., une marte re zendue illustae. par des maîtres Que de plus soient.. neaMenalisés[nueut rem. il 1, dpeur.o evajeuesséance pour liquider une quaran- doM . réputant. n'est pas encore toutes les indust rtes-Gés, e c. luismême Et il nous emporte dans nummulmniummnetninmnutaine &affaires d'importance se- éteinte, toutes les réformes de ...une les envolées lyriques de son ao-

LE STADE MUNICIPALcondairc. Aux félicitations du mairea Le préconisées dans le Programme de quenee hors de pair.

Partie amatie.Directeur M. Mout. ;Sono-directe. es répétiteur MM. Ca.zessu. et Sabatier,Corraeiliers aitistique6 MM. Cloque,

moteseeni an Conserva.. ; Gime use.fesse. de musique aux écoles normalesd'instituteurs et primaire sunérreueeKopetak, Mireur., Torioes es Bmist,shels de chorale.

Les résiésisions du u. de afête de Sainte-Cécile commienceront levendredi 22 octobre, à 2/ heures très pie.cimes. Vu la date avancée et l'importance

à 'Mon Café, 20, 0100e du Capitole.1

CHEZIDP911.11/_

FRATERNELLE DES MINIMESLe Conseil d'adminietration de la Fais

semelle dee Mêmes avise les soeiéts.que l'assemblée générale aura lieu samedi2 3.tobie prochain, t 21 homes. dans Gmile do café SaintRook situ., ,54,avenue dee Minimes.

Les membres de la Société désireux de

cons -1,:7,,edLtuzt 7u7s:.1Ctr,z:priés d'adresser la demande, anime

d'hui 22 octobre, au préside., au siège.Vo l'importuna< de l'ordre du (o., d

invite le pie grand nombre d'adhérentsà a.ister à cette réunion.1111711111111n1111111111111111111111111,11111111/11

Pourle Personnel La Délégation. 2 fr. Casse-Croute à toute heure.

fui, Le remise,. demandéelllll 6111I11111116111111111111111111111111IIIIE I

Mai a c ill M icipaux Que soit également reconsid's dans la carrière vous saviez biend Toul

re onseers unre. situation des petits pendonnés, que seriez ri, . ,

d'autres,

.tpu, ifest certain attendent

e ouse.Monsieur et le Maire et Messieurs 'oecleiudieletéesudisiluts=l alee celle dee su

Orler le macadam des universités

les Conseillers, A cette condition les travailleurs qu'on veuille bien lem faire une pe-Nous venons d'être mis en pré- du département de la Haute-Ga- the place en attendant eux aussi

sonos d'une d ndécision concernant la rOne con tpréts à suivre les con- qu'on les mette à la retraite,ons, e ree,fusion du 6,groupe avec un des sells 1d4 e à 1115 Voy M. l tem il fae-

autres groupes nationalisés, ainsi porter toute leur force pour lui per- son ger un peu aux jeunes intelli-que du changement du con msei/ d'ad- ettre de vaincre toutes les rosis- 1 fe,osi, ,deuépeio.yé

sninistration du . groupe au mo- tances.ment même ou un travail d'organi- EU n indique, que si rien n'est dans une voie que vous avez, vous,sation formidable a été accompli, et af:t, elle ne laissera pas plus long-Il:g:tua:Lem, smi ebieavoutsraclteizIsplpiooh se sont révélés les efforts co te- temps as consommateurs étre,v,i,

déclaré, avec /e respect dû auxoidoenes ...de lttrosit ,lese.oupviroiye tés:, Le cri.= timpeas. dpeeqe.rée.11....Il es trad .itions, l'esprit réno-

&rection. que les entreusises a...nt au ,,_,C'est à l'instant même oh nous compte de I-Etat puissent continuer 9.1.. ,mR. ss me

yen r gent des contribuables, a imnien7.1inpir;7:eeiie.11toifsirque

m

mue lefai.ns la preuve de cequ'il est a ... ._ . . progrès social marche parallèle-possible de réaliser dans un groupe Oevé (G1sire d. ...es se pins en Pnis,, s.nationalisé, qud la collaboration Lm. , demeude également que Après que M. Gheusi eut ter-

!

est effective dans tous les domai- la situation des travailleurs de lig-min son discours en promettantqueeson activité ne se ralentiraitneS, due, sans dise."'" Prniiiiiiile tat soit enfln dolinitivem.t régléeavec les intéressés, on veut démol- var ie qorverusineur, I pas, malgré qu'il soft désormaisrentré dans l'honorariat, un magni-lb en changeant l'administration, 1- L'In D. de la Haute-Garonne dé- ' fique bronze aux lignes gracieuses,une organisation à laquelle sont nt- clerc faire siennes toutes les protereproduisant

un fragment du céletachés profondément plus de 1.500 mations tels C. G. 'T. contre les tee-,

ouvriers, teohnici.s, employée et tatives du patronat à saboter les ber gruxlripeest doeffelea Dpaarnsieu.dieverCsaitré-agents de matai..

et ses amis.Le personnel qui a le souci de ledeLfileeelfibileae1erte ales travailleurs et m. i de oyen Deltheil fève alors mandé qu une net. volture.servir la cause de l'aviation régio- leur demande d'être prêts à réparal t t l tmq la d à totppl dlCGT cette seance solenne/le cependant D'aetre part, M. Mechenet, en pl

q t t gnae e naionae esie ue re u aee a . . . que de nombreuses personnes ap. session du signalement PréeD e 'uesion es assez rosse . con- Julien F lUES, portent à M. le recteur Gheusi lems camionnefte Mettrai.° poursuit sq"séquence

R. CLERGUE.

sp

m.icipal assemblé et c'estour en faire part au con-

Secrétaire de . mion des hmeeill.e.urs:retraits,

une longue et tivement l'enquête en vue de retro

vous-même me cission qui vi-M

pourquoi il vous invite à désigner Syndicats. ver les criminels,

sitera les ateliersommde la Soci __étéNa- ai De phns que soient appliques lesES Vtionale de Constructions Aéronaus prescriptions gouvernementales a ré- 61181111111111/1111181111811I11111 lllll IIIIIIII M. JeLanCasdtile D 29E VanEhds,ngY,eiplo S

APRES LA DECOUVERTEDU CADAVRE

Nous avons relaté dans nos Pré"-dénies informations les différenteshypothêses de l'accident mortel de laroute de Lavam.

Dans la journée d'hier M. Bouchona confirmé sa dép.ition de la voile,pendant qu'il était en convers..avec le chef de la Sûreté un M.".est arrivé avec la bonbonne olltd,q.déclaré avoir retrouvé tout Pres .1lieu du drame.

L'enquête qui se poursuit, a, deplus, établi que M. Sausus 5e Politvoit voir que rune des deux voitures

àcause d'. mue qui empérbed,devoir complètement la route é./ce qui explique qu'on n'ait à rosses

la T. C. II T. domicilié impasse lialt"Magne a porté p/ainte contre Inc.:RA VIE DESflocierEs I nais hier au soir entre 19 et

o pour vo e sa Incmy e

ms garage de la T. C. R.des Prés.

EN VADROUILLE --.Vers 21 heures, le nommé Per,

Consul, 26 ans, né è Toulmse lemars 1911, de Alice Consul, décédéea été trouvé en état de vastabodess,

Il sera présenté au Pan., --

' CAMBRIOLAGE

Choml route). Répétition d'ensembleORPHEON SAINTCYPRIEN (Cioupe M me paaag a,,,,,e, ménagère, .in

rue de l'Orient, s'est présentée doq

i'ssi is" i"Fssii,"' 050(5, à 2) n"- DUr au commissariat de police dP l lem

s' sî iné`n.0 FFS` " ni 1.11°. `I` Psis quatrième arrondissement et a. ;_[rrogramme de a SeintaCésile. °taré qu'hier vers 6 h. 30, elle71,1.

FEDERATION DES MA1 rTRES ARTI. , constaté que la porte de .p.,' ,SANS DE TOULOUSE ET DE LA RE- ment occupé par M. le comma.CION. II .st rappelé st adhésems du Audelan, actuellement àSyndicat des Electriciens qu'une très irm avait été fracturée.MM. ....;_,,mea. 500lieu le vendredi 22 En l'absence du communi°oonre., à 21 heures, café Clié, Ft, pl.-ligue, s'il y a eu vol.ce du CAuitelee Vue euquéte est cuver...

Melo_ 4 LE MER SOCIALISTE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 5: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

Lu rue Foire de ToulouseJOURNEEde l'autarcie, formuk de dure péni-

tence, ont dû se soumettre à une

DU COMMERCE "I.Vie2Ple.--- ex,;_EXTERIEUR

LE BANQUET DU COM/TEDES

CONSEILLERS DE COMMENCE

Iller à midi trente, après une visiteà M Foire-hoosition, se tenait dansles salons de l'Hôtel Régi. le Ban-quet d.0 Comitè des Conseillers duCommerce Extérieur.

Le président était M. Holm, entou-ré du président du Conseil Général etdu Préfet de la Haute-Garomm; lesdeux vice-présidents du Comité; leprésident de la IVe Région Eco].mique et différentes personnalités del'Industrie, du Commerce et de l'A-grieulture Régionaux.

CE QU'EST LE COMITELe Ministre du Cominerce a dési-

gné en France mille conseillers ducommerce extérieur.

Ils sont destinés à donner à tousceux qui s'intéressent aux possibili.tés du commerce hors-frontiére, les

conseils nécessaires et au hosren.réunit en comité d'études les ques-tions peur rextention ue noir< mini-mes. extérieur.

La devise du comité pourrait êtree Autarcie, .phyxo

LA SEMAINE NATIONALEDU COMMERCE EXTERIEURMain Pour develoPPer les idées de

cette nouvelle politique économiqueil faut de la propagande

C'est pour cette raison qu'on aorganisé, à Paris, l'occasion del'Exposition, une sem,aine annsaeréeau commerce extérieur dont chaquejour est placé sous le mg00 d'unespécialité.

La province non plus n'a pas étéoubliée. Les conseillers ont reçu mis-sion de faire une MUrnee de lxvPa-gande.

Toulouse a choisi une journée quipuisse coïncider avec Is Foire-Ex-position.

Afin de persuader les commerçsstsde l'impérieuse nécessite où nousnous trouvons d'avoir un commerceextérieur très développé, et des Pos-sibilités de le réaliser, que notre

pays peut avoir.A la fin d'un banquet qui fut Par-

fait en tous points, le président ducomité régional des conseillers ducommerce extérieur, Mit la parolepour expliquer l'oeuvre qu'ils de-vaient poursuivre et la manifestationd'hier,

< Ave cours de la semaine Pro-chaine, dit-il en substance, les con-seillers du commerce extérieur seréuniront à Paris et dans la Franceentière dans des manifeddions dont/e but est d'attirer l'attention detous les Français sur rimdui.,enécessité que présente pour un grandpays comme la France. commerceextérieur large et /Rosi., Si, dansla IX' Région économique nous a3onsdevancé de «peignes Mu, eude Ce grand anitivement d'ensemble,c'est parce qu'i Mous a paru indis-pensable de profiter du rassemb/e-

. ment de la Foire-Exposition de Tou-

Après avoir exposé les nrcessitesd'une organisation et Pre9enté lespossibilités du commerce et de l'in-dustrie française pour la réaliser,il termine en rappelant que

a Dans quelan. Murs, la e Se-naine Nationale du Commerce exté-rieur > tenue à Paris, sous le hautpatronage et sous la présidence ce-Sentine de smembres du Gouverne-ment va étendre notre action sur lepublic et faire de notre associationIn groupement le plus représentatifdu commerce extérieur dans le

Pays.Après le Président, M. Delpech,

Prefesseur à la Faculté de Droit deToulouse prit la parole pour exPOserdans une conférence, fret gantée,quelles sont /es méthodes pour rnm-battre l'autarcie, et réaliser par uneamplification des échanges interna-tionaux. la paix économique, seuleanndidition de Is Paix tout court.

Et c'est ainsi ternorès avoir tesla-té sur la passivité de notre balancecommerciale, c'est â dire sur le dé-ficit du commerce extérieur de laFrance, M. Delpeeh tient à affirmerla nécessité vitale pour la Franced'une reprise des relations interna-tien ales,

1

Si la balance commerciale de laFrance continuait à être passive,c'est à dire elles dettes de la Fran-jce vis à vis de l'Etranger conti-nuaient à être très supérimres mxcré.ces, la France s'appauvrirait, isou steak d'or continuerait à dimi-'nuer, à tel point que la France de-1croit interrompre tant commerce in-,ternational et s'enfermer dans ledangereux régime de Pentarchie,c'est à dire l'économie fermée chienit Hitler.

De plus, ajoute-LU un commerceextérieur libre et prospère apparaitpour un pays la seule garantie dn.richesse et le seul cane de paix. 1

l,e seul gage de richeses, parce queà la suite d'évolution économique etdu développement des sciences, che-que Pays dest spécialisé dans lesbranches de production où il jouis-sait d'éléments de supériorité. j

Ces nations ne peuvent donc amiquérir leur équilibre qui si le rom.

ceinternational est libre et pros

Le'Le seul gage de Pais parce mie lu1solidarité que les échanges interna-tionaux développent entre les na.lions, écarte beaucoup de rivalités etmet rameur temps fin à cet étatd'osorit rog noree les nations à ja-Ionser et à voir d'un mauvais reit lalprosperne de cane d'euere elles muprennent le pas sur les autres. 1

/VI. Delpech ajoute ensuiteLa reprise des exportations et le

rétab/issement de l'équilibr de la ba-lance commerciale sont donc unenécessité pour le grand pays d'échan-ges internationaux qu'est la France.

Toutefois, la seule volonté d'inten-sifier le commerce extérieur n'estPas suffisante Car la relmise de'échanges est compliquée Par 10 Pnsillon tris défarerable du franc su,le marché des changes d line Paripar la hausse des prix de revientramais autre part.Et il termine sa conférence en sou-

lignanta Tes pays qui, à. l'inverse de la

Pence se sont coniergs à la formule

de notre pays est donc entre lesmains des français. >

Après la conféren. de M. Delpech,diverses opinions sont échangées surles méthodes à employer pour inten-sifier le commerce extérieur.

A l'issue do Banquet le COulire seréunit en séance extraordinaire.

JEM.

IO rall:11811tii Gal

Le publie toulomain et les étrangersvisiteurs de la Poire auraient certesemmure une reritable déception s'ilsn'eussent retrou,vé cette année Mut

stand favori « Le Pavillon du Ga2 s.Aussi malgré les difficultés actuelles

la Compagnie du Ga« a-l-elle tenu àhonneur d'être fidèle au rendemvousde la Foire, dont elle constitue Pm despôles attractifs...

Le Pavillon du Gaa occupe en entierle rond-point oui donnait mena du cours

Dililnlo.naeérsi,ri,e,vudes orlYffesa.,,,,Coem,de

constructions sur la Prame, on aréunir roux même pavillon, aux vastesproportions, le sta.nd de démonstrationde cuisine au gaz et des diverms appli-cations du gaz, et celui de presentationdes essore.. Le public ne songe P.S sen plaindre, si on en Juge Pardemi...moere des visiteurs_

si nous pénétrons à l'interieur duoutra attention est tous

d'abord retentie par la salle de conte-ronces qul réunit devant la a Mène »de tismo.tramn. un véritable parterrede spmtateurs ( plus de 150 PlmeS

'nus leu après-midi, â 15 heure, uneassistance choisie écoute avec un plat-

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et des Maires da Département11 heures - Visite des stands Par

les membres des Assemblées Dépar-tementales et communistes du Dépar-tement de la Haute-Garonne sous Laconduite de hl. Roguet, Président dela Foire.

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Audience du 21 octobreDEFAUT

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Estrella ne se présenm Pas fr l'mldieneed'aujourd'hui et 1 an condamné par dé-faut à trois mois d'emprisonnement etcinq erys d'interdiction de séjour.

VOL ET ABUS DE CONFIANCESe un an environ, Anne-Marie Cala.

eunte r`,7:vt'mnrsiodic. de Mmo Ci., 27 ana ouvrièrecoiffeuse. demeurant, /1, rue Draient.Rach y, eau, à I ou. usa

A Os mems éroque, elle &tournait éga-lement diver.s sommes reptésentant destrimeryes de loyer pour mille

free.ronsomme qu'elle aurait dû remettre àIN. Georges V. tcenneau propriétaire LeIl miner derme, Anne Calugi faisaitl'objet dune condamnation Par rigesr.

Le tribunal lui infligeait alors sis moisde prison, 100 han. d'amende et cinqans d'interdiction de séjour.

Dès qu'elle eut connaissance de cettedécision, la prévenue fit oppositiom An-jourd'hui d'affaire revient donc à l'audien-ce et Anne Calugi est condamnée à unmois de prison.

RELAXEAntonin L., G8 ans fmecrrieà TruIes.

fion lui teproche de s'ace exhibé à cliver.Z ,Fcs,up'il asrovdsiasoew

do 1 me où I habiteMas le tribunal estime le délit insuf-

fimniment croacteiiré Ware outraientei simplement le Prévenu défendu parMe Messaud.

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fatiguée...

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torMie, je na Suie plu_e l'éternelle quartiers des Amidonniers, Sept-fatig:ree que rettus. Votre Quinto. Deniers, Cité Ouvrière, Ponte-Ha-nine, m'a rendu la santé, je l'en- meaux, Lancefos et Béarnais.soigne à toutes mes amies z. Un Les enfants de 6 à 14 a. (ger-flacon de Quintonine (huit plantes Ione et filles/ de ees divers quar-toniques, apéritives et stomachi- tlern Y sont reçus tous les jeudis deques aesociées aît glyeérophosphs. 9 h. 30 à 11 h. 30 et de 14 heures à.te) permet de fa:e1muen 1.11:e eunerftiesr,

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entendu, Unit n'estoral

par-

de

RyleGrdOiLE.,T,T.Ore

»qu'elle ait choses à réaliser ; mais néanmoins,fait, il leste encore bien 'antres

Sire vieilli, n'en est pas moins digne considérant que la classe des tant-d'attention per sa sincérité et sa fran- petits au groupe scolaire des Aan-anise d'inspiration, la reprise hue le donniers était trop encombrée, nousTh.. du Capitole en a donnée hier avone, de concert gyee la munki-soir a 'été banne, et même excellente pallié et le corps enseignant entre-en certains p.sag., ce ses interpre- pris la possibilité de création d'unetes recollèrent dre ovations et des rap. claree de maternelle permettant depets absolument. justifiés décongestionner l'école maternelle

m. 5100550e étant malade, c'est tes. des Amidonniers affn que les en-Barsac dGo applaudi sur notre scène, lents au-dessous de six ans desmut â ors débuts qui joua le rôle du qu.tiers Pent.SUmeam et Sept-bouffon; 1 y fut tees brillant et son Deniers puissent fréquenter l'on-succès y fut complet. Le oomédien a nexe du is Petit Gragnague 5 sansPris de l'assurance, de l'autorité Mê- avoir à traverser le candeur dan-me, à càmque acto 51 démontrait pm- gereuX qu'offre la circulation

con'gressivement sa pleine po.ession Man tante de véhicules qui emoruntentmolemoulue

Ii iellieench=retarth,phReèperriont Ion diveehh.rses avenues des Ponte-Do

,sae défaire d'uns fâcheuse Celan n'a pas été sans difficultésment, n'a pu

habilement d'un'entervdIba's, 5e 50 11 cl

Iuelarnteueeef anhtîirepuis-

Sot t'aaceial Slaeoescèner edeesn lenuenneleie nr1 tuobare "'en 'en Poe'danu un beau sentimen Ira- Nous devons tout particulière-

! matique lui a valu un m.. Perflommel ment cette belle réalisation a. 01-tris mérite, alors que le grand duo du mye. El/en Pré ml maire de Tou-

!troisième acte clamé yigoureusemeM 1005e, a son adjoint Clément Fal-

lenklinmee'nen dBarltratinerfnnmmeisva ',itque fort, clpal Md depuis le décès du regrettémei, à l'ami Fons conseiller muni-

1

mhheediece r,ehrnhehn,t. tan,. js..c« Lhahltemiehrio prOrearnle ea nh, hvoluelsu isentérê us sali; edrhe

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mszeisse 0es eimenre et pence, vons encore faire bien mieux dans lelen. de Poronestre dirige par m. domaine des réalisations, mais il fautRa u l'ac avec son autorité coutumière. Pour cela /e a nerf de la guerre e,ont lem part dons le siteCès de Cette Je ce ro,rendcr i °euh, reise n je ohtehr,unlhe

;7,77,8' te 'ug rieneane Mqqp... preuve qu'il me soit permis d'ajou-veau, elle reste toujours soignée et ter rele So. Peu de mars grâce it

n en eUn grand bailet tres bien dansé par . s'entame de la Municipalité d'autres

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,mcûncê as droit Ore, 2e et

jdroit à la gratuité des garderies et " s,nnée9 oniênt Ire le o.credi msde nos séances de Mnéma du jeudi, cerna, première composition à 7 h. 45,durant toute l'année scolaire.' j deuxième composition di 14 h. 45.

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ferade la cotisation annuelle fixé à 15 fr. ..Ddo la .e refluios/Jon cet

s'adresser aux écoles du Cercle, nllé au remodi 23 rembr..A partir du jeudi 28 courant, ID COrecité. - Les épreuves écrites de

sera perçu un droit d'entrée de 1 fr. c.u.ité ab droit (Ire et 2e easee4 sarospour participation aux frais, pour 809 le nmx-redi O cuve...bre, 55 h. 45,tons les élèves dont les parents neseront pas à. Jour de leur cotisai/on.

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(Sections Sp00iaI42,,,e Session 1937

Demain, à 21 heures, asesmblee go- Aspirantsnerale avec Usage de la tombola. Sont définitivencrit edmis

A cet effet, le conseil rradminis- j, Sre,jrn der doisfragon a pensé à organiser une con- jj,merference qui, comme les précédentes 2, Seclion Iodasnielle, -11k1. Den.chdois olttevirongrsccfsreecls.

Un sujet remartumblement intére, S. Section - MM. Ani-sant 1 e Les responsabintés de PEcli- eues- serjer,dans la guerre de 1914-1018 sera

traité pur M,Rabary. 1 AspirantesIl ne failp se de tonte due bon Sont définitivement sok.menombre de membres et d'amis du Secoues Commerrede. - Mes PerpMe,cercle seront présents et prouveront Timmre, Toffoletti.

de cetO maniere au conseil (redan-11H,ieqr ggviglh,,,ttoq. puniM11111111111 11111111191 1

Les membres des conseils Padmi-nistrogim

entides

nvités.cerclesvoisins sont Avis officiesmrdialem

et Wou..

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(Petit Gragnague) L'attention des organisations pro-tes citoyens des quartiers Ami- fessionnelles et de toutes personnesdenniers Sept-Deniers, Ponte.Ju- intéressées est appelée sur ravis in-

tneaux, Béarnais, Lancefoc. Cité séré an Journal Officiel du 2 orneOuvrière sont priés d'assister à ire 1937, aux termes duquel el/esl'assemblée générale oui aura lieu sont invitées, rnnforrnement à lim-an siège du Cercle, Petit Grant. tiele 31 ad d. Lty.c ico dIe c.da d.gue, 1¢ samedi 23 octobre à 21 heu- Travail, I taise connaître dans le du.ces, lai de 20 jours, leurs observations etNous comptons sur la présence avis au sujet de l'extension éventuel-de taus les citoyens, i le de la convention collective de Ira-

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leur utilité.Ils sont autorisés et subvention-

B5 par M. le Ministre de l'Educ.Don Nationale, le Diplôme de find'année est une preuve des compé-tences acquises, (seconde annéeDiplôme d'Etat)

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Elle prie également tous leschasseum du département de bienvouloir lui faire connsitre soit di-rectement, soit par l'intermédiairedes Sociétés auxquelles ils peuventappartenir, le nombre de perdrixgrises tuées par eux depuis rom/ex.-1ture.

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Page 6: VEN)DREDI 22 OCTOBRE 1937;.I 4,0 CENTimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · de communication, de circulation, ... Le 3 novembre, elle entendra M

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OOt 22 eoteb,e, eu s,ees, Os, dumBlec. dOLES'.

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(tROUPE DEDUCATION SOCIALISTEteE Lu. JIJNCASSE

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- Le saocétaiet Ree Botdes.

GROUPE AUGUSTE ELANQUIPtuojdevus - Civalitte

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Qasitsuès i0Orttteotse.Eoéssooe ebtolsool diepessehle et

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Vseeqrote àlnpsetouscce-69, roc ,T t, tocs le, jettes.

9I,s Al2hssttert del4t,ssees à19 Scores, s 60110k settul do meSsde ateletubte.

SOMMAIRECOMMISSION ADMINISTRATIVE

CONtRES DL MASSFtLLEMettes rohtigoe . Messe. IEsrseoe

Motituso, I'Etole LuivoeFAITS ET CHIFFRES

Bilan d'uer eovée de Ftooe corsIoNsLeyc set k te lelev,ehoosle

(LoolcLoseell1... Oétité sot lu

(MeespomtlLES SYNDICATS

Le ptossesec 01 le, Aesnevres Sosieles

LA ESSORE ET LES LIVRESSla9R9 tOIOS s CItai, do

-. LLS ARTSLes Usssanots

Hoosec, à le Répobliqos éarseoeleLe le mulOte de Sulcaeeo

Jeunesses Socialistes

SECTION TOULOUSAINEMceieae

Ces ,,e bieneil clsiolo gee rocseppeseot lu eoceiaee de ses ohotscadre Oéo,e,ocs Bectais se Pietsc Fcoecsst.

Nsteulsleuadjteioj,looIse 900leoo asussé a0 tuilleets mititas's COde tinspsocstadss e ois dotes nos cta,cs durotiéet d'eSeOIiOS.

Noos f uolose rosI eus let etaos laspIes site de hesbsot u ae reospécité.

Neesnem000mosre,deleotoEOOi.guet estes urotruthie. nedi sottEcales tuugs eS 55es oélébeé lest cousions

Lemeedlulee r R, Cabot.

Le Coin de I'Esperanto

CE QU'EN PENSENT3005 CHEFS I

Les lecteurs de cette chroniqueconnaissent déjb lu pensée de noselerfo, tels Rue Muroel Régis, Mal.roues, Léon Lagrsoge, Moise Mnju-rel, L. Cumrl, nues leur donnonsnujourd'htsi celle de Jean MeunIer,député d'Ssldrr-rt.Lnire. Ainsi quenous l'evoco fait durs cou précé-dente articles nous dons eus cl.slesnooa les pausngrn rSseottrlles de

.Je vrtea cens féliciter pourvotre entrrprtue de propagande rafaveur de l'Espérnuto. Je prote quelu langue intveuotioeule permettraaux peuples de ce 000npeendre et detreuvrr la voie de leur salut rom.muR. C'est pourquoi je souhaite

etc. En FinItude dune 52 geruesont aOtorutées l'appesttfon pourIre louristrs parlant Espéraute,des soma et edreesrs des guIdesespérueutIotra qui cent h leur dispo.sition. N ces uignalena h nec mcm.bres et sympatloleunte que le Grou.pa Espérantiste de Toulouse neeelequel noue retretenons des relu.tiees aunleulranus stand rsperan.tiste h le Foire de Teutonne. Cettemunifeutution préurntuet an inté-rêt commun pour la diffuaieta del'Espéranto nons leu invitolos e s'yintéresser puetieulierement en nousenvoyant 'dru vieitrura quI pour-peut te documenter sur notre mou.vemrut espérnotiste. Jean Le.fou, secrétaIre du Geoupe aociulintede lu Pioete-Goroneoe,rIsIIlIIsluITIIIIllIItlIlIIlfIIITIIIIllUhIlID

paanes os assrrsO. CROCOS. 25. rat de 05555x52 S

IIIIWIIIIIUIUIIIIIII5IJII2IJIIIJIISJIIIP5J1111111t11111112111111111111tl12111111t11111112111

UNION SYNDICALE DUS RETISAITES 13E LA GUERRE, Oed,e

neuh,oe as l'Ueoo Srodioole deSetcailo'e do le Guette,bIde adoiesle le 20 ootobee 1t32. à laSOoseo du Tuoel ou oonhee ris 450.

Apcèe 000,0 déljhé,é et scsi, sottodo Ioonrteceoao oct k potines dss corse

Cuoeidéeuot. doeeot le ddssuetoeoa dItoes reseib,I,tés a'eoI,or à i'èeued a5 luohecté toujeoes 000,sesote dss deeeios sobjeis dt E1000dtt césessilé. q,,',I dee,eode,eeeso,tsocs gus lscsooeousooeotdFeevt Poroluoe. se oeode colis eonrls deIssiloatjoo 0105 gos rtieéceoee ris cevisse r,soeilleo,s, usoordo, errte,u,énn,sus dés,es oert,coéspotle oecIel nrlit deOeseioes I'oblIoa 0e le ouetel de toss leetteuilde a0 l'Eus, 6 000creee d0 le, o000bte 000 pcI500 de eie dhoee de lIt IeeoocasInos.

gses rourecelses des iodioes de vis 193 ile coOl de lee,es'eaIeoé asse des 0eoroOimsietoise6Oe

ko beuoohe, e I'iodosseie, ii e dté roeslebio de eerrcodboe lu 0oiseu000 a'cohesu,, 5ehss près dts eoodilcous de sic, tien

Fort cooliueos àlu Féddeuljos nolise dueeeecuitis as l'Ulet. a0 leqoolle ils testpu lie ,eOéoesloe, es es outOel dot teO,ejlésrour qc,'ooliojostiossoitteodoeaeeOieOasa,eiloots de le eulios.

PLATRIERS. - Réooioveoiooed'huiecodtsdi 22 eoOobot. B Il h. 30.6 le Bout.ee do T'l mIle 13.

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IIIfltlIIlIulIIlllIuIIIIIIIIIIllIIIIIIISlIIIllIIR

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qu'elle soit ensrijoér obligutoire. Rduulou dru déléguée Or duS, os miement ducs tes écoles comme langrue cuodredl, à le Soupes, bar 2e l'Oeéraaunilfuire, de atafmt qoe j'rspèrr pieoe du CefoIele.

l,'anInratrigttemrnt our ntillté pratique.Eu vous témoiguant toute ma t'ao-patter pour les pionniers de l'Etpé-r q pré luMrualer, député d'Indre-et-LoIre).

Camarades errialistes, l'accordde plonieuro aatlooa dust parle no-tre asti Jean Mroaior rebete déjbduau le vie pratiqut. Chuque jourdes (alto aouVeauu vicIeraI nff le-mer les progrès réalisés, Noces lite.

de Oqengrte vient tout réprrntorat bel pou ec,et. - lac stcrttabra e Rua.

d'urgaa'arr des cours d Esperauta .111000.

elOedtVirnnea, rt 5q ATI5IuETIQUR TOUI,OUR.'aIB

prié les fllrertrurs dru Ecoles tech. unnotuide dcOPs.le ce toir orpdreoti,niques d'inviter les élrveu à soovre as ,su stdge Sur de l'Ordretee cuurt d'Elpéraulo argumsra par t dccc 00 050,tolr. StI.500 lues. 900.l'Aseociotlon Espérantiste d'Autel.

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Le motoS se leurra h Ocesude dlItou 6 Geisellru.

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babiboel.L'OEILLET BOUGE

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Ne ltnueraoo parlloiper à ce Conarèuque leI ondt2o oit! u5000t eea050elélIer allDlaliOO rose luIs.

SI ira soelstdu UP5100ut cesse 25e 00go.lime os coesu au eollfrda, enru sousicloendru qu'elles dcivetob su000er letvoeux et bagotta 50 eecrieulce (51e 5m.lion 100101e aneat 15 lnrltOonlnlire.

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Voir, l'ordre du joue du Cotsgt'Pa tnarrort moesi et ilasacler;neoull;rutiocto eue sIelula butorteoreVIrus Oct suei000tlNuminetiea du Rutedo elfe In Osas.

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L'equips caul0100bim, lieu ououoe hTculnûuo, noua amuse prdeldue d'ueoauodll001n eénulaUoa.00 oiesl.nIIs pusdo battre In pt001baU-050u 06 Gcene.lolO 051,00 nue Inoamlltiur pallie ds leu0050110 Il est qua, 000 danu se ligueOr lroia.eluus'tu brillent d'un fr100 toutPastiodire leI ie.c,cuu uubsnuatioauuadndooeb et 000aO.

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