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Avril 2014Numéro 08

Le magazine du Brabant wallon

Patrick Ridremont Mr.10.000 volts

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Chers lecteurs, chères lectrices bonjour !

On ne va pas vous mentir, on adore ce que l’on fait !

Cette fois ci encore de belles rencontres dont nous avons essayé de coucher au mieux les interviews sur le papier que vous tenez entre les mains !

Mon Dieu ? Mais, mais… Vous lisez encore sur du papier ?

On ne s’en lasse pas hein ?

Et oui, nous avons bien l’impression que la facilité de lecture et le côté pratique de votre WaWa maga-zine ne se démodera jamais finalement… Et c’est tant mieux !

Bref… Nous avons rencontré pour vous cette fois-ci encore des «artistes» du Brabant wallon, je vous cite en vrac : Patrick Ridremont (très très agité le garçon en ce moment, dans le sens positif du terme bien sûr !), Serge Deguide (qui nous donne une belle leçon de courage et d’aventure), Thomas de Dorlodot (un garçon qui a la tête dans les nuages et qui va vous donner le tournis), un dossier spécial décoration et couleurs, et même du sport et de la santé pour vos enfants !

Bien sûr ceci n’est pas exhaustif, parcourez le ma-gazine, et profitez de votre lecture et de vos décou-vertes !

Jean-François de Lavareille

info@wawamagazine.comwww.wawamagazine.com

0479 96 60 91

Edito

LE SWITCHChaussée des Collines, 60

1300 WavreTél : 010/22.87.53Fax: 010/22.81.62

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Dossier décoLa vie en couleurs

Thomas de DorlodotCroire en ses rêves, c’est avancer

Serge DeguideUn voilier contre le cancer

Patrick RidremontMr 10.000 volts

Sommaire

Wawa Magazine

Editeur responsableJean-François de Lavareille

Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles

Rédaction Coralie Denis

Pierre Chaudoir

PhotographeJean-François de Lavareille

InfographiePica Mundo sprl

Avertissement:• Nous déclinons toute responsabilité

pour le contenu des publicités.• Le contenu des articles n’engage

que les personnes interrogées.• Aucun article ne peut être reproduit

même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction.

• Ne pas jeter le magazine sur la voie publique

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© Bertrand Vandeloise

© photos John Stapels, Thomas de Dorlodot, Horacio Llorens.

Natif du Congo, Patrick Ridremont débarque à 6 ans dans le Brabant Wallon.A Wavre. Par facilité, il choisit des études proches de chez lui à l’IAD à Louvain-la-Neuve.

« C’était une école où je pouvais aller en stop ». Il se lie d’amitié avec Olivier Leborgneque l’on entend tous les matins donner la réplique à André Lamy sur Bel Rtl.« Personne n’était comédien dans la famille. Je m’y suis mis comme cela »

entonne le comédien-réalisateur-improvisateur-voix-professeur.

Patrick Ridremont Mr.10.000 volts

Il est une des très belles révé-lations de la ligue d’impro. Le public découvre un comédien canif suisse. Il sait tout faire. Il est omniprésent. Une énergie incroyable. Un physique de bad boy et une voix de stentor. C’est un peu notre Sean Penn à nous.

La vie, il la mange par tous les excès. Il vit à 1.000 km/heure. Il brise le mur du son quoti-diennement à des centaines de reprises puisque c’est une des voix les plus utilisées dans les pubs radiophoniques. Il excelle dans cet art et c’est sa principale source de revenus. « En plus de faire des voix, je donne cours de radio à l’Ihecs. J’ai été viré de Vivacité après 15 jours donc je suis un bon prof » souligne la voix de Me-diamarkt en hurlant de rire. Il n’est pas fou pourtant.

Mais l’ami Ridremont est un pur stakhanoviste. Il veut que cela bouge et il n’est pas de ceux qui attendent que leur té-léphone sonne. On le voit sur les petits écrans régulièrement animés des émissions de té-lévision sur la RTBF dont 100 % télé, Oh mon bateau, 60 se-condes, Ceci n’est pas le bêti-sier 2004, Ceci n’est pas de la tévé, etc. Il présentait encore Miss Belgique et Make a Wish dernièrement.

© Bertrand Vandeloise

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Sur Canal +, il a aussi sévi dans quelques cap-sules avec ses amis de toujours : Olivier Le-borgne et Jean-Claude Dubiez. Parmi celles-ci, TVA, Night Shop et A louer ou encore Ring Ring

C’est lui encore qui écrit le premier spectacle de Virginie Hocq, Qui a dit faible ? Il est sur-tout connu, comme « pipole », pour avoir été le mari de Virginie Efira. Ils formaient un couple glamour qui décape pendant 3 ans. « Ce fût une énorme joie de vivre avec elle ».

La soif de vie le pousse à créer son propre res-taurant près de la place Flagey. « J’étais comme une marionnette dans un théâtre. Un restaurant ou un spectacle. C’est la même chose ». Du restaurant, Un des Sens, il est passé au théâtre Marni, à quelques centaines de mètres, en reprenant les rênes d’une ligue d’impro mori-bonde faute de comédiens. « Il n’y avait plus d’improvisateurs. Je suis monté sur le bateau et j’ai rappelé quelques pointures. Depuis les salles sont pleines. C’est simple la vie. » pro-clame Patrick Ridremont.

Et puis, le cinéma l’appelle grâce à un scénario étonnant. Son scénario. Dead Man Talking ra-conte l’histoire d’un condamné à mort qui pro-fite d’un vide juridique pour prolonger sa vie et la rendre médiatique.

« Le casting est composé de personnes impor-

tantes dans mon existence mais ce sont des p…. d’acteurs à la base » déclare Patrick. Le film est le dernier de Christian Marin qui est décédé peu de temps après le tournage. On y trouve Virginie Efira, François Berléand, Jean-Luc Couchard, Olivier Leborgne, Denis Mpunga, …

Le film a connu un petit succès d’estime en étant nominé à sept reprises aux Magritte 2013 et un seul prix : celui des décors. Et puis, c’est l’inattendu, une nomination aux Césars. Le ré-sultat est connu, ce sont d’autres belges qui gagnent : « Alabama Monroe » de Félix Van Groeningen.

« Gagner un prix, ce n’est pas important. C’est déjà fantastique d’être nommé. Je regrette que la ministre wallonne de la culture se félicite de la nomination de The Broken Circle Breakdown aux Oscars et pas un mot pour notre film no-miné. Visiblement, on préfère les hamburgers au gouvernement wallon. Même Elio ne sait pas qui je suis » constate Patrick.

Ses coups de cœur cinématographiques sont Prisoners de Denis Villeneuve et Au nom du Fils de Vincent Lannoo. « On sort du cinéma tradi-tionnel dans la manière de construire un film. De filmer. De monter. Il faut s’habituer à voir du nouveau cinéma. Plus le cinéma de papa. Une nouvelle vague est en marche » s’exclame le réalisateur.

© NEXUS FACTORY © Luc Viatour / www.Lucnix.be

En ce moment, Patrick travaille sur un prochain scénario depuis son nouveau logis à Lasne où il crèche. « J’adore le côté tranquille de la Wallifornie car à Bruxelles, je sortais sans arrêt. J’aime bien cette rupture de 25 minutes où l’on passe du gris au vert » nous explique l’épicu-rien.

Maintenant, il rêve de pouvoir faire de nouveaux films. De bouger. De créer. De vivre. Si vous le cherchez, il traîne de temps en temps au Do-maine du Blé. Il est clair que l’homme est di-sert donc ne prévoyez rien le lendemain. Son enthousiasme est irradiant. Mais il reste formi-

dablement sympathique.

Vous ne pouvez qu’aimer ce personnage co-loré, expressif et souriant. Une forme de Rémy Bricka. Un saltimbanque moderne, espiègle, fou et ambitieux.

L’homme est tellement intarissable que nous avons concocté une interview vidéo prise à la Suite à Lasne. Il nous raconte tous ses dé-lires, n’hésitez pas aller surfer sur la page Fa-cebook….ou sur le site www.wawamagazine.com. C’est une bouffée d’air frais, d’optimisme, d’humour et d’humilité.

© Bertrand Vandeloise

© Bertrand Vandeloise

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Mia, formée et passionnée par le bien être et le paramédical, vous reçoit dans son cabinet pour : - Pédicure médicale- Réflexologie plantaire- Réflexologie pédiatrique- Raffermissement, amincissement et chromo-thérapie avec la VIP COMPLEXE- Distributeur produits «It Works»- Coaching minceur

Mia, soucieuse de vous offrir un service de qualité et complet s’est équipée de la ma-chine VIP COMPLEX !La VIP permet de traiter les problèmes les plus répandus avec d’excellents résultats. Le prin-cipe de cette méthode est d’électrostimuler vos muscles. En créant une torsion sur ces derniers, le traitement va permettre de muscler mais aussi de libérer les capitaux graisseux ac-cumulés. Sans danger, douleur ou effet désa-gréable, vous voilà entre de bonnes mains du-rant 25 minutes avec un résultat immédiat. Une mesure est effectuée sur la zone à travailler avant et après le traitement afin de suivre l’évo-lution de votre silhouette pas à pas. A raison de deux à trois fois par semaine durant onze séances minimum, ce traitement permet d’agir sur le relâchement musculaire et cutané, les excès de graisse, la cellulite, la rétention d’eau, le vieillissement des tissus et les rides. Une prise en main chez Medi Mia commence

par un rendez-vous pour faire le bilan, com-prendre et cibler vos besoins pour :• Mincir• Raffermir son corps, sa peau.• se remuscler après une opération, revali-dation• se tonifier- corriger un défaut esthétique

Mia est également coach minceur et peut vous accompagner dans un régime protéiné. Convaincue qu’il est possible d’obtenir de bons résultats en associant la VIP et le régime, Mia vous permettra d’apprécier une alimen-tation adaptée en utilisant à bon escient les vraies protéines de votre alimentation pour vous et toute la famille.

Vous recherchez un spécialiste qui va vous aider à mincir, raffermir ou encore embellir votre corps ? Vous avez des cicatrices sur votre corps ou votre visage ? Vous avez un bébé et vous aime-riez atténuer ses pleurs ou apaiser un reflux gastrique ? Vous aimeriez prendre davantage soin de vos pieds ? Rendez-vous au centre Medi Mia, sur les hauteurs de Chaumont-Gistoux.

Centre Medi Miaà Chaumont-Gistoux

La chromothérapie : les couleurs au ser-vice du bien êtreIl est bien connu que la lumière a des effets bénéfiques sur tout un chacun, celle-ci ac-compagnée d’une couleur permet d’envoyer des informations à notre cerveau et de lui indiquer sur quelle zone il devrait agir pour restimuler son bon fonctionnement.

La machine VIP complexe est équipée d’une palette lumineuse et colorée qu’il faut placer haut dessus du visage. Selon le besoin, qu’il s’agisse de mincir, corriger des cicatrices, ou se sentir apaisé au point de vue psycho-logique, le code couleur adéquat va être envoyé à votre cerveau et aux capteurs de votre peau durant 25 minutes. La fréquence nécessaire dépendra du travail à effectuer.

Vous l’aurez compris la VIP COMPLEXE est

idéale pour résoudre des problèmes esthé-tiques du visage ou du corps par des trai-tements innovants que ce soit en electrosti-mulation ou via la chromothérapie. Mia vous propose un traitement complet qui se veut à la fois rapide et durable dans le temps. (en-tretient 1x/mois)

Distributrice IT WORKSAfin de préparer votre corps pour cet été, Mia vous propose de découvrir la marque de produits de soins IT WORKS. La société américaine qui existe depuis 2001 a sorti le WARPS CORPS ou VISAGE.

Un produit innovant et surprenant. Simple à utiliser,il permet de tonifier et de raffermir la peau, il améliore également la texture de la peau en 45 minutes à peine ! Efficace aussi pour minimiser l’aspect peau d’orange ou encore diminuer les tâches de la peau, ce produit permet un effet durant 72h. A base d’ingrédients naturels, il est le partenaire idéal au programme VIP COMPLEXE ou seul.

Tous deux complémentaires, la machine VIP associée au WARPS d’IT WORKS vous ren-dra belle pour cet été !

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Pédicure médicaleSpécialisée dans la pédicure médicale, Mia soigne les pieds et toutes les affections tant au niveau de la peau que des ongles. Parce que l’hy-giène des pieds est indispensable pour se sentir confortable au quotidien Mia est formée pour : • L’exérèse du cor• Ongles incarnés• Le durillon, la callosité• Réalisation d’orthèse : orthoplasties pour pro-téger ou corriger (orteil en griffes, chevauche-ment hallux valgus,...) et orthonyxies pour les ongles incarnés. • Traitement des mycoses (local)

Réflexologie plantaireEn tant que réflexologue, Mia contribue à votre bien être général. Cette thérapie naturelle est ba-sée sur les zones réflexes du pied correspondant aux différentes parties de votre corps. Le prin-cipe est d’effectuer de douces pressions afin de stimuler le bon fonctionnement des zones affai-blies. La réflexologie permet de retrouver un état de sérénité grâce à son effet relaxant. De plus, la thérapie permet de stimuler et d’optimiser l’éner-gie vitale et le système immunitaire global.

Réflexologie pédiatriquePeu connue en Belgique, la réflexologie plan-taire dédiée aux enfants commence doucement à faire parler d’elle. En tant que maman, Mia avait envie d’approfondir cette méthode per-mettant aux tout petits de retrouver calme et sérénité. Cette méthode aide à soulager un re-flux gastrique douloureux, une mauvaise diges-tion, un état de stress,… Toutes les méthodes utilisées par Mia consistent à un accompagne-ment paramédical. Dans le cadre d’un rendez-vous chez Medi Mia, elle vous proposera un traitement sur mesure et adapté ou, si besoin, vous guidera vers un autre professionnel.

http://www.medimia.be/MEDI MIA | Geneviève JespersChaumont-Gistouxmia@medimia.besur rendez-vous : Tél 0478 31 36 38Consultation les jeudis au Centre Médical de Chaumont-Gistoux

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Un voilier contre le cancerC’est l’histoire d’un homme, d’une maladie et d’un merveilleux projet.

Serge Deguide, atteint d’un cancer généralisé a décidé de mettre sa situation à profit des malades du monde entier en allant les rencontrer. Il part en juillet, avec un voilier et une

équipe pour donner de l’espoir, montrer qu’une personne affaiblie par une maladie peut être renforcée par un projet et vivre des moments intenses.

Pourquoi avez-vous décidé d’utiliser le voi-lier? J’ai toujours adoré faire de la voile, j’ai arrêté d’en faire à mes 18 ans par manque de temps. J’étais devenu indépendant et je tra-vaillais beaucoup. J’ai repris il y a seulement un an. Mon cancer s’est généralisé en juillet 2012 et au départ mon espérance de vie n’était que de quelques mois d’après les médecins. Finalement, mon cancer s’est stabilisé grâce aux soins. A cette période, j’ai décidé de me remettre à la voile.

Quel est votre état d’esprit par rapport à votre cancer? Aujourd’hui, je ne me bats plus pour guérir mais pour vivre le plus longtemps possible en étant malade. J’ai accepté. Je pense que quoi qu’il nous arrive, il ne faut pas perdre de temps à se lamenter, il faudra bien s’en remettre à un moment donné alors pour-quoi pas le plus vite possible?

«Très vite, avec ce cancer,j’ai eu le choix d’en tirerdu positif ou du négatif.Le choix était vite fait»

Quels sont les raisons qui vous ont pous-sées à lancer ce projet?L’idée à germé l’été passé jusqu’au mois de janvier dernier. depuis quelques mois, je faisais évoluer le projet seul dans mon coin. J’avais en-vie de changer l’image que représente une per-sonne malade. Les gens pensent et moi le pre-mier avant d’être dans le cas, qu’une personne atteinte d’un cancer généralisé c’est quelqu’un qui est en train de mourir. Il y a quelques an-nées, c’était vrai mais ce n’est heureusement plus le cas pour tout le monde à l’heure ac-tuelle. Certains peuvent vivre presque normale-ment comme moi. Les gens ont du mal à croire que je suis malade, ça ne se voit pas. Je suis fatigué mais je fais trois fois un kilomètre à la nage par semaine, j’ai un poids normal,... Je suis à la limite plus sportif que quelqu’un qui n’a rien.

La deuxième raison du lancement de ce projet est que je pense que c’est un espoir pour les autres personnes dans ma situation ainsi que pour leur entourage. Le cancer fait très peur, mais je veux prouver qu’on peut aussi continuer à vivre et non à survivre. D’un point de vue plus personnel, la dernière raison qui me pousse à lancer ce projet c’est mon attrait pour la vie de nomade. Ne plus être attaché à une endroit fixe sur la terre.

Quel est l’objectif du projet «Un voilier contre le cancer» ? Je veux aller à la rencontre des malades à travers le monde et leur offrir un voyage en mer.

«Bonjour, je suis un belgequi a un cancer généralisé

et je suis venu jusqu’à vous,à la voile malgré la maladie,

voulez-vous veniren mer avec moi?»

Je veux aussi redonner de l’espoir, du plaisir parce que je pense que le psychologique à son rôle dans tout ça. Tous les médecins que je vois deux fois par semaine, reconnaissent que celui qui a le moral est plus résistant. C’est une suite logique, lorsque qu’on a le moral, on se nourrit et on dort correctement, on se renforce et on est plus armé pour faire face aux traitements, à la chimio... Je pense que ça aide vraiment. En deux ans et demi, j’ai été opéré dix fois, j’ai réappris à marcher trois fois, je suis passé par des soins très compliqués, aujourd’hui mon moral est toujours présent.

Quelle a été la réaction de médecins face à de projet? Ils ont été très positifs, ils me sou-tiennent énormément. L’institut Jules Bordet de Bruxelles me soutient également.

Pensez-vous que la mer peut avoir un im-pact positif sur la maladie? Oui. J’en suis sûr

en tout cas je le ressens comme ça. Le bateau, c’est une thérapie. Lorsqu’on se retrouve sur un voilier, au milieu de la mer, on est tout petit, à sa juste place. Face aux éléments, tout ce qu’on peut faire c’est essayer de s’entendre tant bien que mal. C’est comme avec la maladie. Je laisse mon cancer à quai, et, malade ou non, on est tous sur le même bateau, contre vents et marées.

Quelle sera la durée de ce voyage? Il va durer deux ans quoi qu’il arrive, avec ou sans moi. Au bout des deux ans, le bateau sera amaré à la côte belge et continuera à offrir des voyages en mer aux personnes malades. Ce projet c’est du long terme, moi je suis le point de départ et je veux que ça dure. C’est l’enfant que je n’ai jamais eu, c’est la trace que je veux laisser.

Qui vous aide actuellement à la réalisation ce projet? Ce projet concerne tout le monde de près ou de loin, du coup, j’ai la chance d’avoir autour de moi un réel enthousiasme face à ce voyage et face à l’asbl en général.

Pour l’instant, nous récoltons des dons pour le voilier. Le départ est prévu en juillet et l’achat du bateau devrait se faire en mai. Pour que le projet puisse voir le jour, nous avons besoin de 300.000€. Tout les dons sont destinés uni-quement à l’aide aux malades. Toutes les per-sonnes qui m’accompagnent sont bénévoles.

François Damiens, parrain du projet? Oui, tous deux issus du Brabant wallon, François et moi sommes amis depuis 25 ans. Il est passionné de voile depuis tout petit. Le fait qu’il soit par-rain est venu naturellement. Il désire encourager ce projet qui lui tient également à coeur. C’est vraiment quelqu’un de bien, il n’a pas la grosse tête et a beaucoup de coeur.

http://www.unvoiliercontrelecancer.com/

Propos recceuillis par Coralie Denis

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Croire en ses rêves,c’est avancer

Rencontre avec Thomas de Dorlodot

Croire en ses rêves,c’est avancer

A seulement 28 ans, Thomas, parapentiste professionnel, nous reçoit dans sa maison de Chaumont Gistoux entre deux voyages. Un retour aux sources rare pour le jeune homme

pour qui le quotidien se passe dans d’autres horizons et à d’autres altitudes.©

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C.D. : Comment avez-vous pris goût au pa-rapente? « J’avais 15 ans, j’étais à l’internant à Maredsous et un de mes amis avait tout le matériel pour voler. Il m’a proposé d’essayer dans une prairie où il y avait une petite pente. J’ai fait mon premier décollage et j’ai eu un vrai déclic, j’ai senti que c’était mon truc ! A par-tir de ce moment là, je me suis vraiment lancé dans la discipline. Le petit hic est que la Bel-gique est peu vallonnée. J’y avais tellement pris goût que je volais comme je pouvais avec un parapente à moteur dans la région. Avec l’expérience, je me rends compte que c’était la période la plus risquée, je ne pensais qu’au plaisir de voler, j’en oubliais parfois les dan-gers. » Explique Thomas.

Petit à petit Thomas commence à faire parler de lui tout en poursuivant ses études à l’HIECS à Bruxelles. Par la suite, décidé de faire un master en photographie et réalisation, Thomas part en Espagne. Sur place, la chance lui sourit et les deux meilleurs pilotes de l’époque lui proposent de les shooter en plein vol. « C’était une oppor-tunité géniale. A chaque fois que je les accom-pagnais pour les filmer ou les photographier, je volais avec eux, dans les mêmes endroits et conditions qu’eux. Ça a été l’apprentissage dé-cisif pour ma carrière ». Explique Thomas.

Aujourd’hui, cela fait déjà cinq ans que Thomas de Dorlodot est devenu parapentiste profes-sionnel et qu’il travaille sur différents projets lié à sa discipline. Comme beaucoup d’athlètes de sports extrêmes, Thomas est suivi de près par la marque Red Bull avec laquelle a été lancé le label Search. Thomas et son équipe partent à la recherche de spots improbables dans des conditions uniques dans le monde entier. « Je crois qu’en tout, j’ai visité plus de soixante pays pas tous pour mon travail mais la majorité de ces visites y sont liées. Nous avons traversé l’Afrique il y a deux ans, on a aussi fait le Brésil, la Colombie, la Nouvelle Zélande, le Maroc,… et je suis rentré il y a quelques jours de Polyné-sie française où nous étions depuis trois mois » nous raconte le pilote. L’objectif de Search est également de trouver des lieux où personne n’a jamais volé. « Ce qui est fantastique avec ce genre de projet c’est qu’il y a toute une commu-nauté qui nous suit via Internet, c’est vraiment une aventure qu’on veut partager un maximum. » Confie Thomas.

En février de cette année, Thomas est ren-tré d’un long périple dans les îles Marquises. Un projet cette fois accompagné d’un voilier dans une optique éco-responsable et qui avait comme mission de se servir du vent principa-lement pour se déplacer. Search ça représente l’aventure, le rêve du voyage et la découverte. « Ce type d’expédition demande une logis-tique particulièrement rôdée, c’est le travail de toute une équipe. Nous étions sept sur le bateau dont un autre pilote professionnel, un espagnol, Horacio Llorens ». Les deux pilotes repèrent les montagnes exposées à l’Est, elles seront le point de décollage grâce au vent qui percute celles-ci. Ils se serviront de la masse d’air pour remonter. Pour atteindre ces faces des montagnes, leur voilier pose l’ancre de l’autre côté car il est trop risqué d’approcher la côte Est à cause du mouvement violent de la mer. « Lorsque nous partons à la recherche du point de décollage, nous ne savons jamais sur quoi nous allons tomber, nous gravissons la montagne à pied en nous frayant un chemin. C’est l’aventure, la vraie. Ce qui est magique

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c’est de savoir que ces lieux sont encore inex-plorés. Dans les îles Marquises, les paysages sont magnifiques, en vol, on peut voir et com-prendre toute la vie de la faune et la flore des lieux. Il n’y a aucune trace de vie humaine, c’est rare. La nature y est propre et luxuriante ». Tho-mas nous explique également que ce qui le marque particulièrement lors de ses voyage et notamment durant sa plus récente expérience est l’accueil souvent très généreux des locaux.

« A l’étranger, le parapente est un moyen de rencontre énorme. Tu débarques, du ciel, de nulle part avec ton parapente, ils n’ont jamais vu ça et t’accueillent les bras ouverts »

Thomas, particulièrement attaché à la nature, nous explique qu’il affectionne tout particulière-ment les autres projets où il part seul. « Je pars avec mon sac à dos et je traverse une chaine de montagnes. Dans cette optique j’ai fait les Pyrénées, et la Nouvelle Zélande.» Cette perfor-mance est nommée le parapente bivouac. Axé sur la performance, Thomas traverse la chaine de montagnes en minimisant la marche et avec comme objectif de voler un maximum. Equipé d’un sac à dos le plus léger possible et un pa-rapente sans moteur, il tente d’op-timiser le ratio entre marche et vol. Ulitisant les masse d’air ascendantes où le soleil réchauffe les montagnes, le pilote suit les oiseaux et remonte dans les colonnes d’air. Ensuite, il tente d’atter-rir en altitude pour bivouaquer et repartir à l’aube. « C’est un sport très technique et on en fait jamais le tour. Chaque vol est unique, il faut s’y adapter. Avec les années, je sens que mon instinct se développe. Les oiseaux eux ne se posent plus la question. Quand je pars avec 14 kilos et que je traverse une chaine de montagne seul, je me rends compte que je n’ai pas be-soin de grand chose. ‘Light is right’, le moins de matériel possible, on allège, on simplifie. C’est presque une manière de vivre.» Confie Thomas.

« Le parapente bivouac c’est tout ou rien, quand c’est pas ton parapente qui te porte, c’est à ton

tour de le porter. » Attiré par le surpassement de soi, le jeune homme nous confie qu’il tire une grande humilité de ses voyages. « Il m’est arrivé de me retrouver en pleine montagne en train de marcher sous la pluie ne sachant pas quand je pourrai m’arrêter. Dans ces moments là, le plus normal serait de rentrer à la maison et ce qui est assez génial c’est de traverser ces choses là, ça renforce. Les limites de l’être humain ne sont pas si étroites que ce que l’on pense. L’homme est capable de faire des choses exception-nelles. Il faut pour cela une bonne préparation, un travail d’équipe en amont, le matériel adé-quat et c’est parti ! » Explique-t-il.

Le parapente, est aujourd’hui un sport peu ré-pandu mais se développe et attire de plus en plus. Thomas nous explique que c’est un sport assez jeune et qu’il y a encore plein de choses à faire. Motivé pas la performance et non la réelle compétition, le pilote conçoit la discipline comme une liberté immense et une motivation perpétuelle. « Quand on a un objectif, on est motivé chaque matin et quand ce projet touche à sa fin il faut qu’il y ait un autre qui suive pour continuer à se réveiller chaque jour avec envie ». Nous confie le jeune homme.

C.D. : Quels sont tes objectifs? « J’en ai plusieurs. J’aimerais par exemple avoir l’occasion de par-courir toutes les chaines de mon-tagnes du monde. Il y a un autre pro-jet aussi qui me tient à cœur ; On est quelque uns à avoir fait les 7000 mètres d’al-titude et je voudrais atteindre les 8000 mètres d’altitude. Pour ce record il faut des conditions de vol exceptionnelles, être au bon endroit au bon moment. A part ça, je ne suis plus trop axé sur des buts ultimes mais sur une évolution pro-gressive. » Explique Thomas.

C.D. : Le parapente fait partie des disciplines dites extrêmes, dirais-tu que tu aimes le risque ? « Non. Je n’aime pas le risque mais se préparer pour faire quelque chose de très tech-nique et réussir à le faire en sécurité ça me parle. La clef c’est la préparation, je fais ça pour vivre pas pour mourir. J’analyse tous les accidents à chaque fois je veux savoir ce qui s’est passé. Jusqu’à maintenant, je constate que c’est tou-jours une erreur humaine. La peur ça te garde en vie, ceux qui n’ont peur de rien prennent un gros risque. Jusqu’à présent, ma peur est positive elle me permet d’apprivoiser mes sens et de calculer les détails qui peuvent faire la différence ».

C.D. : Quel message voudrais-tu faire pas-ser aux jeunes qui ont une passion comme la tienne ? Personnellement, je n’aurais jamais cru pouvoir vivre d’une discipline comme celle-ci. Cela m’a fait prendre conscience que si tu es vraiment passionné par quelque chose, si tu dédies ton temps, du travail et beaucoup d’énergie ça peut le faire ! Il faut croire en ses rêves pour avancer ! »

C.D. : Un petit mot sur le Brabant wallon, ber-ceau de ton enfance ? « J’adore le Brabant Wal-lon. Ici, chez moi, je peux m’entrainer dans les champs. Il y a des petites spécialités qui man-quent quand je suis loin de Chaumont Gistoux. La vie culturelle est de plus en plus mouvante. Au fil de mes voyages, j’ai constaté qu’il faut se rendre compte qu’en Belgique on vit dans une sécurité et dans un confort incroyable. Quand je rentre chez moi je retrouve l’eau chaude, l’élec-tricité… Tout paraît si simple. Je trouve qu’on a tendance à banaliser notre confort ».

Dans le futur, parmi ses nombreux projets, Tho-mas voudrait faire partager sa passion, encou-rager les jeunes à vivre des moments hors du commun, sortir du quotidien et adopter un état d’esprit où le retour essentiel est roi.

Propos recueillis par Coralie Denis

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PROMOSPORT :Des stages ECO friendlyde qualité

C’est dans leurs locaux de Wavre que nous avons rencontré Denis Detinne, le responsable développement de l’ASBL Promosport. Créée il y a 14 ans avec Hugo Cantineau et Grégoire Litt, Promosport est devenu au fil des années la référence en termes de stages qualitatifs, de na-tation ainsi que d’activités extra-scolaires dans les écoles.

Promosport a pour objectif le développement global de l’enfant et le sport est un des outils pour arriver à transmettre différentes valeurs qui permettront à l’enfant de devenir un citoyen res-ponsable, actif, critique et solidaire.

La qualité et le professionnalisme avant toutPas moins de 40 personnes actives toute l’année compose l’équipe de l’ASBL Promosport. Le fait d’avoir ce groupe soudé qui travaille à l’amélio-ration constante de leurs services est une vraie plus-value face à certains groupes travaillant avec une majorité d’étudiants uniquement lors des vacances scolaires par exemple.

Plusieurs formations pédagogiques sont dispen-sées aux moniteurs : gestion du matériel, organi-

sation, gestion des conflits, sécurité, accueil des parents, dispense du cours de manière ludique, rien n’est laissé au hasard.D’ailleurs l’ASBL Promosport est reconnue par l’ONE comme centre de vacances.

Nous avons interrogé Denis Detinne sur le fonc-tionnement de leur ASBL.

Wawa : Pourquoi privilégiez-vous certains lieux comme l’Ecole du Sacré Cœur « Le Clos » de Waterloo pour dispenser vos stages ?DD : Pour la simple raison qu’une école est un lieu naturellement adapté aux enfants. Une école dispose d’une infrastructure adaptée aux plus petits : salle de gym, espace extérieur en herbe, mobiliers (tables, chaises, etc.) adaptés, sani-taires « à l’échelle », lits pour les siestes.

Si nous devons faire des activités spécifiques telles que le tennis, la natation ou l’équitation, nous sortons de l’enceinte de l’école. De plus, dans l’exemple de cette école, elle est idéa-lement située sur la chaussée de Bruxelles, ce qui permet aux parents de ne devoir faire qu’un petit crochet pour nous déposer leurs enfants.

Wawa : Vous nous parlez de Waterloo, mais nos lecteurs sont aussi de Wavre, y êtes vous présents ?DD : Bien sûr nous avons de nombreux sites à travers le Brabant wallon (LLN, Ottignies, Gem-bloux, Perwez, Genappe, La Hulpe, Waterloo, Hamme-Mille, Grez-Doiceau, et bien sûr Wavre à l’Athénée Maurice Carême depuis 4 ans. Cette situation est idéale, par exemple, pour les tra-vailleurs de GSK avec qui nous avons d’ailleurs un partenariat.

(Ndlr : Promosport a de nombreux partenariats, avec l’UCL, BNP Paribas Fortis, GSK, etc. N’hé-sitez pas à vous renseigner !)

Wawa : Vous avez plusieurs piscines à 32°, comment cela fonctionne-t-il ?DD : Travailler dans des piscines plus petites à une température de 32° permet aux enfants d’ap-préhender l’eau dans de bonnes conditions : les cours sont ludiques et l’enfant progresse tout en s’amusant. Ces piscines sont également idéales pour les écoles de 2ème maternelle à la 4ème primaire que nous accueillons chaque jour.

Bien sûr nos piscines ne sont pas réservées uni-quement aux enfants, nous accueillons aussi des adultes avec nos cours d’aquagym, aqua-senior, aqua-abdos, ainsi que l’aqua-bike, aqua-mix et aqua-kiné que nous lançons après les vacances de Pâques.

Wawa : Venons-en aux prix…Qu’en est-il ?DD : Contrairement à ce qu’on pense 70% des stages de Promosport sont moins chers ou au même prix que d’autres organismes. Tout est mis en œuvre pour que le rapport qualité-prix soit correct. Promosport n’est pas une ASBL subsi-diée, nous devons donc trouver les fonds grâce aux activités que nous organisons. Nous avons par exemple un stage d’entrée à 75 euros.

Nous bénéficions également d’un tarif familial avec une réduction de 13 euros à partir du deu-xième enfant inscrit. En tant que centre reconnu par l’ONE nous fournissons également des at-testations fiscales de 56 euros par semaine. Et comme je vous le disais tout à l’heure les enfants des entreprises partenaires bénéficient de 10 eu-ros de réduction supplémentaire.

Wawa : Nous aimerions pour finir en savoir plus sur votre label ECO Friendly…DD : Par ce label nous nous engageons durant les stages à diminuer notre empreinte écologique et à sensibiliser les enfants au tri des déchets par exemple. Nos conseils réguliers permettent vraiment de sensibiliser vos enfants à l’environ-nement grâce à des gestes simples, faciles à mettre en place.

Plus de 60 combinaisons de stages sont propo-sées avec par exemple :

De 3 à 5 ans : Psycho vélo, Psycho natation, Psy-cho danse, Psycho judo, etc.De 5 à 7 ans : Natation, P’tits cyclistes, Athlé-tisme, Bijoux, P’tit chef coq, Cap sciences, etc.De 8 à 12 ans : Roller, Fun sports, Water games, etc.

WaWa Magazine vous invite à vous renseigner sur les stages de Promo-Sport via leur site web : www.promo-sport.be N’hésitez pas à leur signa-ler que vous venez de notre part !

Participez à notre concours surwww.wawamagazine.com pour remporterun des quatre chèques de 50 euros !!

Rejoignez-nous sur notre page facebook:https://www.facebook.com/asblpromosport

L’Arabie Saoudite importe des chameaux d’Australie.

Le lait des hippopotames est rose.

Anciennement,les carottes

étaient violettes.

Si vous vous grattez l’oreille, cela donne le

même son que Pac-Man.

La Russie a une plus grande superficie que

Pluton.

Entre la Corée du Nord et la Finlande, il n’y a qu’un pays.

Anne Frank, Martin Luther King Jr. et Barbara Walters sont nés la même

année (1929).

New York City se situe plus au sud que Rome.

Le miel est toujours bon à la consommation, même après mille

milliards de secondes.

Il y a deux fois plus de risques que vous soyez tué

par un distributeur de boissons que par un requin.

Will Smith est maintenant plus vieux que ne l’était

l’Oncle Phildans le premier épisode

du Prince de Bel- Air.

Sur Saturne et Jupiter, il pleut parfoisdes diamants.

Il y a plus d’étoiles dans l’espace que de grainsde sable sur la terre.

Les êtres humains ont 50% de leur ADN identiquesà celui des bananes.

La France envoyait encore des gens à la guillotine quand le premier film

de la série Star Wars est sorti.

Une pieuvre a trois cœurs.

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« Teal » de Levis

La vie en couleursLA COULEUR MET DE LA VIE DANS NOS INTERIEURS ! ON FAIT LE POINT

SUR LES DERNIERES TENDANCES DE LA NOUVELLE SAISON !

Les couleurs phares de 2014A l’instar de la mode, la couleur aussi à ses dic-tas en matière de tendances. Influençant la pro-duction des collections de mode et de design, le choix de ces couleurs « stars » ne se fait pas au hasard. Les bureaux de tendances qui les déterminent examinent en effet l’influence des couleurs dans l’art, l’industrie du cinéma et du divertissement, mais aussi dans les destinations de voyage à la mode et les nouvelles technolo-gies. Selon le Pentone Color Institute, la couleur de l’année 2014 est un rose violacé baptisé « Ra-diant Orchid », une subtile harmonie de fuchsia, de violet et de rose qui joue la carte de la féminité et de la vitalité. Il s’associe à merveille avec le blanc, les couleurs neutres, les matières comme le bois et la pierre.

« Radiant Orchid » de Pantone

L’influent Aesthetic Center d’AkzoNobel, la so-ciété mère de Levis, a élu, quant à lui, couleur phare 2014, un bleu vert légèrement passé, ap-pelé « Bleu Sarcelle » ou «Teal » en anglais. Une couleur sophistiquée qui maintient l’équilibre entre le vert harmonieux et le bleu rafraîchissant,

ce bleu fait partie de la famille du turquoise, tout en étant une alternative plus raffinée et de carac-tère. Il s’intègre parfaitement dans la tendance actuelle des intérieurs scandinaves. Le « bleu sarcelle » s’accordera avec quelques pointes d’ocre ou de jaune pour réchauffer, de rose pas-tel ainsi que d’autres teintes du même spectre, vertes ou bleues.

Outre les couleurs élues pour 2014, les teintes qu’on appréciera cette saison sont également les tons pastels. Leur douceur et leur éclat per-mettent de renforcer le côté lumineux d’une pièce. Les couleurs pastelles s’harmonisent très bien entre elles. On peut sans problème mélan-ger du rose, du bleu et du jaune pastel pour un résultat joyeux et doux à la fois.Bien sûr, les tendances nous inspirent mais ce qui compte, c’est de créer un intérieur qui reflète vos envies, votre nature, et créer des espaces qui vous ressemblent.

Comment associer les couleurs entre elles ?A Pour associer de manière harmonieuse les cou-leurs, il est possible de procéder selon plusieurs méthodes :• Une couleur neutre associée à une couleur vive : une manière sûre d’associer les couleurs est de choisir un ton neutre, ou un dégradé de tons neutres (par exemple, un gris clair, un gris moyen et un gris foncé réparti dans un séjour) avec une couleur plus vive, comme du vert, de l’orange, du bleu pour mettre l’accent sur un mur.• Une couleur froide avec une couleur chaude : on choisit par exemple un bleu glacier pour la

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Collection Connections de Levis

majorité de la pièce, qu’on associe à une couleur chaude comme le jaune vif sur un seul mur ou même sur plusieurs accessoires de la décoration pour réchauffer l’atmosphère.• Deux couleurs complémentaires : Les cou-leurs complémentaires se marient harmonieuse-ment, elles se complètent. Lorsque l’on pointe une couleur sur la roue chromatique, la couleur complémentaire est située juste en face. Par exemple, on placera du vert apaisant dans une pièce à dominante rouge qui est stimulant.Sachez qu’une pointe de la couleur complémen-taire suffit.

Jouer avec les couleursLa tendance est à la créativité et à la person-nalisation de ses murs. Selon ses goûts, ses envies, on joue avec les couleurs, les matières, les formes. Il est très simple d’apporter une large variété d’effets différents à ses murs. Car une touche de peinture peut faire des miracles, surtout lorsque les couleurs et les combinaisons sont originales et bien pensées. Quelques idées pour vous guider sur le chemin de la créativité. • Pense-bêteLes peintures tableaux, sur lesquelles il est pos-sible d’écrire à la craie, sont particulièrement adaptées dans la cuisine, pour créer un petit coin aide-mémoire ou encore dans une chambre d’enfant ou une salle de jeu. A l’origine, vert ou noir, elles sont aujourd’hui disponibles dans de très nombreuses teintes.• Les couleurs métalliquesArgent, or, cuivre, tout ce qui brille est tendance. Et la peinture métallique se trouve aussi dans plein d’autres couleurs. En combinant un mur métallisé avec un mur mat, votre intérieur prend des allures très contemporaine.• Les laquesAu lieu d’acheter une armoire laquée qui peut s’avérer onéreuse, peignez vous même une ar-moire, un paravent, une porte coulissante ou un mur avec un laque brillante pour un effet très

distingué et luxueux. Seul impératif, il faut que la surface soit parfaitement lisse.

collection Ambiance Levis

• Formes géométriquesPour ajouter de la couleur dans une pièce aux couleurs plus neutres, laissez libre cours à votre imagination et peignez des formes géomé-triques selon votre inspiration. Par exemple des losanges, des triangles, une bande verticale ou horizontale qui traverse un pan de mur, jouez avec l’architecture, soulignez un détail ou allez dans un sens contraire.

Besoin d’aide ? On opte pour le conseil cou-leur à domicileLe large choix de couleurs qu’offre le marché a parfois tendance à noyer le consommateur. Il n’est pas toujours facile de s’y retrouver, et ensuite de faires les bons choix pour son inté-rieur. Cécile Dechamps, architecte d’intérieur et conseillère couleur agréé Levis se rend à votre domicile pour vous donner un conseil personna-lisé quant aux choix de vos couleurs. Selon la fonction de la pièce, son orientation, l’espace, la lumière, elle vous propose les meilleures combi-naisons de couleur tout en tenant compte de vos envies et vos souhaits. Pour terminer, vous re-cevrez un dossier personnalisé reprenant toutes les peintures et teintes conseillées. Prix : 100€ la 1ère heure, 85€ par heure supplémentaire. Vous recevrez un bon de 50€ à l’achat de 300€ de peinture Levis.

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Vous cherchezdes idées déco ? Paint House est làpour vous aider !

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Décoration : A NOTER !

Vous avez de vieux draps dont vous ne savez pas quoi faire, des amis viennent à l’improviste ou encore vous voulez mettre un peu de fan-taisie dans votre maison... Nous avons épinglé pour vous quelques astuces sympas !

1. Un tiroir au murPour cette jolie idée, il vous faut trou-ver un vieux tiroir qui n’a plus d’utilité soit issu d’une armoire cassée, soit chiné en brocante ou encore trouvé sur un site de seconde main. Ensuite, customisez-le en le peignant dans le ton de votre choix à l’acrylique de préférence. Vous pouvez également y ajouter une frise ou un morceau de pa-pier peint pour remplir le fond du tiroir. Selon son utilité, placez des crochets pour suspendre clefs ou bijoux. Ce ou ces tiroirs serviront de porte bijoux, bibliothèque, décoration diverse, ou encore armoire à clef. Pour en faire une bibliothèque, préférez les tiroirs profonds et larges, sélectionnez-les, customisez-les et assemblez-les au mur. L’idéal sont les tiroirs moulurés.

2. Nouvelle vie aux draps de lit an-ciensLes draps de lit anciens ont la particu-larité d’être brodés et présentés sous forme de grand drap sans poche in-térieure pour la couette. De nos jours, ces vieux draps de lit, souvent plein de charme mais ont perdus leur utilité dans notre vie quotidienne. Si vous n’en avez pas qui trainent dans votre armoire ou dans votre grenier, ces grands tissus peuvent aussi se trou-ver facilement en brocante. L’idée, est de les teindre dans des tons foncés pour en faire une nappe. Une touche champêtre dans votre salle à manger. Evidemment, profitez-en pour teindre vos nappes qui pourraient encore servir.

3. Les plateaux improvisésVos amis ou votre famille, sont plus nombreux que prévu pour le goûter ou vous avez de nombreux petits gâteaux à disposer un peu partout. Prenez de jolies assiettes fleuries, des verres colorés qui peuvent s’y asso-cier. Placez les verres à l’envers pour y déposer les assiettes. Effet garanti !

4. Un banc champêtrePour recouvrir un banc intérieur ou extérieur d’un coussin adapté et à votre goût, il vous suffit de partir à la recherche d’un ancien traversin un peu travaillé ou non. Une fois de plus, cela se trouve facilement en brocante ou sur les sites de seconde main. Ensuite, rassemblez de vieux cous-sins et placez-les dans le traversins d’époque. Plus confortable et habillé, votre banc en bois ou en fer forgé trouvera sa place dans votre jardin pour les beaux jours d’été.

Petits conseils déco épinglés par Martine, initiatrice de la boutique« Ficelles & Patines « à Bousval,

Place de l’église 13.Ouvert le vendredi et le samedi de

14h à 18h.Toutes les infos sur sa page :

www.facebook.com/ficelles.patines

Des dizaines de marques disponibles, une boutique de 600 m2, et une boutique online…

Mais Mise en scène n’est pas qu’une bou-tique en ligne ou un magasin, c’est aussi une équipe de décoratrices qualifiées qui vous conseilleront et vous guideront dans la réa-lisation de vos projets. Besoin d’un conseil ? N’hésitez pas à nous contacter ou venir nous voir dans notre boutique de Waterloo…

Chaussée de Bruxelles 483 - 1410 Waterloo - BelgiqueTél. : +32 (0)2/387.04.08 - info@mise-en-scene.be

Heures d’ouverture du magasin :Le magasin est ouvert 7/7 jours (sauf jours fériés)

Du lundi au samedi de 09h30 à 18h30. Le dimanche de 10h30 à 18h00(fermé le dimanche en juillet et août)

Axis Wellness, bien plus que du fitness.

SéminaireNutrition

parChantal

Van Der Brempt

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Les Afterwork de l’Axis Welness

Vendredi 23 mai dès 18h00Ambiance : Cosy, DJ, Club

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«Parce que votre habitation représente votre intimité, votre quotidien, Cécile Dechamps, coach en décoration et coloriste vous aide à faire de votre intérieur un lieu unique à votre image tout en tenant

compte de vos goûts, de votre mode de vie et de votre budget.»

Spécialiste en protections solaires (tentes so-laires, screens, protections vérandas, pergo-las bioclimatiques), cette société dynamique peut compter sur ses collaborateurs qualifiés qui feront tout le nécessaire pour la réalisation de vos projets.

Bien connue du secteur, cela fait maintenant plusieurs dizaines d’années que la société Art et Lumière travaille avec les mêmes fournisseurs (produits de fabrication belge). La confiance et la qualité sont au rendez-vous depuis plus de vingt ans, raisons pour lesquelles Art et Lumière peut proposer une garantie de 7ans sur ses produits.

Trois showrooms…La directrice, Madame Agneessens, supervise de très près tous les chantiers, afin de s’assu-rer qu’aucun détail ne sera négligé. Outre son siège social à Wavre, Art et Lumière c’est aussi 3 showrooms situés à Waterloo, Mons et Nivelles.

Wawa : Entrons directement dans le vif du su-jet… Quelles sont les bonnes questions à se poser dans le choix d’une protection solaire ?Mme Agneessens : Le point le plus important au début de la démarche est sans aucun doute le passage d’un conseiller à domicile afin de pou-voir déterminer de manière objective les réalisa-tions possibles en rapport avec le budget alloué par le client. En effet, chez nous tout est réalisé sur mesure selon les souhaits de chacun, en fonction de son mode de vie et de ses aspira-tions.

Wawa : La proximité est un atout évident en cas de besoin de pièces ou d’adaptation d’une installation existante ; tout est réali-sable ?Mme Agneessens : Oui, le principal étant le ren-dez-vous avec le technico-commercial qui ana-lysera en détail vos besoins et vous apportera des solutions adaptées non seulement à vos

Art et LumièreLes protections solaires de qualité

depuis plus de 28 ans.

souhaits et à votre mode de vie, mais aussi en fonction de l’emplacement de la protection so-laire ainsi que de son support (bois, préfabriqué, brique, pierre…).

Wawa : En parcourant votre site on est étonné de voir le nombre de solutions qui existent…Mme Agneessens : Effectivement les tech-nologies évoluent et il existe de nos jours de nombreuses possibilités en ce qui concerne le confort et la sécurité physique. Les automa-tismes météo descendent automatiquement la protection solaire en cas d’apparition du soleil et la remontent lorsque le vent se lève. Il existe même une protection contre la pluie. Ainsi, par exemple, grâce au capteur soleil, votre maison reste agréablement fraiche en été et votre inté-rieur sera protégé contre la décoloration due aux rayons de soleil. Le capteur de vent, lui, veillera à la fermeture automatique des stores extérieurs dès que le vent se lève.

Ndlr : Tout est bien sûr personnalisable comme les marquises des magasins par exemple. (La Maison Roger ou encore Versace à Bruxelles par exemple)

Wawa : Vous proposez des tentes solaires, des pergolas, des stores pour vérandas, fe-nêtres et jardin, bref pour tous les goûts et les couleurs mais j’ai également entendu parler de « Outdoor Living », vous m’en dites plus ?

Mme Agneessens : Ce n’est un secret pour per-sonne, le climat en Belgique peut changer du tout au tout en quelques instants. Cette nou-velle solution offre un grand confort et permet de rester sur sa terrasse, même si il y a de petites averses intermittentes. Elle est également effi-cace pour couper l’humidité du soir. Vous profi-terez ainsi plus longtemps et plus agréablement de votre espace extérieur…

En fonction du temps et de l’orientation du so-leil, les lames en aluminium peuvent changer de direction. Ces lames sont dirigées à la demande par une télécommande ou, de manière complè-tement automatisée, par l’action de capteurs vent, soleil et neige. Les lames en aluminium motorisées ont une aptitude de changement d’orientation sur 160°. Dès lors qu’il pleut ou qu’il fait nuit, les lames s’imbriquent de manière à établir un abri fermé et totalement hermétique. L’eau de pluie est déversée dans un conduit d’évacuation.

Durant l’été, la pergola élimine l’effet de serre, en donnant l’opportunité à l’air de passer entre les lames, pas entièrement fermées. L’air chaud est expulsé vers l’extérieur, alors que celui sous l’abri est régénéré. Cela engendre une ventilation naturelle.

La pergola bioclimatique permet, donc de contrôler la température et l’ensoleillement avec précision. Outre la fermeture automatisée d’un ou plusieurs côtés avec des « screens » (toiles micro perforées disponibles avec ou sans fe-nêtres), il y a la possibilité d’intégrer un éclairage led (blanc ou de couleur) dans les lamelles du

toit ou sur le contour de la structure, ou encore de haut-parleurs (en liaison wi-fi avec une ta-blette, un smartphone…) ainsi qu’un chauffage. Le tout permettant ainsi de profiter pleinement et confortablement de son jardin même quand il pleut ou qu’il fait plus frais. Plus de barbecues ratés !

Nous devons bien vous avouer chers lecteurs (et lectrices) que nous avons été bluffés par le pro-fessionnalisme et la gamme de produit proposés par Art et Lumière… Avec les beaux jours qui re-viennent nous vous invitons à vous faire une idée par vous même en les contactant de notre part ! (Devis entièrement gratuit)

Art & Lumière S.A.2, venelle Bruyère Sainte-Anne1300 Wavre010/24.14.08mail@artetlumiere.behttp://www.artetlumiere.be

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