TBI

Tableau Blanc Interactifhttp://www.tableauxinteractifs.fr/le-tbi/de-linvention-du-tbi-a-aujourdhui/

http://www.tableauxinteractifs.fr/le-tbi/presentation-du-tbi/

https://youtu.be/0lZg2lCnSSY https://youtu.be/99lUdaKpgPc

Invention du TBI

Comme pour la souris et l’interface graphique, c’est à Rank-Xerox que l’on doit l’invention du concept de TBI.

C’est en effet vers la fin de 1988 qu’au Xerox Parc de Palo Alto naissait le « Liveboard ».Ce TBI avait déjà tout dont l’affichage par transparence ce qui évitait l’ombre portée et des capacités de travail collaboratif à distance.

Commercialisation du TBI

La société Smart, implantée au Canada, commercialise le premier TBI dès 1991. Contrairement aux modèles actuels, ce TBI utilisait 4 petites caméras situées dans les angles (DViT pour Digital Vision Touch) pour suivre les déplacements de l’utilisateur. NextWindow propose encore aujourd’hui un système de technologie comparable, avec seulement deux caméras.

En 1992, Smart sort son 585, d’abord sous forme d’un cabinet en rétroprojection, puis en 1994 sous la forme de TBI classique.

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En 1997, 1998, puis en 2005, Smart sort respectivement ses séries 300, 500, puis 600 à technologie tactile (utilisable par pression du doigt).

Le tableau blanc interactif (TBI), tableau numérique interactif (TNI) ou tableau pédagogique interactif (TPI) est un tableau sur lequel il est possible d'afficher le contenu d'un ordinateur et le contrôler

directement du tableau à l'aide d'un crayon-souris, et pour certains types de tableaux, avec les doigts. Il existe aussi un mobile interactif (DMI), facilement transportable.

Le TBI   ou TNI   est un outil qui fait aujourd’hui entrer les nouvelles technologies et l’interactivité au cœur de l’enseignement, des administrations et des entreprises.

A quoi sert le tableau numérique, que fait-on avec ?Il y a une grande variété d’usages des tableaux numériques, on trouvera dans ce site une description des usages qui se prêtent à l’enseignement et les usages qui se prêtent au monde de l’entreprise.

Principe de fonctionnement des TBI (Tableau Blanc Interactifs)Le tableau blanc interactif (TBI) est un écran blanc tactile associé à un ordinateur et un vidéoprojecteur. Jusqu’à 2010 c’était le seul dispositif « fixe » disponible, maintenant il existe d’autres matériels qui entrent en ligne de compte, (tous les dispositifs disponibles seront explicités dans la suite de cet article).

L’utilisateur intervient sur l’écran avec un stylet électronique ou par simple toucher, selon les modèles. L’écran transmet les diverses informations à l’ordinateur. Le vidéoprojecteur se charge d’afficher l’écran de l’ordinateur sur le tableau blanc. Il est donc possible d’effectuer sur l’écran projeté au mur tout ce qu’on peut réaliser avec une souris.

Présentation des 4 dispositifs interactifsComme leur nom l’indique, tous ces dispositifs, qui investissent progressivement les salles de classe, salles de formation et autres salles de réunion, s’appuient sur la technologie interactive. Cette dernière permet à un groupe d’utilisateurs de visualiser un même contenu numérique projeté sur une surface appropriée, puis d‘interagir avec ce contenu à l’aide d’un stylet et/ou d’un doigt (annotations, dessins…),

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de créer éventuellement un nouveau document, qu’il sera ensuite possible d’enregistrer, pour pouvoir lui aussi le partager et le retravailler de la même manière, si besoin.

Evidemment, chaque dispositif possède ses avantages et ses inconvénients qu’il est essentiel de connaître avant de faire son choix. Ses caractéristiques techniques (taille, poids, fixation, type de surface…) sont également à prendre en compte, au risque de se retrouver avec un matériel inadapté qui finira relégué au fond d’une salle ! Il est donc important de bien penser son projet (budget, lieu d’implantation, usage fixe ou mobile, régulier ou ponctuel…), pour lui associer la solution interactive la plus pertinente, parmi les 4 présentes sur le marché et dont voici, pour chacune, un résumé descriptif.

Le Tableau Blanc Interactif (TBI)Principaux fabricants : Smart, eInstruction, Hitachi, Easypitch, Promethean, Polyvision

Comme pour tous les dispositifs interactifs, un TBI ou TNI comprend avant tout un ordinateur, auquel vont être associés deux périphériques…

Tableau blanc interactif (TBI), dispositif mobile interactif (DMI), vidéoprojecteur interactif (VPI), écran tactile interactif (ETI)…

– Un tableau blanc « interactif ». Relié à l’ordinateur par un câble USB ou en Bluetooth, ce support diffère d’un tableau blanc classique, type Velleda, car, en plus d’être doté d’une surface optimisée pour la projection, traditionnellement en acier émaillé, il est « actif » et porte ainsi en lui toute la technologie interactive. Il est en effet parcouru de capteurs infrarouges ou encore de caméras numériques, prévus pour détecter les moindres mouvements qui affectent sa surface (écritures avec un stylet et/ou déplacements du doigt). Généralement fixé au mur, il existe sous deux types de formats, 4/3 ou 16/10.

– Un vidéoprojecteur normal « non interactif ». Relié à l’ordinateur via un câble vidéo (VGA ou HDMI), il permet de projeter l’image du pc sur le tableau dédié. De préférence à courte focale, voire ultracourte focale, et d’une luminosité au moins égale à 2500 Lumens, pour un confort visuel optimal (image nette et de qualité, sans reflets ni ombres portées), ce vidéoprojecteur est placé en haut du tableau.

L’avantage avec un TBI fixé au mur, c’est qu’une fois installé et paramétré, il n’a, en principe, plus besoin de réglages, et peut être utilisé régulièrement, très facilement. Par contre, cela cantonne ses utilisateurs dans une salle et ne facilite pas la mutualisation du dispositif quand il n’y a qu’un exemplaire à se partager. Aussi, pour le rendre plus mobile, une version sur roulettes est possible, à condition que la configuration des lieux l’autorise (ouvertures suffisamment larges, pas de marches…). Toutefois, c’est une technologie sensible que les déplacements répétés peuvent endommager. De fait, si l’on souhaite « promener » son TBI d’une salle à l’autre, autant opter pour un dispositif spécialement conçu pour être « nomade », le DMI.

Les avantages les plus souvent avancés justifient-ils l'acquisition d'un TBI ?

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Certains argumentaires en faveur des TBI mettent en avant que le professeur reste face à ses élèves, ce qui est vrai. Ils expliquent que tout ce qui est tracé sur le tableau peut-être mémorisé puis remodifier ultérieurement, ce qui a aussi un certain intérêt, mais ils oublient le principal, l’amélioration de l’acte pédagogique.

Rester devant son auditoire

Si le TBI est utilisé comme un simple écran pour vidéoprojecteur, le fait de rester devant le public est un tout petit plus. On peut se contenter d’acquérir une souris gyroscopique ou une tablette sans fil pour obtenir le même résultat avec un budget largement inférieur.

La mémoire du cours

Si le but est de donner le contenu du tableau aux élèves, un appareil photo numérique fait l’affaire (ou un tableau copieur). Si c’est pouvoir modifier ultérieurement un document réalisé en classe, c’est un peu plus intéressant d’avoir un TBI, mais un simple vidéoprojecteur associé à un ordinateur est suffisant si on n’a pas tiré parti des possibilités du TBI lors du cours.

L'amélioration de l'acte pédagogique

Voici quelques conseils et réflexions pour essayer de faire sentir ce qu'il est possible de faire en plus des deux utilisations basiques citées ci-dessus.

Conseils  et réflexions pour maximiser l'utilisation pédagogique du TBI

1. InteractivitéL'interactivité mise en avant dans le nom de cet outil n'est pas seulement celle qui consiste à commander l'ordinateur.En pédagogie, ce qui est essentielle, c'est l'interactivité entre les représentations et hypothèses des élèves entre eux et avec le TBI.Chacun peut voir immédiatement le résultat de l'évolution de ce qui se passe en classe.

2. La préao (présentation assistée par ordinateur), faux ami du TBINe pas arriver en classe avec une Préao (Impress, PowerPoint…) toute prête.Le TBI ne servirait alors qu’à présenter, ce qui est le rôle d’un simple vidéoprojecteur.Il est plus productif d’arriver avec tous les éléments qui composeront cette Préao, mais en vrac. C’est par une interaction avec les élèves que le professeur construira le contenu de cette présentation.Il convient donc de prévoir tout ce qui sera nécessaire pour le document final, mais aussi ce que les hypothèses des élèves pourront apporter dans la séance. C’est de l’intérêt de la confrontation entre les représentations, les hypothèses que le TBI aidera la tâche de l’enseignant.

3. Réussir les situations de découverteLorsque l’on aborde une nouvelle notion en classe, le plus compliqué c’est de mettre en

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place une situation de découverte efficace. Le TBI est intéressant à ce stade car il permet de mettre en avant des documents de tous types, de les manipuler, de les modifier…Comme les manipulations se font face à l'auditoire, chacun peut voir le détail des processus et ainsi proposer toute hypothèse et en voir immédiatement les conséquences.On remarque une meilleure participation, une plus grande motivation des élèves lorsque l'on utilise un TBI. L'effet le plus intéressant, est que ces résultats sont encore plus marqués sur les élèves qui étaient en difficulté.

4. Donner des yeux à son TBILe TBI, associé à un visualisateur (ou un caméscope ou appareil numérique sur statif, voire en moins pratique et rapide, un scanner) permet de faire entrer en temps réel un document individuel dans la sphère collective.Par exemple, une copie d’élève, un montage électrique, une manipulation en sciences, un petit objet devient un document de travail sur lequel on peut dessiner, schématiser ou que l’on peut incorporer dans un document collectif plus complexe.

5. Gagner du temps, grâce au TBILe TBI permet de gagner du temps. Pas seulement le temps gagné lié à l’utilisation d’un visualisateur et d’un vidéoprojecteur en permettant par exemple d’afficher un texte de référence sans avoir à l’écrire à la main au tableau, mais surtout en autorisant une meilleure motivation et participation. Ces conditions font apparaître une amélioration des résultats, en particulier sur les élèves en difficulté (études britanniques ou de l’ERT 34). Dans le secondaire, on court souvent derrière les programmes. Toute notion mieux perçue et mieux retenue est une bonne façon de gagner du temps.

Ce sont ces différents points, curieusement rarement évoqués qui justifient, à mon sens le plus l'acquisition d'un TBI par rapport au simple vidéoprojecteur.

Bernard-Yves Cochain

L'enseignant français est-il compatible avec le TBI ?

En 2010, 100% des classes seront équipées de TBI... au Royaume-Uni. Même si certaines études montrent que 20% de ces matériels sont inutilisés, cela fait tout de même une multitude d'exemples d'utilisations. On peut donc avancer que les enseignants britanniques sont compatibles avec les TBI.

En est-il de même des enseignants français ?

Tout d'abord, les programmes et certaines habitudes de travail sont différentes. Cependant, les buts sont les mêmes, faire comprendre les élèves.

QUELS SONT LES AVANTAGES DU TBI ? VU PAR UN ELEVELe TBI est un outil qui peut être à la fois très utile et, s’il est mal utilisé, destructeur. Cette dualité fait partie de ce

qui caractérise tous les outils du monde. Le cas du TBI ne fait pas exception. La question reste de savoir si le

nombre de pour surpasse celui des contres….

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Attardons-nous tout d’abord sur les avantages apportés par le TBI :

Il permet de capter l’attention des élèves.

Comme son nom l’indique, le TBI permet plus d’interactivité entre les élèves et le professeur. Lorsqu’un prof

passe d’une page à une autre, qu’il revient en arrière, change d’onglet, le professeur peut raviver l’attention des

élèves. Si l’impact de l’interactivité apportée par le TBI est encore inconnue sur les résultats des élèves, il n’y a

aucun doute sur l’apport que le TBI a sur l’attention et la concentration des élèves en classe.

Un gain de temps

Si de prime abord, l’usage du TBI peut sembler rallonger la préparation d’un cours, un prof doit par exemple

apprendre à maîtriser l’outil avant de pouvoir préparer son cours de manière optimale.  Dans certains cas,  les

cours devront se donner d’une autre manière, s’adapter au format numérique du TBI.  Sur le longterme, les

utilisateurs de TBI ont remarqué un gain de temps dans la préparation des cours. Le format numérique du TBI

permet par exemple de se recycler plus facilement et de pouvoir changer le contenu de son cours plus

facilement. Si l’utilisateur dispose d’une certaine expérience dans le domaine informatique, les préparations de

cours deviennent plus simples, plus courtes et plus rapides.

L’interaction avec le contenu de la matière

L’enseignant comme l’élève peut interagir avec la matière du cours. Les éléments du tableau peuvent être

annotés, déplacés ou encore modifiés. Cela peut engendrer plus d’activité en classe et avoir un cours moins

monotone. D’autre part, le TBI permet l’utilisation d’un manuel numérique qui permet d’associer les points forts

du TBI et ceux d’un manuel scolaire.

La fonction de sauvegarde du TBI

Le contenu d’une leçon peut être sauvegardé à tout moment. Bien qu’anodine en apparence, cette fonctionnalité

permet plus efficacité et s’avère très avantageuse pendant un cours. En effet, il devient possible de revenir à

n’importe quel moment sur un point de matière, un exercice ou une explication en quelques clics. Ce qui, pour

les élèves qui n’auraient pas bien compris une leçon, s’avère être un excellent moyen de remédiation. Cette

fonction offre d’autres avantages. Il devient par exemple possible d’envoyer un cours à un élève absent.

Sauvegarder le cours et son contenu, son cheminement pour que les élèves puissent le relire chez eux et mieux

l’assimiler. (Ce qui pour comprendre une démonstration mathématique peut s’avérer très utile).

Plus de confort

Tous les savoirs présents sur internet sont disponibles en quelques clics grâce au TBI. De plus, la taille de

l’écran permet aux élèves de pouvoir regarder une vidéo plus confortablement ainsi que de pouvoir en lire les

sous-titres, ce qui est, avec un écran de télévision, compliqué pour les élèves installés au fond de la classe

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Diversification des méthodes d’apprentissage

L’arrivée des TIC permettent au prof de disposer de plus de moyens pédagogiques. Le TBI ne fait pas exception

car il permet au professeur d’insérer vidéos, images ou autres bandes sonores. De fait, illustrer un point de

matière avec un film ou une vidéo (par exemple) permet d’en concrétiser le contenu. Ce qui permet à l’élève de

mieux l’appréhender.

Avantages d'un TBI http://scenari.crdp-limousin.fr/TBI_introduction/co/grain_avantages_TBI.html

L'intérêt d'un TBILes gains pédagogiques peuvent être de quatre types :

focalisation de l'attention collective grâce à la taille de l'affichage ; possibilité de travailler sur les contenus riches (images couleurs, sons, vidéo, interactivité) ; possibilité d'interaction, de construction collective des savoir ; fonction mémoire (possibilité de revenir sur une activité commencée la veille, la semaine

précédente)

Fondamental:Les possibilités pédagogiques du TBI1. Conserver les traces de toutes les annotations et revenir en arrière à tout moment

2. Pouvoir faire participer les élèves d'une façon plus active

3. Mettre à la disposition d'un élève absent les démonstrations (constructions, méthodologie ...) effectuées au TBI

4. Travailler sur l'image facilement. Outil idéal pour la découper, la commenter, la schématiser ...

5. Travailler sur un texte (le thématiser)

6. Intégrer facilement des éléments multimédias (images, animations flash) sur un seul support

7. Faciliter la mise en relation simple ou avancée

Niveau d'élaboration du contenu

On peut envisager de présenter des contenus à divers niveaux d'élaboration :

mode « présentation » : les élèves n'interviennent pas sur le contenu. Ce mode est à déconseiller dans la phase d'élaboration de savoirs.

mode « page blanche » : l'enseignant et les élèves créent le contenu au fur et à mesure. Ce mode nécessite une bonne maîtrise de l'outil.

mode « annotation » : l'enseignant présente un contenu que les élèves annotent, organisent, enrichissent.

QUELS SONT LES INCONVÉNIENTS DU TBI ? VU PAR UN ELEVEAprès les avantages, passons maintenant aux limites du TBI. J’en ai denombré plusieurs…

Le TBI est un outil qu’on pourrait qualifier de “frontal”.

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Par frontal, j’entend que le TBI est un outil qui peut faire oublier le fait qu’un cours doit aussi comprendre des

moments de travail en groupe et de discussions. Même si l’outil permet beaucoup de nouvelles choses et ouvre

beaucoup de portes pédagogiques, il ne doit pas uniquement servir à assommer les élèves avec de la matière.

Ce qui peut parfois être le cas.

La découverte de l’outil et de toutes ses fonctionnalités peut être longue.

Comme tous les outils informatiques, maîtriser le TBI demande une certaine pratique. Comme beaucoup

d’autres personnes, certains enseignants peuvent parfois être rebutés par l’utilisation d’un ordinateur. Imaginons

maintenant ces mêmes enseignants donner cours à une classe d’une vingtaine d’élèves avec un outil semblable

à un ordinateur. Nul doute que la maîtrise du TBI peut se montrer longue pour certains, et ce, malgré les

formations dispensées aux enseignants.

Limites techniques.

Il ne faut pas être devin pour savoir que l’électricité alimente un TBI. En cas de panne, le cours préparé par le

prof pour être donné sur TBI est gelé. En conséquence, une panne de courant ou un souci technique, qu’il

provienne du software ou du hardware, handicaperait grandement un enseignant.

Perte de l’habitude des prises de notes.

Potentiellement, tout ce qui est écrit au tableau, peut être imprimé. Dès lors, les élèves, dans le cas où

l’enseignant met en ligne, à la disposition des élèves, le contenu du tableau, ces derniers peuvent l’imprimer et

perdre l’habitude de prendre des notes. Ce qui, dans le cas où certains élèves souhaiteraient faire des études

universitaires, peut s’avérer dommageable.

Attrait du nouveau

C’est un élément qui est à la fois un avantage et un inconvénient. J’ai décidé de le compter comme un

désavantage. Le TBI est une technologie nouvellement utilisée dans les classes. Sa nouveauté permet d’avoir

un effet sur l’étudiant et le prof qui deviennent plus curieux de cet outil grâce à ce que l’on peut qualifier comme

l’attrait du nouveau. Malheureusement, le TBI ne restera pas nouveau éternellement et comme le stipule une

étude publiée sur le  Journal of Educational Technology System : ”Des précautions doivent être prises quant au

fait que la motivation des élèves est due au TBI car celle-ci peut être due à la nouveauté de l’outil et donc,

diminuer avec le temps”.

Les limites du TBIhttp://scenari.crdp-limousin.fr/TBI_introduction/co/grain_inconvenient.html

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Limites du TBIInversement, il est des cas où l'on peut s'abstenir d'utiliser un TBI :

activités réalisables sur un tableau classique (exemple : poser des opérations). activités n'ayant d'autre but que de manipuler le TBI. exercices individuels (sauf à titre d'exemple, pour expliciter la consigne)

Attention:Éviter les effets pervers Pédagogie frontale : le TBI est un outil collectif qui ne peut remplacer les phases de travail

individuel ou en petit groupe.

Ordinateur omniscient : il est plus profitable que la validation d'une proposition soit réalisée par le groupe plutôt que par l'ordinateur.

Tout est écrit : la plupart des logiciels TBI proposent des volets qui permettent d'afficher à volonté une réponse déjà écrite, ce qui fait passer l'idée qu'une seule réponse est possible.

AVENIR DU TBIwww.youtube.com/watch?v=wc6F91E5ARE CELA VOUS SEMBLE-T-IL L’AVENIR ?

L'intérêt du TBI, c'est le logiciel, pas le TBI !Le multi-touch, c'est à dire la possibilité de commande simultanée par au moins deux mains

ou deux utilisateurs (ou plus).Cette fonctionnalité était du domaine de la recherche il y a peu, mais désormais, plusieurs

fabricants l'ont mis à leur catalogue.

ET APRES ?

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