L'AMANT JALOUXOPÉni COÏIIUIE EN TROIS ACTES
PAROLES
MUSIQUEDE
GRÉTRY.F. A. GEVAERT.
PARIS.
E. GIROD,Successeur de M""= V IiAUNEa
,
EDITEUR DE MUSIQUE ET FACTEUR DE PIANOS,
Propriétaire des Ouvrages compleb iii
ACH , BEETHOVEN, HAYDN, MARCELLO, MOZART, SCARLATTI,
Et du Jourral classique de i'CrtiDlste ds C. J. Iilouê^n.
BOLLEVARD MOSTMARTKE, IG.
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m-w^>-((rîBO.ELDIEU.
ie vr. F.ïiSCSîT et Cie. rus C-.r»
http://www.free-scores.com
L'ÂMÂNT JALOUX()j)t'iH (!nini
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ACTE ILe Théâtre repicMiite iiue thambre avec un f;ibiiiet .deux porfev et «ne fenêtre grillée .•< les-
(lapnole
SCENE I.
LOPE/ . assis . écrivant iwe lettre .
Voila qui est fait, \030ns re que
j'ai écrit ., (Il lit la lettre )«SeigUfur Uuii
« Bit'gue mou fles cher aini , après un voj-
« âge de quatre mois, me voilà enfin à«Cadix. Jâi appris en arrivant la mort
«de mon pauvre gendre., notre associe.
«Dieu \euille avoir son ame! au demeu-
« raut il a bienfait les choses, il a tout
«laissé à ma fillt- , les cent mille pias-«tres qui sont dans notre commerce, et un
«mobiliei- considérable. Je crain> seul'--
«ment qu'il ne prenne envie a Leonore
«de se remarier et de retirer ^es fonds.
«Vous jugez bien, mon cher associé, que«je ne négligerai lieu poui' empêcher
«ma fille de contracter un second ma-«riage qui serait si contraire a nos
«intérêts,^ et que j'employeiai tous les
«moyens pour lengager a rester veuve
«et u remplacer feu son époux dans no-
«tre association ; mais par malheur elle
« est jeune, et indepeudunte, sou premier
M mariage a ete fait contre son gré,
«elle voudra peut-être s eu dédommager.
« iNous avons ici un grand nonibi e dof-« ficiers français; ils vont, faire la
(( guerre contre nos ennemis les Poi tu-
«gais,et tous les maris et les pères«font des vœux pour leur prompt dt'-« part . Je baise les mains de votre
« Seigneurie, et suis sou très humble« serviteur :
I.OI'KZ DE I.A PI. ATA.
Ulplie la lettre) Jacinfe! ( Il rfrii ladresse.)
«Au Seigneur Don Diegue Mercado,«i\egociant a la Vera-Cruz, au 'Mé-« xique
.
Jaciute!_les visites de ce Don Alou-ze m'inquiètent On dit qu'il est jeu-ne, bien fait, diine haute naissance,
et sans fortune. _ Leonore a le cfieursensible.. Jaciuteî... Cette fille doit
en être iustruife.il faut le question-
ner . Ja —
SCENE II.
LOPEZ,JACi,NTE
.1 \ ( . I \ r K .
Me voila, .Monsieur._^ous sortez ?
Oui, je vais parler a ce Capitaine
qui part pour le Mexique. Oue faitLeonore ?
Elle se promené tristement dans son
appartement .
l.lil'tZ.
Quoi! toujours pleurant le defunf ?
.1\( INTE .
Oui, le défunt, vous lavez devine.
I.ot'E/.
CepenH.int elle ue 1 aimait pas exces-
sivement .
JNon pas de son vivant, mais depuis
qu'il est mort'. Ah!
I.OI'EZ.
Jacinte, parle moi avec franchise.
JVe serait-ce pas plutôt mon retourqui afflige ta maitresse? depuis six
mois qu'elli- est veuve,et pendant monabsence , n'aurait elle pas écoute les
douceurs de quelque galant, quel-
qu'aspirant, quelque ...
JACIME.
Ciel! quelle idée! pendant 1 absence
de son père ! une femme raisonnablecomme elle! une femme de vin};t ans!ah! Monsieur!
1(1
IV! 1.
ARIETTE
JArfNTE
piAyo
.
{̂ mpf^mmf^r^j r^iiiii _ tr Ifs J
Il
^#^ ^r^^ F ; I aù^)ii df\ii fin _ d les - se Ct-sf le prin-ft'iiiî-
^^Sgf^g^^^i^ffiM J^J^ wro
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rl _ 111- vcii - Vf r''s _ pt'o _ (a _ Mh a vin^f
I
^ ga _ laiifs
13
^u n^ ,i±i^A^ K\' n ^1Un tel M)up_r(jii dou peut -il iiafire Appif-nez a nous mifux con
N'iiipo.
tifn-^ ; ^ n' ^7\t=:^lauts Fidouc fi_d'jnr mai
r^p H g^f—w
Fr=?tfcitr^^'
p-^ M F
VI _ ne Bon. bon,bon, bon .^monsieur ba _ di _ne monsieur ba
ii^M $ g j^ f
14.
_ di.n»'. b'jii , oui j*^ He _ vi_nf bon bon lion.hon, bon, nion_sieiii ba
* S ^M) :b* ^=i=t^ r=? •? r
^^ t«'(U|»
di-iiH bon, oui jf d»- _ vi_nf.ljon. monsieur ba _di-n
"
LLiiLU^' t^^ 'ggf
IVonjen vérité, Jaciutc, ]TE .
Oui , monsieur, et moi aussi .
LOI'EZ .
Diable! et toi aussi Ivojez ce que
cVst que la médisance, calomnier deux
femmes aussi sensées! deux mationes,
nie parler d un Don Alonze...hein...qii'as-
tu moiï enfant ? tu me parais troublée.
JACI.VTE.
Moi, monsieur ? point du tout.
I.OPEZ.
Tu ue connais pas ce Don \lonze.
JACINTE u p.'iil .
Le vieux renard en sait tiop p.iur
lui nier le fait .
16
li faut chercher a y donner iiin-
tournure .
I OCKZ
.
Eh bien?
JAlINTE .
Oui, Mijnsieur...je...je connais DonAJonze...ef même beauronp.
Ah! pailoiis
Il nest plus dans ce pajs-ci , il est
allé, voir son oncle, qui est bien rirhe,
ef bien malade .
Et cette absence a sûrement fait
couler des larmes?
Je vous en réponds. Sa sceur la
bien pleur»'.
Sa sa-ur !
UMNTK.
Oui, sa sfiur. Don Alonze est !
17
AIR
Alh'fiTt'ffo
LOPEZ.
pfAyo
^M
Plmrq^UFiji' \
^ ^^ \ i, v^v ip vp> Ip'
;:^
â^è ^^^s • •'tii^ f •? £
Plus de sa-ur lus de fie_ I J.' 1.
m 'UQdMMMdm•t'L r y ip ^fî \ [ •'[>'' i p >p^ I f ^p
"^iii.r^Ft'^nni-, r rhr rip^dis je 1p dis à rf_gret ;Mais !... c'est mon ar _ re( .
.!> r"Rur"R-r-^M^ s Entends (u mat I fm m w* !>/>TSp
n.ii; \ [i'^i \ i;iUA\ ^^^^ :^lX^P?he_re Eiift-iids tu ma r lu-, i » Plus dt* s«iii oiHt- fr»'.rp Jf Je
dis je Jf dis a rc, gref. Mais!.. cVst mon ar_r»*f Mais pour
^.m s^ ^¥=r=-^^ /
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quoi cette loi s(^ _ v(-_i y/>
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i5^m 0-1 *H^ ^m^ w mmc-est qu*- cela me plait EiiJends^fuLienma rhè _ le Entends tu iiiii
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9Vi. ^:: P Mp ^cest mou ar _ ret
f'!.;^Jî!^
lJ^^De plus si queLque cou _ fi.
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lAiJr—e=c=P=c^ # ff/
fid'.'
:z(i
fltiuf'' .Ma_li_ci _ eusf imper, fi _ nenln Chei' _ rhait a trom.
m feÉ m r pp'^r!^"rpir mon af _ f
un peu »/ws 1'»/''
quelque coii _ fi _deu_te 3I;ili-ci _ euse iinptr _ f i -uen_ te \ou_lait
•- -J- -J ^ - -J- -J- -J- -J- -• t-*- i-I I I I I I I I
11'''
n.f,\ ^' Plp p^F T^l^^^f Ftromper mou at -ti-n - l'' ELlc au_ rait a faire a moi Ce di>
^̂ ^^^^^^^d̂m_ coins n'est pas pour toi Ja.oiu-te est sage et pru _ den.te 3Iais si
•fl2
'L'I
m^-l ? \^' X^^^\l^^^r=4^M
m ff^if r lirfrrT=gI. . ^^tf=^^ "->K̂Uf aurait à fair*^ à moi Kl _ le aurai» à fai_ie a
:terfH^#-fH!ffl :tiK: ^
23
SCENE III
JACINTEseul.
Ouf 1 l»' voila eiifiu parti . Il m'a
fait peur. Jai voulu m»' moquer de lui.
mais il me la bien leudu .^o}ez com-
me la vieillesse est rusée . IJ n'^ aque trois jours qu'il est ici, et il sait
déjà fout . Ou dirait qu'il est venu duMexique exprès pour nous faire eu-
raj^er . 5Iob rôle va devenir très em-
buiruvsant., Ce vieillard sera toujours
aux af;uets: Don Alonze qui est jalouxmême de sou ombre, va nous assiegi-i-sans cesse; et ma maîtresse, toujourstendre, toujours timide; également es-
clave de 1 avarice duu père ft de l;i ja-
lousie d un amant, n'aura jamais bcnu-ra^^e de prendre un parti. Commentairanjjer tous ces gens -là ensemble ?
c'est bien dificile; et sans le chapitre
des accidens ... Mais que vois -je?
Jioua Isabelle .
SCENE IV.
Les atl.nrs pn ré.l.-n-f LO R I VAL . 1 ep.a Lt iiiain.soulenaiil ISABELLE,
Ne craignez rien , 3Iadame , je vousdéfendrais contre toute lEspagne .
Ah! Monsieur! Monsieur., vous n'ê-tes pas blesse ?
Les lâches n'ont pas fait de résistance.
(II court prendre un fauteuil pour IsaLilli-
tandis que Jarinlf la soutient J
Aous ici. 3Iaderaoiselle! par quelaccident !..
ISAHELLt:
Cours en avertir ta Maitresse .
UCI.NTE.
Oui; mais renvojez ce Monsieui', car
nous avons un père
ISAHU.t.E.
\a. ne crains rien
SCENE V.
ISAHKLLE.FLOKIVAL.
ISAKEIIK .
Je commence a respirer. Non jamais, jamais je n'oublirai ce que ji
vous dois .
Ce que vous me devez! ah! si vousconnaissiez 1 excès de mou bonheur. Jesuis l'iançais Mademoiselle; je m'appelle
le chevalier de Florival . Je passaispar ici poui aller joiudie 1 armée enPortuf,'al. Dimanche j
2 +
>i'rvire que je vous ai rendu. Dabord
je ne vous ai pas reconnue . Je n'ai
vu qu une femme perseculée, j'ai cou-
ru par instinct a son secours ; mais
quel a été mon ravissement lorsque....
I.SAKEl I,K .
On vient. H est bien cruel pour moi
de conge'dier mon protecteur ^mais vous
devez connaître lausferite de nos ino urs.
Si on vous voyait ici
^ i.oiuwi .
Jentends . Je me retire. Mais ne me
serait-il pas possible de vous voir, de
vous parlt-r.de vous exprimer tous les
>-eiitimens que vous m'avez inspires ?
ISAKKII E
Je M)us dois tiop pour vous rien refu-
ser. A dix heures ce soir trouvez-voussous cette ftnèfre,et vous saurez alors
toute retendue de vos bienfaits, et de
ma recounaissaare .
SCENE VI.J\CmTE .1 f.-s prec.-d.'i.s
Oui Ile honte! ah! que le jour nu- païaî-
tra long!
JACINTE .
Partt-z , partez. Monsieur.
I- 1 c J.iciiilc. lui ilminc sa Iioiii-m'
s.ih nniic Iv;,|,cl|c cl >ovt.)
SCENE VII.
ISABELLE , JACIME, LEONORE .
JAi;ii\'TE . après un moment de surptise.
Ah! que ces Français sont aimables .
ISAKEI.IE .
Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
.iAc:i\TE
Ce qu'il mPa dit? oh! il a fait mieux
que cela.. Mais voici ma maîtresse.
ISAHEl I E
Leonore
!
Ma chère Isabei|i',que je suis heureu-
se de te voirrmais par quel bonheur...
ISABELLE .
^ous savez quelle était ma positioncruelle . Depuis l'absence de mon frè-re, mon tuteur barbare faisant valoir
tous les droits que le testament de monpère lui avait donnes sur moi, a vou-
lu me forcer a accepter sa main. Ce
malheureux, sans être rebute pai- mes
refus constants, a ose emplojei- la me-
nace. Ce matin j'ai vu arriver le notai-
re au château. On allait dresser lecontrat. Alors je prends le seul parti
qui me reste, je me sauve, dans le des-sein de me réfugier chez toi . Mais
bientôt mon persécuteur est instruit de
u>a fuite. Accoin|)a;;ne dune troupe de
gensarmes.il me poursuit. Jentends
ces cris, mes forces m'abandonnent , et
je retombe encore en son pouvoir .
IKOMIHK c( .lAl.l.XTE
\li! que] inalhciii!
ISAHEl I K
.
.le Ile puis V penser sans frémir.
25
V" "
TRIOLaii^o,
LEONdRE
JACINTE
ISABELLE
PIANO
iim ^ i^r^f ^ m
Vie _ fi _ me iiiJoi-fu - m' _ c ^el•s J.iii-
^'^
26
P b M P 1^"1 _ l^' de'_maii(litis !» fn- _ paii ...
^p~p F P F P ' p-o-
el _ 1.' Hf.maudais le ti»' _ pa>
iL I K K IL I. I. N r>.
J i' i' J' J' i' J ^IXII ^WOui jf de_inan(lais le tre _ pas ... Oui., j»- dt'inaiidais I«* tre
>r#r»r tg g tf
t^^t^^t s
27
êï^^ri[;r 7 rtr-p-nr
_ vfil- leinoiiàine eper _ du - e « Bar- ba _ res ar _ le _ dz l!ai-_
ftf^^«rT^ P «=f=». > ,:
'f îÀr, , ,M.^r •-^Fcrcfir ^ffP
« _ba res ar _ r»^ _ tez Eh quoi fraittT ait» -si Cf >'-.t
2H
M.
AU! iiiiii Iropjx)I.K()\()HE
t^ i r ^Mjm^ tt ^Ah! ah! qui' j'ai-ine re fiaii_rais Ah qin' jaiiin' r»- f'raii
H .lALINTK- ^ ^^^ ^^mAh! ah! ipif j'ai.int* rc fran_cais Ah qm- jaiinf rc IVaii.
^S^ All.^nnii (ro|'|',n. , , j>
SWf^ l EiJ'l^#*t
ffiffl
^ ^i^^ Ém mAh qlii- j ai _in« (Van _
ffl}l.M.M JJ-}iJ' l ^- ^J f;lM'Mjlrais Je II- ii'con-nais jf |i- icroii-iiais Oiiicest iivtii (laii-çai^ jf Ir i>'con _
J
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29
Pk ,I r r r I r r I r r > I r] r I r ^ r
_ cais Ah! que j^ai _ me ah! que j ai _ me ce fi
Ps ^ -^^-V =^=^ïit monn;(ii -Cesf muii fraii _ cais OUI
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Ah' que Jai-Uie fran
fM'P ^F p l ^'J^'^J' PM P pl^'^^^'^cais Je le recou _ nais je le re(oii_nais Oui cesf mon
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È ïa _vai-nt' Tout c»*de a sa va _ Ifur Tout rcdi- a sa fu
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f f m r rs^^^ i^i^l^^da _ cf Et sai_si dt-teriviii Pivnd la fui - t»
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Et moi sous la con - duif»- Du ï'raii _ rais ge _ ne
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P^-^g^ ^ r |r ^j'iti'Doit ^1 - .f ciKir»' di' vousm^m t r Wt-aaigii'ZP
- rais Doit altt'iitlrc d
33
P ^^ ^==E i^^'^gpolnl qirunsenli _ ment plus doux Sfiit sa rc _ com _ pen
point qu'unsenti _ menl plus doux Soit B^ sa le _ tom _ pen _
^e:^ ^^ ^i^3PP fe#^^PP ^^^
se Que] _ le reconnais _ san _ re
gJ ^ J I J ]J'}/gquel/*' reconnais.
^^^se Quel _ le reconnais _ san _ ce
Pquelle reconnais.
n\v^^ ^^T—
^
^^-M^^^^
Ce iiesl point de la reconnais _ san_ce _ oenesl
-^m ?^^̂ rf^^ à
m i^^*=F^^f ^^-^m ^#^
_ san _ ce Un senti _ment plus doux Sera se_rasare_ com
^ i=^ ^ "^JJ'ir>
P^^In
pen_ se tn scpd _ nnnl plus douxSr_ra sa
pfn_sr Cf 11
55
î^ i*—
^
^ hF=F
p^^^}## *. ?f >
I.s\HEI,I,K.
L»^cnor'' piiis-je comptei- sur voti»^
ainiti entrée par la porte du jardin,^vous savez que j'en ai toujours la clef.
J\CI^TE.
A piopos-celTi me rapelle.. Ce fran-çais, s;iit-il votre nomV
ISAHEI.I.E.
Je lie d'ois p;is.
.1 M l^T^:
Cesf (ni'il m'a demandé celui de
ma maities.'^e
C'est de moi sûrement qu'il a voulu
parler.
Ma foi sans y penser je lui ai nonmiéMadame, mais qu'importe je vais memettre aux aguets
I E(l>()HE
Aussitôt que tu aj'percevrasmon père.
< ours nous en avertir
SCEIHE TIII.
LEONORE ISABELLE
ISAHEl.LE.
One d'emliurias je vais vous causer,et si mon frère allait revenir?
I.E
7>l,
JHfjjlgf's scvi'lfs lie notre 1) il 1 i OU. que
Hiin-fil de votr.- dt'mai rln"?
IsAKKI.I.E.
Jamais il ne un- pardonnera, (,'est de
lui (jii'il faut nie ranher rar...
JA(.IMF: on eiitftiil Jariiilf qui rrir.
Hladaine! 3IiHÎame!Don Alonze.'Jjon
Alouse!
l>AllH.I K. l.t()^()IIK.
Ali! Ciel!
'Isaliellc se sauve dans le caliinet sans avoir
l..,.,„. ,,..r>,„ .
monjicsif. Madame., si votre peic ai i i
ve , Don Alonze passera...
Al ONZK.
Dans ce cabinet ,
INon, dans le jardin. Vous v sei-ezmieux; eriftiid'-z vous .lladame?
Al.ZK a part .
Dans If jardin!
.lAl.INTh levenaiU a D,,n Almizc
a\e( un ajr Iristf .
Seigneur puis-je vous faire un com.
pliment de condoléance/ \otre cher
niicle ...
\l o^ZK.
Sa santé est rétabli .
.1 \ I ; I M K .Adieu donc la succession .
SCENE X.
LEONUHE ALONZE.
I.KOM'IIK.
Vous voyez, Alonze. comliien la pré-
sence de mon père est redoutable pournous; sans vous connaître il est déjà
instruit de vos visites, et il me défendde vous voir^ses soupçons vont re .
doubler lorsqu'il ajiprendia voire
retour.
Il ne le saura pas. je lai caché mêmeà ma famille.^je nai point paru chezmoi. et tant que mon amour l'exigeifl.mon retour sera un secret pour toutle monde. Mais ce père que vous re.
doutez tant , pourra-f^il être inexorable
à vos prières, et un nom tel que le mien..
I KOiNtIHK.
In noMi'vous ne connai^viz pas mon
père 1,1 plus illustre alliance, sans for_
37
fiiiit^, ne serait ritii à ms yt-ux. Ch'TAlonze. quel ob^tarlc jiuur musl
Al.ONZE.
Ah!s il n'y iivait que cet obstacle à cuiii-
battie.je saurais bien le vaincre
LÉo^oJ^E.
Et quel autre obstacle pouvez-vous
craindre:
A!.O^ZE.
\ous,yoiis même. Pardonnez Léonore,
mais de grâce dites-moi, l'absence tfau.
rait-elle pas changé les sentimens que
j'ai pu vous inspirer? Daignez rassu-
rer un cœur, qui aime avec trop de vio-
lence pour ne pas douter de son bonheur.
Ingrat! pouvez-vous me faire untel reproche?
Al.ONZE,
Chut! N'entendez-vous pas du biuit?
I.KOINOHE.
Du bruit? où?
AI.OftZE.
Dans ce cabinet.
I.EOISOIIE
Cela n'est pas possible.^ous vous trom-
pez.
Al.ONZE.
J en suis certain, ainsi permettez..
I.EoN(jHE ie retenant
.
Vous vous trompez, vous dis-je.
AI.0NZE.
Soitj HJais souffrez ...
l.ÉOMOHE.
Vous n'y entrerez pas.
I.E(i>(t|{E.
(juoilencoie de la jalou^ie.^
AI.ONZE.
.l'y entrerai.
Al,(ll\ZE.
De la jalousie! moi! quelle i
s»
N". 4.
riMAL
LKONORE
JACI.NTE
AI.ONZF
1.0 PKZ
/'/4.Y0
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it=PFi^ # ^IJ J^ PFPJusde.gards plusdepru_den_ce Pluscfe.
W^
gards loutm'eslP-gal Jttii' res_pi _re que ven _ gcan.ce jVnerti
poinl de ri.val vousn'avezpninl d
40
^par-tez par^ ?i^
par_te2 par _ tcz vous connai.trrz son in_ tîo_ ren_ce
tfz Vousronnai_lrPZmon in _ no - rTluce vousconnaijrez mon in -nom^ ^ m Pfm^ F Ifi'UscoiVousconnai Irez son in - no _ cen-ce vous connai.lrez son in_no_
Iri^lsjiZinM- i gJÉ'y, # ff =^^^?^
s»z Jt' ne rcs-pi-if qiH' Ain. géante ,)«' ne res.pi - le que jen-
jmm mmss -f—tm^m Ê^̂ ^
•meni fa _ tal
flT- i^f- F
_al pa .. rai>_st / in _ «li-pne ri.
Ss
it= „ 1^^»^ lî:iL
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4 1
g ^^tal queJ a _ veu _ glomenl fa _ tal
i^JlJ. JiJ. }|^h; J'.; h;i' ^IpI quoi a_^eu_ gkment fa-talYous n'a-vez point vous tfa-vez
1point vciiMi'aNez point de n_>al i.opez. sans paraître
^r rpu^^-^fiirr »tt
. spz parais_sez ,m _ di_gnc ri_val Ouel bruit quel bruitchezmoi se
fait en_tfn(lrp— - In in_con_uu mafilleenW»^^ I j I ^.^'
--r 1 1 ^^r iT i C . K hi^--^m^^ 4j^ y y 'là
m ,£it^ P^ i^A^^=? ^^
pleurs.- Monsif^un, Monsieur, appaisez vos fii-reurs Danscelo.gis je suisie
m 3^ I s s9^1; { ^ ^ ^ Iet^-e^^^^^^
mai _ lreJepuis\ cciniuan_jdf r peul»--- . trequevfiulrz-vous? quecherch«'Z-
m ES^^Onva vous salis.
en colère—-^^ , . f tr ifFFJeveux.jeveuxmesajis .faire je veux me salis.
m :tp Ks^^ rar tt-tftf . ti ff ^9=?^-vous? Là l:\la. là point tie cour_roux
4-3
ÉI.EONOI't
3EÏ * •P^ 5 ^ Ûl l h h r- J'^«L^ »—#—# ' éHéJas que faut- il faire hé_l as qnefaiil il faire hc_ las qiiefaul-il
'h'\n>iM}v ^r^ \ h^i imfaire on va voussa_iis_ faire on va voussa _ tis_ faire on va voussa.lis-
# #' Jn F^P p
^ i *
fai - re Je veux mesa_tis_fai _ re
'W^^F^=^=^=^ l=##fIl faut me sa _ tis - fai - re
ip^Il fstil me sa_lis_
^^1&- •#- •#- "^^ iS^ «-^ i
^ JAt.lNTK .< Ah^ k^^hiNfJ'^f-^ ^ *faire Fini;;_sez finissez
AI.I)\ZKIl faut emploverune
i -^'—
^
faire Paraissez
^ fi^fTFn^i ^=^F|-Pf^t^_ f? i _ re Répondez Léo_ no_re Ja_cin_te^ pi ss fc
^é^ê ir^Â^i':t^ m^rM^M^^ iia= iJ-i: ïfcîii^
l.Ol'EZ
rf' itr-r,
-
l u'h-r i=^g3S^feinjo Nous qui rebutez |i-s ga lans
±—^ r r'fZ9m ^{".ra\e matrone df vinglans
P^
14.
:¥^=fPrfi;^^ . i t rf-fr i nè^mf^ m^Ê^Dai _ pnezminsjrui _ re Dai _ gnezme di _ ro Le se_
LEONOHK.
Y==^^^yue>a-t''ell»' di - re
JACINTE. mf •/ ^ =p=^Je vais vous le
(Jiippeuf-elle di _ re
l.ol'K?
ir<
^l S^^^^blanJe expi_ran_te Ac.court im_ p!o_rer a fii^
/r\
^ '^o •- % 0^ I o \*-^—f- f-i^zrIn a - s;_v _ le t-nez nrus Pouisui_vi _ ' oIIp (Taint poui' sa
( Sur ce Irait Lopez n
lair de (lire à merveille)
e/Je craint poui' sa \i _ e Nous la fa_
46
rrfvfhftfta^
m -r—f- -r—f-h^ - las hé _ l?s
(
\oii.s monsieur sans vous hé - las,
,he _ l?s ,Mon-
^:l•'rp f "^ f~^pp
" ^̂ â=4Ë4-p
^^=^ ^-^f^_ sieur çans vouscélailfail tlf nous L'_nf femme bel _ Je fi.
SÉ^^M ĝ^^I.KOiNOIlK.
g; ^iï^^
Idl'tZ
3^(»ui mon pe _ re tel.
^mJSI^' U^ Jnes_se l'_iic femme Cl >i r.^ niai_tressc
iitîf^-
Tm
47
In _ sen _ se Dans sa fu _ reur ex - trv
^ 1̂m*' Le
4n
Il es( .jaloux il est ja - loux il est ja.
in^r •? çs=«=
_ ItiUX mai.- Irîs ja _ loux ail ah
isp r^> h . Jp'ffB 'rgPl I r =.^^t^ gEÈÉil est .jaloux il tsi jaloux il est ,ja - loux al)
W^ m ^̂ ^m f
AI.(>.\ZE.
^.*^^7^;^lvT i,
,.. Ĵ—L-J.
^ail queJ
4 y
^ ^ rs MW r f- tu _ re Kien ne me re _ tien _ dra
i^m Êl!inf i
r^
^^ ^E S' f^hi i^.^^- w=^F^ ^^
^Alonze croit monlier LiMumrp mais Jatinle qui a été chertherIsabello la fait paraître à sa place. Elle est voilée.
Lavoi.
$ aLavd
% ^;t=£^=^^ V' ' é é ^-dè_le lapai-ju_i(' Lapai'.ju-ie lavoi.Ia
"m ^^^
50
>^ r\dolce.
^ ^t •< mTT i V
$là ddire.
Fuy_ ez f'ujfz ma.
^T^T MJ Jr -7
f
Fuj'-ez fujpz ma _ da _ me iu}'-
pir W'J'^v^jvg i* •?
51
^^^^^^ ^ïlÂ
pi _ 1*' Ah! quil a lair con_??T î/"- -9 'm^ïï^t^gl^lC^r IIC^^ ^-Tj]
52
(rt's doux.m m mm a m r
Il ne sait plus que di _ i r
f. p. p. K =f==P=fU-UJIl ne sait plus que di_ re
^ ^^r r f f rné - las hé _ las
frex doiiT.#—^—f^S^^^^^s ^^£^r^t^
vous nf-di.tes rien Il ne sait plus que di _ re
i#- ^ rT^fZttffyt^ !SJ^3
(^943pj*15
p^ -r r -^'—
^
f' r f F PFtr^^-tr-^m^r ,. i ^^^,^.^Il nesemporte plus II gémit il sou _ pi _ re Ah qiiil alaircon-
^^^'Ft^"^^ 00 &ŵmn^ *=F*Il ue semporfe plus 11 geinit il sou _ pi _re Ah quil alaircon.
f^^m^lié . la^
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H FF l ^ f^^^^jJl^ l^L^ ^r~ ^ ff |> ff ffititit?^Il nesemporte plus II gémit il sou _ pi . re Ah quil a I aircon.
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_f us AloDze ren;irt1e Le'onore en soupirant^«^ et s'en va. fy- /?N^ S? i8 I ;• f3 ±± f—f- £
^-f lis lié _ las
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Wî^^^Si=t -f-^ ^.fus
4 • ^ mmné- las la plaisante aveii-tu.i'p Laï -I—I—>-^=t=ti:i m-^pîJt^ , f ^
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^=«—t—1—1—è— iH
t-' ii„ , T„ ,.ii_ *.. „.. n
g^jacruelle aven _ tu _ re La cru.elle aven _ tu _ re Pour mon coeur quelle iii_
f''r:F PFi [^FP i f;"FFgiCir fn''r f ZE£jilaisautH aven -tu - le La plaisiinte aven - tu - re Pour son cœur quelle in.
mJîf^ itsn iUU i iiiî f. f p fr~p^TTplaisante aven - tu _ re La plaisante aven -tu -rePnur son creur quelle in.
':Sîl!Mlli^mi^^-*—I—'—i-
^E ^3^-ju - re Pour mon cœur quelle in_ju-re INon non non non non
l'' P r - M r F^^^^ £-f M p p [^ 1ju-re La plai -sante a-ven_tu-re Non non non non non
P^^E^fe^^ ^^ ^ê ^-ju-re La plai _sante a-ven-tu-re ]\on non non non non^m ^
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±zï T I F r [! f N ^ r T gnun je ne 1 oublierai ja _ mais
t ^ f ^ Lanon je n« loucherai ja - mais jj_ La
^ S^'^»nfCMj;g^non je ne 1 oublierai ja _ mais La plaisante aven _ (ii - re
P^U^\lU. !\
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Mfi=* X te=i'^^^'FpM Lj &r •?cru_elle aven _ lu _ re
hr-\ \ K K I r*! K ir-r^f^}JU'i :rjJ'Prffr 'ig^rp
La cru_elle aven
Eê id ' 'plaisante aven _ lu - re La oru-elle aven _ lu _ re La plaisante aven
a mi^^a^f ^La i)laisante aven _ tu _ re
*^ _ tu _ re Non non non non non non ,je ne I oubliera
_iu _ re Non non non non non non je ne I oublierai ,ja _ mais
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Non non non non non non Je ne 1 oublierai Ja.mais
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Non Je 110 I oublierai ,ja _ mais Non je ne I "oublieiai ja _mais Non je ni
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1' i' ; ; I J. J JJ' I J' J'-T^T^^Non Je ne l'oublierai Ja _ mais Non Je ne j'oubliei-ai Ja, mais Non Je ne
^S -.'^I^P i pppp | *^gg I p ppp 1^*^'
Non Je ne l'oublierai ja - mais Non Je ne l'oublierai Ja.mais Nonje ne
S L t . .-s\-t .if-Iw^ ^s^=t^ m^m à ^m £^^^'« ^ •> l -^ •7 ! •? ÉZ±^i^
1. -P I ^Fffff PI oublierai Ja - mai? I>a cru-elle a\en-
h J ^, ,b TI
A; J >^5 r TI oublierai Ja _ mais La plaisante aven
ftr-ft^
l'oublierai Ja^mais La plaisante aven . tu _ re
ii#E^f P^iî-i*—
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s^^s^ s^ ^Q^n- !/fi
li=ï^^ -7 n
I V r » C I r F :^=^^ p-lu _ re La cru.elle aven . tu . relu _ re La plaisante aven tu _ re La plaisante aven .tu _ re
^»,, , .t^lptp l^^E^ ^La plaisante aven - tu _ re
t' ^ l r F >
S&>;!==:^ È i^
-^c ^ ^ ^
56
Non non non non non non je ne 1 oublierai ja-nnai:'
^^^m\on,je ne I oublierai .ja.
p^^^^'^^Af ri^ h JjJU'^Non non non non non non ,je ne I oublierai,ja-mais
&-*ii;;'i'JiFrgpi^^^^ i ^
Non Je ne I oublierai ,ja.
^^'^Ni- pmNonnonnonnonnonnon je ne 1 oublierai ja_mais Non je ne 1 oublierai ja.
rr'-if^i ii^^mmI
mIS- jctm«i ^=^-=F•^ mais: \nn ie nt" I niiViïiprai ia mais Non ie ne I oublierai ia
w-fr-zti
mais Non je ne l'oubtierai ja-nnais Non je ne i oublierai ja-mai>
*^ nrtai^ \rtn io n»» 1 '/MiKI i oro i ia malc Ann Ip np I nllri li-ral lalaisNonje ne l'oublierai ja_mais Non je ne 1 oublierai ja-maism^^^^HIpfPn^'^'n' l FpFFi^laisNonjè ne l'oubl,ierai ja.maisNon je ne loubjierai ja .mais
ACTE II.
N." 5.
AIR.
57
Ali" m;usto^o
LEOINORE
PIANO
KJi
?^J^v"3:Je romps la
j-^rmfV fm *îm^ m f . f f^ ff rrep^^^^ nnf ^^ r •?
chairip qui m'en _ ga _ge Liii-graf lin _ grat
^^•^J^^xImrgkitJ_ii _ te -mon cour.riiux me _ ri _ te mon courroux
ff •; ^ ^
f^^^g
r-^i-
i ^ f-nrJztttft r fatztat,1'ai _ mt; mieux pa _ raî _ tre vo _ Ia__^p
mè^n===¥ J •_ ^m-
r>«.»
^^ f f Fp l pr PL!f^'Juf drtiv es_cla_ye d un ja-loux aime mieux parai -tre \o
jiH S^ ^ t=Wzs
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la . _ . _ - _ . ï
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m^ Ŝ!^22
P^^ -«•^«fP ËSI=&Je re. nonce à ta loi A _ lonze me croit iufi
^S^^^p^ m«=tj»j*iîi^'P
^Mffw^wi iJi
f^^Tf-^n^à^^ }i'\ .i^j ^^+tP^^^de -le A- lonzeest iudi- gne de moi A _ lon-ze me croit infi
^̂E ï».gi ĝ^ ^F^^iî^ar^ J!§L Xi_ 2———— r^FF
«fi}.-r>f-.J^ i ^? ^=R i_ de _ le A _lonze est lu _ di _ ^lie de naoi
«JT;i;j"
'^J.. U'K' I' ? i i .f- ?'
f^¥ i i p P^;lTOL^j]:JD?»ff^ KKXKî^^PB -f—--
".'J
^ fesMais roinpirunt* chaùiir si bel _ 1
Î a^ ^laAh! puis-jey son.
^00 00 Z00000f^ t|J^i / PJOl -f---^^=ra ^5Î
.gfi' sans el' _ froi Ji- rninps la
^f-MA^
(^^JO^jcr
f PI' , .
3É
g^Ŝ
/mP^j|=^f-r^-^ f P ^ g 3p ? Il
charnc qui mVn _ ^a_g
fis
m ^ # W'^fcc r—^
mieux pa_iaî_ tie vo_la _ ge
#
# # #
^îÉQue d'efre escTa-ve diiii ja_
;ëvu
%^^^
_loux J aime mieux païaî-tre \o la___ ____J aime mieux païaÎJre \o la^m^f
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l'Mnps hi chaîni' qui inei);,'a_g L'in-giaf m»
i^^jM^fe^rpfff '^ff | frrr^W*i ^iilâ a?^-f-M"
^êfe#*fe EX±=±zt:t^:zt ^ri - 1»> mon rdunoiix J'aiiiif mieux paraît if vo _ la . f;>*OuiMl>'lif(*s.
f €
Ëi^S^f msUff"'i^Svpt
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1,11 I - • ' t -•-'esP-0-m-(9
—
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^-fffïïf^-ffPBL ^.
'- k ïi^^»̂=^==#=^
cla _ ve d rlr
67
SCENE II.
.lACINTE, LÉONORE.
JAtlNTE.
Vous voilà., Madame^ qu'avez-vous
fait disabellf :'
Elle est carhée dans le pavillon du
jardin. 31on père la croit partie?
JACIKTE
Assurément; mais moi. devinez doù
je viens? je lui ^u.
Vu! qui?
LEOKoiiE.
.1 \ C I .\ T E .
Don .\lonze.
I ÉONOHE
Le malheureux! tu l'as vu?
IXCIMK
Oue voulez-vous? j ai lame si bon-
ne... Si vous saviez dans quel état il
est... hélas! hélas'
Ecoute bien ce que )• te dis: c en est
fait. Jacinte., je ne le reverrai de ma
vie. et je te défends df mTE.
Cependant T amour pourrait lui don-
ner du couraj^e .
LEO^OI{E.
.Tacinte... qu est-ce qu il t a dit!
.IAt;li\TE.
Oui? le tuteur d'Isabelle?
LEUNOIIE.
INou... ce monstre!
JA(:l^TE
Oui?
l.tttKOllE.
Mais, mais... Don \lonze.
JACIMt
Oh! vous mavez défendu de le nomnur.
l.Eo^Ol;E.
C est pour la dernièie fois, pai lis-
m^en., je t en conjiue.
.lACINTE.
né bien. Madame... Don Alonze. .
D abord il a gai de un morne silence..se mordant les lèvres... frappant des
pieds... ensuite il a jure... ah! comme
il a jure... puis il a pleuré...
l.t()^(JHE soupire.
Ah!
Puis il ma dit quil était au déses-poir de vous avoir soupçonnée à tort
.
I.EO>0HE.
Oui .Ju dis bien:, tu rends mieux son
esprit que ses paroles. Son désespoir
vient, non pas de m avoir soupçonnée,mai'> de ne mi avoir pas convaincue;, car
lingrat me croit toujours infidèle, enfin.
Enfin il ma conjnié. si je\oulais loisauvei- la vie.di' lui ménager ce soir un
6«
fud'efien... a>»'c \ons.
Un entretien! coinmeiit a-t-il en lau-
dace de I tsperer?
.lAlîlISTE.
Oh! je ne hii ai rien promis, et puis-
que TOUS ne voulez plus le voir.^jevais
lui dire que cela n est pas possible.
I t:
be! tu n 3' penses pas.^mon enfant. F-
ne santé délicate comme la tienne!.,
te voilà ma fille
JACINTE à part.
Cette pauvre Isabelle., que va-t-elle
devenir? plus de communication. Nous
défendre la promenade! c'est bien dur.
LOPEZ.
Hé bien, Léonore! que penses-tu de
l'aventure de tantôt? de notre jaloux?
LÉONOHE.
Je pense., mon père, que sa mai-tresse est bien a plaindre.
LOPEZ
.
Bah! sa maitresse ne vaut pas mieux
que lui. la maitresse d'un fou pareil ne
peut être qu'une folle. Je gage qu ils se
raccommoderont. Encore deux ou trois
hélas! et la pauvre sotte lui pardonne-
ra tout .
fi"
l.EO>niiE.
.Te ne le crois pas, mon pèie.
I (ti'EZ.
Et moi, vois-tu, je le parierais.
lAClNTE à part.
Et moi, je serais de moitié.
LOPEZ.
Voilà ce que c'est que l'amour! tu
ne connais pas cette passion funeste.
Tu es bien heui'euse.
LKO>OKE en soupirant.
Heureuse !
JA(;l^TE à part à Léonore
^ous vous troubler! songez que vous
allez vous trahir.
LOPEZ
.
Vouloir se remarier! quelle sottise!
N? 6.
COUPLET.
LOPF.Z.
PIANO.
AlL-f^refto
'^n P P^ p t ^.p IP p MP M i-vi _ e Ouune fois dans la vie On peut bien se pas - sei
fi2.
l'^terrfilti
U:;^^
fjrrni._ lillt u .
-loir re _ rninincn - ccr Oui cf se _ lait u
m^--\n j' i^f^i^i^t^^^-t^^nt' fil - li (Juc df vou _ loir r
(_>ui. Monsieur ji- vous en réponds.
Dans r
72l.ol'EZ.
Comme cVsf la première fois quenous nous voyons., la faute nnst pas gran-
de. Ou'j a-f-il pour votre service?
H.OKIVAL.
Une misère. Monsieur, une petite
lettre de change...
Voyons. Deux cents piastres passées
à lordiv du Chevalier de Florival
.
FLOKIVAL.
C'est votre serviteur.
l.oi'EZ.
Je vais vous chercher votre affaire,
je ne, vous ferai pas attendre.
KLORIVAL.
Oh! tant qn il vous plaira, je ne suis
jias presse
.
SCENE VI.
FLORIVAL seul.
C'est donc là le père de ma char-mante Léonore^ ah! si par ce prétexte
je pouvais la voir un moment! e'est trop
espérer. Mais ce soir, du moins, j aurai le
bonheur de lui parler. Voilà la fenêtre,
l.opez ne peut pas ignorer l'aventure de
7S
SCENE VIIIFLORIVAL. LOPEZ.
Fl.UHIVAL, à part
Dans It* pavillon du jardin! Que veuf-
fll.- dir.'?
l.()HEZ.
CeDt quatre- vingt- dix, Cent quatrt»
vingt-quinze, tt dfux cents. Comptez.
FLOItlVAl..
Compte -t- on avec ^es amis?
Lt)PEZ.
^btre serviffur très humfalf. Si vous
voulez vous l't'poser un instant...
FLOHIVAL.
Je crains de vous déranger .Vous
autres gens sages, vous vous couchez de
lionne heu-re.
I.OPF.Z , s'assevant et prenanl sa pip*-
Oh! dans une demie heure dici.
Fi.UHIVAI., à part.
Bon!
Fumez vous ?
FLOIIIVAU, prenanl une pip
74.
T 7.DUO
FLORIVAL.
LOPF.Z.
PIANO.
LOPEZ ( Ils slluiiiPnt leur pipe pendant la ritoHi'nelie)
ê,.g:£= m j-+^-^-i^ ^ y V»P-pel _ _ If
^-?iâ
3 3
La gloi^ - re la
P^ i3 3 Étttt
gloiii' a tan» d affrails
as^^as^Mp^
1^^^^^ ^g p
3 "^
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75
^_f f , ^'7-? _ tfs Fran_cais Vous r _ tes Fran_ cais
S • • »é̂ ^m'vé-^r # ^^^m£S*F =^É^
X ^^3^3SE^'^C est l'a _ iiiuur qui in'ap _ \\
v^'
76
P ?ijU --^moui' a tant d'attfaits
S v/T]
Je lui se _ lai fi
'3«^
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•> 3
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^fe^^ ^JlJ JMv-glF=r =^
jnais Ne son_géz
I ^ qu'à la gloi _ re> Volfz vo.m
3 3
wàmà
m-Tf- ' l'm-lez
f pft'^g^f^a la \\c _toi _ n- Ft lais _ si-i là Ta -
> irtf^-? é mt^=t^Cha _ cun aura soii Jotir
p^m^m
m ^m ^ Q^lS
t I I , ^^^s^:^^^^e;^^3^^^^3
S=c=l=:i
^ ^ fc=^* * i^.^mi a^re a l'a _ mour
l.OPEZ. (s'impatiente)^ ïEHiE^d'u_ne
JJ^# ^PP
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7«
^mfiam _ m« si bel ^ If Peut - on
^ #V ^§Sïi
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±^,iLj r-^ rf I r r^ -t=r^!«.-^T g^^ ltdfcELli' s\ip_ pli _ le EUe s'ap_pel _ _ le El _ 1.' s'ap-
m^~'=^Wfu i mI* f^
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«0/Tsl.ol'F.Z^^-^ (elonné il m- fiimt- [.lii^)
te_r
8f
^. ^g v- T I •/ a Jt n P 'y- •? I •? q^¥^TiCe ma _ tin
i-tfcif*
ipar des brigands „„„ ,„,,„ .ti. ,You.s (le_\€Z>'
i=V='F^^ -"?--
T- -r-^
^=^ -"r-^
^.t> kjpn
^^^^^bien mVn _ tendre
Ld l' EX.
55!çontretousci's bri^g;inds 3Ioi j'ai -Il II H.: I. ,nli,.
j
m
\ousme faijes courir les
B^yy^fflj
^/ >A.-^j'tif^^ 7 >Cesl eLlequi courait les champij
82
-jsf.^^^,
mf^^EEEEU^^E^
ÉËÈm w ^r\
mEt vous de _ >ez in''en _ kn_dre i^-*f-^- ^E^EÏ
•f-^*
' Ml!'" tempo primo.M (il l'i'rdm iiiPn' '^ .i fumer.)
31Non
Ba^^jjg^^^«- P .i 3 P^ ^S:> 3
-^ non
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^sF Tf 'f-^Fr—^^-^-^4>Sachons (c grand se.cret Al _ Ions
/
j@^ ^^
l|^f5-M^'> 3 #
# î3 3
4^'
( il se it-vp.) Pressez.
J^szzJti ^m-^^ ^^
't_i V-^ Ip
Il faut e - tre dis _ ciel
^— • t'-Tf-^̂ al _ Ions^nj
ÊSêi3 3
^^è^Êvp _ non.s au
tî :i • it
Pressez.
i-!H^-i'ii i r h i^ uu^^w^i^Us^m
rSon non non non non non non non non non il faut être dis.
^ i a^?fait al_lons au fait al.lons au fait al_lons au^ 1 ^m i i#-^ ^
m'^^m^^nn^-^fr^^Mh^r^^f^^>'•
_c rot Non non non non il f.
84
>^m^^:»p^^,^£^-- r
I
r v4# ri
f
i: g^ati* ^r=Fl=^̂ t̂5^non non non non non non il faut ê_lre dis.cret nonnonnon
fait al- Ions au fait al _ Ions au fail
t ^lÊ-^loiijutirs en dimmunnl
§1'» m ^ PV^^1^ «^^»: rTF+f^^^j^p^ t
non il faut il faiil »^ _(re dis_( ret !Non non non non il faut il faut rAre di
al - Ions _ • al Ions
^^^[W #-»
czeziczE
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S\»
^.^te^tt( r< l il faut t- _ tre dijKj-çl [Pi-iÇanl ce silrnco \
,Lop('z i-clate dp riroj
P^Afet^-^f^
l»3
SCENE IXLOPEZ, ensuite JACIME.
1,0 H EZ, seul.
Aoilà sur ma porole un plaisant oi i.
ginal,on dirait que tous les fous de Ca.
dix se sont donne le mot pour venir
me tourmenter. J avais d'abord conçu
quelque soupçon Slais cette aventure
de brigands dans les champs m'a ras-
suré Pour n'être pas encore exposera
de nouvelles impertinences, allons nous
coucher- Jacinle..(Ellp anivejFermez bien
toutes les portes, et qu'on m'éveille a
la pointe du .jour. ( Il sort.)
JACIMt.
Oui, Monsieur. Le voilà parti... Et
avec la clef de la grille Il a sûrement
des soupçons Il sera aux aguets. Ses
fenêtres donnent sur le jardin. Tetle pau_
vre Isabelle, que va-t-elle devenir! Seu_
le, dans le pavillon, pendant la nuit se
voir abandonnée de tout le monde!
(Qu'elle est à plaindre! Mais qu'v fai-
re? Songeons du moins a son frère,
qui sans doute s'impatiente Seigneur!
Seiffneur Din Alonze!
SCENE X.JACINTE, ALONZE.
.UCIME
He bien! Seigneur etes-vous revenude tous vos soupçons? Cesserez-vous
enfin de faire le tourment d''une /em_
me qui n''a Jamais aime que vous?
Al.ONZE.
Oui, ma chère .lacinle, je rends .jus_tice à la vertu: je sens combien j'ai
ete coupable; je rougis île mon erreur
Ciel! comme la jalousie nous aveu-gle! quoi! j'ai pu voir un rival dans
une femme!.. .Car enfin, c'était bien
une femme
.lAcIME. a pari.
Il n'en est pas encore convaiiiou
(haul) Ouoi vous osez douter...
ALONZE.
iVon. .lacinte je n"ai pas le moin,
dre doute; mais celte femme, pour,
quoi me la cacher? pourquoi tant tli'mystère?
JACINTE.
Oh! c'est la notre secret, que vous
saurez cependant en lems et lieu.
Je ne \eux plus le savoir; Leonore
m''est fidèle:, qu'elle me pardonne, elrien ne manquera a mon bonheur
JACINTE.
Vraiment, je le crois bien; mais
vous n'y êtes pas encore: vous allez
la voir dans une colère... que vous
saurez bien adoucir. Je vais lui dire
que vous êtes ici.
Al.oiNZE.
Va, ma chère Jacinte._Mais.. .dis
moi... qui est ce jeune 3Iilitaire que j'ai
\u sortir tantôt
C'est un Officier Français qui est
venu parler a mon maître pour affaire
AI.ONZE.
A ton maître?
OuiAI.ONZE.
Un Officier Français?
JACINTE.
Un Officier Français Et vous n'ete:
plus jaloux! Ah! Seigneur Don .Monze.
je crains que votre mal ne soit incura,
ble. (Elle .vorl)
8fi
SCENE XIV|i)\/P, seul.
Kllf mt- i-t'proche mes soupçons:
ptiil rire a-t-tllo raison: mais après
loiil, ces .«ou|i< (jds. quoiqu' injustes .
sonl ils si iriminels? aimer sans ja_
Idusie. Non.,
p ^^^^rfr-\ ^' h ^ li=±w-1— f-87
mgouls a nos ca _ pri_( Sans ces. se
.(és^^ljj&f^:}-^^^pI É 1 *?
àjm
rr rJ-^'lJ^^^ i*^—Y-It's voit as _ ser _ vis Tbut tout
i^r\ ^prrc^g iJ^; F^
tout nous e>l pet. mis. Mais quand à force de sou.fout
f9- Y tep^H^^
Fij^^ jr\
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_ples_ se Quand à for_ce de fi _ nés _ se Mais quand à force de bas_
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88
ses - se Ils ont surpris notre Icn _ dres .se A.lors alors le rharme
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^ y M^ ^^ces. se Plus d'hantants plus d^a _ mants plus d annants ja
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des
#ti _ rans Vic.li . mes de leurs in _ ,jiis _
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_Ji _ rcs A tous leurs goùls A Ifurs ra - pri-c A lou- \t»ff^ r^^̂^r^
^f-^^ i J'j-j-rfnp^ -^ Y--goûts A leurs oa - prifeslSo> paU-vres pwur-s sont a> . se-r _ vis
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Rien nenou> e>| per _ mis^ m ^^~^r^a=¥=^*—
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90
LEONORE.
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Cru _ el _ If cru _ el _ le De ma (lou/t'ur mor
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f=f r :n^::.î^jM—i:s-\:^'z_ ne mor _ teLle Dune chai _ ne cru _ el_li^
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_ihii du- ne chai _ ne nou _ \el_l' Je
è te mrSïÉ ^y.
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rfau - rai m'af _ fran _ chir Oui je veux m'af-franchir Dune.u
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IX of lant aa.mour in_giai in _
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mm^ »fLf # l-J-^»-f-# ^I KO.
£tfgîFtgfflf;raJ De lamanl qui lim _ plore Vois les pleurs les tourmenls Kaul il l ai
i*LDg;.- g «z
r--ftoif^^f=èàn _ co-re F,n _ \ain je m'en «lé _ fi'n une je suis a
,b-:i^I^TJTtitK^^ÉE^CesMropme conlrain cire Jenepuinplus fein _ die Et le voirgemirT=̂ t^^^P È^=t=^ fc±
plain . dre Quejesuix a plain _ dre Ah cesl Iropsouf-frir.
m U
$
C'esltrop souffrir C esl (ro|> lan _ s"''' C est tropcesl troj>>ouf
irnr- ... I . m \.. i l —U I m rieË ^ drJ
C er.t Iroj) souffrir C'esl trop lan _ g"''" C'est It oprpsttr.opsoul
=â4-Jiifrfip
-4t
S^^BS!P¥##É^É^ÉÉ iP^i
it^ilKTs:
^*^==^=:^W-^^i:^J'*^ /i P=^
frirCl-t lropo'p>t trop languir Je nepuis plus ftin- die
$tP~ n̂ ê ^AJ^ IJ .- lj^tïû=r=^-^
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Irir Cesl tropeVsl tiop laïuginr (Jue je ^ui^ à plain dre (Juejesuis- à
^^Pm0mÀ4AA ''I É 5
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#iï- ^ "^Laiyliftlo.
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Cesl trop me eoiilrjiin _ die Ce?l 11 opsouffrii He . las II.
^^ Éplain _ dre Alic'est tropc'est trop souffrir^^ Larghettom :k±±¥ ^^1^ £: < -i*-»- 5^
é-à -à
\u
i^'^^^^^^^^#i^- las Ma L»'_o _ nore (Jue devenir Faut-il mou-rir Ja
^fcè^^i ^JÊljJ^^Ŝ Èà m=^m^ t^t±±̂±më^—"^ ^ at^ia:gj^ /JTr̂ HlIlf^j^:^^
_ mais Itfwurde lt'_ o _ nor»' Nf su(ra_ chrc >es s»nlimt'nl> Et mémo «n
^^^^2^ ^»=?^
?=^-^ pmwm.^t
^^^^S^^II- >cs S«'f- nient;
^ ^li- 5T!ri;F^p?_5^*^
^Jamai^ ja. mais la jalou-î^i -
i
y.-;
l=^,-hri^-X-r-^-*-^S ^ ^r 3^*2?^^ps
•' Ne troublera pluslon ^bonheur Moncteiir ab-jii- re pour la vi- e
pl^S^mëm^m t fMp êè:?Jti:^ Mi^
»fî
ftr ' F t'i^^'^^'^ rFi J ^,^' j ^-^CeLle fu_nesle frené _ si _ e AJouze eu al _ tes _ (c Ihonncur
Crois lessermenl';de(on a _ man _ teAl,().
Lé_o
^^.^lïtf^i^ m̂Crois le>sermenl>(lelon e .. poux
i
nore est toujours cons_ tan_le
jjil lutnlip à g-Ptitiii
irrttzrP^-^r ^ÉM.
Ton A - lon_ze n'est plus ja _ loux'S ^
âmm r\
tes
é^
^ È4^m L'a _ moiir nui lou_.jour> \*il _ \v
j .,. . ... J ^^ ^' [: I fme dit tout bas Viens suit mes pas 0(i.
E^« P* ^ ±=ïla beau -te l'ap _ pel Voi.
m p wp^^mmm ^e£
iP^ci lin^i-tant du ren _ dez- \ous Pro _ fi _ Iv d un bon _
j^ ^f^P^ ^ ^=* i^ r^ rni j^ 1^
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m^ttqï=F[j^^ir .^'cpT^v^ft, #—
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heur si doux.^ Moi, pour é_ tar_ ter les Ja _ loux Je fe
\^m i51 Ê rn ip^ :t*=^ PPP,
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É ^2=^ ï?3 UJ'XJ-^t^^pt'ul pa> vous voir Qtiil puis - t^e -vous en .
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V fJXj^^jj^ra-iT r-i^r ri;- fin < (im _ blanl monrorur F,t doù di' _ ptnd loul mon bon_hrur
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Jamais ja _ mais la ja-loii-si e
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Ne Jrouble_ra plus ton bonhtur Quelle
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^ h^^n-njjR^^22 rJ ë_ ra Rien ne calme _ ra nnon cour_ruoxNon non non non non non non
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m̂m-Rien ne t-al _ me _ t i
^mon conr _ roux.
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ACTE III>': 10.
EnrTR''AGTE et AIR.
Andjinte sostenuto
PIANO.
%feftLf Th'silrc ri'prt'senli' un j.irilln «'ndiiirc (11111 mur .ivit un pavilKm éclairé.
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IS\BKI I.E.
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U dou-ce nuit Sou^
r\ m M-S È m ^ vp^ -*- :y ^T^fMLTr i ^^^^rf^^^^^Ion ombre pai _ si - ble Re _ çois l'a _ veii de mes pre
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Whavo.111
fcrf Lfrjh^r ^ JOMr Jr̂ psein dps Al _ lar-mes Quel'a-mour a sur.pris mon
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C r u - e I a _ mour nai-jc e_prouve te>
^^^ ^^ ^m^^ms/ p^'>rji]ys fafa hè^charmes Que pour voir com _ hier pour voir rom
\V1
*^-*.\ll.-l-.
jin^T-tt^' ^ ' I^t& ^^ ^Cet ill^ _ tani fixe à ja_mair> mon de _ sir
^^^=H=^.^=^ I1^- pr ^ee^5é^
Cher KIori _ val ?ou^cel om _ bre pai _ ^l _blf re
^ fitiimpiSZJ.
.̂r-^
f3
i M-
fois 1 a _vttide mes pre.mitTs son _pi
i±t ttèjL±Z^i ^aWy f
1 mff^ J f f =±^E==^=F â>i:l 11 Si'lll
f^-^^^g
lu si'îil ins _ (riiJ mT su ron _
11^
in"^'' ^ ^siMis relie om _ bre pni _ si_bl
J onlends du bniif M ()iip|(iiriin vient sor;
111".
>i': H.
DUO.
JSABEI.I.F..
T»-iiH)0 ffi inHiiii«'t
S^m f f f î=tn^v-^^qiif votr»' hon» m i A d»' uudi f 1 1< - («T un
ij. ^ *
Jt:^jv"...
117
^r ^ ^ ir\)r\l prit et cou.
^^^ Im^'^f
^ f f r r r
J j r I r̂ ^^ri .ire Tout en >ui e^< se _ due _ - Ivwr
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É *f I ^ J-HS-4t>v^tM*^—#
Tiiul en vous est sé_duc
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4-̂ rr t ' ' 1 ;,^^^^mn\> Niiiis è - t*'^ Frm -m^m ^TT^^J- U^-IM El
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^^\imI*.* (li 111. •nu. 1
a ij ^f h mf-M" ss il csf \rai (jiip mon hom _ iiia_^.> Ail d<
Ff^ ^rmf^ P(jiioi flat-t.T un ri»'iir Pour «pioi pour -
114
T=fsor ce lan - g-« _ go Et iten - (Ire
jfV^^ftff 5ï
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>^'^ ^ .- ^ n^ n^f&C^r- g i r r
^^' é ébon. heur El
j Ŝ_ pen _ (Ire mon boa
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Ah' font Frarucais
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p^ f-KJ r r I (i^'-^^^j^J'mais mais vous e _ tes fiau. cais et tout fran.cais tout fian
$ mr r r I F F L^ èfëNon non quoique fran_caisquoi que fran_çais
fe*:
9^-^^i^^
Bm̂r r
^
)C'^^rr Fig:r^-^-'i^^i f̂^^^ffFp
jene serai point vo - 1
mfc*): r^s
^f?^3^^Prnf-jU^pp
=F=F^^
=?=?^ ?=Ff
-f-fi
\ ee non non
^m i^ f>JVtf-i^rrj l[m-n^^ge et tout fianrais
&^s^^^mi ŝFF^l
W f^^r r r ^
ge non non non non
^^
rrz
uoi! TOUS peisistt'z donc à une re
fustT l'aveu dont dépend mon bonheur'.
Ah! crojez-moi, n'écoutez plus une
piévention injuste! écartez des soup-
çons uulignes de votre coeur et du
mien.
ISAHKI.I.E
fies soupçons le teins pourrait les
d'-truire.
le tems! Mai- songez. >ladame.
que je n'ai pas un niomeiil à peidie;
Hongez à ma position, à la votre.
Mon état, mon devoir m'appelhnt ail-
lieur'«. Vous-même vous êtes sous
l'autuiilé d un
SCENE IIIISABELLE, FLORIVAL, ALONZE,parait
sur le haut ilii mur.
IsABKI.I.E.
Oli ciel! je suis perdue!... Protef^ez
moi, de VI ^^1 e. (Elle sp sauve dansle pavillon)
KI.OKIVAI..
Ne ciaignez rien.
Al.()>/K.
C'est elle, c''est la perfide, et ce
même français; mon malheur est
certain .
Fl.oiiivAI..
I
r est un rival, il faut le voir venir.
12:î
\? 12.
QUATUOR.
\ndiiiitino moderato assai.
JACINTE.
7^FLORIVAL.
ALONZE.
LOPEZ.
PMiVO.
^ iAiidaiitiiio modrrafo as^.ai
A ^ * ^t^ c £ 1:
frf^'^i^ij^^^j -^ ^ J ' J^ J' J^
s
f. . -, ^aj>ïft*
4 4 é ë;^5
giuiir sans tiop être indis - cret ]Nepour_rait on sinsI I 1
f PP
min
124.H.()HIV\I..
Ifqèremt'nt.
ha part.
r-m f ±\ryv~^z
f M .^=g=^
m
ah! romme il t^u
à part.
la _ ge Ah!^^i^=F E^qu»-! ou _ tra_ee
^ 4- ^f:-Ah jt' vair
^^^
fP-È^fr-izjt^^^FT^fq^^^ în n F
uh.cninint* il PII ra _ gc. Sei-giifur, sanstrop être in_dis
^^j^#^^^j)ii_nii- cet ou _ Ira _ gf.
J2n
)4 $ ^ f'.ff* f e
- cret \puis-jt' aussi mins-trui-rt*
T—
r
~7 r^' ^-^^du Mijrt Oui ^ou;. at .
i y*A-J^^i-A-
l
l;
126
r=f
-f^ i-—
-t^mL'umout
\1 ONZE
r 'i-'^ i
sv=^^^^^ff-»^r'"~g=^/ La.
J=^-:tM=±du sujt'tui vous at_ti - If en f'H se _ J"
127
^ T~r~f:w^-f4=4^^M^^f^
La char _
tiopètre indiscret Quel est 1 aimable objet Du feu qui vous dévore
^ ^Em ^ lÊnmiÏS ^iffl W «y.t-^
ffffl
>)|ïIZlffB^—••^
mau - tf K,lt'_ono _ re La char
rf^j g L-jii^^^^JM^- it=i^La per _ fide E _ lé _ o _ uo.re
m T r
^^Esa^s j*^f^:«̂^ Où.Si^^^^lÉ^^^ s
3 3', ,
plus vit«'.
i* 1 ;>'man _ te E_Ié_o_no _ re Non
^^S f fffff
La, dans ce pa_vil.l
\'li\
i4^T-^=^^--t!3!Stg^^non non le la df _ fends ]<
]L_j^.
-/U^Mg^^^^l^^^la dé-O-nd Con _ Trê tou_te la ter_ ic Jt
S^ -2«- te^-=y"^ -#
—
0-
uoi
r~y~"'"
Îli9
^B^^ ^^-^^ I f ^-=inon, non; je la di- _ fi'uds je
mm i^PPtrous en _ trous qiifti cou _ fre un pe.ri-quoi
i^^m P Êâtrons en _ li-.ynsquoi ron _ tre un pe_requoi
f*^m^m\ i im^
' ^I F— r r ^ '=^
nK' =F=?=X i^
' / r'
la dé _ fends con_tre_ tou te la ter _ re
^mm f -*^ J=^cnn _ tre un père quoi ron _ tre un pè _ re En
m ife f f . f^on _ tre un père quoi con . tre un pè _ re En
MM4=^
ir.o
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"îr É-^
loi
el _ le
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Fl.OlilVAL.41 *
^~ •?ff fT-^i^
Channan_tt' Lé_ o^ Ai.o>*7ir.-> -r •? f^f^r, ,
P»T_fi -de Le _o
^ -f ^ff=r#^^ £^=faï ^f^jLàHtdausiin r»n dez - vous à deux amants Parais.
P^§^.rp ^rrf
kn^=h^=^
f-CrCrr^r i ^ -*È^? fl V»
î; 1
-^^\/
iË,
S . ff l;i^^^^fr-^]Fn rendez -vou'i à deux a
^'^ • 0- Ê. ^t=3^EEEEÎ^Î •7 r r •?" £ren _dez-vous à mes voeux Char.
é^f^ f) F K If
M:, i
pa .rais.sez a ses Jeux Pru.
^^ f t* r -7
i ma mes vt'MX
.* (Ê
Pru_
K'i
Ij^^--—-=F^
I n ren_der
^Â-^ P F ? r
—
^^^=^^=4=4
'^ 3z?r: l?^J?-inau.ti' T.e - o _ no _ re jhii _ di-z-voiis à irifs vo-ux
wden_te Lé _ o _ no
:M=-i'^fe?ES^re pa _ rai>.sez a st*s yeux
-t^f^-$1^:- fc^^^
PIl
:E
vou^ à d>'ux amants
L E E e t
In ren _ dfz
^=:^t^=^(^li:uinan_f (' L»' - o _ no _ re rendez vous à ini
v^ f—^ -¥=p|= t T^-H"-"^' '^^t^ f- F'^̂Piudin.fe Lé - o - no _ re pa _ rais.sez à ses
^̂_=,-^MjA:^Î,JS-^l^^M̂
É/V
»
Un ren_dfz - vous ' à deux a
peut tre en
myrux pt'Ut tre en
^i^-44=t:S^ ê̂^l=S=S=^ r F^^jeux faut-il te le re_dire en _ co _ re
f'
S
$ ^f^f=^==^_ manls Quoi la de -dans quoi là di
ê êfin la
^^^stl^^^^
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^t,~ftS-%^ f..f f f -la la la la la la la la
1.'4.
^/Tn
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f f ^^^dans Peut être en_fin on la \ _
gj.-^^i^^^f^^Peut être en. fin on la ver _ ra
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IniittiËV\:-=:-2^ %^^
-^-*-4':_?-_
-7 b
f*p::^^rf:^
^ É
L
^xi^^4Ué
L̂a voiJù
La voilà
^Ba É â
i'^
01
La voilà
sfe^ 1La Vni . I;,
fit-r. qu' ai-je fait?
IdCRZ.
Oll«^ veut dniir dire tout ct'ri?
.U( INTK.
Voii^ ;illrz 11' saviiii', |iiii^qiU' iioii>-
iif pouvons iilii-- viiii^ If rurhfi-
Uiuii! deux Lf'onores!
I KUMillK
"Non. Moll^i^'llI. VOUS avez étt'
dans IVrieur. ^ous m'avez causé bien
du chagrin;, mais votre faute à été
in\olontaire.
Kf la mienne. Ah! Léoiiore,, ne
puisse-je en espéi'er le pardon?
\nll- rruel!
AIdN'ZE a Lopez
Monsieur, de grâce parlez pour moi.
l.dl'KZ
Ohl en voici bien d'une autre.
Xl.()\/K
Daignez parcourii- cette lettre vous
vei)-ez du moins combien mes voeux
st>nt désintéresses.
i:>6
riivAi,.
LEO^()RE.
ISABELLE.
JACIME.
FLOR[VAL.
ALONZE.
LOPEZ.
PIAM).
AlL-un-tlo
^
étw
&:%WS:ûi
Itlï -^Mr^ T=
Prf _ nez pi _ lié de ma dou_liur
AI!
13:
W ^^ r\dtma dou_ leur yuoi! son oncle est mort! il en
~^^^—V' 3 h ^ I ^ r^^ I ^ I l ''^''''- •• ' P'p
138
If•
/ 1^ -" ' ' ^^^^ , ' * * w-rtur ne soi-^ez plus i _ ne _ xo _ r.i _ 1,1. j ic_ncz pi
_
^* ^ J' J' } I , 1. •>do sa dou _ leur
^»-v J-'t^'l^s^s^
I-al)pllp sort du pavillon vi sv jette .iiii pieds
de LediHire
Ali' Lei norc !
dv sa dou _ leur
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Ne soyez ja - mais |a _ m;iis vo _ la - gi* IVe soyez ja _ mais |a
Ne soyez ja _ mais ja _ mais vo _ la -ge Ne soyez ja _ mais ja
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p^^mDl.-iu d.* char-im-s A_piès tant dâ -lar _ mes A.pres faut da
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feOrn i-fr ir^I ^̂plein de char-inis A_près tant da.lar - mes A-pres tant da
•^- mes pl.in de char. mes A.pres tant da.lar.mes A.pres tant da -
f-rrrrrrif^ riiij#-^t^f,..:^.fl f U; ^
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vfi'ï r i r'fP^lar. mes Que notre sort est doux
^r- rnrpr r"' :£i±lar. mes (^ue notresortest doux
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_ sons dun sort >i doux Jouissons dun sort si doux Jouissons dun sort si doux
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