CCE à Chilly :Zerhouni présent uniquement le lundi après-midi.
Nous avons appris tout à fait incidemment : les personnes dont le poste est supprimé et transféréail leurs devront postuler sur « leur » poste ; tout les salariés de Sanofi pourront postuler sur cespostes… « et non, ce n’est pas du tout de la mise en concurrence entre les salariés… ». A laquestion « et que se passe-t-i l si une personne postule et n’est retenue sur aucun poste ? », ladirection répond « nous n’avons pas envisagé cette situation » ; on a eu beau insister, la réponsen’a pas varié.
La direction annonce 1 66 « réductions » de postes… par quel tour de passe-passe la différenceentre 4986 (effectif actuel) et 4281 (effectif cible) peut-el le faire 1 66 ?On « sort Toulouse » * : -408On rajoute les transferts juridiques (ceux qui vont devenir SAG) : + 111On fait des recrutements spécifiques additionnels (qui pourraient être des post-docs**) + 20
La direction est incapable de nous expliquer en quoi le site de MP deviendrait « stratégique » ;el le répète en boucle que MP serait au service de tous les hubs. Mais un grand nombre de postesseraient supprimés, y compris sur des activités « stratégiques ».
Si on coupe aujourd’hui les moyens de la R&D, demain c’est l ’ industrie qui sera impactée.
La direction nous bassine avec la nécessité de « colocalisation »… et el le veut scinder les anti-infectieux : i ls sont aujourd’hui tous à Toulouse, i ls seraient demain en partie à Lyon, en partie àVitry
Zerhouni ne connaît pas ses dossiers : quand on lui demande combien de personnes en anti-infectieux à Lyon, i l répond 300 – vérification faite, i l y en aurait 1 50 (80 de la R&D, 50 de Pasteur,20 de Merial)
Zerhouni trouve que, décidément, en France, les choses vont trop lentement – aux Etats-Unis, ceplan irait beaucoup plus vite. I l va vraiment fal loir lui apprendre l ’histoire sociale de la France.
* La direction nous met sur le dos la responsabil ité de l ’exclusion de Toulouse du plan, auprétexte qu’on a demandé une mission ministériel le – mais notre demande était justement pourque Toulouse soit considéré avec le reste** Les post-docs sont des CDD, i ls ne devraient donc pas entrer dans ce calcul
Les évènements de la semaine
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L'intersyndicale vous informe
$ANOFRIC
Lundi et Mardi
Semaine du 19 au 25 Novembre 2012
N°2
Mercredi 21 Novembre la Direction a convoqué l'intersyndicale pour évoquer des problèmes
liés à l 'affichage et en particul ier lors de la journée du 1 5 Novembre. Très clairement la
Direction dit qu'el le comprend que l'affichage est un exutoire pour les salariés, mais
cependant i l y a des l imites à ne pas dépasser en particul ier lorsqu'i l y a des attaques
personnels vis à vis de certaines personnes de la Direction Générale et lorsque l 'on arrive à
des affichages, qui s'oriente vers des attaques racistes et qui sont donc tendancieuses
concernant certaines personnes quant à leur origine. la Direction nous a dit que ce n'était
pas acceptable. La Direction nous a dit également qu'el le tenait à nous rappeler qu'au niveau
de la loi, des attaques concernant soit la rel igion soit l 'origine ou même les orientations
sexuelles sont punis par la loi. L'intersyndicale est alors intervenue car el le ne voyait pas du
tout de quoi la Direction voulait parler. La Direction a alors dit qu'i l y avait eu un affichage
avec Mr Elias Zerouhni le traitant "d'arabo-américano ainsi de suite" et que là ce n'était pas
acceptable. L'intersyndicale est alors intervenue à nouveau devant de tel les accusations
graves pour demander à la Direction si el le avait des preuves de ce qu'el le disait. La
réponse de la Direction a été : "vous savez très bien que nous n'avons pas pris de
photos". La Direction a ensuite abordé un autre point qui pour el le était le plus important, la
sécurité de l 'ensemble des collaborateurs du site. El le ne voudrait pas arriver à un
affrontement entre les différents collaborateurs du site car la Direction a constaté une tension
générée Jeudi dernier au niveau des collaborateurs du site qui fait que certains
collaborateurs (la Direction a insisté pour dire qu'el le était présente à ce moment-là) étaient
prêts à se lever non pas pour quitter la sal le, mais pour réagir. L'intersyndicale est alors
intervenue pour dire à la Direction que véritablement s’ i l y avait une forte tension sur le site,
el le ne l 'était pas par les affichages, mais causée par le plan de restructuration en cours.
L'intersyndicale à fait remarqué à la Direction qu'el le était présente également Jeudi dernier
à la cantine et qu'el le n'avait pas constaté une quelconque tension au point que des salariés
en arrivent aux mains.
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Mercredi :Entretien de l'intersyndicale avec la Direction du site sur les problèmesd'affichage :
• Courrier de la Direction:
• Compte-rendu de la réunion :
From: Poilvert, Carole R&D/FR On Behalf Of Daubie, Christophe R&D/FR
Sent: Wednesday, November 21 , 201 2 4:04 PM
Cc: MP-DL-AllUsers
Subject:
Jeudi 1 5 novembre dernier, quelques collaborateurs ont commis des actes de dégradation
de matériels au restaurant d'entreprise lors de la pause déjeuner, causant un trouble
manifeste.
La Direction a alerté l ’ Intersyndicale sur cette dérive et indiqué le caractère inacceptable de
tels agissements.
La Direction réunira dans les meil leurs délais le CHSCT en session extraordinaire pour
examiner avec lui les risques inhérents à de tel les actions ou comportements et définir les
actions visant à assurer la sécurité des personnes et l ’ intégrité des biens.
Cette démarche s'inscrit pour la Direction dans sa volonté et son attachement à maintenir un
dialogue social tout en respectant l 'ensemble des salariés.
L'intersyndicale a alors fait remarquée également que si ces faits étaient vrais, le groupe RPS
(risques psycho-sociaux) n'avait toujours pas été prévenu. Que les faits remontaient au Jeudi
1 5 novembre et que nous étions le Mercredi 21 Novembre soit près d'une semaine après. Le
groupe RPS est là pour gérer ce genre de situation et c'est à la Direction de le prévenir pour
identifier les personnes qui vont mal et ainsi trouver des solutions. La Direction a alors fait part
de l 'affichage en général sur l 'ensemble du site qui pour el le génère de la tension entre les
collaborateurs et donc augmente les RPS des autres collaborateurs. La Direction alors dit que
c'est réel lement sur cet aspect-là qu'el le souhaitait discuter avec l 'intersyndicale.
L'intersyndicale a fait remarquer à la Direction que lorsque des salariés sont convoqués 1 5
minutes avant une réunion, sans ordre du jour ou les réunions qui sont organisées dans les
différents services par de hauts responsables, était tout aussi anxiogène pour les
collaborateurs. Qu'i l ne fal lait pas porter la responsabil ité du mal être des collaborateurs
uniquement sur les affichages. Tout le monde y compris la Direction est d'accord pour
reconnaitre que l 'affichage est un exutoire pour les salariés. L'intersyndicale fait remarquer
également que si les campagnes d'affichage sont de plus en plus régulières c'est qu'après
chaque affichage la Direction procéde à l'arrachage et que lors de la dernière convocation de
l 'intersyndicale par la Direction, une seule affiche posait problème. La Direction insiste sur le fait
que ce qu'i l lui importe actuel lement c'est d'éviter qu'au niveau du site qu'i l y est un fossé que
se crée entre les gens qui ont un exutoire et les autres salariés et que cela génère une tension
et des RPS. Elle ne voudrait pas arriver à un affrontement entre les salariés qui s'expriment et
les salariés qui finalement considèrent que ça devient dur.
L'intersyndicale prend note et en effet si i l a des personnes qui sont mal à l 'aise vis à vis de
l 'affichage, i l faut traiter ce problème avec le CHSCT et le groupe RPS au même titre que le
CHSCT et le groupe RPS gèrent actuel lement le mal être des gens généré par le plan de
restructuration.
La Direction est d'accord avec l'intersyndicale sur ce point. L'intersyndicale informe donc la
Direction que l 'affichage continuera et que si les affiches qui sont mises avec du scotch ne sont
pas retirées nous continuerons à mettre du scotch, si el les sont retirées nous mettrons de la
colle à papier peint. Sur ce, la Direction rappelle que nous sommes sur un l ieu de travail et que
si la Direction enlève les affichages ce n'est pas pour nous embêter mais pour créer des
conditions de travail optimums. Nous sommes dans une organisation dans laquelle la
responsabil ité de la Direction est de faire en sorte que nous soyons au plus proche des
conditions de travail optimum. La Direction évoque ensuite les agissements Jeudi dernier dans
le restaurant d'entreprise, qui sont de la dégradation de biens de l 'entreprise. L'intersyndicale
devant ces nouvelles accusations demande alors à la Direction ou il y eu des dégradations. La
Direction a alors répondue : "on vous montrera le cas échéant". Devant toutes ces
accusations non fondées par la Direction qui n'a pu apporter aucuns éléments factuels,
l 'intersyndicale a informé la Direction qu'à chaque opération d'affichage elle prenait des photos
et qu'el le n'y a jamais vue les choses qui lui étaient reprochées par la Direction. Toutes les
photos sont d'ai l leurs à la disposition de la Direction. Pour calmer le cl imat généré par ces
accusations et le manque d'honnêteté, la Direction a souhaité revenir sur les RPS et les
conditions de travail . Le Secrétaire du CHSCT à alors interpellé la Direction pour lui rappeler
que Vendredi dernier i ls étaient toute la journée en réunion ensemble et que jamais la Direction
lui en a parlé. Donc maintenant i l fal lait savoir, s’ i l y avait urgence ou pas. Si oui i l faut
convoquer le CHSCT et le groupe RPS en urgence. Sur ce, la Direction est revenue sur les
problèmes de dégradations en disant: "Quand il y a dégradation, y a faute donc y a
sanctions.L'intersyndicale, el le ne représente rien, donc quand les gens dégradent les biens de
l 'entreprise, i l y a faute donc potentiel lement sanctions".
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Devant ces propos l 'intersyndicale a exprimé son mécontentement en demandant à nouveau
des preuves. Pour réponse l'intersyndicale a eu : "Quand on balance de la peinture sur les
postes de télévisions, i l y a dégradation". Autant dire que le ton est légèrement monté devant
ces nouvelles accusations non fondées. L'intersyndicale a affirmé auprès de la Direction qu'i l
n'y avait jamais eu de colle ou de peinture sur les écrans et que les propos tenus par la
Direction étaient faux. Le pompon, a été lorsque la Direction au bout de quelques minutes
d'échanges a dit qu'el le n'avait pas parlé de peinture. Autant dire que devant cette tel le
mauvaise foi de la part de la Direction et de mépris vis à vis des représentants du personnel,
l 'intersyndicale a quitté la sal le de réunion.
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Assemblée générale sur la place de la Comédie :
- Retour sur le CCE (video complète disponible sur Youtube)- Mission minstériel le pour le site de Toulouse- Subvention gouvernement pour création pôle scientifique à Lyon- Animation surprise ou comment Sanofi devient Sanofric
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Tous les Jeudis de la colère sont filmés. Vous trouvereztoutes les videos sur Youtube. A ce jour il y en a 60.
Jeudi :
Samedi :L'intersyndicale était présente à Frontignan pourune réunion d'échange avec André Chassaigne,député du Puy de Dôme qui avait reçu ladélégation de l’ intersyndicale de sanofi àl ’assemblée nationale le 3 octobre en tant queprésident du groupe GDR-Front de gauche.La situation de Sanodi a été très longuementévoquée.Nous vous invitons à consulter la vidéo complètede cette rencontre sur Youtube (durée 54 min) :http: //www.youtube.com/watch?v=HKSC00FCPik&fe
ature=plcp
Les actions à venirLundi 26 Novembre : Une délégation de l 'intersyndicale participera àl 'enregistrement d'une émission de radio sur Radio Pays Herault.(Fréquences : 89 96.7 et 1 02.9 Mhz ).L'émission sera diffusée Dimanche 02 Décembre à 1 5h , écoutable soitdirectement par les ondes pour ceux qui habitent autour de Saint André deSangonis, soit par internet.
Mardi 27 Novembre : les coordonateurs seront reçus à l 'Elysée pour parlerdu dossier Sanofi. C'est un moment très important car cela fait longtemps quel'on demande à rencontrer des hauts responsables politiques.
Jeudi 29 Novembre : les jeudis de la colère N°21
Rendez-vous 11 H30 à Pilory pour se rendre place de la Comédie(fontaine des 3 Grâces) ou 1 2h00 sur place.
Sur place : • Retour sur les actions du 24, 26• Distribution de La Newshebdo N°2• Distribution de Tracts
Le 29 Novembre : CCE à Chil ly-Mazarin
Le 05 Décembre : La commission des affaires sociales de l 'assembléenationale reçoit Sanofi sous forme d'audition. Le matin, les salariés àpartir de 09h00 et l 'après-midi Christian Lajoux à 1 6h00.Ce seront des debats publique, donc il sera possible de les visionner sur le site
de l 'assemblée nationale.
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Nos politiques dans l'actionLe 09 Novembre 201 2 : Réponse de François HOLLANDE à MrTROPEANO Sénateur de l 'Hérault.
Les salariés prennent la parole
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Chers DS,
Je suis indignée par le courrier envoyé par la direction et me demandais si i l vous étaitpossible de faire à tous les destinataires de ce mail une réponse ; dans la mesure où ladirection s'adresse à tous les salariés du site simultanément en parlant de la responsabil itédes DS, ceux-ci bénéficient-i ls de cette possibi l ité pour répondre ?
Comment une poignée de DS peut-el le être tenue pour responsable des agissementspotentiels des quelques 1 000 salariés du site ?
Comment les actions de salariés peut être même pas syndiqués sont-el les imputables auxsyndicats ?
Sur la base de quels textes les DS doivent-i ls assumer cela ? Pourquoi sont-i lsl 'interlocuteur unique de la direction pour l 'action de jeudi dernier ?
Puisque la prévention des risques psycho-sociaux est ce qui motive la direction, ladirection a-t-el le conscience que cet argument fonctionne très bien dans les deux sens ?
1 ) Des personnes (combien ? qui sont-i ls ?) ne supportent pas l 'affichage/lesslogans/l 'expression du malaise, i l faut les protéger selon la direction, et réduire touteexpression dérangeant ces personnes.
2) D'autres personnes (combien ?) sont tout autant dérangées par l 'entrave de l'expressiondu malaise, le retrait de l 'affichage, et i l faut aussi les protéger, donc surtout ne pas leurretirer tout moyen d'exprimer leur détresse et leur malaise car cela peut tout autantaugmenter les risques psycho-sociaux.
Une cohabitation est inévitable : la l iberté des uns s'arrête où commence celle des autres ;le plus dur est de savoir où est la l imite qui respecte les deux partis.
Je vous prie de bien vouloir excuser mes "pourquoi" qui correspondent peut être à de lanaiveté, et vous remercie de m'avoir accordé de votre temps, surtout ne vous inquiétezpas, l 'écriture de ce mail m'a bien défoulée . . .
Bien cordialement
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Mercredi 21 Novembre 201 2 : Le maire de la Commune deMas-de-Londres à remis le dossier complet sur l 'audit de Sanofi à MrCOUDERC Raymond Sénateur de L'hérault, lors du congrès des Mairesqui un eu lieu à Paris.
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Je me joins à xxxx pour exprimer ma surprise devant l'amalgame fait par la direction... ety vais de ma petite lecture de son injonction.
Jeudi 1 5 novembre dernier, quelques collaborateurs ont commis des actes de dégradation dematériels au restaurant d'entreprise lors de la pause déjeuner, causant un trouble manifeste.
Quelles dégradations ? au demeurant très minimes puisque invisibles aux yeux de toutun chacun... en tous cas les miens
Quel trouble ? Que dire des animations du restaurant d'entreprise qui à interval les régulierstroublent les convives qui aimeraient bien se restaurer dans le calme, mais se taisent carpuisque cela fait plaisir à certains, pourquoi les en priver ? Doit-on aussi considérer commetrouble les rires et discussions animées qui parfois émail lent cette pause ?
Que veut dire "manifeste" ? Outre le fait que tout manifestant manifeste, ce "manifeste" làcorrespond-i l à une intensité ? quelle en est l 'échelle ? ou plutôt traduit-i l seulement "visible" ?et pour qui a des yeux, la vaguelette et le tsunami sont tous les deux visibles ! On voudrait dontfaire passer la vaguelette pour le tsunami qu'el le n'est pas ?
Mais cela pourrait aussi signifier que le "visible" gène, par là on se rend compte que l'on estdans une idéologie du gris, de l 'atone, de la couleur murail le. . . Quel paradoxe ! comment peut-on ainsi faire preuve de créativité et de visibi l i té pour faire avancer une entreprise si lesdirigeants en craignent tant l 'expression ?
La Direction a alerté l’Intersyndicale sur cette dérive et indiqué le caractère inacceptablede tels agissements.
De bien grand mots: "ALERTE", " DERIVE", "INACCEPTABLE", "DE TELS AGISSEMENTS",totalement disproportionnés avec l'évènement. S'agit-i l d 'une stratégie verbale délibérée,prél iminaire à une action musclée ?
Pourquoi s'en prendre à l 'intersyndicale ? En quoi est-el le responsable de réactions motivéespar le désarroi et le besoin de le faire savoir de la part de personnes qui ne sont pasnécessairement syndiquées, mais qui sont directement concernées par le plan derestructuration de la recherche SANOFI sur le site ?
Comme la direction peut-el le être ainsi aveugle à cette demande expresse de ces personnesd'avoir des réponses sur leur avenir ? réponses qu'el le est dans l 'incapacité de fournir.
El le doit considérer cette manifestation collective comme une expression de détresse, bien pluspuissante que toutes les consultations privées qui sont encouragées dans le cadre del 'évaluation du risque psycho-social, seule manière pour el le de répondre au problème.
Le confessionnal qu'el le a mis en place, qui en l imite l 'expression à l 'échelle de la personne,est un moyen bien pauvre pour espérer endiguer cette détresse.
La Direction réunira dans les meilleurs délais le CHSCT en session extraordinaire pourexaminer avec lui les risques inhérents à de telles actions ou comportements et définirles actions visant à assurer la sécurité des personnes et l’ intégrité des biens.
Cette phrase est bien symptomatique de l'aveuglement "extraordinaire" des dirigeants, quipersistent à ne pas voir les risques qu'i l y a à ignorer la signification profonde de l'évènement. . .et ne voir que des "pseudo" risques, qu'el le met en exergue pour un objectif qui ne la concernequ'el le.
Cette démarche s'inscrit pour la Direction dans sa volonté et son attachement àmaintenir un dialogue social tout en respectant l'ensemble des salariés.
Quel cynisme !
Bonjour à toutes et à tous,
Je souhaite ici m’exprimer en réaction au courriel de la direction d’établ issement envoyé jeudidernier.Je revendique ma/notre droit d’expression : i l va de soi que cette l iberté et ce droit s’ inscriventdans le respect de l’opinion et de la l iberté de l’autre.Dans ce mouvement collectif de protestation et d’ indignation, je ne pense pas être la seule àpenser ainsi ! Par conséquent je refuse la censure tout comme l’autocensure.
Par ail leurs, je tiens à dire que je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir été incitée « à la dérive »par l ’ Intersyndicale ! Soyez donc assuré-e-s de mon soutien.
Je tiens également à vous remercier, pour votre engagement, et pour toute cette énergie quevous déployez.
Une suggestion… je sais que je ne suis pas la seule, là encore, à réagir à ce courriel . Si cen’est pas ouvrir la boîte de Pandore (et je ne fais pas allusion « aux dérives » potentiel lesmais plutôt à la souffrance qui pourrait s’exprimer et face à laquelle nous serions démuni-e-s),peut-être pourrions-nous rajouter une rubrique à la prochaine eNewsHebdo del’ Intersyndicale, dans laquelle chacun pourrait partager son ressenti, de façon anonyme sic’est plus confortable.
Encore merci et…. à bientôt !
Bien cordialement,
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Sanofi dans la presse
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Sanofi dans la presse
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Autres informations
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