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132 17e Congrès de pneumologie de l

12rainage péricardique des tamponnades desatients atteints d’une hypertension pulmonairerécapillaire : une étude monocentrique. Artaud-Macari a, D. Montani a, O. Mercier b, R. Persichini a,. Günther a, X. Jais a, F. Parent a, G. Simonneau a, M. Humbert a,. Sitbon a, L. Savale a

Service de pneumologie, hôpital Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre,ranceService de chirurgie thoracique, CCML, Le Plessis-Robinson,rance

’épanchement péricardique est associé à un pronostic péjoratifhez les patients atteints d’une hypertension artérielle pulmonaireHTAP). Son évolution vers une tamponnade est rare. Le but de cettetude rétrospective est de décrire le devenir des patients atteints’une hypertension pulmonaire sévère ayant été drainés pour uneamponnade.ntre 2005 et 2012, 13 patients dont neuf femmes, âgés de3 ± 14 ans, ont été drainés pour une tamponnade. Cinq patientsrésentaient une HTAP idiopathique, cinq une HTAP associée

une sclérodermie systémique, deux à une forme inopérable’hypertension pulmonaire post-embolique, et un une maladieeino-occlusive. L’évaluation hémodynamique invasive, réaliséentre un jour et 26 mois avant la tamponnade, montrait une PAPm à8 ± 17 mmHg et des RVP à 7,9 ± 5,2 UW. Le volume d’épanchementrainé était de 0,8 ± 0,5L. En périopératoire, neuf patients sur3 ont été mis sous dobutamine et/ou noradrénaline. Trois patientsont décédés dans le mois suivant le drainage, deux patients aprèsuatre et cinq mois, et 1 patient a bénéficié d’une transplanta-ion dans les 15 jours. En comparaison aux survivants, les patientsécédés ou transplantés après drainage présentaient une hémody-amique plus sévère (PAPm 58 vs 37 mmHg, NS ; RVP 9,01 vs 6,9UW,S). De plus, ces patients étaient plus fréquemment traités parrostacyclines (4/6 vs 1/7, NS) avant la tamponnade.e drainage péricardique des tamponnades chez les patientstteints d’hypertension pulmonaire sévère est compliqué d’uneortalité importante. Ces patients doivent donc être adressés aux

entres de références afin d’envisager une intensification thérapeu-ique et/ou une transplantation.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.438

13rofil étiologique des hémoptysies. Alaoui-Yazidi , N. Ouboulmane , L. Amro

Service de pneumologie, laboratoire PCIM, UCA, Marrakech,aroc

ntroduction.— L’hémoptysie est un motif fréquent de consultationn pneumologie. C’est une urgence diagnostique et thérapeutiqueont les étiologies sont multiples. Le but de ce travail est de dressere profil étiologique des hémoptysies.atients et méthode.— Étude rétrospective portant sur 214 patientsospitalisés au service des maladies respiratoires du CHU Moham-ed VI entre janvier 2005 et décembre 2011.ésultats.— La moyenne d’âge est de 48 ans (extrêmes : 18—85 ans).a majorité des patients sont de sexe masculin (74,8 %).’hémoptysie était de faible abondance dans 84 % des cas, deoyenne abondance dans 14 % des cas et de grande abondanceans 2 % des cas. Les principales étiologies retrouvées étaient :e cancers bronchogénique dans 78 cas (36,5 %), la tuberculoseulmonaire évolutive dans 38 cas (17,8 %), les séquelles de tubercu-ose dans 29 cas (13,6 %), les pneumonies bactériennes dans 26 cas

12,3 %), les dilatations de bronches dans 20 cas (9,4 %), l’embolieulmonaire, l’aspergillome pulmonaire respectivement dans cinqas (2,35 %), le kyste hydatique dans quatre cas (1,9 %), les tumeurs

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e francaise — Lille, vendredi 1er au dimanche 3 février 2013

édiastinales dans un cas (0,5 %). Aucune étiologie n’a été retrou-ée chez sept patients (3,3 %). Tous les patients ont recu unraitement symptomatique et étiologique. Nous déplorons deuxécès par hémoptysie massive.onclusion.— Il ressort de cette étude que les principales étiolo-ies des hémoptysies sont les cancers bronchiques et la tuberculoseulmonaire.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.439

14’atteinte pulmonaire au cours des vascularites. Ben Salem , M. Ben Khelifa , A. Abdelghani , I. Gargouri ,. Klebi , S. Mezghéni , A. Garrouche , M. Benzarti

Hôpital Farhat Hached, Sousse, Tunisie

ntroduction.— Les manifestations pulmonaires des vascularites sys-émiques sont fréquentes et polymorphes.a granulomatose de Wegener et le syndrome de Shurg Strauss sontes vascularites dont le tropisme pulmonaire est prédominant.bservations.— Nous rapportons deux observations de patientsrésentant une granulomatose de Wegener, deux observations deatients présentant une polyangéite microscopique et une obser-ation d’une patiente ayant un syndrome de Shurg Strauss. L’âgeoyen de nos patients est de 44 ans dont quatre femmes et un

omme. Les signes fonctionnels respiratoires rapportés sont repré-entés par : une toux hémoptoique dans trois cas, une dyspnée’effort dans deux cas et une dyspnée sifflante dans un cas. Lesxplorations radiologiques montrent des nodules excavés dans deuxas, un aspect en verre dépoli bilatéral dans deux cas et des conden-ations parenchymateuses dans un cas. La fibroscopie bronchiqueontre une muqueuse d’aspect inflammatoire, hyperhémiée dans

rois cas. Une hémorragie intra alvéolaire est notée dans trois cas.es anticorps anti cytoplasme des polynucléaires neutrophiles sontositifs chez trois patients. Une glomérulonéphrite était associéeès le diagnostic ou au cours de l’évolution de la maladie chez troisatients. Un traitement corticoïdes et immunosuppresseur a éténstauré chez quatre patients. Aucun décès n’a été noté.onclusion.— La présentation clinique des vascularites est non spé-ifique, la présentation radiologique peut être trompeuse retardantarfois le diagnostic. Le pronostic s’est amélioré par l’associationes corticoïdes et des immunosuppresseurs.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.440

15ronchiolite lymphocytaire clonale B isolée :iagnostic par analyse de réarrangement génique

. Latu a, V. Cottin a, N. Girard a, F. Thivolet-Béjui b, F. Berger c,. Khouatra a, G. Salles d, J.-F. Cordier a

Pneumologie, hôpital L.-Pradel, Lyon, FranceAnatomopathologie, hôpital L.-Pradel, Lyon, FranceAnatomopathologie, centre hospitalier Lyon-Sud, Lyon, FranceHématologie, centre hospitalier Lyon-Sud, Lyon, France

ontexte.— La bronchiolite lymphocytaire est définie par’infiltration diffuse des parois bronchiolaires par des lymphocytes,arfois organisés en centres germinatifs (bronchiolite folliculaire).bservations.—Femme de 59 ans, non fumeuse, présentant une toux chronique,

n syndrome sec sans anticorps (AC) anti-SSA/SSB, un trouble ven-ilatoire obstructif, des opacités en verre dépoli au scanner, et 51 %e lymphocytes au LBA.

Femme de 54 ans, non fumeuse, présentant une toux chronique,

n trouble ventilatoire restrictif, des micronodules diffus au scan-er, 90 % de lymphocytes au LBA, et une IgG lambda monoclonaleirculante (4,2 g/L).

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