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PROF-EUROPE 2011 1 SOMMAIRE Editorial / Słowo wstępne (fr.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 Sprawozdanie z działalności PROF-EUROPE Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego Organizacji Pożytku Publicznego w roku 2010 (pl.) ............. 2 Activités 2010/2011 / Działalność oddziałów regionalnych PROF-EUROPE (fr.) .......... 8 Tableaux récapitulatifs des sections régionales ............................................. 8 Les Olympiades de Langue française en Pologne ......................................... 17 Site de PROF-EUROPE ............................................................................ 20 2 e Congrès européen des Professeurs de Français – Prague, septembre 2011 / II. Europejski Kongres Nauczycieli Języka Francuskiego – Praga, wrzesień 2011 r. (fr.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 Journées de la Francophonie 2011 / Dni Frankofonii 2011 (fr. / pl.) (Gdańsk, Cieszyn, Koszalin, Zamość, Toruń, Bydgoszcz, Legnica, Mysłowice, Zielona Góra) ............ 27 En direct des sections régionales / Z działalności oddziałów regionalnych (fr./ pl.) (Pszczyna, Zielona Góra, Rzeszów, Lublin, Białystok, Koszalin, Kraków, Bydgoszcz, Warszawa, Łódź) .................................................................................. 46 Méthodologie du FLE – Réflexion / Metodyka języka francuskiego – Refleksje (fr.) .... 81 Grażyna Sałaj – Madame mnie rozumie? Czyli o archetypach nietypowych uczniów na lekcji języka obcego............................................................................ 81 Ewa Kalinowska – La littérature dans le processus d’éducation ......................... 85 Aneta Porczyk-Fromowitz – La sitographie et les ressources pédagogiques .......... 91 Expériences – Projets / Doświadczenia – Projekty (fr.) Zuzanna Kopeć, Letni staż językowy w Vichy ................................................ 93 Activités pratiques Richard Sorbet, Exploitation pédagogique de la chanson ................................ 94 Le français dans les autres langues Pierre Sorbet, Antonomase et les Français célèbres ........................................ 96 Francophonie – civilisation et coutumes / Frankofonia – cywilizacja i obyczaje (fr.) Tradition québécoise – Cabane à sucre ...................................................... 98 Coin littéraire / Kącik literacki (fr.) Alphonse Allais, Le langage des fleurs .......................................................100 PROF-EUROPE Association des Professeurs de Français en Pologne Stowarzyszenie Nauczycieli Języka Francuskiego w Polsce ISSN 1507–7810; nakład: 500 egz. Rédactrice en chef : Ewa Kalinowska Comité de rédaction : Małgorzata Piotrowska-Skrzypek Urszula Paprocka-Piotrowska Rédaction et correction : Ewa Kalinowska Urszula Paprocka-Piotrowska Magdalena Sowa Wydawnictwo Werset n www.werset.pl La rédaction décline toute responsabilité quant à la teneur des articles. Les textes ont été reproduits dans leur intégralité, les retouches concernant exclusivement le côté linguistique. EU PROF PE EDITORIAL Vous tenez en mains le numéro suivant de notre bulletin associatif. Comme toujours, il est publié grâce aux contributions de nos membres et avec l’aide de nos partenaires. Il présente les activités multiples et diversifiées de sections régionales ainsi que celles du Bureau national. Le bulletin sert également comme moyen de promotion ainsi qu’il améliore la visibilité de PROF- EUROPE. Nos lecteurs, qu’ils soient membres de l’Association ou pas, y trouveront, qu’il nous soit permis de le croire, quelque intérêt. Notre Association se réorganise : à la place d’une section, celle de Jastrzębie Zdrój, une nouvelle section – Rzeszów – vient de rejoindre les combattants de la cause du français en Pologne. Ainsi, nous sommes toujours au nombre de 18 sec- tions régionales. Forte de tous ses membres, anciens comme nouveaux, PROF-EUROPE ne cessera pas, dans des condi- tions qui ne sont pas toujours faciles, d’organiser et d’appuyer des manifestations en faveur de la langue française et de la francophonie. L’année 2011 était bien remplie et riche en divers événements et activités. Les tableaux récapitulatifs des activités de PROF-EUROPE en témoignent de manière très claire : le nombre de concours et festivals concernant la France, la francophonie et la langue française est imposant et continue à impliquer beaucoup de participants. La collaboration avec nos partenaires traditionnels – l’Ambassade de France en Pologne, la Délégation Wallonie-Bruxelles et les autorités locales dans différentes régions de Pologne – a permis une organisation plus efficace et des prix attractifs offerts aux lauréats de nombreux concours. Nous continuons notre entreprise liée aux Olympiades de Langue française pour lycéens en Pologne. Puisque le Ministère de l’Éducation nationale a confié à PROF-EUROPE l’organisation des Olympiades pour trois années scolaires successives, nous nous occuperons en 2011/12 à organiser leur XXXV e édition. L’effort de nos membres et collaborateurs visera au meilleur déroulement possible de cet événement important. Pour terminer ce mot d’accueil, le comité de rédaction re- nouvelle son appel permanent, adressé à tous les membres de PROF-EUROPE : le bulletin sera tel que vous le construirez avec vos contributions. N’hésitez pas à nous adresser vos pro- positions, nous ne manquerons pas d’y donner une suite et les accueillorons avec bienveillance. Ewa Kalinowska Rédacteur en chef Vice-Présidente de PROF-EUROPE

05- Bulletin PROF-EUROPE No 12, 2011 : Le Bulletin lui-même, en noir et blanc, pages 1-102

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PROF-EUROPE 2011

1

SOMMAIRE

Editorial / Słowo wstępne (fr.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1

Sprawozdanie z działalności PROF-EUROPE Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego Organizacji Pożytku Publicznego w roku 2010 (pl.) . . . . . . . . . . . . .2

Activités 2010/2011 / Działalność oddziałów regionalnych PROF-EUROPE (fr.) . . . . . . . . . .8Tableaux récapitulatifs des sections régionales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8 Les Olympiades de Langue française en Pologne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17Site de PROF-EUROPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

2e Congrès européen des Professeurs de Français – Prague, septembre 2011 / II. Europejski Kongres Nauczycieli Języka Francuskiego – Praga, wrzesień 2011 r. (fr.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

Journées de la Francophonie 2011 / Dni Frankofonii 2011 (fr. / pl.) (Gdańsk, Cieszyn, Koszalin, Zamość, Toruń, Bydgoszcz, Legnica, Mysłowice, Zielona Góra) . . . . . . . . . . . . 27

En direct des sections régionales / Z działalności oddziałów regionalnych (fr./ pl.) (Pszczyna, Zielona Góra, Rzeszów, Lublin, Białystok, Koszalin, Kraków, Bydgoszcz, Warszawa, Łódź) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

Méthodologie du FLE – Réflexion / Metodyka języka francuskiego – Refleksje (fr.) . . . . 81Grażyna Sałaj – Madame mnie rozumie? Czyli o archetypach nietypowych uczniów na lekcji języka obcego. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81Ewa Kalinowska – La littérature dans le processus d’éducation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85Aneta Porczyk-Fromowitz – La sitographie et les ressources pédagogiques . . . . . . . . . . 91

Expériences – Projets / Doświadczenia – Projekty (fr.) Zuzanna Kopeć, Letni staż językowy w Vichy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93

Activités pratiquesRichard Sorbet, Exploitation pédagogique de la chanson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94

Le français dans les autres languesPierre Sorbet, Antonomase et les Français célèbres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96

Francophonie – civilisation et coutumes / Frankofonia – cywilizacja i obyczaje (fr.) Tradition québécoise – Cabane à sucre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98

Coin littéraire / Kącik literacki (fr.) Alphonse Allais, Le langage des fleurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .100

PROF-EUROPE Association des Professeurs de Français en Pologne Stowarzyszenie Nauczycieli Języka Francuskiego w PolsceISSN 1507–7810; nakład: 500 egz.

Rédactrice en chef : Ewa KalinowskaComité de rédaction : Małgorzata Piotrowska-Skrzypek Urszula Paprocka-PiotrowskaRédaction et correction : Ewa Kalinowska Urszula Paprocka-Piotrowska Magdalena Sowa

Wydawnictwo Werset n www.werset.pl

La rédaction décline toute responsabilité quant à la teneur des articles.Les textes ont été reproduits dans leur intégralité, les retouches concernant exclusivement le côté linguistique.

EUPROF

PE

EDITORIAL

Vous tenez en mains le numéro suivant de notre bulletin associatif. Comme toujours, il est publié grâce aux contributions de nos membres et avec l’aide de nos partenaires. Il présente les activités multiples et diversifiées de sections régionales ainsi que celles du Bureau national. Le bulletin sert également comme moyen de promotion ainsi qu’il améliore la visibilité de PROF-EUROPE. Nos lecteurs, qu’ils soient membres de l’Association ou pas, y trouveront, qu’il nous soit permis de le croire, quelque intérêt.

Notre Association se réorganise : à la place d’une section, celle de Jastrzębie Zdrój, une nouvelle section – Rzeszów – vient de rejoindre les combattants de la cause du français en Pologne. Ainsi, nous sommes toujours au nombre de 18 sec-tions régionales. Forte de tous ses membres, anciens comme nouveaux, PROF-EUROPE ne cessera pas, dans des condi-tions qui ne sont pas toujours faciles, d’organiser et d’appuyer des manifestations en faveur de la langue française et de la francophonie.

L’année 2011 était bien remplie et riche en divers événements et activités. Les tableaux récapitulatifs des activités de PROF-EUROPE en témoignent de manière très claire : le nombre de concours et festivals concernant la France, la francophonie et la langue française est imposant et continue à impliquer beaucoup de participants. La collaboration avec nos partenaires traditionnels – l’Ambassade de France en Pologne, la Délégation Wallonie-Bruxelles et les autorités locales dans différentes régions de Pologne – a permis une organisation plus efficace et des prix attractifs offerts aux lauréats de nombreux concours.

Nous continuons notre entreprise liée aux Olympiades de Langue française pour lycéens en Pologne. Puisque le Ministère de l’Éducation nationale a confié à PROF-EUROPE l’organisation des Olympiades pour trois années scolaires successives, nous nous occuperons en 2011/12 à organiser leur XXXVe édition. L’effort de nos membres et collaborateurs visera au meilleur déroulement possible de cet événement important.

Pour terminer ce mot d’accueil, le comité de rédaction re-nouvelle son appel permanent, adressé à tous les membres de PROF-EUROPE : le bulletin sera tel que vous le construirez avec vos contributions. N’hésitez pas à nous adresser vos pro-positions, nous ne manquerons pas d’y donner une suite et les accueillorons avec bienveillance.

Ewa KalinowskaRédacteur en chef

Vice-Présidente de PROF-EUROPE

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Działalność Stowarzyszenia w 2010 r.2

PROF-EUROPE 2011

Sprawozdanie z działalności PROF-EUROPEStowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego – Organizacji Pożytku Publicznego w roku 2010

Siedziba: Al. Niepodległości 22, 02-653 Warszawa, tel. 022 553 33 33

Adres do korespondencji: Nauczycielskie Kolegium Języków Obcych ul. Dworcowa 80, 85-010 Bydgoszcz fax: (52) 322 16 61 tel.: 0 515 288 458, 0 516 104 611 e-mail: [email protected]

Strona internetowa: www.profeurope.pl

Data wpisu w Krajowym Rejestrze Sądowym: 15.11.2004Numer KRS-u, statystyczny numer identyfikacyjny w systemie REGON, NIP n Numer KRS: 0000221486n Regon: 011115111 NIP 525-16-42-158n Numer konta: BZ WBK S.A. I O/Bydgoszcz 21 1090 1072 0000 0001 0372 2521

Dane dotyczące członków zarządu stowarzyszeniaZarząd Główny:

Prezes: Małgorzata Piotrowska-SkrzypekWiceprezesi: Ewa Kalinowska Urszula Paprocka-PiotrowskaSekretarz: Marlena DeckertSkarbnik: Aleksandra Jaskólska

Struktura stowarzyszenia:W roku 2010 Stowarzyszenie Nauczycieli Języka Fran-cuskiego w Polsce liczyło około 450 zarejestrowanych członków działających w 18 oddziałach regionalnych po-wołanych odpowiednimi uchwałami i zarejestrowanych w Krajowym Rejestrze Sądowym (KRS).

Oddziały regionalne:WarszawaBydgoszcz–ToruńLublinZielona GóraPoznańZamośćKoszalinBiałystok

GliwiceGdańskKrakówLegnicaPszczynaWrocławOlsztynŁódź

Jastrzębie Zdrój oraz Szczecin i Olsztyn – oddziały po-wołane w roku 2010.Oddział regionalny w Jastrzębiu Zdroju został zamknię-ty uchwałą nr 8 z dnia 20 grudnia 2010.

Stowarzyszenie należy do Międzynarodowej Federacji Nauczycieli Języka Francuskiego (FIPF), której siedziba mieści się w Sèvres pod Paryżem (www.fipf.org).

EUPROF

PE1) Dane o organizacji pożytku publicznego: PROF-EUROPE – Stowarzyszenie Nauczycieli Języka Francuskiego w Polsce

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PROF-EUROPE 2011

Działalność Stowarzyszenia w 2010 r. 3

2) Zasady, formy i zakres działalności statutowej

Cele statutowe Stowarzyszenia PROF-EUROPE określone w §5 statutu

n Prowadzenie działalności informacyjnej i szkoleniowej wśród nauczycieli języka francuskiego,

n propagowanie, udostępnianie i opracowywanie nowych metod nauczania języka francuskiego oraz wymiana do-świadczeń w tym zakresie,

n integracja środowiska nauczycieli języka francuskiego, nauczycieli przedmiotów wykładanych po francusku i nauczycieli nauczania zintegrowanego i przedszkolnego, prowadzących zajęcia z języka francuskiego,

n podejmowanie działań w zakresie nauki, edukacji, oświa-ty i wychowania,

n podejmowanie działań na rzecz integracji europejskiej oraz kontaktów i współpracy między społeczeństwami,

n promowanie nauczania języka francuskiego w Polsce na wszystkich szczeblach edukacyjnych,

n wymiana doświadczeń, pomoc w rozwiązywaniu proble-mów dydaktycznych, wzbogacanie i doskonalenie warsz-tatu pracy nauczycieli języka francuskiego,

n ułatwianie startu zawodowego młodym nauczycielom języka francuskiego, absolwentom filologii romańskiej i absolwentom kierunków dających uprawnienia do na-uczania języka francuskiego,

n promowanie idei tzw. frankofonii w Polsce.

Sposoby realizacji celów statutowych określone w §6 i §7 statutu

Stowarzyszenie realizuje swoje cele poprzez:n rozpowszechnianie materiałów naukowo-dydaktycznych,n organizowanie szkoleń dla nauczycieli języka francuskie-

go, w tym organizowanie sympozjów i konferencji nauko-wych,

n tworzenie ośrodków dydaktycznych dla nauczycieli języ-ka francuskiego oraz organizowanie współpracy z innymi ośrodkami tego typu,

n prowadzenie działalności wydawniczej dla nauczycieli ję-zyka francuskiego,

n prowadzenie działalności szkoleniowej,n organizowanie konkursów, festiwali oraz imprez związa-

nych z językiem francuskim, a także szerzeniem kultury Francji i innych obszarów francuskojęzycznych.

§ 7. Stowarzyszenie prowadzi:

działalność odpłatną pożytku publicznego w następującym zakresie:

n integracja środowiska nauczycieli języka francuskiego, nauczycieli przedmiotów wykładanych po francusku i nauczycieli nauczania zintegrowanego i przedszkolne-go, prowadzących zajęcia z języka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n podejmowanie działań w zakresie nauki, edukacji, oświa-ty i wychowania (PKD 91.33.Z)

n podejmowanie działań na rzecz integracji europejskiej oraz kontaktów i współpracy między społeczeństwami (PKD 91.33.Z)

n promowanie nauczania języka francuskiego w Polsce na wszystkich szczeblach edukacyjnych (PKD 91.33.Z)

n wymiana doświadczeń, pomoc w rozwiązywaniu pro-blemów dydaktycznych, wzbogacanie i doskonalenie warsztatu pracy nauczycieli języka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n ułatwianie startu zawodowego młodym nauczycielom języka francuskiego, absolwentom filologii romańskiej i absolwentom kierunków dających uprawnienia do na-uczania języka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n promowanie idei frankofonii w Polsce (PKD 91.33.Z)n rozpowszechnianie materiałów naukowo-dydaktycznych

(PKD 91.33.Z)

n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie językoznawstwa i literaturoznawstwa (PKD 73.20.D)

n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie bibliotekarstwa i informacji naukowo-technicznej

(PKD 73.20.E)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie kulturoznaw-

stwa i sztuk pięknych (PKD 73.20.G)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie psychologii, so-

cjologii i pedagogiki (PKD 73.20.H)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie pozostałych

nauk humanistycznych i społecznych (PKD 73.20.I)n działalność związana z tłumaczeniami i usługami sekre-

tarskimi (PKD 74.85.Z)n działalność związana z organizacją targów i wystaw (PKD

74.87.A)n nauka języków obcych (PKD 80.42.A)działalność wydawnicza drukowania kalendarzy, kart pocz-

towych i plakatów (PKD 22.15.Z)n prowadzenie działalności informacyjnej i szkoleniowej

wśród nauczycieli języka francuskiego (PKD 91.33.Z)n propagowanie, udostępnianie i opracowywanie nowych

metod nauczania języka francuskiego oraz wymiana do-świadczeń w tym zakresie (PKD 91.33.Z)

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Działalność Stowarzyszenia w 2010 r.4

PROF-EUROPE 2011

n organizowanie szkoleń dla nauczycieli języka francuskie-go, w tym organizowanie sympozjów i konferencji nauko-wych (PKD 91.33.Z)

n tworzenie ośrodków dydaktycznych dla nauczycieli języ-ka francuskiego oraz organizowanie współpracy z innymi ośrodkami tego typu (PKD 91.33.Z)

n prowadzenie działalności wydawniczej dla nauczycieli ję-zyka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n prowadzenie działalności szkoleniowej (PKD 80.42.B)n organizowanie konkursów, festiwali oraz imprez związa-

nych z językiem francuskim, a także z szerzeniem kultury Francji i innych obszarów frankofońskich (PKD 91.33.Z)

działalność nieodpłatną pożytku publicznego w następującym zakresie:n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie językoznawstwa

i literaturoznawstwa (PKD 73.20.D)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie bibliotekarstwa

i informacji naukowo-technicznej (PKD 73.20.E)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie kulturoznaw-

stwa i sztuk pięknych (PKD 73.20.G)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie psychologii, so-

cjologii i pedagogiki (PKD 73.20.H)n prace badawczo-rozwojowe w dziedzinie pozostałych

nauk humanistycznych i społecznych (PKD 73.20.I)n działalność związana z tłumaczeniami i usługami sekre-

tarskimi (PKD 74.85.Z)n działalność związana z organizacją targów i wystaw (PKD

74.87.A)n nauka języków obcych (PKD 80.42.A)n działalność wydawnicza drukowania kalendarzy, kart

pocztowych i plakatów (PKD 22.15.Z)n prowadzenie działalności informacyjnej i szkoleniowej

wśród nauczycieli języka francuskiego (PKD 91.33.Z)n propagowanie, udostępnianie i opracowywanie nowych

metod nauczania języka francuskiego oraz wymiana do-świadczeń w tym zakresie (PKD 91.33.Z)

n integracja środowiska nauczycieli języka francuskiego, nauczycieli przedmiotów wykładanych po francusku i na-uczycieli nauczania zintegrowanego i przedszkolnego, pro-wadzących zajęcia z języka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n podejmowanie działań w zakresie nauki, edukacji, oświa-ty i wychowania (PKD 91.33.Z)

n podejmowanie działań na rzecz integracji europejskiej oraz kontaktów i współpracy między społeczeństwami (PKD 91.33.Z)

n promowanie nauczania języka francuskiego w Polsce na wszystkich szczeblach edukacyjnych (PKD 91.33.Z)

n wymiana doświadczeń, pomoc w rozwiązywaniu pro-blemów dydaktycznych, wzbogacanie i doskonalenie warsztatu pracy nauczycieli języka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n ułatwianie startu zawodowego młodym nauczycielom języka francuskiego, absolwentom filologii romańskiej i absolwentom kierunków dających uprawnienia do na-uczania języka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n promowanie idei frankofonii w Polsce (PKD 91.33.Z)n rozpowszechnianie materiałów naukowo-dydaktycznych

(PKD 91.33.Z)n organizowanie szkoleń dla nauczycieli języka francuskie-

go, w tym organizowanie sympozjów i konferencji nauko-wych (PKD 91.33.Z)

n tworzenie ośrodków dydaktycznych dla nauczycieli języ-ka francuskiego oraz organizowanie współpracy z innymi ośrodkami tego typu (PKD 91.33.Z)

n prowadzenie działalności wydawniczej dla nauczycieli ję-zyka francuskiego (PKD 91.33.Z)

n prowadzenie działalności szkoleniowej (PKD 80.42.B)n organizowanie konkursów, festiwali oraz imprez związa-

nych z językiem francuskim,n a także z szerzeniem kultury Francji i innych obszarów

frankofońskich (PKD 91.33.Z).

Formy realizacji celów statutowych w roku 2010

W większości oddziałów Stowarzyszenia przeprowadzono w ciągu całego roku spotkania robocze, szkolenia, konferencje i konkursy. Szczególnie bogate w wydarzenia promujące język francuski wśród młodzieży i społeczności lokalnej są Światowe Dni Frankofonii obchodzone w marcu.

Informacje dotyczące działalności oddziałów

Osiemnaście oddziałów regionalnych PROF-EUROPE : Białystok, Bydgoszcz–Toruń, Gdańsk, Gliwice, Jastrzębie Zdrój, Koszalin, Kraków, Legnica, Lublin, Łódź, Olsztyn, Poznań, Pszczyna, Szczecin, Warszawa, Wrocław, Zamość oraz Zielona Góra, zaplanowało na rok szkolny (akademic-ki) 2010/2011 organizację wielu imprez w kilkunastu miastach Polski:

(tabele dot. działalności Stowarzyszenia i jego wszystkich oddziałów regionalnych znajdują się w dalszej części niniejszego numeru biuletynu)

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PROF-EUROPE 2011

Działalność Stowarzyszenia w 2010 r. 5

Współpraca z innymi instytucjami

PROF-EUROPE aktywnie współpracuje z Fundacją Roz-woju Systemu Edukacji. Wspólnie organizuje szkolenia dla nauczycieli dotyczących programów europejskich Comenius i eTwinning. Fundacja przy współpracy z naszym Stowarzy-szeniem z dużym powodzeniem organizuje konkurs „eTwin-ning po francusku” Konkurs polega na przygotowaniu i prze-prowadzeniu projektu w ramach programu eTwinning, w któ-rym jednym z języków komunikacji jest język francuski.

PROF-EUROPE kontynuuje współpracę z Francuską Izbą Przemysłowo-Handlową w Polsce (CCIFP) i bierze udział w organizowanych przez Izbę Francuskich dni kariery – Fo-rum na rzecz zatrudnienia, które co roku odbywają się w mar-cu w Bibliotece Uniwersyteckiej w Warszawie.

Zarząd Główny reprezentuje Stowarzyszenie na cyklicz-nych zebraniach partnerów działających na rzecz rozwoju języka francuskiego w Polsce. W spotkaniach w 2010 roku organizowanych w Warszawie, brali udział m.in. przedsta-wiciele Ambasady Francji, TPPF, CCIFP, Uniwersytetu War-szawskiego, Instytutu Francuskiego, Alliance Française i wy-dawnictw. Celem zebrań było wzajemne przekazanie infor-macji na temat bieżących działań oraz na temat organizowa-nia wspólnych akcji na rzecz promocji języka francuskiego.

Współpraca z Ambasadą Francji

Stowarzyszenie aktywnie współpracuje z Ambasadą Francji w Polsce, głównie z przedstawicielami Działu Współpra-cy Kulturalnej Ambasady Francji, którzy zawsze zaznaczają swoją obecność podczas ważnych przedsięwzięć Stowarzy-szenia. Stowarzyszenie otrzymuje także roczną subwencję z Ambasady Francji na realizację swych celów statutowych i wydawanie biuletynu.

Udział w szkoleniach i seminariach międzynarodowychUdział w konferencjach i seminariach służył nawiązywaniu

kontaktów ze stowarzyszeniami nauczycielskimi oraz na wy-mianie doświadczeń. Osoby reprezentujące PROF-EUROPE wygłaszały referaty i przedstawiały wyniki projektów.

Biuletyn PROF-EUROPE (ISSN 1507-7810)

W 2010 roku ukazał się 143 stronicowy 11 numer biulety-nu PROF-EUROPE poświęcony działalności Stowarzyszenia w latach 2009 i 2010. Biuletyn w sposób szczegółowy opisuje imprezy promujące język francuski i kulturę krajów francu-skojęzycznych, które odbyły się w poszczególnych oddziałach w ramach Światowych Dni Frankofonii i nie tylko. Zawiera ponadto informacje dotyczące przebiegu XXXIII Olimpia-dy Języka Francuskiego oraz przedstawia bogate materiały z zakresu dydaktyki nauczania języka francuskiego, m.in. scenariusze lekcji, tzw. kącik literacki oraz wiele propozycji ćwiczeń do wykorzystania przez nauczycieli.

Prace redaktorskie i wydawnicze koordynowała Wicepre-zes Stowarzyszenia pani Ewa Kalinowska – redaktor naczelny Biuletynu we współpracy z Małgorzatą Piotrowską-Skrzypek, Prezesem Stowarzyszenia, oraz Urszulą Paprocką-Piotrow-ską, Wiceprezes Stowarzyszenia.

3) informacja o prowadzonej działalności gospodarczej według wpisu do rejestruprzedsiębiorców Krajowego Rejestru Sądowego

Stowarzyszenie nie prowadzi działalności gospodarczej

Stowarzyszenie współpracuje regularnie z następującymi instytucjami:

1. FIPF (Międzynarodowa Federacja Nauczycieli Języka Francuskiego) 2. CECO (Komisja Europy Centralnej i Wschodniej) 3. Ambasada Francji w Polsce 4. Ambasada Belgii w Polsce – Delegacja Walonii-Brukseli 5. Nauczycielskie Kolegia Języków Obcych 6. Władze samorządowe lokalne i regionalne. 7. Ośrodki Kultury 8. Wydawnictwa: CLE International, Hachette, Didier 9. Księgarnia „Nowela” 10. Muzeum Miejskie w Żorach 11. Biblioteki 12. Lokalna prasa i radio

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Działalność Stowarzyszenia w 2010 r.6

PROF-EUROPE 2011

4) odpisy uchwał zarządu stowarzyszenia

przyjmuje niniejszym jej rezygnację z wyżej wymienionej funkcji z dniem 20 września 2010 r.

n Uchwała nr 4/2010Zarządu Głównego Prof-Europe Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego z siedzibą w Warszawie z dnia 20 września 2010 r.Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PROF - EUROPE w Warszawie w związku z uchwałą nr 3/2010, w oparciu o art. 14 ust. 3 Statutu Stowarzyszenia, posta-nawia powołać do Zarządu Głównego na stanowisko Sekretarza Panią Mar-lenę Deckert, która będzie sprawować objętą funkcję od dnia 20 września 2010 r. do czasu upływu kadencji obecnego Zarządu Głównego Stowa-rzyszenia.

n Uchwała nr 5 /2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warsza-wie z dnia 18 listopada 2010Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PRO-F-EUROPE w Warszawie w oparciu: o § 21 ust. 1 pkt e w związku z § 4 statutu Stowarzyszenia oraz nawią-zując do protokołu z zebrania zało-życielskiego ODDZIAŁU OLSZTYN z dnia 25 września 2009, przesłanego z Olsztyna, powołuje nowy Oddział Stowarzyszenia z siedzibą w Olsztynie (10-542) przy ul. Dąbrowszczaków 39, I p. Pełna nazwa nowego oddziału to PROF-EUROPE STOWARZYSZENIE NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCU-SKIEGO ODDZIAŁ W OLSZTYNIE.

n Uchwała nr 6/2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warszawie z dnia 18 listopada 2010Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE w Warszawiew oparciu o dane otrzymane z: PROF- EUROPE STOWARZYSZENIE

n Uchwała nr 1 /2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warsza-wie z dnia 14 lipca 2010Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PROF- EUROPE w Warszawie w oparciu: o § 21 ust. 1 pkt e w związku z § 4 statutu Stowarzyszenia oraz nawią-zując do protokołu z zebrania założy-cielskiego ODDZIAŁU SZCZECIN z dnia 29 kwietnia 2010, przesłanego ze Szczecina, powołuje nowy Oddział Stowarzyszenia z siedzibą w Szczecinie (71-065) przy Al. Piastów 40 B, bud. 4. Pełna nazwa nowego oddziału to PROF-EUROPE STOWARZYSZENIE NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCU-SKIEGO ODDZIAŁ W SZCZECINIE.

n Uchwała nr 2 /2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warsza-wie z 16 lipca 2010Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PRO-F-EUROPE w Warszawie w oparciu o dane otrzymane z: PROF-EUROPE STOWARZYSZENIE NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCUSKIEGO OD-DZIAŁ BIAŁYSTOK, dotyczące zmia-ny adresu oddziału z ul. Liniarskiego 3, kod: 15-420 Białystok na aktualny adres: ul. Fabryczna 10, kod 15-483 Białystok podejmuje uchwałę o zmia-nie siedziby PROF-EUROPE STOWA-RZYSZENIE NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCUSKIEGO ODDZIAŁ BIAŁY-STOK. Pełen aktualny adres to: 15-483 Białystok ul. Fabryczna 10.

n Uchwała nr 3/2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warsza-wie z dnia 20 września 2010 r.Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE w Warszawie w związku ze złożoną rezygnacją w dniu 20 września 2010 r. przez Sekretarza Stowarzysze-nia Panią Annę Koenig-Wiśniewską

NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCU-SKIEGO ODDZIAŁ BYDGOSZCZ, dotyczące zmiany adresu i nazwy oddziału Bydgoszcz z 85-010 Byd-goszcz, ul. Dworcowa 80 na aktualny adres: ul. Żwirki i Wigury 49 , 87-100 Toruń, podejmuje uchwałę o zmianie siedziby PROF-EUROPE STOWA-RZYSZENIE NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCUSKIEGO ODDZIAŁ BYD-GOSKO-TORUŃSKI. Pełen aktualny adres to: 87-100 Toruń, ul. Żwirki i Wigury 49.

n Uchwała nr 7 /2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warsza-wie z dnia 20 grudnia 2010Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE w Warszawiew oparciu o dane otrzymane z: PROF-EUROPE STOWARZYSZENIE NA-UCZYCIELI JĘZYKA FRANCUSKIE-GO ODDZIAŁ KOSZALIN, dotyczą-ce zmiany adresu i nazwy oddziału Koszalin z 75-582 Koszalin, ul. Leśna 1 na aktualny adres: ul. Podgórna 55, kod 75-335 Koszalin podejmuje uchwałę o zmianie siedziby PROF-EUROPE STOWARZYSZENIE NAUCZYCIELI JĘZYKA FRANCUSKIEGO OD-DZIAŁ KOSZALIN. Pełen aktualny adres to: 75-335 Koszalin ul. Podgór-na 55.

n Uchwała nr 8/2010Zarządu Głównego Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE z siedzibą w Warsza-wie z dnia 20 grudnia 2010Zarząd Główny Stowarzyszenia Na-uczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE w Warszawiew oparciu o dane otrzymane z: PROF-EUROPE STOWARZYSZENIE NA-UCZYCIELI JĘZYKA FRANCUSKIE-GO ODDZIAŁ JASTRZĘBIE ZDRÓJ, dotyczące zamknięcia oddziału JASTRZĘBIE ZDRÓJ z siedzibą ul. Opolska 3, 44-335 Jastrzębie Zdrój podejmuje uchwałę o zamknięciuOddziału Jastrzębie-Zdrój.

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PROF-EUROPE 2011

Działalność Stowarzyszenia w 2010 r. 7

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Tableau récapitulatif n Activités 2010/20118

PROF-EUROPE 2011

PROF-EUROPEAssociation des Professeurs de Français en Pologne

Activités, rencontres et manifestations 2010-2011 Tableau récapitulatif

PROF-EUROPE, avec ses dix-huit sections régionales – Bia-łystok, Bydgoszcz-Toruń, Cracovie, Gdańsk, Gliwice, Jastrzę-bie Zdrój, Koszalin, Legnica, Lublin, Łódź, Olsztyn, Poznań, Pszczyna, Szczecin, Zamość, Zielona Góra, Varsovie, Wrocław organise au cours de l’année scolaire/universitaire 2010/2011 plusieurs événements et manifestations dans plusieurs villes de Pologne :n 49 concours et festivals concernant la France, la fran-

cophonie et la langue française (théâtre, chanson, po-ésie, présentations multimédia, orthographe...) pour les apprenants (différents niveaux et publics) ;

n 21 formations et ateliers pour les enseignants et/ou les apprenants ;

n 8 séminaires et forums d’échange des expériences (didactique du FLE, exploitations de différents sup-ports, manuels utilisés, etc.) ;

n 8 manifestations culturelles (concerts, expositions, différents spectacles artistiques) ;

n 13 rencontres avec les éditeurs / auteurs de méthodes FLE ;

n une quinzaine de différents projets : rencontres avec des représentants des autorités locales et avec ceux d’agences de projets et programmes européens (Comenius, e-Twinning) événements divers liés à la célébration des Journées de la Francophonie – comme spectacles et autres, etc.;

n ainsi qu’un nombre indéterminé de réunions de tra-vail de membres de l’Association (discuter et fixer le programme, préparer des événements et manifesta-tions) ou ludiques (pex. projections de films, Noël) ;

n l’Association PROF-EUROPE a renouvellé sa candida-ture au concours à offres, publié par le Ministère de l’Education nationale pour l’organisation des Olym-piades de la Langue française pour les lycéens en Pologne, la candidature a été retenue : ainsi, le Bureau national et les sections régionales prennent activement part à l’organisation des étapes sucessives des Olym-piades – scolaire (novembre 2010), régionale (janvier 2011) et centrale (mars 2011). Le site des Olympiades est actif : www.ojf.org.pl

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

2010-2011 Gimnazjum No 9, Lublin Création de la section bilingue de français au Lycée No 3 de Lublin

Anna Białek-Marek [email protected] Thomas Laigle [email protected]

action 2010-2011

Collèges et lycées à Szczecin et à Stargard Szczecinski

Lettre aux directeurs des écoles surl’introduction du français

[email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected]

le 11 septembre 2010

Université de Zielona Góra,Philologie romane siège de la section régionale de PROF-EUROPE, Zielona Góra

ATELIER PÉDAGOGIQUEpour les professeurs de français de la région:n activités pour 2010-2011. Actualités de l’Association.n nouveautés de Didier et le TNI

Andrzej Kaczmarek [email protected] Rougier

le 13 septembre 2010

UKKNJF UW, Varsovie Atelier « Le Goncourt et les macarons - une approche innovante de la civilisation dans les méthodes HACHETTE ».

Barbara Klimek [email protected] Dominika OstrowskaOlivier Martin

le 15 septembre 2010

Lycée No 23, Lublin Présentation des parutions HACHETTE par B. Klimek, D. Ostrowska & O. Martin.Réunion de rentrée de PROF-EUROPE Lublin

Marlena Deckert [email protected] Richard Sorbet [email protected]

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PROF-EUROPE 2011

Activités 2010/2011 n Tableau récapitulatif 9

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

le 16 septembre

Siège de la section régionale de PROF-EUROPE,Cracovie

Rencontre des membres de la section régionale – projets pour 2010/2011

Aneta Wojtaszek [email protected]

les 20-24 septembre 2010

ZSO no 2 (Ensemble d’Ecoles d’Enseignement général),Bydgoszcz

Conférence et cycle de cours : Kopernikada Językowa „Pourquoi apprendre le français?”

Aleksandra Jaskólska [email protected]

le 22 septembre 2010

UKKNJF UW, Varsovie

Conférence sur le Canal du Midi, grand œuvre du règne de LOUIS XIV, précédée par une présentation de l’offre de séjours linguistiques.

ATOUT FRANCE et son Club Français du Tourisme des Jeunes [email protected]

le 25 septembre 2010

ZSO no 2 (Ensemble d’Ecolesd’Enseignement général),Bydgoszcz

Réunion de la sectionElections du nouveau bureau régional.Mini-formation sur l’utilisation pédagogique du TBI pendant les cours de français (A. Jaskólska)Présentation des manuels numériques Didier (N. Rougier)

Marta Samolej-Chmielewska [email protected]

le 29 septembre 2010

Dom Bretanii, Poznań Réunion des enseignants du FLE / responsables des concours, festivals dans la région

Maria Szozda [email protected] 61 851 6852

le 29 septembre 2010

Chaire de Philologie romaneul. Piastów 44, Szczecin

Réunion des membres du bureau régional de Szczecin

[email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected]

septembre 2010

Lycée Semi–Privé d’Ensei-gnement Général STO, ul. Fabryczna 10, BiałystokLycée d’Enseignement Général n° 2ul. Narewska 11, Białystok

Journée Internationale des Langues Étrangères Ewa Tyburczy [email protected] Kopeć [email protected]

les 7 – 10 octobre 2010

Uniwersytet Śląski, Katowice Participation des membres de la section au séminaire « Créativité, informatique et évalution en classe de français »

Ambassade de France en Pologne Université de Silésie Département des langues étrangères de Sosnowiec

le 8 octobre 2010

I LO im. Bolesława Chrobrego,Muzeum Zamkowe, Pszczyna

IVe Forum Francophone : Silésie – l’appétit vient en apprenant

Edyta Wojciech [email protected]

le 8 octobre 2010

UKKNJF UW, Varsovie

Comment préparer les élèves aux olympiades de langue française?

Anna Grzegorowska [email protected] Sylwia Włodarczyk

le 9 octobre 2010

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Atelier pédagogique : Documents authentiques version numérique pour le TBI

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr

le 12 octobre 2010

Université de Zielona Góra et écoles primaires

Visite de Michel Imbert, attaché de l’Ambassade de France : mise en perspective de la situation du français dans la région et élaboration des projets de promotion. Rencontres avec des enseignants et des directeurs.

Andrzej [email protected]żbieta Jastrzębska [email protected]

le 12 octobre 2010

Lycée d’Enseignement Général no VIII, Wrocław

Conférence d’ouverture pour les enseignants de français. « TBI dans l’enseignement de la langue française ».

Barbara KlimekRenata Kalińska-Delipacy [email protected]

le 13 octobre 2010

Chaire de Philologie romaneul. Piastów 44, Szczecin

Réunion des membres du Bureau régional de Szczecin

[email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected]

le 16 octobre 2010

Lycée d’Enseignement Général N° II ul. Partyzantów 68, Zamość

Rencontre des membres de la section de Zamość:n projets à réaliser en 2010/11n compte-rendu du stage pédagogique de Nantes(K. Wyszyńska-Gwozda et E. Balicka-Złomaniec)Présentation des nouveautés de Didier – par K. Nita

Bernarda Paszko [email protected]

le 22 octobre 2010

UKKNJF UW, Varsovie Atelier méthodique :Enseignement précoce.

Anna Grzegorowska [email protected]

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Tableau récapitulatif n Activités 2010/201110

PROF-EUROPE 2011

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

le 23 octobre 2010

Alliance Française, Toruń

Présentation des nouveautés CLE International (A.Kowalska). Présentation de la possibilité de coopération scolaire „L’ouverture à l’international des établissements d’enseignement polonais”(P. Schaller)

Agnieszka Pietrzak [email protected]

le 23 octobre 2010

TPPF (Association d’Amitié Pologne-France)Al. Daszyńskiego 21,Cracovie

Atelier de théâtre : jeu théâtral pour capter l’attention des adolescents (par Axel Devreeste)Rencontre avec le repésentant de Didier, Mme K. Nita

Aneta Wojtaszek [email protected]

le 25 octobre 2010

Collège de Bestwinka (section de Pszczyna)

La semaine d’eTwinning. eTwinning en français Anna Tomaszczyk [email protected]

le 5 novembre 2010

UKKNJF UW, Varsovie Présentation des critères d’évaluation aux examens DELF et DELF junior.

Justyna Bacz-KaziorLidia KowalskaBarbara Kukuryka

le 10 novembre 2010

Centre Polono–Français Côtes d’Armor – Warmia i Mazury, Olsztyn

„Fest-Noz” à l’école: musique bretonne, danses, dégustation des crêpes et galettes – pour les lycéens apprenant le français : Lycée n˚ II et Lycée No IV à Olsztyn

Centrum Polsko-Francuskie 89 527 63 73 [email protected]

le 10 novembre 2010

Chaire de Philologie romaneul. Piastów 44, Szczecin

Réunion des membres de la section régionale de Szczecin (présentation des projets pour 2010-2011)

[email protected] [email protected] [email protected]

le 15 novembre 2010

Chaire de Philologie romaneul. Piastów 44, Szczecin

Réunion consacrée aux leçons de promotion du français dédiée aux étudiants de Philologie Romane

[email protected] [email protected]

le 19 novembre 2010

Centre Polono–Français Côtes d’Armor – Warmia i Mazury. Bibliothèque pour les jeunes Abecadło, Olsztyn

La Bretagne pour les enfants: jeu éducatif, cours de danse, dégustation de gâteaux bretons

Centrum Polsko-Francuskie 89 527 63 73 [email protected]

le 23 novembre 2010

Lycée d’Enseignement Général et Technologique à Ciechanowiec

IVe concours de traduction Juvenes Translatores 2010 diffusé par La direction générale de la traduction (DGT) de la Commission européenne

Sebastian Orłowski [email protected]

le 24 novembre 2010

Lycée d’Enseignement Général no VIII, Wrocław

Conférence des enseignants des écoles maternelles et primaires de Wrocław.

Michel ImbertGrażyna Sojka – Alliance FrançaiseRenata Kalińska-Delipacy [email protected]

le 25 novembre 2010

Gimnazjum No 9, Lublin Concours de Civilisation Française et Francophone pour les classes de 6ème des Écoles Primaires

Anna Białek-Marek [email protected] Justyna Pasternak [email protected]

le 26 novembre 2010

Librairie Edukator, Cracovie Rencontre avec les représentantes de CLE International et DidierAdrianna Kowalska, Krystyna Nita

Aneta Wojtaszek [email protected]

le 29 novembre 2010

Gimnazja de la région, Coujavie-Poméranie

IIe Concours de Voïvodie en Langue française pour collégiens (étape scolaire)

Marta Samolej-Chmielewska [email protected] Wojciechowska [email protected]

le 30 novembre 2010

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Atelier pédagogique de Clé International/Nowela«Versions numériques des manuels pour le TBI»

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr

le 30 novembre 2010

Lycée Semi –Privé d’Enseignement Général STOul. Fabryczna 10,15-483 Białystok

Réunion des membres de la section régionale :n Échange des expériences du stage de Vichy,n Bilan des concours : Polyglottes 2010 et Francophonie Poétique 2010n Présentation des exercices avec le TBIn Bilan du concours « Printemps francophone à Bialystok»

Zuzanna Kopeć [email protected] Elżbieta Hanc [email protected] Ewa Tyburczy [email protected] Czyżewska [email protected]

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PROF-EUROPE 2011

Activités 2010/2011 n Tableau récapitulatif 11

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

novembre 2010 -juin 2011

École primaire No 1,Collège No 1, Lycée No 2, Groupe Scolaire à Stargard Szczecinski, Collège des Salésiens à Szczecin

Cycle de leçons de promotion du français et de l’italien

[email protected] [email protected] [email protected]

les 30 nomebre -1er décembre 2010

Ecole maternelle No 6, Gimnazjum No 12 et Centre Polono–Français Côtes d’Armor – Warmia i Mazury, Olsztyn

„La crèche” - spectacle de marionnettes en français présenté par le groupe théâtral Via Cane de Côtes d’Armor (France)

Centrum Polsko-Francuskie 89 527 63 73 [email protected]

le 3 décembre 2010

UKKNJF UW, Varsovie Jeux pour les adolescents et adultes.Présentation des jeux ELI.

Anna Grzegorowska [email protected] Porczyk-Fromowitz

le 4 décembre 2010

NKJO à ToruńZespół Szkół Katolickich im. J. Długosza à Włocławek (présentation Hachette)

Présentation des projets à réaliser par Ambassade de France en Pologne en 2011 (Pascal Schaller);Comment participer au programme e-Twinning ? par Marta Samolej-Chmielewska; Projets trilatéraux dans le cadre de PNWM par Marta Samolej-Chmielewska; „Le Goncourt et les macarons. Une approche innovante de la civilisation dans les méthodes Hachette” (D. Ostrowska)

Marta Samolej-Chmielewska [email protected]

le 6 décembre 2010

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

VIIème Concours de langue française pour les élèves des lycées (sélection scolaire)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr Dorota Kołodziejska [email protected]

le 6 décembre 2009

NKJO, Gliwice Dictée de Saint Nicolas pour les étudiants de NKJO de Gliwice et les élèves des lycées et gimnazjum de Silésie

Enseignants: Anna Szkonter-Bochniak, Elżbieta Kempny, Iwona StasikowskaEwa Figas, Małgorzata Twardoń

le 7 et 20 décembre 2010

III LO PszczynaZSE Pszczyna

Concours d’orthographe « Ça s’écrit comment? » Alina Jaworska [email protected]

le 9 décembre 2010

Université de Zielona Górasiège de la section régionale de Zielona Góra

Réunion des membres du bureau régional. Planification des actions pour 2010-2011

Andrzej Kaczmarek [email protected]żbieta Jastrzębska [email protected]

le 9 décembre 2010

Collèges de la ville,Wrocław

Concours de Langue Française pour la région de la Basse Silésie – première étape.

Coordinateur – Renata Kalińska-Delipacy [email protected]

le 10 décembre 2010

I. LO im. Bolesława Chrobrego, Pszczyna

Réunion des membres de la section régionale Edyta Wojciech [email protected] Jaworska [email protected] Koczy [email protected]

le 10 décembre 2010

ROMANICA, Świdnik Présentation-Atelier de CLE International par A. Kowalska

Katarzyna Królik [email protected]

le 11 décembre 2010

Lycée d’Enseignement Général No II ul. Partyzantów 68, Zamość

Formation pour enseignants « Comment travailler avec le TNI - méthodes Echo, Vitamine, le Nouvel Alex et Zoé, et Amis et Compagnie , présentation des nouveautés de CLE International par A. Kowalska

Bernarda Paszko [email protected]

le 17 décembre 2010

UKKNJF UW, Varsovie Soirée « Chants de Noël ». Rencontre traditionnelle de Noël.

Agnieszka Snarska [email protected]

le 17 décembre 2010

Dom Bretanii, Poznań Réunion : Promotion de l’enseignement du français dans la région de Grande Pologne en présence des autorités éductives de ville de Poznańet Soirée de Noël des membres de PROF-EUROPE

Maria Szozda [email protected] Schaller [email protected]

le 17 décembre 2010

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Réunion des membres de l’équipe lançant la nouvelle formule du concours pour les élèves des écoles primaires. (Atelier de travail)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr

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Tableau récapitulatif n Activités 2010/201112

PROF-EUROPE 2011

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

le 21 décembre 2010

Gimnazjum no 3 à ToruńZSO No 2 à Bydgoszcz

IIe Concours de Voïvodie en Langue française pour collégiens (étape régionale)

Marta Samolej-Chmielewska [email protected] Wojciechowska [email protected]

décembre 2010

Centrum Edukacji Nauczycieli w Koszalinie,ul. Ruszczyca 15

Atelier pour les enseignants-E-learning : projet linguistique en classe de FLE

Katarzyna Sobańska [email protected]

décembre 2010 – mars 2011

NKJO, Toruń Concours pour collégiens et lycéens « Les fabuleuses histoires des héros francophones ». Finale du concours aura lieu en mars 2011 au NKJO

Anna Żurawska [email protected] [email protected] Schaller (Antenne de l’Ambassade de France) [email protected]

le 7janvier 2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Réunion des membres de l’équipe travaillant sur la littérature et la poésie dans la classe de FLE.(Atelier de travail)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr

le 14 janvier 2011

UKKNJF UW, Varsovie Comment utiliser les documents authentiques en classe de langue ?

Dorota Biele [email protected]

le 14 janvier 2011

Gimnazjum No 9, Lublin Date butoire pour rendre les présentations multi-média du 5ème Concours Multimédia (pour les collè-ges et les lycées). Thème : « Ma leçon de français»

Anna Białek-Marek [email protected] Justyna Pasternak [email protected]

le 21 janvier 2011

Lycée d’Enseignement général No 6, ul. Wąska 7,Cracovie

Atelier : introduire l’histoire de l’art dans l’enseignement du français Intervenante : mgr Dorota Jędruch, historienne de l’art

Aneta Wojtaszek [email protected]

janvier 2011 Urząd Marszałkowski, Olsztyn

Conférence des directeurs des établissements scolaires pour la promotion de la langue française dans les écoles primaires et collèges dans la région de Warmie et Mazurie

Centrum Polsko-Francuskie 89 527 63 73 [email protected]

janvier – mars2011I EtapeFinale

Dans les établissements scolaires intéressés

Université de Zielona Góra

CONCOURS DE LA CONNAISSANCE DE LA LANGUE FRANÇAISE „ Le français c’est pas difficile ” (pour collégiens)

Andrzej Kaczmarek [email protected] Fligier [email protected]

janvier-mars 2011

Région de Coujavie-Poméranie

Réalisation du projet Le français, c’est branché-leçons de promotion du français

Renata Sadowska [email protected] Lajus [email protected] Schaller (Antenne de l’Ambassade de France) [email protected]

le 4 février 2011

UKKNJF UW, Varsovie Comment enseigner le français aux collégiens ?+ présentation des manuels pour collégiens

Grażyna Sałaj [email protected] + éditeurs

le 9 février2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Xe Concours de la langue française pour les élèves des écoles primaires (Sélection scolaire)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr Katarzyna Karolczak-Barczyńska [email protected]

le 11 février2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

VIIe Concours de la langue française pour les élèves des lycées (Sélection – région)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr Dorota Kołodziejska [email protected]

le 26 février 2011

Nidzicki Ośrodek Kultury, Nidzica

Concours de la chanson, de la poésie et de la prose françaises

Zespół Szkół w Nidzicy 89 625 21 71

le 26 février 2011

LO No 2, Poznań XXIXe Festival de la Chanson Française Zofia Lis [email protected]

février 2011 NKJO, Toruń Présentation du manuel „Version Originale” des éditions Difusión (Elżbieta Tomczak)

Marta Samolej-Chmielewska [email protected]

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PROF-EUROPE 2011

Activités 2010/2011 n Tableau récapitulatif 13

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

février 2011 Lycée d’Enseignement Général No II ul. Partyzantów 68, Zamość

Rencontre de travail – préparations des concours Bernarda Paszko [email protected]

février 2011 Université de BialystokChaire de la Philologie française, ul. Liniarskiego 2,Białystok

Conférence pour les professeurs de français de la Voïvodie de Podlachie

Barbara Głowacka [email protected] Université de Białystok

février 2011 Państwowa Wyższa Szkoła Zawodowa, ul. Leśna 1,Koszalin

Concours de la prose et de la poésie Aleksandra Sajek [email protected]

février 2011 KJO UAM, Poznań Stage de formation : Comment enseigner la langue aux enfants avec différents déficits ?

Maria Szozda [email protected] 604-428 007

février-mars 2011

Gimnazjum No 9, Lublin Remise des prix et présentations du 5ème Concours Multimédia « Ma leçon de français »

Anna Białek-Marek [email protected] Justyna Pasternak [email protected]

février – mars 2011

NKJO, Legnica Xe Concours de traduction de la poésie et de la prose françaises

Krzysztof Jeleń [email protected]

février – mars 2011I Etape /éliminations/Finale

Dans les établissements scolaires intéressésUniversité de Zielona Góra

CONCOURS SUR LA CULTURE FRANÇAISE ET FRANCOPHONE /pour lycéens de la région /

Andrzej Kaczmarek [email protected] Jacek Kędziora [email protected]

février ou mars ou avril 2011

TPPF (Association d’Amitié Pologne-France), Al. Da szyń-skiego 21, Cracovie

Atelier de théâtre : Capter l’attention des apprenants et agrémenter ses cours de français (par Axel Devreeste, acteur)

Aneta Wojtaszek [email protected] [email protected]

le 4 mars 2011

Gimnazjum No 3, Toruń IIe Concours de Voïvodie en Langue française pour collégiens (finale)

Marta Samolej-Chmielewska [email protected]

le 7 mars 2011

Collège No 10, Lublin 6ème Concours : Connaissance de la France (pour collégiens, lycéens et étudiants)

Anna Białek-Marek [email protected] Magda Supryn-Klepcarz [email protected] Agnieszka Drzewiecka [email protected]

le 8 mars 2010

NKJO, Legnica VIe Dictée de la Langue Française dans la Région du Cuivren catégorie : écoles primaires et collègesn catégorie : lycées généraux et lycées techniques

Lucyna Rybarczyk [email protected] Jeleń [email protected]

le 9 mars 2011

Centre Polono–Français Côtes d’Armor – Warmia i Mazury, Olsztyn

IIe Concours Régional de Langue Française pour collégiens

Jan Horbacz 89 757 40 12Centrum Polsko-Francuskie 89 527 63 73

le 11 mars 2011

UKKNJF UW Varsovie Rencontre pour les enseignants voulant participer au Festival Théâtral.

Anna Grzegorowska [email protected]

le 11 mars2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

VIIe Concours de Langue française pour lycéens(Finales)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr Dorota Kołodziejska [email protected]

le 16 mars2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Xe Concours de Langue française pour les élèves des écoles primaires(Sélection – région)

Włodzimierz Glamaciński glamacinski@voilà.fr Katarzyna Karolczak-Barczyńska [email protected]

le 16 mars 2011

Ensemble ScolaireZS No 2, Poznań

Concours : Connaissez-vous la France ? niveau lycée Małgorzata Matuszek [email protected] Rudnicka

le 17 mars 2011

Gimnazjum nr 1 z Oddziałami Dwujęzycznymi im. W. Kor-fantego, Mysłowiceul. Wlk. Skotnica 84 a

Concours “Francophonie à travers TV5 Monde“3e édition

Mirosława Bogacz [email protected]łgorzata Caban [email protected]

Page 14: 05- Bulletin PROF-EUROPE No 12, 2011 : Le Bulletin lui-même, en noir et blanc, pages 1-102

Tableau récapitulatif n Activités 2010/201114

PROF-EUROPE 2011

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

le 17 mars 2010

NKJO Legnica Concert de la chanson française, par le groupe artistique du Centre de Culture de Polkowice

Ida Tamara Zagórska NKJO de Legnica

le 18 mars 2011

Centre de Culture, Głogów „Fête de la francophonie à Głogów” Ewa et Krzysztof Jeleń[email protected]

le 18 mars 2011

Gimnazjum nr 1 z Oddziałami Dwujęzycznymi im. W. Kor-fantego, Mysłowiceul. Wlk. Skotnica 84 a

Concours “Collégien traduit” 5e édition Mirosława Bogacz [email protected]łgorzata Caban [email protected]

le 19 mars 2010

NKJO, Gliwice Rencontre avec le représentant de Hachette – Présentation de la méthode Alter ego et de ses composants interactifs

Intervenant – Barbara Klimek, Małgorzata Twardoń

le 25 mars 2011

Gimnazjum Dwujęzyczne „Marcinek”, Poznań

Etape régionale du Concours du français – niveau collège

Wojewódzkie Kuratorium Oś[email protected] – koordynator

le 25 mars 2011

UKKNJF UW Varsovie

Atelier de phonétique – Enseigner la bonne prononciation

Hélène [email protected]

les 29 mars – 1 avril 2011

Section régionale de PROF-EUROPE » de Zielona Góra -Université de Zielona Góra et autres

LES JOURNEES DE LA FRANCOPHONIE(conférences, expositions, concours, spectacles, concerts)

Elżbieta Jastrzę[email protected] [email protected] Jarosj – [email protected] Vavon – [email protected]

mars 2011 I LO, PszczynaPG, Kryry PG nr 1, Pszczyna PG nr 5, StudzionkaIII LO, Pszczyna

Journée de la Francophonie pour les élèves de Powiat de Pszczyna

Edyta Wojciech – [email protected] Siatka – [email protected] Kinga Zroska – [email protected] Jaworska – [email protected] Juraszczyk – [email protected] Koczy – [email protected] Elżbieta Boryczka – [email protected] [email protected] Małgorzata [email protected] Axel Louvrier – [email protected]

mars 2011 LO No 8, Poznań Concours de la Prose et de la Poésieniveaux : école primaire, collège et lycée

Olga Skó[email protected]

mars 2011 Université de Zielona Góra Wojska Polskiego 71 A65-762 Zielona Góra

Exposition des tableaux sur les thèmes francophones préparée par le Lycée de Beaux-Arts de Zielona Góra

Direction du Lycée de Beaux-Arts de Zielona Góra;Elżbieta Jastrzę[email protected]

mars 2011 Philologie romaneUniversité de Zielona Góra

Atelier de formation pour les professeurs de français (TICE et FLE)

Andrzej [email protected] Wrześniak – [email protected]

mars 2011 Philologie romaneUniversité de Zielona Góra

Rencontre avec des diplômés de philologie romane et autres personnes qui ont remporté un succès grâce à la langue française. « Le français ouvre les portes »

Elżbieta Jastrzę[email protected]

mars 2011 Lycée d’Enseignement Général N° II ul. Partyzantów 68, Zamość

SEMAINE DE LA FRANCOPHONIEVIe Concours « Champion de l’orthographe française » cllèges et es secondaires

Izabela ŚwitalskaElżbieta KurzępaBernarda [email protected]

mars 2011 Chaire de Philologie romaneul. Piastow 44, Szczecin

Rencontre avec les étudiants de Philologie romane participant activement à la promotion du français

[email protected]; [email protected]@g.pl; [email protected]@interia.pl

mars 2011 Gimnazjum nr 1 z Oddziałami Dwujęzycznymi im. W. Kor-fantego, Mysłowiceul. Wlk. Skotnica 84 a

Fête de la Francophonie Mirosława Bogacz – [email protected]łgorzata Caban – [email protected]

Page 15: 05- Bulletin PROF-EUROPE No 12, 2011 : Le Bulletin lui-même, en noir et blanc, pages 1-102

PROF-EUROPE 2011

Activités 2010/2011 n Tableau récapitulatif 15

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

mars 2011 Lycée Semi – Privé d’En sei-gnement Général STO, ul. Fabryczna 10, Białystok

Concours « Polyglottes 2011 » – étape régionale et finale

Section régionale Prof-EuropeZespół Szkół Społecznych STOEwa Tyburczy [email protected] Czyżewska – [email protected]

mars 2011 NKJO, Cieszyn Journée de la Francophonie NKJO Cieszyn ul. Frysztacka [email protected], 696-292-254

mars 2011 Państwowa Wyższa Szkoła Zawodowa ul. Leśna 1, Koszalin

Journée de la Francophonie Aleksandra Sajek – [email protected]

mars 2011 Collège de Bestwinka(section de Pszczyna)

Journée de la Francophonie – cinéma français Anna Tomaszczyk – [email protected]

mars 2011 Centre Polono–Français Côtes d’Armor – Warmia i Mazury, Olsztyn

Réunion des membres de la section de Olsztyn Jan Horbacz – 89 757 40 12Centrum Polsko-Francuskie89 527 63 73

mars 2011 Centrum Edukacji Nauczycieli w Koszalinieul. Ruszczyca 15

Atelier pour les enseignants :Les élèves « difficiles » en classe de FLE

Katarzyna Sobań[email protected]

printemps2011

Écoles qui participent à la promotion du français à Szczecin et à Stargard Szczecinski

Concours plastique « La Fontaine » [email protected]; [email protected]@g.pl; [email protected]; [email protected]

mars/avril 2011

Ecoles primaires, Poznań Leçons de promotion effectuées dans les écoles primaires à Poznań et dans la régionpar les étdiants de NKJO

Maria Szozda – [email protected] 007

mars/avril 2011

Gimnazjum et Liceum Ogólnokształcące Towarzystwa Szkolnego im. M. Reja, Bielsko-Biała

Concours de langue française Concours culinaire Maria Więzik – [email protected]

mars / avril 2011

Lycée d’Enseignement Général n° 3, à Białystok

Francophonie Poétique – concours de récitation poétique pour collégiens, lycéens et étudiants de la philologie française

Barbara Majewska – Lycée d’Enseignement Général n° 3 à Białystok Barbara Głowacka – Université de Bialystok, Section régionale Prof-Europe

mars/avril 2011

ZSE, Pszczyna Projet éducatif « Maison – tradition et perspectives. Alsace et Silésie.

Alina Jaworska – [email protected]

le 4 avril 2011

Maison de la Culture LSM, Lublin

6ème Festival Régional Interscolaire de Chansons Françaises (pour collèges et lycées)

Anna Białek-Marek – [email protected] Justyna Pasternak – [email protected] Sorbet – [email protected]

le 11 avril 2011

Maison de la Culture LSM, Lublin

« Les trois mousquetaires » d’Alexandre Dumas père3ème Festival Régional de Théâtre Francophone pour collégiens, lycéens et étudiants

Marlena Deckert – [email protected]

le 15 avril 2011

UKKNJF UW, Varsovie Comment développer la créativité des élèves ? Ewa Ostrzeszewicz

le 15 avril2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Xe Concours de Langue française pour les élèves des écoles primaires (finale)

Włodzimierz Glamacińskiglamacinski@voilà.fr Katarzyna Karolczak-Barczyń[email protected]

avril2011

PROF-EUROPE et écoles primaires et secondaires de Warmie et Mazurie

„Comme un arc-en-ciel” spectacle présenté par des artistes français des Côtes-d’Armor invités par PROF-EUROPE de Olsztyn

Stowarzyszenie Côtes d’Armor – Warmia i Mazury à [email protected]

avril2011

Etablissements scolaires,Chorzów

Concours „Frankofoniada 2011” Aleksandra Rabsztyn [email protected]ława Bogacz [email protected]łgorzata Caban [email protected]

avril2011

Centre Polono–Français Côtes d’Armor – Warmia i Mazury à Olsztyn, établis-se ments scolaires à Olsztyn

Journées de la Francophonie et de la Culture Française – concours et activitées thématiques pour les jeunes

Centrum Polsko-Francuskie89 527 63 [email protected]

avril ou mai 2011

Philologie romane Université de Zielona Góra, ul. Wojska Polskiego 71 A, Zielona Góra

„Créer pour communiquer” Ateliers et concours de créativité pour les écoliers et les lycéens de la région de Zielona Góra

Elżbieta Jastrzę[email protected]Étudiants de la IIe année de la philologie romane

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Tableau récapitulatif n Activités 2010/201116

PROF-EUROPE 2011

Date Lieu (ville, pays, institution) Titre de la manifestationCoordonnées

contacts organisateurs (tél, fax, mél)

avril-mai2011

Lycée Kruczkowski à Morąg et Lycée Saint-Pierre à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor – France)

Echange scolaire Jan Horbacz 89 757 40 12

le 12 mai2011

Cracovie Rallye-Promenade « Passé-Présent-Futur »à la recherche des traces françaises à Cracovie

Aneta Wojtaszek [email protected]

le 12 mai 2011

Saint-Brieuc Finales du concours litéraire franco-polonais inspiré par „La Lettre” de Zbigniew Herbert Célébration du 20e anniversaire de la coopération décentralisée entre Warmie et Mazurie et Côtes-d’Armor

Asociation Côtes d’Armor – Warmia et Mazury à Saint-Brieuc [email protected]

le 14 mai 2011

IFR-UMCS, Lublin Présentation-Atelier des Éditions DIDIER-HATIER. Bilan des activités de PROF-EUROPE Lublin 2010-2011Projets pour 2011-2012

Maria Cichoń [email protected] Sorbet [email protected]

le 20 mai 2011

UKKNJF UW, Varsovie PNL (Programmation neuro-linguistique)ou Enseignement aux adultes

Anna Grzegorowska [email protected]

mai 2011 Dom Bretanii, Poznań Atelier méthodologique – Approche actionnelle Maria SzozdaElzbieta Tomczak – Letorklett – animatrice du stage

mai 2011 Université de Zielona Góra Festival National du Court Métrage Francophone Laurent Vavon [email protected]

mai 2011 Dans les établissements scolaires intéressésUniversité de Zielona Góra

CONCOURS DE LA CONNAISSANCE DE LA LANGUE FRANÇAISE (à l’intention des lycéens de la région)

Andrzej Kaczmarek [email protected] Jacek Kędziora [email protected] Fligier [email protected] Kozar [email protected]

le 3 juin 2011

Palais de la Jeunesse à Bydgoszcz

VIIIe Festival National de Théâtre „AbrAcAdAbrA Festival des premiers pas sur scène en français”

Aleksandra Jaskólska [email protected]

le 3 juin 2011 UKKNJF UW, Varsovie Atelier méthodique : Leçon zéro Grażyna Sałaj [email protected]

le 8 juin 2010 NKJO, Gliwice Rencontre avec le représentant de la Maison d’édition CLE – nouveautés de CLE International pour enseignement du FLE à différents publics

Intervenant – Adrianna KowalskaMałgorzata Twardoń

les 9-10 juin 2011

XXI LO, 15, os. Tysiąclecia,Cracovie-Nowa Huta

VIIe édition du Festival de Chansons Françaises Aneta Wojtaszek [email protected]

le 10 juin2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

Conference méthdologique „Nouvelle technologie dans la classe de FLE”

Włodzimierz Glamacińskiglamacinski@voilà.fr

les 11-12 juin 2011

BOK, Varsovie Festival Théâtral PROF-EUROPE Anna Grzegorowska [email protected]

le 15 juin2011

Alliance FrançaiseManufaktura, Łódź

D R E P T A K culturel Włodzimierz Glamaciński [email protected]

juin 2011 Chaire de Philologie romaneul. Piastow 44, Szczecin

Réunion de tous les membres de la section régionale de Szczecin – récapitulatif

[email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected]

juin 2011 Collège de Bestwinka(section de Pszczyna)

Festival de la chanson française Anna Tomaszczyk [email protected]

juin 2011 NKJO UAM, Poznań Réunion du Bureau de la section de Poznań Maria SzozdaMałgorzata Pietrzak [email protected]

juillet 2011 Olsztyn (Urząd Marszałkow-ski, Centre Polono-Français, Kuratorium Oświaty)

Camp linguistique Centrum Polsko-Francuskie 89 527 63 73 [email protected]

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PROF-EUROPE 2011

Activités 2010/2011 n Olympiades 17

XXXIV Olimpiada Języka Francuskiego 2010/2011

1. Uroczyste zakończenie XXXIV. Olimpiady Języka Francuskiego – Jego Ekscelencja Pan Bénédict de Cerjat, Ambasador Szwajcarii.

1

W bieżącym roku szkolnym juz po raz trzydzie-sty czwarty uczniowie szkół gimnazjalnych i po-nadgimnazjalnych mają okazję stanąć w szranki o miano najlepiej władających językiem francu-skim nauczanym jako język obcy. Innymi słowy, w roku 2010/2011 odbywa się już XXXIV edycja ogólnopolskiej Olimpiady Języka Francuskiego.

Główna idea i cel Olimpiady, odbywającej się tradycyjnie pod auspicjami Ministerstwa Eduka-cji Narodowej to edukacja wielojęzyczna i wielo-kulturowa, ze szczególnym uwzględnieniem języ-ka i kultury krajów frankofonii.

Uczestników Olimpiady charakteryzuje nie tylko bardzo dobra znajomość języka francuskie-go (leksyka, frazeologia, składnia, fonetyka), ale również dobra orientacja w kulturze, literaturze, geografii, historii i tzw. realioznawstwie Francji i innych krajów francuskojęzycznych.

Udział w OJF wpływa znacząco na rozwijanie postaw autonomicznych uczniów wobec własnego doskonalenia językowego (w tym wykorzystania źródeł internetowych), jak i bardziej efektywnej, zaangażowanej nauki szkolnej.

Program i harmonogram prac przygotowaw-czych do Olimpiady skorelowany jest z wyma-ganiami MEN dotyczącymi matury z języka francuskiego, w tym tak zwanej «matury dla klas dwujęzycznych».

W roku 2010, Ministerstwo Edukacji Narodowej już po raz drugi powierzyło organizację Olimpiady Stowarzyszeniu Na-uczycieli Języka Francuskiego w Polsce Prof-Europe. Porównanie XXXIII i XXXIV edycji OJF prowadzi do satys-fakcjonujących wniosków:n szerszy udział szkół (o ponad 22% więcej w stosunku do

ubiegłorocznej edycji) i młodzieży (o prawie 40% więcej), co jest szczególnie istotne dla wzmocnienia pozycji naucza-nia j. francuskiego w szkołach;

n do zawodów II stopnia zakwalifikowano 494 uczestników, w tym 340 z klas niedwujęzycznych i 154 z dwujęzycznych;

liczba zakwalifikowanych z podziałem na poszczególne okręgi wygląda następująco: Gdańsk 39 uczestników, Ka-towice 90, Kraków 58, Lublin 27, Łódź 30, Poznań 56, War-szawa 160 i Wrocław 34;

n do etapu okręgowego XXXIV Olimpiady Języka Francu-skiego zakwalifikowało się 494 uczestników, to o prawie 150 osób więcej niż w ubiegłorocznej edycji (2009-2010: 366 zakwalifikowanych);

n do etapu centralnego XXXIV OJF zakwalifikowało się 65 uczestników, czyli o 10 osób więcej niż w ubiegłorocznej edycji (2009-2010: 55 zakwalifikowanych).

Urszula Paprocka-Piotrowska

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Olympiades n Activités 2010/201118

PROF-EUROPE 2011

OJF 2010/2011HUPA Anna I SLO – Warszawa

RUCKI Daniel II LO – Poznań

JAŚKIEWICZ Anna II LO im. Batorego – Warszawa

SZAST Jarosław XVII LO – Kraków

KWAPISIEWICZ Damian XIII LO im. M. Piotrowiczowej – Łódź

PIŁATKOWSKA Joanna XV LO im. Żmichowskiej – Warszawa

KMIEĆ Natalia LO im. Św. Jadwigi – Kielce

WIŚNIEWSKI Mateusz XIII LO im. M. Piotrowiczowej – Łódź

PIETRUCHA Anna XVI LO im. Sempołowskiej – Warszawa

SZYMANKIEWICZ Urszula XLI LO im. Lelewela – Warszawa

ZAREMBA Krzysztof I LO – Poznań

LISZEWSKI Oscar XV LO im. Żmichowskiej – Warszawa

GAŁKA Małgorzata XIII LO im. M. Piotrowiczowej – Łódź

SKRZYPEK Sebastian ZSO nr 2 / II LO im. Kopernika – Bydgoszcz

GŁOWACKI Wojciech LXIV LO im. Witkiewicza – Warszawa

KOWALIK Dagmara II LO im. Batorego – Warszawa

RETAT Charlotte I LO im. Stefanii Sempołowskiej – Tarnowskie Góry

MICHOŃSKI Dominik I LO im. J.I.Kraszewskiego – Biała Podlaska

PASSERAT DE LA CHAPELLE Witold II LO – Poznań

ŻULYS Karolina III LO im. Marynarki Wojennej RP – Gdynia

2. Przewodnicząca Komitetu Głównego, Pani Profesor Weronika Wilczyńska (w centrum) wręcza dyplom Annie Hupie, laureatce, która zajęła I. miejsce. Obok laureatki, jej nauczycielka, pani Anna Głowacka.

3. Finaliści XXXIV. Olimpiady Języka Francuskiego.

4. Zaproszeni goście i członkowie Komitetu Honorowego OJF (od prawej): Michel Imbert, Attaché Ambasady Francji; prof. Mirosław Loba, Instytut Filologii Romańskiej UAM; prof. Teresa Jaroszewska, Katedra Filologii Romańskiej UŁ; prof. Remigiusz Forycki, Instytut Romanistyki UW; pani de Cerjat, małżonka Ambasadora Szwajcarii; dr Joanna Górecka, członek Komitetu Głównego OJF

Laureaci

2

3

4

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PROF-EUROPE 2011

Activités 2010/2011 n Olympiades 19

BALDACHINO Alexandre II LO im. Hetmana Jana Zamoyskiego – Lublin

BISCH Joanna LO Towarzystwa Ewangelickiego – Cieszyn

BOCZKOWSKA Karolina I LO z Oddziałami Dwujęzycznymi im. Kopernika – Katowice

BOGACKA Alicja XV LO im. Żmichowskiej – Warszawa

BORKOWSKA Weronika LXIV LO im. Witkiewicza – Warszawa

CIEŚLICKA Aneta ZSO nr 2 – Tarnów

DEPARTOUT Alexandre Laurent I LO – Poznań

FIGUEIRA -PUTRESZA Estelle XV LO im. Żmichowskiej – Warszawa

GRZEŚ Marta I LO im. Ziemi Kujawskiej – Włocławek

HABAS Michał I LO z Oddziałami Dwujęzycznymi im. Kopernika – Katowice

HAMBURA Eliza XXXVIII LO im. St. Kostki Potockiego – Warszawa

JACQUEMIN Dorian III LO – Rzeszów

JANOWSKA Joanna I LO im. Stanisława Staszica – Lublin

KIEBZAK Weronika XVII LO – Kraków

KIERSKI Jan ZSO – LO im. Chrobrego – Pszczyna

KILA Dominika Zespół Szkół Ogólnokształcących nr 2 – Gdynia

KIZIOR Magdalena I LO z Oddziałami Dwujęzycznymi im. Kopernika – Katowice

KŁODRAWSKI Adrian XIII LO im. M. Piotrowiczowej – Łódź

KOBYLINSKA Aleksandra Weronika II LO im. Batorego – Warszawa

KRYSIAK Karolina Zespół Szkół Ogólnokształcących im. Sienkiewicza – Płońsk

KUBICKA Kinga LO ss. Prezentek – Rzeszów

LACH Magdalena I LO im. Powstańców Śl. – Rybnik

LUBKIEWICZ Małgorzata V LO – Kraków

ŁYKO Adam I LO z Oddziałami Dwujęzycznymi im. Kopernika – Katowice

MAREK Dominik I LO – Jasło

MAZUR Aleksandra Akademicki Zespół Szkół Ogólnokształcących – Chorzów

MIGOŃ Magdalena V LO – Kraków

MISIURNY Agnieszka LO Filomata – Gliwice

MOŁDAWA Aleksandra XVI LO im. Sempołowskiej – Warszawa

NAGLIK Agnieszka VIII L O im. B. Krzywoustego – Wrocław

PŁACHNO Maria V LO – Kraków

ROBERT Anne II LO im. Batorego – Warszawa

SAŁEK Maja XV LO im. Żmichowskiej – Warszawa

SIELAŃCZYK Przemysław Akademicki Zespół Szkół Ogólnokształcących – Chorzów

SKUTNIK Aleksandra III LO im. Unii Lubelskiej – Lublin

SZCZUREK Barbara I LO – Mielec

SZOL Barbara XIII LO im. M. Piotrowiczowej – Łódź

SZUBERT Tadeusz Zespół Szkół Ogólnokształcących nr 2 – Gdynia

WIŚNIEWSKA Katarzyna XI LO im. Reja – Warszawa

WOŹNIAK Wanda Irena I LO – Poznań

OJF 2010/2011Finaliści

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20

PROF-EUROPE 2011

Site Internet PROF-EUROPE n Activités 2010/2011

Chers Collègues et Amis de PROF-EUROPE,

Responsable du site Internet de PROF-EUROPE depuis 1 an, je m’efforce de le compléter au mieux en fonction des activités du Bureau National et des Sections Régionales.

Vous pouvez toujours consulter ce site aux liens équivalents suivants :

www.ceco-fipf.eu/pologne ou www.profeurope.pl

Le site de PROF-EUROPE fait partie du site de la CECO-FIPF, c’est-à-dire la Commission d’Europe Centrale et Orientale de la Fédération Interna-tionale des Professeurs de Français. Chaque Section Régionale conserve son autonomie avec son propre administrateur. En cas de difficultés, je suis à votre disposition.

La structure du site Internet de PROF-EUROPE est inchangée : Quand vous arriverez à la page d’accueil de PROF-EUROPE, vous

trouverez 3 colonnes.n La colonne centrale vous donne des informations concernant les actu-

alités au niveau national. n La colonne de droite comprend des rubriques spéciales, par exemple le

lien avec le site www.francuski.fr .n Enfin la colonne de gauche, la plus importante, se compose de 4

parties :1. Première partie : Partenaires. Organisation de l’association. Devenir

membre. Le projet REAL. Activités, rencontres et manifestations organisées par PROF-EUROPE (synthèse au niveau national). Argumentaire pour le français.

2. Deuxième partie : Statuts PROF-EUROPE. Archives. Bulletin PROF-EUROPE. CHANSONS (Articles Prof-Europe en Chantant, Concours et Festivals de Chansons en Pologne, Fiches pédagogiques de chansons). Historique (Panneau PROF-EUROPE). Mémoires de Profs. Projets „Ma ville”. Ressources (Formations ; Liens utiles ; Photos, Présentations PPT ; Le projet Comenius-ISTEPEC. Traductions: « Bibliographie », « Fiches pédagogiques Traductions » , « Les traducteurs assermentés de français en Pologne », « Mémoires et travaux de synthèse sur la traduction », « Sitogra-phie », « Traductions de chansons polonaises en français, et de chansons françaises en polonais »).

3. Troisième partie : Informations en polonais.4. Quatrième partie : Les Sections Régionales : ŁÓDŹ. BIAŁYSTOK.

BYDGOSKO-TORUŃSKI. CRACOVIE. GDAŃSK. GLIWICE. KOSZA-LIN. LEGNICA. LUBLIN. OLSZTYN. POZNAŃ. PSZCZYNA. RZESZÓW. SZCZECIN. VARSOVIE. WROCŁAW. ZAMOŚĆ. ZIELONA GÓRA.

Site Internet PROF-EUROPE : Le mot de l’administrateur

par Richard SORBET [email protected]

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PROF-EUROPE 2011

21Activités 2010/2011 n Site Internet PROF-EUROPE

APPELS À ARTICLES

A) RUBRIQUE PROJETS « MA VILLE »POURQUOI ?

1. Rendre disponible sur Internet des textes français à propos des villes polonaises.

2. C’est une occasion pour les Étudiants de français (Phi-lologies Romanes, Collèges Universitaires de Maîtres de Fran çais NKJO & ZKN, Instituts de Linguistique Appliquée) de publier un article sur Internet et de se faire connaître dans leurs villes d’origine en tant que traducteurs.

3. Faire connaître davantage les institutions où sont les Étudiants.

ÉLABORATIONIl est demandé aux Étudiants de trouver un texte polonais

à propos de leurs villes d’origine, soit sur Internet, soit à partir d’un document authentique (dépliant, livre...), de l’écrire dans Word, une page A4, police Time New Roman, interligne 2. On demande alors de traduire ce texte en français. La correc-tion de cette traduction se fait de manière collégiale en classe sous la coordination d’un enseignant bilingue. Les Étudiants doivent également trouver des photos se rapportant au sujet.

ORDRE DE MISE EN PAGE DANS LA RUBRIQUENous avons pris l’ordre alphabétique des noms des villes

polonaises, en précisant ensuite le domaine choisi quand il y a plusieurs Étudiants qui habitent la même ville.

N’hésitez pas à introduire les projets « Ma ville » dans le programme d’enseignement de vos institutions !!!

B) RUBRIQUE MÉMOIRES DE PROFS :

Il vous est proposé d’envoyer des articles (dans Word avec une ou plusieurs photos si possible) à propos de collègues enseignants, ou bien vos anciens professeurs. Ces articles peuvent être rédigés en français ou en polonais.

Mémoires de Profs pour PROF-EUROPE, c’est dans la na-ture des choses !!!

LA NOUVELLE PLATEFORME INTERNET DE LA FIPF

La Fédération Internationale des Professeurs de Français vient de lancer sa nouvelle plateforme Internet :

http://fipf.org/ .PROF-EUROPE y est représentée au lien suivant : http://prof-europe-pol.fipf.org .Il s’agit pour l’instant d’une présentation succinte de notre

Association, avec un lien direct vers notre site complet www.ceco-fipf.eu/pologne ou www.profeurope.pl.

Pour finir, nous adressons nos plus vifs remerciements à l’Ambassade de France en Pologne qui finance le serveur et le nom du site de PROF-EUROPE. Nous pensons tout par-ticulièrement à Mesdames Mireille CHEVAL et Anna LESZCZYŃSKA-WOJNO, ainsi qu’à Monsieur Thomas LAI GLE.

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Prague n 2e Congrès européen de la FIPF22

PROF-EUROPE 2011

Du 8 au 10 septembre 2011 s’est déroulé à Prague, capitale tchèque, le 2e congrès européen de la Fédération interna-tionale des professeurs de français (FIPF). Les deux com-missions européennes de la FIPF – la Commission de l’Europe Centrale et Orientale (CECO) et la Commission de l’Europe de l’Ouest (CEO) – ont organisé cette manife-station en faveur du français et de son enseignement.

Deux années auparavant, c’est l’Association des ensei-gnants de français en République tchèque (SUF) qui a été choisie pour s’occuper de l’organisation du 2e Congrès européen. Elle regroupe les enseignants de français pro-venant de tous les établissements scolaires et culturels de la République tchèque. Fondée en juin 1990, elle a pour objectif de développer la coopération entre ses membres et de mutualiser leurs expériences et leurs recherches pédagogiques, en vue de promouvoir et d’optimiser l’en-seignement du français.

Le 2e congrès européen de la FIPF a eu lieu à Prague, « capitale magique de l’Europe » pour André Breton. Blottie dans les méandres de la Vltava, cette ancienne capitale du Royaume de Bohême, offre un cadre propice à la tenue d’une telle manifestation. Prague est inscrite au patrimoine mondial par l’UNESCO ; son patrimoine architectural et artistique a séduit tous les congressistes.

Ce 2e congrès européen de la FIPF était un grand défi à relever : apporter un éclairage professionnel et associatif sur le devenir du français dans le contexte d’une Europe multilingue et multiculturelle dans le but de perfection-ner l’enseignement et l’apprentissage du français à tous les niveaux, de susciter et de motiver de nouvelles généra-tions de citoyens européens plurilingues, francophones et francophiles.

Axes du Congrès

n Politiques linguistiques Citoyenneté européenne et politiques linguistiques Politiques pour le plurilinguisme Sections bilingues, sections européennes… Francophonie en Europe et pour l’EuropeQuels sont les enjeux sociopolitiques de l’enseigne-

ment/apprentissage du français dans l’Europe actuelle ?

1. Jean-Pierre Cuq, président de la FIPF, lors de l’ouverture du Congrès

2. Prague, marché de la Vieille Ville

2e Congrès européen de la FIPFVers l’éducation plurilingue en Europe avec le français– De la diversité à la synergie

Prague du 8 au 10 septembre 2011

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PROF-EUROPE 2011

2e Congrès européen de la FIPF n Prague 23

Comment promouvoir les politiques pour le plurilinguisme dans la situation concrète de différents pays européens ? Comment promouvoir en Europe la vision de la francopho-nie mondiale et quelle est la spécificité de la francophonie européenne ? Quelle est la situation actuelle des sections bi-lingues et des sections européennes dans le milieu sco laire et quelles sont leurs perspectives ? Comment les associations des professeurs de français peuvent-elles agir sur les poli-tiques linguistiques dans l’intérêt de la promotion de la lan-gue française ?

n Apprendre le français. Enseigner le français. Diversité et évolution des publics Motivations et modifications des représentations Compétences et niveaux d’apprentissage Formation initiale et continue des enseignants Technologies numériques et apprentissageComment intégrer dans l’enseignement et l’apprentissage

du français le paramètre de la spécificité de l’âge des appre-nants ? Comment modifier les représentations sur la difficulté du français langue étrangère et comment stimuler la moti-vation dès les débuts de l’apprentissage ? Pourquoi et com-ment les diverses compétences s’inscrivent-elles de manière différente aux stades variés de l’enseignement/apprentissage ? Quel est l’impact du Cadre européen commun de référence aux différents stades de l’apprentissage ? Quels sont les défis actuels rencontrés dans la formation initiale et continue des enseignants ? Quelles sont les possibilités et les limites de

l’application des technologies numériques dans l’enseigne-ment/apprentissage ? Quel rôle les associations des enseignants peuvent-elles jouer dans ces domaines ?

n Approches plurielles Intercompréhension Eveil aux langues Didactique intégrée Approches interculturellesDans quel sens la pédagogie de l’intercompréhension

peut-elle contribuer à la promotion du plurilinguisme et de la langue française dans son contexte ? Quel est l’apport de l’éveil aux langues pour le développement du plurilinguisme et que peut-on en déduire pour la didactique du français ? Comment la didactique intégrée s’est-elle enracinée dans les milieux scolaires et universitaires européens ? Pourquoi et comment promouvoir les approches interculturelles dans l’enseignement/apprentissage du français ?

n Etudier en français, travailler en français Français sur objectifs spécifiques (FOS) Français sur objectifs universitaires (FOU) Le point de vue du monde professionnelComment les approches du français sur objectifs spéci-

fiques sont-elles appliquées dans les différents contextes so-cio-économiques ? Qu’en pensent les représentants du monde professionnel ? Quels sont les enjeux de l’approche du Fran-çais sur objectifs universitaires ?

La Pologne était représentée par une quinzaine de participants. La plupart d’entre eux ont eu des interven-tions, ateliers, ainsi qu’ils ont pris part aux débats et tables rondes. Les descriptions de leurs activités sont à trouver ci-dessous :

Marlena DeckertAméliorer la compétence lectorale des textes littéra-ires en classe de FLE

Nous proposons de présenter les résultats d’une étude pilote menée auprès des apprenants polonophones du francais L2 adolescents apprenant la LC dans le milieu scolaire, concer-nant le développement de la compétence lectorale basée sur les textes littéraires.

Un groupe de 20 apprenants du niveau intermédiaire a été demandé d’effectuer la lecture d’un extrait de Ebène. Aven­tures africaines de Ryszard Kapuściński, journaliste-écrivain

www.prague2011.f ipf.org

PraguePrésence Polonaise lors du Congrès de Prague

polonais. Le but de l’expérience était de voir si les apprenants polonophones sont capables d’accéder au sens du texte pro-posé de la façon la plus autonome possible, en en dégageant les termes nouveaux pour les réutiliser par la suite dans un contexte différent, dans le cadre de l’approche actionnelle, pour réaliser une tache enracinée dans le domaine public (CECRL). En adoptant la perspective de la théorie sémioti-que, il est intéressant d’observer à quel point la recherche des zones de données linguistiques actualisant les sèmes de socia-lité (famille – armée) permet aux apprenants de saisir ce que le mot/l’expression du texte a de spécifique par rapport à ceux que l’auteur n’a pas choisis, afin de faire émerger du texte des

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Prague n 2e Congrès européen de la FIPF24

PROF-EUROPE 2011

relations sémantiques particulières entre différents termes. Or, la communication se donne comme objectifs premièrement de présenter les difficultés qu’a suscité la démarche pédago-gique pour ce qui est du dégagement de tous les sens que le texte véhicule et de la réintroduction des termes nouveaux. Dans un deuxième temps, nous donnons quelques proposi-tions didactiques permettant d’élaborer une démarche péda-gogique plus efficace visant l’amélioration de la compétence lectorale des apprenants. Finalement, nous voulons montrer à quel point le texte littéraire peut s’avérer efficace dans l’e-xécution d’une tache enracinée dans le domaine public.

Anna GrzegorowskaComment motiver les élèves avec les films et les chansons ?

Selon l’approche fonctionnelle, l’enseignement et l’appren-tissage du français devrait passer par la découverte des do-cuments authentiques qui facilitent l’adaptation de l’app-renant à la réalité de la langue cible. Dans mon interven-tion, je montre comment les enseignants peuvent profiter des documents tels que films, chansons, publicités et divers dépliants en papier pour augmenter la motivation des app-renants. Nous allons réfléchir ensemble sur le choix de ces supports, leur exploitation pédagogique, leur préparation à l’usage en classe et leur impact sur le processus de l’app-rentissage. Je montre plusieurs exemples pratiques que j’ai utilisés en classe.

Elżbieta JastrzębskaStratégies de la didactique de la créativité dans la classe de FLE

Dans la didactique francophone des langues vivantes, évoluée en didactique/didactologie des langues-cultures dans les an-nées quatre-vingt-dix du XXe siècle, le postulat de l’intégra-tion de la vision instrumentale de l’éducation avec sa vision formative est devenu fondamental. La didactique du français langue étrangère surtout est une discipline très dynamique et ouverte, toujours à la recherche de nouvelles méthodes, tech-niques et stratégies.

Dans mon intervention, je présente une proposition d’une alimentation énergetique de l’enseignement / apprentissage du FLE par l’exploitation du potentiel motivationnel de la pédago gie de la créativité, en étant convaincue de la synergie et de la complémentarité de ces deux domaines éducatifs.

Mes recherches empiriques effectuées dans les années 2006-2008, la revue de la littérature professionnelle ainsi que ma propre expérience enseignante ont démontré la présence des techniques créatives dans la classe de français. De nom-breuses activités qui servent à stimuler et à développer l’atti-tude créative de l’individu, en même temps soutiennent et favorisent le développement de ses capacités langagières.

Je me propose donc de présenter ma conception d’une pédagogie créative en classe de langue qui consiste à l’applica-tion des stratégies de la didactique de la créativité pour opti-miser et stimuler le processus de l’appriopriation des com-pétences linguistico-culturelles de l’apprenant. Le modèle de l’enseignement créatif général est suivi par des exemples des modèles spécifiques ainsi que des projets de leçons.

Andrzej KaczmarekStratégies de communication et compétence pluri-lingue

La compétence plurilingue se présente comme une com-pétence complexe, composite dans laquelle toutes les langues acquises et toutes les expériences linguistiques s’entrecroisent et s’intègrent. Le transfert du savoir et du savoir-faire lingu-istique ne se passe pas uniquement entre la langue maternelle et première langue étrangère, mais aussi entre les langues suivantes.

On présente les résultats de l’analyse des textes écrits par un groupe de 18 etudiants de la philologie anglaise pour qui le français est la troisieme ou la quatrième langue. On leur a montré une histoire en images qu’ils ont ensuite racontée par écrit. À la fin de la séance, ils ont regardé de nouveau leurs textes pour donner des commentaires à propos du transfert de l’anglais vers le français dans leurs productions. L’analyse porte aussi bien sur les textes et les commentaires enregistrés. Elle se concentre sur le transfert interlinguistique et les stratégies de communication se référant à leur compétence plurilingue.

On a constaté que certaines fautes n’ont pas été commises consciemment et l’on peut les expliquer par des mécanismes de l’interférence interlinguistique. Cependant, une partie considérable de fautes avait un caractère conscient et elle re-présente l’application de différentes stratégies de communica-tion. Les étudiants ont profité volontairement du potentiel de leur compétence plurilingue pour dépasser les déficits com-municatifs en langue française.

On discute le fondement de l’éducation plurilingue qui permettrait une meilleure intégration de l’apprentissage des langues. On s’intéresse aussi au rôle qui peut être joué par le français dans la construction de la compétence plurilingue des Européens et l’intercompréhension.

Ewa Kalinowska Littérature en français – Français avec la littérature

L’objectif principal de cet atelier sera de présenter l’utilité de la présence durable de la littérature en classe de français. La possibilité de perfectionnement de toutes les capacités lin-guistiques, le contact avec des documents authentiques re-présentatifs de la culture française et francophone, la ri chesse et la diversité inépuisables des sources littéraires sont des arguments irréfutables en faveur des faits littéraires de tout

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PROF-EUROPE 2011

2e Congrès européen de la FIPF n Prague 25

type introduits dans le processus d’enseignement et d’appren-tissage du FLE. Une brève réflexion sur les questions liées à la littérature ainsi qu’un échange d’expériences dans ce domaine seront suivis d’un atelier présentant des propositions pratiques d’activités à réaliser en classe de langue. Les participants seront invités à élaborer quelques exercices.

Une telle démarche, liant la théorie à la pratique, permet-tra de convaincre les enseignants qui n’exploitent pas la lit-térature à le faire ainsi qu’elle renforcera la motivation de ceux qui le font déjà.

Renata Klimek-KowalskaStratégies et actions pour promouvoir le français et la coopération internationale francophone en Euro-pe plurilingue

L’innovation repose sur la combinaison des compétences et des activités (Philippe Herzog). Quelles compétences donner aux élèves francophones en Europe pour qu’ils soient compétitifs sur le marché du travail ? Quelle place pour les échanges internationaux en français à travers la meilleure utilisation des TICE ? Les programmes eTwinning, Comenius, Jeunesse en action ou Leonardo sont-ils suffisamment présents dans notre parcours pédagogique ? Quelles activités mener pour renforcer l’espace éducatif de coopération au niveau européen et comment créer des communautés de pratiques d’enseignants pour renforcer la position de la francophonie et de la langue française dans les états et gouvernements membres et observateurs de l’OIF en Europe ?

Présentation des résultats de différents réseaux de profes-sionnels en langues : récapitulatif du projet des Classes fran­cophones en Silésie (frankofonia.pl), objectifs des séminaires REAL du réseau européen des associations de professeurs de langues (real­association.eu) et matériaux didactiques sur l’interculturel du programme Pestalozzi du Conseil de l’Eu-rope (coe.int/pestalozzi).

Aleksandra KocjanHistoire de l’art en français. Apprentissage d’une matière non-linguistique en français

Nous voulons presenter une étude pilote, menée auprès des apprenants polonophones de l’Histoire de l’Art et des Beaux Arts, concernant l’enseignement/apprentissage du francais de spécialité. Etant donne que ces apprenants sont souvent exposés aux matériaux en français ou aux situations profes-sionnelles en langue de l’Hexagone, nous avons été tentée de mener une enquête qui nous permet d’observer quels sont les avis des apprenants sur la possibilité d’apprendre cette matière non-linguistique (histoire de l’art) directement en français (LSP – Languages for Special/Specific Purposes).

A la suite de l’enqute effectuée nous voulons présenter et analyser les réponses données. À la question si la connaiss-

ance de la langue française influence la carrière professionnelle, 100 % des enquêtes ont répondu positivement. Ils ont aussi confirmé que les gens de l’art doivent avoir des compétences en français dans le cadre de leur metier et ils ont argumenté leurs opinions avec des arguments concrets. Finalement, tous les participants sont d’accord que ces compétences seraient l’appui fort et l’aide considérable dans leur vie professionnelle. De cette façon, nous présentons quelques propositions didactiques permettant d’élaborer une démarche pédagogique plus effi cace, visant l’amélioration des compétences langagières et professionnelles des apprenants, pour qu’ils soient capables d’accéder au sens des textes spécialisés, de réutiliser leurs compétences communicationnelles dans des contextes différents et d’accroître leur position au marché de travail en Europe.

Anna Klinger-MateraQuelques pistes pour motiver nos apprenants créatifs

Je voudrais me pencher sur le problème du français langue étrangère réputée difficile. Je voudrais donner quelques pistes pour stimuler la motivation des apprenants dès le début de l’apprentissage pour modifier les représentations sur la difficulté de cette langue. Ma communication est organisée en trois parties :n Comprendre ceux qui trouvent que le français est une

langue difficile.n Motiver ceux qui trouvent que le français est une

langue difficile, ceux qui ne le trouvent ni difficile ni facile et se motiver soi-même en tant qu’enseignant pour ne pas baisser les bras.

n Adopter “la tactique détournée du cheval de Troie” (expression de Robert Galisson) pour atteindre nos objectifs proprement didactiques (enseigner la langue étrangère) et nos objectifs éducatifs (enseigner les valeurs) à travers les activités artistiques, le rire et le sourire.

Les principes éducatifs sont souvent trop sévères. Les en-seignants oublient ou pensent ne pas avoir assez de temps pour distraire les apprenants et leur donner le goût et le plaisir d’apprendre. En tant que spécialistes de la langue et de la cul-ture du pays dont la langue nous enseignons, nous devrions savoir sur quelle ”curiosité discursive ou sociétale” (terme de Robert Galisson) attirer l’attention de nos élèves, comment les faire rire ou sourire, comment susciter leur intérêt et les rendre actifs. Et nos élèves ont de quoi nous surprendre. Il faut juste les pousser.

Radosław KucharczykAu croisement des disciplines : profil du professeur de DNL (étude de cas)

L’idée de citoyen européen plurilingue mise en relief par le Conseil de l’Europe a renforcé la position des établissement

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PROF-EUROPE 2011

bilingues dans les pays membres. Néanmoins, un grand essor des établissements bilingues ne coïncide pas avec le nombre des formations adressées aux professeurs de Disciplines Non Linguistiques (DNL). Ces derniers, tout en connaissant la langue cible d’une manière impeccable, manquent, dans la majorité des cas, d’une base didactique qui leur permettra d’enseigner consciemment leur discipline dans la langue étrangère au public à qui ils ont affaire. Ainsi, notre réflexion portera sur les points suivants :n Selon quels critères les enseignants de DNL choisi ssent-

ils les leçons ou la L2 apparaît ? (macroalternance)n Selon quels critères choisissent-ils les phases de

la leçon qui seront assurées dans la langue cible ? (microalternance)

n Quels sont les documents authentiques sur lesquels travaillent-ils ?

n Est-ce que les activités proposées lors des cours de DNL sont en correlation avec les activités proposées en cours de L2 ?

n À quoi sert la langue cible en classe de DNL ? À introduire un nouveau matériel ou plutôt à renforcer celui acquis dans la langue maternelle ?

Les questions ci-dessus nous permettent d’esquisser la sil-houette de l’enseignant de DNL suite à l’interview accordée par l’enseignant de DNL travaillant dans un collège bilingue francophone en Pologne.

Małgorzata Piotrowska-SkrzypekUn cadre de référence pour les approches plurielles (CARAP) – nouvel outil au service del’éducation plurilingue et pluriculturelle en classe de FLE

Où en sommes-nous dans l’éducation plurilingue et pluricul-turelle ? Quelle est sa place par rapport à l’enseignement du FLE ? C’est à ce type de questions que nous tenons trouver des réponses durant notre intervention. L’éducation pluri lingue et pluriculturelle joue actuellement un rôle central dans l’en-seignement /apprentissage des langues vivantes. Elle a été particulièrement valorisée par les concepteurs du CECR. Le terme des approches plurielles qui est générique en englobe quatre : éveil aux langues, intercompréhension entre les langues, approches interculturelles et didactique intégrée.

Il n’existait jusqu’à present aucun référentiel recensant les savoirs, savoir-être et savoir-faire que ces quatre approches permettent de développer. C’est pour cette raison que des tra-vaux ont ete entrepris sous l’égide du Centre européen pour les langues vivantes à Graz afin d’elaborer un référentiel de comp’etences pour les approches plurielles et pluricul turelles – le CARAP, conçu pour compléter et perfectionner des outils existants, tels que le CECR ou les Portfolios (PEL).

Les enseignants de langues vivantes peuvent avoir recours à ce référentiel pour : résoudre un problème lié à la pluralité culturelle et/ou linguistique, développer un projet touchant à la pluralité culturelle et/ou linguistique et pour analyser/

comprendre une activité didactique concernant la pluralité culturelle ou linguistique. Pour illustrer une des entrées po-ssibles au CARAP, nous présentons aussi des activités de l’éve­il aux langues à exploiter en classe de FLE, car c’est justement dans les domaines du plurilinguisme que peut se jouer le défi de l’enseignement du français, tout en admettant que la diver-sification des langues ouvre de nouvelles perspectives.

Urszula Paprocka-PiotrowskaComment enseigner et apprendre des langues typo-logiquement différentes ?

Le français et le polonais (tout comme le tchèque), appartenant à deux familles de langues différentes : langues romanes / langues slaves, posent des problèmes d’appropriation des compétences purement langagières de par leur nature. L’absence de déterminants en polonais, le système des temps verbaux très riche en français, ne sont qu’exemples phares des difficultés auxquelles se heurtent les apprenants francophones du polonais L2 et les apprenants polonophones du français L2.

Dans notre communication, nous proposons de montrer comment dépasser cette représentation qui constitue un ob-stacle avant même de commencer l’apprentissage (le français étant considéré par les Slaves comme une langue belle mais difficile, le polonais jouissant de réputation de très difficile chez les francophones). Faisant appel à des connaissances langagières déjà acquises, nous allons montrer comment sen-sibiliser des apprenants (à des niveaux différents) à ce qu’ils savent déjà sur la langue en acquisition, même si elle peut paraître très éloignée et très peu connue.

Enfin, passant en revue les étapes successives du traite-ment des matériaux linguistiques en acquisition (analyse, synthèse, mise en contexte, comparaison), il nous sera pos-sible d’exposer une image psycholinguistique de l’appropria-tion d’une langue (idem : typologiquement éloignée) mise aux services de la didactique et de la classe de langue.

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PROF-EUROPE 2011

Journées de la Francophonie 2011 n GDAŃSK 27

Gdańsk16 marca 2011 w naszej szkole był świętem Frankofonii. Z tej okazji, jak co roku, odbył się konkurs gastronomiczny. Wzięło w nim dział 70 uczestników z klas pierwszych, drugich i trzecich Technikum Gastrono-micznego. Uczniowie przygotowali potrawy z wybranych regionów Fran-cji, zorganizowali szkolną kawiarenkę, a także zajęli się obsługą naszych Gości. Ich prace konkursowe były oceniane przez nauczycieli technologii gastronomicznej oraz restauratorów i szefów kuchni znanych trójmiej-skich restauracji: „Cyrano& Roxane”, „Pod Łososiem”, „Stromboli”, „VNS”, „Królewski” oraz „Petit Paris”. Swą obecnością zaszczycili nas goście. Pan Alain Henry – Dyrektor Polsko-Francuskiego Funduszu Współpracy, pan Pascal Schalller – Attaché Ambasady Francji, pan Jerzy Gajzler – Dyrektor Alliance Française, pani Grażyna Tarnawska – Prezes gdańskiego oddzia-łu Stowarzyszenia Prof – Europe oraz dyrekcja szkoły i nauczyciele.

Uczniowie zostali najpierw ocenieni przez profesjonalistów, którzy wy-brali trzy najlepsze zespoły, a później zgromadzeni goście wybrali swoich faworytów. Najlepsze okazały się dziewczęta Beata Chmielewska i Anita Kassin z klasy trzeciej, które przygotowały „Małże” i „Mus czekoladowy”, a także Mateusz Lupa i Łukasz Kamiński z klasy pierwszej wzbudzili zain-teresowanie gości przygotowując „Tarte Tatin” i „Krewetki w sosie słodko kwaśnym”. Nagrodę Grand Prix otrzymali uczniowie klasy trzeciej Arek Maciejewski i Dawid Grecki za przygotowanie „Królika w sosie słodko kwaśnym”. Podczas konkursu mieliśmy również okazję spróbować „Nale-śników po bretońsku”, „Choucroûte”, „Tarte au citron”, „Ratatouille”, „Zupy cebulowej”, „Gruszek Pięknej Heleny”, a także „Rogalików francuskich”.

Ten konkurs zawsze cieszy się dużym zainteresowaniem wśród uczniów i jest przeprowadzany na wysokim poziomie, a wszystkie potrawy są na-prawdę wspaniale przygotowane, pięknie pachną i są po prostu pyszne. Trudno jest wyłonić zwycięzcę!!! Trzeba przyznać, że poza dyplomem i na-grodami liczy się MIŁOŚĆ DO KUCHNI FRANCUSKIEJ.

Uroczystości towarzyszył spektakl artystyczny przygotowany przez klasy 1b, 3b, 3i, oraz 2d. Uczniowie przygotowali krótką scenkę w restau-racji. Chłopcy tańczyli przy muzyce francuskiej, a dziewczęta śpiewały piosenki. Był również odsłuchany Hymn Francji w wydaniu reagge, a tak-że po sali przemieszczały się prawdziwe mimy.

Wszyscy uczestnicy Dnia Frankofonii otrzymali słodycze i dyplomy, a zwycięzcy konkursu gastronomicznego nagrody książkowe ufundowane przez Stowarzyszenie Prof. – Europe, Ambasadę Francji, Wydawnictwo PWN i Edukator. Organizatorami imprezy były nauczycielki języka fran-cuskiego – Pani Joanna Dołżycka i Pani Ewa Rzeszotarska.

Ten Dzień Frankofonii na pewno należy do udanych i długo go jesz-cze będą pamiętać zaproszeni goście oraz uczniowie, którzy już wymyślają potrawę na przyszły rok.

Przygotowała

Joanna Dołżycka

Journées de la Francophonie 2011

Dzień Frankofonii w Zespole Szkół Gastronomiczno-Hotelarskich w Gdańsku

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Cieszyn

CIESZYN n Journées de la Francophonie 2011

La journée portes ouvertes organisée comme chaque année par la section française du Collège de Formation des Maîtres de Cieszyn avait cette année la particularité de tomber un 1er avril. Ce n’était pourtant pas un « pois-son d’avril » : étudiants et enseignants étaient bien au rendez-vous, prêts à accueillir le public. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le public, composé de lycéens souvent accompagnés de leurs enseignants, a répondu présent à l’invitation ; on a dû en effet se serrer dans une petite salle préparée pour l’occasion.

Le programme de la journée a débuté par l’accueil des invités et une présentation du Collège par Mme Anna Major, directrice de la section française. Se sont ensuite succédés au micro plusieurs invités ayant en commun l’amour de la langue et de la culture françaises, comme Mme la professeur Halina Widła de l’Université de Silésie et Monsieur Alain Schneider, directeur adjoint de l’Institut Français de Cracovie qui nous a honoré de sa présence. Enfin, Monsieur Gniatowski, un Français expatrié, est venu nous parler de la cuisine française : son histoire, ce qui la différencie de la cuisine polonaise, etc.

Après cette partie théorique très intéressante, place à la pratique : les étudiants avaient en effet préparé, dans une salle toute décorée aux couleurs de la France, un buffet composé de spécialités culinaires françaises qui remporta comme on pouvait l’imaginer un franc suc-cès. La journée n’a pas manquée de surprises, comme lorsque le public a vu la salle envahie par des « rhino-céros » ! Les élèves de seconde année avaient en effet préparé une représentation basée sur la célèbre pièce de Ionesco. Certains d’entre eux avaient un temps été sceptiques à l’idée de jouer un « théâtre de l’absurde »… mais il y ont mis beaucoup d’énergie et de travail et ont, à en juger les applaudissements dans la salle, largement conquis le public.

La journée s’est ensuite poursuivie par les tant atten-dus concours, dans lesquels les lycéens se sont affrontés dans des domaines tels que l’histoire de France ou la lecture, et s’est achevée par la remise des prix.

Cette journée de la Francophonie a très visiblement enthousiasmé les futurs (espérons-le) étudiants, comme les organisateurs, qui attendent avec impatience la prochaine édition.

Un grand merci à tous nos sponsors : l’Association des Professeurs de Français en Pologne, l’Ambassade de France en Pologne et l’Institut Français de Cracovie. Sans votre aide l’organisation de la Journée de la fran-cophonie à Cieszyn ne serait pas possible.

Les étudiants de la section française : Karolina Cieślar, Anna Krypczyk, Monika Rumocka,

Michalina Zwolińska et Remigiusz Cyganek

1. Au milieu Mme la professeure Halina Widła de l’Université de Silésie, à droite M. Alain Schneider, directeur adjoint de l’Institut Français de Cracovie

2. Le repas à la française

3. Bérenger interprété par Małgorzata Bulska

Journée de la Francophonie à Cieszyn

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KoszalinCieszyn

Journées de la Francophonie 2011 n KOSZALIN

Le 25 mars 2011, dans le siège accueillant de l’Ecole Supérieure de Profession (PWSZ) à Koszalin, une grande fête se déroule : nos invités, les lycéens, au nombre de huit, venus de quatre villes de Poméranie, participent au concours: “Questions pour un champion”. Ils représentent Koszalin, Kołobrzeg, Lębork et Słupsk. Les participants, au début en quatre équipes, ensuite individuellement, répondent aux questions, émotionnés par le stress et en essayant de réagir le plus vite possible aux questions touchant la Francophonie et les pays francophones, préparées par Madame Agnieszka Künhl-Kinel. Cette lutte vaut bien le Grand Prix : c’est un voyage en France, offert au vainqueur par l’Ambassade de la Répu-blique française.

A la fin, un moment de plaisir : des prix intéressants sont remis à tous les participants. Ce sont des livres, albums d’art, disques et dictionnaires offerts par l’Association PROF-EUROPE et par la PWSZ de Koszalin.

La lauréate de notre concours vient de Lębork : c’est Sabina CZARNOWSKA du Groupement d’Ecoles numéro 1, élève de Ma-dame Izabela Cysewska-Bućko, notre ancienne étudiante.

Vive la Francophonie!Texte rédigé

par Joanna Włodarczyk1. L’ équipe de Lębork et celle qui va partir en France…

2. « La famille francophone »

Fête Internationale de la Francophonie Koszalin 2011

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PROF-EUROPE 2011

Zamość

ZAMOŚĆ n Journées de la Francophonie 2011

W tym roku szkolnym marzec był miesiącem szczególnym. Należał on do uczniów, których wiedza wykracza poza podstawy języka urzędowe-go Francji. Już po raz szósty odbyły się w naszym mieście Zamojskie Dni Frankofonii zorganizowane przez Stowarzyszenie Nauczycieli Języka Fran-cuskiego PROF-EUROPE Oddział Zamość oraz II. Liceum Ogólnokształ-cące im. Marii Konopnickiej.

O imprezie było głośno – na bieżąco informowały o niej lokalne gazety, m.in. Tygodnik Zamojski oraz akademicka gazeta Skafander. Wzmianki pojawiły się również na paru stronach internetowych. To wydarzenie spo-tkało się z dużym zainteresowaniem uczniów, których pasją jest pozna-wanie języka i kultury Francji. A było o co walczyć, bo główną nagrodą w konkursach była niezapomniana podróż do Francji ufundowana przez Ambasadę Francji w Polsce. Szczęśliwców było tylko dwóch, zwycięzcy już na tegorocznych wakacjach będą mogli poczuć smak wygranej. Ci, którym nie udało się zdobyć pierwszego miejsca otrzymali cenne nagrody ufun-dowane przez sponsorów imprezy – wydawnictwa oraz francuskie firmy działające w Polsce. Były wśród nich zarówno najnowsze podręczniki do nauki języka, jak i ciekawe publikacje na temat historii i kultury Francji.

Po eliminacjach szkolnych w murach II. LO w Zamościu odbyły się dwa finałowe konkursy. Pierwszy z nich dotyczył znajomości języka i orto-grafii francuskiej, drugi zaś wiedzy o krajach frankofońskich. W tym roku uczniowie wykazywali się wiedzą o Departamentach i Terytoriach Zamor-skich Francji.

Pierwszy finał odbył się 19 marca pod hasłem „Le Champion de l’Or-thographe française”. Uczestniczyła w nim młodzież licealna i gimnazjal-na. Cały test trwał, w zależności od wieku uczestników, jedną lub półtorej godziny. Wszystkich biorących udział było dwudziestu czterech, dziesięciu z gimnazjum i czternastu z liceum. Z obu zespołów jury wyłoniło po trzech zwycięzców. Każdy z uczestników pisał test ortograficzny oraz dyktando. Poziom był naprawdę wysoki, lecz opinie na temat konkursu były zróżni-cowane. Licealistom poszło „jak z płatka”, dla gimnazjalistów zaś była to trudna próba, z której jednak udało im się wyjść zwycięsko. „Nauka języ­ka francuskiego zawsze sprawiała mi wiele przyjemności”, tłumaczyła jed-na z gimnazjalistek. Słowa uczestniczki konkursu z powodzeniem mogą stanowić pointę tej niezwykłej imprezy i dobrze jej wróżą na przyszłość. Jury konkursu stanowili nauczyciele języka francuskiego, którzy towarzy-szyli swoim uczniom. Podczas sprawdzania prac konkursowych przez jury uczestnicy mogli obejrzeć film – oczywiście francuskojęzyczny – pod tytu-łem „Auberge espagnole”.

Tę edycję w kategorii szkół ponadgimnazjalnych wygrała Julia Paszko z I LO, drugie miejsce wywalczyła Anita Chmielewska z III LO a Kata-rzyna Stefańczyk z I LO była trzecia. Wszystkie są uczennicami zamoj-skich liceów.

Z gimnazjalistów najlepiej wypadła Kinga Panasiewicz zgłoszona przez Fundację Kultury i Przyjaźni Polsko – Francuskiej w Hrubieszowie, na drugim miejscu uplasowała się Karolina Szabot z Gimnazjum nr 3 w Za-mościu, a na miejscu trzecim Wiktoria Dubaj również z Fundacji Kultury i Przyjaźni Polsko – Francuskiej w Hrubieszowie. Wręczenie dyplomów i nagród dla zwycięzców, upominków dla wszystkich uczestników oraz dy-plomów dla nauczycieli odbyło się jeszcze tego samego dnia.

Francuski marzec w Zamościu

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31Journées de la Francophonie 2011 n ZAMOŚĆ

Drugi konkurs, który odbył się 26 marca w ramach Dni Frankofonii w Zamościu nosił nazwę „Nous connaissons les DOM-TOM par ateliers tournants”. Wzięło w nim udział 26 osób, 10 z gimnazjum (5 zespołów po 2 osoby) oraz poje-dynczo 16 osób z liceum. Poszczególne zadania konkursowe zawodnicy wykonywali przy stolikach (stacjach dydaktycz-nych) w obecności nauczyciela-członka jury. Wszyscy uczest-nicy konkursu mieli okazję wykazania się znajomością geo-grafii, wiedzą o Departamentach i Terytoriach Zamorskich Francji oraz znajomością języka francuskiego. Przechodząc od stacji do stacji, uczestnicy mieli obowiązek nanieść nazwy departamentów w odpowiednie miejsca na mapie świata, na-pisać kartkę pocztową na podstawie obejrzanego filmu z tej części świata, rozszyfrować słowa piosenki oraz nazwy miast i miejscowości, napisać krótkie dyktando związane tematycz-nie z konkursem. Gdy licealiści jeszcze zmagali się z pisaniem dyktanda, gimnazjaliści wykonywali kolorowe plakaty. Wy-kazali się talentem plastycznym i pomysłowością, a ich prace mogli podziwiać wszyscy uczestnicy.

Po podliczeniu punktów, jury przyznało nagrody. W su-mie zwycięzców było dziesięciu: czterech licealistów i sześciu gimnazjalistów.

W kategorii gimnazja najwyższe lokaty otrzymali:

n Justyna Hamerska i Katarzyna ZiółkowskaGimnazjum Nº3 – 1 miejsce

n Paweł Suchodolski i Klaudia ZbyrytGimnazjum N° 3 – 2 miejsce

n Katarzyna Łagowska i Marta StępieńGimnazjum Nº 5 – 3 miejsc

1. Uczestnicy i zwycięzcy konkursu „Champion de l’Orthographe française”

2. Uczestnicy konkursu wiedzy o Departamentach i Terytoriach Zamorskich Francji przy stacjach dydaktycznych

3. Uczestnicy konkursu wiedzy o Departamentach i Terytoriach Zamorskich Francji

4. Laureaci tego konkursu

W kategorii szkoły ponadgimnazjalne najwyższe laury zdobyli:n Grand prix – Katarzyna Stefańczyk

I Liceum Ogólnokształcące w Zamościun 1 miejsce – Natalia Celińska

II. Liceum Ogólnokształcące w Zamościun 2 miejsce – Paulina Drewniak

II. Liceum Ogólnokształcące w Zamościun 3 miejsce – Roksana Wojtyna

II. Liceum Ogólnokształcące w ZamościuZwycięzcom konkursu nagrody wręczyła Pani Beata

Chmura Dyrektor II Liceum Ogólnokształcącego im. Marii Konopnickiej.

W ramach nagród pocieszenia każdy z pozostałych uczestników konkursu otrzymał upominek. Prezenty i książ-ki ufundowali: Leclerc Zamość, Delegatura Rządów Wspólnoty Francuskiej Belgii i Regionu Walonii oraz Wydawnictwo Szkol­ne PWN, Wydawnictwo Naukowe PWN, Hachette, CLE Inter­national, Nowela i LektorKlett.

Uczniowie uczestniczący w konkursie wykazali się dużą wie-dzą o Departamentach i Terytoriach Zamorskich Francji oraz znajomością samego języka. Świadczy to o wysokim potencjale oraz ambicjach młodzieży z Zamościa i całego regionu.

„Doskonale pamiętam, jak w klasie 4 szkoły podstawowej miałam prawo do dodatkowego języka obcego. Francuski czy rosyjski? Do tej pory nie żałuję”­ mówiła jedna z licealistek.

Zwyciężczynie obu konkursów – Julia Paszko oraz Kata-rzyna Stefańczyk pojadą w lipcu na kilkudniową wycieczkę do Francji ufundowaną przez Ambasadę Francji w Polsce.

Osoby, które nie wzięły udziału w tegorocznym konkur-sie, a chciałyby wykazać się wiedzą i umiejętnościami, będą mogły zrobić to już za niecały rok. Miejmy nadzieję, że im-preza będzie się cieszyć coraz większym powodzeniem wśród uczniów szkół naszego regionu. Au revoir !

Autorka: Justyna Pataj, uczennica klasy I

II LO w Zamościu

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TORUŃ n Journées de la Francophonie 2011

Dans le cadre des Journées de la Francophonie, le Collège de Formation des Maîtres (NKJO) de Toruń en coopération avec l’Ambassade de France à Varsovie, la section régionale PROF-EUROPE de Bydgoszcz-Toruń et avec Urząd Marszałkowski de Toruń a organisé le concours « Les fabuleuses histoires des héros francophones », adressé aux collégiens et aux lycéens.

La finale de ce concours a eu lieu le 23 mars 2011, lors de la Journée de la Francophonie fêtée au NKJO de Toruń.

Le concours a suscité l’intérêt des écoles de Toruń et de celles des environs, mais il a de même attiré l’attention des élèves en dehors des frontières de la région. Les collégiens et les lycéens de Bydgoszcz, Grudziądz, Inowrocław, Włocławek et Bartoszyce sont venus nombreux participer au concours. Celui-ci se compo-sait de deux étapes. La première consistait à préparer en français une présentation multimédia (PowerPoint) sur un personnage francophone (écrivain, chanteur, peintre, acteur, sportif, etc.) qui a marqué d’une manière particulière l’univers de la Franco-phonie. La réalisation pouvait englober toute la biographie ou bien se focaliser sur un des aspects de la vie de l’artiste. Trois enseignants du NKJO ont été convoqués pour former le jury et sélectionner les meilleures śuvres dont les auteurs ont été invités à la deuxième étape. Celle-ci consistait à présenter au public, lors de la finale du concours, les résultats de leur travail. Ce jour-là, dix finalistes de Toruń, Bartoszyce, Inowrocław, Bydgoszcz et Grudziądz sont arrivés au Collège de Formation des Maîtres de Toruń, accompagnés de leurs collègues de classe et de leurs professeurs.

Trois membres du jury : Pascal Schaller – attaché de co-opération pour le français de l’Ambassade de France en Pologne, Marta Samolej-Chmielewska – présidente de la section PROF-EUROPE de Bydgoszcz-Toruń et Anna Żurawska – de la section française du NKJO de Toruń, ont été convoqués pour la finale et chargés d’évaluer les présentations.

Après la délibération, le jury a apprécié la qualité des travaux en décernant les prix suivants:

1. Dans la catégorie « collège » :n Ier prix à Martyna Fischer

– Collège no 2 de Grudziądzn IIième prix à Joanna Borowiecka

– Collège no 17 de Bydgoszczn IIIième prix à un élève du Collège no 17 de Bydgoszcz

(à la demande des parents, le nom du gagnant n’est connu qu’aux organisateurs du concours)

2. Dans la catégorie « lycée » :n Ier prix à Klaudia Zboralska

– Lycée no 1 d’Inowrocławn IIième prix à Aleksandra Tatarkowska

– Lycée no 5 de Toruńn IIIième prix à Daniela Borkowska

– Lycée de Bartoszyce

ToruńConcours « Les fabuleuses histoires des héros francophones » organisé au NKJO de Toruń

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33Journées de la Francophonie 2011 n TORUŃ

Monsieur Pascal Schaller a annoncé que le prix d’un séjour en France financé par l’Amba-ssade de France avait été attribué à Klaudia Zbo-ralska en tant que gagnante du concours dans la catégorie « lycée ». Le représentant de l’Amba-ssade a adressé ses félicitations à la lauréate et lui a remis le diplôme.

Tous les autres participants ont reçu un diplôme de fina-liste et ont été recompensés par des livres et dictionnaires de français.

Durant la finale du concours, les étudiants de la section du français ont participé à la dictée préparée et lue par Emmanuel Lajus. Le titre « Maître de l’orthographe », accom-pagné d’un prix, a été octroyé au meilleur étudiant de chaque année.

Une fois les prix remis, les invités ont pu assister au pro-gramme de la Fête de la Francophonie, notamment au spec-tacle intitulé Quelques scènes de la vie du Petit Nicolas prépa-ré par les étudiants du NKJO de Toruń sous la direction de Małgorzata Kaczmarek, enseignante de la section française du NKJO. Après cette représentation théâtrale, dr Krzysztof

ToruńTrojanowski de l’Université Nicolas Copernic de Toruń a donné une conférence sur l’histoire de la haute couture.

Pendant la pause-café, les organisateurs ont aussi dressé un petit buffet à l’intention des élèves et de leurs professeurs en leur proposant quelques spécialités de la cuisine française.

En tant qu’organisateurs de la Journée Francophone qui se propose de promouvoir la langue française et l’apprentissage du français dans notre région, nous tenons à remercier l’Am-bassade de France en Pologne, l’Association PROF-EUROPE de Bydgoszcz-Toruń, Urząd Marszałkowski de Toruń et la maison d’édition Hachette Polska qui ont contribué à donner de la valeur au concours en le soutenant financièrement et en octroyant des prix prestigieux aux lauréats. Nous aimerions aussi remercier dr Artur Mikiewicz – directeur du NKJO de Toruń, Pascal Schaller – attaché de coopération pour le fran-çais de l’Ambassade de France en Pologne et Marta Samolej-Chmielewska – présidente de la section de Bydgoszcz-Toruń pour leur aide dans l’organisation du concours « Les fabu-leuses histoires des héros francophones ».

Organisateurs de la Journée de la Francophonie :Sabina Kwiatkowska

Dorota LajusAnna Żurawska

ToruńLa journée de la francophonie au collège n° 3 de Toruń

Le 25 mars 2011 les élèves (et les profs aussi!) ont eu l’occa-sion de présenter leurs talents pendant la Journée de la Fran-cophonie, la fête de tous les francophiles de notre collège. On a montré le français de l’autre perspective que pendant les cours à l’école. C’était surtout la promotion de la langue et de la culture française.

Dix collégiennes ont commencé la fête en dansant le French Cancan. Ensuite Eliza Kornalska de 3ème “c” a déc-lamé un fragment de prose de Françoise Sagan „Bonjour tristesse”. Eliza a reçu la distinction lors des éliminatoires régionales du 29ème Concours de Prose et Poésie Franco-phones. Ensuite on a pu admirer Eliza Michałowska de 3ème “a” et Daria Sieminiak de 3ème “c”, qui ont chanté leur version franco-anglaise de la chanson de Kate Ryan „Je t’adore”. Marta Bochucińska de 3ème “a”, notre seconde élève qui a reçu la distinction dans les éliminatoires régionales du 29ème Con-cours de Prose et Poésie Francophones, a présenté ensuite un fragment du polar de Vincent Patria intitulé „La tête dans l’étau”. Après, le public a pu se plonger dans l’ambiance plus gaie et légère en applaudissant Damian Daniecki de 3ème “d” dans sa parodie de l’émission de Pascal Brodnicki „Po prostu gotuj!”. Vous pouvez le voir en allant vers le lien http://www.youtube.com/watch?v=2AeiXhtDN20 1. French Cancan par les collégiennes de „Trójka”

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TORUŃ n Journées de la Francophonie 2011

2. Marta Bochucińska de 3ème „a” en tant que tueur professionnel…

3. De gauche à droite: Pascal Schaller, Marta Samolej-Chmielewska, Patryk Gouden

Après, c’était le tour des profs de présenter leurs talents. Nous avons écouté deux chansons des artistes françaises contemporaines, „Le petit voisin” de Jeanne Cherhal et „Le long de la route” de ZAZ, interprétées par Marta Samolej-Chmielewska, enseignante de fran-çais. Michał Mike, enseignant de musique l’accompa-gnait au piano.

Notre fête s’est terminée avec deux chansons d’Ali-zée dans l’interprétation de l’invitée spéciale, Joanna Czajkowska, musicienne de Toruń.

Pendant la cérémonie, les élèves ont participé au quizz. Chaque personne qui a répondu à une question du quizz obtenait un bonbon. Les adolescents ont écrit aussi une “dictée”. Les élèves des 1ères devaient noter tous les mots français qu’ils ont relevé pendant la fête tandis que les élèves des 2èmes et 3èmes seulement des mots et des expressions venant des chansons y inter-prétées. Tous les participants de cette dictée marrante ont obtenu des petits gâteaux au sirop d’érable préparés par Paweł Jaworski de 2ème “d” dans le cadre du projet éducatif sur la cuisine de pays francophones. Les ga-gnants de chaque catégorie (1ère, 2ème, 3ème classes) ont reçu des prix spéciaux : des aides pour l’apprenti-ssage du français en autonomie ainsi que des chocolats suisses.

Voici la liste des gagnants:n 1ère classe : Alexander Hagge (1ère “a”)n 2ème classe: Barbara Nowakowska (2ème “a”)n 3ème classe: Natalia Brzyska (3ème „a”)

Il faut mentionner que les gagnants viennent des classes au profil linguistique où les élèves apprennent trois langues et le français est leur troisième langue étrangère.

La présence de Pascal Schaller, Attaché cultu-rel de l’Ambassade de France en Pologne, a enrichi le deuxième tour de la fête. Accompagné de Marta Samolej-Chmielewska, il a fait un petit quizz au sujet de la francophonie avec des cadeaux à gagner. Notre invité et son quizz ont été vivement applaudis par le public!

Pendant la journée, les élèves et les professeurs ont pu goûter des poivrons à la sauce piquante préparés par Artur Krauze de 2ème “d” également dans le cadre du projet éducatif sur la cuisine des pays francophones.

La fête a été organisée dans le cadre du projet de la section régionale Bydgoszcz-Toruń de PROF­EUROPE. Ewa Szatkowska, enseignante de dessin du Collège n°3 a fait des décorations. Michał Mike, Elwira Muszyńska et Marta Samolej-Chmielewska ont surveil-lé le tout. Weronika Więckowska de 3ème “c”, Magdale-na Olszewska de 3ème “d” et Patryk Gouden de 3ème “d” ont animé la fête principale qui s’est déroulée dans la grande salle du collège.

Elwira Muszyńska, Collège n°3 de ToruńMarta Samolej-Chmielewska, Collège n°3 de Toruń

PROF-EUROPE Section de Bydgoszcz-Toruń

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35Journées de la Francophonie 2011 n BYDGOSZCZ

1. À table, SVP !

2. Bon appétit !

BygdoszczJournée de la Francophonie à Bydgoszcz

Le 24 mars 2011 notre établissement Zespół Szkół nr 4 à Bydgoszcz (IX LO, Gimnazjum nr 17) a célébré la Jour née Internationale de la Francophonie. Grâce au sou tien financier de PROF-EUROPE nous avons orga-nisé la Journée à la française. Les idées principales de notre action étaient de promouvoir la civilisation fra-nçaise et francophone et de bien s’amuser en pratiquant le fran çais.

Ce jour-là les élèves qui étaient habillés en couleur bleu-blanc-rouge n’étaient pas interrogés. On a organisé le Concours sur la France qui était adressé aux élèves du collège. Les groupes de trois élèves de chaque cla-sse qui apprend le français ont rivalisé dans différentes activités qui concernaient la géographie, l’histoire, la culture ainsi que l’art, la musique et le cinéma fran-çais. Le réprésentant de chaque groupe tirait au sort une question et donnait la réponse après avoir consulté son équipe. Après chaque tour, les équipes avaient la possiblité de gagner des points supplémentaires en déchiffrant une énigme préparée par le professeur de français.

Le 1er prix a été remporté par le groupe de la première “a”, le 2ème prix a été décerné au groupe de la seconde “a” et le 3ème prix au groupe de la troisième “a”. Pendant notre manifestation française les lycéens avaient l’occasion de regarder des films français. Tous les participants pouvaient déguster des spécialités délicieuses de la cuisine française, préparées par les collègiennes de la seconde. Pendant les pauses nous pouvions écouter de la musique de plusieurs pays francophones du monde. En plus, on a organisé une exposition des affiches faites par les élèves présentant la culture française. Certains d’entre les collègiens se sont déguisés en personnes célèbres. Ainsi, dans nos couloirs, on pouvait voir des acteurs, des chanteurs, des peintres et des sportifs français et francophones.

L’idée d’organiser la Journée à la française a beaucoup plu à tous et nous attendons avec impatience l’année prochaine pour continuer notre action.

Agata WnukZespół Szkół nr 4 à Bydgoszcz

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BYDGOSZCZ n Journées de la Francophonie 2011

W sobotę, 26 marca 2011 roku w murach Zespołu Szkół Ogól-nokształcących nr 2 w Bydgoszczy odbyły się Drzwi Otwarte. Wśród klas o różnych profilach prezentowała się także, istnie-jąca od 2006 roku, klasa dwujęzyczna francuska. Na poten-cjalnych kandydatów czekało wiele atrakcji. W programie był pokaz zrealizowanego przez uczniów dwujęzycznych filmu krótkometrażowego „Un seul mot” (Allumette d’Or podczas Festiwalu Filmów Krótkometrażowych w Zielonej Górze, 2009r.) oraz pokaz tańca bretońskiego. Uczniowie nie znający

3 personnes ont dû faire des puzzles (pour dire ensuite quel personnage du monde francophone y est représenté), deviner le nom d’un lieu célèbre d’après la photo ou donner le titre de la chanson d’un artiste francophone… Le public a pu goûter des baguettes et des fromages.

Mercredi, le même concours s’est déroulé dans le lycée mais cette fois c’étaient les élèves de notre école qui ont été mis à l’épreuve.

Jeudi, les enfants des soldats d’OTAN qui fréquentent notre école ont proposé encore un concours. Les participants ont dû démontrer leur connaissance des villes françaises : Pa-

ris, Lyon, Marseille, Bordeaux et Reims. La Semaine de la Francophonie dans

notre école a terminé avec LA SOIREE FRANCOPHONE, le 25 mars (vendredi). La Soirée a réuni les élèves des classes bi-lingues, leurs parents et les professeurs. Cette année les familles des soldats d’OTAN sont venues pour fêter avec nous. Mon-sieur Pascal Schaller (attaché culurel de l’Ambassade de France en Pologne) a été notre invité d’honneur. Le programme a été très riche et varié. Il y avait des chansons chantées par les élèves, une courte leçon de français pour les parents, un concours pratique sur la Francophonie, la démon-stration de la danse belge et un moment de la convivialité autour de la table avec des spécialités françaises préparées par les élèves. Il ne nous reste qu’attendre un an pour fêter de nouveau la Semaine de la Francophonie.

Alicja Wojciechowska

BydgoszczDrzwi Otwarte w LO nr 2 w Bydgoszczy.Sekcja dwujęzyczna zaprasza.

jeszcze języka francuskiego mogli uczestniczyć w lekcji „zero-wej” przy użyciu tablicy interaktywnej. Przez cały czas odby-wała się degustacja francuskich przysmaków, przyszli franko-file mogli też rozwiązać mały Quiz o Francji (na 3 osoby, które udzieliły poprawnych odpowiedzi czekał zestaw gadżetów). Na wszystkie pytania dotyczące nauki w naszej sekcji odpowiadali uczniowie obecnej klasy 0H oraz nauczyciele j. francuskiego. Gorąco przekonywaliśmy przybyłych, że wybór języka francu-skiego to droga ambitna, ciekawa i inspirująca.

Alicja Wojciechowska

BydgoszczLa Semaine de la Francophonie dans le Lycée no 2 à Bydgoszcz

Tous les ans la Semaine de la Francophonie est très célébrée au sein du lycée no 2 (avec une section bilingue francophone) à Bydgoszcz. Cette année notre programme a aussi été bien rempli.

Nous avons démarré lundi, le 21 mars avec Le petit déjeu­ner organisé par la classe Ih. Tous les élèves qui apprennent le français ont été invités le matin dans une grande salle à prendre un croissant, baguette, confiture... dans une ambiance de co-nvivialité et détente. Tout le monde s’est vraiment régalé !

Le jour suivant, la classe 0H a présenté le concours Fran­kofonek adressé aux collégiens de Bydgoszcz. Les équipes de

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37Journées de la Francophonie 2011 n BYDGOSZCZ

1. i 2. Concours préparé par les enfants des soldats d’OTAN

3. Quelques paroles de M. Pascal Schaller

4. Les tables couvertes de spécialités culinaires de toute la France

5. Concours pratique sur la Francophonie…

6. ...et voici son résultat. Chapeau bas !

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LEGNICA n Journées de la Francophonie 2011

Texte de la dictée

1. Le Petit Chaperon Rouge apporte du beurre 2. et une galette à sa grand-mère. 3. En chemin, elle rencontre un loup 4. qui lui demande où elle va. 5. Ce loup arrive en premier chez la grand-mère 6. et la mange. 7. Puis, il prend la place de la grand-mère et attend. 8. Quand le Petit Chaperon Rouge arrive chez sa grand-mère, 9. elle s’approche du lit et dit :10. – « Oh ! Grand-mère, comme tu as de grands yeux ! »11. – « C’est pour mieux te voir mon enfant. »12. – « Oh ! Grand-mère, comme tu as de grandes dents !»13. – « C’est pour mieux te manger mon enfant ».

Fin de la dictée

LegnicaFrankofonia 2011 w NKJO w Legnicy

Corocznie w grudniu program i tematyka Frankofo-nii wraz z tekstami do tłumaczenia rozsyłane są do tych szkół Regionu Miedziowego (gimnazja i licea), w których nauczany jest język francuski. Dzięki temu uczestnicy konkursów mają trzy miesiące na przygo-towanie się do dyktanda lub/oraz przetłumaczenie tekstów literackich.

PROGRAM

n 1. XI. Konkurs na przekład literacki poezji i prozy francuskiej

„LES SENTIMENTS” – pod takim hasłem odbyła się XI. edycja konkursu na przekład literacki poezji i prozy francuskiej. Udział w konkursie polegał na przetłumaczeniu wybranych przez organizatorów utworów – fragmentu prozy i/lub wiersza, których tematyka dotyczyła szeroko pojętej sfery emocjonal-nej człowieka.

n 2. VI. Konkurs Dyktanda w Języku Francuskim w Regionie Miedziowym

Konkurs polega na napisaniu dyktanda w języku fran-cuskim o średnim stopniu trudności, opartego na tek-stach autentycznych i modyfikowanych o określonej,

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PROF-EUROPE 2011

39Journées de la Francophonie 2011 n LEGNICA

1. Dyktando dla licealistów, NKJO w Legnicy

2. Dyktando dla gimnazjalistów, NKJO w Legnicy

corocznie innej tematyce. Konkurs odbywa się w dwóch kategoriach wiekowych: gimna-zja i licea.

Tradycyjnie, dyktando dla gimnazja-listów poprzedzone jest różnorodnymi ćwiczeniami przygotowującymi, w czasie których uczestnicy mają okazję powtórzyć lub zaznajomić się ze słownictwem i trud-niejszymi wyrażeniami pojawiającymi się w tekście dyktanda.

Tematem przewodnim tegorocznej edy-cji dyktanda były UCZUCIA, te dobre i te złe, właściwe naturze ludzkiej: miłość, na­dzieja, radość… ale też nienawiść, strach, rozpacz.

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PROF-EUROPE 2011

LEGNICA n Journées de la Francophonie 2011

XI. edycja Konkursu na przekład literacki poezji i prozy francuskojęzycznej oraz VI. Dyktando z języka francuskiego w Regionie Miedziowym, organizowane corocznie w NKJO w Legnicy w ramach obchodów Dni Frankofonii, cieszyły się w tym roku dużym zainteresowaniem młodzieży uczącej się języka francuskiego.

Na konkurs tłumaczeniowy napłynęło 45 prac w kategorii « po-ezja » oraz 43 prace w kategorii « proza ». Natomiast konkurs dyktanda zgromadził 8 marca 2011 w sali amfiteatralnej NKJO w Legnicy blisko 90 uczestników w dwóch kategoriach: gimna-zja i licea.

Uroczystość ogłoszenia wyników konkursów oraz wręcze-nia nagród ufundowanych przez Ambasadę Francji w Polsce oraz Stowarzyszenie Nauczycieli Języka Francuskiego w Polsce PROF-EUROPE odbyła się 17 marca 2011 r. w Młodzieżowym Centrum Kultury w Legnicy.

Oto laureaci konkursów :1. Ardel Natalia 9. Nowaczewski Michał

2. Białek Paulina 10. Siuda Agata

3. Dryja Kamila 11. Stypuła Martyna

4. Gąsior Katarzyna 12. Szmigielski Karol

5. Kozioł Idalia 13. Szymczak Małgorzata

6. Lipiec Maja 14. Turkosz Ewa

7. Maciejczak Maciej 15. Wertka Estera

8. Mirosławski Jakub

Gratulujemy wszystkim laureatom oraz ich nauczycielom!

Laureaci konkursów odebrali cenne nagrody książkowe z rąk Pana Michela Imberta, Attaché ds. współpracy językowej Am-basady Francji oraz Pani Bożeny Kulczyckiej, Dyrektora NKJO w Legnicy.

Nagroda specjalna Ambasady Francji – 10 – dniowy waka-cyjny pobyt we Francji przypadła Mai Lipiec, uczennicy I LO w Legnicy, laureatce konkursu dyktanda w kategorii „licea”.

Uroczystość, w której uczestniczyli również nauczyciele ję-zyka francuskiego z Legnicy i Lubina wraz z uczniami, uświetnił występ grupy wokalnej z Polkowickiego Centrum Animacji. Koncert piosenek francuskich przygotowany pod kierunkiem Pani Idy Tamary Zagórskiej oraz Pani Anny Jankowskiej ujaw-nił wiele talentów wokalnych oraz językowych.

Serdecznie dziękujemy młodym artystom za ten wzrusza-jący koncert, a ich opiekunom artystycznym i językowym za promocję języka i kultury francuskiej.

Lucyna Rybarczyk Prezes o/Legnica,

PROF-EUROPE

LegnicaFrankofonia 2011 w NKJO w LegnicyUroczystość rozdania nagród w MCK w Legnicy

1. Prowadzący uroczystość: Lucyna Rybarczyk i Krzysztof Jeleń, PROF-EUROPE, Legnica

2. Zdobywcy I nagród otrzymują również Europejskie Portfolio

3. Nagroda specjalna była dużą niespodzianką

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41Journées de la Francophonie 2011 n MYSłOwICE

Po raz kolejny w miesiącu marcu Gimnazjum nr 1 z Oddzia-łami Dwujęzycznymi im. W. Korfantego w Mysłowicach, włą-czyło się w obchody Międzynarodowego Dnia Frankofonii. Obchody tego święta są doskonałą okazją do lepszego po-znania kultury krajów frankofońskich oraz do popularyzacji języka francuskiego wśród dzieci i młodzieży.

Odkrywanie bogactwa kulturowego krajów frankofońskich rozpoczęliśmy od wycieczki do Paryża i Brukseli. W dniach 6 – 12 marca 2011 roku, 44 osobowa grupa uczniów naszej szkoły uczestniczyła w wycieczce do Paryża i Brukseli.

W Paryżu uczniowie zwiedzili: wyspę La Cité z Katedrą Notre-Dame, muzeum perfum „Fragonard”, Operę Garnier, Ogrody Tuileries, Centrum Pompidou, Ratusz, nowocze-sną Dzielnicę La Défense, cmentarz Père Lachaise, wzgórze Montmartre wraz z Bazyliką Sacré Coeur, Place de la Concorde (Plac Zgody), Palais des Invalides, Louvre, Place Vendôme, Wersal, kościół Madeleine, muzeum d’Orsay, Łuk Triumfal-ny, Pola Elizejskie, wieżę Eiffla, Plac Pigalle oraz wiele innych

MysłowiceFrankofonia 2011w Gimnazjum nr 1 w Mysłowicach

ciekawych zakątków. Ponadto uczniowie odbyli wieczorny rejs po Sekwanie oraz bawili się w Eurodisneylandzie.

W Brukseli podziwiali Grande Place – rynek wraz z Ra-tuszem, zobaczyli symbol miasta – fontannę „Manneken Pis”, czyli siusiającego chłopczyka, widzieli Dom Króla, zabytkowe kamienice, Instytucje Europejskie, Parlament, zwiedzili Ato-mium oraz skosztowali belgijskich przysmaków: czekoladek, frytek i gofrów.

15 marca odbyły się w naszej szkole eliminacje szkolne do Wojewódzkiego Konkursu „Frankofoniada 2011” Do finału konkursu, który odbył się 29 kwietnia w Chorzowie zakwali-fikowały się 2 uczennice naszej szkoły.

Dwa dni później, 17 marca odbyła się III edycja Wojewódz-kiego Konkurs Wiedzy o Francji i Telewizji Francuskojęzycznej TV5 Monde, pt. «Francophonie à travers TV5Monde”.

Natomiast 18 marca odbył się Finał V. edycji Między-szkolnego Konkursu Języka Francuskiego «Gimnazjalista tłumaczy». W konkursie wzięli udział uczniowie z Sosnowca,

1. Bruksela

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MYSłOwICE n Journées de la Francophonie 2011

Katowic, Chorzowa oraz Mysłowic. Wszyscy uczestnicy konkur-sów oraz ich nauczyciele otrzymali dyplomy i nagrody.

Ponadto nauczyciele uczestniczyli w prezentacji metody „Adosphère” Wydawnictwa Hachette Polska, prowadzonej przez przedstawiciela wydawnictwa, Panią Barbarę Klimek.

Obchody Międzynarodowego Dnia Frankofonii zakończyliśmy 29 marca podczas imprezy „Dnia Frankofonii» skierowanej głów-nie dla uczniów szkół podstawowych naszego miasta pod hasłem: „Po francusku w Paryżu i Brukseli to możliwe?”

Poprzez zabawy, liczne konkursy i zadania związane z językiem francuskim oraz krajami francuskojęzycznymi, nawet uczniowie, którzy nie znali jeszcze tego języka, próbowali swoich sił w jego odkrywaniu. Dodatkowo mieli okazję do swobodnej konwersacji z lektorem języka francuskiego, przedstawicielem Delegatury Rzą-dów Wspólnoty Francuskiej Belgii i Regionu Walonii w Polsce, pa-nem Axelem Louvrier, który zaszczycił nas swoją obecnością.

Uczniowie z wielkim entuzjazmem uczestniczyli we wszystkich przygotowanych zabawach i zadaniach. Czekały na nich liczne nagrody, upominki oraz słodki poczęstunek przygotowany przez uczniów i rodziców naszego gimnazjum.

Wszystkie powyższe imprezy udało się zorganizować dzięki pomocy: Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego PROF-EUROPE, Wydawnictw: Hachette Polska, LektorKlett, Edgard, Księgarni Wydawnictw Francuskojęzycznych Edukator, Telewizji frankofońskiej TV5 Monde, Firmie Trumpf Mauxion Chocolates, Firmie Glen Dimplex, Wydziałowi Promocji Urzędu Miasta Mysłowice.

Mirosława Bogacz2–4. Dzień Frankofonii

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43Journées de la Francophonie 2011 n MYSłOwICE

MysłowiceFrankofoniada 2011

Le concours « Frankofoniada » propose aux élèves du collège d’estimer leurs compétences lingui-stiques et communicatives au cours des épreuves écrites et orales. Par le biais de ce concours nous envisageons de promouvoir la langue française chez les adolescents. Nous tenons à faire connaître à nos élèves la culture francophone de même qu’à intégrer les professeurs et les élèves du projet « Classes Francophones en Silésie ».

C’était déjà la troisième édition du concours organisé en collaboration, par deux écoles Gimna-zjum nr 1 de Chorzów et Gimnazjum nr 1 de My-słowice. Le concours « Frankofoniada 2011 » s’est déroulé sous l’égide de la Mairie de la Ville de Cho-rzów et de l’Université de Silésie. Il a connu un grand succès l’année dernière ce qui nous a encouragés à le continuer.

La première étape s’est déroulée le 15 mars dans les établissements qui s’étaient inscrits au-paravant. La deuxième étape a réuni 22 élèves de toute la voïevodie de Silésie (Radlin, Bielsko-Biała, Zabrze, Mysłowice, Pszczyna, Wodzisław Śląski, Tychy, Chorzów). La finale a eu lieu à la MDK de Chorzów le 29 avril 2011. À la troisième étape les participants se sont présentés à l’épreuve orale devant le jury dirigé par Madame Anna Dolata-Zaród de l’Université de Silésie et Madame Barbara Klimek de la Maison d’Édi-tion Hachette. Le premier prix a été décerné à Joanna Kierska de Gimnazjum nr 1 de Pszczy-na, le deuxième prix à Katarzyna Rusin de la MDK de Chorzów et le troisième prix ex aequo à Małgorzata Dąbrowska de ZSO nr 11 de Za-brze et Krystyna Stachura de Gimnazjum nr 1 de Chorzów.

Les organisateurs du concours, madame Aleksandra Rabsztyn de Gimnazjum nr 1 de Chorzów et mesdames Mirosława Bogacz et Małgorzata Caban de Gimnazjum nr 1 de My-słowice tiennent à remercier l’Association des Professeurs de Français PROF-EUROPE, la Ma-irie de la Ville de Chorzów, la MDK de Chorzów, l’Université de Silésie, la Télévision TV5 Monde, la Délégation des Gouvernements de la Commu-nauté française de Belgique et de la Région Wal-lonne en Pologne.

Mirosława Bogacz

1. Remise des prix

2. Les gagnants du concours Frankofoniada

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ZIELONA GóRA n Journées de la Francophonie 2011

Chaque année les Journées de la Francophonie sont la preuve de la popularité de la langue française et de la culture francophone. La première preuve a été présentée pendant un col loque académique ayant pour titre Synergie de la langue et de la culture dans le monde francophone qui a eu lieu à l’Université de Zielona Góra. Les relations entre la langue et la culture ont été analysées sous plusieurs aspects et dans une large perspective.

Monsieur le Prof. Sławomir Kufel a dévoilé la vision de la Pologne à l’époque des Lumières à partir des textes peu connus de Rudjer Boskovic. Monsieur le Prof Wiesław Malinowski a touché également une question littéraire qui concerne quand même l’actualité politique et culturelle dans l’exposé La France et la Wallonie : deux sœurs sous le même toit ? Sur les rêves pangalliques d’Albert du Bois. Chaque année, on consacre une attention particulière à la francophonie africaine. Cette année, nous avons entendu trois conférences à ce sujet. Monsieur le Prof Francis Gandon de l’Université de Caen est entré dans la problématique linguistique de la francophonie africaine. Ce sujet a été développé par Stéphane Mamiah qui nous a fait comprendre un peu mieux les problèmes linguistiques et culturels du Cameroun, tandis que Madame Joanna Ziobrowska nous a fait découvrir la surtemporalité du message des contes et des mythes du tribu des Guidars. Le paysage linguistique de la Francophonie a été complété par deux Français résidant en Pologne : Michel Imbert, attaché de l’Ambassade de France (Wrocław), a étudié la place de la langue française en Europe multilingue et Richard Sorbet (Lublin et Zielona Góra) a présenté son étude sur les noms des villes dans les chansons francophones. Le colloque a été complété par des témoignages personnels sur la place de la Pologne et des Polonais dans la Francophonie avec des diaporamas de Robert Barthe (La Pologne et l’Anjou réunis par l’histoire) et d’une étudiante de la philologie romane UZ, Agata Wojciechowska, qui a partagé ses expériences de la rencontre des jeunes francophones organisée par TV5 à Montreux (Suisse).

Le programme culturel de ces Journées était également riche. Le Canada a marqué sa présence par une séance de cinéma avec le film Neuvaine qui est considéré comme le plus important film du Québec de la dernière décennie. Le groupe Duo Zitouni a donné des concerts des chansons de France et d’ailleurs. La rencontre avec Dominik Górny, un poète de Poznań, a permis d’admirer des poèmes et de la musique liés à Chopin. La musique francophone était présente lors des soirées de la chanson, dans les discothèques et les karaokés organisés par les jeunes francophones et francophiles de notre ville.

Tout cela se passait dans un espace marqué par la Fran-cophonie par des expositions thématiques. L’une, intitulée Francuski to …, a été préparée par la Faculté des Beaux-Arts et la Bibliothèque de l’UZ, l’autre se composait des affiches des

Zielona GóraLes Journées de la Francophonie à Zielona Góra 29 mars – 1er avril 2011

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45Journées de la Francophonie 2011 n ZIELONA GóRA

1. Le Concours Au camping français, de gauche : le Jury, l’équipe gagnante de Gimnazjum 10 à Zielona

Góra avec l’enseignante Halina Bogucewicz

2. Le Concours Au camping français, l’équipe gagnante de Gimnazjum 10 à Zielona Góra

3. Le concert dans le hall de l’Université – Duo Zitouni avec Robert Barthe

4. Les lauréats du Concours Le Petit bac : Paweł Podsiadły, Amelia Kondratowicz, Sylwia Suchan

Zielona GóraConcours francophones à Zielona Góra

Le concours sur la France est depuis des années un test de connaissances sur l’histoire et l’actualité de la civilisation fran-çaise chez les lycéens apprenant le français. Les équipes com-posées de deux élèves ont répondu à des séries de questions dans les domaines thématiques : la géographie, l’histoire et les monuments, les personnages du cinéma et la chanson franco-phone. Toutes les questions étaient illustrées par des diapos et les questions concernant la chanson se référaient à des mor-ceaux de musique. La correction des réponses était vérifiée par le jury composé des enseignants de civilisation à la philo-logie romane – Witold Jacek Kędziora et Richard Sorbet.

Le concours a eu lieu le 31 mars 2011 dans le Collegium Neophilologicum de l’Université de Zielona Góra. Les résul-tats de la compétition sont les suivants :n Ier prix – Społeczne Liceum Ogólnokształcące à Żaryn IIe prix – Zespół Szkół Ekonomicznych à Żaryn IIIe prix – LO nr VII à Zielona Góran IVe prix – LO nr I à Zielona Góran Ve prix – LO nr III à Zielona Góran VIe prix – LO nr IV à Zielona Góra.

Le même jour, les élèves des collèges (gimnazja) ont par-ticipé au concours Au camping français. Il a eu pour objectif de vérifier les compétences communicatives des apprenants. Les équipes des collégiens ont présenté des affiches, des dia-poramas, des exposés, des scènes et des sketches. Toutes les présentations se plaçaient dans le cadre d’une simulation d’un camping francophone. Le premier prix a été attribué au Gi-mnazjum nr 10 à Zielona Góra, la deuxième et la troisième

place ont éte remportées par le Gimnazjum nr 7 et le Gimna-zjum nr 9 à Gorzów Wielkopolski.

Le 20 et le 27 mai 2011, pendant le mois des épreuves de bac, les lycéens des classes I et II ont pu essayer de faire face aux exigences du bac dans le concours Le petit bac – Mała matura z francuskiego. Vu le nombre décroissant des bache-liers prenant la langue française pour l’examen, l’Association Prof-Europe organise une sorte d’ « examen blanc » pour encourager les lycéens à choisir le français comme langue étrangère de bac en classe III. En effet, les résultats sont en grande majorité positifs ce qui peut être rassurant pour les futurs bacheliers et ce qui donne un espoir pour les profes-seurs de français. L’intérêt pour le concours est amplifié par le prix spécial de l’Ambassade de France qui a financé un séjour linguistique en France.

Le 20 mai, 33 élèves ont passé la partie écrite de l’épreuve. Ensuite, les 10 meilleurs se sont présentés le 27 mai à la partie orale. Les trois meilleures élèves viennent tous de Żary, Ce sont: Sylwia Suchan (Katolickie Liceum Ogólnokształcące), Amelia Kondratowicz (Liceum Społeczne) et Paweł Podsiadły (Katolickie Liceum Ogólnokształcące).

Pour conclure, il faut avouer que le rôle de l’Association PROF-EUROPE est très important pour le support de tra-vail des professeurs de français, souvent isolés et marginalisés dans leurs écoles. De même, l’organisation des ces manifesta-tions permet de montrer aux apprenants que la langue fran-çaise est vivante en Pologne et qu’elle peut leur donner une clé pour le succès.

Andrzej Kaczmarek

lycéens de l’École des Beaux-Arts au sujet de la présidence de la Pologne dans l’Union Européenne. L’ambiance francophone a été complétée par un indispensable Café Français géré par les étudiants de la philologie romane UZ.

Andrzej KaczmarekPrésident de PROF-EUROPE ZIELONA GÓRA

[email protected]

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PSZCZYNA n Sections régionales PROF-EUROPE46

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PszczynaC’est par cette belle journée d’automne, le vendredi 8 octobre 2010 que le Lycée d’Enseignement Général de Bolesław Chrobry à Pszczyna a ouvert de nouveau ses portes aux participants de la quatrième édition du Forum Francophone, cette fois intitulé « L’appétit vient en apprenant ». Cette ini-tiative, réalisée avec le soutien de l’Ambassade de France, de la Délégation des Gouvernements de la Communauté française de Belgique et de la Ré-gion wallonne, de TV5MONDE, de LektorKlett, des Echos de Pologne et de nombreux autres partenaires, est devenue un moment important de l’année où se rencontrent tous ceux pour qui la promotion de la langue française et de la culture francophone est à la fois précieuse et significative.

Placée sous le haut patronnage du Maréchal de la Voïévodie de Silésie, du Recteur de L’Éducation en Silésie, du Recteur de l’Université de Silésie, la quatrième édition du Forum Francophone a réuni les représentants de nombreux pouvoirs locaux, les directeurs des établissements sco laires de la région et les professeurs de français (200 personnes). Les person-nalités officielles venues des Ambassades de pays francophones avec entre autres Monsieur Zénon Kowal, Délégué des Gouvernements de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne, Monsieur Gilles Carasso, Conseiller de coopération et d’action culturelle, Madame Mireille Cheval, Attachée de coopération éducative, coordinatrice des Alliances Françaises en Pologne de l’Ambassade de France, ont honoré le Forum de leur présence. Se sont aussi déplacés Monsieur Stanisław Fa-ber, Recteur de L’Éducation en Silésie, Monsieur le Professeur Wiesław Banyś, Recteur de l’Université de Silésie et Madame Ewa Kalinowska, vice-présidente de l’association des enseignants de langue française en Pologne PROF-EUROPE.

Le Forum a donné l’occasion de connaître les résultats et les perspec-tives du projet « Classes francophones en Silésie », lancé durant le Ier Forum, en 2005. Grâce au projet, une cinquantaine de professeurs de français travaille dans les classes avec un programme de français renforcé (minimum 4 heures par semaine). Par conséquent, environ 2000 élèves de plus apprennent le français élargi dans notre région. Outre une aide méthodologique (des livres, des prix pour des lauréats des concours fran-cophones, des stages pédagogiques, des formations), les participants au projet bénéficient de la présence du lecteur belge de Wallonie Bruxelles International qui travaille pour les nombreux établissements impliqués dans le projet.

Les participants du Forum ont eu l’occasion de participer aux diffé-rents ateliers thématiques intitulés : projets européens, nouvelles techno-logies dans l’enseignement, didactique, échange d’expériences. Ces ateliers ont été animés, entre autres, par les représentants des institutions, co-or-ganisateurs ou partenaires du Forum : l’Institut des langues romanes et de traduction de l’Université de Silésie, la Haute École Pédagogique de Zürich, le Rectorat de Katowice, la Fondation pour le Développement du Système Educatif, CampusFrance, l’Association France – Pologne,

Sections régionales PROF-EUROPE

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Le IVème Forum Francophone en Silésie, à Pszczyna « L’appétit vient en apprenant »

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Sections régionales PROF-EUROPE n PSZCZYNA 47

Pszczyna

l’Édition LektorKlett, CLE International et les Échos de Pologne.

Pendant les pauses, les professeurs et les directeurs des établissements ont eu l’occasion de voir les nouveau-tés éducatives accessibles sur le marché polonais, grâce aux expositions et aux stands préparés par les Librairies et les Maisons d’édition, telles que Lektorklett, CLE In-ternational, Wydawnictwa Szkolne PWN, Hachette, Didier, Nowela, Edukator, Systemy Multimedialne.

La clôture du Forum a eu lieu à l’intérieur du Musée du Château de Pszczyna où les participants ont assisté à un concert exceptionnel de musique jazz par les musi-ciens de la Communauté Française de Belgique – Steve Houben (saxophone, flûte) et Pascal Mohy (piano).

En tant que coordinatrice du IVème Forum Franco-phone à Pszczyna je tiens à remercier tous ceux qui ont apporté leur aide et leur soutien, en particulier l’Ambas-sade de France avec Madame Mireille Cheval et la Délé-gation des Gouvernements de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne avec Monsieur Zé-non Kowal.

Il convient de souligner un engagement remarquable des autorités locales de Starostwo Powiatowe, de la Ville de Pszczyna et de nombreux établissements impliqués dans ce projet, entre autres, l’Université de Silésie avec Madame la Professeure Halina Widła, vice-directrice de l’Institut des Langues Romanes et de traduction, chef de département de didactique des langues et d’ensei-gnement à distance, TV5MONDE avec Madame Anna Czołnowska et Bureau de Coopération Bas-Rhin – Silé-sie avec Madame Anna Lewczuk.

Je voudrais adresser mes remerciements spéciaux à Madame Renata Klimek-Kowalska, inspiratrice du Ier Forum Francophone en 2005, sans laquelle cette ini-tiative n’aurait jamais été réalisée, à toutes mes collègues professeurs de français, à Madame la Directrice Renata Dyrda qui nous a apporté un soutien considérable.

Edyta Wojciechcoordinatrice du IVe Forum Francophone

1. Monsieur le Professeur Wiesław Banyś – Recteur de l’Université de Silésie

2. Monsieur Zénon Kowal, de la Délegation des Gouvernements de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne

3. Monsieur Gilles Carasso – Conseiller de coopération et d’action culturelle

4. Lycée d’Enseignement Général de Bolesław Chrobry à Pszczyna, ouverture du Forum : Axel Louvrier, Edyta Wojciech, Renata Dyrda

5. Concert au Musée du Château de Pszczyna

6. Concert au Musée du Château de Pszczyna, Steve Houben (saxophone, flûte), Pascal Mohy (piano).

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Zielona Góra

ZIELONA GóRA n Sections régionales PROF-EUROPE

Les 18 et 19 mai dernier, plus de 200 personnes venant de toute la Pologne ont rempli le cinéma Nysa de Zielona Góra pour le VIIème Festival du Court-métrage franco-phone. Thème de l’année : la valise.

Rassemblés par Laurent Vavon, le directeur du festival, les membres du jury que je présidais cette année devaient départager 32 courts-métrages de 5 à 15 minutes selon différents critères techniques et linguistiques, tout en lais-sant une part à leur appréciation personnelle.

Les participants étaient rassemblés en trois catégories : élèves de collèges et lycées (de loin les plus représentés avec 22 films), étudiants (7 films) et une dernière composée de 3 films réunissant des semi-professionnels.

En plus de la Valise d’or, le Prix de la langue française (le prix fondé par l’Association PROF-EUROPE) a été attribué pour les productions ayant porté une attention particulière à la qualité linguistique. Enfin, le Grand Prix du jury a ré-compensé le coup de cœur des membres du jury.

Palmarès

Catégorie Enseignement secondaire (collégiens et lycéens)n Valise d’or et Prix de la langue française : « La sœur Chri-stine de Valise » du Lycée 1 de Poznań. Trois élèves ayant participé à ce projet iront en France cet été grâce à l’Ambas-sade de France en Pologne.

Catégorie enseignement supérieur (étudiants)n Valise d’or : « Valsez valises » de l’Institut de philologie romane de Wrocław.n Prix de la langue française : « Va Lise » de l’Institut de philologie romane de Gdańsk .

Catégorie Semi-professionnelsLe jury a attribué la Valise d’or aux trois participants tant ils étaient tous d’une excellente qualité artistique et tech-nique :n « La Valise », de AFL Studio et Scena Moliera (Damasławek)n « Continuum », de Soyfilm et Kameralna (Auvillar – France) n « Valisographie », de Limo Produkcja (Zielona Góra)

Grand Prix du jury (toutes catégories confondues)n « Le piège », du Lycée 3 de Częstochowa.

MICHEL IMBERT n Ambassade de France en Pologne

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Palmarès du VIIème Festival du court-métrage francophone de Zielona Góra

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49Sections régionales PROF-EUROPE n ZIELONA GóRA

Élèves, étudiants et professeurs de français on été récompensés par des séjours en France, des ouvrages, des DVD, des appareils photos et des caméras numériques ou encore des abonnements à des revues, tous offerts par divers mécènes. Merci donc à ces derniers, ainsi qu’au département de philologie romane Zielona Góra et à l’Association PROF-EUROPE qui ont participé à l’organisation du festival.

Un grand bravo à tous les participants (élèves, étudiants et enseignants), aux organisateurs, et surtout aux lauréats. Bravo aussi… aux membres du jury qui ont réussi, à chaque fois, à dégager une unanimité (ou presque) pour les choix.

Acteurs en herbe ou jeunes réalisateurs, vous pouvez dès maintenant travailler à votre futur court-métrage ; le prochain festival aura pour thème : le fil. Surtout ne le perdez pas !

n Le rapport du Festival à voir également sur :http://www.francuski.fr/enseigner-le-francais/2011/06/palmares-festival-court-metrage-francophone-zielona-gora/

n Les films sont à voir sur le site dailymotion à partir de :http://www.dailymotion.pl/video/xiw9g2_edition-2011-theme-la-valise_shortfilms

1. Le public et le Jury au premier rang

2. Le motif du festival sous le banner de l’Association

3. Le Jury, de gauche : Salwen Brunel, Edyta Kuczkowska, Michel Imbert, Wioletta Sosnowska, Richard Sorbet, Martyna Lisowska

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Rzeszów

RZESZów n Sections régionales PROF-EUROPE

Enfin, la carte blanche des sections de l’Association au sud-est de la Pologne se remplit ! Les professeurs de fran-çais de la voïvodie Podkarpackie se sont mobilisés pour mettre en place une nouvelle section.

Elle a été cordialement accueillie par M. Marek PLI-ZGA, Directeur du Lycée Nº 3 de Rzeszów 11, rue Cho-pin, car c’est dans ce lycée que se trouve désormais le siège de la section.

Lors de la première rencontre le 25 mai, la décision a été unanime : « il faut que Rzeszów ait sa section et que le français regagne sa juste place parmi d’autres langues ».

Le 25 avril 2011, nous nous sommes réunis pour élire l’équipe de coordination locale qui se compose de :

Présidente : Helena LEJA, professeur de français au NKJO de Rzeszów

Vice-Présidente : Jadwiga HOGENDORF, profes-seur de français au Lycée Nº 3 de Rzeszów

Trésorière : Anna OSIAK, professeur de français au Lycée catholique des Sœurs de la Présentation à Rzeszów

Secrétaire : Bernadeta ADAMUS-KAWKA, profes-seur de français au Lycée Nº 4 de Rzeszów

A ce jour, notre section compte 20 personnes, dont 18 professeurs de français et 2 étudiants.

Nous espérons que bientôt d’autres personnes nous rejoindront !

Depuis la création, nous avons déjà entrepris les pre-mières initiatives, notamment le 4 juin 2011, nous avons eu l’opportunité d’assister à une première formation por-tant sur l’utilité et l’exploitation du « Kit pédagogique du MAE », animée par M. Alain Schneider, Directeur Adjoint de l’Institut Français de Cracovie, à laquelle ont participé 16 personnes. Elle a initié un cycle de forma-tions de notre section.

Nous avons également d’autres projets pédagogiques et culturels pour la nouvelle année scolaire, tous ayant pour objectif de rafraîchir les techniques d’enseignement d’un côté, introduire des innovations ; de l’autre relan-cer l’apprentissage du français, mobiliser les apprenants à choisir le français dans les différentes écoles et les mo-tiver à l’apprendre.

Helena Leja et Jadwiga Hogendorf

1. M. Schneider dans son élément !

2. De gauche vers la droite : Helena Leja, Anna Osiak, Jadwiga Hogendorf, M. Alain Schneider, Irena Zielińska, Brygida Pastuła-Szeląg, Angelika Niemczycka et Małgorzata Cios .

La naissance de la section de l’Association « Prof-Europe » à Rzeszów

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51Sections régionales PROF-EUROPE n LUBLIN

RzeszówChers Ami(e)s lecteurs/lectrices du bulletin PROF-EUROPE No 12, je me permets de vous présenter les activités de la section PROF-EUROPE de Lublin pour l’année scolaire et universitaire 2010-2011.Vous trouverez tout d’abord les informations con-cernant notre Bureau, puis le calendrier détaillé des activités.

Ensuite nous vous présentons les comptes rendus des manifestations les plus importantes :6ème Concours Régional Connaissance de la France (pour les collèges et les lycées).6ème Festival Régional Interscolaire de Chansons Françaises (pour les collèges et les lycées).Pour chaque compte rendu, il y a un lien direct avec la rubrique Lublin du site CECO-FIPF PROF-EUROPE.

Bonne lecture.Richard SORBETPrésident PROF-EUROPE LUBLIN [email protected]

n Association PROF-EUROPE Section Régionale de Lublin

Le Bureau depuis le 2/12/2010

Président : Richard SORBETIFR-UZGCourriel : [email protected] : 0/602 55 88 35Tél. (+48) 81 525 39 98

Correspondance postale à adresser à la Présidente d’Honneur : Urszula PAPROCKA-PIOTROWSKA [email protected]. Racławickie 1420-950 LublinTél. (+48) 81 445 43 55

LublinPrésentation générale de la Section PROF-EUROPE de Lublin

Vice-Présidente : Maria CICHOŃ, IFR-UMCS de Lublin [email protected]

Information complémentaire:Marlena DECKERT, du Lycée No 23 de Lublin, est devenue Secrétaire Nationale de PROF-EUROPE [email protected]

Membre du bureau :Marzanna KĘDZIERSKA, Lycée No 2 de Lublin [email protected]

Secrétaire et trésorière : Anna BIAŁEK-MAREK, Gimnazjum No 9 de Lublin [email protected]

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LUBLIN n Sections régionales PROF-EUROPE

ORGANISATEURS :PROF-EUROPE LublinAnna Białek-Marek, Collège no 9 de LublinMagdalena Supryn-Klepcarz et Agnieszka Drzewiecka, Collège no 10 de Lublin

LIEU :Collège no 10, ul. Wajdeloty 12, 20-604 Lublin

PARRAINAGE :

E. Leclerc ul. T. Zana LUBLIN

Prof-Europe Lublin

Ambassade de France en Pologe

Księgarnia francuska „MARJANNA”Collège no 9 de LublinCollège no 10 de Lublin

Élaboration des questions :Pour les collèges (gimnazjums) : Agnieszka Drzewiecka, Magdalena Supryn-Klepcarz – Collège no 10 de LublinPour les lycées : Anna Białek-Marek – Collège no 9 de Lublin

ORDRE DU JOURAccueil au collège no 10 par Monsieur le directeur Tomasz Szabłowski.Présentation du jury : Richard Sorbet, président de PROF-EUROPE Lublin, professeur de FLE, UZG Anna Białek-Marek, professeur de FLE, ensei-gnante de français au collège no 9 de Lublin Agnieszka Drzewiecka, professeur de FLE, enseignante de français au collège no 10 de Lublin Magdalena Supryn-Klepcarz, professeur de FLE, enseignante de français au collège no 10 de LublinConcours pour les collégiens : 11.00-12.00Prix et diplômes pour les gagnants ; diplômes pour les professeurs tuteurs : 11.50-12.00

n Compte rendu du VIe Concours CONNAISSANCE DE LA FRANCE le lundi 7 mars 2011

EUPROF

PE

Résultats dans la catégorie « collège » :

n Ire place : Collège no 9 de Lublin – groupe no 5 (Mme Anna Białek-Marek, Mme Justyna Pasternak) → Magdalena Wiktor, Zuzanna Nazaruk, Jarosław Jaroszn IIe place : Collège no 1 de Lublin – groupe no 11 (Mme Urszula Adamska) → Piotr Gruszka, Weronika Bielecka, Karolina Martynan IIIe place : Collège no 9 de Lublin – groupe no 6 (Mme Anna Białek-Marek, Mme Justyna Pasternak) → Aleksandra Kasprzak, Adrianna Prokop, Paweł Ra-

kowski

Concours pour les lycéens : 12.00-13.00Prix et diplômes pour les gagnants ; diplômes pour les profes-

seurs tuteurs : 12.50-13.00

Résultats dans la catégorie « lycée » :n Ire place : II LO im. Piotra Firleja de Lubartów – groupe no 5 (Mme Anna Przybysławska)

→ Magdalena Malessa, Krystyna Sidor, Agnieszka Wójcikn IIe place : LO no 2 de Lublin – groupe no 3 (Mme Marzanna Kędzierska) → Aleksandra Błaszczak, Alexandre Baldachino, Jolan-

ta Falczyńskan IIIe place : LO no 8 de Lublin – groupe no 4 (Mme Barbara Grabowska) → Camille Ignaszak, Dawid Furmaga, Piotr Turski

Clôture du concours par Mme Anna Białek-Marek et M. Ri-chard Sorbet

1. Ière place – Magdalena Wiktor, Zuzanna Nazaruk, Jarosław Jarosz, Collège no 9 de Lublin – groupe no 5 (Mme Anna Białek-Marek, Mme Justyna Pasternak)

1

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PROF-EUROPE 2011

53Sections régionales PROF-EUROPE n LUBLIN

Liste des participants 2011

Lice

a/Ly

cées

Établissement Participants: noms et prénoms Numéros des groupes Professeurs tuteurs

I Liceum Ogólnokształcące im. Tadeusza Kościuszki we Włodawie

Justyna Chról Aleksandra Miśkiewicz Aleksandra Ordowska

1Teresa Buczek

II LO im. Hetmana Jana Zamoyskiego w Lublinie

Łukasz Klin, Dagmara Szymczyk, Marta GlinkaAleksandra Błaszczak, Alexandre Baldachino, Jolanta Falczyńska

2

3

Marzanna Kędzierska

VIII LO w LublinieCamille Ignaszak Dawid Furmaga Piotr Turski

4Barbara Grabowska

II LO im. Piotra Firleja w Lubartowie

Magdalena Malessa Krystyna Sidor Agnieszka Wójcik Justyna Kolczyńska Ewelina Nakonieczna Aleksandra Cyfrowicz

5

6

Anna Przybysławska

I LO w Lublinie

Aleksanda BodysIzabela BanyMateusz BronikowskiAleksandra FortyszewskaMagdalena SzymańskaMateusz Łyjak

7

8

Barbara Kędra

III LO im. Unii Lubelskiej w Lublinie

Bochniak Karol, Filipiuk Julita, Hudak RafałHandzlik Iwona,Krasula Łukasz, Krzysiak Adrianna

9

10

Sylwia Pulińska

VI LO im. Hugona Kołłątaja w Lublinie

Magdalena Zaklika, Eryk Gontarz, Paweł Szema Patrycja Ambrozik, Dawid Hagdej, Marcin Pietrak

11

12Anna Wlizło

Liceum Ogólnokształcące nr 6 w ChełmieKamila Rataj, Natalia Rymczyk, Katarzyna Michałowicz.

13Ewa Krzyżanowska.

2. Accueil au collège no 10 par M. le Directeur Tomasz Szabłowski, entouré du Jury: Magda Supryn-Klepcarz, Agnieszka Drzewiecka, Anna Białek-Marek et Richard Sorbet

3. Ière place Magdalena Malessa, Krystyna Sidor, Agnieszka Wójcik, II. LO im. Piotra Firleja de Lubartów – groupe no 5 (Mme Anna Przybysławska)

2 3

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54

PROF-EUROPE 2011

LUBLIN n Sections régionales PROF-EUROPE

Gim

nazj

a/Co

llège

s

Szkoła Nazwiska uczestników Nr grupy Nazwisko nauczyciela

Zespół Placówek Oświatowych nr 2 w Kraśniku

Maciej Sakwa, Oliwer Sygacz, Przemysław Żelazny Maja Chmura, Alicja Mazurek, Łucja Oklecińska

1

2

Elżbieta Lasek

Gimnazjum nr 10 w LublinieWeronika RzeskaMałgorzata GomołaMikołaj Koszel

3

4

Magdalena Supryn-KlepcarzAgnieszka Drzewiecka

Gimnazjum nr 9 w Lublinie

Magdalena WikrorZuzanna NazarukJarosław JaroszAleksandra KasprzakAdrianna ProkopPaweł Rakowski

5

6

Anna Białek-MarekJustyna Pasternak

Gimnazjum im. Św. St. Kostki w LublinieRędzia AdrianaChoina MagdalenaPożarowska Kinga

7Eliza Urban

Gimnazjum im. Św. St. Kostki w Lublinie

Rymuszka MateuszSiczek MartaWilczopolska Katarzyna

8

Danuta Buczek

Gimnazjum nr 6 w Chełmie

Dawid WawronAdrian Świecak Karolina ZalewskaInga Adamska, Katarzyna Poddubiuk, Anna Wietrzyk

9

10

Katarzyna Usydus-Zalewska

Ewa Krzyżanowska

Gimnazjum nr 1 Lublin

Piotr Gruszka Weronika Bielecka Karolina Martyna Anna Misztal Natalia Czerwińska Olga Szymczyk

11

12Urszula Adamska

n VIème Festival Régional de Chansons Françaises pour les collégiens et les lycéens, 04.04.2011

ORGANISATEURS DU FESTIVALGimnazjum nr 9 im cc mjr Hieronima Dekutowskiego ps. „Zapora”ul. Lipowa 25, Lublin

Stowarzyszenie Nauczycieli Języka FrancuskiegoPROF-EUROPE LUBLIN

Dom Kultury Lubelskiej Spółdzielni Mieszkaniowejul. Wallenroda 4a, Lublin

1

Compte rendu élaboré par : Anna Białek-Marek (Consultation linguistique : Richard Sorbet)Lien avec l’article publié dans la rubrique Lublin du site Internet PROF-EUROPE CECO-FIPF :

http://www.ceco-fipf.eu/article.php3?id_article=1760&id_rubrique=90

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PROF-EUROPE 2011

55Sections régionales PROF-EUROPE n LUBLIN

INAUGURATION Danuta Świderek, Vice-Directrice du Collège N° 9 à Lublin Anna Białek-Marek du Collège N° 9 à Lublin Justyna Pasternak du Collège N° 9 à Lublin

COMPOSITION DU JURY Présidente du Jury : Diana Świder, chanteuse, professeur de chant, auteure, compositrice Richard Sorbet, professeur de FLE et Président de PROF-EUROPE Lublin Małgorzta Iwanicka, enseignante de musique de la Maison de Culture LSM à Lublin Julien Thibaud, enseignant de l’Université Catholique à Lublin (KUL)

PRÉSENTATION des interprètes Klaudia Iwaszko – élève du Collège N° 9 de Lublin

LES DONATEURSL’AMBASSADE DE FRANCE EN POLOGNEStowarzyszenie Nauczycieli Języka Francuskiego w Polsce Prof-EuropeWydawnictwo Szkolne PWNWydawnictwo HachetteLes librairies : MARJANNA, Varsovie et NOWE-LA, PoznańHypermarket na Zana, Lublin

Prix principal pour le lauréat du VIème Festival Régional de Chanson Française : un séjour en France a été offert par l’Ambassade de France en Pologne

Autres prix :De beaux livres, des albums, des dictionnaires (Robert Micro), des grammaires, des livres de conjugaisons de verbes, des méthodes de français langue étrangère (FLE), des CD de chansons françaises, des « repetytoriums », des stylos, des tee-shirts imprimés, des bols)

Voilà l’ordre des chansons interprétées /Présentation multimédia préparée par Maciej Maiński et Robert Zalewski de la classe 1a du Collège N° 9 de Lublin/ :

Collè

ge

Lp. Szkoła/École Uczestnik/Interprète Tytuł/Titre Opiekun/Enseignant(e)

1. Gimnazjum im. św. St Kostki w Lublinie Adrianna RędziaParle-moi Isabelle Boulay

Eliza Urban

2.Gimnazjum nr 1 im. ks. Stanisława Konarskiego w Lublinie

Weronika Bielecka Quand on n’a que l’amourCéline Dion

Urszula Adamska, Paweł Giszczak

3.Gimnazjum nr 1 im. ks. Stanisława Konarskiego w Lublinie

Karolina MartynaViens, viensMarie Laforêt

Urszula Adamska, Paweł Giszczak

4. Gimnazjum nr 1 w Lubartowie Natalia KrólLes rois du monde Roméo et Juliette

Anna Wrotkowska

5. Gimnazjum nr 11 w LublinieEmilia PastuszkoKatarzyna Spust

Mon Mec à moi Patricia Kaas

Anna Bęczyńska

6.Fundacja Przyjaźni i Kultury Polsko-Francuskiej – Hrubieszów

Kinga Panasiewicz Je veuxZaz

Aneta Tarłowska

7.Fundacja Przyjaźni i Kultury Polsko-Francuskiej – Hrubieszów

Wiktoria Dubaj Paroles, paroles Dalida Aneta Tarłowska

8.Prywatne Gimnazjum im. Królowej Jadwigi w Lublinie

Małgorzata DrabkoEt si tu n’existais pasJoe Dassin

Dorota Nowiszewska-Machoń, Małgorzata Iwanek

9.Prywatne Gimnazjum im. Królowej Jadwigi w Lublinie

Ewa PuźniakFilip Szkodziak

Une belle histoire Michel Fugain

Dorota Nowiszewska-Machoń, Małgorzata Iwanek

10. Gimnazjum nr 9 w LublinieZuzanna Nazaruk, Weronika Cyranka

Ma révolutionJenifer

Anna Białek-Marek

11. Gimnazjum nr 9 w Lublinie Katarzyna NowaczekJe t’aimeLara Fabian

Anna Białek-Marek

12. Gimnazjum nr 10 w Lublinie Dominika TrzcińskaJe veuxZaz

Magdalena Supryn-Klepcarz

13.Pallotyńskie Gimnzajum im. Stefana Batorego w Lublinie

Zuzanna FilipiakTous les enfants chantent avec moi Mireille Mathieu

Anna Szafran

Après ces belles chansons, une petite pause café et une collation ont été préparés par les élèves du Collège N° 9 de Lublin.

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PROF-EUROPE 2011

LUBLIN n Sections régionales PROF-EUROPE

Lycé

e

Lp. Szkoła/École Uczestnik/Interprète Tytuł/Titre Opiekun/Enseignant(e)

1. VI LO im. Hugona Kołłątaja w Lublinie

Agnieszka KołodziejMon appel à l’amourEdyta Geppert

Anna Wlizło

2.VI LO im. Hugona Kołłątaja w Lublinie

Anna RębaczD’AllemagnePatricia Kaas

Anna Wlizło

3. VII LO w LublinieEmilia Wagner,Łukasz Buczyński, Daniel Danilewicz

Belle – Notre-Dame de ParisGarou

Grażyna Barszcz

4.IX LO im. M. Kopernika w Lublinie

Ewa MalinowskaIl y a trop de gens qui t’aimentHélène Segara

Anna Szafran

5.Pallotyńskie LO im. Stefana Batorego w Lublinie

Agnieszka BeszłejLa listeRose

Anna Szafran

6.II LO im. Hetmana Jana Zamoy-skiego w Lublinie Agnieszka Rybarczyk

Ma philosophieAmel Bent

Marzanna Kędzierska

7.II LO im. Hetmana Jana Zamoy-skiego w Lublinie

Angelika Filipiak, Olga Wronikowska

Joe le TaxiVanessa Paradis

Marzanna Kędzierska

8. I LO im. St. Staszica w Lublinie

Magdalena SzymańskaJudyta Ligiencka Weronika KrólAleksandra ForyszewskaRafał Hałasa

J’aimerais tellement Jena Lee Barbara Kędra

9. I LO im. St. Staszica w LublinieAleksandra BodysJoanna Korczyńska

Sous le ventCéline Dion, Garou

Barbara Kędra

10. II LO w LubartowieKatarzyna KuberaDawid Chojak

C’est pour toiCéline Dion

Anna Przybysławska

11. XXI LO im. św. St. Kostki w Lublinie

Przemysław PrzystupNe me quitte pasJacques Brel

Danuta Buczek

12.Prywatne LO im. I.J. Paderewskiego w Lublinie

Kamila Sawicka, Aleksandra Frączkiewicz

Mozart l’Opéra Rock – L’assa-symphonie - Florent Mothe

Marlena Deckert

13. Liceum Plastyczne Lublin

Diana Górniak, Alicja Sidorowicz, Agata Golik, Patrycja Walewska, Nicole Dybowski, Julia Marek

La jument de MichaoTri Yann, Nolwenn Leroy

Waldemar Dziaczkowski (katecheta)

14. VIII LO w Lublinie Piotr TurskiLa roulette russeLéa Castel

Barbara Grabowska

15. VII LO w Lublinie Katarzyna OpałkaAmélie m’a ditAlizée

Grażyna Barszcz

RÉSULTATSLa Présidente du Jury, Diana Świder, a annoncé les résultats.

Dans la catégorie Collèges :n 1er prix: Karolina Martyna, Gimnazjum nr 1 im. ks. Stanisława Konarskiego w Lublinie, „Viens, viens”­ Marie Laforêt

n 2ème prix: Weronika Bielecka, Gimnazjum nr 1 im. ks. Stanisława Konarskiego w Lublinie, „Quand on n’a que l’amour”- Céline Dion

n 3ème prix: Wiktoria Dubaj, Fundacja Przyjaźni i Kultury Polsko-Francuskiej w Hrubieszowie, „Paroles, paroles „ – Dalida

n Distinction pour la langue française : Dominika Trzcińska, Gimnazjum nr 10 w Lublinie, „ Je veux” ­ Zaz

2

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PROF-EUROPE 2011

57Sections régionales PROF-EUROPE n LUBLIN

Dans la catégorie Lycées :n 1er prix: Przemysław Przystup, XXI LO im. św. St. Kostki w Lublinie, „Ne me quitte pas” – Jacques Brel

n 2ème prix: Anna Rębacz, VI LO im. Hugona Kołłątaja w Lublinie, „D’Allemagne” – Patricia Kaas

n 3ème prix: Angelika Filipiak, Olga Wronikowska, II LO im. Hetmana Jana Zamoyskiego w Lublinie, „Joe le Taxi”- Vanessa Paradis

n Distinction pour l’aspect artistique : Zespół : Diana Górniak, Alicja Sidorowicz, Agata Golik, Patrycja Walewska, Nicole Dybowski, Julia Marek, Liceum Plastyczne w Lublinie, „La jument de Michao” – Tri Yann, Nolwenn Leroy

Nous vous invitons l’année prochaine !!!

LES ORGANISATRICES : ANNA BIAŁEK-MAREK, JUSTYNA PASTERNAK

Compte rendu rédigé en français par Justyna PASTERNAKConsultation linguistique : Richard SORBET

Lien avec l’article publié dans la rubrique Lublin du site Internet PROF-EUROPE CECO-FIPF :http://www.ceco-fipf.eu/article.php3?id_article=1780&id_rubrique=90

1. Le Jury. De gauche à droite : Julien THIBAUD, Diana ŚWIDER, Richard SORBET & Małgorzata IWANICKA.

1. 1er prix Lycées : Przemysław PRZYSTUP, XXI. LO im. św. St. Kostki w Lublinie, Ne me quitte pas de Jacques Brel. Przemysław a obtenu le prix principal : un séjour en France offert par l’Ambassade de France en Pologne.

2. Les participants du VIe Festival Régional de Chansons Françaises avec le Jury.

3

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PROF-EUROPE 2011

BIAłYSTOK n Sections régionales PROF-EUROPE

La première édition du Concours Multimédia de Langue Française Visages de Podlasie a réuni le 20 avril 2011 plus de 30 participants de la voïvodie de Podlasie. Le but de ce concours était d’inciter les élèves à utiliser le français en pré-parant une présentation multimédia et de leur permettre de découvrir les richesses culturelles de leur région.

RÉSULTATS DU CONCOURS :

Lycéen 1er prixEmilia Paniczko, Adriana Gądek, LO n° 6 à Białystokn 2ème prixUrszula Rost, Diana Zadykowicz, Joanna Kurajew, LO n° 7 à Białystokn 3ème prixSylwia Tarasiewicz, Małgorzata Tryk, ZSO à Hajnówska

Collègen 1er prixDiana Tyburczy, Katolickie Gimnazjum à Białystokn 2ème prixPaweł Gryko, Urszula Sikorska, Monika Ambrożej, Katolickie Gimnazjum à Białystokn 3ème prixNatalia Grabowska, Kinga Bugalska, Angelika Niewińska,PG n° 6 Białystok

1. Jury du concours : Dorota Jackowska et Monika Weremiuk, professeurs de français ; Krystyna Tomaszuk, professeur de photographie ; Mirosław Gołownia, professeur d’informatique

2. Proviseur du lycée n° 7, Jerzy Nowik, attribue les prix aux lauréats

BiałystokIer Concours Multimédia de Langue Française VISAGES DE PODLASIE pour lycéens et collégiens

organisé par le Lycée d’enseignement général n° 7 à Białystok

1

2

BiałystokConcours Régional POLYGLOTTEpour les collégiens Białystok 2011

Cette année, ce concours a suscité l’intérêt de beaucoup de col-légiens de Białystok. Il faut dire que les participants de ce con-cours sont les meilleurs collégiens, souvent lauréats en français ou en anglais ou même en deux langues. Le concours se com-posait de 3 étapes dont chacune se déroulait en 2 catégories : anglo-française et anglo-allemande. L’ étape scolaire se compo-

sait d’un test que les collégiens écrivaient dans leurs établisse-ments, chaque école pouvait choisir deux meilleurs polyglottes. L’ étape interscolaire avait lieu au collège no 8 qui organisait le concours. 14 participants ont été admis à la finale qui consistait en partie écrite et orale (une présentation multimédia com-mentée en deux langues sur un des sujets de la liste).

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PROF-EUROPE 2011

59Sections régionales PROF-EUROPE n BIAłYSTOK

ORGANISATEURS : PROF-EUROPE BiałystokEwa Tyburczy, Lycée Semi-Privé d’Enseignement Général et Collège Semi-Privé no 8 STO à Białystok

PATRONAGE D’HONNEUR :Ambassade de France en PologneUniversité de Białystok, Chaire de NéophilologieKuratorium Oświaty à Białystok

PARRAINAGE :Ambassade de France en PolognePROF-EUROPE Bureau NationalLycée Semi-Privé d’Enseignement Général et Collège Semi-

Privé no 8 STO à BiałystokAlliance Française de BiałystokUniversité de Białystok, Chaire de NéophilologieCentre de Langues Étrangères WORLD FOR SALEÉcole de Langues Étrangères Empik SchoolLondon Academy École de LanguesÉditeurs : PEARSON LONGMAN, Hachette

DATES IMPORTANTES:Étape scolaire : 12. 02. 2010Demi-finale : 20. 03. 2010Finale : 19. 04. 2010

1. Ewa Tyburczy et lauréates du concours – Katarzyna Gulko et Zuzanna Hościłowicz

2. Finalistes du concours avec le jury et les professeurs

Białystok

Białystok

RÉSULTATS:

n 1er PRIX POLYGLOTTE 2011 catégorie anglo-françaiseKatarzyna Gulko, ZSS no1 à Białystokn 2ème PRIX POLYGLOTTE 2011 catégorie anglo-françaiseNatalia Murawska, SG STO no 4 à Białystokn 3ème PRIX POLYGLOTTE 2011 catégorie anglo-françaiseMałgorzata Kowalska et Aneta Świaniewicz, SG STO no 8 à Białystok

n 1er PRIX POLYGLOTTE 2011 catégorie anglo-allemande Zuzanna Hościłowicz, SG STO no 8 à Białystokn 2ème PRIX POLYGLOTTE 2011 catégorie anglo-allemande Ewa Mudrewicz, Collège no 32 à Białystokn 3ème PRIX POLYGLOTTE 2011 catégorie anglo-allemande Maria Polaszek, Collège no 32 à Białystok

MEMBRES DU JURY:Barbara Głowacka, Jerzy Koniecko, Agata Ratkiewicz, Diana Truchanowicz, Kirk Palmer, Monika Braun, Beata Łodyga, Katarzyna Siergiej

ÉLABORATION DES TESTS ET DES THèMES DE L’ÉPREUVE ORALE:Halina Czyżewska, Agata Ratkiewicz, Diana Truchanowicz, Jagoda Apoń, Beata Łodyga, Ewa Tyburczy, Małgorzata Sa-dowska, Monika Weremiuk, Monika Chodakowska-Jaki-miuk.

À l’année prochaine !!!

Texte élaboré par Ewa Tyburczy et Zuzanna Kopeć

1

2

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PROF-EUROPE 2011

BIAłYSTOK n Sections régionales PROF-EUROPE

DATES :le 11 février 2011 – test écritle 25 février 2011 – remise des prix

ORGANISATRICE: Urszula Kochanowska, enseignante de français au Lycée no 6 à BiałystokÉNORME SOUTIEN: Ewa Ramz, enseignante de français au Lycée no 6 à Białystok

1. Lauréats, finalistes (places de 4 à 10) et jury

2. Lauréats (de gauche à droite) : Natalia Murawska, Przemysław Kossakowski, Urszula Adamska, Kinga Bugalska, Cezary Rutkowski, Marta Gil, Jakub Sawicki

3. Jury (de gauche à droite) : Ewa Ramz, Urszula Kochanowska, Katarzyna Lul-Worobiej

BiałystokLe Ier Concours régional « CONNAISSANCE DE LA FRANCE ET DES PAYS FRANCOPHONES » pour collégiens et lycéens

Lycée d’Enseignement Général no 6 à Białystok

RÉSULTATS:Catégorie « collège » :n 1er prix Kinga Bugalska (62 p.), PG nr 6 z OD im. S. Nowakowskiego, Białystokn 2ème prix Natalia Murawska (54 p.), SG nr 4 STO w Białymstokun 3ème prix Urszula Adamska (51 p.), PG nr 6 z OD im. S. Nowakowskiego, Białystok

Catégorie « lycée » : n 1er prix ex-aequo Przemysław Kossakowski (66 p.), VI LO im. Króla Zygmunta Augusta, BiałystokJakub Sawicki (66 p.), IV LO im. C. K. Norwida w Białymstokun 2ème prix Cezary Rutkowski (65 p.), I LO im. A. Mickiewicza, Białystokn 3ème prix Marta Gil (63 p.), VII LO w Białymstoku

ÉLABORATION DU TEST: Urszula Kochanowska / CONSULTATION: Ewa Ramz

PARTICIPANTS: 91 collégiens et lycéens de la ré-gion (6 collèges et 8 lycées)

MEMBRES DU JURY:Urszula Kochanowska, Ewa Ramz, Katarzyna Lul-Worobiej (enseignante de français au Collège no 6 à Białystok)

DONATEURS:n Ambassade de France en Pologne n Booklandn Lycée d’Enseignement Général no 6 de Białystokn Nowela de Poznań

PRIX REMIS AUX LAURÉATS:Livres : albums, dictionnaires, atlas, bandes dessinées, guides, lectures, livres de civili-sation française, livres de conjugaison des verbes. Stylos, laisses.

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PROF-EUROPE 2011

61Sections régionales PROF-EUROPE n BIAłYSTOK

TEST : 60 questions pour 60 minutes (92 points au total)

Présentation du test :n Questions de différents domaines : géographie, économie et agriculture, histoire et politique, monuments, cuisine, fêtes et traditions, chanson, film, littérature, peinture, sport, vie quo-tidienne ;

n Le test a été élaboré en langue polonaise pour que le plus grand nombre d’élèves puisse participer au concours ;n Le niveau du test était différencié. Certaines questions étaient très faciles, d’autres assez difficiles. Voilà quelques-unes tirées du test.

6 Jak nazywa się paryskie muzeum, znane z bogatej ko-lekcji malarzy impresjonistów, mieszczące się w budynku dawnego dworca? (1 p.)

9 Jaką międzynarodową organizację założył w Genewie w 1863 r. Henri Dunant? (1 p.)

14 W którym państwie znajduje się Waterloo, miejsce słyn-nej klęski Napoleona? (1 p.)

20 Dopasuj 4 z wymienionych wydarzeń do poniższych dat. Wpisz odpowiednią literę obok daty (2 wydarzenia nie pa-sują do żadnej daty). (4 p.)

A koronacja Karola Wielkiego na cesarza Imperium Rzymskiego

B koronacja Napoleona na cesarza FrancuzówC początek wojny stuletniej między Francją i AngliąD spalenie na stosie Joanny d’ArcE wstąpienie Francji do NATOF zburzenie Bastylii

800 – 1337 – 1789 – 1804 –

22 Które państwo frankofońskie ma jako jedyne kwadrato-wą flagę? (1 p.)

24 Z którego z wymienionych państw pochodzą wokaliści? Wpisz odpowiednią literę obok nazwiska (2 państwa nie pasują do żadnego nazwiska). (4 p.)

A AlgieriaB BelgiaC FrancjaD KanadaE LuksemburgF Szwajcaria

Rachid Taha – Axelle Red – Natasha St-Pierre – Zaz –

25 Który skrót oznacza francuskie „pogotowie ratunkowe”? (1 p.)

SNCF RER DEUG SAMU

28 Podaj tytuł eposu rycerskiego opisującego bitwę straży tylnej wojsk Karola Wielkiego z Saracenami. (1 p.)

29 Ta potrawa to mieszanka roztopionego żółtego sera i białego wina, w której zanurzamy kawałki chleba. Co to jest? (1 p.)

33 Podaj nazwę francuskiej marki ubrań, której symbolem jest mały krokodyl. (1 p.)

36 W którym mieście we Francji odbyły się Zimowe Igrzy-ska Olimpijskie w 1992 r.? (1 p.)

Megève Grenoble Chamonix Albertville

43 Który malarz impresjonista najczęściej malował tancerki baletu? (1 p.)

Paul Cézanne Edgar Degas Claude Monet Auguste Renoir

45 W której dzielnicy Paryża kręcono film „Amelia”? (1 p.) La Défense Ile de la Cité Montmartre Quartier Latin

46 Podaj nazwę największego jeziora Alp, o powierzchni 582 km2, które stanowi naturalną granicę Francji i Szwajca-rii. (1 p.)

59 Z jakim świętem we Francji związana jest tradycja sma-żenia naleśników, według której kto podrzuci naleśniki na patelni, trzymając ją jedną ręką, a drugą ręką jednocześnie podrzuci monetę, będzie bogaty? (1 p.)

Assomption / Wniebowzięcie Najświętszej Marii Panny Chandeleur / Święto Matki Boskiej Gromnicznej Epiphanie / Święto Trzech Króli Pentecôte / Zielone Świątki

La version complète du test (en PDF) est accessible sur le site du Lycée no 6 de Białystok : www.vilo.bialystok.pl (Z życia szkoły/Olimpiady i kon-kursy/Konkursy/Test konkursowy 2011)

Il existe aussi la possibilité de faire ce test en ligne et vérifier les réponses : www.e.vilo.bialystok.pl (VI LO. Wojewódzki Konkurs Wie-dzy o Francji i Krajach Frankofoń-skich /ensuite il faut cliquer « zalo-guj się jako gość »)

Vu le succès de la première édition du concours, l’édition suivante en 2012 est planifiée.

Rédigé par Urszula Kochanowska

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PROF-EUROPE 2011

KOSZALIN n Sections régionales PROF-EUROPE

Le 11 mars 2011, au siège accueillant de l’Ecole Supérieure de Profession à Kosza-lin (PWSZ), les amoureux de la littérature francophone se sont réunis, venus de la Poméranie Occidentale et Centrale. Onze candidats se sont présentés, représentant deux catégories: collège et lycée.

Les Jurés, en appréciant leur effort et la qualité de la récitation, ont décidé de donner la possibilité de prendre part au concours national qui a lieu à Varsovie, à deux jeunes artistes : Szymon Roszak du Lycée no 9 de Szczecin et Klaudia Kaczyń-ska du Gimnazjum no 42 de Szczecin.

Grâce à la générosité de l’Ambassade de France, de la PWSZ et de l’Association Prof-Europe, nous avons acheté des prix intéressants, remis avec plaisir à tous les participants.

Joanna Włodarczyk

KoszalinLe 29ème Concours de poésie et de prose francophones – Eliminatoires régionales à Koszalin.

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PROF-EUROPE 2011

63Sections régionales PROF-EUROPE n KOSZALIN

1. Le Jury avant d’annoncer les résultats

2. Les « braves » profs…

3. Les plus jeunes participants – catégorie collège

4. Les passionnés du français et de la littérature francophone

Depuis des années déjà, les amoureux de la chanson française et franco-phone peuvent écouter leurs tubes préférés lors du Concours de la Chan-son Francophone organisé par l’Ecole Supérieure de Formation Profession-nelle à Koszalin (PWSZ) et le Théâtre « Dialog ». Le 17 mai, les candidats – jeunes élèves des écoles secondaires de la région – sont venus particulièrement nombreux. Ils représentaient les écoles de Stargard Szczeciński, Świdwin, Bia-łogard, Koszalin, Słupsk et Lębork. Le jury, composé de représentants de PWSZ et l’Ecole Musicale à Koszalin, avait un choix plus que difficile : les candidats étaient très bien préparés, aussi bien musicalement que linguisti-quement, et leur répertoire était intéres-sant et varié, allant des « classiques », tels qu’Edith Piaf, aux ar-tistes plus modernes – Zaz, Shy’m. Finalement, le jury a accor-dé à l’unanimité la première place à Michalina Olszewska, du Groupe d’Ecoles n°3 à Koszalin, qui interprétait Je suis malade de Lara Fabian. La deuxième place est allée ex aequo à Arnika Rakowska et Anna Dawid, les deux du Lycée Stanislas Dubois à Koszalin, pour Paris de Camille et Elle voulait jouer cabaret de Patricia Kaas. La troisième place, de même ex aequo, a été

Koszalin

KoszalinConcours de la Chanson Francophone à Koszalin

accordée à Aleksandra Cybula, du IIème Lycée avec sections bilingues A. Mickiewicz de Słupsk, ainsi qu’à Agata Wójcik du Groupe d’Ecoles d’Enseignement Général n°1 à Lębork.

Les prix octroyés aux lauréats – albums consacrés à la France et à sa culture, dictionnaires, livres, CDs et bandes dessinées, ont été offert par l’Ambassade de France, la Librai-rie Nowela à Poznań et l’Association Prof-Europe que les or-ganisateurs tiennent à remercier.

Agnieszka Kuhnl-Kinel, PWSZ Koszalin

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PROF-EUROPE 2011

KRAKów n Sections régionales PROF-EUROPE

Paradoxalement, il n’est pas facile d’être pro-fesseur de français dans cette ville d’art, an-cien siège royal où à l’époque de Boy-Zeleński chaque personne de la société parlait français aussi bien ou même mieux que sa langue ma-ternelle.

Pour compléter l’image caricaturée des cra-coviens : pour râler, on râle! Mais, pas unique-ment ! On persiste, en exécutant une profes-sion en voie de disparition, au moins dans la partie sud de notre pays.

Et, pour persister, on agit, pour la plupart des cas, individuellement car nous faisons partie de ceux qui adorent agir seuls. Si nous voulions citer toutes les manifestations cultu-relles francophones qui ont lieu dans les éta-blissments où le français est enseigné, la liste serait vraiment longue: Journées de la Langue Française, de la Chanson Française, projets eu-ropéens et festivals scolaires de chanson fran-çaise ainsi que de divers échanges scolaires. Tout cela, pour prouver que le français est utile et pour garder nos emplois!

Heureusement, il y en a encore qui aiment s’associer et agir en groupe. Cette année, nous avons réussi à organiser quelques rencontres pédagogiques en collaboration avec l’Institut Français de Cracovie, la section cracovienne de la Société de l’Amitié Pologne-France et la librairie francophone Edukator. Les activités ont été centrées sur l’usage du domaine arti-stique en classe ce qui devrait rendre l’ensei-gnement et l’apprentissage du français plus attrayants.

Au mois d’octobre, nous nous sommes réunies, eh oui, que des femmes, dans une des salles de la Société pour suivre un atelier intitulé “Capter l’attention de son auditoire en utilisant des techniques d’art dramatique”, conçu pour les enseignants – amateurs de l’art théâtral. L’intervenant, Axel de Vreese, acteur belge, nous a présenté, sous forme des sketches et des anecdotes, de différentes méthodes pratiques qui, dès notre entrée en classe pour-raient nous aider à gérer et motiver le groupe. Il a même réussi à nous faire jouer de petites scènes et à improviser!

Au mois de novembre, la librairie Edukator nous a gentillement accueillis pour une présen-tation de nouveautés pédagogiques, livres, méthodes et manuels offerts par deux maisons d’édition : CLE International et Didier.

1. Plakat festiwalowy

2. Mariola Kuliś-Jurczyk-dyrektor XXI LO, Aneta Wojtaszek-organizator Festiwalu, Mieszko Syc-uczeń VI LO w Krakowie

3. Olga Kosiarz, Liceum nr I w Ostrowcu Świętokrzyskim.

KrakówCracovie chante….

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65Sections régionales PROF-EUROPE n KRAKów

Après les vacances d’hiver, l’Institut Français de Craco-vie, a ouvert ses portes aux professeurs de français pour une conférence tenue par une de nos collègues, Dorota Jędruch, historienne de l’art, dont le titre était “Comment utiliser des éléments d’histoire de l’art dans l’enseignement du français”.

L’intervenante a présenté plusieurs sites Internet artis-tiques destinés à l’enseignement du français (dont elle profite en élaborant ses propres leçons), y compris les sites des grands musées de France, avec une base d’exercices à tous les niveaux d’apprentissage. L’un des objectifs de cette conférence, c’était de se rendre compte de quelle manière utiliser une oeuvre d’art en tant que support pédagogique. Un petit rafraîchissement offert par l’Institut Fraçais a agrémenté cette rencontre à laquelle ont assisté 28 personnes ! Une occasion de plus pour “papoter” avec des collègues!

Et, enfin, le 10 juin a eu lieu le VIIe Festival de Chansons Françaises ! Avec plus de 70 participants divisés en quatre catégories, c’était, encore cette année, la plus grande mani-festation culturelle des professeurs de français de Cracovie. Organisé depuis sept ans par Prof-Europe de Cracovie en collaboration avec la section TPPF de Cracovie, le Lycée Po-lyvalent St. I. Witkiewicz et la Maison de la Culture A. Bursa, le Festival réunit chaque année un grand nombre de partici-pants de 6 à 26 ans provenant de toute la Pologne.

Son objectif ? Il s’agit surtout de familiariser les jeunes avec la chanson francophone et les encourager à apprendre le français. Les participants, leurs enseignants, accompagna-teurs, fans et amis sont accueillis au Lycée St.I.Witkiewicz, os.Tysiąclecia 15 situé dans le quartier de Nowa Huta, très en vogue depuis quelque temps. Les jeunes arstistes présentent sur la scène de la salle de théâtre une chanson franco phone devant un jury constitué de musiciens et professeurs de fran çais. Il faut bien mentionner, dans l’ordre alphabétique, quelques noms qui assurent la perénnité du festival : Alicja Fanderowska, Anna Krzemień-Arlett, Aneta Wojtaszek, Mie-czysława Zembroń et les directrices des établissements qui nous accueillent : Mariola Kuliś-Jurczyk, Joanna Słomka et Dorota Rudy-Rudkowska. Depuis deux ans, l’Ambassade de France décerne au lauréat du Grand Prix du Festival un prix, un séjour en France. Le Consulat de France, en tant qu’un des parrains offre aux gagnants des livres de valeur.

Cette année, le niveau des candidats a dépassé nos prévi-sions! Le jury, avec un étonnement croissant écoutait ces jeunes lycéens et collégiens qui présentaient un niveau euro-péen. La manière de chanter, la prononciation et le choix du répertoire nous laissaient perplexes, tant ces jeunes artistes étaient matures et conscients! Quel dilemme pour le jury ! Les délibérations du jury n’ont pas fait partie des plus faciles! Et quelles émotions pendant la remise des prix; c’était vrai-ment un moment solennel et émouvant… Il y a eu même des larmes, des remerciements à peine balbutiés… Et, sur ce finit l’année scolaire en cours….sauf que l’auteur de ces paroles continue son aventure avec la chanson, en tant que traduc-trice, pendant le Grand Prix Edith Piaf qui a lieu une semaine plus tard, organisé par TPPF de Cracovie…Les organisateurs et les participants ont eu l’énorme plaisir d’avoir fait connais-sance de Bernard Marchois, propriétaire du Musée Edith Piaf.

Quelle joie de connaître de jeunes musiciens et chanteurs fra-nçais… Danny Tollemer, l’année dernière et Aléxi Kantrall, cette année.

Eh bien, comme vous le voyez, les activités de Prof-Europe de Cracovie de l’année scolaire 2010/2011 tournaient autour de ce qui est art et chanson pour bien profiter de l’ambiance artistique de notre ville.

Aneta Wojtaszekprésidente de la section cracovienne, organisatrice principale

du Festival de Chansons Françaises de Cracovie

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PROF-EUROPE 2011

BYDGOSZCZ n Sections régionales PROF-EUROPE

Dnia 3 czerwca 2011 w Pałacu Młodzieży w Bydgosz-czy, ul. Jagiellońska 27, odbył się VIII. Ogólnopolski Festiwal Małych Form Scenicznych AbrAcAdAbrA „Pierwsze kroki na scenie w języku francuskim” or-ganizowany przez Oddział Bydgosko-Toruński Sto-warzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego w Pol-sce PROF-EUROPE we współpracy z bydgoskimi instytucjami: Pałacem Młodzieży, Zespołem Szkół nr 2, Nauczycielskim Kolegium Języków Obcych, Ośrodkiem Alliance Française oraz Gimnazjum nr 3 w Toruniu. W tym roku około 120 uczniów z wo-jewództwa kujawsko-pomorskiego oraz z Gdańska i Piły wzięło udział w Festiwalu, który jak co roku polegał na przygotowaniu przedstawienia teatralne-go bądź na zaprezentowaniu piosenki, wiersza czy też rymowanki. Przedstawienia teatralne przedstawiali zarówno uczniowie szkół gimnazjalnych jak i szkół podstawowych oraz dzieci w wieku przedszkolnym. Uczniowie prezentowali swoje umiejętności aktor-skie, grali, recytowali oraz śpiewali – a wszystko to zostało przedstawione po francusku. Najlepsze grupy teatralne otrzymały „Franki” – statuetki wykonane wg projektu bydgoskiego artysty Witolda S. Kozaka. W przeglądzie wierszyków, rymowanek i piosenek wszyscy zostali nagrodzeni jednakowo dyplomami ze względu na zróżnicowanie prezentowanych form scenicznych.

W tym roku Honorowy Patronat nad Festiwalem objął Marszałek Województwa Kujawsko-Pomorskie-go, Piotr Całbecki. Urząd Marszałkowski ufundował również nagrody w postaci słowników dla uczestni-ków Festiwalu. Jak co roku do najważniejszych funda-torów nagród należały: PROF-EUROPE, Ambasada Francji w Polsce oraz Księgarnia Lingwistyczna PO-WER z Bydgoszczy. Wydawnictwo CLE International ufundowało dla każdego nauczyciela-opiekuna pod-ręcznik. Organizatorzy Festiwalu otrzymali również na jego organizację Bydgoski Grant Oświatowy.

W organizacji dnia festiwalowego pomagali pod czujnym okiem p. Aleksandry Jaskólskiej wolon-tariusze z sekcji dwujęzycznej Zespołu Szkół nr 2 w Bydgoszczy oraz uczennice Gimnazjum nr 3 w To-runiu. Tegoroczna edycja nie mogłaby się odbyć bez ogromu pracy i serca, jakie włożyła w jej organizację p. Agnieszka Pietrzak, skarbnik Oddziału Bydgosko-Toruńskiego PROF-EUROPE.

W tygodniu poprzedzającym „AbrAcAdAbrę” ukazał się artykuł o Festiwalu na stronie internetowej Gazety Pomorskiej, która w tym roku objęła go Patro-natem Medialnym:

http://www.pomorska.pl/apps/pbcs.dll/article?A-ID=/20110602/BYDGOSZCZ01/152045259

BydgoszczVIII. Ogólnopolski Festiwal Małych Form Scenicznych AbrAcAdAbrA „Pierwsze kroki na scenie w języku francuskim”

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67Sections régionales PROF-EUROPE n BYDGOSZCZ

Informacja o Festiwalu AbracAdAbrA ukazała się także na ogólnopolskiej stronie promującej język i kulturę francu-ską: www.francuski.fr .

Jury VIII. edycji Festiwalu w składzie:Jadwiga Kaczmarczyk, NKJO Bydgoszcz – PrzewodniczącaPascal Schaller, Ambasada Francji w Polsce, SCAC ToruńMarta Samolej-Chmielewska, PROF-EUROPE Oddział Byd-gosko-Toruńskipostanowiło przyznać następujące nagrody:

Przedstawienia w kategorii wiekowej 13-16 latn I. miejsce: Zespół teatralny LES WALIZKAS z Gimnazjum nr 46 w Byd-goszczy pod kierunkiem p. Aleksandry Jaskólskiej w przed-stawieniu « LA VALISE »;n II. miejsce: Zespół teatralny LES INCONNUS z Gimnazjum Stowarzy-szenia Edukacja w Toruniu pod kierunkiem p. Anny Kowal-skiej w przedstawieniu « Le Comte Dracula »;n III. miejsce: Zespół teatralny z Gimnazjum nr 17 w Bydgoszczy pod kie-runkiem p. Agaty Wnuk w przedstawieniu « La sorcière de la rue Mouffetard ».

Przedstawienia w kategorii wiekowej 11-13 latn I. miejsce: Katarzyna Sopolińska ze Szkoły Podstawowej nr 11 w Ino-wrocławiu przygotowana pod kierunkiem p. Renaty Sadow-skiej w przedstawieniu « Le train de Villefranche »;n II. miejsce: Zespół teatralny LA CLASSE DE MADAME MARLENE z Zespołu Szkół nr 2 w Pile pod kierunkiem p. Marleny Przy-był w przedstawieniu « Un jour à l’école ».

1. Zespół teatralny LES WALIZKAS z Gimnazjum nr 46 w Bydgoszczy w przedstawieniu « LA VALISE ».

2. Zespół teatralny LES INCONNUS z Gimnazjum Stowarzyszenia Edukacja w Toruniu w przedstawieniu « Le Comte Dracula ».

3. W przerwie między spektaklami

4. Zespół teatralny z Grupy III Gminnego Przedszkola „Wróżka” w Białych Błotach w przedstawieniu « Les canetons en vadrouille ».

BydgoszczPrzedstawienia w kategorii wiekowej 9-10 latn I. miejsce: Zespół teatralny ze Szkoły Podstawowej nr 4 w Inowrocławiu pod kierunkiem p. Renaty Sadowskiej w przedstawieniu « Chat botté »;n II. miejsce: Zespół teatralny LES COLIMAÇONS z SP nr 2 we Włocław-ku pod kierunkiem p. Małgorzaty Tomaszewskiej w przedsta-wieniu « Les éléphants ».

Przedstawienia w kategorii wiekowej 5-8 latn I. miejsce: Zespół teatralny z Grupy III. Gminnego Przedszkola „Wróż-ka” w Białych Błotach, pod kierunkiem p. Aleksandry Nyłk-Glama w przedstawieniu «Les canetons en vadrouille».

Zdobywcy I, II i III miejsca w każdej kategorii wiekowej poza upominkami otrzymali również odpowiednio Złotą, Srebrną lub Brązową Statuetkę FRANEK.

Sprawozdanie sporządziły: Agnieszka Pietrzak, Marta Samolej-Chmielewska,

Oddział Bydgosko-Toruński PROF-EUROPE

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PROF-EUROPE 2011

BYDGOSZCZ / TORUŃ n Sections régionales PROF-EUROPE

Dane liczbowe:

a) liczba uczestników poszczególnych etapów konkursu:

Etap szkolny Etap rejonowy Etap wojewódzki

193 89 33

b) liczba szkół, których uczniowie zakwalifikowali się do eta-pu rejonowego i wojewódzkiego

Etap rejonowy Etap wojewódzki

21 15

c) liczba finalistów i laureatów etapu wojewódzkiego

Finaliści Laureaci

14 19

Organizacja etapu rejonowego:

Miejsce pracy komisji rejonowej: n Komisja Rejonowa nr 1 – Bydgoszcz: ZSO nr 2 (II LO, Gimnazjum nr 46), ul. Nowodworska 13, 85-120 Bydgoszczn Komisja Rejonowa nr 2 – Toruń: Gimnazjum nr 3, ul. Żwirki i Wigury 49, 87-100 Toruń

Przewodniczący komisji:n Komisja Rejonowa nr 1 – Bydgoszcz: Alicja Wojciechowskan Komisja Rejonowa nr 2 – Toruń: Marta Samolej-Chmielewska

Liczba członków komisji:n Komisja Rejonowa nr 1 – Bydgoszcz: 3n Komisja Rejonowa nr 2 – Toruń: 5

Liczba uczestników:n Rejon nr 1 – Bydgoszcz: 37 osób(Bydgoszcz, powiaty: tucholski, sępoleński, bydgoski ziemski, żniński, nakielski, świecki, inowrocławski, mogileński)n Rejon nr 2 – Toruń: 52 osoby (Toruń, powiaty: toruński, golubsko­dobrzyński, chełmiński, grudziądzki, wąbrzeski, brodnicki, aleksandrowski, włocław­ski, radziejowski, lipnowski, rypiński)

Bydgoszcz / ToruńII. Wojewódzki Konkurs Języka Francuskiego dla Gimnazjalistów

województwo kujawsko-pomorskie Rok szkolny 2010/2011

Przebieg:21 grudnia 2010 r. do godz. 15.00 w ZSO nr 2 w Bydgoszczy oraz w Gimnazjum nr 3 w Toruniu zgłosiło się 89 uczestni-ków rejonowych eliminacji – wszyscy zakwalifikowani do tego etapu uczniowie. Przed rozpoczęciem konkursu do ZSO nr 2 w Bydgoszczy przybyła pani wizytator Anna Borysiak, obserwator z ramienia Kujawsko-Pomorskiego Kuratorium Oświaty, współorganizatora konkursu.

Po rejestracji uczestnicy zgromadzili się w auli, gdzie na-stąpiło publiczne sprawdzenie zachowania poufności mate-riałów konkursowych i ich komisyjne odpieczętowanie. Po przedstawieniu przez przewodniczących komisji procedu-ry przebiegu konkursu, wyjaśnieniu zasad kodowania prac, przypomnieniu zasad zachowania podczas trwania elimina-cji oraz ogłoszeniu terminu wglądu do prac konkursowych uczestnicy udali się do przygotowanych na potrzeby konkur-su sal, zgodnie z wywieszonymi listami. Po zakodowaniu prac i zapoznaniu się z instrukcją na pierwszej stronie, uczniowie przystąpili do rozwiązywania testu składającego się z 15 za-dań sprawdzających umiejętność: rozumienia za słuchu, ro-zumienia tekstu czytanego, reagowania językowego w okre-ślonych sytuacjach z życia codziennego, pisania oraz stoso-wania właściwych struktur leksykalno-gramatycznych. Mak-symalna liczba punktów, jaką można było uzyskać w teście wynosiła 88. Na jego rozwiązanie uczestnicy mieli 90 minut. Eliminacje przebiegły bez zakłóceń, zgodnie z procedurami.

Następnie rejonowa komisja konkursowa w składzie: Komisja Rejonowa nr 1–Bydgoszcz: Alicja Wojciechowska (PROF-EUROPE, ZSO nr 2 w Bydgoszczy) – Przewodniczą-ca, Małgorzata Hack (Alliance Française, SJO UKW w Byd-goszczy), Sébastien Tholonias (PROF-EUROPE, NKJO, ZSO nr 2, Alliance Française w Bydgoszczy), Aleksandra Jaskólska (PROF-EUROPE, ZSO nr 2 w Bydgoszczy)

Komisja Rejonowa nr 2 – Toruń: Marta Samolej-Chmielewska (PROF-EUROPE, Gimnazjum nr 3 w Toru-niu) – Przewodnicząca, Irena Kruszka (Alliance Française w Toruniu), Dorota Lajus (NKJO w Toruniu), Pascal Schaller (Dział Kulturalny Ambasady Francji w Polsce), Elżbieta Bo-nowicz (PROF-EUROPE, ZS nr 16 w Toruniu), Aleksandra Filar-Zielińska (PROF-EUROPE, X LO w Toruniu),

przystąpiła do sprawdzenia prac i postanowiła wstępnie zakwalifikować do etapu wojewódzkiego 32 uczestników, którzy zdobyli co najmniej 75% punktów możliwych do uzy-skania (w tym 14 z rejonu nr 1 – Bydgoszcz i 18 z rejonu nr 2 – Toruń), o czym przewodnicząca wojewódzkiej komisji konkursowej poinformowała drogą elektroniczną szkoły i nauczycieli 23 grudnia 2010 r.

Po weryfikacji prac z etapu rejonowego komisja woje-wódzka ustaliła ostateczny wykaz 33 uczestników etapu

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PROF-EUROPE 2011

69Sections régionales PROF-EUROPE n BYDGOSZCZ / TORUŃ

wojewódzkiego, o czym przewodnicząca poinformo-wała szkoły i nauczycieli 4 stycznia 2011 r. drogą elek-troniczną.

Organizacja etapu wojewódzkiego:

miejsce pracy komisji wojewódzkiej: Gimnazjum nr 3, ul. Żwirki i Wigury 49, 87-100 Toruń

przewodniczący komisji: Marta Samolej-Chmielewskaliczba członków komisji: 7 liczba uczestników: 33

przebieg:15 stycznia 2011 r. do szkół i nauczycieli przygotowują-cych uczestników etapu wojewódzkiego przesłano dro-gą elektroniczną informacje dotyczące finału, z uszcze-gółowieniem tematyki zagadnień kulturoznawczych oraz części ustnej.

Etap wojewódzki zgodnie z regulaminem szczegóło-wym konkursu odbył się 4 marca 2011 r. w Gimnazjum nr 3 w Toruniu. Do godz. 14.45 zgłosiło się 33 uczest-ników finału – wszyscy uczniowie zakwalifikowani do ostatniego etapu konkursu. Przed rozpoczęciem kon-kursu do Gimnazjum nr 3 przybyła również w charak-terze obserwatora pani Maria Kreft, starszy wizytator Kujawsko-Pomorskiego Kuratorium Oświaty (Delega-tura w Toruniu).

Po rejestracji (sprawdzenie legitymacji szkolnej oraz danych osobowych) uczestnicy zgromadzili się w auli, gdzie nastąpiło publiczne sprawdzenie zachowania poufności materiałów konkursowych i ich komisyjne odpieczętowanie. Po przedstawieniu przez przewodni-czącego wojewódzkiej komisji konkursowej procedury przebiegu konkursu, przypomnieniu zasad kodowania, zasad zachowania podczas trwania eliminacji oraz ogło-szeniu terminu wglądu do prac konkursowych uczest-nicy udali się do przygotowanych na potrzeby konkursu sal, zgodnie z wywieszonymi listami. Po zakodowaniu prac i zapoznaniu się z instrukcją na pierwszej stronie, uczniowie przystąpili do rozwiązywania testu składa-jącego się z 10 zadań sprawdzających umiejętność ro-zumienia tekstu czytanego i pisania oraz wiedzę realio-znawczą o krajach francuskiego obszaru językowego.

Maksymalna liczba punktów, jaką można było uzy-skać w teście wynosiła 60. Na jego rozwiązanie uczest-nicy mieli 60 minut. Część pisemna eliminacji przebie-gła bez zakłóceń, zgodnie z procedurami i zakończyła się o godz. 16.15.

Po 15-minutowej przerwie na poczęstunek rozpo-częła się część ustna, którą przeprowadziły 3 komisje konkursowe w składzie:

Dorota Lajus (PROF-EUROPE, NKJO w Toruniu) i Aleksandra Jaskólska (PROF-EUROPE, ZSO nr 2 w Bydgoszczy),

1. Wykład historyka sztuki p. Wojciecha Kielera na temat Wieży Eiffle’a przed ceremonią rozdania zaświadczeń i upominków laureatom Konkursu

2. Uczestnicy ceremonii zakończenia II Wojewódzkiego Konkursu Języka Francuskiego dla Gimnazjalistów w bydgoskim Alliance Française

3. Najlepsi z najlepszych – laureaci II Wojewódzkiego Konkursu Języka Francuskiego dla Gimnazjalistów

Bydgoszcz / Toruń

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PROF-EUROPE 2011

BYDGOSZCZ / TORUŃ n Sections régionales PROF-EUROPE

Sabina Kwiatkowska (PROF-EUROPE, NKJO w Toru-niu, V LO w Toruniu) i Aleksandra Filar-Zielińska (PROF-EUROPE, X LO w Toruniu),

Ewa Werner (Alliance Française w Toruniu) i Alicja Woj-ciechowska (PROF-EUROPE, ZSO nr 2 w Bydgoszczy).

Uczestnicy oczekiwali na część ustną na auli, skąd byli kolejno odprowadzani do sal przez uczniów-wolontariuszy z Gimnazjum nr 3 w Toruniu, zgodnie z wywieszonymi li-stami.

Po wejściu na część ustną każdy z uczestników losował zestaw obejmujący 2 zadania: rozmowę sterowaną oraz opis fotografii. Każdy uczestnik miał pięć minut na samodzielne przygotowanie się do obydwu zadań, a następnie przedsta-wiał je po francusku przed komisją nie mogąc posługiwać się żadnymi pomocami oraz odpowiadał na pytania komisji dotyczące prezentowanych zagadnień. Komisja oceniała wy-powiedzi zgodnie ze szczegółowymi kryteriami przyznając maksymalnie 40 punktów.

Następnie wojewódzka komisja konkursowa w skła-dzie: Marta Samolej-Chmielewska – Przewodnicząca, Sabi-na Kwiatkowska, Aleksandra Filar-Zielińska, Dorota Lajus, Aleksandra Jaskólska, Ewa Werner, Alicja Wojciechowska, Pascal Schaller przystąpiła do sprawdzenia prac. Po podlicze-niu punktów z części ustnej i pisemnej wyłoniono wstępnie 18 laureatów i 15 finalistów. Tytuł laureata konkursu mogli otrzymać uczniowie, którzy zdobyli na etapie wojewódzkim co najmniej 75% punktów możliwych do uzyskania.

Uroczyste zakończenie konkursu:

1 kwietnia 2011 r. o godz. 17.00 w siedzibie Ośrodka Alliance Française w Bydgoszczy rozpoczęło się uroczyste zakończe-

nie konkursu. Uroczystość uświetniła obecność wizytatora Kujawsko-Pomorskiego Kuratorium Oświaty w Bydgoszczy p. Anny Borysiak, attaché Ambasady Francji w Polsce p. Pas-cala Schallera oraz Prezesa PROF-EUROPE p. Małgorzaty Piotrowskiej-Skrzypek. Rozdanie zaświadczeń i nagród po-przedził wykład historyka sztuki p. Wojciecha Kielera na temat Wieży Eiffle’a. Zgromadzonych powitała p. Małgorzata Hack, dyrektor AF w Bydgoszczy. Po wykładzie nastąpiło uroczyste zakończenie konkursu. Po przywitaniu laureatów, ich rodzi-ców, nauczycieli oraz gości przewodnicząca wojewódzkiej komisji konkursowej oddała głos p. Pascalowi Schallerowi, który serdecznie pogratulował laureatom wspaniałych wyni-ków. Następnie p. Anna Borysiak dołączyła się do gratulacji w imieniu Pani Kurator. Przypomniała również o uprawnie-niach, jakie przysługują laureatom i finalistom konkursu. Ko-lejną osobą, która zabrała głos była p. Małgorzata Piotrow-ska-Skrzypek, która dodatkowo przedstawiła zgromadzonym propozycję udziału w pierwszym w województwie kujawsko-pomorskim letnim obozie z językiem francuskim w Chełm-nie, organizowanym we współpracy z Urzędem Marszałkow-skim województwa kujawsko-pomorskiego oraz Ambasadą Francji w Polsce. Następnie przystąpiono do uroczystego wręczenia nagród i zaświadczeń laureatom i obecnym w tym dniu finalistom oraz listów gratulacyjnych ich nauczycielom. Laureatki I i II miejsca otrzymały nagrodę specjalną w po-staci semestru kursu j. francuskiego w Ośrodkach AF w Byd-goszczy i w Toruniu. Laureatka III miejsca otrzymała nagrodę specjalną Prezesa PROF-EUROPE. Wszyscy laureaci otrzy-mali drobne upominki w postaci książek, słowników oraz pamiątkowych gadżetów, ufundowanych przez sponsorów: Ambasadę Francji w Polsce oraz PROF-EUROPE.

Sprawozdanie sporządziła Marta Samolej-Chmielewska, Oddział Bydgosko-Toruński PROF-EUROPE

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71Sections régionales PROF-EUROPE n wARSZAwA

11 i 12 czerwca 2011 roku w Białołęckim Ośrodku Kultury przy ul. Van Go-gha 1 odbyła się szósta edycja festiwalu teatralnego, organizowanego przez warszawską sekcję Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego w Polsce PROF -EUROPE, zwanego po prostu Festival théâtral PROF­EUROPE.

Po raz pierwszy Festiwal odbywał się w ciągu dwóch dni, pierwszego dnia wystąpili uczniowie liceum i gimnazjów, natomiast drugiego uczniowie szkół podstawowych. Rozdzielenie całej imprezy na dwa dni z jednej strony ułatwiło pracę organizatorom, a z drugiej – pozwoliło lepiej ocenić i docenić występują-cych. A że każdy z trzynastu zespołów zaprezentował się z jak najlepszej strony, jury miało nad czym się zastanawiać i wcale nie było łatwo wyłonić zwycięzców.

W jury Festiwalu, któremu przewodziła Anna Grzegorowska, prezes war-szawskiej sekcji Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Francuskiego w Polsce PROF-EUROPE, zasiadali: Jan Nowak z poznańskiej Sceny Moliera, Justyna Bacz-Kazior, Lidia Kowalska i Marta Magdalena Jackowska z zarządu oddziału warszawskiego PROF-EUROPE, Agnieszka Brzoza-Brzezina członek oddziału warszawskiego oraz Ewa Kalinowska, wiceprezes Zarządu Głównego PROF-EUROPE.

Pierwszego dnia, w godzinach od 9 do 16, po gorącym powitaniu wygłoszo-nym przez Przewodniczącą Jury, wystąpiło jedenaście zespołów (w kolejności pojawiania się na scenie): Couac z warszawskiego XLI LO im. Joachima Lele-wela ze sztuką La cantatrice chauve, Edelweiss z warszawskiego Prywatnego Gimnazjum nr 23 Sióstr Zmartwychwstania Pańskiego ze sztuką Knock, Les Banlieusards z Katolickiego Gimnazjum im. Bronisława Markiewicza w Mar-kach ze sztuką Emilie Jolie, Les autres z warszawskiego Gimnazjum nr 44 ze sztuką Les Histoires insolites, Ambitieuse défaite ze szczecińskiego Gimna-zjum nr 42 z Oddziałami Dwujęzycznymi ze sztuką Pour l’annonce, zespół z Gimnazjum nr 8 przy Zespole Szkół nr 5 w Płocku ze sztuką La sorcière du placard aux balais, Zespół teatralny z 83 Gimnazjum im. Konstancji Markiewicz w Warszawie ze sztukami Guignol se défile, L’Annonce oraz La belle au bois ronflant, Zespół teatralny z Zespołu Szkół Publicznych Nr 1 STO w Warszawie ze sztuką Le premier voyage de Christophe Colomb oraz Les Mousquetaires de Sempołowska z Gimnazjum Dwujęzycznego nr 53 im. Stefanii Sempołowskiej przy Zespole Szkół w Warszawie ze sztuką Les Trois Mousquetaires.

Przez godzinę, od 16 do 17, Jury, do którego dołączył Thomas Laigle, atta-ché ds. współpracy językowej z Ambasady Francji w Polsce, obradowało nad przyznaniem nagród – między innymi prawem uczestnictwa w warsztatach teatralnych prowadzonych przez Jana Nowaka z poznańskiej Sceny Moliera – natomiast uczestnicy, oczekujący na ogłoszenie wyników, głosowali na nagro-dy publiczności i mogli wzmocnić się przygotowanym przez Organizatorów poczęstunkiem.

Jury miało naprawdę twardy orzech do zgryzienia, gdyż rzetelne i sprawie-dliwe ocenienie każdego z zespołów było bardzo trudne. Wszyscy uczestnicy poruszyli ogromem pracy włożonej w przygotowanie występów, zarówno pod względem językowo-aktorskim, jak i technicznym, czyli wspaniale opracowali scenografię oraz kostiumy.

Pierwszą nagrodę – po burzliwych obradach Jury – otrzymał przybyły aż ze Szczecina zespół Ambitieuse défaite, pod kierunkiem Ewy Oniszczuk-Odorskiej i Ewy Kabsy, za sztukę Pour l’annonce.

Drugą nagrodę wywalczyła kierowana przez Edytę Solecką grupa uczniów z gimnazjum nr 8 w Płocku, która przedstawiła sztukę La sorcière du placard aux balais.

WarszawaFestival théâtral PROF-EUROPE Warszawa 2011

1. Anna Grzegorowska, prezes warszawskiej sekcji PROF-EUROPE, otwiera 6. FESTIVAL THÉÂTRAL

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2. La sorcière du placard aux balais zespołu teatralnego z Gimnazjum nr 8 przy Zespole Szkół

nr 5 w Płocku

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Trzecią nagrodę ex aequo otrzymały kierowany przez Magdalenę Miałkowską Zespół teatralny z 83 Gim-nazjum im. K. Markiewicz za sztukę Guignol se défile oraz kierowany przez Annę Mioduszewską oraz Jacque-lie i Zofię Masłowski zespół Edelweiss z Prywatnego Gimnazjum nr 23 Sióstr Zmartwychwstania Pańskiego za sztukę Knock.

Nagrody publiczności otrzymały zespoły Ambitieu-se défaite za sztukę Pour l’annonce oraz Les Mousqu-etaires de Sempołowska za sztukę Les Trois Mousque­taires.

Dodatkowo, aż 12 aktorów otrzymało indywidualne wyróżnienia za wspaniałą grę aktorską i interpretację, po-łączone ze znajomością języka francuskiego. Byli to: Elwira Dymko, Klaudia Kaczyńska, Magdalena Kalisiewicz, Mag-dalena Kroczewska, Carmen Laktineh, Adrianna Lewan-dowska, Łukasz Likus, Jonasz Łaba, Paulina Moś, Magda-lena Oleszek, Natalia Sroka i Jakub Tomasiak.

Ponadto Jury doceniło wielką pracę nauczycieli, któ-rzy przygotowali uczniów do występu – każdy z pedago-gów otrzymał pamiątkowy dyplom i drobne upominki, które powinny przydać się w dalszej pracy.

Drugiego dnia festiwalu wystąpił ze sztukami Premier rendez­vous oraz Les vieux doudous zespół Dans les décors pod kierunkiem Ewy Tulej z Prywatnej Szkoły Podstawowej Nasza Szkoła.

Tym razem Jury miało o wiele prostsze zadanie do wykonania. Pierwszą nagrodę otrzymał czteroosobo-wy zespół występujący w sztuce Premier rendez­vous, a drugą dwunastoosobowa obsada spektaklu Les vieux doudous.

Ponadto, Nagrodą Specjalną uhonorowana została Kaja Molińska, która w tegorocznej edycji Festiwalu wy-stąpiła już po raz piąty i jak zwykle zachwyciła wspaniałą grą aktorską idącą w parze ze świetną znajomością języka francuskiego.

Po rozdaniu nagród miał miejsce poczęstunek dla uczestników i towarzyszących im rodziców i rodzeństwa.

Zarówno pierwszego jak i drugiego dnia Festiwalu nieocenioną pomoc okazały Agnieszka Brzoza-Brzezina i Joanna Grzegorowska, czuwające nad poczęstunkiem, a także moi uczniowie z XL LO z Oddziałami Dwuję-zycznymi im. Stefana Żeromskiego w Warszawie: Nata-lia Gąsowska, Katarzyna Tarczyńska, Olga Zboina, Anna Zielińska Barbara Zych, Daria Zyśk i Mateusz Skrzyński oraz ich przyjaciele: Aleksandra Składanowska z I LO im. Bolesława Limanowskiego z Oddziałami Integracyjnymi w Warszawie, Aleksandra Tarczyńska z Gimnazjum nr 112 im. Króla Jana III Sobieskiego w Warszawie, Ewe-lina Zych z Gimnazjum z Oddziałami Dwujęzycznymi Nr 42 w Warszawie i Krzysztof Durmaj z Technikum Fototechnicznego przy Zespole Szkół Fototechnicznych w Warszawie, którzy fotografowali całą imprezę, a także przeprowadzili zamieszczone poniżej wywiady z nagro-dzonymi aktorkami.

3. La cantatrice chauve zespołu Couac z XLI L.O. im. Joachima Lelewela w Warszawie

4. Le premier voyage de Christophe Colomb zespołu teatralnego z Zespołu Szkół Publicznych Nr 1 STO w Warszawie

5. Les Trois Mousquetaires zespołu Les Mousquetaires de Sempołowska z Gimnazjum Dwujęzycznego nr 53 przy Zespole Szkół nr 53 im. Stefanii Sempołowskiej w Warszawie

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Te dwa dni były naprawdę trudne, ale też pełne emo-cji i bardzo pozytywnych doświadczeń. Okazało się, że jest wielu młodych ludzi pragnących uczyć się języka francu-skiego, którzy decydują się poświęcić wolny czas na naucze-nie się roli, a przy tym świetnie się bawią i czerpią z tego wiele korzyści.

Marta Magdalena Jackowska

n „Festival Théâtral PROF-EUROPE 2011” oczami fotografa

W dniach 11 i 12 czerwca 2011 r. w Białołęckim Ośrodku Kultury mieszczącym się przy ulicy Van Gogha 1 w War-szawie odbył się Festiwal Teatralny, zorganizowany przez warszawską sekcję Stowarzyszenia Nauczycieli Języka Fran-cuskiego PROF-EUROPE.

Wszystko zaczęło się w sobotę rano, tuż przed godziną 9.00. Wtedy właśnie zaczęli się pojawiać pierwsi uczestni-cy, na scenie miały miejsce ostatnie próby, a organizatorzy tworzyli magiczny bufet, który później w czasie licznych przerw ratował puste żołądki wygłodniałej młodzieży. Gdy wreszcie wybiła godzina 9.00 wszyscy zebrani zostali powi-tani przez panią Annę Grzegorowską, przewodniczącą war-szawskiej sekcji PROF-EUROPE i nastała pora na występy.

Pierwszego dnia, to jest w sobotę, na deskach sali te-atralnej Białołęckiego Ośrodku Kultury występowała młodzież w wieku gimnazjalnym i licealnym. W niedzie-lę natomiast swoje sztuki wystawili uczniowie szkół pod-stawowych. Wszyscy, niezależnie od wieku stanęli przed ogromnym wyzwaniem. Nie dość, że mieli pokazać swój kunszt aktorski, to jeszcze wszystkie spektakle były wysta-wiane w języku francuskim, co przynajmniej dla mnie jest sprawą niezwykle trudną. Jednym udawało się to mniej, innym bardziej. Wszyscy jednak sprostali oczekiwaniom, w sztukach nie padło ani jedno słowo w języku polskim. Od strony fabularnej również dało się zauważyć dobre przygo-towanie, a przede wszystkim zróżnicowanie i oryginalność. Każda z wystawianych sztuk zaskakiwała pomysłem, gdzie jako jeden z najlepszych przykładów mogę podać przedsta-wienie „Pour l’annonce” pięcioosobowej grupy „Ambitieu-se défaite”, którzy postanowili przedstawić jak mogłoby wy-glądać przesłuchanie do dobrze wszystkim znanego „Czer-wonego Kapturka”, które całkowicie odbiegało od znanego nam modelu.

Moja ocena Festiwalu? Całe przedsięwzięcie miało swo-je plusy i minusy. Wybierając się tam miałem pewną wizję jak takiego rodzaju impreza może być zorganizowana. Wy-chodząc byłem bardzo zadowolony, że postanowiłem przy-jechać, jednak kilka kwestii troszkę mnie rozczarowało. Za-cznijmy może od tego, że pomiędzy występami następowa-ły strasznie długie przerwy, bo blisko półgodzinne. W tym czasie brakowało czegoś, co zajęłoby zebranych. Owszem w tym czasie można było omówić swoje spostrzeżenia ze

6. Jury wręcza nagrody jednemu z wyróżnionych zespołów

7. Les vieux doudous zespołu Dans les décors z Niepublicznej Szkoły Podstawowej „Nasza Szkoła” w Warszawie

8. Jury wręcza pierwszą nagrodę zwycięskiemu zespołowi

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znajomymi, wydaje mi się jednak, że przez to widzowie mo-gli być trochę zmęczeni czekaniem i zwyczajnie znudzeni. Z drugiej strony, jako usprawiedliwienie trzeba przyznać, że w trakcie przerw zmieniano dekoracje do kolejnych wystę-pów. Kolejnym moim negatywnym spostrzeżeniem jest fakt, że od czasu rozpoczęcia festiwalu w sobotę do poczęstunku tego samego dnia minęło 7 godzin. Co prawda tuż przy sali znajdował się bufet, nie był jednak w stanie zaspokoić gło-du. Sam widziałem, jak przynajmniej dwie grupy aktorskie zamawiały sobie w czasie przerwy pizzę, bo paluszki i ciasto znikały w mgnieniu oka. Jednak poza tymi dwoma aspektami widzę tylko same plusy.

Podstawowym pozytywem, przynajmniej dla mnie, było osłuchanie się z językiem francuskim. Na co dzień nie mam możliwości słuchania wymowy, nie licząc płyt, które mimo wszystko nie są w stanie zastąpić zwykłej rozmowy między ludźmi. Również miałem okazję poszerzyć swoją znajomość języka. Przyznam, że na obecnym etapie mojej edukacji zasób słów w języku francuskim mam niewielki, a oglądanie wystę-

pów umożliwiło mi “zobaczenie” słów, które padały, a co za tym idzie również lepsze ich zapamiętanie. Kolejnym plusem była możliwość zetknięcia się z nieco innym teatrem. Mam na myśli to, że występowali tam młodzi ludzie, z którymi byłem w stanie się w znacznym stopniu identyfikować, dzięki czemu przyjemniej oglądało mi się ich występy. Równie istotny był fakt, że ci młodzi ludzie poprzez te występy realizowali swoje pasje związane z aktorstwem i językiem francuskim. Niezwy-kle motywowało to do pracy, zwłaszcza nad językami obcymi.

Przyznam, że początkowo lekko obawiałem się, że przyjdę i wynudzę się na Festiwalu. Na szczęście moje obawy szybko się rozmyły i zostałem mile zaskoczony, zarówno ciekawą tre-ścią wystawianych sztuk, jak również dokładnością, z którą zostały przygotowane. W całym przedsięwzięciu widzę ol-brzymie możliwości na przyszłość, chociażby dlatego, że jest to dużo ciekawsza forma nauki języka francuskiego, znacz-nie bardziej zachęcająca. Na koniec tylko mam nadzieję, że w przyszłym roku uda mi się również uczestniczyć w tym projekcie.

Mateusz Skrzyńskiuczeń XL LO im. Stefana Żeromskiego w Warszawie

Na sam początek należą się całej Waszej ekipie gratulacje, bo zarówno jury jak i publiczność polubili Waszą sztukę. Sami ułożyliście tak oryginalny scenariusz? n Dziękuję za gratulacje. Ogólnie mało wiem na temat samego scena-riusza, ale myślę, ze był to gotowy scenariusz. Nie była to bajka jaką każdy zna, lecz anty-bajka, która miała na celu dać ludziom do my-ślenia.

Bardzo podobała mi się Wasza gra aktor-ska. Powiedz, czy wcześniej któreś z Was miało styczność z teatrem? Czy oprócz francuskiego jest to Wasza wspólna pa-sja?n Nie, nie mieliśmy wcześniej stycz-ności z teatrem, chociaż parę osób z naszego przedstawie-nia brało udział w różnych konkursach recytatorskich. Myślę, ze osoby grające w przedstawieniu lubią to robić i wydaje mi się, że dlatego też zgłosiły się na casting. (Ogólnie u mnie w szkole odbył się wcześniej casting do tego przedstawienia, bo było bardzo dużo chętnych.)

Mnie osobiście niezwykle trudno jest przestawić się na język obcy, nie wspominając już o graniu na scenie po francusku. Powiedz, czy ani przez chwilę nie obawiałaś się, że pomylisz tekst, lub w jakimś stopniu zostaniesz źle zrozumiana? W końcu to trud-na sprawa mówić wyraźnie i zrozumiale w obcym języku. n W sumie nie obawiałam się o tekst, ponie-waż bardzo dobrze znam francuski i zawsze jak się zna scenariusz można coś samemu wymyślić, ale na szczęście nie miałam tego problemu. Dobra znajomość języka ułatwia zapamiętywanie i wymówienie swojej roli. W moim przypadku jest tak, że gdy wycho-dzę na scenę, stres opada i w ogóle się nie przejmuję. Po prostu czuje się na scenie jak ryba w wodzie.

Oryginalna postać, nieco odmienna od tej, którą kojarzymy z orygi-

nału. Jak długo musiałaś ćwiczyć, aby w tak naturalny i niezwykle

wiarygodny sposób odegrać swoją bohaterkę? n Tak, rola wilka (jak każda) była inna niż w bajce, którą zna każdy. Niestety mieliśmy mało czasu na przygotowa-nie się, ale dzięki naszej pani reżyser daliśmy rade. Trzeba przyznać, ze było ciężko, ale warto było :)

(rozmawiał Mateusz Skrzyńskiuczeń XL LO im. Stefana Żeromskiego w Warszawie)

Jaki casting, taki wilk – czyli Czerwony Kapturek w nieznanej odsłonie

Rozmowa z Klaudią Kaczyńską, aktorką z grupy Ambitieuse défaite,

która w przedstawieniu ”Pour l’annonce” wcieliła się w postać Wilka.

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Jak zaczęła się Twoja przygoda z teatrem?n W drugiej klasie nasza pani od francuskiego zapropo-nowała nam wystąpienie w takim teatrzyku. Mimo że byliśmy jeszcze małymi dziećmi, chętnie przystaliśmy na odegranie takiego przedstawienia. Było ono o kwiatkach i chmurkach. Grało tam dużo osób, więc miałam niedużą rolę.

Czy przed tym, jak zaczęłaś grać, interesowałaś się teatrem i chcia-łaś tam występować?n Lubię być na scenie, chciałam być aktorką, ale nigdy nie zastanawiałam się nad tym, jak temu pragnieniu pomóc. Chociaż ostatnio myślałam aby spróbować dostać się do Ogniska Teatralnego Machulskich, a w przyszłości może pomyślę o szkole aktorskiej.

Co daje Ci występowanie?n Pozwala oderwać się od rzeczywistości. Mogę być zupeł-nie inną postacią niż jestem na co dzień, na przykład taką starszą, zmęczoną życiem panią.

Co jest według Ciebie najtrudniejsze w byciu aktorką?n Najtrudniejsze jest to, kiedy gram osobę całkiem inną ode mnie. Wtedy trzeba zupełnie zmienić swoje nastawie-nie.

Naprawdę? Wielu aktorów uważa, że to właśnie granie zupełnie ob-cego sobie charakteru jest najłatwiejsze bo można być kimś zupeł-nie innym, wyraźnie oddzielić przedstawienie od realnego świata. Co o tym sądzisz ?n Jest się dalej od swojego normalnego świata, ale jest to trudniejsze.

A stresujesz się swoimi występami?n Najbardziej w tamtym roku, kiedy byłam na scenie sama. Wtedy bardzo się stresowałam. W dodatku na widowni było dużo osób. Im więcej widzów, tym większa trema.

Czy w ciągu swojej kariery aktorskiej miałaś jakąś wpadkę na sce-nie?n W jednym z pierwszych przedstawień, nie zdążyłam na-uczyć się tekstu, schowałam kartkę za krzaczkiem. W pew-nym momencie nie mogłam odczytać, co tam jest napisa-ne. Podobnie w tamtym roku, w przedstawieniu miałam odczytać list. Od razu pani od francuskiego pospieszyła mi z pomocą, bo myślała, że nie mam tego listu. A ja go mia-łam, tylko zapomniałam tekstu tuż przed nim…

Czy zawsze grasz po francusku?n W zasadzie tak, bo tutaj to już jest takie założenie, że ma być po francusku. Ale czasami w szkole też się angażuję w różne przedstawienia po polsku.

Jak dużo czasu poświęcacie na próby?n Zaczynamy przygotowywać się mniej więcej od marca. Chociaż tak naprawdę, tekst znamy tydzień przed przed-stawieniem [śmiech]. Próby mamy raczej po lekcjach, ale zdarza się, że pani poświęca na nie lekcje francuskiego.

A czy granie w przedstawieniach pomaga Ci uczyć się języka fran-cuskiego?n Tak, grając nauczyłam się chyba więcej niż na lekcjach.

Jaką rolę najbardziej zapamiętałaś? n Chyba rolę Wiosny. Pamiętam, że była wtedy wielka kłót-nia, kto kogo gra, a ja miałam szczęście i udało mi się wylo-sować właśnie Wiosnę.

Czy pamiętasz wszystkie swoje role i przedstawienia?n Tak dokładnie nie, pamiętam ogólnie, o czym były, pa-miętam niektóre fragmenty tekstów, na przykład te, które mnie rozśmieszyły, ale nie potrafiłabym tak bez przygoto-wania zagrać postaci, jaką kiedyś grałam.

Czy odniosłaś jakieś aktorskie sukcesy?n Tak, w tamtym roku zajęłam na tym konkursie pierwsze miejsce i dostałam taką fajną statuetkę.

Czy w takim razie chciałabyś być aktorką?n Chciałabym, chociaż uważam, że byłoby to trudne…

Dlaczego?n Bo trzeba dużo pracy w to włożyć, a ja jestem osobą nie-zorganizowaną. A poza tym, może być ciężko, kiedy dosta-nie się jakąś trudną rolę. Wtedy jest dużo pracy. Chociaż na razie, dla mnie, aktorstwo to dobra zabawa.

Dziękuję za rozmowę.

rozmawiała Anna Zielińskauczennica XL LO im. S. Żeromskiego w Warszawie

„Weteranka sceny” Wywiad z Kają Molińską, zdobywczynią Nagrody Specjalnej

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łODŹ n Sections régionales PROF-EUROPE

Zarząd Oddziału Łódź

PrezesWłodzimierz Glamaciński, [email protected] +48 500 08 58 17doradca metodyczny języka francuskiego, hiszpańskiego, włoskiegoŁódzkie Centrum Doskonalenia Nauczycielii Kształcenia Praktycznegodyrektor ds. dydaktykiAlliance Française Łódź Manufaktura

WiceprezesBożena Borciuch, [email protected] wykładowca języka francuskiego, koordynator ds. dydaktykiAlliance Française Łódź Manufaktura

SekretarzUrszula Bendkowska, [email protected] lektor języka francuskiegoAlliance Française Łódź Manufakturanauczyciel włoskiego i francuskiegoXXXIV LO im. K. Kieślowskiego

SkarbnikBeata Twarkowska-Ostafińska, [email protected] nauczyciel języka francuskiego Miejski Zespół Szkół – Szkoła Podstawowa, Gimnazjum w Aleksandrowie Łódzkim

Członek ZarząduAnna Perlińska, [email protected] dyrektor ds. kultury, wykładowca języka francuskiegoAlliance Française Łódź Manufaktura

ŁódźAlliance Française Łódź ManufakturaPROF-EUROPE O/Łódź

ul. Drewnowska 58A91-002 Łódźtél.: +48 42 633 22 38 / +48 42 661 90 80www.aflodz.pl

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n EDUNAKRECANIE – Rekordowe BonjourEdycja 2011

But principal de l’événementEncourager les gens à l’apprentissage pen-dant toute la vie à l’occasion de l’établis-sement du record dans le Livre Polonais des Records et des Curiosités, le record consistant dans le plus grand nombre de personnes qui apprennent le français pendant une journée

D’autres butsn Faire connaître les techniques d’apprentissage et de mémo-

risation utiles dans la vie quotidiennen Encourager les adultes à apprendre tout au long de leur vien Présenter les démarches d’apprentissage simples et sympasn Intéresser les habitants de Łódź par la culture françaisen Présenter aux enfants les techniques efficaces et agréables

d’apprentissage de l’orthographe et des langues étrangères

PublicL’évènement s’adresse à tous les habitants de Łódź et à tous les visiteurs présent à Manufaktura – Centre Culturel et Com-mercial le 6 mai, ainsi qu’aux :n médiasn institutions liées à la culture françaisen écoles enseignant le français

Pourquoi le faire?Nos idées nous mènent vers:n la réalisation des initiatives liées à l’accompagnement pro-

fessionnel personnalisé ainsi qu’à la promotion de l’emploi et aux ateliers d’instruction ;

n la promotion de la formation continue;n la découverte et le perfectionnement des compétences in-

dispensables sur le marché du travail;n l’encouragement à la formation continue et au développe-

ment individuel des personnes de toutes les tranches d’âge.Nos actions ont la réception favorable de la part de l’opinion publique et suscitent l’intérêt de la part des médias.

Alliance Française/PROF-EUROPE de Łódź – pourquoi ?n SIÈGE des initiatives culturelles ;n ORGANISATEUR de nombreuses rencontres et confé rences

qui promeuvent l’engagement actif au dialogue social ;n CENTRE d’enseignement de la langue française ;n PARTENAIRE de plusieurs évènements importants

à Łódź ;n ZONE de la culture française.

Planning de l’évènementn 10 ateliers de 15 minutes chacun, ayant pour but de prépa-

rer à battre le Record (chaque atelier commence à l’heure pile);

n après les ateliers, il y aura un petit contrôle “testez-vous” concernant le vocabulaire français acquis pendant l’atelier (10 mots au maximum) – le contrôle équivaut à la partici-pation au Record;

n tous les participants recevront un coupon rabais et un ga-dget qui confirme la participation au Record;

Après chaque atelier, sur la scène, il y aura des présentations concernant les techniques d’apprentissage:n enfants – (p.ex. techniques liées à l’orthographe et à l’ap-

prentissage des langues étrangères);n adultes – (p.ex. techniques de mémorisation de la liste d’a-

chats);n individuel – présentations d’autres techniques de mémori-

sation

Références à l’ambiance française de l’événementn Coopération, sous forme de partenariat et patronage, avec

l’Alliance Française de Łódź, le plus grand centre de la cul-ture française,

n Exploitation du potentiel de Manufaktura qui se présente comme le plus grand centre de commerce et de loisirs ay-ant des racines françaises,

n Participation des entreprises françaises sous forme de ra-bais sur leurs produits (coupons de réduction distribués aux participants à l’établissement du record),

Références à l’ambiance française de l’évènementn Mise en relief des symboles français pour promouvoir

l’évènement (p.ex. hôtesses en costume avec un élément français, dégustations pour encourager à la participation à cet évènement) ;

n Encadrement musical français

Ce que nous prenons en chargen Encadrement professionnel de l’évènement,n Encadrement organisationnel et logistique – surveillance

formelle sur le déroulement de l’établissement du record,n Distribution des logos de l’Alliance Française et des autres

partenaires participant à l’évènement sous forme de ma-tériel promotionnel.

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łODŹ n Sections régionales PROF-EUROPE

n Promotion de l’évènement :1. 5 annonces dans la presse – dans Gazeta Wyborcza,

Dziennik Łódzki, Express Ilustrowany, Echo Miasta, Metro;

2. mailing aux participants du projet « Postaw na Rozwój » (environ 400 personnes);

3. mailing ciblé (environ 10 000 destinataires);4. mailing direct (optatif) – invitation à l’évènement ad-

ressée à environ 15000 personnes;5. 50 affiches;6. patronage des médias – TVP Łódź, Radio Łódź, Radio

Parada, Radio Żak, sites : Edustacja.pl, Edu.info.pl, HRK.pl, Jobs.pl, Dziejesię.pl, Kariera.com;

7. informations sur les pages Internet gérées par le Bureau Académique de Parcours Professionnel.

Bilann Attirer l’attention des médias pour la formation continue

et l’établissement du recordn Inciter les habitants de Łódź à apprendre le françaisn Unir les efforts du plus grand établissement universitaire

de Łódź avec ceux du plus grand centre de la culture fran-çaise dans la région

Propositions de coopération n Aider à choisir et à inviter à la fête les Français habitant

dans la région de Łódź ainsi que d’autres personnes liées à la France pour les faire encourager à participer à l’évènement;

n Organiser la soirée consacrée aux films français;n Aider à choisir un encadrement musical français de

l’évènement;n Encadrement professionnel au niveau du choix du matériel

lexical pour les ateliers et les tests;n Diffuser les informations concernant l’évènement à l’aide

des moyens informatiques de L’Alliance Française;

n Proposer un prix dans le cadre de l’évènement comme p.ex. une réduction du prix du cours de français, un dic-tionnaire français etc.

http://www.youtube.com/watch?v=VzWTxPK_ApA

n DREPTAK – francuska ścieżkaVII edycja 2011

Inicjatorami i organizatorami instytucjonalnymi są: Alliance Française Łódź, Łódzkie Centrum Doskonalenia Nauczycieli i Kształcenia Praktycznego, PROF-EUROPE Oddział Łódź,

Inicjatorami i organizatorami sprawczymi są: Włodzimierz Glamaciński – PROF-EUROPE, AF Łódź, ŁCDNiKP, II LO.Katarzyna Agaciak-Kubiak – AF Łódź

DREPTAK – francuska ścieżka to projekt edukacyjny, którego celem jest kalejdoskop instytucji kulturalnych, na-ukowych, przemysłowych i handlowych wywodzących się z Francji z siedzibą w Łodzi oraz zapoznanie młodzieży szkolnej z charakterem prowadzonej przez owe instytucje działalności. Uczniowie łódzkich szkół, uczący się języka francuskiego dreptają „francuską ścieżkę”, która wyznaczona jest szlakiem owych instytucji i firm. Oczywiście, francuskie korzenie nie są warunkiem koniecznym, aby daną instytucję czy firmę wykluczyć z kalejdoskopu. Ponadto, nie jest warun-kiem koniecznym, aby w zawodach uczestniczyli uczniowie

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PROF-EUROPE 2011

79Sections régionales PROF-EUROPE n łODŹ

uczący się języka francuskiego. Drużyny mogą być jednolite bądź mieszane.

W projekcie biorą udział kilkuosobowe zespoły uczniów (3-5) z łódzkich szkół. Zespoły współzawodniczą ze sobą na czas w odnajdywaniu zakodowanych wskazówek doty-czących instytucji i firm. Następnie, po odszyfrowaniu za-pisanych po francusku informacji dreptają śladami danej instytucji lub firmy celem uzyskania szczegółowych danych o charakterze prowadzonej działalności. Po dodreptaniu do instytucji bądź do firmy i uzyskaniu wymaganych infor-macji uczniowie zapisują je po francusku na odpowiednich kartach (Pytania, jakie należy skierować do przedstawiciela danej instytucji ustalone są przez organizatorów i podane wcześniej uczestnikom). Dodatkowym elementem dreptania po Łodzi jest odnalezienie miejsca, w którym ukryci są or-ganizatorzy. Aby dodreptać do tego miejsca należy prze-tłumaczyć tekst ze szczegółowym opisem drogi zapisanym po francusku. Uczniowie, którzy w najkrótszym czasie przed-reptają wyznaczoną ścieżkę i dodreptają do ustalonego przez organizatorów miejsca i rozliczą się z zapisów dokonanych na kartach otrzymają nagrody. Im krótszy czas na dreptanie, tym nagroda cenniejsza. Dzięki sponsorom pierwszych 10 zespołów otrzymuje wartościowe elektroniczne urządzenia. Pozostali, a takie jest założenie organizatorów, również otrzy-mują upominki: kosmetyki, akcesoria sportowe, elementy garderoby, książki i słowniki. Innymi słowy, każdy uczestnik kończący dreptanie obdarowany jest przez organizatorów pełną reklamówką prezentów.

Jeden cykl DREPTAKA realizowany jest przez trzy lata. Założeniem organizatorów jest, aby w pierwszym roku da-nego cyklu uczestniczyli uczniowie z pierwszych klas. Drugi i trzeci rok realizacji, to kolejne DREPTAKI i nowe zadania do wydreptania.

Harmonogram DREPTAKA – francuska ścieżka – założeniaI rokDREPTAK – śladem firm i przedsiębiorstw usługowo-pro-dukcyjno-handlowych z rodowodem francuskim.II rokDREPTAK – śladem muzeów, galerii i wystaw – poznajemy Łódź kulturalną.III rokDREPTAK – śladem biur turystycznych – poszukiwania frankofońskich perełek cywilizacyjno-kulturowych.

Powyższe założenia oraz harmonogram mogą być realizo-wane w sposób wybiórczy, według indywidualnych potrzeb oraz możliwości wykonawczych. W Łodzi, trzyletnia realiza-cja projektu, nakłada się na realizację indywidualną uczestni-czących drużyn. I tak, corocznie drużyny z cyklu trzyletniego współzawodniczą z drużynami biorącymi udział okazjonal-nie, bądź z drużynami które zaczynają dreptanie po Łodzi.

Pierwszym indywidualnym zapotrzebowaniem było zor-ganizowanie DREPTAKA dla nauczycieli. Cel imprezy jest jeden, zdaniem organizatorów najważniejszy, „Integracja środowiska lokalnego romanistów”.

Drugim indywidualnym przedsięwzięciem będzie, jako że realizacja nastąpi na przełomie maja/czerwca 2011 roku, DREPTAK dla grupy młodzieży licealnej, która przyjedzie do Łodzi celem wydreptania ścieżek w mieście, którego nie zna-ją, a w którym zamierzają studiować.

Realizacja HARMONOGRAMU DreptakaI rokDREPTAK (1) – śladem firm i przedsiębiorstw usługowo-produkcyjno-handlowych z rodowodem francuskim dla lice-alistów i gimnazjalistów.DREPTAK (2) – śladem firm i przedsiębiorstw usługowo-produkcyjno-handlowych z rodowodem francuskim dla na-uczycieli.

II rokDREPTAK (3) – śladem firm i przedsiębiorstw usługowo-produkcyjno-handlowych z rodowodem francuskim dla lice-alistów i gimnazjalistów.DREPTAK (4)– śladem muzeów, galerii i wystaw – poznaje-my Łódź kulturalną dla licealistów i gimnazjalistów.DREPTAK (5)– śladem win, szampanów i serów – degustacja dla nauczycieli.

III rokDREPTAK (6) – śladem biur turystycznych – poszukiwania frankofońskich perełek cywilizacyjno-kulturowych dla lice-alistów i gimnazjalistów – wycieczka do Paryża.DREPTAK (7) – śladem biur turystycznych – poszukiwania frankofońskich perełek cywilizacyjno-kulturowych dla na-uczycieli.

Głównym sponsorem od 7 edycji jest: Hachette PolskaYves RocherAlliance Française Łódź

Sponsorzy wspierający nas w trakcie tych sześciu edycji to: IDES Consultants, Restauracja L’Ecru, Café Lawendowe Pola, Orange, Orsay, Camaïeu, Promod oraz wydawnictwa Clé In-ternational, Lektorklett, Nowela, PWN Wydawnictwa Szkol-ne, Młoda Łódź.

Corocznie honorowy patronat obejmują:Attaché ds. współpracy i akcji kulturalnych Ambasady Fran-cji Pan Marc BoudinKonsul honorowy Republiki Francji w Łodzi Pan Andrzej Ja-gielski

Dane liczboweW pierwszym roku realizacji DREPTAKA uczestniczyło 70 uczniów z gimnazjów i liceów. W br. szkolnym do rywalizacji przystąpiło 210 uczniów.

Corocznie w imprezie biorą udział również uczniowie, którzy nigdy nie uczyli się języka francuskiego, a ich udział w DREPTAKU przyczynił się do rozpoczęcia nauki języka francuskiego w szkołach językowych.

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łODŹ n Sections régionales PROF-EUROPE

Inicjatorami i organizatorami instytucjonalnymi są: Alliance Française Łódź, Łódzkie Centrum Doskonalenia Nauczycieli i Kształcenia Praktycznego, PROF-EUROPE Oddział Łódź,

Inicjatorami i organizatorami sprawczymi są: Włodzimierz Glamaciński – PROF-EUROPE, AF Łódź, ŁCDNiKP.Urszula Bendkowska – PROF-EUROPE, AF Łódź, XXXIV LOKatarzyna Karolczak-Barczyńska – PROF-EUROPE, G Nr 15,

Interkulturowe Konkursy Języków Romańskich to projekt interdyscyplinarny, którego celem jest ujednolicenie formy przeprowadzania konkursów języków romańskich w Łodzi. Skierowany jest do grupy nauczycieli uczących w jednej pla-cówce oświatowej dwóch języków romańskich. W projekcie uczestniczą również nauczyciele, którzy prowadzą zajęcia tylko z jednego języka docelowego – francuskiego/hiszpań-skiego/włoskiego.

Innowacyjny charakter konkursów opiera sie o dwa dzia-łania zmieniające klasyczną strukturę eliminacji w konkur-sach dla licealistów i gimnazjalistów oraz jedno działanie mające wpływ na charakter i założenia językowe konkursu dla szkół podstawowych. Każda z przedstawionych poniżej innowacji pozwala każdemu uczniowi, z każdego typu szkoły, w której realizowany jest nawet szczątkowy wymiar godzin języka docelowego, podejść do eliminacji i uplasować się na zadowalającej pozycji.

Innowacyja Nr 1 dla LO i Gim – jej działaniem jest doko-nanie podziału uczestników pod względem realizowanych godzin dydaktycznych w szkole.

Pierwsza grupa – SP1 lub G1 lub L1 – uczniowie, którzy mają zajęcia z francuskiego w wymiarze do dwóch godzin dy-daktycznych tygodniowo.

Druga grupa – SP2 lub G2 lub L2 – uczniowie, którzy maja zajęcia z francuskiego w wymiarze od 3 do 4 godzin dy-daktycznych tygodniowo.

Uczniowie, którzy czasowo przebywali w kraju francusko-języcznym lub których jedno z rodziców jest z pochodzenia francuskojęzyczne lub uczestniczą w zajęciach dodatkowych z języka docelowego muszą podchodzić do eliminacji w wyż-szej kategorii, pomimo realizacji mniejszej ilości godzin w szkole macierzystej.

n Interkulturowe Konkursy Języków RomańskichX Konkurs Języka Francuskiego dla szkół podstawowychX Konkurs Języka Francuskiego dla gimnazjówVII Konkurs Języka Francuskiego dla szkół ponadgimnazjalnych

Innowacyja Nr 2 dla LO i Gim – jej działaniem jest zastąpie-nie klasycznego podejścia do rozumienia ze słuchu. Dialogi, teksty wykorzystywane zazwyczaj w części rozumienia ze słu-chu wyparte zostały przez teksty piosenek. Każdy przystępu-jący do eliminacji uczeń zna wykonawcę oraz utwory, które następnie pojawią się w części rozumienia ze słuchu. Co rok w regulaminie konkursu pojawia się zapis o wykonawcy, o al-bumie z którego organizatorzy wybiorą utwór.

Innowacyja Nr 3 dla SP – jej działaniem jest ewaluacja czte-rech kompetencji językowych. Innowacyjnym działaniem jest wprowadzenie ograniczenia tematycznego. Uczniowie znają zakres tematyczny konkursu i jest to podstawa aby, w stopniu zadawalającym przygotować się do eliminacji konkursowych. W regulaminie organizatorzy podają dwa zagadnienia tema-tyczne (w roku szkolnym 2010/2011 zaproponowana tema-tyka dotyczyła: Météo oraz Vêtements) i wokół tych zagad-nień układane są zadania wykorzystane następnie w trakcie eliminacji pisemnych i ustnych przy zachowaniu klasycznego układu testu ewaluującego cztery kompetencje językowe.

Dodatkowym atutem konkursów są wyjazdy zagraniczne dla laureatów. Co rok, najlepsi uczniowie w każdej z kategorii, mają możliwość w czasie wakacji pojechać do Francji. Fina-liści, zaś, mają możliwość darmowego doskonalenia swoich umiejętności językowych na kursach specjalistycznych przez jeden semestr.

Głównym sponsorem wyjazdów edukacyjnych jest: Ambasada FrancjiAlliance Française Łódź

Włodzimierz GlamacińskiŁódź

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Méthodologie – Réflexion n Grażyna Sałaj 81

Na pozór Cyrano de Bergerac, Samuel Morse czy Mi-kołaj Kopernik mają ze sobą niewiele wspólnego. Dzielą ich epoki historyczne i dziedziny, którymi się

zajmowali. Wszyscy trzej funkcjonują w tematach o kulturze i cywilizacji, ale też każdy z nich był kiedyś uczniem, a dzisiaj, z perspektywy czasu reprezentują uczniów niezwykłych.

Anegdoty z zeszytów szkolnych opowiadają, że nauczy-ciel wybijał młodego Mikołaja z rozważań, mówiąc mu, że ciągłym patrzeniem w gwiazdy nie znajdzie rozwiązania za-dania. O Samuelu Morse krążą opowieści, jakoby swoim cią-głym stukaniem przeszkadzał kolegom. Kto mógł przewidzieć obecność w klasie astronoma rewolucjonisty czy prekursora telegrafii. Nie zawsze jest łatwo dostrzec nauczycielowi talent swoich uczniów.

1. Uczeń nietypowy – odkrywanie talentu.

Uczniowie wybitni, uczniowie niezwykli, uczniowie skrzyw-dzeni, niedocenieni, wielcy niewidzialni są i dzisiaj w naszych klasach. Pojawia się jednak pytanie czy zauważamy na czas te indywidualności? Czy dostrzegamy potrzeby zwykłych młodych ludzi, którzy nie wszyscy są genialni, ale z których każdy posiada jakieś uzdolnienia? Od nas, nauczycieli zależy czy staną się „Piękną” czy „Bestią”. Michael J. Gelb mówi, jak ważną rolę my, dydaktycy mamy do spełnienia:

Pomyśl przez chwilę o nauczycielach, którzy wywarli na ciebie największy i najtrwalszy wpływ. O tych, którzy po raz pierwszy ukazali ci istotę tego, co jest dziś ci drogie, albo wzbudzili w tobie dozgonną miłość do wykładanego przez siebie przedmiotu czy też przekonali do idei, które do dziś wyznajesz. Jeśli miałeś szczęście mieć w życiu takich znakomitych nauczycieli, znasz to uczucie ciepła, jakie wywołuje wspomnienie o nich. Oni to bowiem wska­zali ci ścieżkę rozwoju, dzięki której stałeś się tym, kim chciałeś.

Gelb (2002: 35)

Lekcja języka obcego stwarza sprzyjające warunki do od-szyfrowania talentu jednostki, daje bowiem możliwość kamu-flażu. Skecze, dialogi, pisane wiersze pozwalają ukrywającemu osobisty dramat uczniowi przybrać postać innej osoby i wy-zwalają w nim większą odwagę do wyrażenia uczuć i myśli.

Méthodologie – Réflexion

Madame mnie rozumie? Czyli o archetypach nietypowych uczniów na lekcji języka obcego

GRAŻYNA SAŁAJ n Instytut Francuski w Krakowie

Nauczyciel języka obcego może wykorzystać tę szansę, zrozu-mieć psychologiczne przyczyny jego zachowania i skupić się na jego uzdolnieniach. Tytułowa „Madame” Antoniego Li-bery jest przykładem jak w zadziornym nastolatku o począt-kowo ambiwalentnym stosunku do języka obcego odnaleźć to, co w nim najcenniejsze: ambicję i talent. Postać Madame jest jednym ze wzorców na konsekwentne realizowanie celów dydaktyczno-pedagogicznych. Ta nauczycielka cierpliwością, umiejętnością zachowania spokoju w trudnych, również dla niej, sytuacjach w klasie nastolatków osiąga sukces osobisty, którym jest sukces jej ucznia.

Według Dobsona wybitne zdolności nie objawiają się w sposób natychmiastowy. Żadne dziecko nie ma wypisanego na czole hasła „uwaga geniusz”.

Uczeń nietypowy to pojęcie o nieskończonej różności. Jak go dostrzec, jak go docenić, jak dać mu się rozwinąć, jak go nie skrzywdzić, jak być tym nauczycielem, którego będzie wspominał do końca swojego życia? Te pytania powinien so-bie zadawać każdy dobry dydaktyk.

2. Wybrane archetypy nietypowych uczniów

Cyrano de Bergerac jest archetypem ucznia upośledzonego brzydotą - ma olbrzymi nos, który uniemożliwia mu zdobycie serca ukochanej kuzynki Roksany. Jest waleczny i czupurny, świetnie włada szpadą, ma dar przywódcy. Jest doskonałym żołnierzem, patriotą, przyjacielem i byłby pewnie doskona-łym kochankiem, kochającym mężem, gdyby warunkiem sukcesu nie był wygląd. Cyrano posiada jeszcze jeden talent, ten największy, a mianowicie doskonale włada piórem, rymy „trzepie z rękawa”. Niestety zarówno jednostka jak i zbioro-wość pamiętały tylko o jego wielkim nosie.

J. Dobson nadaje wyglądowi tytuł złotej monety ludzkiej wartości. Od zarania dziejów piękno fizyczne daje miłość, sympatię i uznanie, a brzydota, wady zdrowotne czy fizyczne budzą nieufność i odrazę. Dla każdej mamy nowo narodzone dziecko jest cudem świata, bez względu na ułomności; nato-miast krewni, sąsiedzi i szkoła wymagają nieskazitelności.

W wieku dojrzewania wszyscy „brzydną”. Wpływają na to zmiany rozwojowe: gwałtowny wzrost, związany z tym ból fizyczny, u dziewcząt menstruacja, u chłopców mutacja, trądzik młodzieńczy. Françoise Dolto określa ten czas zjawi-

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Grażyna Sałaj n Méthodologie – Réflexion82

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skiem homara w czasie zrzucania skorupy. Według Dolto jest to najtrudniejszy okres człowieka w relacji z jego ciałem. Jest on wystawiony „nago”, już bez ochronnej muszelki dzieciń-stwa, a jeszcze nie ubrany w skorupę dojrzałego osobnika. W tym okresie oprócz fizycznych dolegliwości, cierpi również jego psyche. To czas zamętu i kwestionowania prawd do tej pory wypracowanych, czas tworzenia się tożsamości, zmien-nych emocji, wzrastającej niezależności, buntu przeciw ro-dzicom i szkole, czas konformizmu i przynależności do grup kolegów, którzy w mgnieniu oka stylem ubioru, żargonem, środkiem transportu np. motorem mogą „przyspieszyć” przy-branie nowej ochronnej skorupy. Jest to więc okres bardzo delikatny, bo w poszukiwaniu swojego „ja” w trybie ekspre-sowym, może przemienić „Piękną” w „Bestię”. Niestety czasa-mi, oprócz patologii zachowań społecznych, może prowadzić również do prób unicestwienia się, np. do samobójstwa.

Jak postępować z uczniem dotkniętym skazą fizyczną? Z pewnością nie tak jak pewna nauczycielka na lekcji języka obcego, która, aby wytłumaczyć przymiotniki mały i duży, posłużyła się żywymi modelami. Małego, niepozornego Da-wida wezwała przed tablicę obok siebie i ogłosiła: „MAŁY”, Dawid jest mały. Potem zrobiła to samo z wysoką, postawną dziewczynką, która już miała pseudonim „Żyrafa” i wyko-rzystując jej fizyczność, powiedziała: A Barbara jest „DUŻA”, bardzo duża. Efekt merytoryczny został z pewnością osią-gnięty. Wszyscy zapamiętali: klasa, bo miała się z czego śmiać, a „modele”, bo tego upokorzenia nie zapomną do koń-ca życia.

Drugą co do wartości miarą szlachetności i uznania spo-łeczeństwa jest wg J. Dobsona srebro, czyli inteligencja. Tę poznaje się wolniej, trzeba jednostkę poznać, dowiedzieć się o jej sukcesach, a to trwa w czasie. Inteligencja nie poraża jak piękno, czy brzydota od pierwszego spojrzenia. Wiedza o in-teligencji drugiego człowieka też wymaga inteligencji, trzeba uruchomić własny system talentów, aby wykryć ją u drugiego człowieka. Trzeba pytać, trzeba badać, trzeba samemu zacząć myśleć, aby ją odkryć u bliźniego.

Ala i As, z elementarza M. Falskiego to drugi archetyp nie-typowego ucznia, który może odbierać nauczycielowi wła-ściwe odczytanie talentu i zdolności ucznia. Ala to grzeczna i miła dziewczynka, której towarzyszy nieodłączny stróż, pies As. Nieodłącznymi stróżami dziecka w rzeczywistości są, a przynajmniej być powinni, jego rodzice. Co jednak dzieje się, kiedy z różnych przyczyn wsparcia rodziców zabraknie?

Niestety według J. Dobsona często rodzice domagają się doskonałego dziecka, które jest ich osobistym nabytkiem, a szkoła też jest niebezpiecznym miejscem dla dzieci, które mają kruche ego. Typowy proces nauczania jest nieświadomie tak zaprogramowany, że rozbija kawałek po kawałku poczucie własnej wartości, aż w końcu nie zostanie nic oprócz rozbitych skorup. Dobson (1993: 36)

W klasie gimnazjalistów, nastolatków i seniorów wprowa-dzałam tryb subjonctif. Jest to bardzo subtelny temat grama-tyczny, pozwalający mówić o uczuciach, wyrażać, jak sama nazwa wskazuje, subiektywny punkt widzenia. Jako nić prze-wodnią karty pracy wymyśliłam listy do psychologa. W wol-nej dyskusji spytałam po co nastolatki zwracają się do takiej

rubryki. W odpowiedzi usłyszałam: bo mają problemy! Za-proponowałam pracę w grupach i spisanie pięciu problemów, które je nurtują w tym wieku. W konfrontacji prac zespoło-wych najczęściej pojawiało się stwierdzenie: mam problem z rodzicami. Poprosiłam o rozwinięcie tematu i wytłumacze-nie, czym rodzice zawinili. Głos zabrała piętnastoletnia Ala. Rodzice powtarzają jej, że jest głupia, że czyta głupie książki i jeszcze, że nie dają jej pieniążków na „ciuchy”. Przyznam, że te wyznania mnie zaszokowały. W mojej percepcji, Ala to pasjonatka lektur, uwielbia literaturę fantastyczną i na każ-de zajęcia przynosi nową „cegłę”, którą czyta w każdej wolnej chwili. Spojrzałam na nią oczami rówieśników i zobaczyłam, że ten zalążek młodej kobiety, postawnej, wysokiej dziew-czyny nosi spódniczkę, którą pamiętam z czasów, kiedy była w grupie dziecięcej i miała osiem lat. Faktycznie wyglądała groteskowo w tym stroju „małolata”. Zrozumiałam dramat jej zagrożonego poczucia wartości. Niestety, w tym delikatnym okresie dojrzewania, rodzice zdradzili Alę.

Często rodzice projektują na swoją pociechę swoje niepo-wodzenia i rozczarowania. Chcą, aby ich pociecha nie powta-rzała tych samych błędów co oni i forsują do coraz intensyw-niejszej pracy. Powtarzane ciągle słowa : „musisz, musisz, to nie wystarczy” mogą doprowadzić bądź do załamania nerwo-wego, depresji, bądź też do ukrywania nieumiejętności usa-tysfakcjonowania rodziców pod płaszczykiem błazeństwa.

Innym błędem rodziców jest obsypywanie dzieci pre-zentami, spełnianie każdej najmniejszej zachcianki jako re-kompensata za swoje błędy i niespełnione marzenia. Dla tych uczniów wszystko jest proste i łatwe, więc często zachowują się krnąbrnie i swawolnie oraz bywają bezczelni.

Nauczyciel nie powinien dopuszczać do powodzenia aspołecznych zachowań, powinien natomiast podkreślać status nastolatka, pozwalać na wyrażanie jego myśli i uczuć. Czasem te małe i dorastające dzieci są po prostu zmęczone lekcją wychowania fizycznego lub przeuczone i wyczerpane po trudnym sprawdzianie albo dwóch i trzeba to uszanować.

Françoise Dolto twierdziła, że niemowlę jest już osobą. Kiedy dzieci dorastają, rośnie ich świadomość, są jeszcze bardziej wrażliwe na smutki, żałobę i stres, nie należy o tym zapominać. Należy wyrazić współczucie, zrozumienie i po-cieszenie. Ali z elementarza, As został przypisany nie bez przyczyny. Wsparcie rodziny, nauczyciela to nienamacalna, ale jakże ważna ochrona dla tych homarków bez skorupki.

Trzecim archetypem nietypowych zachowań jest Rafik z Tunezji. Jest to historia pewnego nastoletniego emigran-ta Rafika, który wraz z rodziną przeprowadził się do Fran-cji z Tunezji. Na pierwszych zajęciach z języka francuskiego otrzymał ocenę niedostateczną. Zadaniem był „list do Świę-tego”. Chłopak nic nie napisał. Tunezyjczyk jest frankofo-nem i zna język francuski, więc nauczycielka pomyślała, że to przejaw krnąbrności z jego strony. Nie wpadła na pomysł, że może chodzić o wyznanie muzułmańskie i o kompletną niewiedzę w kwestii rytuałów chrześcijańskich. Chłopak był ambitny, więc postanowił dowiedzieć się o przyczyny swo-jego niepowodzenia. Koledzy opowiedzieli mu o Père Noël. Określili też konieczne do spełnienia warunki: posiadać ko-minek, upiec i zjeść indyka i napisać list do świętego z prośbą

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o podarki. Rafik wymusił na ojcu nabycie drewnianej atrapy kominka i zakup indyka. Po pokonaniu tej przeszkody, Rafik zamówił w liście podarunek dla każdego członka rodziny: dla mamy pralkę, dla taty samochód, dla sióstr lalki Barbie, a dla siebie rower. Wszystkie warunki zostały spełnione, chłopak zasnął z głową pełną marzeń. Wielkie było jego rozczarowa-nie, kiedy rano odkrył list tam, gdzie go zostawił i ani śladu prezentów. Razem z kolegami, których prośby również nie zostały spełnione obmyślili plan zadośćuczynienia. Uzbro-ili się w kamienie i kije i poszli zemścić się na niesłownym świętym. Oczywiście pierwszym „Mikołajem” był aktor do-rabiający na emeryturze w supermarkecie w stroju krasnala. Dzieci wyładowały swoją złość za poniesiony zawód, kalecząc go okrutnie. One same znalazły się na komisariacie, w izbie dziecka. Przykład ten ilustruje jak po raz kolejny z dobrej jed-nostki, z bajkowego archetypu „Pięknej” można zrobić chuli-gana, czyli „Bestię” i jak ważną rolę odgrywa w tym procesie szkoła i mądrość nauczyciela, a kwestia wychowania religij-nego może okazać się przyczyną nieporozumień.

Na terenie Polski działa kilkaset wspólnot religijnych, re-prezentujących niemal wszystkie religie współczesnego świa-ta. W Instytucie Francuskim, zwłaszcza w dziecięcych i mło-dzieżowych grupach, coraz częściej pojawiają się zagraniczni uczniowie, notabene Białorusini, Ukraińcy, Japończycy, Ko-reańczycy, Brytyjczycy, Włosi czy Niemcy. Reprezentują oni ortodoksów, buddystów, ewangelików. W gronie katolików z Włoch, czy z Francji jest też wiele różnic w świętowaniu Wielkanocy czy Bożego Narodzenia. Jest to więc doskonały panel do kreowania globalnej wioski, do uczenia i porówny-wania różnic, a nauczyciel nie może pozwolić sobie na propo-nowanie stereotypów większości polskiej czy katolickiej, ale uwzględniać i szanować tradycje gości oraz wykorzystywać tę różnorodność do nauki o kulturze i cywilizacji.

Być nauczycielem neofilologicznym zobowiązuje. Nie wystarczy już talent dydaktyczno-metodyczny. Dzień dzisiej-szy rzuca nowe wyzwania, jak sędzia w trybunale, nauczyciel w klasie musi być bezstronny w kwestiach etniczno-wyzna-niowych, inaczej ryzykuje przeoczeniem genialnego ucznia, o którym marzy.

Spełnienie tych cech poprawia poczucie wartości, leczy umysł i ducha i umożliwia skupienie się na merytorycznej treści zajęć.

Nauczyciel nie powinien też popadać w skrajności i po-zbawiać wszelkich przeciwności. Trudność dostosowana do posiadanej wiedzy działa dopingująco. Te świeże, łaknące wiedzy mózgi lubią wyzwania, lubią konkurować, byleby tyl-ko jej ogrom nie działał druzgocąco.

Innym punktem refleksji jest ewaluacja. Oczywiście sys-tem ocen jest konieczny, niemniej każdemu może podwinąć się noga. Należy więc pamiętać o dawaniu drugiej szansy. Oceny mogą działać deprymująco.

W celu poznania rozkładu sił, wyłuskania leaderów kla-sowych i rozpoznaniu tych najmniej popularnych dzieci, Dobson proponuje socjogramy: np. z kim chciałbyś siedzieć w ławce? Takie dane pozwalają od razu działać nauczycielowi nad wyrównaniem sił i szans tych najsłabiej ocenianych przez społeczność klasową.

3. Jak być nietypowym nauczycielem? – wykorzystanie myślenia znanych geniuszy w organizowaniu lekcji języka obcego.

Wiedza nauczyciela o uczniach musi być ogromna. Każdy wykładowca powinien być geniuszem, w obcowaniu ze zróż-nicowaniem wychowanków w klasie, a przecież każdy z nich jest tylko człowiekiem, więc ma prawo do pomyłek. M.J Gelb stworzył dziesięcioosobowy dream team geniuszy, z których każdy może wnieść swój sposób myślenia w dzisiejszą dydak-tykę i pokazać drogę, którą można poprowadzić nietypowego ucznia.

Można myśleć jak Platon. Filozof uważał, że najważniejszą wiedzę uczeń nosi sam w sobie, a rolą nauczyciela nie jest wpajanie mu wiedzy, której w nim ni-gdy nie było, ale za pomocą sokratejskiej metody zadawania pytań, doprowadzać do formułowania definicji i skłaniać do samodzielnego myślenia. Nauczyciel nie powinien więc nalegać na rozwój inte-

ligencji na przykład matematycznej ucznia, której tenże nie posiada, ale utrwalać i rozszerzać tę, w której uczeń jest naj-zdolniejszy, np. humanistyczną.

Brunelleschi, renesansowy architekt, twórca pionierskiej jak na swoje czasy katedry we Florencji uczy trzymania się wizji tego, co pragniemy osiągnąć, wia-ry we własne siły, dążenia do celu mimo przeciwności, poszerzania horyzontów oraz nieschematycznego myślenia i do-stosowywania go do rozwiązywania pro-blemów. Jako dewizę przyjął myśl We-rgiliusza: Zwyciężą ci, którzy wierzą w zwycięstwo. Ucząc, dydaktycy sami powinni się dokształcać i jak mistrz wierzyć w sukces własnych poczynań.

Kolumb zachowywał niepo-prawny optymizm w najbardziej karkołomnych pomysłach. Nie bał się zmian i nowych kontaktów. Pra-cował według ściśle opracowanego planu oraz jasno i przejrzyście prze-kazywał innym swoje pomysły. Po-dróżnik uczy, aby korzystać z wiedzy praktycznej przy rozwijaniu nowych

idei. Lekcje w plenerze, wyjścia do teatru, kina czy na wystawę łatwiej utrwalą przerabiany temat niż szkolny schemat: ławka, książka, zeszyt i tablica. Ważna jest też topografia klasy, prze-mieszczanie mebli czy nieoczekiwana zmiana miejsc.

Dzieło Kopernika zmusiło do głębo-kiej rewizji obowiązujących poglądów najpotężniejszych jemu współcze-snych. Nie ma prawd wiecznych. Dy-daktyka relatywizuje się ze względu na postęp, inne myślenie, globalizację. Trzeba wiec wystrzegać się skostnie-nia i zamknięcia w starzejących się

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schematach dydaktyczno-metodycznych, należy uaktualniać konspekty i karty pracy. Kopernik zachęca do korzystania z nowych technologii. Jego geniusz rozwija się przez ćwicze-nie pamięci oraz jak Kolumb lubi i akceptuje zmiany.

Elżbieta I, królowa Anglii, miała cia-ło kobiety i serce króla. To archetyp po-staci właściwie korzystający z obu płci. Jej siła polega na łączeniu pierwiastków żeńskich i męskich. Była konsekwentna w realizacji celów, wręcz bezwzględna i autorytatywna. Jednocześnie potrafiła słuchać innych, rozumieć motywy ich działania. Jej geniusz może uczyć na-uczycieli jak cierpliwie czekać na właści-

wy moment, jak zachować spokój w trudnych sytuacjach, jak nie dać zbić się z tropu, jak być cierpliwym, jak codziennie uczyć się czegoś nowego.

Istotą geniuszu Szekspira była niespotykana umiejętność zrozumie-nia ludzkich przeżyć. Było to zasługą inteligencji intra- i interpersonalnej, czyli lepszego poznania siebie. Rze­telnym bądź sam względem siebie, jak i innych. Gelb (2002: 23) Dla dydak-tyków płynie z tego lekcja empatii. Sukces pochodzi ze współdziałania z innymi, z pracy w ze-społach dydaktycznych jak i ze współdziałania z uczniami. Elżbietański bard był mistrzem słowa, bawmy się więc języ-kiem, który wykładamy, szukajmy jak on nowych rozwiązań. No i teatr jest wskazówką do wymyślania coraz to nowych scenariuszy, do układania scenek i dialogów.

Prezydent Stanów Zjednoczo-nych Thomas Jefferson, autor pro-jektu Deklaracji Niepodległości, opiewał wolność we wszystkich jej aspektach. Uważał, że wyzwo-lić się wewnętrznie można przez edukację. Ustanowił pionierskie prawo odnośnie wolności wyzna-

nia. Jefferson uczy doceniać i wspierać wolność intelektualną, jednocześnie poucza, że wolność oznacza również wspólną odpowiedzialność, nauczycieli i uczniów.

Karol Darwin, autor dzieła „O po-wstawaniu gatunków” napisał też książkę „O wyrazie uczuć u człowieka i zwierząt”, w której udowodnił, że mimika świadczy o stanach emocjonalnych, tym samym wprowadził pojęcie mowy ciała. Darwin uczy jak obserwować i jak być cierpli-wym. Zaleca pracę metodyczną, porząd-kowanie, systematyzowanie i dokumen-towanie tworzonego dzieła. Obserwując uczucia u zwierząt i u człowieka, stworzył podstawy psycholo-gii fizjonomicznej, tak cennej dla dydaktyka w klasie.

Można myśleć jak Mahatma Gandhi. Jego wielkość to przeprowadzenie rewolucji politycznej bez użycia przemo-cy. Ten geniusz duchowny mówił w co wierzył i postępował

jak mówił. Z jego przesłania wynika niestosowanie przemocy, przebacza-nie tym, którzy nas obrażają lub de-nerwują oraz czerpanie przyjemności ze służenia innym. Nauczanie jest po-sługą, wiadomo, a chińskie przeklęcie brzmi „Obyś cudze dzieci uczył”, pra-ca nauczyciela nie jest usłana różami. Myślenie Gandhiego, może pomóc

w odreagowaniu na nieprzyjemne i niewdzięczne aspekty tego zawodu.

Albert Einstein był nietypowym uczniem par excellence. Jego geniusz skupił wszystkie nietypowe zachowa-nia ucznia. Einstein symbolizuje mą-drość, wyobraźnię i pacyfizm, uczy marzyć, co dla kreatywności dydakty-ka jest bardzo ważne. Tworzyć, kom-binować, stawiać hipotezy opóźnia, albo wręcz zapobiega wypaleniu za-wodowemu. Każde zajęcia są jak nowa zabawa. Einstein proponuje patrzeć na problem jak dziecko, z jego prostotą i celowością skojarzeń. Jego myślenie może być bardzo pomocne w sporządzaniu kart pracy, w urozmaicaniu zajęć ludycznymi grami i zada-niami. Według Einsteina wyobraźnia i gra kombinatoryczna to zapewnienie sukcesu w rozwiązaniu problemu.

Wyżej wymieniona dziesiątka wielkich myślicieli, filozo-fów, odkrywców, polityków jest przysłowiową kroplą w morzu tak, jak pojęcie nietypowy uczeń jest tematem rzeką. Można by znaleźć tyle archetypów ilu uczniów w klasie. Każdy z nich jest inny, każdy ma swój świat, swoje talenty, swoje marzenia, których odkrycie bywa zakłócane często obiektywnymi, ze-wnętrznymi czynnikami. Jak sprostać wymaganiom uczniów, jak stanąć na wysokości ich różnorakości, ich uzdolnień, ich geniuszu? Z pewnością trzeba obserwować i badać stosun-ki emocjonalne w klasie. Tym sposobem każdy uczeń może być specjalistą w konkretnej dziedzinie, jego autorytet rośnie i wpływa na uznanie kolegów. Kiedy osiągamy sukces, oto-czenie zapomina o naszych ułomnościach, w ogóle ich nie dostrzega, a jednostka ma poczucie swojej wartości. Temat nietypowego ucznia jest konstantą, niezmiennie trwa wśród elementów zmiennych. Nie należy ograniczać go do jednego spotkania, jednej dyskusji wymaga regularnego odświeżania i wymiany poglądów i doświadczeń. Szekspir przypomina o pracy w zespole, a mądrość ludowa powiada: „Co dwie gło-wy, to nie jedna”.

Bibliografia:Dobson, J. 1993. Jak budować poczucie własnej wartości w swoim dziecku? Lublin: Wydawnictwo PojednanieGelb, M. J. 2002. Myśleć jak geniusz. Poznań: Dom Wydaw-niczy REBIS

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Le rôle prépondérant dans la formation des habitudes et des goûts littéraires appartient majoritairement à la famille et à l’école. Il est juste toutefois de souligner

une telle formation n’est pas simple. Elle se situe toujours sur un double axe : à partir de « donner un exemple personnel, fournir de bonnes lectures, proposer leur approche intéres-sante » et, si la réussite est au rendez-vous, les jeunes (élèves, étudiants) vont « suivre cet exemple » ; jusqu’à une situation contraire – en dépit de toute la bonne volonté et des efforts de la famille et de bonnes méthodologies mises en place par les enseignants, les apprenants vont « s’opposer à l’exemple », passeront outre et choisiront d’autres activités.

Il importe de mettre en relief les traits indéniables de la littérature en langue maternelle qui en font une composante importante de l’éducation. La littérature est un élément du patrimoine artistique (national, mondial) au même titre que les arts plastiques (peinture, graphique, sculpture) ou la mu-sique. Elle est profondément enracinée dans la culture et l’art du pays, de la région, de l’époque ; ses formes et ses thèmes sont liés aux conditions du temps de la création ainsi qu’à la tradition. Même indépendamment de l’intention consciente de l’auteur, l’oeuvre littéraire transmet la vision du monde, réflète les modes de penser, les intérêts et les besoins de son temps. Elle est représentative et constitutive des identités in-dividuelles et collectives.

Il est toutefois indispensable de veiller à ce que la litté-rature, une des composantes du patrimoine, ne devienne un monument intouchable qu’il faut admirer et vénérer. Tout au contraire, elle est un phénomène vivant, évoluant au quoti-dien et elle entre en relation avec d’autres aspects de la cul-ture, de l’éducation et de la formation des jeunes.

Par l’intermédiare de toutes ces caractéristiques, la connais-sance et l’étude de la littérature permettent d’acquérir des com-pétences culturelles (et interculturelles), analytiques (déchiffrer, déceler les sens et significations), linguistiques (enrichir le vo-cabulaire, s’exprimer, expliquer, argumenter) et psychologiques (construire son système de valeurs, le défendre ou modifier).

Enfin, bien qu’il ait fallu mettre cette caractéristique plus en valeur, la littérature s’exprime toujours en une langue – simple, complexe ou avec d’autres caractéristiques – et dans un style. De cette manière, lire des textes littéraires et étu-dier la littérature en général équivaut à connaître et interro-ger les représentations du monde et les attitudes humaines ainsi qu’à prendre connaissance des usages de la langue et de ses moyens. Les deux connaissances s’enchaînent de manière stricte et indissoluble, puisque la langue est porteuse de litté-rature, comme la littérature est véhiculée par la langue.

Il est nécessaire de souligner que tous les arguments cités relèvent des sciences de l’éducation, ils sont compréhensibles

La littérature dans le processus d’éducation

EWA KALINOWSKA n Université de Varsovie

pour les enseignants et peuvent convaincre ceux qui n’assi-gnaient pas, jusqu’à un certain moment, une place importante à la littérature dans la pratique scolaire. Mais ces mêmes argu-ments ne le sont pas forcément pour les élèves ; ainsi, est-il in-dispensable de mettre en oeuvre des propositions, activités et exercices qui inciteront les jeunes à prendre goût à la lecture et leur permettront de devenir des lecteurs actifs. Il est par ailleurs intéressant de constater que c’est justement le lecteur qui se trouve au centre de l’intérêt des chercheurs, contraire-ment aux époques plus éloignées, centrées sur l’auteur et les conditions de la création (par exemple, au XIXe siècle – les travaux de Sainte-Beuve, ou bien au tournant du XIXe et du XXe siècles, ceux de Gustave Lanson) et sur le texte, perçu comme un ensemble autonome (différentes approches au XXe, surtout le structuralisme).

Selon les principes de la pédagogie moderne (ainsi qu’en accord avec le bon sens) l’éducation des jeunes générations de-

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Ewa Kalinowska n Méthodologie – Réflexion

vrait consister non seulement à leur transmettre des connais-sances « techniques » et à inculquer les valeurs du moment. Il s’agit avant tout d’indiquer des voies, d’inciter à l’autonomie et à l’indépendance d’esprit. Il y va de doter les jeunes appre-nants d’outils géneraux de compréhension et d’interprétation : objectiver ce qui est lu, confronter avec les acquis précédents, explorer les implicites ; bref, former à s’approprier des habile-tés cognitives. La sensibilisation à la multiplicité de méthodes possibles est tout aussi utile, pour l’enseignant et pour les élèves. Enseigner la lecture littéraire présente le plus haut intérêt. Ce type de lecture exige un effort, la concentration et la prise de distance, des habitudes et mécanismes qui seront applicables à d’autres types de textes, non nécessairement artistiques. Si les textes littéraires étudiés en classe sont stimulants par leur complexité (proposer de tels textes est une preuve d’estima-tion des capacités des élèves, il s’agit de « déjouer le piège de la transparence et de l’évidence »1) et la démarche intelligente de l’enseignant médiateur, les élèves acquérront à la fois des connaissances et ressentiront des émotions accompagnant le contact avec la littérature. Pour que cette médiation ensei-gnante soit la plus efficace possible, il sera utile de prendre en compte les principes de la psychologie cognitive. Celle-ci permettra de mettre l’accent sur la motivation et fera évoluer les pratiques de classe existantes.

Il importe ainsi d’unir de manière féconde les connais-sances (savoirs factuels) sans oublier l’appareil d’analyse et de critique – afin que les jeunes les étudient sciemment (pour se les approprier, ou les rejeter), et disposent des savoir-faire qui leur serviront à partager les expériences, à percevoir et s’approprier l’importance de l’histoire et de la tradition. Si les jeunes arrivent à acquérir une attitude critique2, connaître l’histoire et la tradition n’aboutira nullement à la sacralisa-

1. A. Rouxel, Enseigner la lecture littéraire, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 1996, p.20.2. « Ce n’est pas le nombre ni la nature des oeuvres lues qui fera la qualité exclusive des contenus de la culture littéraire, mais la nature des

questions que l’on est capable de poser à ces oeuvres », in : Raoul Pantanella, « Que sait-on quand on est cultivé ? », Cahiers pédagogiques 313, avril 1993, p. 22.

3. A. Rouxel, Enseigner la lecture littéraire..., op.cit., pp.17/18.

tion de ces savoirs ; tout au contraire, le processus mènera à rendre évidente l’évolution des savoirs humains et éveiller le respect pour le travail et les efforts de tous les prédéces-seurs. « Qu’il s’agisse de la lecture des classiques ou celle des contemporains, toutes deux proposent des savoirs et donnent accès à cette mémoire culturelle dont sont faits les textes »3. En sa qualité de témoignage historique et artistique unique, la littérature mérite pleinement d’avoir sa place d’honneur dans l’éducation.

Il est nécessaire de se rendre compte des enjeux de l’entre-prise que constitue l’insertion durable de la littérature dans l’éducation. Une telle manière de procéder est un investisse-ment à long terme et ses conséquences bénéfiques ne seront pas sensibles d’un jour à l’autre. Vouloir insister sur les ré-sultats et l’utilité immédiats, ce serait vicier tout le proces-sus. Ceci ne veut naturellement pas dire qu’il n’y ait aucune utilité pratique se manifestant au cours de la réalisation du programme littéraire-éducatif.

La littérature et l’éducation sont des disciplines par excel-lence humaines (par analogie aux sciences humaines, ce qui laisserait à supposer qu’il en existe d’autres qui sont « inhu-maines ») et « inexactes » (en opposition aux sciences exactes). Il n’est donc guère possible d’imposer des opinions inébran-lables, moins encore des certitudes – formelles, thématiques, esthétiques ou éthiques. La littérature incite à réfléchir sans porter des jugements expéditifs, à explorer les représenta-tions du monde, à multiplier des points de vue, à s’interroger constamment sur soi-même et sur les autres. Tous ces atouts et bénéfices ne sont pas toujours perceptibles ou convain-cants pour les jeunes ; aussi faut-il parfois commencer par des bases – prendre l’habitude de lecture et exercer la com-

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préhension écrite. L’enjeu le plus difficile reste de convaincre les esprits exactes, prosaïques et quelque peu caustiques qui ont certainement l’impression (voire la certitude) que la lit-térature n’est que floue, vague et fantaisiste ; il faut leur faire voir qu’une telle connaissance est également valable et peut servir de manière très concrète à des moments différents de la vie humaine.

Toutes ces remarques concernent tout aussi bien la litté-rature de la langue maternelle que celle de la langue étran-gère ; le lien entre l’attitude envers les deux littératures n’est pas univoque, mais il est indubitable. D’un côté, les habitudes enracinées de lecture en langue maternelle influencent les apprenants, et leur motivation de lire des oeuvres littéraires en langue étrangère en devient plus forte. De l’autre, il n’est pas à exclure que le goût de lecture, inexistant en langue ma-ternelle faute de réflexes acquis en famille et à l’âge précoce, puisse être inculqué par un bon enseignant de langue et être re-transmis vers la langue maternelle.

Manières et méthodes d’aborder la littérature en classe

Si les principes théoriques de notre temps – les XXe et XXIe siècles – prônent l’admission définitive et durable de la littéra-ture dans l’éducation, il n’en était pas toujours ainsi, le système éducatif français n’a admis que très tardivement la lecture et l’étude des textes littéraires nationaux dans les programmes. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’enseignement littéraire se fai-sait uniquement en latin, les textes étudiés étaient des oeuvres religieuses ou celles des auteurs antiques, choisies en fonction de leur « corrélation » avec le christianisme. Les premiers ma-nuels recommendant l’insertion des oeuvres de langue fran-çaise dans l’éducation datent de la moitié et de la fin du Siècle des Lumières4. L’admission systématique et définitive, sous forme de la lecture des oeuvres choisies et de l’explication de textes, n’a eu lieu que sous la Troisième République, à la suite des réformes de Jules Ferry en 1880. Le but majeur d’une telle démarche était une formation morale et civique.

La pratique scolaire actuelle est très complexe : les buts de l’étude de la littérature ont changé, comme a changé le monde actuel, centré sur l’audiovisuel. Elle s’avère souvent probléma-tique et passe par des étapes très difficiles. Les enseignants ne se sentent pas toujours préparés à l’exploitation didactique peu conventionnelle de la littérature, se tiennent aux exercices imposés officiellement et s’arrêtent le plus fréquemment à l’approche « sacro-sainte » des oeuvres de la littérature natio-nale en se limitant aux ouvrages imposés par les programmes officiels. Le « crime » pédagogique souvent commis est celui de parler directement des valeurs et traits caractéristiques du texte littéraire, ceux-ci étant déjà indiqués sans donner aux

élèves la possibilités de découverte autonome. Pour le consta-ter, il suffit de lire la plupart des consignes injonctives et di-rectes accompagnant les textes littéraires dans des manuels scolaires : « Montrez en quoi cet extrait peut faire penser à un conte », « Justifiez, en vous appuyant sur le texte, le rappro-chement entre Louisine et la Normandie »5. La langue utilisée dans les manuels pêche par son caractère artificiel et exagé-rement technique ; il y est question de « séquences, progres-sions, libellés », les élèves doivent « prendre connaissance, décortiquer, agencer, hiérarchiser, problématiser, ancrer leurs opinions dans le texte ». De telles formulations ne font que décourager ; par surcroît, elles laissent croire qu’il n’existe qu’une seule signification du texte étudié et tout ce que les élèves/étudiants peuvent faire est de la retrouver. Les jeunes ne peuvent que se révolter (ne serait-ce qu’intérieurement) et vouloir oublier tout ce qu’ils auraient été censés mémori-ser de cette manière. Il serait donc nécessaire de mettre en pratique une formation plurielle des enseignants, préparés à transmettre à leurs élèves aussi bien les connaissances que le « virus » de lecture. Les enseignants devraient être conscients qu’il n’y a pas, dans le domaine de la didactique littéraire, de parcours modèle et suffisamment flexibles pour adapter leurs cours selon le public et ses besoins particuliers.

Il serait souhaitable que l’approche intelligente permette de transmettre en classe l’essentiel d’informations concernant l’histoire littéraire, les personnalités et oeuvres les plus mar-quantes ainsi qu’elle donne lieu à la formation d’une attitude bienveillante et critique des jeunes lecteurs. Il est d’impor-tance de proposer des méthodes d’aborder la littérature qui inciteraient aux lectures personnelles en dehors d’ouvrages inscrits au programme, qui, en même temps, proposeraient l’approche intelligente de ces derniers. La situation est ur-gente : dans le monde contemporain, dominé par l’image, les gens, surtout jeunes, lisent de moins en moins. Certains ne lisent pas du tout, se limitant, dans le meilleur des cas, aux

4. Cours de belles­lettres de l’abbé Batteux (1747) et Lycée ou Cours de littérature ancienne et moderne de La Harpe (1799).5. Le chapitre « La lecture scolaire », A. Rouxel, Enseigner la lecture littéraire..., op.cit., p. 52.

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Ewa Kalinowska n Méthodologie – Réflexion

résumés ou bien aux adaptations cinématographiques. Les jeunes ont besoin d’être rassurés et encouragés à poursuivre des démarches personnelles et individuelles, de ne pas craindre la littérature. Cette entreprise, longue et difficile, est pourtant possible dès le plus jeune âge et dès le premier niveau de l’édu-cation : il est parfaitement imaginable de faire lire les élèves de l’école primaire et, sinon lire, au moins éveiller l’intérêt pour le monde de la littérature dès la maternelle6.

Pour que cela devienne possible, il est nécessaire de dé-sacraliser la littérature : de faire l’aimer sans la vénérer in-conditionnellement, de l’apprécier sans « s’agenouiller » de manière irréfléchie devant tout texte littéraire appartenant à la « grande littérature ». Certes, il est important d’indiquer nécessairement la place de la création littéraire en tant qu’une des parties constitutives fondamentales du patrimoine et son rôle de témoignage culturel. Mais ce qui compte au même de-gré, c’est de mettre fortement en relief le rôle qu’elle peut avoir dans la vie quotidienne – pour rompre avec l’idée de la littéra-ture-monument et, la psychologie aidant, mettre en lumière son rôle pratique. La littérature peut servir de moyen de com-munication ; elle constitue souvent un sujet de conversations – que les goûts littéraires des interlocuteurs soient pareils ou opposés. La littérature satisfait le réel besoin d’apprendre ; elle est capable de contribuer à l’épanouissement et devenir « une culture littéraire vivante, personnelle, non pas simple avoir mais constitutive de l’être »7.

Pertinence didactique des textes littéraires

Il est vrai que la littérature ne saurait être réduite à ses compo-santes linguistiques, elle est bien plus qu’une simple somme de signes de langue. Son essence esthétique, sans laquelle il

n’y aurait pas de distinction entre les textes fonctionnels et littéraires, est indispensable et constitutive. Néanmoins, la lit-térature est en même temps une émanation de la langue et de la culture au sein desquelles elle naît et encore, il s’agit d’une émanation exceptionnelle, riche du point de vue du lexique, du style et des thèmes.

L’exploitation des textes littéraires satisfait toutes les exi-gences que formule la didactique des langues étrangères – elle offre des supports riches et représentatifs pour la langue-cible et la culture véhiculée ; pour cette raison la littérature semble prédestinée à occuper une place durable en classe du FLE. Les textes littéraires peuvent se prêter à la réalisation de plusieurs objectifs, leur pertinence didactique ne saurait être sous-es-timée.

Il sera utile de rappeler les traits inhérents – constructifs, sémantiques et formels – qui distinguent les oeuvres littéraires parmi les autres types de textes, en en faisant un matériel hautement fructueux pour l’enseignement de langues. Plu-sieurs de ces caractéristiques reprennent les aspects évoqués auparavant, lors de la présentation du rôle et de la place de la littérature au sein de la culture maternelle8.n Les textes littéraires contiennent un matériel authentique

– linguistique et culturel ; ils représentent des exemples d’emploi de la langue et, par là-même, de la construction d’un monde fictionnel. Ils fournissent aussi maintes infor-mations civilisationnelles spécifiques et importantes.

n Ils réflètent une réalité subjective, perçue du point de vue individuel, ce qui est important pour le nombre et la va-riété des expressions. Pour les époques reculées, c’est la seule possibilité de connaître les modes de penser, de sen-tir de nos prédécesseurs.

6. Pour les exemples concrets et pratiques, voir le chapitre « Revenons à nos moutons ou Peut-on enseigner la littérature ? », in : Ch. Poslaniec, Vous avez dit “littérature”?, Paris, Hachette, 2002, pp. 173-206.

7. V. Houdart, « Promenade à travers l’histoire d’un concept », Cahiers pédagogiques 313, avril 1993, p. 20.8. A. Kozłowski, Literatura piękna w nauczaniu języków obcych, Warszawa, WSiP, 1991, chap. 2: „Literatura piękna jako materiał nauczania”,

pp. 34-50 et sous-chap. 3.1. : „Dydaktyka literatury ojczystej i literaturoznawstwo jako podstawy dydaktyki literatury w aspekcie nauczania języka obcego”, pp. 51-60.

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89Méthodologie – Réflexion n Ewa Kalinowska

n Les textes littéraires en langue étrangère donnent des pos-sibilités inépuisables pour faire des comparaisons enri-chissantes avec la littérature natale.

n Ils présentent le lexique dans un contexte large et une diversité de situations ce qui permet aux apprenants de se familiariser avec la langue étrangère de différents re-gistres. A un niveau plus avancé il sera possible de chercher et soumettre aux élèves / étudiants des textes présentant non seulement une variété de registres et de tons, mais également des régionalismes : cette possibilité est particu-lièrement prometteuse pour le français, vu la richesse lin-guistique régionale de la France et la présence de la langue sur tous les continents.

n Les textes littéraires contiennent une variété des motifs, des problèmes et des histoires qui peuvent être analysés, intérpretés et appréciés (soit dépréciés). De nombreux personnages apparaissant dans des œuvres littéraires sont décrits, caractérisés et jugés. Cela permet d’élaborer des portraits des personnages, de prononcer leur critique, le jugement de leur comportement ou bien de formuler des comparaisons. Cette diversité des aspects et des thé-matiques abordées présente le plus souvent un caractère « ouvert » ce qui exige de l’apprenant de prendre une atti-tude vis-à-vis d’un problème donné ainsi que de construire des énoncés en langue étrangère. Ce phénomène permet d’exercer et de perfectionner la compétence communica-tive puisque la lecture d’un texte littéraire suscite souvent des émotions, ce qui influence le besoin de partager ses opinions, points de vue et impressions avec d’autres. Les élèves développent la motivation à travailler en groupes, en tandems et sont encouragés à prendre part à la com-munication.

n Les textes littéraires se caractérisent par leur capacité de contribuer au développement et perfectionnement de toutes les quatre compétences linguistiques : la compré-hension orale et écrite, l’expression orale et écrite. « Dans les activités de classe, l’attention sera focalisée sur les opé-rations langagières de construction du monde du texte. C’est de cette façon que l’apprenant développera des com-pétences en compréhension et en production de textes en langue étrangère »9.

n Les textes servent de base pour développer les compétences réceptives. Cela revient à affirmer qu’ils permettent surtout l’exercice de la compréhension écrite et, bien sou-vent, de la compréhension orale. Il n’est pas obligatoire (ni même nécessaire) d’expliquer à fond et immédiatement le lexique, il suffit de formuler des hypothèses sémantiques. L’explication d’un vocabulaire nouveau et de nouvelles structures peut perturber la perception d’une œuvre litté-raire en tant qu’une unité linguistique et logique. Elle peut s’effectuer à une étape ultérieure de l’étude de l’oeuvre, au moment où sera travaillée la compréhension détaillée.

n Les textes constituent une impulsion pour construire des énoncés. Ils vont servir alors au développement de compétences productives : le parler (expression orale) et l’écriture (expression écrite). Le texte littéraire est discuté, interprété et analysé en ce qui concerne le contenu ainsi que la langue. Les élèves apprennent à réfléchir et à formu-ler leurs réflexions en langue étrangère. Ils sont motivés à exprimer leurs opinions, les justifier et défendre ainsi qu’à ne pas craindre de confronter quelques interprétations du même texte. La pluralité interprétative n’aboutit nul-lement au laxisme puisqu’elle déclenche l’inventivité des apprenants et mobilise toutes leurs compétences : ils sont obligés de construire leurs hypothèses en les formulant de manière claire.

L’exploitation de la littérature dans la didactique des langues étrangères devrait prendre en considération tous ces aspects. Il est néanmoins nécessaire de mettre en garde contre des extrêmes possibles : d’un côté, se pose le danger lié à la concentration pragmatique excessive sur les éléments linguistiques (grammaticaux, lexicaux, etc.) du texte littéraire au détriment des valeurs artistiques et culturelles ; de l’autre, l’approche esthétique, tournée vers la beauté de l’oeuvre, est perçue avant tout comme un moyen de briser la monotonie du cours de langue, centrée habituellement sur le manuel. Les deux sont à éviter, il serait raisonnable de chercher une troisième voie qui pourrait joindre les points positifs des deux approches. Les activités en classe se focaliseraient sur les contenus linguistiques ainsi que sur l’indication de certains phénomènes artistiques et historiques. L’essentiel serait de sensibiliser les élèves à la possibilité et l’utilité de formuler des opinions personnelles à propos de la littérature : le caractère personnel et individuel de celles-ci, tout maladroite que puisse être leur expression, est d’une importance capitale. L’exploitation didactique de la littérature devient de cette manière un élément d’une stratégie éducative complexe qui se

9. M.-C. Albert, M. Souchon, Les textes littéraires en classe, Paris, Hachette, 2000, p. 82.

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Ewa Kalinowska n Méthodologie – Réflexion

pose comme objectif l’autonomisation de l’apprenant, son épanouissement intellectuel et psychologique.

Un aspect supplémentaire devrait encore être mis en pra-tique pour que le texte littéraire en langue étrangère soit com-pris et, dans une perspective plus éloignée, approprié. La réalité socio-culturelle présentée dans l’oeuvre lue et analysée devrait être au moins partiellement connue aux apprenants. Si cette condition n’est pas satisfaite, ne serait-ce qu’au degré mini-mal, il peut s’avérer que les apprenants ne sont pas capables d’entrevoir toutes les connotations esthétiques et culturelles de l’oeuvre artistique. C’est un élément extralinguistique tout aussi important dans le processus de la perception. Les textes litté-raires constituent une aide pour franchir des barrières cultu-relles ainsi qu’ils nous aident à nous débarasser de nos préjugés concernant d’autres nations. Grâce aux textes littéraires, les ap-prenants peuvent mieux connaître la culture, la vie sociale, les modes de vie, l’histoire, la géographie et les coutumes du pays de la langue-cible.

Cependant l’idée d’exploiter systématiquement la littérature dans le cadre de l’enseignement / apprentissage des langues étrangères n’est pas acceptée à l’unanimité. Elle rencontre même des adversaires. Selon eux, les élèves ne sont pas intéressés par la littérature qui les ennuie ; les textes paraissent trop abstraits et la problématique soit archaïque, soit à l’opposé des intérêts quotidiens. Du point de vue linguistique les textes littéraires semblent trop difficiles, par conséquent les élèves ne les comprennent guère et ne sont pas non plus inclins à travailler plus pour venir à bout de ces difficultés. En plus, selon ces détracteurs, la littérature ne faciliterait pas la communication en classe – les apprenants ne seraient pas capables, pour des raisons psychologiques (blocage) et linguistiques (manque de compétences) de prendre la parole pour se prononcer sur la littérature, et ne donnerait pas la possibilité d’introduire des exercices lexicaux ou gramaticaux de manière efficace. Le problème majeur, évoqué d’ailleurs le plus souvent en premier lieu, est celui du manque du temps : les programmes scolaires ne permettent pas aux enseignants de lire et d’étudier la littérature en langue étrangère pendant le nombre limité de leçons hebdomadaires. L’habitude de travailler uniquement avec une méthode FLE – un manuel de langue, accompagné d’un cahier d’exercices, d’un guide pédagogique et des corrigés, facilite la réalisation des leçons et n’incite pas les enseignants à consacrer un effort un temps supplémentaires – nécessaires à l’élaboration des activités et exercices.

Il n’est pas question de rejeter en bloc et « sans autre forme de procès » tous ces arguments, néanmoins constituent-ils une raison suffisante pour renoncer à l’exploitation des textes litté-raires originaux du processus de l’enseignement des langues ? Toutes les caractéristiques de la littérature qui ont été présentées et approfondies font pencher la balance du côté des partisans de l’emploi de la littérature en tant que matériel didactique dans l’enseignement des langues étrangères. Cet emploi ne se réa-lise pas toujours sans quelques problèmes ; néanmoins l’effort et le temps consacrés à la recherche et la sélection des textes ou d’autres supports littéraires ainsi qu’à l’élaboration des activités donnent des résultats positifs, tellement positifs qu’aucun effort ne saurait être considéré comme perdu ou excessif.

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PROF-EUROPE 2011

91Méthodologie – Réflexion n Aneta Porczyk-Fromowitz

Explorer le Web prend souvent beaucoup de temps. Compte tenu que la sitographie est un outil d’aide, celle proposée ci-dessous constitue une énumération de sites Internet, une courte liste de contenus ou de ressources utiles aux profes-sionnels ainsi qu’aux étudiants en méthodologie du FLE. La webographie vous aidera à réaliser vos productions dans une classe de langue. Parmi les grands classiques, vous trouverez également des portails créés par des passionnés de l’ensei-gnement du Français Langue Étrangère. Afin de construire

La sitographie et les ressources pédagogiques

ANETA PORCZYK-FROMOWITZ n Varsovie

un cours original, puisez parmi les ressources prévues pour l’enseignement du français langue maternelle et consultez les liens utiles. En envisageant la révision du matériel, feuilletez et proposez à vos élèves des exercices interactifs si nombreux sur le Web. Des imagiers prêts à télécharger et à imprimer sont avantageux dans une situation où vous êtes à court d’idées. Des pages ayant rapport à l’autoformation sont égale-ment diffusées et mises en ligne sur Internet.

Bon surf à toutes et à tous!

Pour partager des expériences et des ressources pédagogiques:n le site de la Fédération internationale des professeurs de français : http://fipf.info/n le site coopératif du FLE : http://www.edufle.netn le site d’accompagnement des enseignants et intervenants chargés des langues vivantes à l’école primaire :

http://www.primlangues.education.fr/php/index.phpn le site didactique : http://www.franc-parler.org/n le site de l’Association des Chercheurs et Enseignants Didacticiens des Langues Étrangères : http://acedle.org/n le site de l’Association des professeurs de langues vivantes : http://www.aplv-languesmodernes.org/n la malette pédagogique (idées de leçons pour tous niveaux) :

http://www.institut-francais.org.uk/pages/malette_pedagogique/3_lecon.htmn des ressources pour enseigner : http://www.cndp.fr/n le site de ressources pour les professeurs de Français Langue Étrangère : http://www.cavilamenligne.com/n les bibliographies de référence : http://www.ciep.fr/bibliographie/index.phpn les blogs de profs : http://lewebpedagogique.com/

Pour découvrir la problématique de l’enseignement du français langue précoce:n http://www.edufle.net/L-enseignement-precoce-des-languesn l’étude et les conclusions sur l’apprentissage précoce des langues :

http://ec.europa.eu/education/languages/archive/key/foreign_fr.htmln la bibliographie sur l’enseignement précoce des langues vivantes :

http://www.ciep.fr/bibliographie/bibliographie-enseignement-precoce-des-langues-vivantes.pdfn utiliser les albums en classe de FLE : http://www.aplv-languesmodernes.org/spip.php?article1613n les ressources documentaires sur l’enseignement précoce des langues (bibliographies) :

http://www.ciep.fr/bibliographie/enslangues_precoce.phpn la liste de sites pour l’enseignement du FLE au primaire :

http://w3.u-grenoble3.fr/espace_pedagogique/fle-primaire.htmn les bibliographies sur le développement de l’enfant (en polonais) :

http://www.pbw.kielce.pl/nowe_zestawienia/dokument167.pdfn la webographie de la méthodologie, d’activités et de contes :

http://fle-sitographie.pagesperso-orange.fr/precoce.htm n la sitographie du FLE enfants : http://www.cavi.univ-paris3.fr/fle/SITESWEB/fle_enfants.htmn le journal interactif de la maternelle et de l’élémentaire : http://www.lecoleaujourdhui.com

Pour approfondir ses connaissance sur le bilinguisme et l’enseignement bilingue:n le premier portail d’information et de conseils sur le bilinguisme : http://www.enfantsbilingues.com/n le site des sections bilingues francophones dans le monde : http://lefildubilingue.org/

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PROF-EUROPE 2011

Aneta Porczyk Formowitz n Méthodologie – Réflexion

Pour chercher les idées d’activités pour la classe :n l’annuaire du français langue étrangère : http://www.lepointdufle.net/n enseigner avec la radio, écouter le journal en français facile, dossiers pour la classe, fiches pédagogiques : http://www.rfi.fr/n les dictées en ligne sonores : http://www.ladictee.fr/n l’annuaire des sites pour les enfants et les ados: jeux, loisirs, activités, aide aux devoirs : http://www.kidadoweb.com/n des fiches pédagogiques pour enseigner le FLE et les images pour les cours de français : http://apprendre.over-blog.fr/n le site pour apprendre le français en chansons (pour les enfants de 6 à 9 ans) : http://www.jeuchanteenclasse.com/n le site de Rémi, le chanteur des tout petits : http://www.comptinesetjeuxdedoigts.com/n le portail d’information sur les pâtisseries et confiseries des régions de France : http://sucreries.free.fr/n des jeux de lettres interactifs : http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/lf/p-9489-Jeux-de-lettres-interactifs.htmn des coloriages éducatifs : http://www.educol.net/n des activités manuelles et bricolage pour enfants : http://www.teteamodeler.com/n les virelangues : n http://www.tv5.org/TV5Site/publication/publi-39-Les_virelangues.htm n http://french.about.com/cs/francophonie/a/tonguetwisters.htm n http://membres.multimania.fr/dragon8/virelangues.html n http://www.uebersetzung.at/twister/fr.htm n http://phonetique.free.fr/indexvir.htm n http://www3.unileon.es/dp/dfm/flenet/phon/jeux/virelangues.html n http://www.youtube.com/watch?v=23B6KFZnMsQ

Pour apprendre à prononcer - sites de phonétique :n l’introduction au système phonologique français : http://www.hku.hk/french/starters/fonetik/intro.htm n des présentations sonores des voyelles orales, des voyelles nasales, des semi voyelles et des consonnes :

http://www.clase-frances.com.ar/sons.php n les présentations sonores de l’alphabet français et de l’alphabet phonétique international, des exercices de discrimination

et des jeux, possibilité d’utiliser ce site en autoformation : http://phonetique.free.fr n les pages pour les professeurs de français - possibilité de télécharger les symboles de l’Alphabet Phonétique International et

des flashcards (format A4), scénarios pédagogiques des exercices, des jeux de mots : http://phonetique.free.fr/mdeprof.htm

n apprendre, prononcer et comprendre les nombres en français : http://www.clase-frances.com.ar/nombres.phpn la phonétique en images : http://www.imagiers.net/www-imagiers/phonetique/

Des documents à télécharger ou à imprimer :n des imagiers, des gestes français, des exercices de vocabulaire, des flashcards /cartes à imprimer/, des quiz en version

vidéo, audio ou papier : http://www.imagiers.net/ n le dictionnaire visuel : http://www.infovisual.info/index_fr.htmln des idées d’activités pour la classe (vocabulaire, grammaire, TBI) : http://www.estudiodefrances.com/n des fiches interactives : http://www.le-precepteur.net/

BON SURF !Coordonnées : Aneta Porczyk Fromowitz

Al. Wilanowska 95/26, 02-765 Varsovie, Pologne [email protected]

tel. +48 601.34.20.77

Le Bulletin PROF-EUROPE a besoin de vos contributions !

Ses contenus ne dépendent que de vous !

[email protected]

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PROF-EUROPE 2011

93Expériences / Projets n wakacyjny staż z Comeniusa

Vichy to średniej wielkości miasto w Owernii, które kojarzy się nie tylko z kolaboracyjnym rządem Francji marszałka Petaina czy kosmetykami produkowanymi na bazie wody mającej swoje źródła w miasteczku, ale również, zwłaszcza nam romanistom, ze szkołą CAVILAM, która organizu-je renomowane szkolenia językowo-metodyczne.

Wiedziona dobrą opinią szkoły w Vichy, postanowiłam skorzystać z możliwości jakie daje program Mobilności Comeniusa i pojechałam na początku lipca do Francji na wybrany przeze mnie kurs.

Mój staż miał formę warsztatów, prowadzonych na zmianę przez 3 osoby:n Isabelle Barrière , wieloletnią administratorkę strony http://www.edu-

fle.net/ , która reprezentuje CAVILAM w projekcie Babelweb (http://www.babel-web.eu ),

n Thomasa Sorina, pomysłodawcę i realizatora idei uczenia i naucza-nia z TV5 (polecam zajrzeć na stronę http://www.apprendre.tv , gdzie znajdziecie jego ćwiczenia)

n i Bhushan Thapliyala, asystenta ds. multimediów w CAVILAM.

Szkolenie « Internet en classe de français » obejmowało trzy bloki tematyczne: n analiza stron internetowych pod kątem możliwości ich wykorzystania

przez ucznia i nauczyciela języka francuskiego,n tworzenie blogu na potrzeby uczenia się/ nauczania języka francuskiego,n nauczanie języka francuskiego z wykorzystaniem tablicy interaktywnej.

Z perspektywy czasu mogę stwierdzić, że najbardziej przydały mi się ćwiczenia z pierwszego bloku. Wykorzystując kilka ciekawych stron, moż-na opracować scenariusz lekcji na każdy temat, który zainteresuje ucznia ze względu na swoją aktualną treść i formę zadań do wykonania z zasto-sowaniem kilku stron z Internetu. Przykłady takich scenariuszy można przeczytać na stronie http://www.francparler.org w zakładce « parcours pédagogiques ».

Zajęcia odbywały się pięć dni w tygodniu. Po południu i w weekendy można więc było zwiedzić miasto i jego okolicę, samodzielnie lub korzy-stając z propozycji wycieczek krajoznawczych organizowanych dla słu-chaczy szkoły. Mi udało się poznać w Vichy miejsca związane z drugą wojną światową i źródłami (Vichy cieszy się mianem uzdrowiska!). Pole-cam również wyjazd do “francuskiej Częstochowy”, czyli do Puy-en-Velay, gdzie znajduje się figura Matki Boskiej Czarnej Madonny.

Zainteresowanych programem Mobilności Comeniusa odsyłam na stronę http://comenius.org.pl/

O bogatej ofercie szkoleniowej CAVILAM można przekonać się wcho-dząc na stronę http://www.cavilam.com/

Zuzanna Kopeć II LO im. księżnej Anny z Sapiehów Jabłonowskiej w Białymstoku

1. Zajęcia w pracowniach komputerowych. Po prawej – koleżanka z Rosji – Maria, w głębi – prowadzący

zajęcia – T. Sorin.

2. Zabytkowe skrzydło budynku głównego CAVILAM.

3. Źródło wody mineralnej „Célestins”.

Expériences / Projets

Wakacyjny staż Comeniusa « Internet en classe de français »Vichy, 5-16 lipiec 2010

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PROF-EUROPE 2011

Deux types de conférences sur la chanson francophone n Activités pratiques

1. Conférence à Zielona Góra le 6 juin 2011

Chers Collègues et Amis de PROF-EUROPE, j’ai eu l’occasion pendant cette année universitaire à la Philologie Romane de l’Université de Zie-lona Góra d’animer deux types de conférences sur la chanson franco-phone : « Les villes dans la chanson francophone » (en français) et „Le phénomène du slam en France et sa dimension interculturelle” (en po-lonais).

À propos des « Villes dans la chanson francophone », j’ai eu l’oppor-tunité d’intervenir en français pendant les Journées Internationales de la Francophonie à Wrocław (1 fois), puis à Zielona Góra (2 fois). À chaque fois, j’ai présenté des chansons différentes.

Voici les résumés de ces rencontres :

1. « Les villes dans la chanson francophone », lundi 28 mars 2011, 16 h., Alliance Française de Wrocław.PLAN : Durée : 1 heure. Public : niveau intermédiaire et avancé. Déroulement :a) Exposé préliminaire de 30 minutes : définition de la chanson, les

noms de villes et les gentilés en France et dans le monde, Il est 5 heures Paris s’éveille – Jacques Dutronc (1968), Le pianiste de Varsovie – Gilbert Bécaud (1964), Une dernière semaine à New York – Patricia Kaas (1990), Bruxelles – Jacques Brel (1962), Sur la route de Dakar – William Baldé (2008), La danse à Saint­Dilon – Gilles Vigneault (1959), Les valses de Vienne – François Feldman (1989), Tien An Men – Calogero (2002), Courchevel – Florent Marchet (2010), London, Glasgow, Dublin - Romane Serda (2007).

b) Concours devinette de 15 minutes (8 titres et noms d’interprètes à deviner ; distribution de « Points Francophonie », prix pour le va-inqueur : DVD-ROM de la conférence). Solutions : Claude François - Alexandrie, Alexandra (1977). Ginette Reno - Paris Québec (1985). Kamini - Marly­Gomont (2006). Renaud & Axelle Red - Manhattan Kaboul (2001). Carole Federicks, Jean-Jacques Goldman, Michael Jo-nes - Né en 17 à Leidenstadt (1990). Joe Dassin - Le café des 3 colom­bes (Nancy)(1976). Marie-Paule Belle - La Parisienne (1976). Grand Corps Malade - Saint­Denis (2006).

c) Finale : Danser à Rome – Renaud (2006).

2. « Les villes dans la chanson francophone », mercredi 30 mars 2011, 10 h 45, Université de Zielona Góra.PLAN : Durée : 1 heure. Public : niveau intermédiaire et avancé.

Activités pratiques

« Deux types de conférences sur la chanson francophone en 2010-2011 »

par Richard SORBET, Chargé de Cours, IFR-UZG [email protected]

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PROF-EUROPE 2011

95Activités pratiques n Deux types de conférences sur la chanson francophone

Déroulement :a) Exposé préliminaire de 30 minutes : les noms de villes et

les gentilés en France et dans le monde, Belle-Île-en-mer – Laurent Voulzy (1986), Les remparts de Varsovie – Ja-cques Brel (1977), Paris – Marc Lavoine & Souad Mas-si (1995), Dimanche à Bamako – Mamadou & Mariam (2004), Il pleut sur Bruxelles – Dalida (1981) (Hommage à Jacques Brel ; photos & paroles), Paris Québec – Ginette Reno (1985) (Diapos Paris & Québec), Rio de Janvier – Gold (1988), Sur le pont d’Avignon – traditionnel (Clip TV).

b) Concours devinette de 20 minutes (8 titres et noms d’interprètes à deviner ; distribution de « Points Fran-cophonie », prix pour le vainqueur : les DVD-ROM de la conférence). Solutions : IAM - Je viens de Marseille (1991). Barbara - Nantes (1964). Jacques Brel - Amster-dam (1964). Véronique Sanson - Vancouver (1981). Dany Brillant - Viens à Saint-Germain (1991). Jacqueline Du-lac - Ceux de Varsovie (1966). Julien Clerc - Place Clichy (2005). Patachou - Un gamin de Paris (1951).

c) Finale : Auteuil, Neuilly, Passy – Les Inconnus (1990).

3. « Les villes dans la chanson francophone ». Approche pédagogique, jeudi 1er avril 2011, 14 h 30, Université de Zie-lona Góra.PLAN : Durée : 1 heure. Public : Professeurs de français. Déroulement :a) Exposé préliminaire de 30 minutes : les noms de villes et

les gentilés en France et dans le monde, Sous les ponts de Paris – Accordéon, Sen o Warszawie – Czesław Niemen (1966) (mp3 + pochette disque « À Varsovie » + infos + paroles FR-PL), Toulouse – Claude Nougaro (1967) (Dia-pos & 2 photos de C.N.), La Marseillaise – Michel Sardou (1976) (paroles FR & 1 drapeau + photo M.S.), Aux armes et caetera – Serge Gainsbourg (1979) (Clip TV) , Göttin-gen – Barbara (1965) (Clip TV, S-T-ES), Marly-Gomont – Kamini (2006) (Vidéo-clip), Monopolis – France Gall (1979) (Clip TV), Un clair de lune à Maubeuge – Pierre Perrin (1962) (Clip TV + interprétation yéyé de Claude François).

b) Concours devinette de 20 minutes (8 titres et noms d’interprètes à deviner ; distribution de « Points Franco-phonie », prix pour le vainqueur : les DVD-ROM de la conférence). Solutions Luis Mariano - Mexico (1951). Jacqueline François - Mademoiselle de Paris (Orch. Vla-dimir Cosma)(1953). Robert Charlebois - Je reviendrai à Montréal (1976). Tina Arena - Je m’appelle Bagdad (2005). Joe Dassin - Il faut naître à Monaco (1975). Michèle Torr - Le pont de Courthézon (1980). Vincent Delerm - De-auville sans Trintignant (2002). La Compagnie Créole - Bons baisers de Fort de France (1984).

c) Finale : Les feux de Paris – Jean Ferrat (1994) (mp3 + paroles + photos J.F. & Aragon).

À propos du „Phénomène du slam en France et sa di-mension interculturelle”, j’ai eu l’opportunité d’intervenir en polonais pendant la 6ème Conférence Néophilologique de l’Université de Zielona Góra ayant pour titre : « Interactions liguistiques et culturelles », le lundi 6 juin 2011.PLAN : Durée : 20 minutes. Public : Étudiants des philolo-

gies romane, anglaise, polonaise, et du Département des Beaux-Arts de l’UZG.

Déroulement :a) Le slam : définition, origine. Le slam en France.b) Exemple de slam : Grand Corps Malade « Roméo kiffe Ju-

liette », visionnement du clip vidéo. Biographie de Grand Corps malade. Aspect interculturel du slam « Roméo kiffe Juliette », référence à la pièce de théâtre de William Sha-kespeare « Roméo et Juliette », transposition à l’époque contemporaine dans les cités en France, registres de lan-gue français standard-central / français des banlieues, to-lérance religieuse.

c) Concours Slam 2011 TV5. Liens sur le slam.

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n Français dans les autres langues

0. INTRODUCTION

L’année dernière à l’occasion de l’inauguration de notre ru-brique, c’est-à-dire : Le français dans les autres langues, nous avons parlé des Séries carnées en anglais. Cette fois nous vous proposons un sujet tout à fait différent. Il s’agira des mots fra-nçais qui ont comme origines des mots propres, et plus préci-sément des noms d’illustres Français.

I. ANTONOMASE

Comme il est communément su, toutes les langues vivantes à tout bout de champ forgent de nouveaux mots. Ces forma-tions sont une preuve, d’un côté de l’ingéniosité de l’être hu-main qui par conséquence est propice à désigner de nouveaux objets, phénomènes, ou nuances langagières, et d’autre part, tout simplement de l’évolution d’une langue. Les innovations dans le système lexical peuvent avoir lieu, entre autres, grâce aux métaphores, aux dérivations ou aux emprunts etc. Parmi tous ces procédés, un cas bien particulier, est celui de l’an­tonomase qui d’après le TLF (Trésor de la Langue Française) signifie :

Figure qui consiste à remplacer, en vue d’une expression plus spécifiante ou plus suggestive, un nom propre par un nom commun (le Sauveur pour Jésus­Christ) ou un nom commun par un nom propre (un Tartuffe pour un hypocrite). [Date de consultation : 23.V.2011]

Dans le travail que nous vous présentons, nous allons par-ler justement de certains éponymes français qui sont devenus, grâce à l’antonomase, des mots communs et qui, après cela, ont été empruntés par d’autres langues européennes : l’alle­mand (all), l’anglais (ang), l’espagnol (esp), le polonais (pl), et le portugais (pt).

Français dans les autres langues

Les mots français dans les autres langues : L’antonomase et les français célèbres dans quelques langues européennes

Piotr SORBET, PROF-EUROPE Lublin

Université Marie-Curie-Skłodowska de Lublin [email protected]

II. EN CLASSE DE FLE

En classe de FLE, nous pensons que les noms communs qui, à l’origine étaient des noms propres provenant de personnages célèbres français, peuvent nous servir à l’introduction de cer-tains éléments qui portent sur l’histoire, les coutumes ou en un mot : la culture de l’Hexagone. Évidemment, nous pouvons aussi les traiter, tout simplement, comme de curieuses anec-dotes qui nous permettrons d’enrichir nos leçons pendant les cours de la langue française. Parfois, ils pourront nous servir comme des éléments déclencheurs pour des débats ou des expositions faites par les élèves, voire les étudiants.

Il faut aussi souligner que cet héritage lexical présent dans les autres langues européennes prouve l’importance et l’enra-cinement des éléments français dans l’ensemble des langues indo-européennes. En plus, nous nous permettons de rajo-uter à chaque vocable certains mots-clés qui nous aideront à placer les termes dans des unités didactiques. Bien entendu, les informations que nous vous fournissons peuvent être en-core fortement complétées.

III. LES FRANÇAIS CÉLèBRES

n (Alphabet) braille. Ce système d’écriture sans lequel la vie des personnes qui souffrent de diverses anomalies de la vue, dont la cécité étant la plus grave, deviendrait encore plus dur. Cette invention doit son nom à Louis Braille (1809-1852) qui à cause d’un terrible accident durant son enfance devint aveu-gle. Aujourd’hui cet alphabet dans le monde entier permet aux personnes malvoyantes d’acquérir une autonomie mini-male. [pl. : (alfabet) Braille’a ; all. : Brailleschrift ; ang. : Braille (sys­tem) ; esp. : braille ; port. : braile / Braille]MOTS CLÉS : les handicapés dans la société ; la santé ; les types d’alphabets et d’écritures .

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97Français dans les autres langues n

n Chauvinisme. Ce mot a sûrement des connotations, disons assez négatives. Il est toujours exagéré, et doit être sans doute à éviter dans chaque situation. Néanmoins, il faut savoir que ce terme doit son nom à Ni-colas Chauvin, admirateur et patriote exces-sif de Napoléon pendant le Premier Empire Français. Le terme changea de sens au cours du XXème siècle après que certains mouve-ments féministes l’utilisèrent pour désigner certains éléments du système patriarcal de la société.[pl. : szowinizm, szowinista ; all. : Chauvini­smus ; ang. : chauvinism, chauvinist ; esp. : chovinismo, chovinista ; port. : chauvinismo, chauvinista] MOTS CLÉS : le patriotisme ; l’égalité des sexes.

n Clémentine. Le fruit du clémentinier, à la différence de la mandarine qui a des pépins, doit son nom au Frère Clément. Il vécut pendant la deuxième moitié du XIXème siècle. Il s’occupa à Misserghin, en Algérie d’un jardin auprès d’un orphelinat, où, selon certains historiens, il découvrit, en croisant l’orange avec la mandarine, la clémentine. [pl. : klementynka ; all. : Clementine ; ang. : clementine ; esp. : clementina ; port. : clementina]MOTS CLÉS : les fruits et légumes ; les missionnaires frança-is ; l’Afrique francophone.

n Daguérreotype. Selon certains scientifiques l’histoire de la photographie moderne commença en 1839 quand Louis Jacques Daguerre découvrit la technique permettant d’afficher une image d’une manière plus efficace et permanente que les procédés connus antérieurement. Cette technique consiste à reproduire l’image sur une surface métallique et non pas sur des surfaces qui étaient propices à la perte rapide de la photo à cause de l’exposition au soleil.[pl.: dagerotyp, dagerotypia ; all. : Daguerreotypie ; ang. : dagu­erreotype ; esp. : daguerrotipo, daguerrotipia ; port. : daguerre­ótipo, daguerreotipia]MOTS CLÉS : (l’histoire de) la photographie ; les arts.

n Guillotine. Joseph Guillotin (1738-1814) était à la fois médecin et homme politique français. Ce n’est pas lui qui a inventé la guillotine, mais c’est lui qu’il l’a propagée en raison de l’abrègement des souffrances des condamnés. [pl. : gilotyna, (z)gilotynować ; all. : Guillotine ; ang. : guilloti­ne, to guillotine ; esp. : guillotina, guillotinar ; port. : guilhotina, guilhotinar] MOTS CLÉS : la peine de mort, la Révolution Française.

n Harpagon. C’était le personnage principal de l’œuvre de Molière l’Avare pour lequel le bonheur équivalait aux biens matériels possédés. Ce protagoniste devint le symbole de l’a-varice extrême qui néglige la félicité de ses proches. [pl. : harpagon ; port. : harpagão]

MOTS CLÉS : Molière ; avarice ; l’argent face au bonheur, de-scription du caractère.

n Madeleine. Madeleine Paulmier fut la servante de la Ma-rquise Perrotin de Baumont, qui inventa les gâteaux prévus pour Stanisław Leszczyński (Les Français écrivent : Stanislas Leszczynski), duc de Lorraine. Par antonomase, ces gâteaux ont pris le nom de son inventrice. [pl. : magdalenka; all. : Madeleine ; ang. : madeleine ; esp. : magdalena ; port. : madalena]MOTS CLÉS : l’alimentation ; les relations franco-polonaises.

n Mansarde. Une mansarde suivant la définition proposée par le Petit Robert est soit un comble brisé à quatre pans, soit une chambre aménagée dans un comble brisé, et dont un mur est en pente. Le nom de ce terme est dû à l’architecte français François Mansart (1598-1666). On peut dire que cet élément architectonique est présent aujourd’hui un peu partout. [pl. : mansarda ; ang. : mansard (roof), ; all. : Mansarddach ; esp. : mansarda ; port. : mansarda;]MOTS CLÉS : l’architecture ; la description de la maison.

n Nicotine. Jean Nicot naquit à Nîmes en 1559. Il devint am-bassadeur de France à Lisbonne où, dans les jardins de l’am-bassade, il planta quelques graines de tabac qu’il avait reçues auparavant d’un marchand. Il devint la personne qui propa-gea cette plante. Deux siècles plus tard un naturaliste suédois nomma ce genre de plante du nom de Nicotiana, et c’est pour cela qu’aujourd’hui nous parlons de la nicotine, mot qui fut emprunté par d’innombrables langues du monde entier. [pl.: nikotyna ; ang.: nicotine ; all.: Nikotin ; esp.: nicotina ; port.: nicotina;] MOTS CLÉS : les drogues, les dépendances, la loi antitabac.

n Pasteurisation. Le grand chimiste et biologiste français, Louis Pasteur (1822-1895) inventa le procédé qui consiste à changer la température des aliments pour pouvoir les conse-rver plus longtemps. Cette invention, sans doute, révolutionna

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PROF-EUROPE 2011

pour toujours la production des aliments que nous consom-mons tous les jours tels que : le lait, le vin, la bière, la confitu-re, la viande ou la charcuterie.[pl. : pasteryzacja, pasteryzować ; all. : Pasteurisation, pa­steurisieren ; ang. : pasteurization, to pasteurize ; esp. : pa­steurización / pasterización, pasteurizar / pasterizar ; port. : pasteurização, pasteurizar ;]MOTS CLÉS : les aliments ; les vins français.

n Poubelle. Et oui ! Le nom de cet objet si utile de nos jours provient du préfet de Paris Eugène Poubelle qui, dans la deuxième moitié du XIXème siècle, régla la question du ra-massage des immondices en disposant, çà et là, des récipients prévus pour cela. Il est aussi à retenir qu’il essaya d’imposer le tri sélectif, malheureusement à son époque sans succès ! Il est vrai que ce mot ne se retrouve pas dans les autres langues, mais à notre avis, cette anecdote est très intéressante.

MOTS CLÉS : la protection de l’environnement ; vocabu-laire de la maison.

n Silhouette. Étienne de Silhouette (1709-1767) fut un hom-me politique français et contrôleur général des finances de Louis XV. À cause de ses projets financiers il devint très im-populaire. Il subit des critiques, et enfin, il commença à être l’objet de caricatures qui ultérieurement prirent le nom de ce financier. Aujourd’hui ce nom d’après le Petit Robert a pour signification, entre autres d’allure ou ligne générale d’une per­sonne.[pl. : sylwetka ; all. : Silhouette ; ang. : silhouette ; esp. : silueta ; port. : silhueta ;]MOTS CLÉS : Louis XV ; l’économie française.

Nous sommes conscients que la liste que nous venons de vous présenter est loin d’être complète. Nous pourrions men-tionner encore par exemple des Français célèbres tels que : André-Marie Ampère, Michel Bégon, Blaise Pascal, Fran çois Bar(r)ême ou Pierre Magnol mais là c’est à vous de cher-cher !

BIBLIOGRAPHIEBAUMGARTNER, Emmanuèle et MÉNARD, Philippe (1996) : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française,

Paris: Librairie Générale Française.DAUZAT, Albert, Dubois, Jean et Mitterand, Henri (1971) : Nouveau Dictionnaire étymologique et historique, Paris: Larousse.DICCIONARIO DE LA REAL ACADEMIA ESPAÑOLA. Version électronique : http://www.rae.es/rae.html. Date de consul-

tation : 26 mai 2011.LE NOUVEAU PETIT ROBERT. Version électronique sur CD de 2001.LE PETIT LAROUSSE. Version électronique sur CD de 2010.(TLF) LE TRÉSOR DE LA LANGUE FRANÇAISE [en.] : http://atilf.atilf.fr/ . Date de consultation : 25 mai 2011.

Francophonie-coutumes

Cabane à sucre

Français dans les autres langues n Francophonie-coutumes

Au Québec, les populations construisaient traditionnelle-ment, au printemps – pendant les mois d’avril et de mai, des maisons en bois dans la forêt, appelées « cabanes à sucre ». Les gens s’y retiraient pour faire ce qui est appelé « érablière ».

La cabane à sucre est un bâtiment rustique au milieu des ar-bres. Son intérieur comprend le plus souvent deux salles : une première dans laquelle on chauffe la sève d’érable pour la trans-former en sirop et une autre, plus grande, dans laquelle les amis se réunissent pour consommer ce sirop ainsi que différents plats canadiens, confectionnés souvent au sirop d’érable.

Pendant le mois d’avril, qui marque le début du prin-temps, les érables, arbres les plus célèbres des forêts canadie-nens, produisent de la sève, qui permet de fabriquer un sirop de sucre très consommé par les Québécois. La fabrication, en pleine forêt, de ce sirop d’érable, s’appelle « érablière ».

De nos temps, en dépit de tous les changements, cette tradition reste vivante, de nombreux Québécois louent des cabanes à sucre pour y passer quelque temps en famille et/ou avec leurs amis. On y va aussi pour prendre des repas typi-ques composés de crêpes, de fèves au lard, de soupe aux pois,

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PROF-EUROPE 2011

99Francophonie-coutumes n CABANE à SUCRE

des oeufs, du jambon, des oreilles de crisse, des bonbons à l’érable, du beurre d’érable, de la tire sur la neige...

Histoire

L’histoire des produits de l’érable remonte avant l’arrivée au Québec des colons français. Ce sont les Amérindiens qui ont déjà découvert la sève qui sortait de ces fameux érables ainsi que ses qualités multiples. Ils utilisaient leur tomahawk pour faire un entaille en V dans les érables à l’approche du printemps. En se servant d’un récipient de bois placé dans leur entaille, ils récupéraient la sève des érables pour la concentrer en sirop.

Deux méthodes étaient utilisées à l’époque des autochtones pour concentrer la sève. Pour obtenir un sirop plus clair et transparent la méthode consistait à congeler la sève ; ensuite, on enlevait la glace qui se formait sur le sirop en répétant cette procédure pendant quelques nuits. La deuxième méthode consistait à plon-ger des pierres chaudes directement dans la sève et celle-ci s’épaississait par évaporation. Dans ce cas-ci un sirop obtenu avait une couleur plus sombre.

Il faut 30 à 40 litres de sève pour faire 1 seul litre de sirop. Un érable peut donner 60 à 160 litres de sève par saison tout dépendant des conditions climatiques.

Les érables se retrouvent principalement au Québec et en Amérique du Nord et sont présents sur plus de 144 000 hectares. Le Qué-bec fournit les 2/3 de la production mondiale de sirop d’érable. Le tiers restant provient du nord de l’Ontario et des États-Unis, plus préci-sément de l’État de New York et du Vermont.

Les sites consacrés aux cabanes à sucre

sont nombreux, allez consulterwww.cabaneasucre.org

où vous trouverez diverses informations, historiques et pratiques. Y compris des recet-tes de cuisine à télécharger, comme desserts – ce qui semble évident, vu le goût sucré : po-uding chômeur au sirop d’érable, tarte au sirop d’érable, sucre d’érable et beurre d’érable, beur-re d’érable au sirop d’érable, ou encore grands-pères au sirop d’érable. On y trouve également des plats auxquels on ne s’attendrait peut-être pas, comme par exemple, le jambon de la ca-bane à sucre.

(EK)

1. Cabane à sucre

2. Cabane à sucre ancestrale

3. Chaudières à recueillir la sève

4. Tire sur la neige

5. Cabane à réserver

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Je conçois, à la rigueur, qu’un touriste ayant passé un siècle ou deux loin d’un pays ne soit pas autrement surpris de trou-ver, à son retour, des décombres et des ruines où il avait jadis contemplé de somptueux palais ; mais tel n’était pas mon cas. Après une absence de cinq ou six mois, je ne fus pas peu stu-péfait de rencontrer, à l’un des endroits de la côte qui m’étaient les plus familiers, un manoir en pleine décrépitude, un vieux manoir féodal que j’étais bien sûr de ne pas avoir rencontré l’année dernière, ni là ni ailleurs.

Mon flair de détective m’amena à penser que ces ruines étaient factices et de date probablement récente.

Le castel en question présentait, d’ailleurs, un aspect beau-coup plus ridicule que sinistre ; tout y sentait le toc à plein nez : créneaux ébréchés, tours démantelées, mâchicoulis à la manque, fenêtres ogivales masquées de barreaux dont l’épai-sseur eût pu défier les plus puissants barreau-mètres ; c’était complètement idiot. Une petite enquête dans le pays me ren-seigna tout de suite sur l’histoire de cette néovieille construc-tion et de son propriétaire.

Ancien pédicure de la reine de Roumanie, le baron La-gourde, lequel est baron à peu près comme moi je suis archi-mandrite, avait acquis une immense fortune dans l’exercice de ces délicates fonctions.

(Car au risque de défriser certaines imaginations lyriques, je ne vous cacherai pas plus longtemps que Carmen Sylva, à l’instar de vous et de moi, se trouve à la tête de plusieurs cors aux pieds, et la garde qui veille aux barrières du Louvre n’en défend pas les reines).

Le baron Lagourde (conservons-lui ce titre puisque ça a l’air de lui faire plaisir) est un gros homme commun, laid, va-niteux et bête comme ses pieds, qui sont énormes. Sa femme, qu’il a ramenée de la Bulgarie occidentale, présente l’appa-rence d’une petite noireaude mal tenue, mais extraordinaire-ment adultérine. Cette Bulgare de l’Ouest (ou Bulgare Saint-Lazare comme on dit plus communément à Paris) trompe en effet son mari à jet continu, si j’ose m’exprimer ainsi, avec des cantonniers.

Pourquoi des cantonniers, me direz-vous, plutôt que des facteurs ruraux ou des attachés d’ambassade ? Mystères du coeur féminin ! La baronne adorait les cantonniers et ne le leur envoyait pas dire. Voilà pourquoi la route de Trouville à Honfleur fut si mal entretenue, cet été, quand eux l’étaient si bien.

Le baron Lagourde s’était fixé l’année dernière dans le pays ; il y avait acheté une propriété admirablement située

Alphonse ALLAIS

Ecrivain et humoriste français né à Honfleur (Calvados) le 20 octobre 1854 et mort à Paris le 28 octobre 1905. A l’école il manifeste déjà un goût particulier pour la farce et la blague. Bachelier ès sciences, il fait un stage à la pharmacie de son père et à Paris. Là il rencontre des chansonniers, des artistes (Charles Cros), il fréquente les cabarets de Monmartre et abandonne son occupation de pharmacien.

Il commence à écrire et publie ses nouvelles dans la presse. Ses oeuvres courtes, écrites rapidement et en grand nombre, sont réunies dans des recueils A se tordre (1891), Ne nous frappons pas (1900) et Le Captain Cap (1902) qui deviendra son personnage le plus célèbre. Allais est reconnu pour son humour cocasse et quelque peu absurde.

Coin littéraire

Alphonse ALLAISLe langage des fleurs

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d’où l’on découvrait un panorama superbe : à droite, la baie de la Seine ; en face, la rade du Havre ; à l’ouest, le large. Sans perdre un instant, l’ex-pédicure royal aménagea sa nouvelle acquisition selon son esthétique et ses goûts féodaux. En un rien de temps, le manoir sortit de terre ; des ouvriers spéciaux lui donnèrent ce cachet d’antiquaille sans lequel il n’est rien de sérieusement féodal. Pour compléter l’illusion, de vrais squelettes chargés de chaînes furent gaîment jetés dans des culs-de-basse-fosse.

Le baron eût été le plus heureux des hommes en son simili Moyen Age sans l’entêtement du père Fabrice. Plus il insistait, plus le père Fabrice s’entêtait. On peut même dire, sans crainte d’être taxé d’exagération, que le père Fabrice s’obstinait. L’objet du débat était un pré voisin, pas très large, mais très long, qui dominait la féodalité du baron et d’où l’on avait une vue plus superbe encore, un pré qui pouvait valoir dans les six cents francs, bien payé. Lagourde en avait offert mille francs, puis mille cent, et finalement, d’offre en offre, deux mille francs.

- Ça vaut mieux que ça, monsieur le baron, ça vaut mieux que ça, goguenardait le vieux finaud en branlant la tête.

Mais cette somme de deux mille francs fut l’extrême limite des concessions et le baron ne parla plus de l’affaire.

Un jour de cet été, le châtelain-pédicure, grimpé sur l’u-ne de ses tours, explorait l’horizon à l’aide d’une excellente jumelle Flammarion. Tout près de la côte, un yacht filait à petite vapeur : sur le pont, des messieurs et des dames bra-quaient eux-mêmes des jumelles dans la direction du castel et semblaient en proie à d’homériques gaietés. Ils se passaient mutuellement les jumelles et se tordaient scandaleusement. Le baron Lagourde ne laissa pas que de se sentir légèrement froissé. Etait-ce de son manoir que l’on riait ainsi ?

Le lendemain, à la même heure, le même yacht revint, accompagné cette fois de deux bateaux de plaisance dont les passagers manifestèrent, comme la veille, une bonne humeur débordante. Tous les jours qui suivirent, même jeu. Des flottilles entières vinrent, ralentissant l’allure dès que le castel était en vue. A bord, les passagers paraissaient goûter d’ineffables plaisirs. Les pêcheurs de Trouville, de Villerville, de Honfleur, ne passaient plus sans se divertir bruyamment. Bref, tout le monde nautique de ces parages, depuis l’opulent Ephrussi jusqu’à mon grabugeux ami Baudry dit la Rogne, s’amusa durant de longues semaines, comme tout un asile de petites folles. Très inquiet, très vexé, très tourmenté, le baron résolut d’en avoir le coeur net et de se rendre compte par lui-même des causes de cette hilarité désobligeante.

Un beau matin, il fréta un bateau et, toutes voiles dehors, cingla vers l’endroit où les gens semblaient prendre tant de plaisir. Au bout d’un quart d’heure de navigation, son manoir lui apparut, plus féodal que jamais, et pas risible du tout. Qu’avaient-ils donc à se tordre, tous ces imbéciles ! Horreur subite ! Le baron n’en crut pas ses yeux ! La colère, l’indignation, et une foule d’autres sentiments féroces empourprèrent son visage. Il venait d’apercevoir... Etait-ce possible ?

Au-dessus de son manoir, et bien en vue, le pré du père Fabrice s’étalait au soleil comme un immense drapeau vert, un drapeau sur lequel on aurait tracé une inscription jaune, et cette inscription portait ces mots effroyablement lisibles :

MONSIEUR LE BARON LAGOURDE EST COCU ! Le miracle était bien simple : cette vieille fripouille de père

Fabrice avait semé dans son pré ces petites fleurettes jaunes qu’on appelle boutons-d’or en les disposant selon un arrange-ment graphique qui leur donnait cette outrageante et précise signification : le père Fabrice avait fait de l’Anthographie sur une vaste échelle. Le baron Lagourde restait là dans le canot, hébété de stupeur et de honte devant la terrible phrase qui s’enlevait gaîment en jaune clair sur le vert sombre du pré.

- Monsieur le baron Lagourde est cocu ! Monsieur le ba-ron Lagourde est cocu ! répétait-il complètement abruti.

Les rires des hommes qui l’accompagnaient le firent reve-nir à la réalité.

- Ramenez-moi à terre ! commanda-t-il du ton le plus féo-dal qu’il put trouver.

Il alla tout droit chez le maire. - Monsieur le maire, dit-il, je suis insulté de la plus grave

façon sur le territoire de votre commune. C’est votre devoir de me faire respecter, et j’espère que vous n’y faillirez point.

- Insulté, monsieur le baron ! Et comment ? - Un misérable, le père Fabrice, a osé écrire sur son pré

que j’étais cocu ! - Comment cela ?... Sur son pré ? - Parfaitement, avec des fleurs jaunes ! Heureusement que le maire était depuis longtemps au co-

urant de l’excellente plaisanterie du père Fabrice, car il n’aurait rien compris aux explications du baron. Tous deux se ren-dirent chez le diffamateur qui les accueillit avec une bonne grâce étonnée :

- Moi, monsieur le baron ! Moi, j’aurais osé écrire que monsieur le baron est cocu ! Ah! monsieur le baron me fait bien de la peine de me croire capable d’une pareille chose !

- Allons sur les lieux, dit le maire.

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Sur ces lieux, on pu voir de l’herbe verte et des fleurs jaunes arrangées d’une certaine façon, mais il était impossible, malgré la meilleure volonté du monde, de tirer un sens quelconque de cette disposition. On était trop près. (Ce phénomène est analogue à celui qui fait que certaines mouches se promènent, des existences entières, sur des in­quarto sans comprendre un traître mot aux textes les plus simples).

- Monsieur le baron sait bien, continua le père Fabrice, que les fleurs sauvages, ça pousse un peu où ça veut. S’il fallait être responsable !...

- Et vous, monsieur le maire, grommela le baron, êtes-vous de cet avis ?

- Mon Dieu, monsieur le baron, je veux bien croire que vous êtes insulté, puisque vous me le dites ; mais en tout cas, ce n’est pas sur le territoire de ma commune, puisque l’inscription n’y est pas lisible. Vous êtes insulté en mer... plaignez-vous au ministre de la Marine !

Le baron fit mieux que de se plaindre au ministre de la Marine, ce qui eût pu entraîner quelques longueurs.

- Allons vieille canaille, dit-il au père Fabrice, combien votre pré ?

- Monsieur le baron sait bien que je ne veux pas le vendre, mais puisque ça a l’air de faire plaisir à monsieur le baron, je le lui laisserai à dix mille francs, et monsieur le baron peut se vanter de faire une bonne affaire ! Un pré où les fleurs écrivent toutes seules !

Le soir même, l’essai d’anthographie du père Fabrice péris-sait sous la faux impitoyable du jardinier.

Maintenant, si j’ai un bon conseil à donner au baron La-gourde, qu’il n’essaye pas du même procédé pour faire une blague au père Fabrice l’année prochaine.

Le père Fabrice a pour l’opinion de ses concitoyens un mépris insondable.

A l’oeil, 19….SAISIE DU TEXTE : S. Pestel pour la collection électronique

de la Bibliothèque Municipale de Lisieux (18.03.1996). RELECTURE : Anne Guézou. ADRESSE : Bibliothèque municipale. Monsieur Olivier Bogros. BP 216 . 14107 Lisieux cedex.

TEL. : 31.48.66.50. MINITEL : 31.48.66.55. E-MAIL : [Olivier Bogros] [email protected]

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