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Nouvelles technologies (« Web 2.0 ») et communications du GC:
Présentation des résultats du sondage téléphoniqueMars 2008
1
Schéma de la présentationIntroduction Utilisation d’InternetInteractions avec le gouvernement du Canada (GC)Connaissance et utilisation des applications Web 2.0Utilisation possible des applications Web 2.0 par le GCComparaison entre le sondage téléphonique et le sondage électroniqueConclusions et incidences
2
Introduction
3
Vue d’ensemble• Contexte : De nouvelles technologies et applications fondées sur Internet
changent la façon d’utiliser Internet. Ces technologies et applications réunies sous l’appellation « Web 2.0 », comprennent :
- les blogues - les balados/vidéotextes/webémissions- les wikis - les babillards et forums électroniques- les sites de réseautage personnel - les fils RSS- YouTube
• D’autres pays et d’autres niveaux de gouvernement au Canada ont commencé d’utiliser ces nouvelles technologies dans leurs interactions avec leurs citoyens. Certains ministères fédéraux évaluent aussi la possibilité de les utiliser.
• Un certain nombre d’entreprises effectuant de la recherche suivent déjà l’évolution d’Internet dans le cadre de leurs recherches communes, comme le fait l’enquête biannuelle de Statistique Canada sur l’utilisation d’Internet.
• Cependant, la présente étude a surtout mis l’accent sur la façon dont le GC pourrait utiliser ces nouvelles technologies et applications.
4
Vue d’ensemble (suite)• Objet : Réaliser un projet de recherche personnalisé, tant qualitatif que quantitatif,
sur la connaissance, les attitudes et le comportement des Canadiens en ce qui concerne les nouvelles technologies et applications du Web 2.0 dans la perspective que le GC les utilise dans ses activités de diffusion, ses communications et sa prestation de services.
• Ce projet a été placé sous la direction d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, assisté de TPSGC, du SCT et du BCP.
• Le projet a été financé par 23 ministères et agences gouvernementales grâce à de nombreuses mais relativement modestes contributions pour financer une étude approfondie conçue spécialement pour les besoins du GC.
• Cette approche n’a pas produit seulement une profusion de connaissances, mais aussi un certain nombre d’études dérivées, y compris :
• une étude en ligne en utilisant le Groupe de recherche du gouvernement du Canada sur Internet;
• un sondage inédit d’un sous-échantillon de Canadiens qui font partie des ménages qui n’ont qu’un téléphone cellulaire; et
• une analyse secondaire des Canadiens âgés de 16 à 24 ans qui font partie de la nouvelle génération du Web.
NOTA : L’étude n’a pas essayé d’applications précises pas plus qu’il n’a réglé des questions relatives à la gestion de la réputation de l’image du GC.
5
Méthodologie
• 12 séances de groupes de discussion ont été organisées du 17 au 20 septembre 2007, avec deux séances dans chacun des endroits suivants : Halifax, Montréal, Saint-Hyacinthe, Toronto, Calgary et Fort St. John.
• Ces endroits ont été choisis pour assurer une bonne représentation des régions, des groupes linguistiques et des populations urbaines et rurales.
• Les séances de discussion étaient aussi conçues pour assurer une bonne représentation des participants, à savoir selon l’âge, l’origine ethnique, l’éducation, les revenus et le sexe, ainsi que selon trois segments du public :• Utilisateurs du Web 2.0 : internautes qui se sont servis d’au moins trois applications Web
2.0, quelques fois par mois ou plus souvent au cours des six derniers mois;• Internautes qui ne se servent pas de Web 2.0 : internautes qui ne se sont pas servi
d’applications Web 2.0 ou qui s’en servent moins que les utilisateurs de Web 2.0;• Personnes qui n’utilisent pas Internet : participants qui ne se sont jamais servis
d’Internet.
Recherche qualitative
6
Méthodologie (suite)Au téléphone :
• Taille de l’échantillon : 1 718 répondants• Durée moyenne : 18,5 minutes en général; 21,4 minutes pour les internautes• Sondage à composition aléatoire (CA)• Travail sur le terrain : du 17 octobre au 3 novembre 2007• Taux de réponse : 22 %; Marge d’erreur : +/- 2,4 %, 19 fois sur 20
En ligne :• Taille de l’échantillon : 2 619 répondants• Durée moyenne : 17,3 minutes• Sondage par panel (Panel Internet du GC)• Travail sur le terrain : du 23 octobre au 6 novembre 2007• Taux de réponse : 66 %*; Marge d’erreur : S/O**
Les deux sondages ont été stratifiés par région et par sexe.Les échantillons des deux sondages ont été pondérés par âge, par sexe, et par région. * Les invités qui ont répondu à la portion en ligne de l’étude avaient déjà accepté, en principe, de répondre
aux sondages effectués par le gouvernement.** Il n’est pas possible de calculer la marge d’erreur dans la mesure où les échantillons n’ont pas été
sélectionnés de façon aléatoire.
Recherche quantitative
7
Méthodologie (suite)Notez que, dans la majorité des cas, seuls les résultats du sondagepar téléphone apparaissent sur ces diapositives.
La priorité a été donnée à ces résultats pour les raisons suivantes : – ces résultats sont représentatifs de la population canadienne d’un point de vue
méthodologique, parce que la composition aléatoire est utilisée dans l’échantillonnage probabiliste, ce qui n’est pas le cas pour les sondages en ligne; et
– la partie en ligne de cette étude a été effectuée par l’intermédiaire du Groupe de recherche sur Internet du GC, à savoir avec des Canadiens recrutés uniquement à partir de sites Web du GC.
La recherche qualitative a été effectuée avant les sondages. Ces groupes de recherche ont été utilisés pour mieux comprendre les connaissances, les attitudes et le comportement des Canadiens en ce qui concerne les différentes applications Web 2.0.
8
Utilisation d’Internet
9
Utilisation d'Internet
0 20 40
Courrielseulement
Plus de 10heures
4 à 10 heures
3 heures oumoins
Près de huit répondants sur dix ont dit utiliser Internet et y consacrer chaque semaine de trois heures ou moins à plus de dix heures.
Utilisation d’Internet
Oui : 79%
Non : 21%
Base = 1 718; tous les répondants téléphoniques
Base = 1 314; tous les répondants téléphoniques qui utilisent Internet (y compris ceux qui ne l'utilisent que pour le courriel)
10
Accès Internet – Lieux
1
2
2
2
9
38
91
0 20 40 60 80 100
Téléphone sans fil/cellulaire/PDA
En voyage (p. ex., hôtel, aéroport)
Lieu public (bibliothèque, café Internet)
Chez un ami/membre de la famille
À l'école (tous les niveaux)
Au travail
À la maison
À peu près tous les internautes ont dit avoir accès à Internet à la maison; beaucoup y ont aussi accès au travail. (Réponses multiples acceptées)
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
11
Accès à Internet - méthodesUne forte majorité d’internautes ont dit avoir une connexion à haute vitesse; davantage d’internautes ruraux utilisent une ligne commutée.(Réponses multiples acceptées)
6
7
35
11
67
88
0 20 40 60 80 100
Accès sans fil (par tél.cellulaire, Blackberry,
etc.)
Accès par lignecommutée
Accès haute vitesse
TotalRural
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
12
Activités en ligneLes internautes effectuent diverses activités en ligne, y compris pour communiquer, rechercher des renseignement et effectuer des activités financières.(Réponses multiples acceptées – question prioritaire)
6
6
7
7
8
9
9
10
12
25
34
36
0 10 20 30 40
Voyages
Acheter biens/services
Réseautage personnel
Pour le travail
Jouer à des jeux
Lire des quotidiens
Rens. études/trav. sco.
Opérations bancaires
Médias/nouvelles/météo
Obtenir information
Courriel
Exploration générale
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
13
Non-utilisateurs d’Internet
111
56
777
88
2435
0 10 20 30 40
Rien/aucune raisonAutre
Argent / coûtsPas pour moi / gens de mon âge
Manque de tempsN'ai pas accès à Internet
Ne sais pas comment me servir d'InternetPas besoin de le faire
Ne sais pas comment me servir d'un ordi.Manque d'intérêt
N'ai pas accès à un ordinateur
L’absence d’ordinateur et le manque d’intérêt sont les deux principales raisons données par un Canadien sur cinq qui n’utilisaient pas Internet.
Accepté jusqu’à trois réponsesBase = 426; répondants téléphoniques qui n'utilisent pas Internet
14
Interactions avec le GC
15
Ampleur de l’intérêt pour les nouvelles/renseignements provenant du GC
4
13
38
28
16
0
10
20
30
40
1 2 3 4 5
Une vaste majorité d’internautes ont dit se renseigner sur le GC pour ce qui est des nouvelles et des renseignements (En utilisant tous les médias, y compris des sources traditionnelles).
80 % se tiennent entre «assez» et «énormément» au courant
Pas du tout Énormément
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet(à l‘exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
16
Fréquence de la consultation des sites Web du GC
30
33
17
18
0 20 40
Plus de 10 fois
3 à 10 fois
1 ou 2 fois
Aucune/zéro
Plus de huit internautes sur dix ont dit avoir consulté des sites Web du GC au moins une fois dans la dernière année.
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
Principale raison de ne pas le faire : absence de besoin.
17
Activités dans les sites Web du GCLes répondants téléphoniques et ceux en ligne ont mentionné les cinq mêmes raisons pour avoir visité les sites Web du GC. (Réponses multiples acceptées)
Raison Téléphone *en %
En ligne **en %
Obtenir de l’information générale ou de fond 50 85
Obtenir de l’information / formulaires / publications 24 74
Activités reliées à l’emploi 18 84
Obtenir une réponse à une question précise 12 62
Recevoir formulaire / info d’impôt 10 48
* pour les répondants téléphoniques, c’était une priorité.** pour les répondants en ligne, une liste de questions était fournie.
Base = 1 049 répondants téléphoniques (ceux qui utilisent Internet et qui ont consulté les sites du GC la dernière année)Base = 2 619 répondants en ligne (qui ont tous été recrutés à partir des sites du GC)
18
Connaissance et utilisation des applications Web 2.0
19
Connaissance des applications Web 2.0Connaissance élevée de beaucoup d’applications Web 2.0. Les Canadiens âgés de 16 à 24 ans ont mentionné une meilleure connaissance des applications.
Nota : Cette question de connaissance a été posée à tous les répondants (téléphone et en ligne), même à ceux qui « n’utilisent pas Internet ».
Application Téléphone En ligne
Total en %
Génération Web en %
(16 à 24 ans)
Total en %
Babillards électroniques, bavardoirs, etc. 80 85 74
YouTube 78 94 83
Sites de réseautage personnel 74 95 79
Blogues 70 77 78
Wikis 57 78 73
Balados/vidéotextes/webémissions 56 65 58
Fils RSS 15 17 31
20
Utilisation des applications Web 2.0L’utilisation d’Internet changeait beaucoup, les Canadiens âgés de 16 à 24ayant tendance à utiliser davantage certaines applications.
* Le total traduit le pourcentage d’internautes qui se disaient au courant d’une application Web 2.0 en particulier ET qui disaient l’utiliser au moins une fois par jour.
Application Téléphone En ligneTotal en %
Génération Web en %
(16 à 24 ans)
Total en %
Babillards électroniques, bavardoirs, etc. 15 39 17
YouTube 12 31 12
Sites de réseautage personnel 23 55 30
Blogues 7 12 14
Wikis 4 8 8
Balados/vidéotextes/webémissions 5 14 7
Fils RSS 17 11 19
21
Connaissance de l’expression « Web 2.0 »Les répondants du Groupe en ligne étaient plus familiers avec l’expression Web 2.0 que les répondants téléphoniques.
59
81
24
10
16
9
0 20 40 60 80 100
Non
Oui, vaguement
Oui, certainement
TéléphoneEn ligne
Base = 1 718; tous les répondants téléphoniques; et2 619; tous les répondants en ligne
22
Impression de fiabilité : Internet vs autres médias
6
17
58
12
5
0
20
40
60
1 2 3 4 5
La majorité des internautes ont indiqué que l’information qui se trouve dans les sources Internet est au moins aussi fiable que celle qui provient de médias « traditionnels ».
Moins fiable Plus fiableAussi fiable
17%
23%
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
23
Impression de fiabilité des blogues
7
13
23
31
56
0 20 40 60
Particuliers
Entreprises privées
Médias ou journalistes
Organisations sans but lucratif
Gouvernement du Canada
Plus de la moitié des répondants téléphoniques qui utilisent Internet et qui connaissent les blogues ferait confiance à l’information qui se trouve dans les blogues du GC. (Question guidée – échelle de cinq points)
Base = 997; répondants téléphoniques qui utilisent Internet et connaissent les blogues(à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
Aucune autre source n’obtient la majorité en matière de fiabilité de l’information
% de confiance – notes de « 4-5 »
24
Utilisation possible des applications Web 2.0
par le GC
25
Principaux avantages de l’utilisation des applications par le GC
Commodité et accessibilité sont perçues comme les deux principaux avantages des applications Web 2.0 pour le GC. (Réponses multiples acceptées)
168
444
555
68
1012
23
0 5 10 15 20 25
Aucun / pas d'avantageAutre
Réduction des coûtsMise en œuvre plus rapide des chang. aux prog./services
Joindre collectivités rurales/éloignéesAccès à plus de rens. / rens. à jour
Se tenir à jourAccès plus rapide
Joindre un public plus largeCanadiens se servent de ces technologies
Mieux joindre les jeunesEfficace pour communiquer / partager rens.
Pratique / accès 24/7
Base = 1 718; tous les répondants téléphoniques
26
Préoccupations quant à l’utilisation des applications par le GC
Plus d’un tiers des répondants téléphoniques ne prévoient aucune préoccupation relative à l’utilisation des applications Web 2.0 par le GC.(Réponses multiples acceptées – question prioritaire)
37
11
3
3
6
13
14
14
0 10 20 30 40
Aucune / pas de préoccupation
Autre
Risques d’usurpation d’identité/de fraude
Coût/trop dispendieux
Confiance/pirates informatiques
Inutile pour ceux qui ne se servent pas d’Internet
Contenu pourrait ne pas être fiable
Préoccupations générales - vie privée/sécurité
Base = 1 718; tous les répondants téléphoniques
27
Raisons de l’utilisation des applications Web 2.0 par le GC
62
65
66
76
78
0 20 40 60 80 100
Obtenir l'opinion desCanadiens
Livrer progr./services plusefficacement
Rejoindre collectivitésrurales/éloignées
Donner info rapide/à joursur progr./services
Communiquer avec lesjeunes Canadiens
Les répondants téléphoniques ont considéré toutes les raisons que le GC aurait d’utiliser des applications Web 2.0 comme importantes. (Question guidée, échelle de cinq points)
% de ceux qui les jugent importantes (notes de 4 et 5)
Base = 1 718; tous les répondants téléphoniques
28
Classement des façons particulières dont le GC pourrait se servir du Web 2.0
Les internautes ont bien classé les sites où les scientifiques ou les spécialistes du GC peuvent répondre aux questions et ceux où les citoyens peuvent donner leur opinion au GC. (Question guidée – choix par paires)
2829
36
42
49
5059
72
0 20 40 60 80
Groupes de discussion dans Facebook, etc., dirigés par le GC
Vidéos d'info. du GC dans des sites comme YouTube
Service courriel pour balados/messages d'intérêt
Blogues rédigés par des spécialistes du GC
Webémissions sur programmes/services
Visites audio-guidées de lieux historiques/naturels
Sites où les Canadiens peuvent donner leur opinion au GC
Sites où scientif. / spécialistes du GC répondent aux questions
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
% ayant choisi
29
Comment le GC devrait gérer son utilisation du Web 2.0
31
32
38
56
82
82
0 20 40 60 80 100
Le GC devrait permettre au public d'afficher sur sites gouv.
Contenu du GC affiché sur sites non gouv. signifie appui du GC
Balados/vidéos/blogues pour secteur privé, non pour GC
Le GC devrait afficher sur sites non gouv. en vogue
Rendre nouv. tech. accessibles aux Can. handicapés
Le GC devrait surveiller le matériel affiché par les Canadiens
Une forte majorité d’internautes étaient d’accord pour que le GC surveille le matériel affiché dans ses sites Web et qu’il en garantisse l’accessibilité aux Canadiens handicapés. (Question guidée – échelle de cinq points)
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
Pourcentage de ceux qui sont d’accord (notes de 4 et 5)
30
Intérêt pour les consultations publiques en ligne
18
24
41
16
0 10 20 30 40 50
Certainement pas
Probablement pas
Probablement
Certainement
Une majorité d’internautes ont dit vouloir prendre part à une consultation publique en ligne sur un site Web du GC.
57 % prendraient probablement part à une consultation en ligne
Base = 1 292; répondants téléphoniques qui utilisent Internet (à l’exception de ceux qui ne l’utilisent que pour le courriel)
31
Investissement du GC dans les applications Web 2.0
4
9
43
44
0 10 20 30 40 50
Certainement pas
Probablement pas
Probablement
Certainement
Une grande majorité des répondants téléphoniques étaient d’accord sur le fait que le GC devrait investir dans les applications Web 2.0.
87%
Base = 1 718; tous les répondants téléphoniques
32
Conclusions et incidences
33
ConclusionsLe public canadien est ouvert à l’idée que le GC investisse dansles applications Web 2.0 et les utilise pour interagir avec les Canadiens.
• L’appui envers le gouvernement du Canada pour qu’il investisse dans les applications Web 2.0 est très répandu parmi tous les groupes, quel que soit leur degré d’utilisation d’Internet.
Les Canadiens mentionnent de nombreuses raisons pour lesquelles le GCdevrait adopter le Web 2.0, notamment :
• être plus réceptif;• se rapprocher des gens; et• se tenir à jour des nouvelles technologies.
Moyens par lesquels le gouvernement devrait commencer à utiliser le Web 2.0 :• appui considérable aux consultations publiques en ligne; • intérêt pour les sites Web du GC où des scientifiques et des spécialistes peuvent répondre
aux questions du public; et• intérêt pour les sites Web du GC où les Canadiens peuvent faire connaître leur opinion sur
des sujets particuliers.
Il faudra se préoccuper des craintes en matière de protection des renseignements personnels, de sécurité et de fiabilité.
34
Conclusions (suite)L’utilisation par le GC de ces nouvelles applications dans Internet ne constituera pas nécessairement l’occasion d’une réduction de coût, parce queles Canadiens ne veulent pas que ces applications remplacent les moyenstraditionnels de communication et de prestation des services.
• Il n’est pas réaliste de s’attendre à ce que les Canadiens découvrent par eux-mêmes, sans une bonne mise en marché, la documentation que le gouvernement aura affichée dans le Web 2.0.
• Les Canadiens ont été d’avis que les applications Web 2.0 doivent servir de complément ou de supplément aux modes traditionnels de communication et de prestation des services – et non les remplacer.
Si les Canadiens sont nombreux à connaître la plupart des applicationsWeb 2.0, le nombre de ceux qui s’en servent de façon régulière est plus restreint.
Les applications liées à Internet représentent pour le GC une occasion decréativité dans ses interactions avec les citoyens.
Il ne faudra pas employer l’expression « Web 2.0 », car elle est peu connue.
35
IncidencesLe GC devra décider de la forme que prendra son adoption du Web 2.0.
• Certaines de ces nouvelles technologies sont plus utilisées que d’autres : YouTube,Facebook, de même que les babillards et bavardoirs électroniques sont les plussusceptibles d’être utilisés; les wikis et les fils RSS sont les moins susceptibles de l’être.
Le GC devra veiller à ce que l’adoption du Web 2.0 donne lieu àdes applications faciles à utiliser et accessibles à tous les Canadiens.
• On devrait toujours tenir compte des Canadiens qui ne sont pas branchés ou qui sont moins habiles dans Internet.
• Les répondants ont encouragé fortement l’accessibilité de ces technologies à tous les Canadiens handicapés.
Le GC devra surveiller la démarcation entre partage de l’information et loisir.• La présence du GC dans Internet suscite déjà dans l’esprit des Canadiens un niveau de
confiance élevé.• Les sites de réseautage social et les autres applications Web 2.0 sont plutôt utilisées
pour les divertissements et les loisirs.
36
Incidences (suite)Le GC devrait adopter les applications Web 2.0 lorsque cela paraît sensé de le fairepour améliorer les communications et la prestation de services.
• Cette approche devrait se fonder sur une analyse rigoureuse pour que la clientèle corresponde vraiment au sujet et au moyen utilisé.
• Les gens jugeront d’eux-mêmes si les endroits que le GC décide d’utiliser Internet pour communiquer avec les Canadiens sont, oui ou non, appropriés.
Un repositionnement des politiques, directives et lignes directrices actuelles du GCs’impose en vue de combler les lacunes actuelles et de faire en sorte que le GC puisseintégrer les applications Web 2.0 dans l’ensemble de ses instruments d’interactionavec les Canadiens.
• Politique de communication• Gestion de l’information• Capacité de TI• Accessibilité des employés • Protection des renseignements personnels• Gestion horizontale• Langues officielles…
Le GC devra néanmoins investir des ressources et consacrer du travail à cette forme émergente de media car elle fait partie intégrante de l’avenir du Web.
37
Rapports et ensemble de données disponibles sur demandeTous les rapports finaux liés à ce projet seront transmis à Bibliothèque
et Archives Canada en mai 2008. Vous pourrez les trouver à www.porr-rrop.gc.ca.
Chercher le numéro de rapport « POR-130-07 ».
Pour des sommaires exécutifs et tous les ensembles de données liés à ce projet, veuillez communiquer avec Agriculture et Agroalimentaire
Canada à [email protected].
Pour d’autres recherches et analyses secondaires effectuées dans le cadre de ce projet, veuillez communiquer avec la Direction de la recherche sur
l’opinion publique de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada à [email protected].
Les compagnies suivantes ont entreprise la recherche pour cette étude: Phoenix Strategic Perspectives Inc.,
Phase V, EKOS Research Associates et Arcturus Solutions.
38