ENS-LYON 17-19 juin 2013 Evolution des catalogues : Métadonnées, Interopérabilité, web...

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ENS-LYON17-19 juin 2013

Evolution des catalogues :Métadonnées, Interopérabilité, web sémantique, FRBR et RDA

Philippe.Bourdenet @univ-lemans.fr

Qualité des catalogues, SIGB et interopérabilité des applications

Problèmes d’intégration des outils de référencement dans les systèmes d’information

CatalogueCatalogue collectif

Périodiques en ligne

Thèses en ligne

e-books

Ressources pédagogiquesRessources multimédiasBases de signets

Enregistrements sonores

Catalogues de bibliothèquesassociées ou partenaires

Archives ouvertes

Sources hétérogènes

Imprimés : appareil de description bibliographique évolué (+)

Documents électroniques : contrainte éditoriale forteAppareil de description bibliographique faible (-)

Cédéroms : type hybride (« semi-dématérialisé ») car il reste un objet de prêt ou de circulation

E-books

Thèses en ligne (pdf, html, xml, …)

Ressources pédagogiques ou informationnelles produites par une institution

Périodiques en ligne

Images fixes/images animées

Documents sonores (musicaux/non musicaux)

Ces ressources électroniques sont prisonnières de plates-formes ce qui les range aussi, d’une certaine façon dans le web invisible, mais qui ne communique pas pour autant avec les OPAC…

Passage dans la dénomination des bibliothécaires, du terme de « LECTEUR » au terme d’ « USAGER »

Marginalisation de l’imprimé avec les collections numériques ; ce qui peut-être vécu comme un paradoxe par la profession car l’imprimé mobilise la plus grande partie du temps/homme disponible alors que le volume des collections numériques est bien supérieur :

Exemple d’un bibliothèques de recherche :700 titres de périodiques papier conservés sur une période de 5 ans. Service de 4 personnes14500 titres de périodiques électroniques dont des archives supérieures à 20 ans. Service de 0.5 personne

Soit : 5% du nombre de titres pour l’imprimé

- L’OPAC reste un réservoir d’informations sur l’imprimé - Le « système d’information » ne permet pas toujours de naviguer d’une source à l’autre…

Problématiques émergentes

Ces ressources restent invisibles quand elles sont fournies sous forme de flux, prisonnières de bouquets qui ne se manifestent pas dans un OPAC

Sur le parcours de l’usager…

rq1 rq2 rq3 rq4 rq5 rq6 rq7 rq8 rq9

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Point d’entrée unique

Alors que l’on aimerait avoir :O

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Point d’entrée unique

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Début des années 1990, « Scholar’s worstation » : rendre la recherche accessible dans un domaine donné à partir d’une interface unique [Phillips, Gary Lee]*

Le système d’information documentaire est un dispositif informatique global d’accès à la documentation, aux ressources pédagogiques et à l’information multimédia, depuis un poste de travail ou de consultation banalisé, grâce à une interface unique rendant à l’usager transparents les différents langages et normes des systèmes agrégés constitutifs et lui permettant l’interrogation de bases de données et de différentes ressources, ainsi que l’accès à des services, tels que la commande, la réservation de documents ou d’autres prestations, un album personnel ; ainsi le catalogue Opac du SIGB, le réseau de CD-Rom, les documents internes numérisés (thèses, cours), les abonnements électroniques, les bases de données bibliographiques, textuelles, factuelles, les campus numériques, etc., sont disponibles, selon les habilitations des usagers (gérées par un annuaire central) sur l’Intranet de l’établissement d’enseignement supérieur ou sur Internet, localement ou à distance.

Le SID est constitutif du système d’information de l’établissement (ou portail). Souvent, il en est la pierre angulaire. Il résulte d’une organisation et d’une architecture réfléchie au niveau de la direction de l’établissement et de la mise en commun des savoir-faire de la bibliothèque, du centre de ressources informatiques (CRI) et des enseignants-chercheurs pilotes dans les TICE.“ 

Marie-Thérèse Rebat

Interface unique

portails

Résolveurs de liens

Base de données bibliographiques

Résolveur de liens

SIDDéclaration des bouquets

par un tiers

Affichage d’icones

SFX, EBSCO,…

Continuum référencement bibliographique / acquisition du contenu

Schémas de mise en œuvre de l’interopérabilité (1)

Avec une bibliothèque JAVA ou php, il est

possible de générer un fichier iso 2709 à partir

d’un fichier .csv

Import de notices UNMVia iso 2709

(SUDOC, Moccam,BnF, Zebris…)

OPAC

Import de notices d’autorité iso2709

Imports de notices de documents électroniques

Iso 2709

Problème : les états de collections : leur mise à jour est difficile

grande mouvance dans les titres.

peu de visibilité sur les titres, pour une institution : il est difficile d’obtenir une liste précise et à jour.

BDD

Un exemple à ne pas suivre !

IGP

Catalogue d’imprimés

(oracle/Mysql)

Exemple : l’utilisateur peut choisir ses sources à l’aide de cases à cocher : c’est une recherche fédérée

OPAC

Catalogue de périodiques en ligne (Mysql)

Catalogue d’e-books (Mysql)

connecteurs

Ori-OAI Ressources pédagogiques

Thèses électroniques

Interopérabilité de niveau 1

Interopérabilité de niveau 2Recherche frédérée

Schémas de mise en œuvre de l’interopérabilité (2)

(3) Un point d’entrée unique… recherche fédérée = interrogation de ressources externes

Catalogue localCatalogue collectif

Périodiques en ligne

Thèses en ligne

e-books

Ressources pédagogiques

Ressources multimédiasBases de signets

Enregistrements sonorespodcasts

Catalogues de bibliothèquesassociées ou partenaires

Archives ouvertes

Ok

Catalogue de la bibliothèque

Documentation scientifique et technique

Bibliothèques / agences bibliographiques nationales

Supports pédagogiques

Documents multimédias

Revues

e-books

Vidéos

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oai-pmh

API

OpenURL

Z 39.50

SRU

Z 39.50

WebService

vvvvvv

iso 2709

FORTE INTEROPERABILITE

Catalogue localCatalogue collectif

Périodiques en ligne

Thèses en ligne

e-books

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Ressources multimédiasBases de signets

Enregistrements sonores

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Archives ouvertes

Ok

Catalogue de la bibliothèque

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Bibliothèques / agences bibliographiques nationales

Supports pédagogiques

Documents multimédias

Revues

e-books

Vidéos

oai-pmh

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API

OpenURL

Z 39.50

SRU

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WebService

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iso 2709

Recherche intégrée vs recherche fédérée ?

focus

Pour conclure…

L’effort de construction de l’interopérabilité est indispensable, sinon nous « perdons » l’usager…

= nous l’égarons un peu plus

= nous le voyons préférer des moteurs commerciaux

Il est possible de se positionner sur le marché en tant qu’institution (=source fiable ) grâce à des WebServices qui « déportent » nos bases de données dans d’autres environnements (une occasion à saisir ?)

Systèmes documentaires classiques Internet

Taille de la base limitée – croissance linéaire avec le temps

Milliers de Go - croissance exponentielle

Informations secondaires Bases externes sur lesquelles aucune action n’est possible, en particulier pour l’indexation

Bases internes : responsabilité de constitution, de mise à jour et d’indexation de la base

Homogénéité des sources et des informations : la base recouvre un ou plusieurs domaines bien circonscrits avec une approche précise (commerciale, scientifique ou autre)

Hétérogénéité des sources et des informations : on trouve tout sur les réseaux – plus de domaines restreints, toutes les approches (scientifique, commerciale, vulgarisation, etc.)

Tableau comparatif des caractéristiques des systèmes documentaires « classiques » et des plates-formes disponibles sur Internet

Pour les professionnels de l’info-doc, en particuliers pour les administrateurs de systèmes, ces oppositions peuvent être résumées ainsi :

Systèmes documentaires classiques Internet

Format unique de présentation des données Formats multiples en évolution incessante

Bases structurées (champ de catalogage renseigné)

Sites web non structurés – utilisation minimale des balises méta

Existence d’un langage d’indexation (thésaurus) adapté au domaine et à la base

Pas de langage d’indexation : pas de thésaurus couvrant l’ensemble des domaines de connaissance – trop d’acteurs différents interviennent

Indexation avec un thésaurus adapté Indexation des moteurs de recherche sur le web de très bas niveau (0 ou 0+ selon les sites)

Indexation de la totalité des corpus Indexation d’une partie. Il existe 2 formes de sites : web accessible (visible) et web invisible (pages générées par une requête, pages dont on a refusé qu’elles soient référencées, pages intranet protégées par un firewall)

Informations vérifiées (sources connues) Informations non validées

Monolinguisme, au moins des index ou descriptions

Multilinguismes

Outils d’interrogation unique, adapté à la base et au langage utilisé

Mélange des modes de recherche : répertoires, mots, navigation

Souci de la cohérence des informations (travail de documentaliste/bibliothécaire)

Alimentation réalisée par un webmaster , pas forcément les mêmes problématiques (souci de présentation, de diffusion, d’impact des informations

(1)Abderrazak Mkadmi, Imad Saleh, Bibliothèque numérique et recherche d’informations

Problème majeur : chacune des sources qui gravitent autour du catalogue disposent de leurs propres outils de recherche, de leurs propres index, de leur propre appareil de description

Exemples de recherche dans des sources hétérogènes :Je cherche des articles sur les langages de programmation informatique à l’usage des linguistes, en

français ou en anglais (les deux langues que je parle), publiés ces 10 dernières années

FRANCIS : linguistique.df. or linguistique.pb. or linguistique.cf. or linguistique.hw. or linguistique.in. or linguistique.ti. or linguistique.ca. or linguistique.tt. or linguistique.if. or linguistique.ar. or linguistique.da. or linguistique.ab. or linguistique.ts. or linguistique.jx. or linguistique.de.} & {programmation.df. or programmation.ti. or programmation.cf. or programmation.hw. or programmation.jx. or programmation.tt. or programmation.ca. or programmation.in. or programmation.ar. or programmation.da. or programmation.ab. or programmation.pb. or programmation.de.}&{ article.pt.}&{ (french or english).lg.}&{ ("1999" or "2004" or "2006" or "2003" or "2000" or "2001" or "2008" or "2007" or "2002" or "2009" or "2005").yr.}

Je cherche l’ensemble des thèses soutenues devant l’Université du Maine en 2008 et disponibles sous format électronique

SUDOC : http://www.sudoc.abes.fr/LNG=FR/DB=2.1/IMPLAND=Y/CHARSET=ISO-8859-1/CMD?FRM=&ACT=SRCHM&Recherche=Recherche&MATCFILTER=Y&MATCSET=Y&NOSCAN=Y&PARSE_MNEMONICS=N&PARSE_OPWORDS=N&PARSE_OLDSETS=N&ACT0=SRCH&IKT0=63&TRM0=mans+2008&ACT1=*&IKT1=4&TRM1=&ACT2=*&IKT2=1016&TRM2=&ACT3=*&IKT3=1016&TRM3=&SRT=RLV&ADI_JVU=&ADI_TAA=&ADI_LND=&ADI_MAT=O&ILN_DEP_BIB=DEP&ADI_BIB=&NOT_USED_ADI_BIB=&NOT_USED_ADI_ILN=

Le « web invisible »

Le Web invisible ou Web caché est la partie du Web correspondant à l'ensemble des documents qui ne sont pas indexés par les outils de recherche traditionnels. « Les ressources du Web invisible comprennent, entre autres, les sites Web construits autour d'une base de données (interrogeable uniquement par un moteur de recherche interne), les pages accessibles par un formulaire de recherche, les pages protégées par un mot de passe, les pages interdites aux robots d'indexation, les pages écrites dans des formats propriétaires, les intranets et les extranets. »

Inconvénient majeur des systèmes interopérables : on reste tout de même dans le « web invisible »

Site institutionnel

Bases de donnéesOPACs

Ressources électroniques

Éditeurs

L’interopérabilité des systèmes

La coopération entre les bibliothèques : une vieille histoire.

L’interopérabilité des catalogues vise d’abord l’échange de données.

- facilite la production des informations- facilite l’échange d’informations- facilite la circulation des documents eux-mêmes

On discerne déjà la nécessité de pratiques harmonisées entre les bibliothèques avec l’utilisation de

- normes- formats- protocoles

Tous très richement documentés !

Motivée par des nécessités économiques (baisse des coûts de production). Les nombreux efforts de normalisation en sont la conséquence.

Normes en vigueur dans les bibliothèques pour la description bibliographique :

Z 44-050 Catalogage des monographies - texte imprimé  

Z 44-063Catalogage des ressources continues

Z 44-074 Catalogage des monographies anciennes

Z 44-065   Catalogage des vidéogrammes

Z 44-066   Catalogage des enregistrements sonores

Z 44-067 Catalogage des documents cartographique

Z 44-069 Catalogage de la musique imprimée

Z 44-077Catalogage des images fixes

Z 44-078 Catalogage des parties composantes

Z 44-082   Catalogage des ressources électroniques

Z 44-073 Catalogage des monographies - texte imprimé (description allégée )

Z 44-059   Catalogage - Choix des accès à la description bibliographique

Z 44-060 Catalogage d’auteurs et d’anonymes :   forme et structure des

vedettes de collectivités auteurs

Z 44-061   Catalogage d’auteurs et d’anonymes : Forme et structure des

vedettes noms de personne, des vedettes titres, des rubriques de classement et des titres forgés

Z 44-079Catalogage - Forme et structure des vedettes titres musicaux Z 44-081

Z 44-081Catalogage - Forme et structure des vedettes : Noms géographiques

Z 44-070Documentation - Indexation analytique par matières

Z 44-005 Documentation - Références bibliographiques : contenu, forme et structure  

Formats utilisés en bibliothèque

MARC (MARC 21, UNIMARC)

DublinCore (format normalisé!), XML

Protocoles utilisés en bibliothèque :

Par exemple pour l’échange de données : Z39-50, SRU/SRW ; WAIS(Wide area information service), FTP (File transfert protocol);HTTP

L’interopérabilité, qu’est-ce que c’est ?

« L’ interopérabilité est la capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d'autres produits ou systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d'accès ou de mise en œuvre . » (AFUL)

vs

compatibilité interopérabilité

Cela nécessite une grande transparence sur les mécanismes ou les formats employés…

L’intéropérabilité en trois mouvements

Elle met en jeu trois niveaux techniques complémentaires(1) :

1. Une description des ressources avec des sémantiques communes

2. Un contexte générique d’implémentation des descriptions dans des langages structurés standardisés, interprétables par des machines

3. Un ou plusieurs protocoles informatiques d’échange de ces données normalisées

(1)Abderrazak Mkadmi, Imad Saleh, Bibliothèque numérique et recherche d’informations

La boîte à outils du bibliothécaire…

UNIMARC (< Z44-050)

ISO 2709

WAIS (Wide area information server)FTPZ39.50

DublinCore, MARCXMLMODSMETSEADLOM (Learning Object Metadata)SCORMRDA

XMLURIRDF (Resource Description and Framework)W3C

httpOAI-PMHSRU/SRW

L’interopérabilité des systèmes d’informations combine 3 niveaux techniques

Jeu de métadonnées :

Cadre générique d’implémentation :

Protocoles :

Dispositifs « synchrones » et dispositifs « asynchrones »

Pour construire l’interopérabilité entre les systèmes on peut mettre en œuvre des dispositifs :

Synchrones : Z3950, SRU/SRW, OpenURL, API, Webservices,…Ces dispositifs permettent une interrogation  « à chaud » des données. Des moteurs de recherche pointent vers des bases toujours à jour : le service distant peut remonter une information juste après sa création ou sa modification. Cette immédiateté est un avantage, mais la gestion des protocoles qui permettent cette interrogation est plus lourde.

Asynchrones : les données sont recopiées (par exemple dans un entrepôt) et pour être interrogées doivent attendre un reversement, en général planifié : une fois par jour, une fois par semaine, une fois par mois. C’est le cas d’un entrepôt OAI.

On peut mesurer cette différence en se rappelant le schéma de signelement des notices dans le SUDOC : les modifications ou créations sur les notices du réseau sont prises en compte après le transfert régulier dans le système local des membres du réseau : ce dispositif est asychnchrone. Mais si l’établissement cible a monté un serveur Z39.50, les données, une fois insérées dans le système local sont interrogeables « à chaud », en temps réel par un système distant.

Dispositifs « synchrones » et dispositifs « asynchrones »

On sera amené à choisir l’un ou l’autre mode pour construire l’interopérabilité, en fonction de la nature des informations qui doivent être fournies, et de la variabilité de ces données.

Document électronique

Peu de clés étrangères

Pas de transactions de prêt

Données à faible variabilité

Données pour une utilisation immédiate

Périodicité de mise à jour >= 1 semaine

Réindexation peu fréquente

Protocole de grande fiabilité

Imprimé

Objets de prêt

Données à grande variabilité

Données normalisées de grande fiabilité

Réindexations courantes

Schéma global d’un SID (théorique)

SIGBOPAC

Fournisseurs de notices MARCBnF, ABES, Electre, Zebris, …

Autres catalogues de bibliothèques

import

Z 39.50

SRU

Entrepôt OAI-PMHmoissonnage

« ingest »

Sources« hétérogènes »

connecteurs

API

Les Bibliothèques nationales et l’accès à l’information : le rôle de TEL et de MACS / Genevieve Clavel-Merrin

Schéma global d’un SID (existant)

La notion d’architecture de l’information

"I thought the explosion of data needed an architecture, needed a series of systems, needed systemic design, a series of performance criteria to measure it ». (Saul Wurman, 1976)

L’OPAC … vs IGP

L’OPAC de SIGB ne remplit plus son rôle de signalement auprès des usagers

On préfère parler de SID (ou d’IGP dans certains cas) pour baliser l’accès à des sources hétérogènes. De même, on parlera plutôt d’utilisateur, voire d’usager que de lecteur, et de données plutôt que de notices.

L’effort de normalisation est capital pour :

- l’homogénéité des données

- la qualité des données

Avec l’émergence de nouveaux protocoles , les données sont transportées par la couche web et s’ouvrent à d’autres niveaux d’exploitation.

Avec l’interopérabilité, les professionnels de l’info-doc pensent leur repositionnement dans le monde de l’information…

L’Interopérabilité : une stratégie de service

(*)Phillips, Gary Lee. "Z39.50 and the scholar's workstation concept." Information technology and libraries 11, (1992): 261-270.

Stratégie forte pour faire se rencontrer les outils développés par les bibliothécaires et les habitudes de travail des usagers.

Point d’entrée unique (vers des silos ou des sources externes)

Assurer un continuum entre le référencement d’une ressource et l’accès à son contenu

Nécessite que le SIGB sorte de son isolement et s’appuie sur des classes d’authentification externalisées ou déportées

Dans ce cas le SIGB doit fonctionner en synergie avec d’autres applications dans un paysage plus vaste

Stratégie au même niveau que marketing pour se rendre visible auprès des usagers dans des environnements commerciaux et/ou web-sociaux (Delicious, Facebook, Google, Netvibes)

Contexte de production d’informations et de services

Gestion financièreSIFAC (Amue)

SIGB/SIDGestion de

métadonnées et de services

ENTGestion de la

cartographie des accès

IdentitiésGestion des accès

(LDAP)

STAR, Dépôt d’archives,

Gestion de la diffusion de la

recherche

ERMsGestion des

abonnements numérique et des

métadonnées

Blog-Site web institutionnel,

Gestion d’outils participatifs

SSDSystème de suivi de

demande, gestion de la communication

Bibliothèques Numériques (Offre

éditoriale, gestion des contenus numériques)

Culture de la modularité

Exemple de modules disponibles dans le CMS Drupal

Fedora REST API eXtensible Catalog Drupal Toolkit Question/Answer module for e-mail reference service Cite DigitalNZ API Link Resolver EZProxy BibliographyMillennium Integration 5.x 2008-01-15 17:20 2008-11-12 20:16 Islandora Fedora-Drupal module Book Post oai2forcck Library MARC OAI-PMHIII authentication module LibDB Z39.50 Simple remote search

=> Outils de bibliothécaires orientés vers un usage web/portail/cms

[http://drupalib.interoperating.info/library_modules]

L’Interopérabilité : une stratégie commerciale ?

Il y a un ensemble de forces qui poussent vers l’interopérabilité

Le web crée des opportunités, des attentes et des défis qui nourrissent la demande d’évolution des SIGB

« Les coûts de maintenance des systèmes intégrés sont peu élevés et ne suffisent pas pour nourrir la recherche d’innovation. […] Cela favorise l’empilement de couches qui produisent un semblant d’interopérabilité. […] Un système réellement interopérable constitue un argument de vente qui incite à s’informatiser avec des technologies plus orientées web et gestion de flux XML » [A. K. Pace, Université de Caroline du Nord]

Avec la frustration, par exemple, de ne pas pouvoir signaler les collections numériques, les bibliothèques sont tentées « démanteler » leurs systèmes, les « désintégrer » peut-être, mais pour créer des plateformes beaucoup plus exigeantes en maintenance, ce qui risque d’inciter à revenir à un système intégré («  Notre avenir, comme notre passé, réside dans l'intégration  » !, ibid.) mais construit autrement et capable de produire une réelle interopérabilité

D’où l’apparition et l’exploitation à grande échelle des outils dits « découverte » qui peuvent « ingérer » des données hétérogènes et appliquer une modélisation payante.

Pour des raisons de gestions, les efforts sont naturellement portés vers l’intégration, alors que les usages, eux, incitent à l’éclatement. Les bibliothèques risquent d’osciller entre les Méthodes agiles (agile developments) et la robustesse d’applications intégrées capables de produire des données dans différents formats à la demande

Develop towards a moving target

By Kristin Olofsson, Swedish National Library, 2010, Journées ABES 2010 ,Libris [http://www.abes.fr/abes/documents/reseau/journees_reseau/2010/Libri.ppt]

Méthodes agiles

By Kristin Olofsson, Swedish National Library, 2010

Agile development

By Kristin Olofsson, Swedish National Library, 2010

Les quatre principes du manifeste Agile : 1) Humains et interactions plutôt que processus et outils 2) Fonctions logicielles opérationnelles plutôt que documentation 3) Collaboration avec le client plutôt que relation contractuelle 4) Adaptabilité au changement plutôt que planification

Source : Manifesto for Agile Software

Development

http://en.wikipedia.org/wiki/Agile_software_development

Stratégie forte pour faire se rencontrer les outils développés par les bibliothécaires et les habitudes de travail des usagers.

Apparitions d’outils qui montrent l’intelligence d’un « partenariat gagnant-gagnant » : des outils institutionnels qui se donnent de la visibilité au cœur des plateformes commerciales

Aller chercher l’utilisateur là où il évolue ?

… Lecture des résultats ?

Recul par rapport aux pratiques ?

Nécessité de rendre visible son travail : valorisation du service vs valorisation de l’institution.

Quelle qualité ? Quelle valeur ajoutée ? Quel intermédiation ?

Microservices : exemple de « Where »

http://cyberlib.univ-lemans.fr/where/

PPN 027161358 (TPS)

Recherche fédérée à l’Université du Maine

http://catalogues-bu.univ-lemans.fr/flora_umaine/servlet/LoginServlet?profile=anonymous&success=jsp/system/win_main.jsp&failure=jsp/error.jsp

Création: 9999:21-07-98 Modifié: 1999:28-05-13 01:31:33 Statut: 9999:26-03-99000 $025,57-58,85,149,229003 http://www.sudoc.fr/040631303008 $aObx3011 ##$a1095-8568$f0022-460X034 $aOCoLC$036946181035 ##$accn1095-8568035 ##$aissn10958568100 0#$a1964$d1964-...101 0#$aeng102 ##$aGB104 ##$au$by$cy$dba$e0$ffre110 ##$aa$bc$cy$f0$gu$hu135 ##$ad$br200 1#$a@Journal of sound and vibration$bRessource électronique207 #0$aVol. 1, issue 1 (Jan. 1964)-210 ##$aLondon$aAmsterdam$cAcademic Press$cElsevier$d1964-230 ##$aDonnées textuelles304 ##$aTitre provenant de l'écran-titre306 ##$aArticles mis en ligne par ScienceDirect309 ##$aCORRIGER LE(S) CODE(S) DE FONCTION = 000 EN 7XX, L7XX et/ou E7XX. SUPPRIMER LA PRESENTE NOTE 309 UNE FOIS LA (LES) CORRECTION(S) EFFECTUEE(S)310 ##$aArticles disponibles uniquement sur abonnement326 ##$aBimens.336 ##$aArticles en texte intégral au format html ou pdf337 ##$aConfiguration requise : navigateur internet, Adobe Acrobat Reader452 ##$003873821X@Journal of sound and vibration, ISSN 0022-460X530 1#$a@Journal of sound and vibration$bOnline531 ##$a@J. sound vib.$bOnline676 ##$a620712 02$a@IDEAL $cProject$4000801 #3$aFR$bISSN$c20100215802 ##$a01859 4#$uhttp://www.sciencedirect.com/science/journal/0022460X859 4#$uhttp://firstsearch.oclc.org859 4#$uhttp://firstsearch.oclc.org/journal=0022-460x;screen=info;ECOIP

Notice SUDOC

<?xml version='1.0' encoding='UTF-8' ?><RECORDS><RECORD><ID>3049</ID><LINKID>300461</LINKID><RESOURCEID>42731</RESOURCEID><TITLE>Journal of sound and vibration</TITLE><TITLESORT>Journal of sound and vibration</TITLESORT><SOURCE>ScienceDirect Freedom Collection</SOURCE><URL>http://www.sciencedirect.com/science/journal/0022460X</URL><PROXIEDURL>http://www.sciencedirect.com/science/journal/0022460X</PROXIEDURL><PUBLISHER>Elsevier Science Limited</PUBLISHER><PRINTISSN>0022-460X</PRINTISSN><ONLINEISSN>1095-8568</ONLINEISSN><MANAGEDCOVERAGE>1964 to present</MANAGEDCOVERAGE><MANAGEDCOVERAGEBEGIN>1964</MANAGEDCOVERAGEBEGIN><SUBJECTCODE>QC221-246</SUBJECTCODE><SUBJECTNAME>Science -- Physics -- Acoustics. Sound</SUBJECTNAME><ISCUSTOM>N</ISCUSTOM><DELETEN>N</DELETEN><DISPLAY>Y</DISPLAY><ORDERTHROUGHEBSCO>N</ORDERTHROUGHEBSCO><RESOURCETYPE>Journal</RESOURCETYPE></RECORD></RECORDS>

Notice de périodique en ligne (à partir de données d’éditeur)

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Notice LOM (provenant d’un ingest OAI-PMH) (1/2)

<CONDITIONS>Cette ressource est accessible à tous sous un contrat Creative Commons (Paternité-Pas d&#x27;utilisation commerciale- Pas de modification) http://creativecommons.org/by-nc-nd/2.0/fr/.</CONDITIONS><LEARNING_RESOURCE_TYPES><LEARNING_RESOURCE_TYPE display="cours/présentation">10</LEARNING_RESOURCE_TYPE></LEARNING_RESOURCE_TYPES><INTENDED_END_USER_ROLES><INTENDED_END_USER_ROLE>learner</INTENDED_END_USER_ROLE><INTENDED_END_USER_ROLE>teacher</INTENDED_END_USER_ROLE></INTENDED_END_USER_ROLES><CONTEXT>higher education</CONTEXT><DEGREE>licence</DEGREE><ADVICE>Dissociés de commentaires, certains transparents peuvent paraître manquer de cohérence.</ADVICE><ACTIVITIES><ACTIVITY>apprendre</ACTIVITY></ACTIVITIES><SET>ispartof</SET><SET_URL>http://perso.univ-lemans.fr/~cpotel/index.html</SET_URL><SET_DESCRIPTION>Le site Internet de Catherine Potel &#x22; Page de Catherine Potel&#x22; recense différents cours en mécanique, vibrations, acoustique, expression scientifique et technique. Ceux- ci sont donnés à des étudiants, en licence ou master à l&#x27;université du Maine.</SET_DESCRIPTION><DEWEY_ID>534</DEWEY_ID><DEWEY_LBL>Son et vibrations connexes</DEWEY_LBL><RAMEAUX><RAMEAU>Acoustique</RAMEAU><RAMEAU>Ondes sonores</RAMEAU><RAMEAU>Son -- Propagation</RAMEAU><RAMEAU>Vibrations</RAMEAU></RAMEAUX><CLASSIFICATIONS_UM><CLASSIFICATION_UM>Physique-Mécanique-Acoustique</CLASSIFICATION_UM></CLASSIFICATIONS_UM></XML_FIELD></LOM></LOMS>

Notice LOM (provenant d’un ingest OAI-PMH) (2/2)

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