La vie est une symphonie inachevée dont lécho est éternel. Sur les chemins de lamitié les vraies...

La vie est une symphonie inachevée dont l’écho est éternel.

Sur les chemins de l’amitié les vraies rencontres sont spirituelles.

Plus nous vibrons à la beauté, à la bonté, plus nous nous approchons de Dieu.

Si tu penses que la vérité n’est pas de ce monde, tu peux la chercher.

Si tu penses que la justice n’est pas de ce monde, tu peux la créer.

Si tu penses que la sagesse n’est pas de ce monde, tu peux la rêver.

Si tu penses que l’amour n’est pas de ce monde, tu peux l’inventer.

Les silences sont mots quand ils donnent l’exemple. Ils

ressemblent alors aux colonnes d’un temple dont la force

soutient et guide nos pensées, plus que toute une phrase, en

chemin arrêté.

La «vérité» c’est ce que nous risquons d’oublier parce que

ça ne se voit pas.

Un beau physique sans une belle âme est comme un

bel oiseau sans ailes.

Si tu ne veux pas avouer avec humilité une faute, une erreur, un moment de faiblesse, si tu fermes ton cœur et le garde fermé devant

ce qui se meurt et devant la détresse.

Si tu veux toujours prendre et ne jamais donner, et si tu veux te vendre pour mieux

profiter, alors tu ressembles à la fleur déjà flétrie avant

d’avoir ouvert ses pétales à la vie.

C’est parce que nous nous aimons trop ou pas assez que nous ne

pouvons aimer les autres.

Quand tu auras rempli ton ombre de lumière, et ton souffle de vie,

d’amour, alors tu sauras quel est le parfum de l’éternité.

La première pierre à poser pour que ta vie tienne debout, c’est

celle de l’amour; la deuxième, du respect; la troisième, de

l’humilité; la quatrième, de la tolérance; la cinquième, du

pardon.

Pour que demain se fasse encore meilleur qu’hier, alors plante l’amour comme un

grand plant de lierre.

Il grimpera à la fenêtre de ton

cœur, en silence, et le couvrira de

mille récompenses

Donner avec réticence n’est pas «donner» parce que donner est

une vibration de l’âme

Les luttes intérieures, les peines profondes, creusent dans le cœur

des rivières de ciel.

Regarde bien où tu poses le pied avant de faire le premier

pas, car, sur la route de la vie, nul recul n’est

possible.

Musique : Il était une fois dans l’Ouest

Présentation : Le Ber

Texte : Claire Silvera Rochon

rene202@sympatico.ca