Le nouvel hop' - numéro 1 - janvier 2008

Notre hôpital a de l'avenir

N

otre hôpital a de l'avenir

C H 4 V I L E SVille d'Avray Sèvres Saint-Cloud Chaville

Le journal interne du Centre Hospitalier des 4 Villeshop'Le nouvel

1janvier 2008

L'équipe du service Imagerie

Au centre hospitalier des quatre villes, la mutualisation se vit au quotidien dans le service d'imagerie. Pionné, ce service a été le premier à mutualiser ses compétences et ses moyens.Le mot " mutualisation " est le maître mot de toute fusion parce qu'il se décline au niveau de l'organisation, des personnels et des matériels. En janvier 2006, lors de la fusion, il existait deux services de radiologie conventionnelle : L 'un à Sèvres où étaient également réalisés des

échographies et des écho dopplers, L'autre à Saint Cloud comportait en plus un accès

au scanner et à l'IRM par convention avec le Centre René Huguenin.

Sur la base du volontariat et selon les besoins, les personnels et les médecins acceptent d'exercer leur fonction à Sèvres et à Saint-Cloud. Dès juin 2006, les deux services ont fusionné et développé l'activité sur les deux établissements. Avec Annie Schurger, cadre du service, nous avons assuré notre fonction à temps partagé sur les deux sites.

La mise en œuvre d'une liste d'astreinte médicale commune a été effective dès le début de l'année 2007 grâce à la participation de tous. Cet engagement dans la dynamique de fusion a permis une modernisation complète de l'équipement du service : Harmonisation du système informatique de gestion

des malades dès le début d'année 2007, Acquisition d'un système de numérisation d'image

opérationnel en novembre 2007, Projet de télétransmission des images entre les 2

sites en 2008, Acquisition d'un nouveau mammographe, Projet d'installation d'un scanner d'ici fin 2008 en

collaboration avec des radiologues de ville à St-Cloud.

Ce service d'imagerie mutualisé et modernisé, satisfait aux exigences actuelles des patients hospitalisés et des consultants externes.

Docteur Jean-Victor Raust

L'imagerie " Pars cours santé" du Dr Jean-Victor RaustIllustration Corinne Parchantour

Les demandes de rendez-vous pourle site de Sèvres sont à faire au secrétariat - tél. : 01.41.14.75.52et pour le site de Saint-Cloud au secrétariat - tél. : 01.49.11.60.10

laser

Dr Isabelle Pipien

Douleur quand tu nous tiens !La journée douleur du 6 décembre 2007 a traité des lombalgies, une pathologie qui concerne les trois quarts de la population : 70% des personnes connaîtront ou ont connu au moins un épisode lombalgique au cours de leur vie. Dans un petit nombre de cas, la lombalgie devient quasi permanente et risque d'aboutir à une inaptitude.L'importance de ces journées n'est plus à démontrer, l'engouement étant toujours au rendez-vous avec plus d'une centaine de participants à chaque fois.Le Comité de Lutte contre la Douleur (CLuD) créé à St Cloud, par leDr Isabelle Pipien en 1999 et par le Dr. Rosella Salvatore sur le site de Sèvres, organise en partenariat avec l'Association Pour la Recherche En Humanisation des Soins (APREHS) depuis 5 ans, unejournée dédiée à la prise en charge de la souffrance. Prochain rendez-vous, dernier trimestre 2008.Vos suggestions sont les bienvenues.

Le livret d'accueil arriveLe livret d'accueil du Centre Hospitalier des Quatre Villes, édition 2008 arrive fin janvier. Conçu pour faciliter le séjour des patients, il apporte des réponses concrètes à l'ensemble des questions liées à l'hospitalisation. Il rapelle les droits et les obligations de la personne hospitalisée. Il offre une présentation simplifiée de l'établissement.Il est un outil supplémentaire de communication. Il sera disponible dans tous les services et à l'accueil. N'oubliez pas de le diffuser.

On mutualise

p3

nouvel hop' Numéro 1 - Janvier 2008 - 2000 exemplairesQuadrimestriel à paraître début janvier, fin mai, fin novembreDirectrice de la publication : Elisabeth PACREAU, Directrice, poste 6600Rédactrice en chef : France MILLARD, Responsable de Communication, poste 2370Comité de rédaction : Christine AUDRAIN, Aide-Soignante Pasteur, Représentant du personnel, poste 5240 - Ingrid de CHEVIGNY, Infirmière, Urgences, poste 2377 - Jocelyne HANNIER, Secrétaire médicale, Anesthésie Réanimation, poste 6262 - Guillaume GIRARD, Directeur Adjoint, Direction des Ressources Humaines, poste 6310 - Corinne PARCHANTOUR, Cadre supérieur de santé, poste 2314 - Dr Jean-Victor RAUST, Président de la CME, poste 6011 - Ont participé à ce numéro : illustrations / photographies : Corinne PARCHANTOUR et Elise SEVERE.Maquette : Agence de communication Artatem - Impression : Impression Directe Dépôt légal : enregistrement en cours à la Bibliothèque de France

Journal interne du Centre hospitalier des Quatre Villes - 3 place Silly - 92210 St-Cloud Téléphone : 01 49 11 23 70 - Télécopie : 01 49 11 66 00

Le comité de rédaction

Le comité de rédaction fait appel à vos talents Le nouvel hop' a besoin de vous. Notre deuxième numéro se prépare et le Comité de Rédaction souhaite accueillir (et révéler ...) les talents.Vous avez envie d'écrire, n'hésitez plus. Un thème vous intéresse ? Suggérez-le. Vous avez un "coup de crayon" ? Dessinez pour tous. Vous souhaitez montrer vos plus belles photos ? Envoyez-les nous. Vous avez d'autres idées ? Glissez-les nous...

Nous attendons avec plaisir vos suggestions et contributionsContacter France Millard au 01 49 11 23 70 - f.millard@ch-saint-cloud.fr

Ce journalest d'abord le vôtre

Une majorité de personnels déplore le manque d'informations fiables sur l'hôpital, son avenir et sur la fusion mais aussi l'absence ou la rareté des échanges et les clivages entre services. Les sources d'information apparaissent d'ailleurs très limitées puisqu'elles se réduisent principalement aux notes de service, aux bruits de couloir (respectivement 32 % et 28%). Questionnés sur les priorités en matière de communication, les répondants ont exprimé des préoccupations très concrètes : ils veulent savoir comment l'établissement est perçu par les autorités de tutelle, connaître l'état de santé général de l'hôpital, découvrir le travail des équipes, suivre l'état d'avancement des grands projets, pouvoir décrypter les réformes et connaître leurs conséquences sur l'établissement.

0 10 20 30 40 50 60 70

58 %

35 %

7 %

information moyenne

information mauvaise

information bonne

Moins d'un agent sur dix pense que l'information est bonne.93 % estiment qu'elle est moyenne ou mauvaise.

Des résultatsqui nous interpellent !Edito

Un nouveau journal interne pour les personnels et les médecins de cet hôpital fusionné. Vous l'avez souhaité, nous l'avons fait.Pour définir son contenu, une enquête de lectorat a été réalisée auprès de plus de 100 personnes représentatives de l'hôpital. Nous avons intégré vos demandes et choisi le titre parmi vos suggestions. L'ambition du nouvel hop': répondre au besoin d'information du personnel de façon honnête et claire " avec humour, sans tabou, ni langue de bois ".Enfin, le nouvel hop' donnera la parole aux malades car la qualité de l'accueil et des soins dispensés dépend de notre compétence professionnelle et de notre capacité à écouter les patients.Pour qu'il soit agréable à lire, une consultante en communication et une journaliste professionnelle nous ont accompagnés, une maquettiste l'a mis en forme.Afin de mieux faire circuler l'information, chaque membre du comité de rédaction s'entourera d'un ou plusieurs correspondants par service ou secteur d'activité. Car ce journal est avant tout le vôtre.Pour ne pas se laisser emporter par la morosité générée par la crise hospitalière, il est essentiel de construire un projet commun. Ce journal sera votre espace d'échange, de partage et de reconnaissance du travail des équipes. A vous de raconter, suggérer, interviewer, écrire… à vous de lire et de faire lire.

Voici le premier numéroElisabeth PACREAU

A la recherche d'infirmièresDialyse péritonéale et hémodialyseL'informatisationLes urgences

sommairedu prochainnuméro

2avril 2008

p2

L'équipe du service Imagerie

Au centre hospitalier des quatre villes, la mutualisation se vit au quotidien dans le service d'imagerie. Pionné, ce service a été le premier à mutualiser ses compétences et ses moyens.Le mot " mutualisation " est le maître mot de toute fusion parce qu'il se décline au niveau de l'organisation, des personnels et des matériels. En janvier 2006, lors de la fusion, il existait deux services de radiologie conventionnelle : L 'un à Sèvres où étaient également réalisés des

échographies et des écho dopplers, L'autre à Saint Cloud comportait en plus un accès

au scanner et à l'IRM par convention avec le Centre René Huguenin.

Sur la base du volontariat et selon les besoins, les personnels et les médecins acceptent d'exercer leur fonction à Sèvres et à Saint-Cloud. Dès juin 2006, les deux services ont fusionné et développé l'activité sur les deux établissements. Avec Annie Schurger, cadre du service, nous avons assuré notre fonction à temps partagé sur les deux sites.

La mise en œuvre d'une liste d'astreinte médicale commune a été effective dès le début de l'année 2007 grâce à la participation de tous. Cet engagement dans la dynamique de fusion a permis une modernisation complète de l'équipement du service : Harmonisation du système informatique de gestion

des malades dès le début d'année 2007, Acquisition d'un système de numérisation d'image

opérationnel en novembre 2007, Projet de télétransmission des images entre les 2

sites en 2008, Acquisition d'un nouveau mammographe, Projet d'installation d'un scanner d'ici fin 2008 en

collaboration avec des radiologues de ville à St-Cloud.

Ce service d'imagerie mutualisé et modernisé, satisfait aux exigences actuelles des patients hospitalisés et des consultants externes.

Docteur Jean-Victor Raust

L'imagerie " Pars cours santé" du Dr Jean-Victor RaustIllustration Corinne Parchantour

Les demandes de rendez-vous pourle site de Sèvres sont à faire au secrétariat - tél. : 01.41.14.75.52et pour le site de Saint-Cloud au secrétariat - tél. : 01.49.11.60.10

laser

Dr Isabelle Pipien

Douleur quand tu nous tiens !La journée douleur du 6 décembre 2007 a traité des lombalgies, une pathologie qui concerne les trois quarts de la population : 70% des personnes connaîtront ou ont connu au moins un épisode lombalgique au cours de leur vie. Dans un petit nombre de cas, la lombalgie devient quasi permanente et risque d'aboutir à une inaptitude.L'importance de ces journées n'est plus à démontrer, l'engouement étant toujours au rendez-vous avec plus d'une centaine de participants à chaque fois.Le Comité de Lutte contre la Douleur (CLuD) créé à St Cloud, par leDr Isabelle Pipien en 1999 et par le Dr. Rosella Salvatore sur le site de Sèvres, organise en partenariat avec l'Association Pour la Recherche En Humanisation des Soins (APREHS) depuis 5 ans, unejournée dédiée à la prise en charge de la souffrance. Prochain rendez-vous, dernier trimestre 2008.Vos suggestions sont les bienvenues.

Le livret d'accueil arriveLe livret d'accueil du Centre Hospitalier des Quatre Villes, édition 2008 arrive fin janvier. Conçu pour faciliter le séjour des patients, il apporte des réponses concrètes à l'ensemble des questions liées à l'hospitalisation. Il rapelle les droits et les obligations de la personne hospitalisée. Il offre une présentation simplifiée de l'établissement.Il est un outil supplémentaire de communication. Il sera disponible dans tous les services et à l'accueil. N'oubliez pas de le diffuser.

On mutualise

p3

nouvel hop' Numéro 1 - Janvier 2008 - 2000 exemplairesQuadrimestriel à paraître début janvier, fin mai, fin novembreDirectrice de la publication : Elisabeth PACREAU, Directrice, poste 6600Rédactrice en chef : France MILLARD, Responsable de Communication, poste 2370Comité de rédaction : Christine AUDRAIN, Aide-Soignante Pasteur, Représentant du personnel, poste 5240 - Ingrid de CHEVIGNY, Infirmière, Urgences, poste 2377 - Jocelyne HANNIER, Secrétaire médicale, Anesthésie Réanimation, poste 6262 - Guillaume GIRARD, Directeur Adjoint, Direction des Ressources Humaines, poste 6310 - Corinne PARCHANTOUR, Cadre supérieur de santé, poste 2314 - Dr Jean-Victor RAUST, Président de la CME, poste 6011 - Ont participé à ce numéro : illustrations / photographies : Corinne PARCHANTOUR et Elise SEVERE.Maquette : Agence de communication Artatem - Impression : Impression Directe Dépôt légal : enregistrement en cours à la Bibliothèque de France

Journal interne du Centre hospitalier des Quatre Villes - 3 place Silly - 92210 St-Cloud Téléphone : 01 49 11 23 70 - Télécopie : 01 49 11 66 00

Le comité de rédaction

Le comité de rédaction fait appel à vos talents Le nouvel hop' a besoin de vous. Notre deuxième numéro se prépare et le Comité de Rédaction souhaite accueillir (et révéler ...) les talents.Vous avez envie d'écrire, n'hésitez plus. Un thème vous intéresse ? Suggérez-le. Vous avez un "coup de crayon" ? Dessinez pour tous. Vous souhaitez montrer vos plus belles photos ? Envoyez-les nous. Vous avez d'autres idées ? Glissez-les nous...

Nous attendons avec plaisir vos suggestions et contributionsContacter France Millard au 01 49 11 23 70 - f.millard@ch-saint-cloud.fr

Ce journalest d'abord le vôtre

Une majorité de personnels déplore le manque d'informations fiables sur l'hôpital, son avenir et sur la fusion mais aussi l'absence ou la rareté des échanges et les clivages entre services. Les sources d'information apparaissent d'ailleurs très limitées puisqu'elles se réduisent principalement aux notes de service, aux bruits de couloir (respectivement 32 % et 28%). Questionnés sur les priorités en matière de communication, les répondants ont exprimé des préoccupations très concrètes : ils veulent savoir comment l'établissement est perçu par les autorités de tutelle, connaître l'état de santé général de l'hôpital, découvrir le travail des équipes, suivre l'état d'avancement des grands projets, pouvoir décrypter les réformes et connaître leurs conséquences sur l'établissement.

0 10 20 30 40 50 60 70

58 %

35 %

7 %

information moyenne

information mauvaise

information bonne

Moins d'un agent sur dix pense que l'information est bonne.93 % estiment qu'elle est moyenne ou mauvaise.

Des résultatsqui nous interpellent !Edito

Un nouveau journal interne pour les personnels et les médecins de cet hôpital fusionné. Vous l'avez souhaité, nous l'avons fait.Pour définir son contenu, une enquête de lectorat a été réalisée auprès de plus de 100 personnes représentatives de l'hôpital. Nous avons intégré vos demandes et choisi le titre parmi vos suggestions. L'ambition du nouvel hop': répondre au besoin d'information du personnel de façon honnête et claire " avec humour, sans tabou, ni langue de bois ".Enfin, le nouvel hop' donnera la parole aux malades car la qualité de l'accueil et des soins dispensés dépend de notre compétence professionnelle et de notre capacité à écouter les patients.Pour qu'il soit agréable à lire, une consultante en communication et une journaliste professionnelle nous ont accompagnés, une maquettiste l'a mis en forme.Afin de mieux faire circuler l'information, chaque membre du comité de rédaction s'entourera d'un ou plusieurs correspondants par service ou secteur d'activité. Car ce journal est avant tout le vôtre.Pour ne pas se laisser emporter par la morosité générée par la crise hospitalière, il est essentiel de construire un projet commun. Ce journal sera votre espace d'échange, de partage et de reconnaissance du travail des équipes. A vous de raconter, suggérer, interviewer, écrire… à vous de lire et de faire lire.

Voici le premier numéroElisabeth PACREAU

A la recherche d'infirmièresDialyse péritonéale et hémodialyseL'informatisationLes urgences

sommairedu prochainnuméro

2avril 2008

p2

Vous souhaitez poser 3 questions. A qui ? Quel sujet ?Pour participer, il suffit d'envoyer votre demande par mail à :

France Millard : f.millard@ch-saint-cloud.fr

Comment envisagez-vous l'avenir du Centre Hospitalier des Quatre Villes ?Jacques Métais : " L'avenir du centre hospitalier dépend de sa capacité à restructurer géographiquement ses activités, à trouver son équilibre financier et à anticiper les évolutions démographiques des personnels médicaux et soignants ".

3 Cette fusion permet de créer un hôpital de 250 lits MCO sur 2 sites. Dans un contexte régional très concurrentiel, et de mise en place de la T2A, ce niveau d'activité vous semble t-il suffisant ? Jacques Métais : " Un hôpital de 250 lits génère des activités suffisantes à deux conditions : la première est que ces activités ne soient pas trop variées, la seconde est que leur répartition géographique favorise une économie d'échelle ".

2 La fusion des hôpitaux de Sèvres et de Saint-Cloud était-elle indispensable ? Peut-on revenir sur cette fusion ? Jacques Métais : " Oui la fusion des deux hôpitaux était indispensable pour donner à l'ensemble une masse critique suffisante. Revenir sur cette fusion serait suicidaire pour les deux établissements ".

1 de neuf doc' Jacques Métais visite le CH4V le 28 août 2007

Christine AUDRAIN, aide-soignante et représentante du personnel, Jocelyne HANNIER, secrétaire médicale ont recueilli les interrogations du personnel au cours de l'enquête de lectorat.Trois questions ses sont imposées. Les personnels ont souhaité interrogerM. Jacques Métais, Directeur de l'Agence Régionale d'Hospitalisation

T2A : Tarification A l'Activité : réforme majeure mise en place en 2004. Le budget de l'hôpital est financé à 100 % par les recettes de ses activités de soins : hospitalisations, consultations, etc… Désormais, l'hôpital se finance par ce qu'il fait, et non plus simplement par ce qu'il est.

p5

Une chambre de chirurgie rénovéegrâce à la fusion

maternité publique sur le secteur. Le privé se positionne peu sur la

médecine, sur les soins de suite. Un programme d'investissement de 50 millions d'euros financés par la tutelle, accompagne la restructuration. Les travaux débutés en 2006 s'échelonneront jusqu'en 2013 ! Les premières réalisations sont d'ores et déjà bien tangibles.Loin de disparaître l'hôpital poursuit sa modernisation ! Sa métamorphose se fera en 3 étapes :Décembre 2008 :sélection de l'architecte et signature du marché des travaux,Novembre 2009 :transfert des activités d'alcoologie de St-Cloud à Sèvres,Juillet 2013 :transfert de la maternité de Sèvres à St-Cloud.

Consultante en communication - Marie-Georges FAYN

le projet prévoit, à terme,

d'installer le pôle femme-enfant stérilité et le pôle

bloc-anesthésie-réanimation-chirurgie à Saint-Cloud. Le pôle médecine, alcoologie,

soins de suite-réadaptation et médico-technique, sera réparti sur les deux sites. Plus de doublons donc mais un regroupement simple et lisible des activités. Principale conséquence : un changement dans les pratiques de travail. "L'heure est à la mutualisation et le personnel médical et non médical doit aller travailler là où on a besoin de lui " conseille le Dr Jean-Victor Raust, Président de la Commission Médicale d'Etablissement.Cette stratégie bénéficie du soutien de l'Agence Régionale d'Hospitalisation qui raisonne en fonction des territoires de santé. Il n'existe pas d'autre

Mais les choses allaient changer. Dès 1999, le Centre Hospitalier de St-Cloud signait un partenariat novateur avec le Centre René Huguenin, le seul en France entre un centre hospitalier général et un centre de lutte contre le cancer. Cette opération permit la reconstruction complète des blocs opératoires, des laboratoires et de la stérilisation des 2 établissements sur le site du Centre René Huguenin. Imposée par la "raison", cette coopération a été mal acceptée par les personnels et les médecins. Chacun a eu le sentiment d'être dépossédé : il avait perdu, l'autre avait tout gagné. En 2003, une recomposition de l'offre de soins a été étudiée par un consultant externe. Il a proposé de constituer un Groupement de Coopération Sanitaire couvrant les besoins de santé du centre des Hauts de Seine. Cette coopération concernait une clinique privée, 2 hôpitaux publics, et un centre anti-cancéreux. L'objectif était de créer des pôles d'excellence adaptés aux attentes des usagers de l'ouest parisien. Ce plan fut de nouveau rejeté.Après trois ans d'études complémentaires, la fusion entre les deux hôpitaux publics, s'imposa comme seule solution d'avenir. Elle fut officialisée par l'ARH, le 1er janvier 2006. Pourquoi ? Parce qu'entre temps le contexte avait changé et notamment le mode de financement des établissements de santé. Très vite, la fameuse Tarification à l'Activité (T2A), se

révélait particulièrement défavorable aux hôpitaux de petite taille. " Il fallait réagir et vite " se souvient Elisabeth Pacreau. "En plus nous étions confrontés à une pénurie de médecins et de soignants, préjudiciable à la continuité du service public. Et pour corser le tout, la concurrence ne cessait de gagner des parts de marché".Moins convaincus que les décideurs, médecins et personnels adoptèrent une position prudente de soutien. Il fallut dépasser les clivages entre St-Cloud et Sèvres, discuter, pacifier, négocier et réexpliquer encore pour donner envie d'avancer ensemble. Aujourd'hui le principe de la fusion est admis de même que la nécessité de répartir l'offre de soins de façon plus rationnelle. Ainsi, s'appuyant sur les performances des équipes,

Saint Cloud et Sèvres sont deux petits hôpitaux publics respectivement de 100 et de 150 lits situés à moins de 3,5 km l'un de l'autre et coincés dans un des environnements les plus concurrentiels de France :

La clinique chirurgicale le Val d'Or et le Centre René Huguenin, un centre de lutte contre le cancer, très proches.

2 gros centres hospitaliers Foch et Ambroise Paré dans un rayon de 1 km,

Plus de 30 cliniques privées et hôpitaux dont certains très réputés dans un rayon de 10 kms.

La fusion : un projet qui remonte à 1997A ce contexte déjà difficile s'ajoutaient d'autres handicaps : un plateau médico-technique obsolète, des locaux globalement vétustes, des activités dispersées et redondantes. "L'offre de St Cloud et de Sèvres manquait de perspective et surtout elle ne répondait pas aux attentes d'une clientèle exigeante" résume Elisabeth Pacreau, Directrice. Forts de ce constat, les responsables envisagèrent une fusion. Dès 1997, un premier rapprochement fut tenté. Les crispations soulevées furent telles que chacun préféra en rester là. Pourquoi ? Par défiance entre les corps médicaux des deux établissements, à cause d'un rapport de force défavorable pour Sèvres, pour préserver des intérêts individuels…

L'histoired'une fusion

Espérée par les uns, redoutée par les autres, la fusion du Centre Hospitalier de Saint-Cloud et du Centre Hospitalier Intercommunal de Sèvres a déchaîné un torrent de rumeurs. Les bruits les plus alarmants circulent encore " l'hôpital va fermer… Demain, nous n'existerons plus ". Or il s'agit exactement du contraire : rassembler ses forces pour accroître sa performance dans un secteur hyperconcurrentiel. Retour sur les motifs d'un choix ô combien stratégique…

Lifting

p4

Vous souhaitez poser 3 questions. A qui ? Quel sujet ?Pour participer, il suffit d'envoyer votre demande par mail à :

France Millard : f.millard@ch-saint-cloud.fr

Comment envisagez-vous l'avenir du Centre Hospitalier des Quatre Villes ?Jacques Métais : " L'avenir du centre hospitalier dépend de sa capacité à restructurer géographiquement ses activités, à trouver son équilibre financier et à anticiper les évolutions démographiques des personnels médicaux et soignants ".

3 Cette fusion permet de créer un hôpital de 250 lits MCO sur 2 sites. Dans un contexte régional très concurrentiel, et de mise en place de la T2A, ce niveau d'activité vous semble t-il suffisant ? Jacques Métais : " Un hôpital de 250 lits génère des activités suffisantes à deux conditions : la première est que ces activités ne soient pas trop variées, la seconde est que leur répartition géographique favorise une économie d'échelle ".

2 La fusion des hôpitaux de Sèvres et de Saint-Cloud était-elle indispensable ? Peut-on revenir sur cette fusion ? Jacques Métais : " Oui la fusion des deux hôpitaux était indispensable pour donner à l'ensemble une masse critique suffisante. Revenir sur cette fusion serait suicidaire pour les deux établissements ".

1 de neuf doc' Jacques Métais visite le CH4V le 28 août 2007

Christine AUDRAIN, aide-soignante et représentante du personnel, Jocelyne HANNIER, secrétaire médicale ont recueilli les interrogations du personnel au cours de l'enquête de lectorat.Trois questions ses sont imposées. Les personnels ont souhaité interrogerM. Jacques Métais, Directeur de l'Agence Régionale d'Hospitalisation

T2A : Tarification A l'Activité : réforme majeure mise en place en 2004. Le budget de l'hôpital est financé à 100 % par les recettes de ses activités de soins : hospitalisations, consultations, etc… Désormais, l'hôpital se finance par ce qu'il fait, et non plus simplement par ce qu'il est.

p5

Une chambre de chirurgie rénovéegrâce à la fusion

maternité publique sur le secteur. Le privé se positionne peu sur la

médecine, sur les soins de suite. Un programme d'investissement de 50 millions d'euros financés par la tutelle, accompagne la restructuration. Les travaux débutés en 2006 s'échelonneront jusqu'en 2013 ! Les premières réalisations sont d'ores et déjà bien tangibles.Loin de disparaître l'hôpital poursuit sa modernisation ! Sa métamorphose se fera en 3 étapes :Décembre 2008 :sélection de l'architecte et signature du marché des travaux,Novembre 2009 :transfert des activités d'alcoologie de St-Cloud à Sèvres,Juillet 2013 :transfert de la maternité de Sèvres à St-Cloud.

Consultante en communication - Marie-Georges FAYN

le projet prévoit, à terme,

d'installer le pôle femme-enfant stérilité et le pôle

bloc-anesthésie-réanimation-chirurgie à Saint-Cloud. Le pôle médecine, alcoologie,

soins de suite-réadaptation et médico-technique, sera réparti sur les deux sites. Plus de doublons donc mais un regroupement simple et lisible des activités. Principale conséquence : un changement dans les pratiques de travail. "L'heure est à la mutualisation et le personnel médical et non médical doit aller travailler là où on a besoin de lui " conseille le Dr Jean-Victor Raust, Président de la Commission Médicale d'Etablissement.Cette stratégie bénéficie du soutien de l'Agence Régionale d'Hospitalisation qui raisonne en fonction des territoires de santé. Il n'existe pas d'autre

Mais les choses allaient changer. Dès 1999, le Centre Hospitalier de St-Cloud signait un partenariat novateur avec le Centre René Huguenin, le seul en France entre un centre hospitalier général et un centre de lutte contre le cancer. Cette opération permit la reconstruction complète des blocs opératoires, des laboratoires et de la stérilisation des 2 établissements sur le site du Centre René Huguenin. Imposée par la "raison", cette coopération a été mal acceptée par les personnels et les médecins. Chacun a eu le sentiment d'être dépossédé : il avait perdu, l'autre avait tout gagné. En 2003, une recomposition de l'offre de soins a été étudiée par un consultant externe. Il a proposé de constituer un Groupement de Coopération Sanitaire couvrant les besoins de santé du centre des Hauts de Seine. Cette coopération concernait une clinique privée, 2 hôpitaux publics, et un centre anti-cancéreux. L'objectif était de créer des pôles d'excellence adaptés aux attentes des usagers de l'ouest parisien. Ce plan fut de nouveau rejeté.Après trois ans d'études complémentaires, la fusion entre les deux hôpitaux publics, s'imposa comme seule solution d'avenir. Elle fut officialisée par l'ARH, le 1er janvier 2006. Pourquoi ? Parce qu'entre temps le contexte avait changé et notamment le mode de financement des établissements de santé. Très vite, la fameuse Tarification à l'Activité (T2A), se

révélait particulièrement défavorable aux hôpitaux de petite taille. " Il fallait réagir et vite " se souvient Elisabeth Pacreau. "En plus nous étions confrontés à une pénurie de médecins et de soignants, préjudiciable à la continuité du service public. Et pour corser le tout, la concurrence ne cessait de gagner des parts de marché".Moins convaincus que les décideurs, médecins et personnels adoptèrent une position prudente de soutien. Il fallut dépasser les clivages entre St-Cloud et Sèvres, discuter, pacifier, négocier et réexpliquer encore pour donner envie d'avancer ensemble. Aujourd'hui le principe de la fusion est admis de même que la nécessité de répartir l'offre de soins de façon plus rationnelle. Ainsi, s'appuyant sur les performances des équipes,

Saint Cloud et Sèvres sont deux petits hôpitaux publics respectivement de 100 et de 150 lits situés à moins de 3,5 km l'un de l'autre et coincés dans un des environnements les plus concurrentiels de France :

La clinique chirurgicale le Val d'Or et le Centre René Huguenin, un centre de lutte contre le cancer, très proches.

2 gros centres hospitaliers Foch et Ambroise Paré dans un rayon de 1 km,

Plus de 30 cliniques privées et hôpitaux dont certains très réputés dans un rayon de 10 kms.

La fusion : un projet qui remonte à 1997A ce contexte déjà difficile s'ajoutaient d'autres handicaps : un plateau médico-technique obsolète, des locaux globalement vétustes, des activités dispersées et redondantes. "L'offre de St Cloud et de Sèvres manquait de perspective et surtout elle ne répondait pas aux attentes d'une clientèle exigeante" résume Elisabeth Pacreau, Directrice. Forts de ce constat, les responsables envisagèrent une fusion. Dès 1997, un premier rapprochement fut tenté. Les crispations soulevées furent telles que chacun préféra en rester là. Pourquoi ? Par défiance entre les corps médicaux des deux établissements, à cause d'un rapport de force défavorable pour Sèvres, pour préserver des intérêts individuels…

L'histoired'une fusion

Espérée par les uns, redoutée par les autres, la fusion du Centre Hospitalier de Saint-Cloud et du Centre Hospitalier Intercommunal de Sèvres a déchaîné un torrent de rumeurs. Les bruits les plus alarmants circulent encore " l'hôpital va fermer… Demain, nous n'existerons plus ". Or il s'agit exactement du contraire : rassembler ses forces pour accroître sa performance dans un secteur hyperconcurrentiel. Retour sur les motifs d'un choix ô combien stratégique…

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Si vous ne désirez pas figurer dans cette rubrique,Contacter France MILLARD au 01 49 11 23 70

f.millard@ch-saint-cloud.fr

Bienvenue à Emmanuelle LievensEmmanuelle Lievens a pris ses fonctions de cadre hôtelier sur les deux sites de Sèvres et St-Cloud le 15 octobre dernier. Au sein du CH4V, elle a pour mission d'améliorer l'accueil hôtelier.Ses valeurs du service public et ses

compétences ont été appréciées par tous, patients , collègues et médecins. Nous la regrettons déjà et ne manquerons pas de la rappeler aussi souvent qu'elle nous le permettra !

Départ d'Anita PopoffAvec la discrétion qui la caractérise, Anita Popoff a choisi de mettre un terme à son activité d'infirmière en consultation après 32 ans d'exercice au

Fidèle à ses valeurs, elle continuera à accompagner cet hôpital en organisant des rencontres musicales.Quant à la direction du pôle d'hébergement des personnes âgées, la relève est assurée avec Annie Lelièvre.

Denise Zorzini, Directrice adjointe, vient de prendre sa retraite après 24 ans de fonctionVendredi 30 octobre 2007, vous êtes venus nombreux pour la saluer. Accompagnée au piano par Fabrice Jordier et en chansons par Tony Maroselli et Carole Duquennne, son pot de départ, organisé à Lelégard, autour d'un feu de bois, fut à son image : convivial et chaleureux.

Pendant 5 ans, elle a organisé avec ses élèves des voyages pour les résidents du Parc à Saint-Brévin-Les-Pins.Nommée cadre à la résidence du Parc en 1992, elle a consacré 15 ans à améliorer la vie des résidents et les conditions de travail du personnel.Elle a fait régner l'harmonie entre les résidents, les familles et le personnel.

Départ de Mauricette Riché à la retraite le 5 décembre 2007Mauricette Riché est arrivée au Centre Hospitalier de Saint-Cloud en 1987 et a débuté comme enseignante à l'école d'aide-soignante.

Les bruitsdu cœur

La qualitéAccrédité à St-Cloud en 2005, à Sèvres en 2006, le Centre Hospitalier a établi un Plan d'Action Qualité commun (PAQ) mis en œuvre dès maintenant. Dès 2008, l'hôpital s'engage dans la deuxième étape de la démarche qualité pour une certification V2 en 2010.

Au programme : Diffusion du manuel V2 à tous les responsables de

secteur, Tenue de deux conférences d'information

ouvertes à tous, Organisation d'une session de formation pour les

médecins, Mise en place d'ateliers pratiques pour acquérir les

outils et la méthodologie des EPP.

Un nouveau challenge à relever pour toutes les équipes !

p7

Certification - V2Après l'évaluation des organisations (accréditation V1), il est obligatoire d'apprécier et d'évaluer les pratiques médicales : certification V2. La V2 vise plus particulièrement à renforcer la qualité du service médical rendu.C'est une démarche d'évaluation externe, commune aux établissements de santé publics et privés. EPP - Evaluation des Pratiques Professionnelles

Analyse des écarts entre les pratiques médicales locales et les

référentiels par discipline et secteur d'activité.

Dic hop'microscope numérique

spermatozoïdes grossis 6000 fois

Le Dr Olivier Kulskiet le Dr Joëlle Belaisch-Allart

Une fusion entre ovule et spermatozoïde En direct du labo de nos 2 envoyées spécialesDans un espace exigu s'alignent microscopes, hottes, étuves, paillasses et congélateurs. Une ambiance particulière y règne, où silence, concentration et application sont de rigueur. C'est là, que tous les jours, grâce aux quatre techniciens, fusionnent spermatozoïdes et ovocytes…Grâce notamment à l'acquisition d'un microscope numérique de toute dernière génération, l'équipe du " labo FIV " peut se prévaloir d'un taux de réussite de 30 % contre 25 % au niveau national. Ce microscope grossit 6000 fois (au lieu de 400 pour un microscope traditionnel), et permet une sélection beaucoup plus pointue des spermatozoïdes, en fonction de leur forme, leur mobilité, leur aspect. Cette précision augmente considérablement les chances de grossesse.Le laboratoire communique avec le bloc opératoire et se situe à proximité des différentes salles de recueil de sperme et de transfert d'embryon vers l'utérus de la femme. Il est au cœur du parcours de soin des couples.Lors d'une consultation préalable avec l'un des membres de l'équipe médicale du Dr Joëlle Belaisch-Allart et en concertation étroite avec le biologiste du laboratoire, le type d'assistance à la procréation est décidé. Il s'agira, en fonction du type d'infertilité du couple, d'une insémination intra-utérine, d'une fécondation in vitro classique ou d'une ICSI (Injection Intra Cytoplasmique de Spermatozoïde). Pour toutes ces techniques, spermatozoïdes et/ou ovocytes seront obligatoirement examinées et sélectionnées à la loupe du microscope.La qualité de la prise en charge du couple infertile dans le service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction du site de Sèvres, dirigé par le Dr Belaisch-Allart, vient d'être récompensé par l'obtention de la certification ISO 9001. " Donner les meilleurs résultats possibles, avancer avec la science et satisfaire les patients, sont 3 objectifs qui ont toujours motivé notre travail et ont permis l'obtention de cette certification " précise le Dr Olivier Kulski. Ingrid de CHEVIGNY - Infirmière service des urgences - St- CloudChristine AUDRAIN - Aide-Soignante Lelégard - Représentante du personnel

Fécondation in vitro Conférence Dr Joëlle Belaisch-AllartC'est à Sèvres qu'est née Alexia en juin 1982, le 2ème bébé éprouvette français, et depuis, le service de Procréation Médicalement Assistée n'a cessé de se développer. Stimulation de l'ovulation, insémination intra-utérine, fécondation in vitro et fécondation assistée sont assurées par l'équipe du Dr Joëlle Belaisch-Allart.Une fois par mois, le Dr Joëlle Belaisch-Allart, chef du service de Gynécologie-obstétrique et d'assistance à la procréation, organise à l'attention des couples, une conférence" Fécondation In Vitro ". Pôle d'excellence, ce service jouit d'une renommée nationale. Son activité s'organise autour de trois axes : la gynécologie (médicale et chirurgicale), le suivi des grossesses et la maternité, l'assistance médicale à la procréation.

Christine Audrain - Aide-Soignante Lelégard - Représentante du personnelSecrétariat FIV - 01 41 14 75 24

Certification" LABO FIV "

Qualité

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Si vous ne désirez pas figurer dans cette rubrique,Contacter France MILLARD au 01 49 11 23 70

f.millard@ch-saint-cloud.fr

Bienvenue à Emmanuelle LievensEmmanuelle Lievens a pris ses fonctions de cadre hôtelier sur les deux sites de Sèvres et St-Cloud le 15 octobre dernier. Au sein du CH4V, elle a pour mission d'améliorer l'accueil hôtelier.Ses valeurs du service public et ses

compétences ont été appréciées par tous, patients , collègues et médecins. Nous la regrettons déjà et ne manquerons pas de la rappeler aussi souvent qu'elle nous le permettra !

Départ d'Anita PopoffAvec la discrétion qui la caractérise, Anita Popoff a choisi de mettre un terme à son activité d'infirmière en consultation après 32 ans d'exercice au

Fidèle à ses valeurs, elle continuera à accompagner cet hôpital en organisant des rencontres musicales.Quant à la direction du pôle d'hébergement des personnes âgées, la relève est assurée avec Annie Lelièvre.

Denise Zorzini, Directrice adjointe, vient de prendre sa retraite après 24 ans de fonctionVendredi 30 octobre 2007, vous êtes venus nombreux pour la saluer. Accompagnée au piano par Fabrice Jordier et en chansons par Tony Maroselli et Carole Duquennne, son pot de départ, organisé à Lelégard, autour d'un feu de bois, fut à son image : convivial et chaleureux.

Pendant 5 ans, elle a organisé avec ses élèves des voyages pour les résidents du Parc à Saint-Brévin-Les-Pins.Nommée cadre à la résidence du Parc en 1992, elle a consacré 15 ans à améliorer la vie des résidents et les conditions de travail du personnel.Elle a fait régner l'harmonie entre les résidents, les familles et le personnel.

Départ de Mauricette Riché à la retraite le 5 décembre 2007Mauricette Riché est arrivée au Centre Hospitalier de Saint-Cloud en 1987 et a débuté comme enseignante à l'école d'aide-soignante.

Les bruitsdu cœur

La qualitéAccrédité à St-Cloud en 2005, à Sèvres en 2006, le Centre Hospitalier a établi un Plan d'Action Qualité commun (PAQ) mis en œuvre dès maintenant. Dès 2008, l'hôpital s'engage dans la deuxième étape de la démarche qualité pour une certification V2 en 2010.

Au programme : Diffusion du manuel V2 à tous les responsables de

secteur, Tenue de deux conférences d'information

ouvertes à tous, Organisation d'une session de formation pour les

médecins, Mise en place d'ateliers pratiques pour acquérir les

outils et la méthodologie des EPP.

Un nouveau challenge à relever pour toutes les équipes !

p7

Certification - V2Après l'évaluation des organisations (accréditation V1), il est obligatoire d'apprécier et d'évaluer les pratiques médicales : certification V2. La V2 vise plus particulièrement à renforcer la qualité du service médical rendu.C'est une démarche d'évaluation externe, commune aux établissements de santé publics et privés. EPP - Evaluation des Pratiques Professionnelles

Analyse des écarts entre les pratiques médicales locales et les

référentiels par discipline et secteur d'activité.

Dic hop'microscope numérique

spermatozoïdes grossis 6000 fois

Le Dr Olivier Kulskiet le Dr Joëlle Belaisch-Allart

Une fusion entre ovule et spermatozoïde En direct du labo de nos 2 envoyées spécialesDans un espace exigu s'alignent microscopes, hottes, étuves, paillasses et congélateurs. Une ambiance particulière y règne, où silence, concentration et application sont de rigueur. C'est là, que tous les jours, grâce aux quatre techniciens, fusionnent spermatozoïdes et ovocytes…Grâce notamment à l'acquisition d'un microscope numérique de toute dernière génération, l'équipe du " labo FIV " peut se prévaloir d'un taux de réussite de 30 % contre 25 % au niveau national. Ce microscope grossit 6000 fois (au lieu de 400 pour un microscope traditionnel), et permet une sélection beaucoup plus pointue des spermatozoïdes, en fonction de leur forme, leur mobilité, leur aspect. Cette précision augmente considérablement les chances de grossesse.Le laboratoire communique avec le bloc opératoire et se situe à proximité des différentes salles de recueil de sperme et de transfert d'embryon vers l'utérus de la femme. Il est au cœur du parcours de soin des couples.Lors d'une consultation préalable avec l'un des membres de l'équipe médicale du Dr Joëlle Belaisch-Allart et en concertation étroite avec le biologiste du laboratoire, le type d'assistance à la procréation est décidé. Il s'agira, en fonction du type d'infertilité du couple, d'une insémination intra-utérine, d'une fécondation in vitro classique ou d'une ICSI (Injection Intra Cytoplasmique de Spermatozoïde). Pour toutes ces techniques, spermatozoïdes et/ou ovocytes seront obligatoirement examinées et sélectionnées à la loupe du microscope.La qualité de la prise en charge du couple infertile dans le service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction du site de Sèvres, dirigé par le Dr Belaisch-Allart, vient d'être récompensé par l'obtention de la certification ISO 9001. " Donner les meilleurs résultats possibles, avancer avec la science et satisfaire les patients, sont 3 objectifs qui ont toujours motivé notre travail et ont permis l'obtention de cette certification " précise le Dr Olivier Kulski. Ingrid de CHEVIGNY - Infirmière service des urgences - St- CloudChristine AUDRAIN - Aide-Soignante Lelégard - Représentante du personnel

Fécondation in vitro Conférence Dr Joëlle Belaisch-AllartC'est à Sèvres qu'est née Alexia en juin 1982, le 2ème bébé éprouvette français, et depuis, le service de Procréation Médicalement Assistée n'a cessé de se développer. Stimulation de l'ovulation, insémination intra-utérine, fécondation in vitro et fécondation assistée sont assurées par l'équipe du Dr Joëlle Belaisch-Allart.Une fois par mois, le Dr Joëlle Belaisch-Allart, chef du service de Gynécologie-obstétrique et d'assistance à la procréation, organise à l'attention des couples, une conférence" Fécondation In Vitro ". Pôle d'excellence, ce service jouit d'une renommée nationale. Son activité s'organise autour de trois axes : la gynécologie (médicale et chirurgicale), le suivi des grossesses et la maternité, l'assistance médicale à la procréation.

Christine Audrain - Aide-Soignante Lelégard - Représentante du personnelSecrétariat FIV - 01 41 14 75 24

Certification" LABO FIV "

Qualité

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Illustration deCorinne Parchantour

Extrait analyse 2006 des questionnaires de sortieCorinne Parchantour

J'aime pas...la literie inconfortable,les portes qui claquent dans les couloirs,le p't dèj' servi trop tard et le dîner trop tôt,à peine guéri être pressé vers la sortie.

J'aime...être soulagé quand j'ai mal,qu'on respecte mon intimité,les conseils pour préparer ma sortie,le personnel qui se présente en entrant dans ma chambre.

j'aime... j'aime pas...!

Les secrets du Vieux Grimoire ont ravi la centaine d'enfants venusassister, le 15 décembre dernier, à la fête de Noël.

BoulogneBillancourt

Vaucresson

Garches

Meudon

SuresnesRueil-Malmaison

Issy-lesMoulineaux

Bois deBoulogne Paris 16ème

Paris 15ème

Marnes-la-Coquette

Saint-Cloud

Sèvres

Chaville

Villed'Avray

H

H

225 lits et places MCO

292 lits de maisons de retraite

1 220 personnels dont 226 médecins

100 000 consultations dans plus de 33spécialités

26 000 passages aux urgences

17 203 séjours hospitaliers

7 291 interventions chirurgicales

18 000 000 d'actes de biologie

3 600 naissances

600 fécondations in vitro

80 M€ : budget defonctionnement

Les chiffres clés 2006