Nicolas Marx - Architecture Portfolio

NICOLAS MARXPORTFOLIO

Juin 2013

2012-2013

2010-2012

Juin 2009

2004-2009

Formation

Ecole polytechnique de Lausanne (EPFL), SuisseBachelor en architecture

Université de Montréal (UDEM), CanadaAnnée d'échange étudiant - faculté d’architecture

Ecole polytechnique de Lausanne (EPFL), SuisseFaculté d’architecture

Obtention maturité suisse scientifique

Lycée Liceo Lugano 2 (LiLu2), Lugano, Suisse

Juin-Août 2011

Fevrier-Août 2010

Juin-Août 2008

Juin-Août 2006/07

Restauration de chalet, aide menuisier, Château-d’Oex, Suisse

Stage d’architecture, bureau AAEO, Lausanne, Suisse

Restauration de chalet, aide menuisier, Château-d’Oex, Suisse

“Petite Maison Antiquités”, assistant restauration d’antiquités, Les Moulins, Suisse

Expériences professionnelles

n.marx89@gmail.com

Avenue de Sévelin 2B,

1007 Lausanne, Suisse

Suisse: (+41) 79 714 84 40

17 juin 1989

Nationalité suisse

Nicolas Marx

Expositions - activités

Septembre 2012

Avril 2012

Exposition des projets “Soul Sisters”, cathédrale de Lausanne, Suisse

Workshop d’analyse de bâtiment par dessin paramétrique, Biasca, Suisse

Compétences

Langues

Intérêt

VectorWorks, ArchiCad, (AutoCad)

SketchUp, Rhino, Maxon Cinema 4D, Artlantis Studio

Adobe Photoshop, InDesign

Final Cut Studio

Microsoft Office

Stage linguistique intensif en anglais, EC Montréal, Canada

Travail manuel, dessin, menuiserie, cuisine, jardinage, randonnée

Italien

Français

Anglais

Allemand

langue maternelle

bilingue

niveau intermédiaire

connaissance de base

Aout 2012

Dessin à main levée, création de maquette, découpe laser, photographie

Knocking on heaven's door

Home( less )

Percevoir son habitat

Prison environnementale

Soul sister

index

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_pp

extra _43

Knocking on heaven's doorLe projet de l’aménagement d’un cimetière est

délicat. D’autant plus s’il se trouve en pleine ville.

C’est un terrain public et sacré à la fois. Il faut trouver

un équilibre entre le monde des vivants et celui des

morts.

Le site choisi est très particulier. Un espace fermé à

une sortie d’autoroute, au nord de la ville de

Lausanne. La circulation continue des voitures pose la

question de l’intimité et du recueillement. La vie et la

mort sont en opposition.

La surface du cimetière est creusée dans la terre

jusqu’à la roche apparente. Le fait d’être en

contrebas atténuera le bruit et la vision de la

circulation.

Les urnes funéraires sont placées directement dans la

roche. La plantation d’arbres située au-dessus

représente symboliquement un nouveau cycle de vie.

La chapelle ainsi que les infrastructures de service

seront installées dans la roche même.

Le silence et la paix seront ainsi respectés.

Atelier Bakker & Blanc, EPFL, Lausanne

Travail en binôme (Jeremy Ratib), automne 2011

Durée du projet: 3 moins

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Les fractures dans le terrain

permettent de protéger le

visiteur et garantissent le

respect de la sacralité du

columbarium, ce dernier

situé directement dans la

roche creusée.

Pour ce projet, chaque étudiant a reçu une structure en

bois en vue d’aménager un des " 1 6  îlots" disponibles.

L’objectif étant de créer une sorte de "ville verticale" où les

différents projets coexisteraient à l’intérieur de cette

"matrice".

Le choix du programme était libre. J’ai pris en compte le fait

que, suivant les estimations, en 2050 plus de 75 % de la

population habitera la ville. Ceci aura pour conséquence

l’augmentation du nombre de personnes sans domicile fixe.

L’idée est de concevoir des espaces de première nécessité

mis à disposition des personnes sans abri.

Le projet se divise en 2 parties. La première comportant des

éléments de logement individuel disposés en

"échafaudages". Chaque module se composant d’un lit (à

extraire durant la nuit) d’une table et siège pour la journée.

Ces modules peuvent se combiner entre eux pour former de

petites agglomérations suivant le libre choix des occupants.

La seconde partie, comprenant les espaces communs

(sanitaires - petites cuisines - casiers individuels) sont

regroupés au centre de la matrice à l’intérieur de mon "îlot".

Atelier Dieter Dietz, EPFL, Lausanne

Travail individuelle, printemps 2011

Durée du projet: 2 moins

H o m e ( l e s s )

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Le module, de 125cm sur

250cm, offre diverses

options selon les besoins:

lit, escalier ou table.

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L’une des particularités de la cathédrale de Lausanne est l'asymétrie

présente sur ça façade. L’une des deux tours est en effet restée

inachevée depuis sa construction au XIIe siècle pour des raisons

économiques et jusqu'à aujourd'hui aucune ajout n’a été fait.

De là l’idée de concevoir une nouvelle tour, une extension destinée à

accueillir les pèlerin provenant du chemin de Saint-Jacques de

Compostelle, mais aussi un lieu de recherche pour des étudiants en

science de la théologie. Un endroit unique à mi-chemin entre cloitre et

auberge, un lieu de partage, de repos et de contemplation.

L’extension se veut discrète et respectueuse du construit existant. La

structure, en ossature en bois, repose sur la base massive en pierre par un

double système en traction-compression qui limite les ancrages et

préserve les anciens murs en molasse. En façade, les panneaux de cuivre

entrent en dialogue avec la cathédrale, s’oxydant progressivement et

créant ainsi une trace du temps en harmonie avec le reste de la

structure.

Depuis la ville le gîte, impénétrable, se fond dans la masse. Mais, si l’on

tourne le regard vers l’est, les ouvertures depuis les chambres offrent une

vue surplombant la cathédrale, guidant le pèlerin vers un voyage

d’introspection. Ainsi, l’expérience se situe entre le sacre et le profane.

Atelier Bakker & Blanc, EPFL, Lausanne

Travail en binôme (Jeremy Ratib), printemps 2012

Durée du projet: 3 moins

Soul Sister

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Le chemin de

"Saint-Jacques de

Compostelle",

passant par la

cathédrale de

Lausanne.

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A-A

B -B

C-C

D-D

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A-A B -B

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C-C D-D

Recherche de la matérialité

par maquettes: Mock-up 1:1

montrant la liaison entre le

mur en molasse et la

nouvelle façade en cuivre,

maquette 1:50.

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Causer des dégâts à l’environnement est un crime contre la nature qui

touche indirectement tous les habitants de la planète. Mais est-ce que ces

personnes sont-elles dangereuses à tel point d'être renfermées dans une

prison traditionnelle ?

Le projet tente à repenser ce qu’est une prison, en particulier pour des crimes

envers l’environnement.

L’idée est de transformer ces criminels en agriculteurs. Le prisonnier se

formerait dans une “ferme urbaine” dans laquelle fruits et légumes peuvent

être cultivés tout le long de l’année. Le projet se divise en quatre composants

principaux :

Les logements des détenus : plutôt que des cellules individuelles, ce sont des

dortoirs où le prisonnier sont libres d’interagir entre eux.

Les surfaces de productions agricoles : s’organisent sur un système verticale,

permettant une augmentation de la surface productive tout en limitant

l’impact brut au sol. Fruits et légumes sont cultivés en bac, solution simple qui

réduit l’utilisation d’eau.

Les zones d’apprentissage du métier agricole : situé en proximité des tours

permet d’intégrer à la formation théorique aussi le travail sur champs.

Le marché public : permet aux habitant d'acheter directement les produits

cultivés sur place. C’est le lien social et économique entre la ville et la prison.

Atelier Thomas Balaban, UDEM, Montréal

Travail individuelle, automne 2012

Durée du projet: 3 moins

Prison environnementale

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Organisation:

Logements prisonniers _1Ferme verticale _2Potager public _3Enseignement _4Administration _5

4

5

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1

2

3

GRAINES

COMPOST

8%

DECHET VEGETAUXFRUIT - LEGUMESconsommation GDANSK

STOCK EAU

TOITURE / BASSIN

PHOTOVOLTAIC

PLUIE

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Partant d’un gabarit donné, les étudiants avaient la liberté de

proposer un programme à développer.

Je me suis intéressé à la conception d’une habitation pour

une personne non-voyante.

La question initiale est : Comment, en l’absence de vision,

s’orienter dans l’espace ?

Les différentes formes de pièces, étudiées lors d’un précédent

exercice d'exploration paramétrique, cherchent à amplifier

les perceptions sensorielles, en particulier le toucher et l’ouïe.

La chambre à coucher est petite : ceci afin d’avoir toujours

des repères proches et de donner une sensation de

protection.

Par contre, le hall est vaste pour permettre une circulation

fluide.

La salle de bain très haute de plafond cherche l’intimité dans

le son.

Le salon, à l’étage, est vitré pour profiter de la chaleur solaire.

Et enfin la terrasse, qui suivant l’orientation, "canalise" le vent

et donne une sensation de liberté.

Atelier Dieter Dietz, EPFL, Lausanne

Travail en binôme (Charle Capré), automne 2010

Durée du projet: 2 semaines

Percevoir son habitat

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Le processus de recherche

formelle dérive d’une

analyse des pleins et des

vides d’un ancien exercice

de modélisation 3D.

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Re-lever de l'environnement construit

L’objectif de ce workshop était d’apprendre à exécuter le relevé d’un environnement construit avec des outils tels que la nivelle laser et le Geodolite.En collaboration avec des étudiants de génie civile et de l’environnement, il à été possible redessiner les plans et les coupes d’un vieil arsenal militaire à partir des données mesurées précédemment. Observer, comprendre et représenter graphiquement sont les étapes nécessaires en vue d’une future rénovation.

Workshop ENAC, tuteur Luca Conti, EPFL, BiascaRelevé en groupe - dessin individuel, printemps 2012Durée: 1 semaine

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_1

Dessins à la mainPeinture sur toile _1

Fusain sur papier _2

Gouache sur papier _3

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_2 _3

n.marx89@gmail.com

Avenue de Sévelin 2B

1007 Lausanne, Suisse

Suisse: +41 79 714 84 40

Nicolas Marx