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Guide de l’accompagnateur
Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé
PLANIF-ISS
2 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
Le guide de l’accompagnateur visant à Mieux planifier pour réduire les iniquités de santé a été élaboré dans le cadre du programme Formation en utilisation de la recherche pour cadres qui exercent dans la santé (FORCES) de la Fondation canadienne de la recherche sur les services de santé. Sous la direction de Martine Bouchard, directrice générale adjointe au soutien, administration et performance et directrice qualité, évaluation, performance et éthique, CISSS de la Montérégie‐Est
Ginette Lafontaine, adjointe à la planification, l’évaluation et la recherche Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Julie Loslier, médecin‐conseil Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Kareen Nour, chercheure Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Rédaction Mariève Lafontaine‐Messier, courtière de connaissances, CISSS de la Montérégie‐Est Sarah Dutilly‐Simard, agente de planification, programmation et recherche, Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Ce document est disponible en version électronique sur l’extranet de l’Agence www.extranet.santemonteregie.qc.ca, section santé publique Reproduction ou téléchargement autorisés à des fins non commerciales avec mention de la source : LAFONTAINE‐MESSIER, M. et DUTILLY‐SIMARD, S. Mieux planifier pour réduire les iniquités de santé – Guide de l’accompagnateur. Sous la direction de BOUCHARD, M., LAFONTAINE, G., LOSLIER, J. et NOUR, K. Longueuil, Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre et CISSS de la Montérégie‐Est, 2015, 20 p. et annexes. Dans ce document, le générique masculin est utilisé sans intention discriminatoire et uniquement dans le but d’alléger le texte. Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2015 ISBN : 978‐2‐89342‐673‐0 (version imprimée) ISBN : 978‐2‐89342‐674‐7 (PDF) © Tous droits réservés Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie‐Centre et Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie‐Est, année 2015.
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 3
Table des matières Introduction .................................................................................................................................... 5 Section 1 ‐ Étapes préalables aux ateliers ...................................................................................... 6 Impliquer les personnes directement touchées par les ISS et leurs représentants .................... 7
A – Recruter, au sein du Comité MC, des représentants des usagers en situation de pauvreté et des intervenants terrain travaillant auprès d’eux ....................................... 7
B – Réaliser une étude des besoins des PESP au regard des services de santé et des services sociaux ............................................................................................................... 8
Accompagner le Comité dans la compréhension de son rôle face à la réduction des ISS .......... 9 A – Clarifier le mandat du Comité ........................................................................................ 9 B – Évaluer l’actualisation de la responsabilité populationnelle dans la planification
antérieure ........................................................................................................................ 9 Développer et adapter les outils qui seront utilisés pendant les ateliers ................................. 10
A – Un portrait socio‐économique et sanitaire des populations du territoire ................... 10 B – Un profil de consommation des services en maladies chroniques sur le
territoire ........................................................................................................................ 11 C – Une cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire ...................... 12 D – Une sélection d’images pour le « Photovoix » .............................................................. 13 E – Un outil de planification des actions centrées sur la réduction des ISS ........................ 13 F – Un recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des ISS en
MC ................................................................................................................................. 14 G – Des napperons de planification .................................................................................... 14 H – Un questionnaire d’appréciation pour chacun des trois ateliers ................................. 14
Section 2 ‐ Contenu des ateliers ................................................................................................... 15 Atelier 1 ‐ Favoriser la prise de conscience concernant l’importance et l’urgence
d’agir pour réduire les ISS ..................................................................................... 16 Atelier 2 ‐ Sensibiliser les participants sur les meilleures pratiques de planification
considérant spécifiquement les ISS ...................................................................... 17 Atelier 3 ‐ Mettre en application les acquis des deux premiers ateliers ............................... 18
Section 3 ‐ Évaluation ................................................................................................................... 19 Annexes ......................................................................................................................................... 20 Annexe 1 Aide‐mémoire pour la formation des représentants des usagers – lignes
directrices pour favoriser leur participation aux ateliers Annexe 2 Guide pour le déroulement des groupes de discussion (focus groups) Annexe 3 Proposition de mandat pour le Comité MC Annexe 4 Outil d’autoévaluation de l’actualisation de la responsabilité
populationnelle Annexe 5 Portrait – données socio‐économiques et sanitaires sur le territoire du RLS
Pierre‐De Saurel Annexe 6 Profil de consommation des services en maladies chroniques sur le
territoire du RLS Pierre‐De Saurel Annexe 7 Cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS
Pierre‐De Saurel Annexe 8 Photovoix – quelques exemples d’images
4 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
Annexe 9 Outil de planification des actions centrées sur la réduction des inégalités sociales de santé
Annexe 10 Recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des inégalités sociales de santé en maladies chroniques
Annexe 11 Napperons de planification Annexe 12 Questionnaires d’appréciation des ateliers Annexe 13 Guide d’entrevue individuelle
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6 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
SECTION 1 Étapes préalables aux ateliers Dans le cas décrit dans le présent document, le processus d’accompagnement a été réalisé et évalué auprès du Comité de coordination local en MC, qui a pour mandat d’améliorer la prévention et la gestion des MC sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel en agissant sur l’ensemble du continuum de services. À l’amorce du projet, ce comité (Comité MC) était composé de gestionnaires clinico‐administratifs du RLS et de deux médecins. Le succès d’un processus d’accompagnement dépend de la qualité de sa préparation. De ce fait, avant le premier atelier, une série d’actions préparatoires ont dû être réalisées :
1. Impliquer les personnes directement touchées par les ISS et leurs représentants : A ‐ Recruter, au sein du Comité MC, des représentants des usagers en situation
de pauvreté et des intervenants terrain travaillant auprès d’eux; B ‐ Réaliser une étude des besoins des PESP au regard des services de santé et
des services sociaux.
2. Accompagner le Comité dans la compréhension de son rôle par rapport à la réduction des ISS :
A ‐ Clarifier le mandat du Comité; B ‐ Évaluer l’actualisation de la responsabilité populationnelle dans la
planification antérieure.
3. Développer et adapter les outils qui seront utilisés pendant les ateliers : A. Un portrait socio‐économique et sanitaire des populations du territoire; B. Un profil de consommation des services en maladies chroniques sur le
territoire; C. Une cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire; D. Une sélection d’images pour le « Photovoix »; E. Un outil de planification des actions centrées sur la réduction des ISS; F. Un recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des ISS
en MC; G. Des napperons de planification; H. Un questionnaire d’appréciation pour chacun des trois ateliers.
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 7
1 Impliquer les personnes directement touchées par les ISS et leurs représentants
Une situation d’inégalités ne peut être adéquatement comprise que si le point de vue de ceux et celles qui sont directement touché(e)s est pris en compte. Leur implication dans le processus d’identification des ISS et des pistes d’actions à prioriser pour les réduire permet d’aborder la problématique sous un angle plus personnel et est essentielle pour que les services soient mieux adaptés à leur situation. Parallèlement, une telle stratégie accroît l’intérêt des différents acteurs envers la consultation populaire ou des approches de type « patient‐partenaire » qui cherchent à accorder une place aux populations cibles dans l’identification et le développement d’actions visant à améliorer leur milieu et leurs conditions de vie. Deux actions peuvent être mises en œuvre pour assurer une bonne prise en compte de l’opinion des personnes touchées par les ISS.
A – Recruter, au sein du Comité MC, des représentants des usagers en situation de pauvreté et des intervenants terrain travaillant auprès d’eux
Au minimum, deux représentants des usagers, un intervenant d’organisme communautaire (OC) et des intervenants du CISSS (par ex. : nutritionniste, organisateur communautaire du CLSC, etc.) travaillant auprès de la population en situation de pauvreté devaient être recrutés au sein du Comité MC. Ces personnes étaient appelées à prendre part à l’analyse de la situation et à l’identification de pistes de solutions. Pour assurer le succès de l’intégration des représentants des usagers en situation de pauvreté, il est important, voire nécessaire, de les préparer à la tâche qui les attend. Pour ce faire, il est fortement suggéré de rencontrer ces nouveaux membres du Comité avant le premier atelier. L’Aide‐mémoire pour la formation des représentants des usagers – lignes directrices pour favoriser leur participation aux ateliers, présenté à l’annexe 1, résume quelques points d’information à leur communiquer. Il comporte les sections suivantes :
• La clarification du contexte des travaux du Comité pour lequel leur participation est souhaitée;
• La clarification de leur rôle à jouer au sein du Comité; • La description détaillée des ateliers qui seront réalisés et la préparation initiale qui
leur est demandée.
8 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
B – Réaliser une étude des besoins des PESP au regard des services de santé et des services sociaux
Pour mieux comprendre le contexte particulier dans lequel évoluent les PESP et les conséquences des ISS sur leurs conditions de vie, une étude de leurs besoins doit être effectuée et les résultats présentés au cours du processus d’accompagnement. Dans le cadre du projet FORCES, elle a été réalisée grâce à la conduite de deux focus groups :
• Avec des informateurs‐clés gravitant auprès de ces populations (représentants municipaux, policiers, représentants d’organismes communautaires, intervenants terrains du CLSC, etc.);
• Auprès d’usagers recevant des services en maladies chroniques, notamment des membres de la population en situation de pauvreté.
Au cours de ces focus groups, deux stratégies ont été utilisées pour favoriser la discussion : 1‐ Présentation de la vidéo « Inégaux » : Cette capsule d'animation illustre concrètement ce que représentent les ISS à Montréal. Elle est destinée à diffuser de façon simple et pertinente un message fondé sur des données probantes démontrant les écarts sociaux de santé sur l'île de Montréal (https://www.youtube.com/watch?v=l9lIHDrNNXo). À la suite du visionnement, quelques questions ont été posées pour lancer la discussion.
2‐ Réalisation de l’activité « Photovoix » : Cette méthode de recherche participative « utilise la photographie pour représenter l’expérience et communiquer aux autres ses perceptions, émotions, et opinions qui parfois demeurent sous silence. »1 Pour plus d’information sur la conduite d’un Photovoix, voir l’annexe 8.
Le Guide pour le déroulement des groupes de discussion (focus groups), présenté à l’annexe 2, fait une proposition pour le déroulement des groupes de discussion.
1 Loignon C., et coll. Le projet Équisanté. Présentation dans le cadre du Colloque 27e Entretiens Jacques Cartier, Sherbrooke, 6 octobre 2014
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 9
2 Accompagner le Comité dans la compréhension de son rôle par rapport à la réduction des ISS
Les ateliers peuvent être conduits avec un comité nouvellement constitué ou, au contraire, complètement fonctionnel. Dans l’un ou l’autre cas, il peut être difficile pour les membres du Comité de comprendre de quelle façon la réduction des ISS s’intègre à leur mandat. Deux activités préalables peuvent alors être réalisées.
A – Clarifier le mandat du Comité Dans le cadre du projet FORCES, le mandat du Comité MC a été révisé pour y intégrer une meilleure prise en compte des ISS. On peut également suggérer d’adapter le niveau de langage à la présence nouvelle des membres de la population (représentants des usagers et d’OC) en évitant le plus possible l’utilisation de termes techniques. La Proposition de mandat pour le Comité MC, présentée à l’annexe 3, offre un exemple à ce sujet.
B – Évaluer l’actualisation de la responsabilité populationnelle dans la planification antérieure
La responsabilité populationnelle (RP) sous‐tend le maintien et l’amélioration de la santé et du bien‐être de la population par une offre de services adaptée aux besoins de tous les groupes de population et par des actions sur les déterminants de la santé. Ce principe recommande la prise en compte des populations vulnérables dans la planification des activités en santé. Un outil d’auto‐évaluation de l’actualisation de la responsabilité populationnelle a été développé en 2012 par la Direction de santé publique de la Montérégie en collaboration avec le CSSS Pierre‐Boucher, maintenant intégré au CISSS de la Montérégie‐Est, et l’Initiative de partage des connaissances et de développement des compétences (IPCDC). Son objectif est, dans une perspective d’amélioration continue, d’apprécier la prise en compte de la responsabilité populationnelle à toutes les étapes de planification et d’élaboration d’un projet clinique (ou autre processus de planification) d’un Réseau local de services (RLS). L’Outil d’auto‐évaluation de l’actualisation de la responsabilité populationnelle, présenté à l’annexe 4, permet de vérifier si ce volet a été pris en compte dans la planification antérieure. Dans le cadre du processus d’accompagnement, l’analyse des réponses a démontré que les questions portant sur la prise en compte des ISS aux différentes étapes de planification étaient celles qui avaient les scores les plus faibles.
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3 Développer et adapter les outils qui seront utilisés pendant les ateliers
Plusieurs outils ont été développés pour favoriser l’acquisition de connaissances tout au long du processus d’accompagnement. Ils ont pour but de rassembler des données probantes et autres éléments d’informations permettant d’éclairer les participants sur les contextes d’inégalités sociales de santé et la réalité des PESP sur un territoire donné. Ces outils ont permis d’améliorer la perception des membres du Comité quant à l’urgence, la pertinence et leur capacité d’agir pour réduire les ISS. Ils sont présentés ici pour servir d’exemples de ce qui peut être développé dans chaque région.
A – Un portrait socio‐économique et sanitaire des populations du territoire
Ce premier outil révèle les données statistiques sur la population du territoire, dont la connaissance et la maîtrise constituent un levier dans l’amélioration de l’offre de services de santé. Ces données permettent, par exemple, de comparer la situation de la population favorisée et celle de la population défavorisée selon différents indicateurs socio‐économiques. Les données sanitaires, quant à elles, permettent de dresser le portrait de l’état de santé et du bien‐être de la population d’un territoire donné, et de ses habitudes de vie. À cette étape, il est très important d’utiliser les données les plus spécifiques possible à la région ou au territoire concerné. Toutefois, les sources de données fines sont rares et le choix d’indicateurs appropriés est très restreint. Il est nécessaire d’exploiter au maximum les sources disponibles auprès des équipes de surveillance de l’état de santé de la population des paliers local, régional et national. Les données statistiques socio‐économiques et sanitaires peuvent être obtenues par différentes sources d’information, dont les suivantes :
• Enquête nationale auprès des ménages 2011 (Bureau de la statistique du Québec) (https://www12.statcan.gc.ca/nhs‐enm/index‐fra.cfm) : Résultats d’une enquête volontaire réalisée auprès du tiers des ménages canadiens, qui est venue remplacer le questionnaire long obligatoire anciennement distribué par Statistiques Canada.
• Santéscope (INSPQ) (http://www2.inspq.qc.ca/santescope/) : À travers ses multiples volets, fournit des données générales sur l’état de santé et de bien‐être de la population du Québec selon différentes perspectives.
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 11
• Portraits types territoriaux (ASSSM, 2013)(http://extranet.santemonteregie.qc.ca/sante‐publique/surveillance‐etat‐sante/portrait‐type‐territorial.fr.html) : Présentent sommairement les principauxindicateurs du Plan commun de surveillance, disponibles au palier local.
• Indicateurs de développement des communautés par territoire (ASSSM, 2012)(http://extranet.santemonteregie.qc.ca/sante‐publique/promotion‐prevention/dsdc/idc.fr.html) : Présentent un ensemble d’indicateurs du Plan communde surveillance, notamment en lien avec les déterminants sociaux de la santé et ledéveloppement des communautés;
• SOM, Enquête sur les maladies chroniques en Montérégie (2009)(http://extranet.santemonteregie.qc.ca/sante‐publique/surveillance‐etat‐sante/index.fr.html) : Enquête a permis de comparer le niveau de revenu, leshabitudes de vie et la prévalence des maladies chroniques entre le RLS Pierre‐DeSaurel et la Montérégie;** N.B. : Les résultats de cette enquête ne sont pas disponibles en ligne. Pour lesobtenir, se référer à l’équipe de surveillance de l’état de santé de la population de laDSP de la Montérégie
• Fichier des décès (MSSS). Base de données administratives diffusée par le ministère de la Santé et des Services sociaux et produite par l’Institut de la statistique du Québec depuis 1981;
• Équipe de surveillance de chaque région : La fonction surveillance de l'état de santéde la population s'inscrit dans un processus continu de collecte, d’analyse,d’interprétation et de diffusion d’informations relatives à l’état de santé despopulations et de leurs déterminants.
Le napperon intitulé Portrait – données socio‐économiques et sanitaires sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel, retrouvé à l’annexe 5, présente une série de tableaux et de graphiques illustrant certaines données socio‐économiques et sanitaires.
B – Un profil de consommation des services en maladies chroniques sur le territoire
Une planification adéquate doit aussi tenir compte du profil de consommation des services de santé par les différents groupes de population, ce qui permet de mieux les adapter aux différentes réalités.
Dans le cadre du projet FORCES, l’aide de l’Institut national de santé publique (INSPQ) et d’une archiviste du CSSS Pierre‐De Saurel a été demandée pour obtenir des données sur les profils de consommation des services en MC des populations défavorisées et favorisées. Par
12 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
exemple, on a comparé la prévalence du diabète, la proportion de la population diabétique utilisant certains services de santé du RLS, de même que la couverture et l’intensité de l’utilisation des services du CLSC (ex. activités éducatives, test de glycémie, profil services généraux, profil santé physique) entre les groupes défavorisés et favorisés de la population souffrant de maladies chroniques. De plus, certaines données sur le coût des services liés aux maladies chroniques ont été présentées.
Ces analyses ont surtout utilisé l’information issue de deux bases de données : • Le système d’information sur la clientèle et les services des CSSS – mission CLSC (I‐
CLSC) : Banque de données qui contient des renseignements personnels et qui fournit des données sur les demandes de services, les usagers et les interventions concernant les services dispensés en CSSS
• Le système intégré de surveillance des maladies chroniques du Québec (SISMACQ) : Système novateur de surveillance des maladies chroniques développé par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Il est le résultat du jumelage de cinq fichiers médicoadministratifs, mis à jour annuellement.
Le napperon intitulé Profil de consommation des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel, présenté à l’annexe 6, offre des exemples de tableaux et de graphiques générés à l’aide des données d’utilisation des services.
C – Une cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire Les outils de cartographie permettent de transformer les données en image afin d’aider à mieux comprendre la situation que l’on veut décrire. Dans le cadre du projet FORCES, la cartographie a permis de positionner les ressources du CSSS Pierre‐De Saurel et des organismes communautaires pour les personnes souffrant de maladies chroniques et de les mettre en lien avec : la densité de population, le niveau de défavorisation matérielle, le niveau de défavorisation sociale et le niveau de défavorisation combinée. Les données utilisées pour ce faire proviennent de Santéscope (INSPQ) et de la liste des services établie avec les acteurs du milieu. Les napperons Cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel, à l’annexe 7, présentent des exemples de cartographie des services.
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 13
D – Une sélection d’images pour le « Photovoix » Le Photovoix est une stratégie de recherche participative où les participants se basent sur des photos pour exprimer leurs perceptions et leurs émotions. Les photos les aident à réfléchir sur leur vie quotidienne et à identifier les problèmes tels qu'ils les perçoivent, en plus de faciliter la formulation de leurs propres solutions à ces problèmes. Cette méthode participative est reconnue pour sa capacité à mobiliser les gens. En règle générale, les participants à un atelier de Photovoix prennent eux‐mêmes les photos de sujets qui les préoccupent. Dans le cadre du projet FORCES, l’équipe d’accompagnateurs a suggéré une série de 18 photos illustrant des barrières à l’utilisation des services en maladies chroniques et les participants étaient appelés à faire leur choix parmi celles‐ci. Le Photovoix s’est réalisé en trois étapes principales2 :
• Étape 1 : Prendre quelques minutes pour regarder les photos. • Étape 2 : Identifier trois images qui représentent le mieux, selon vous, les barrières les
plus importantes à l’utilisation des services de santé par les personnes en situation de pauvreté.
• Étape 3 : Faire un tour de table pour permettre à chaque personne de préciser les raisons qui ont mené son choix. Pourquoi ces images? Qu’est‐ce qu’elles représentent?
Une suggestion d’images pour la réalisation du Photovoix est présentée à l’annexe 8.
E – Un outil de planification des actions centrées sur la réduction des ISS La planification d’activités est la clé pour une meilleure prise en compte des ISS et l’élaboration d’actions qui permettent de les réduire ou, à tout le moins, de ne pas les accentuer. Toutefois, à notre connaissance, aucun modèle de planification existant n’offre spécifiquement de guide pour bien tenir compte de la réduction des ISS dans la planification. L’Outil de planification des actions centrées sur la réduction des inégalités sociales de santé, présenté à l’annexe 9, a été créé dans le cadre du projet FORCES pour combler cette lacune. Il se base sur divers modèles de planification et présente une série de recommandations pour mieux prendre en compte la réduction des ISS. Ces dernières sont fortement inspirées de la grille REFLEX‐ISS de Guichard et coll. (2015)3.
2 Pour plus d’information sur cette méthode de recherche participative, consulter, entre autres sources, Loignon C., et coll. Le projet Équisanté. Présentation dans le cadre du Colloque 27es Entretiens Jacques Cartier, Sherbrooke, 6 octobre 2014. 3 Guichard, A., Ridde, V., Nour, K., Lafontaine, G. (2015). Mieux prendre en considération les inégalités sociales de santé : outil RÉFLEX‐ISS, Université Laval, Université de Montréal et Direction de santé publique de la Montérégie‐CISSS de la Montérégie‐Centre.
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F – Un recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des inégalités sociales de santé en maladies chroniques
Rendre disponibles des exemples de projets prometteurs e permet de renforcer la perception de la capacité d’agir des membres du Comité. Une recension rapide de projets porteurs a donc été réalisée pour le Québec, le Canada et le monde. Des exemples de projets permettant d’agir pour réduire les ISS en lien avec les maladies chroniques ont été regroupés au sein du Recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des inégalités sociales de santé en maladies chroniques, présenté à l’annexe 10.
G – Des napperons de planification Il est essentiel de permettre aux membres du Comité d’exécuter un exercice pratique de planification pour favoriser l’appropriation de l’information présentée tout au long du processus d’accompagnement. Cet exercice doit appeler les membres du Comité à réaliser toutes les étapes du processus de planification en bénéficiant des conseils et de l’aide des accompagnateurs. Les Napperons de planification, présentés à l’annexe 11, offrent un exemple de feuilles de travail qui peuvent être utilisées pour encadrer l’exécution de cet exercice pratique.
H – Un questionnaire d’appréciation pour chacun des trois ateliers L’appréciation des ateliers a pour but d’avoir le pouls de la satisfaction des participants et permet de repérer, entres autres, les activités les plus et les moins appréciées. L’objectif est ici de réajuster certaines stratégies d’animation ou de compléter l’information transmise. L’annexe 12 présente les Questionnaires d’appréciation des ateliers utilisés dans le cadre des trois ateliers du processus d’accompagnement.
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 15
SECTION 2 Contenu des ateliers Les trois ateliers inclus dans le processus d’accompagnement visent ultimement à favoriser une meilleure prise en compte des ISS et du contexte particulier des PESP dans la planification d’actions et de services en santé. Les trois ateliers visent à :
• Démontrer la pertinence et l’urgence d’agir pour réduire les ISS (atelier 1); • Faire prendre conscience de la faisabilité d’agir pour réduire les ISS (atelier 2); • Passer à l’action (atelier 3).
Le but ultime des ateliers de ce projet FORCES est de favoriser l’acquisition de connaissances et de compétences sur l’intégration des ISS dans la planification d’activités en MC. Critères de succès d’une animation faite par les accompagnateurs Certains points doivent être respectés pour favoriser le succès de l’animation :
• S’assurer que tous les participants respectent l’opinion des autres; • Susciter la participation de tous; • Utiliser un langage accessible à tous et s’assurer de bien vulgariser l’information
technique; • Favoriser une prise de décisions basée le plus possible sur l’atteinte d’un consensus; • Être bien préparé(e)s – s’assurer de ne pas improviser pendant les ateliers.
Mode de fonctionnement suggéré
• Définir le rythme des rencontres avec les membres du Comité; • Se limiter à des rencontres de deux heures; • S’assurer de respecter l’horaire établi; • Envoyer les documents au moins une semaine l’avance pour permettre aux
participants de se familiariser avec l’information. N.B. Il est important de mentionner que le processus d’accompagnement n’a pas à être limité à trois ateliers. Il est tout à fait possible de prévoir des rencontres supplémentaires selon les besoins des membres du Comité.
16 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
Atelier 1 Démontrer la pertinence et l’urgence d’agir pour réduire les ISS
Objectifs 1. Susciter l’engagement des membres du Comité; 2. Améliorer la connaissance et la valorisation du rôle et du mandat du Comité au regard de la
réduction des ISS; 3. Renforcer la perception des membres du Comité quant à la pertinence d’agir pour réduire
les ISS en MC; 4. Accroître les connaissances sur les ISS, les maladies chroniques et les profils de
consommation des services sur le territoire.
Déroulement suggéré
4 Dans le cas où un comité n’aurait pas de mandat développé, une proposition de mandat peut être faite pour aider les participants à clarifier leur rôle en lien avec les PESP et les ISS.
Activités Documents à prévoir Durée
• Information sur le déroulement de l’atelier ‐ 2 minutes
• Tour de table (présentation de chacun) ‐ 15 minutes
• Présentation de la dernière version du mandat du Comité et valorisation de son rôle4
Proposition/ adaptation du mandat
15 minutes
• Discussion de la perception des personnes présentes sur les réalités vécues par les PESP. Le visionnement de la vidéo de la DSP de Montréal « Inégaux » constitue la base de la discussion. Quelques questions pour lancer la discussion : o À la suite de ce visionnement, quels sont selon
vous, les grands constats liés à la pauvreté? o Que pensez‐vous de ces constats? o Cette situation s’applique‐t‐elle, selon vous, à
votre territoire?
Vidéo DSP de Montréal « Inégaux »
15 minutes
• Présentation des données pour illustrer clairement la situation des ISS sur le territoire
Données statistiques et cartographie
30 minutes
• Tour de table sur ce que les participants retiennent des informations présentées au cours de l’atelier
5 minutes
• Remise du questionnaire d'auto‐évaluation pour relever le défi de la responsabilité populationnelle ‐ à compléter avant le 2e atelier
Questionnaire d'auto‐évaluation pour relever
le défi de la RP 5 minutes
• Questionnaire d’appréciation de l’atelier Questionnaire 5 minutes
TOTAL 1 h 32
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 17
Atelier 2 Faire prendre conscience de la faisabilité d’agir pour réduire les ISS
Objectifs 1. Accroître les connaissances sur les principales barrières perçues par les PESP quant à
l’accès aux services; 2. Accroître les connaissances des meilleures pratiques de planification.
Déroulement suggéré
Activités Documents Durée
• Information sur le déroulement de l’atelier 2 minutes • Résumé rapide de ce qui a été vu au dernier atelier 5 minutes • Activité de Photovoix :
o Étape 1 : Prendre quelques minutes pour regarder les photos.
o Étape 2 : Choisir trois images qui représentent le mieux, selon vous, les barrières les plus importantes à l’utilisation des services par les PESP
o Étape 3 : Discussion. Pourquoi ces images? Qu’est‐ce qu’elles représentent?
Photos 20
minutes
• Présentation de l’analyse des besoins des PESP découlant des focus groups
PowerPoint 10 minutes
• Présentation des meilleures pratiques de planification qui tiennent compte de la réduction des ISS et utilisation d’un exemple (ex. réduction du tabagisme)
Outil de planification des actions
centrées sur la réduction des
ISS
45 minutes
• Take home (réfléchissez à la maison) pour identifier les pratiques prometteuses pouvant contribuer à atteindre les objectifs poursuivis dans la planification en MC
Recueil de pratiques
prometteuses 5 minutes
• Tour de table sur ce qu’ils retiennent des informations présentées
‐ 5 minutes
• Questionnaire d’appréciation de l’atelier Questionnaire 5 minutes TOTAL 1 h 37
18 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
Atelier 3 Mettre en application les acquis des deux premiers ateliers – passer à l’action!
Objectifs 1. Favoriser l’appropriation des résultats de l’auto‐évaluation de l’actualisation de la
responsabilité populationnelle par les membres du Comité; 2. Augmenter les connaissances des pratiques prometteuses pour réduire les ISS en MC et
des ressources documentaires disponibles; 3. Favoriser le développement d’un sentiment de confiance quant à leur pouvoir d’agir; 4. Identifier des pistes d’amélioration et favoriser l’engagement du Comité dans la
planification visant à réduire les ISS en MC.
Déroulement suggéré
Activités Documents Durée
• Information sur le déroulement de l’atelier 2 minutes • Résumé rapide de ce qui a été vu au dernier atelier 5 minutes • Présentation des résultats de l’auto‐évaluation de
l’actualisation de la responsabilité populationnelle PowerPoint 10
minutes • Exercice sur l’utilisation de l’outil de planification des
actions centrées sur la réduction des ISS (annexe 9) : o Étape 1 : Déterminer les besoins de santé5 o Étape 2 : Inventorier les ressources et services o Étape 3 : Identifier les interventions optimales – à faire
en groupe (présenter le modèle d’accessibilité aux soins6 et identifier une intervention par dimension, à partir des suggestions du recueil et de leur propre réflexion)
o Étape 4 : Prioriser les besoins et les interventions o Étapes 5 et 6 : Expliciter les interventions et fixer les
objectifs ainsi qu'Identifier les indicateurs et suivre les résultats : peuvent être faites dans le cadre du processus d’accompagnement ou ultérieurement par le Comité.
Napperons de planification et
outil de planification
60 minutes
• Engagement verbal des membres du Comité quant à leur implication dans la planification visant à réduire les ISS
10 minutes
• Questionnaire d’appréciation de l’atelier Questionnaire 5 minutes TOTAL 1 h 32
5 L’identification des besoins peut être réalisée à l’avance, soit en proposant des besoins recensés dans les écrits ou en les identifiant au cours d’un atelier antérieur, pour s’assurer que l’exercice de planification puisse s’effectuer dans le temps alloué pour l’atelier. 6 Voir le Recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des inégalités sociales de santé en maladies chroniques présenté à l’annexe 10 du présent document.
Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé 19
SECTION 3 Évaluation L’évaluation du processus d’accompagnement permet de cibler les points forts et les points faibles de la démarche afin de la bonifier et donc d’en améliorer l’efficacité. Les résultats sont ainsi maximisés pour le futur. La stratégie d’évaluation utilisée peut varier en fonction des préférences des accompagnateurs. Dans le cadre du projet FORCES, le choix s’est porté sur l’utilisation de Questionnaires d’appréciation des ateliers distribués à la fin de chaque atelier, présentés à l’annexe 12, ainsi que sur la conduite d’entrevues individuelles par téléphone avec chacun des membres du Comité MC. Le Guide d’entrevue individuelle, présenté à l’annexe 13, offre un exemple de questions d’entrevue possibles. Évidemment, il n’est pas nécessaire de se limiter à celles‐ci. Lors de l’analyse, il est important de comparer les résultats des représentants des usagers avec ceux des autres membres du Comité, car d’importantes différentes peuvent parfois être détectées.
20 Projet FORCES : Mieux planifier pour réduire les iniquités en santé .
ANNEXES Cette section présente les documents, guides et outils qui ont permis de réaliser avec succès le processus d’accompagnement. Il est important de considérer que ces documents peuvent, voire même doivent, être modifiés pour refléter avec précision la situation particulière à un territoire donné.
Les documents, guides et outils développés dans le cadre du projet FORCES sont :
1. Aide‐mémoire pour la formation des représentants des usagers – lignes directrices pour favoriser leur participation aux ateliers
2. Guide pour le déroulement des groupes de discussion (focus groups) 3. Proposition de mandat pour le Comité MC 4. Outil d’autoévaluation de l’actualisation de la responsabilité populationnelle 5. Portrait ‐ données socio‐économiques et sanitaires sur le territoire du RLS Pierre‐De
Saurel 6. Profil de consommation des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS
Pierre‐De Saurel 7. Cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS Pierre‐De
Saurel 8. Photovoix – quelques exemples d’images 9. Outil de planification des actions centrées sur la réduction des inégalités sociales de
santé 10. Recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des inégalités
sociales de santé en maladies chroniques 11. Napperons de planification 12. Questionnaires d’appréciation des ateliers 13. Guide d’entrevue individuelle
Annexe 1 Aide‐mémoire pour la formation des représentants des usagers – lignes directrices pour favoriser leur participation aux ateliers
Retour à la liste des annexes
PRINCIPALES BARRIÈRES À L’IMPLICATION DE PESP :
Il y a trois barrières principales qui freinent l’implication de patients (ici des PESP) dans les processus décisionnels (Gagliardi et coll. 2008) :
1. Un manque d’intérêt des patients – les raisons du manque d’intérêt ne sont pas bien documentées, mais elles sont liées à un fort sentiment d’intimidation face aux autres professionnels considérés experts (G‐I‐N PUBLIC 2012);
2. Une attitude négative des professionnels de la santé (cliniciens, gestionnaires, et autres) : manque d’intérêt envers la participation des patients et le fait qu’ils ne valorisent pas leur apport possible;
3. Un manque d’information pour les planificateurs sur comment favoriser l’intégration des PESP.
QUELQUES POINTS À PRENDRE EN COMPTE
• L’intérêt des PESP est favorisé s’ils sont convaincus que leur point de vue sera pris en considération (Gagliardi et coll., 2008; Skinner, 2009)
• Leur participation effective nécessite une définition claire des rôles (à quoi nous attendons‐nous par la participation de ces personnes?) et une définition claire du processus participatif (Gold et coll., 2005)
• Il importe de valoriser l’expérience des participants. Par exemple, lors de la sélection d’indicateurs pour l’évaluation d’une intervention, commencer par demander aux patients de s’exprimer sur leurs expériences. Discuter ensuite de ces expériences avec le reste du groupe.
• Leur laisser (et même les encourager à) prendre des responsabilités et faire preuve de leadership (Stephens et coll., 2008)
• Les PESP ont tendance à se sentir vulnérables face à des experts et des professionnels. Il faut insister sur l’aspect « légitime » de leur participation et le fait que le Comité a besoin de leur contribution.
CLARIFICATION DU CONTEXTE POUR LEQUEL LA PARTICIPATION DES PESP EST SOUHAITÉE
1. Expliquer le contexte global du projet Il est important de donner suffisamment d’information de contexte aux patients pour leur permettre de bien comprendre ce à quoi ils participent (Gagliardi et al.2008).
2. Conduire un exercice de réflexion initiale
Pour que les participants comprennent bien le but et les objectifs du projet, il est bon d’initier une discussion sur leur propre situation et celle qu’ils perçoivent au sein de leur communauté au sujet de l’accès aux soins et aux activités de prévention. ** Ne faire ici qu’une brève discussion, un exercice plus approfondi sera fait au cours des ateliers. Exemple de questions qui peuvent leur être posées (elles peuvent être reformulées pour être bien adaptées au contexte particulier des personnes en formation) :
o Quelle est votre expérience par rapport aux services de santé en maladies chroniques? Ou quels soins avez‐vous reçus?
o Sentez‐vous qu’il y a parfois une différence entre la manière dont vous êtes soigné(e) ou traité(e) en comparaison avec une personne plus favorisée?
o Si aucun soin en MC n’était offert, cela ferait‐il une différence pour vous? Pour vos amis, votre famille et les autres membres de votre communauté?
3. Clarification de la terminologie utilisée :
Pendant les ateliers, il est important d’adopter un niveau de langage adéquat pour l’ensemble des participants, donc d’éviter le jargon interne à certaines organisations ou l’utilisation de termes techniques. Néanmoins, il est possible que certains termes soient impossibles à éviter (par exemple : inégalités sociales de santé, maladies chroniques, personne en situation de pauvreté, etc.). Pour s’assurer que les représentants des PESP comprennent bien ce genre d’expressions, il est nécessaire d’en expliquer le sens. Il sera probablement nécessaire de répéter la signification de ces termes plus complexes pendant les ateliers.
CLARIFICATION DU RÔLE QU’ILS ONT À JOUER AUPRÈS DU COMITÉ
• Partager leur expérience (leur plus grande richesse) pour aider les autres membres du Comité MC à mieux comprendre les particularités qui peuvent caractériser les PESP;
• Participer activement à la détection des besoins. On cherchera leur soutien pour identifier les situations ou les facteurs particulièrement problématiques de l’accès et de la qualité des services en maladies chroniques;
• Aider à fixer les priorités d’action. D’autres membres du Comité MC partageront des statistiques et autres données théoriques, mais l’apport des PESP sera particulièrement apprécié pour corroborer l’information théorique et exprimer ce qu’ils croient être les priorités d’action (des priorités fixées par des données théoriques peuvent ne pas être les mêmes que les priorités ressenties par les patients).
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SOURCES À CONSULTER POUR PLUS DE DÉTAILS :
G‐I‐N PUBLIC. 2012. Toolkit on Patient and Public Involvement in Guidelines. (En ligne). Guidelines International Network, Perthshire, 88 p. http://www.g‐i‐n.net/working‐groups/gin‐public/toolkit (consulté le 2 novembre 2014). Gagliardi, A.R., Lemieux‐Charles, L., Brown, A.D., Sullivan, T. et Goel, V. 2008. Barriers to patient involvement in health service planning and evaluation: An exploratory study. Patient Education and Counseling, 70 : 234‐241. Gold, S.K.T., Abelson, J. et Charles, C.A. 2005. From rhetoric to reality: including patient voices in supportive cancer care planning. Health Expectations, 8 : 195‐209. NICE. (2014). Hints and tips when preparing to be a Patient Expert for a Single Technology Appraisal (STA). (En ligne). Public Involvement Programme, National Institute for health and Care Excellence, Londres, 14 p. http://www.nice.org.uk/Media/Default/about/nice‐communities/public‐involvement/developing‐nice‐guidance/Hints‐and‐tips‐patient‐expert‐STA.pdf (consulté le 5 novembre 2014). Page, S.C., Cowl, J. et Knaapen, Loes. 2012. Chapter 2 : How to recruit and support patients and the public in guideline development, p. 27‐38. In : G‐I‐N PUBLIC. 2012. Toolkit on Patient and Public Involvement in Guidelines. (En ligne). Guidelines International Network, Perthshire, 88 p. http://www.g‐i‐n.net/working‐groups/gin‐public/toolkit (consulté le 2 novembre 2014). Skinner, B. 2009. Web alert: involving patients and the public in health service development and research. Quality in Primary Care, 17: 363‐367. Stephens, L., Ryan‐Collins, J. et Boyle, D. 2008. Co‐production. A Manifesto for Growing the Core Economy. (En ligne). The New Economics Foundation, Londres, 28 p. http://b.3cdn.net/nefoundation/5abec531b2a775dc8d_qjm6bqzpt.pdf (consulté le 2 novembre 2014).
Annexe 2 Guide pour le déroulement des groupes de discussion (focus groups)
Retour à la liste des annexes GRILLE D’ENTREVUE – BESOINS DES PERSONNES EN SITUATION DE PAUVRETÉ Groupe ‐ PERSONNES EN SITUATION DE PAUVRETÉ (PESP)
Préambule :
Accueil et présentation des participants; Courte explication des objectifs de la discussion; Mise en contexte : En raison de la réalité que vous vivez au quotidien, votre opinion quant à votre utilisation des services de santé est importante. Les informations que vous nous fournirez permettront de trouver des solutions afin d’offrir des services plus adaptés à votre réalité.
Déroulement de la rencontre : Enregistrement de la discussion; Anonymat des commentaires, confidentialité; Durée prévue de la rencontre : maximum 60 minutes; Utilisation de la vidéo « Inégaux » et de l’activité du Photovoix; Questions ouvertes : interventions quand ils le souhaitent; Il y aura un résumé des principaux points de vue à la fin de l’entrevue.
Visionnement de la vidéo « Inégaux » Cette capsule d'animation illustre concrètement ce que représentent les ISS à Montréal. Elle est destinée à diffuser de façon simple et pertinente un message fondé sur des données probantes démontrant les écarts sociaux de santé sur l'île de Montréal (https://www.youtube.com/watch?v=l9lIHDrNNXo). Questions à poser à la suite du visionnement :
• Quelle est votre impression à la suite du visionnement de cette vidéo? • Quels sont, selon vous, les grands constats liés à la pauvreté? • Que pensez‐vous de ces constats? • Selon vous, la situation à Montréal décrite dans la vidéo s’applique‐t‐elle à votre
territoire?
Activité de Photovoix Le Photovoix est une stratégie de recherche participative où les participants se basent sur des photos pour exprimer leurs perceptions et leurs émotions. Les photos les aident à réfléchir sur leur vie quotidienne et à identifier les problèmes tels qu'ils les perçoivent, en plus de faciliter la formulation de leurs propres solutions à ces problèmes. Cette méthode participative est reconnue pour sa capacité à mobiliser les gens. En règle générale, les participants à un atelier de Photovoix prennent eux‐mêmes les photos de sujets qui les préoccupent. Dans le cadre du projet FORCES, l’équipe d’accompagnateurs a
suggéré une série de 18 photos illustrant certaines barrières à l’utilisation des services en maladies chroniques auxquelles les PESP peuvent faire face. Les participants étaient appelés à faire leur choix parmi celles‐ci. Le Photovoix s’est réalisé en trois étapes principales7 :
• Étape 1 : Prendre quelques minutes pour regarder les photos. • Étape 2 : Choisir trois images qui représentent le mieux, selon vous, les barrières les plus
importantes à l’utilisation des services de santé auxquelles font face les personnes en situation de pauvreté.
• Étape 3 : Faire un tour de table pour permettre à chaque personne de préciser les raisons qui ont mené son choix. Pourquoi ces images? Qu’est‐ce qu’elles représentent?
Question à poser à la suite du Photovoix :
• Les barrières d’accès aux services sélectionnées seraient‐elles différentes, selon vous, pour les personnes favorisées?
• Quelles sont les principales différences entre les moins et les plus nantis? o La fréquence (consultent plus ou moins?) o Le lieu (consultent plus l’urgence de l’hôpital ou en cabinet?) o Le moment de consultation (davantage si maladie grave?)
Suite de la discussion :
1) Selon vous, qu’est‐ce qui caractérise les PESP et qui pourrait expliquer pourquoi ils font face aux barrières identifiées pendant le Photovoix?
Pistes de réflexion : • Perception différente de la santé et de la maladie? Priorité accordée à la santé? • Confiance au système de santé? • Difficultés de compréhension des informations données par les professionnels? • Problèmes de transport? • Honte? (préciser au regard de quoi)
2) Selon vous, qu’est‐ce qui pourrait être fait pour améliorer les services de santé pour les
personnes en situation de pauvreté? (penser accès et qualité)
3) Y a‐t‐il des éléments qui n’ont pas été mentionnés dans la discussion d’aujourd’hui dont vous aimeriez nous faire part? Des commentaires, suggestions?
MOT DE CLÔTURE ‐ REMERCIEMENTS – ÉTAPES À VENIR
7 Pour plus d’information, consulter, entre autres sources, Loignon C., et coll. Le projet Équisanté. Présentation dans le cadre du Colloque 27es Entretiens Jacques Cartier, Sherbrooke, 6 octobre 2014. Des exemples d’images sont présentés à l’annexe 8 du présent document.
GRILLE D’ENTREVUE – BESOINS DES PERSONNES EN SITUATION DE PAUVRETÉ Groupe — INTERVENANTS (ex. : organisateurs communautaires, policiers, maire ou autre
représentant de la municipalité)
Préambule : Accueil et présentation des participants; Courte explication des objectifs de la discussion; Mise en contexte : En raison de votre occupation, votre opinion quant à l’utilisation des services de santé par les populations défavorisées est précieuse. Les informations que vous nous fournirez contribueront à enrichir le portrait colligé auprès de différents acteurs‐clés, et ce, en vue d’offrir des services plus adaptés à cette population.
Déroulement de la rencontre : Enregistrement de la discussion; Anonymat des commentaires, confidentialité; Durée prévue de la rencontre : maximum 60 minutes; Utilisation de la vidéo « Inégaux » et de l’activité du Photovoix; Questions ouvertes : interventions quand ils le souhaitent; Il y aura un résumé des principaux points de vue à la fin de l’entrevue.
Visionnement de la vidéo « Inégaux » Cette capsule d'animation illustre concrètement ce que représentent les ISS à Montréal. Elle est destinée à diffuser de façon simple et pertinente un message fondé sur des données probantes démontrant les écarts sociaux de santé sur l'île de Montréal (https://www.youtube.com/watch?v=l9lIHDrNNXo). Questions à poser à la suite du visionnement :
• Quelle est votre impression à la suite du visionnement de cette vidéo? • Quels sont, selon vous, les grands constats liés à la pauvreté? • Que pensez‐vous de ces constats? • Selon vous, la situation à Montréal décrite dans la vidéo s’applique‐t‐elle à votre
territoire?
Activité de Photovoix Le Photovoix est une stratégie de recherche participative où les participants se basent sur des photos pour exprimer leurs perceptions et leurs émotions. Les photos les aident à réfléchir sur leur vie quotidienne et à identifier les problèmes tels qu'ils les perçoivent, en plus de faciliter la formulation de leurs propres solutions à ces problèmes. Cette méthode participative est reconnue pour sa capacité à mobiliser les gens. En règle générale, les participants à un atelier de Photovoix prennent eux‐mêmes les photos de sujets qui les préoccupent. Dans le cadre du projet FORCES, l’équipe d’accompagnateurs a suggéré une série de 18 photos illustrant des barrières à l’utilisation des services en maladies chroniques et les participants étaient appelés à faire leur choix parmi celles‐ci.
Le Photovoix s’est réalisé en trois étapes principales8 : • Étape 1 : Prendre quelques minutes pour regarder les photos. • Étape 2 : Choisir trois images qui représentent le mieux, selon vous, les barrières les plus
importantes à l’utilisation des services de santé par les PESP. • Étape 3 : Faire un tour de table pour permettre à chaque personne de préciser les
raisons qui ont mené à son choix. Pourquoi ces images? Qu’est‐ce qu’elles représentent?
Question à poser à la suite du Photovoix : • Les barrières d’accès aux services sélectionnées seraient‐elles différentes, selon vous,
pour les personnes favorisées? • Quelles sont les principales différences entre les moins et les plus nantis?
o La fréquence (consultent plus ou moins?) o Le lieu (consultent plus l’urgence de l’hôpital ou en cabinet?) o Le moment de consultation (davantage si maladie grave?)
Suite de la discussion :
1) Selon vous, qu’est‐ce qui caractérise les PESP et qui pourrait expliquer pourquoi ils font face aux barrières identifiées pendant le Photovoix?
Pistes de réflexion : • Perception différente de la santé et de la maladie? Priorité accordée à la santé? • Confiance au système de santé? • Difficultés de compréhension des informations données par les professionnels? • Problèmes de transport? • Honte? (préciser au regard de quoi)
2) Dans une perspective où l’on souhaite que les personnes en situation de pauvreté utilisent davantage les services (donc services plus accessibles), quels seraient selon vous les meilleurs moyens à mettre en place?
3) Dans une perspective où l’on souhaite que les services de santé offerts aux personnes en situation de pauvreté soient de meilleure qualité (mieux adaptés à leurs besoins), quels seraient selon vous les meilleurs moyens à mettre en place?
4) Y a‐t‐il des éléments qui n’ont pas été mentionnés dans la discussion d’aujourd’hui dont vous aimeriez nous faire part? Des commentaires, suggestions?
MOT DE CLÔTURE ‐ REMERCIEMENTS – ÉTAPES À VENIR
8 Pour plus d’information, consulter, entre autres sources, Loignon C., et coll. Le projet Équisanté. Présentation dans le cadre du Colloque 27es Entretiens Jacques Cartier, Sherbrooke, 6 octobre 2014. Des exemples d’images sont présentés à l’annexe 8 du présent document.
Annexe 3 Proposition de mandat pour le Comité MC Retour à la liste des annexes
COMITÉ DE COORDINATION LOCAL DES MALADIES CHRONIQUES
Mandats et objectifs
1. Mandat
Améliorer la prévention et la gestion des maladies chroniques sur le territoire du CSSS Pierre‐De Saurel en agissant sur l’ensemble du continuum de services en maladies chroniques et en prenant en considération les besoins de toute la population (incluant les personnes socio économiquement défavorisées).
2. Objectif principal
Mettre en place le continuum de services en maladies chroniques.
3. Objectifs spécifiques 3.1 Participer au projet « FORCES » de l’établissement « Responsabilité populationnelle
et inégalités sociales de santé (ISS) »; 3.2 Prioriser les actions en approuvant un plan d’action annuel et en assurer la
réalisation; 3.3 Désigner les comités de travail pertinents à la mise en oeuvre des actions.
4. Membres du Comité de coordination
Représentation Nom Coordonnées
5. Fréquence des rencontres
Aux mois pour 4 mois (décembre 2014 – janvier, février et mars 2015), puis 4 à 5 fois par année.
Annexe 4 Outil d’autoévaluation de l’actualisation de la responsabilité populationnelle
Retour à la liste des annexes
Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle
Durant les dernières années, vous avez participé à différents travaux liés à la planification des services en maladies chroniques. Le présent questionnaire s'inscrit dans une perspective d'amélioration continue des pratiques. Il permet de connaître jusqu'à quel point la responsabilité populationnelle est prise en compte dans la planification et la réalisation des travaux en maladies chroniques.
Toutes les données recueillies par le questionnaire demeureront confidentielles et anonymes. Ces données permettront de positionner l'avancement des démarches et travaux en maladies chroniques en lien avec l'actualisation de la responsabilité populationnelle. Il est à noter qu'il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses. Ce questionnaire devrait vous prendre une vingtaine de minutes à compléter. ______________________________________________________________________________ Objectif de l’outil : Apprécier l’actualisation de la responsabilité populationnelle selon les étapes
de planification et de mise en œuvre de projets ou travaux en maladies chroniques au RLS.
Répondants : Les membres impliqués dans la planification des services en maladies chroniques au RLS.
Définition de la responsabilité professionnelle : La responsabilité populationnelle consiste à assumer l’obligation de maintenir et d’améliorer la santé et le bien‐‐être de la population d’un territoire donné : ‐ en rendant accessible un ensemble de services sociaux et de santé répondant de manière
optimale aux besoins exprimés et non exprimés de la population et ‐ en agissant en amont, sur les déterminants de la santé (ex. habitudes de vie, éducation,
logement, transport, aménagement urbain, environnement physique et social, pauvreté).
L’actualisation de cette responsabilité requiert une collaboration entre les organisations publiques et communautaires des divers secteurs, les établissements privés de santé et les partenaires socio‐économiques agissant sur le territoire local ou régional. Le centre de santé et de services sociaux (CSSS) a pour rôle de susciter, d’animer et de soutenir les collaborations entre les différents secteurs d’activités sur son territoire.
Source : Initiative sur le partage des connaissances et le développement des compétences (IPCDC). Unir nos forces pour relever le défi de la responsabilité populationnelle, 2012.
Date d'aujourd'hui : Cliquez ici pour taper du texte.
Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Mise en contexte À titre d’intervenants/médecins œuvrant en maladies chroniques, vous avez participé à différentes démarches de mise en œuvre de projets selon les étapes suivantes : Étape 1. Analyser les besoins de la population concernée et le profil de consommation des
services Étape 2. Effectuer l’inventaire de l’offre de services (soins, services et actions) Étape 3. Effectuer le bilan des soins, services et actions en place et énoncer la vision du
continuum désiré Étape 4. Proposer des pistes d’amélioration et procéder à un exercice de priorisation Étape 5. Élaborer et mettre en œuvre le plan d’action relativement aux actions prioritaires
retenues Étape 6. Concevoir et réaliser un plan d'évaluation, mettre en place un mécanisme de suivi,
diffuser les résultats et assurer la pérennité de la démarche de la table d’actualiser la responsabilité populationnelle.
L’évaluation couvre également l’atteinte de résultats en fonction des objectifs fixés. Les prochaines questions seront donc en lien avec ces étapes de planification et de mise en œuvre. Pour chacun des énoncés ci‐‐dessous, s’il vous plaît, indiquez votre degré d’accord. 1 (Pas du tout)‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐2 (Un peu)‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐3 (Assez)‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐‐4 (Tout à fait) Vous aurez également la possibilité d’indiquer ne s’applique pas (NSP) pour chacun des énoncés.
Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Étape 1 : Analyser les besoins de la population et le profil de consommation des services
Les travaux de planification des services en maladies chroniques m'ont permis...
Q1 ‐ de connaître les données socio sanitaires (démographiques, états de santé,
consommation de services), (1) qui me permettent :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) de porter un jugement éclairé sur l’état de santé et de bien‐‐être, sur les conditions de vie et sur l’utilisation des services de la population concernée;
b) d’identifier des communautés vulnérables (2).
1. Informations provenant de sources ou outils permettant de prendre connaissance de l’état de santé et du bien‐être de la population (ex. : source de données primaires et secondaires, données épidémiologiques : portrait de santé, données sociodémographiques ou enquêtes diverses, ex. Statistique Canada).
2. Le terme « communauté vulnérable » englobe les groupes de la population qui sont les plus susceptibles d’avoir des problèmes de santé ou qui ont difficilement accès à des services de santé (ex. les communautés socioethniques, socioculturelles, ou demeurant en zones de défavorisation socio‐économique).
Q2‐ de connaître les facteurs qui influencent la santé (déterminants : habitudes de vie,
éducation, logement, transport, aménagement urbain, environnement physique et social, pauvreté).
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
Q3‐ de dégager une compréhension partagée des besoins actuels et futurs de santé et de
bien‐‐être de la population concernée, dont les communautés vulnérables.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
Commentaires/Précisions Cliquez ici pour taper du texte.
Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Étape 2 : Effectuer l’inventaire de l’offre de services (soins, services et actions)
Les travaux m'ont permis...
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
Q4‐d’identifier les partenaires (3) du territoire qui peuvent contribuer à la santé et au bien‐être de la population concernée dont les communautés vulnérables;
Q5‐ d’identifier les champs d’activités, les centres d’intérêt et les champs d’expertise de ces partenaires;
Q6‐ d’identifier les soins, services et actions que le CSSS et les partenaires offrent à la population concernée dont les communautés vulnérables;
Q7‐ de situer ces soins, services et actions sur un continuum d’intervention (prévenir, guérir, soutenir);
Q8‐ d’identifier les besoins non répondus par ces soins, services et actions;
Q9‐ d’identifier les actions réalisées en promotion de la santé (c.‐à‐d. sur les facteurs qui influencent la santé) pour la population concernée dont les communautés vulnérables;
Q10‐ d’identifier les actions manquantes en promotion de la santé pour la population concernée dont les communautés vulnérables;
Q11‐ de connaître les défis (ex. organisationnels, clientèles) rencontrés par les partenaires;
Q12‐ de m’exprimer sur les défis que je rencontre.
3. Le terme « partenaire » réfère aux acteurs des réseaux locaux de services de santé et de services sociaux, soit les dispensateurs de soins et services (ex. médecins, pharmaciens, établissements spécialisés), de services offerts dans la communauté (ex. organismes communautaires, partenaires sectoriels et intersectoriels‐municipalités, entreprises d’économie sociale, ressources non institutionnelles, ressources d’hébergement public non institutionnel, ressources d’hébergement) et les organismes gouvernementaux.
Commentaires/Précisions Cliquez ici pour taper du texte.
Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Étape 3 : Effectuer le bilan et énoncer la vision du continuum Les travaux m'ont permis... Q13‐ d’identifier et de reconnaître lors du bilan des soins, services et actions actuels, dans le
cadre du continuum de services :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) les forces sur lesquelles compter;
b) les faiblesses pouvant nuire ou les défis à relever;
c) les opportunités à tirer parti;
d) les contraintes (4) pouvant entraver la mise en œuvre.
4. Ex. : contexte socio‐économique, politique et social, intérêts divergents de partenaires et citoyens.
Q14‐ d’identifier les meilleures pratiques en prévention et gestion des maladies chroniques :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) agir sur les facteurs influençant la santé (5);
b) améliorer l’OFFRE de soins, services et actions afin de répondre aux besoins de la population concernée;
c) améliorer l’OFFRE de soins, services et actions afin de répondre aux besoins des communautés vulnérables concernées;
d) améliorer la GESTION des soins, services et actions afin de répondre aux besoins de la population concernée;
5. Déterminants : habitudes de vie, éducation, logement, transport, aménagement urbain, environnement physique et social, pauvreté.
Q15‐ de participer collectivement à définir le continuum de services recherché pour la population concernée dont les communautés vulnérables.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
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Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Étape 4 : Proposer des pistes d’amélioration et exercice de priorisation Les travaux m'ont permis... Q16‐ d’identifier les pistes d’amélioration (objectifs et stratégies) afin :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) d’améliorer la santé et le bien‐être de la population concernée, dont les communautés vulnérables;
b) de réduire les inégalités en matière de santé et les obstacles à l’accès aux services de la population concernée, dont les communautés vulnérables.
Q17‐ de procéder à un exercice de priorisation afin de dégager un consensus sur les actions
prioritaires à retenir au bénéfice de la population concernée, dont les communautés vulnérables.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
Q18‐ de connaître les commentaires du personnel, des prestataires de services, des bénévoles et d’autres partenaires sur les actions prioritaires à retenir.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
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Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Étape 5 : Élaborer le plan d’action relativement aux actions prioritaires retenues...
Les travaux m'ont permis...
Q19‐ d’élaborer le plan d’action pour la mise en œuvre des actions prioritaires retenues qui
comportent les éléments suivants :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) des objectifs précis, observables et mesurables qui concernent l’accessibilité, la continuité et la qualité des services;
b) des objectifs précis, observables et mesurables qui concernent les facteurs influençant la santé (6);
c) les responsables et les collaborateurs;
d) les indicateurs pour suivre l’implantation du plan d’action;
e) un échéancier.
6. Déterminants : habitudes de vie, éducation, logement, transport, aménagement urbain, environnement physique et social, pauvreté.
Q20‐ d’identifier des besoins de formation des intervenants actuels et de la relève.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
Q21‐ de mettre en application les priorités de soins, services et actions convenues.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
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Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Étape 6 : Assurer la pérennité de la responsabilité populationnelle
Les travaux m'ont permis...
Q22‐ de suivre :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) l’évolution de la démarche de planification des services;
b) les résultats de ces travaux.
Q23‐ de mettre en place un mécanisme de suivi et de monitorage du plan d’action.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
Q24‐ de recevoir des informations que j’ai pu partager :
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
a) dans mon organisation (ex. entre les intervenants, les directions, les installations);
b) auprès de la population concernée, dont les communautés vulnérables.
Q25‐ de procéder à des consultations afin que la population concernée, dont les
communautés vulnérables, puisse s’exprimer sur ses besoins ainsi que sur les services, soins et actions mis en œuvre.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
Q26‐ de rendre compte des progrès réalisés dans l’atteinte des buts et des objectifs convenus.
Pas du tout Un peu Assez Tout à fait NSP
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Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Atteinte des résultats et retombées de la démarche
Les travaux m'ont permis...
Pas du tout
Un peu Assez
Tout à fait NSP
Q27‐ de développer une gamme de services, de pratiques et d’outils permettant d’améliorer l’accessibilité, la continuité et la qualité des services;
Q28‐ d’influencer l’offre de services de mon organisation en fonction de l’analyse faite collectivement;
Q29‐ de formaliser des ententes de collaboration et des contrats de services;
Q30‐ de mobiliser les membres du RLS par une vision partagée et par les priorités retenues;
Q31‐ de permettre aux membres du RLS de travailler ensemble, via un mode de gestion participative, sur les priorités retenues;
Q32‐ de respecter les valeurs et les modes de travail de chacun des membres;
Q33‐ de favoriser la collaboration et le réseautage entre les professionnels, gestionnaires et organisations;
Q34‐ de favoriser les liens entre les milieux de vie (ex. famille, école, milieu de travail, communauté);
Q35‐ de développer des projets impliquant une mise en commun des ressources des différents partenaires (ex. humaines, financières);
Q36‐ de bien répondre aux besoins des communautés vulnérables concernées.
Commentaires/Précisions Cliquez ici pour taper du texte.
Outil d'autoévaluation de l'actualisation de la responsabilité populationnelle Informations complémentaires : Quelles sont, selon vous, les conditions ayant FAVORISÉ VOTRE PARTICIPATION à ces travaux? Cliquez ici pour taper du texte. Quelles sont, selon vous, les conditions ayant LIMITÉ VOTRE PARTICIPATION à ces travaux? Cliquez ici pour taper du texte. Autres commentaires/précisions : Cliquez ici pour taper du texte. Nous vous remercions sincèrement d’avoir rempli ce questionnaire d’autoévaluation quant à l’actualisation de la responsabilité populationnelle. ** Cet outil a été développé par la Direction de santé publique de la Montérégie, le CSSS Pierre‐Boucher et l’Initiative sur le partage des connaissances et le développement des compétences (IPCDC) en 2012.
Annexe 5 Portrait – données socio‐économiques et sanitaires sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel Retour à la liste des annexes
Annexe 6 Profil de consommation des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel Retour à la liste des annexes
Annexe 7 Cartographie des services en maladies chroniques sur le territoire du RLS Pierre‐De Saurel Retour à la liste des annexes
Annexe 8 Photovoix – quelques exemples d’images Retour à la liste des annexes
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Auteure
Mariève Lafontaine‐Messier, courtière de connaissances
Sous la direction de
Martine Bouchard, directrice générale adjointe au soutien, administration et performance et directrice qualité, évaluation, performance et éthique, CISSS de la Montérégie‐Est
Sarah Dutilly‐Simard, agente de planification, programmation et recherche, Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Ginette Lafontaine, adjointe à la planification, l’évaluation et la recherche ‐ Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Julie Loslier, médecin‐conseil – Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Kareen Nour, chercheure ‐ Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Ce document est disponible seulement en version électronique sur l’extranet de l’Agence www.extranet.santemonteregie.qc.ca, section santé publique Reproduction ou téléchargement autorisés à des fins non commerciales avec mention de la source : LAFONTAINE‐MESSIER, M. Outil de planification des actions centrées sur la réduction des inégalités sociales de santé. Sous la direction de BOUCHARD, M., LAFONTAINE, G., LOSLIER, J. et NOUR, K., CISSS de la Montérégie‐Centre, direction de santé publique de la Montérégie, et CISSS de la Montérégie‐Est, 2015, 15 p. et outils. Dans ce document, le générique masculin est utilisé sans intention discriminatoire et uniquement dans le but d’alléger le texte.
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Références
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La boîte à outils
Liste des outils présentés :
• Outils no 1 : Identification des partenaires potentiels • Outils no 2 : Rappel sur les déterminants sociaux de la santé • Outils no 3 : Méthodes participatives pour identifier les besoins • Outils no 4 : Outil de réflexion pour prioriser les problèmes • Outils no 5 : Critère pour évaluer le potentiel d’impact d’une action • Outils no 6 : Exemple de modèle logique simple • Outils no 7 : Aide‐mémoire pour la sélection d’indicateurs appropriés • Outils no 8 : Outil de réflexion pour mieux prendre en considération les inégalités
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OUTIL no 2 – Rappel sur les déterminants sociaux de la santé
Les déterminants sociaux correspondent à l’ensemble des facteurs et des conditions qui influencent la santé d’une personne ou d’une population. Pour bien prendre en compte les ISS et le contexte des personnes en situation de pauvreté dans les actions à mettre en œuvre, il est essentiel d’identifier les déterminants sociaux qui peuvent avoir une incidence sur les besoins en santé. Voici deux outils pour vous aider :
1. L’acronyme PROGRESS‐Plus (CCNMO, 2014) :
P – Place (lieu) de résidence R – Race, ethnicité, culture ou langue O – Occupation G – Genre et sexe R – Religion E – Études S – Statut économique S – capital Social (relations sociales et
réseaux)
Plus • Les caractéristiques personnelles relatives
à la discrimination (p. ex. : l’âge, les handicaps);
• Les caractéristiques relationnelles (p. ex. : parents fumeurs, exclusion de l’école);
• Les relations temporelles (p. ex. : congé de l’hôpital, répit aux aidants);
• Les autres situations qui peuvent indiquer un désavantage.
Il est important d’analyser l’interaction de chaque facteur PROGRESS avec d’autres facteurs du contexte de vie de la personne ou de la population cible (O’Neill et coll., 2014).
2. La carte de la santé et de ses déterminants : Elle est présentée en quatre champs qui
incluent tous les déterminants de la santé, dont les déterminants sociaux. Pour plus de détails, voir le document La santé et ses déterminants (DGSP, 2012) :
OUTIL no 3 – Méthodes participatives pour l’identification des besoins
(adapté de Laforest [2009]; RQVVS [s.d.] et SCL709 [2012] Méthode par informateurs‐clés [individuelle] Il s’agit de faire une entrevue individuelle avec une série de personnes reconnues pour bien connaître la population cible et les problèmes qu’elle peut rencontrer : experts, professionnels de la santé, travailleurs sociaux, citoyens impliqués, personnes en situation de pauvreté, etc. Il est important de sélectionner une variété d’informateurs‐clés pour toucher à différents groupes de la population cible et faire ressortir un large éventail de besoins. Déroulement : 1. Préparation antérieure à l’entrevue : Créer une grille d’entrevue. Celle‐ci devrait compter
très peu de questions pour laisser le répondant développer ses idées le plus possible; 2. Conduite de l’entretien : L’entrevue est réalisée avec un seul répondant à la fois.
L’interviewer tente de laisser tout le temps dont le répondant a besoin pour développer au maximum ses idées. Il se contente d’orienter le répondant vers les thèmes identifiés dans la grille d’entrevue et, surtout, écoute attentivement ce que son interlocuteur veut lui dire;
3. Analyse : Une fois toutes les entrevues individuelles réalisées, l’interviewer analyse l’ensemble des réponses obtenues pour détecter les points de concordance entre les idées exprimées individuellement. C’est ainsi que les besoins devraient ressortir.
Méthode par groupe nominal [individuelle et en groupe] Cette méthode combine des périodes de réflexion individuelle en silence [génératrices d’idées] et des périodes de débats en groupe visant l’atteinte de consensus. Elle est très structurée et nécessite une animation organisée. Cette technique permet la participation de personnes ayant des expériences et des domaines d’expertise diversifiés. Déroulement : 1. Préparation préalable à l’entrevue : La question d’intérêt [une seule, dont le rôle est de
lancer la réflexion pour la génération d’idées] est écrite; 2. Conduite de l’entretien :
• Réflexion initiale [chacun pour soi] : Les participants ont devant eux la question d’intérêt et un temps est alloué pour la réflexion, sans qu’il y ait partage d’information entre eux;
• Identification et clarification des idées [en groupe] : L’animateur fait un tour de table et demande à chacun de faire part de ses idées, un à la fois, à tour de rôle. Il note et numérote les idées au fur et à mesure pour que tout le monde puisse les voir. Les différentes idées sont ensuite discutées en groupe et clarifiées sans chercher, à ce stade, à concilier les opinions;
• Priorisation des idées [chacun pour soi] : Les participants classent les idées et les résultats compilés sont présentés en groupe;
• Seconde période de discussion [en groupe] et priorisation [chacun pour soi] : Une seconde période de discussion et de clarification peut suivre et à la fin du processus, les participants font individuellement un dernier classement des idées.
3. Analyse : L’animateur compte les points pour obtenir le classement final des idées du groupe.
Méthode par groupe de discussion [aussi appelé focus group] Il s’agit d’une méthode exploratoire qui ne cherche pas nécessairement consensus au terme de la discussion. Cette technique vise à faire ressortir une grande diversité de points de vue et de sentiments; elle est idéale pour susciter de nouvelles idées. Un groupe de discussion est habituellement composé de 6 à 10 personnes. Déroulement : 1. Préparation antérieure à l’entrevue : L’animateur prépare un court guide d’entrevue
composé d’environ 5 ou 6 questions ouvertes; 2. La discussion : L’animateur situe la problématique et pose une première question. Il laisse
ensuite les participants en débattre, en intervenant le moins possible, mais en encourageant la participation de chacun. Des sous‐questions peuvent être posées s’il est nécessaire de relancer ou de réorienter le débat. Le déroulement est le même pour chaque question posée : une grande place est laissée à la discussion et à la génération d’idées;
3. L’analyse : Les données devraient être traitées rapidement. Un rapport synthèse de la discussion est produit et des codes [liés aux besoins] sont attribués manuellement à la suite de la lecture du rapport. Une liste sommaire de besoins [par ex. : besoin d’accessibilité] est alors élaborée. Des catégories plus fines de besoins pourraient ressortir lors de l’analyse [par ex. : besoins en termes d’accessibilité financière].
OUTIL no 4 — Outil de réflexion pour prioriser les actions [adapté de Loslier et Lafontaine, 2014]
Importance du problème ou du déterminant1
1) Nombre personnes concernées : Qu’est‐ce que les données nous disent? (nombre de personnes touchées) Reflètent‐elles seulement des besoins exprimés (consultation des services) ou définis
par les experts? Si oui, croit‐on que les besoins non exprimés (population qui ne consulte pas) sont
importants 2) Gravité du problème :
Ce problème est‐il grave? Entraîne‐t‐il la mort? Occasionne‐t‐il des incapacités? Permanentes? Temporaires? Y a‐t‐il un risque pour la santé de la communauté?
Quel est le fardeau social? Économique? 3) Évolution du problème :
Quelle est la progression prévue du problème ou du déterminant? De quelle façon évoluerait la problématique en l’absence d’intervention?
4) Équité : Ce problème ou ce déterminant est‐il à l’origine d’écarts entre les populations
favorisées et défavorisées?
Capacité d’intervenirA. Efficacité des actions
Existe‐t‐il des interventions portant sur ce problème ou déterminant?
1) Efficacité théorique de l’intervention offerte : A‐t‐on des données (documentation, experts, etc.) qui permettent de croire que l’action proposée permet d’éviter, de retarder ou d’amoindrir le problème?
2) Précocité : L’intervention permet‐elle d’agir en amont des problèmes de santé (précocité sur le continuum de la maladie)?
3) Couverture/Équité : À quel point cette intervention a‐t‐elle le potentiel de rejoindre toutes les personnes touchées (utilisateurs de services et non)?
B. Faisabilité
1) Organisationnelle : Quel est l’état actuel de déploiement de l’action (offre, accès, qualité)?
Quel est l’état actuel des ressources (humaines, techniques et matérielles) requises?
Quel est l’état des collaborations nécessaires (intra‐CSSS et avec des partenaires du RLS, lorsque pertinent)
2) Politique Cette action est‐elle comprise dans les ententes de gestion?
Découle‐t‐elle des planifications stratégiques nationale et régionale?
Découle‐t‐elle d’une volonté politique plus large?
C. Degré d’imputabilité de l’établissement
À quel point votre établissement est‐il imputable de la réalisation de l’action?
1 Dans cette section, selon l’objet, il peut être question d’une problématique de santé (par ex. l’hypertension) ou encore d’un déterminant de la santé (par ex. l’activité physique).
OUTIL no 5 – Critères pour évaluer le potentiel d’impact d’une action Aide‐mémoire élaboré par la DSP de la Montérégie (Risi 2007), adapté
par Loslier (2012) Volet efficacité L’action est‐elle fondée? Preuves d’impact sanitaire L’action a‐t‐elle été évaluée? Avec quel type d’évaluation? Quel est
le niveau, la qualité de la preuve? Existe‐t‐il dans la littérature des actions qui ont utilisé le même type de stratégies et qui ont été évaluées? Avec quel type d’évaluation? Quel niveau de preuve? L’action s’en inspire‐t‐elle?
Assises théoriques Connaît‐on les causes sous‐jacentes au problème? Existe‐t‐il un modèle théorique explicite? Implicite? Ce modèle fait‐il sens? Dans les sources de documentation :
• Reconnaît‐on l’importance du problème de santé ciblé par l’action?
• Existe‐t‐il des liens de causalité reconnus ou démontrés entre les activités et les objectifs, ainsi qu’entre les objectifs et les effets sur le problème de santé ciblé?
Efficience Connaît‐on le ratio coût‐efficacité de l’action? Existe‐t‐il, dans la littérature, des études qui démontrent que les coûts investis dans ce type d’action représentent une économie de coûts en gain de santé, ou, à tout le moins, qu’ils représentent un investissement équivalent?
L’action est‐elle bien construite? Globalité Est‐ce que l’action cible plusieurs déterminants, plusieurs facteurs
de risque? Utilise‐t‐elle plusieurs stratégies et moyens d’intervention? Agit‐elle sur plusieurs niveaux (modèle écologique) soit au niveau de l’individu, de la famille, de l’école, de la communauté, des milieux de travail, de la société?
Précocité Selon la littérature, l’action agit‐elle avant l’apparition du problème, c’est‐à‐dire au moment propice en amont du problème?
Intensité Selon la littérature, l’action prévoit‐elle une intensité reconnue comme étant suffisante pour atteindre les résultats souhaités?
Durée/pérennité L’action prévoit‐elle des activités de réactivation ou de suivi? L’action sera‐t‐elle maintenue dans le temps?
Accessibilité Selon la littérature, l’action rejoint‐elle la population cible et a‐t‐elle la capacité de la rejoindre au bon moment?
Participation/adhésion L’action est‐elle construite de façon à obtenir l’appui de la population, des intervenants ou des gestionnaires qui, à leur tour, feront la promotion de ladite action?
Qualité technique/ formation
Pour ceux qui auront à implanter l’action, existe‐t‐il de la formation? Est‐elle à jour? La formation offerte respecte‐t‐elle l’action?
Volet
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Faisab
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OUTIL no 6 – Exemple de modèle logique simple (Litvak 2006)
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Principales activités
Résultats attendus Effets anticipés
Partenaires interpellés • Partenaire 1 • Partenaire 2 (s’il y
a lieu) • …
Stratégie (s) et moyen (s) déployés • Stratégie et moyen 1 • Stratégie et moyen 2
(s’il y a lieu) • …
Indicateurs • Indicateur 1 • Indicateur 2 (s’il y a
lieu) • …
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ex. : Nombre ition offerts pers d’exercicevités.
7 – Aide‐m
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s a n n
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Les critères de sélection des indicateurs :
Un indicateur offre une information quantifiable qui permet de suivre la progression des activités et de vérifier si vous avez atteint ou non les objectifs de l’action mise en œuvre. Il est important de choisir des indicateurs qui sont fiables, valides et accessibles (SPO, 2008) : • Fiable : L’indicateur fournira‐t‐il, au fil du temps, une mesure cohérente et exacte? Par ex. :
une mesure établie depuis un certain temps par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) peut être plus fiable qu’une mesure que vous mettrez vous‐même au point.
• Valide : L’indicateur permet‐il de mesurer ce qu’il a effectivement pour but de mesurer? Par ex. : si vous cherchez à évaluer l’efficacité d’un outil de prévention et que vous demandez aux personnes qui ont reçu un dépliant sur la bonne nutrition si elles l’ont aimé, même si elles disent oui ne présumez pas que le dépliant est efficace. L’appréciation n’est pas gage d’efficacité.
• Accessible : Cette caractéristique s’évalue grâce aux questions suivantes : o Quel moment convient pour observer un résultat et la mesure est‐elle disponible à ce
moment‐là? o Les sources de données nécessaires pour évaluer ce résultat sont‐elles accessibles?
Les sources de cette mesure sont‐elles fiables, souples et ponctuelles? o Disposez‐vous des ressources requises pour défrayer les coûts directs, s’il y a lieu? o Avez‐vous les connaissances spécialisées requises pour analyser ou gérer les données
qui seront fournies? ** Il est préférable de limiter le nombre d’indicateurs à six ou moins par projet.
OUTIL no 8 – Mieux prendre en considération les inégalités sociales de santé : outil REFLEX‐ISS (Guichard et coll. 2015)
Pour utiliser cet outil, vous le retrouverez sur le site internet suivant : http://extranet.santemonteregie.qc.ca/depot/document/3826/Guide‐utilisation‐REFLEX‐ISS.pdf
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Rédaction
Mariève Lafontaine‐Messier, courtière de connaissances
Sarah Dutilly‐Simard, agente de planification, programmation et recherche Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Sous la direction de
Martine Bouchard, directrice générale adjointe au soutien, administration et performance et directrice qualité, évaluation, performance et éthique, CISSS de la Montérégie‐Est
Ginette Lafontaine, adjointe à la planification, l’évaluation et la recherche Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Julie Loslier, médecin‐conseil Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Kareen Nour, chercheure Direction de santé publique de la Montérégie, CISSS de la Montérégie‐Centre
Ce document est disponible seulement en version électronique sur l’extranet de l’Agence www.extranet.santemonteregie.qc.ca, section santé publique Reproduction ou téléchargement autorisés à des fins non commerciales avec mention de la source : LAFONTAINE‐MESSIER, M. et S. DUTILLY‐SIMARD, Recueil de pratiques prometteuses pour contribuer à la réduction des inégalités sociales de santé en maladies chroniques. Sous la direction de BOUCHARD, M., LAFONTAINE, G., LOSLIER, J. et NOUR, K., CISSS de la Montérégie‐Centre, Direction de santé publique de la Montérégie, et CISSS de la Montérégie‐Est, 2015, 31 p. Dans ce document, le générique masculin est utilisé sans intention discriminatoire et uniquement dans le but d’alléger le texte.
Janvier 2015
Ce guidepersonncontinupréventréductio C’est biefardeausanté, q Sachantde difficaccès aucertaine Le préserépondrmaladieQuébecrésultat
e vise à inspirenes en situatioum de soins tion au traitemon des inégalité
en connu, les m, tant en ce quique les effets su
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nnes en situationde saines habitsanté, celles‐ci soniques (Lévesq
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mieux adaptéeseté, et ce, surn maladies chdans une pers
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en compte ces cant d’offrir dese afin de facilitesociaux.
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Facilité d’approche Accessibilité financière
Capacité de percevoir le besoin de santé
Perception du besoin et désir de consulter
Capacité de recourir aux services
Des services ayant : • des valeurs (ex. respect)
• une culture (ex. ouverture)
• des normes (ex. qualité)
qui rejoignent les besoins des populations.
Des services abordables qui considèrent :
• Coûts directs : coûts de certains services de santé spécialisés (ex. physiothérapie ou nutrition)
• Coûts indirects (ex. frais de transport)
Des services de qualité et adaptés aux besoins des personnes.
Capacité d’atteindre les services
Caractéristiques de la population
Capacité de payer
Adéquation
Atteinte des services
Utilisation des services
• Littératie : capacité à comprendre et utiliser l’information
• Croyances : sentiment de pouvoir se prendre en charge
• Perceptions : connaissances de la gravité de la maladie
Capacité de bénéficier
• Des services ou des programmes visant la diffusion d’information sur la santé
• Des moyens de faire ressortir les besoins de santé (ex. dépistage)
Caractéristiques des services de santé
Acceptabilité Disponibilité
Modèle d’accessibilité aux soins (adapté de Lévesque, Harris et Russell, 2013)
• Valeurs et culture de la personne (ex. importance accordée à la santé)
• Autonomie : capacité de s’orienter entre les différents services
• Accessibilité à un transport
• Capacité physique à se déplacer
• Gestion de soi et organisation (ex. trouver une gardienne pour les enfants, pouvoir s’absenter du travail)
Besoin de santé Recherche de services
Retombées de l’utilisation des
services
Des services qui sont rendus dans des lieux et selon des horaires qui conviennent aux populations.
• Couverture par une assurance remboursant des frais non couverts par le régime public
• Niveau de revenu • Soutien social (ex. aide
financière offerte par des amis ou des parents, soutien de proches aidants)
• Adhésion au traitement (suivi des recommandations)
• Empowerment : acquisition de connaissances et de capacités qui leur permettent d’agir
Cette sefacilité dà la capd’identif Les prat
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ection présented’approche despacité des perfier les services
tiques présentéeL’utilisation dintervention
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e des pratiques s services. Cettersonnes à percexistants pour
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re de transfert , a été conçu avee la mise en appli
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autres milieux.
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plus• On
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s parents étaientintenant des moorganisées.
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Acceptabilité
Cette section présente des pratiques permettant d’intervenir sur l’acceptabilité des services. Cette dimension est complémentaire à la capacité des personnes de recourir aux services.
Les pratiques présentées dans cette section peuvent donc toucher l’adaptation des services offerts en fonction du statut socio‐économique, des différences culturelles ou des croyances propres à certains groupes de la population
Liste de projets : The Smoking Matters Project : mobiliser les intervenants des organismes communautaires à offrir des services en cessation tabagique à leurs clients. The Expert Patients Program : accompagner des patients pour leur permettre d’augmenter leur confiance en eux, d’améliorer leur qualité de vie et de gérer leur condition plus efficacement.
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• Le
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De la docu
tion du projet : Tuprès des interve, de connaiss
me, ainsi que leselles.
Association of Ch
ject consiste à tmobiliser les intesation tabagique
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travailler avec dervenants de ces à leurs clients.
ce des services mmunautaires endu personnel ; mes communauorganisationnelleles intervenants
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es organismes organismes à
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utaires pour s en matière fument avec
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a• 1
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ganismes commuersonnes en sint contribuer à nnes.
Public c
tion des interveneux se disaient sme avec leur clieelles les connais du tabagisme; e eux se disaient offrir des conseil
enants étaient gisme avec leur csations avaient e aire pour les fumembres du pe
unautaires sont fituation de pau améliorer les
cible : Fumeurs forganismes co
nants : suffisamment
entèle; ssances adéquat
assez compétents en cessation ta
d’accord qu’il éclientèle; modifié leurs pmeurs, soutenir ersonnel qui veu
fortement impliquvreté. Leurs inhabitudes de v
fréquentant des ommunautaires
confiants pour
tes quant aux
ts pour aborder abagique à leur
était important
politiques, ex. : financièrement lent arrêter de
qués auprès ntervenants vie de ces
Avec unchroniqucherche d’augmegérer leu
Ce progrmanifesteux‐mêmsuivante
••••••
Une initia
n soutien approue ont la capacitédonc à accom
enter leur confianur condition plus
ramme est offerttent le besoin. Lemes d’une malas : • Faire face à la• Affronter la d• Utiliser des te• S’alimenter s• Communique• Planifier pour
ative du National
prié, les personé de bien gérer mpagner ces pance en eux, d’améefficacement.
t en 6 cours hebdes cours sont offedie chronique e
a douleur et à la fdépression echniques et des ainement er avec famille, amr le futur
Health Service (N
nnes atteintes dleur condition. Catients pour leéliorer leur qualit
domadaires à touerts par deux tutet abordent les
fatigue extrême
exercices de rela
mis et profession
NHS) (Angleterre)
d’une maladie Ce programme ur permettre té de vie et de
us ceux qui en eurs souffrant s thématiques
axation
nnels
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• S• S• S
Selon unDevelopmd’auto‐efcapacité séjours d
Le manquun élémepermet d
Pu
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ne évaluation dment Centre (NPCfficacité des pade changer de coe plus d’une jour
ue de confiance eent freinant le recd’agir principalem
ublic cible : Les a
e réalisée aupnts : nfiants que les ctent pas leur vie ux préparés pour ns souvent chez lns souvent à l’urg
du National PrCRDC), le programatients (sentimeomportement) etrnée à l’hôpital.
en sa capacité decours aux soins dment sur cet aspe
dultes de 18 ans d’une mal
rès de 1000 p
symptômes dede tous les joursleurs rendez‐voueur médecin; gence.
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et plus atteints ladie chronique
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Pour en savoir
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er les barrières ciales en offranés de cessation dit.
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Accessibilité financière
Cette section présente des pratiques permettant d’intervenir sur l’accessibilité financière des services. Cette dimension est complémentaire à la capacité des personnes de payer les services.
Les pratiques présentées dans cette section peuvent donc toucher : ‐ Les ressources nécessaires pour accéder aux services
(temps, argent, déplacements); ‐ Les ressources d’appui et de soutien qui aident les usagers à
gérer leurs maladies; ‐ Des stratégies de réduction des coûts pour favoriser l’accès à
certains soins.
Liste de projets : Accompagnement‐transport bénévole : jumelage entre un conducteur bénévole et une personne aînée qui permet un mode de transport convivial, abordable (gratuit) et adapté aux besoins des personnes âgées.
Étudiants des cégeps et des universités pour des services professionnels à moindre coût : certains cégeps ou universités offrent des services de santé à coûts réduits ou gratuits dans le cadre de stage de formation de leurs étudiants.
Centre de soutien aux proches aidants : service qui répond aux besoins des proches aidants et les soutient dans leurs tâches quotidiennes.
Les serviorganismun condconsidértransporpersonne
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bles pour mettreype organisations à la gestion d’ole dans la commpratique pou
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t que leur paire leur anxiété z‐vous médicaux.
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clini sans grat besomala
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que ouverte ens prise de rendeuite; oin de la prescriadie.
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semaine à partez‐vous;
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plus
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t associés à dd’y recourir. donc contribueESP.
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:
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Adéquation
Cette section présente des pratiques permettant d’intervenir sur l’adéquation, c’est‐à‐dire le fait d’avoir des services de qualité et adaptés aux besoins des patients.
Cette dimension est complémentaire à la capacité des personnes de bénéficier des services disponibles. Il est maintenant reconnu qu’une meilleure gestion des maladies chroniques par les patients permet d’éviter des complications majeures qui nécessiteraient un recours en 2e ligne auprès de médecins spécialistes. Il est donc essentiel de s’assurer que les patients bénéficient de l’information et des outils adéquats en lien avec la gestion de leur maladie.
Les pratiques présentées dans cette section peuvent donc toucher : la modification des services pour qu’ils répondent aux besoins particuliers des PESP;
le niveau de littératie en santé des PESP; les interactions entre patients et médecins; entre médecins et autres professionnels de la santé (équipes interdisciplinaires de suivi) ou entre médecins traitants et médecins spécialistes;
le suivi par des équipes interdisciplinaires.
Liste de projets :
Équipe interdisciplinaire dans la communauté pour l’autogestion des maladies chroniques : suivi intensif offert aux patients atteints d’une ou de plusieurs maladies chroniques pour leur permettre de mieux comprendre et de mieux gérer leur maladie, et ce, dans leur communauté.
Discutons santé/volet professionnels : formation en ligne offerte aux professionnels afin d’améliorer la communication avec l’usager et, ainsi, améliorer l’autogestion de la maladie.
Discutons santé/volet patients : conseils pratiques et pistes d'actions pour que le patient puisse mieux se préparer à ses consultations médicales, y participer plus activement et se responsabiliser face à son état de santé.
Améliorer ma santé à ma façon : programme gratuit conçu pour aider les gens à bien gérer les défis quotidiens posés par le fait de vivre avec une maladie chronique.
Programme Aliment’ACTION : programme qui vise la modification des habitudes de vie problématiques des patients atteints du syndrome métabolique.
Équipe VERS SA Santé : service de première ligne qui vise à améliorer les services offerts aux personnes atteintes de maladies chroniques.
Rapid Access to Consultative Expertise (RACE) program : modèle de soins partagés faisant appel à une technologie téléphonique qui permet à des médecins de famille d’avoir accès rapidement à des spécialistes.
Système d’information gérontogériatrique (SIGG) : dossier électronique.
Il s’agit chroniquet de mie Comme• Un
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2 fois par semainermation traitent dmédicaments, de
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pratique en tionnement
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ReconnaisAccrédité c
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Les activitéressourcesfaire touteailleurs, lecommunaugéographiq
Public cmalad
s seulement 2 snts ont acquis d; nsité de suivi ents d’intégrer un meilleure utilisa
pertension moinsbas, des cas de doids, entres autre
ssance comme pratique
ur en savoir plu
és d’enseignemes et aux capacitée la différence po fait que l’équiputé permet dques ou de transp
cible : Les patientdies chroniques e
éloign
semaines de sude nouvelles co
est suffisante pnouveau mode dation des médics élevés, des tadiabète mieux cos, ont été observ
exemplaire par A
us/Voir aussi
ent sont bien adas des usagers. Pour les amener à pe interdisciplinae répondre àport.
ts souffrant de plt provenant d’unné des services de
uivi, la plupart donnaissances sur
our permettre ade vie sain; caments, des taaux de cholestéontrôlés, des pervés.
Agrément Canada
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usieurs n milieu e santé
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ns, aux la peut die. Par dans la arrières
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Maintenles barriètraiteme
gramme de fonication entre pares et pharmacons et contribuer
ent ça fonctionnmation vise à pe communicationspirée du Chrons articulés selonle compte trois mConvaincre et éconsiste à faire cmaladie; mplanter le traitplace : explorer le
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gne mise sur sionnels de la saméliorer la quades maladies par
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divisée en trois seVO » : présente 4opper pour bien el de la santé; » : accompagne de ses rendez
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onçus pour aideeux préparer leumeilleure communté de façon à cola gestion de leu
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ent ça fonctionnamme comprend
mes abordés dansn gérer son sommopter une alimenre face à la fruolement; reprendre ou mavelopper des capammuniquer avec té, fiter encore plus
mateurs sont eux‐outenu un(e) pro
ue participant estou ami(e)) qui pou
nt of Health and Com
t conçu pour aideait de vivre avec ciale d’un prograeveté par l’Unive80.
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s les ateliers sont meil et sa fatigue;tation saine; ustration, à la d
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de la vie!
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t invité à se faireurra le soutenir da
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er les gens à bienune maladie chramme d’éducatiorsité de Standfor
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n gérer les défis onique. Il s’agit on des patients rd en Californie
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Public cible : T
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d’hui implanté soue, ainsi que da
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ment besoin d’uns de prendre leue d’être accompssage de la prisegalement s’identment aux prises a
Tout patient attei
que peut s’avérer variables. On a es dans l’auto‐eautogestion), dandépression) et
es améliorations
us différentes verans la plupart d
ar Agrément Cana
n soutien plus peur santé en maagné d’un(e) proe en charge est dtifier plus facilemvec une maladie
nt d'une maladiechronique
efficace, mais observé des
efficacité des ns leur santé t dans leurs avaient duré
rsions dans 24 des provinces
ada.
ersonnalisé pourin. La possibilitéoche tout au longdonc un facteur‐ment auprès d’unchronique.
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Ce progrdes patie Comme
Le syndrincluant (triglycérjeun et accroisse2 chez un Chaque coordonune kinéles carac
• Ii
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Une initiative
ramme vise la moents atteints du s
ent ça fonctionn
rome métaboliqul'obésité abdomrides), un faible nune pression a
ent le risque de mn individu.
patient référé née par le médeésiologue et une ctéristiques suiva
l comprend desndividuel; l s’échelonne surl comprend troiscondition physiqcours du suivi : participation et à12 mois.
e du CSSS Champ
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014
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chroniques Public cible : Clientèle atteinte de maladies chroniques
Une initiative du CSSS de Gatineau (Québec) Il s’agit d’un programme en première ligne qui vise à améliorer les servicesofferts aux personnes atteintes de maladies chroniques.
VERS : Vitalité, Éducation, Réseautage, Soutien SA : Support à l’Autogestion Santé : pour sa Santé
Comment ça fonctionne?
• L’usager et sa famille sont pris en charge par une équipe interdisciplinaire,dont une infirmière et une nutritionniste;
• Le programme offre un service de dépistage, de suivi clinique,d’enseignement et d’autogestion sur une base individuelle;
• Des ateliers thématiques facultatifs sont aussi offerts, animés par unevariété de professionnels (kinésiologue, pharmacien, psychologue,médecin);
• Les techniques de l’entretien motivationnel sont utilisées; • L’usager peut s’inscrire lui‐même au programme ou y être référé.
Points forts de la pratique : • Au suivi éducatif est ajouté un suivi clinique en partenariat avec le
médecin traitant; • L’infirmière clinicienne est autonome pour le suivi clinique et travaille en
collaboration avec le médecin traitant; • Le programme est basé sur la collaboration dans l’ensemble du réseau
local de services et sur l’uniformisation des pratiques.
Résultats prometteurs
Ce service permet : • D’assurer l’accessibilité aux services de première ligne pour la
clientèle atteinte de diabète ou de maladies cardiovasculaires; • De diminuer le recours à l’urgence et à l’hospitalisation; • D’appuyer le médecin de première ligne dans l’évaluation, le
diagnostic et le suivi de ces clientèles; • De responsabiliser l’usager par rapport à son état de santé et à
l’autogestion de sa maladie, de le guider et de le motiver. Le modèle est adaptable à tout type de maladie chronique. Reconnaissances
• Reconnue comme pratique exemplaire par Agrément Canada en 2011
• Prix AQESSS 2012 • Mention d’honneur du ministère de la Santé et des Services
sociaux en 2012 • Lauréat du Prix d’excellence du réseau de la santé et des
services sociaux 2013 Pour en savoir plus
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Gatineau (Québec)
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ranscrire de e traduit au
connue par
peut avoir de la santé à chaque e problème en pour tous les
Références
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AQESSS. (2014). CSSS de la Vieille Capitale : Là où il fait bon vivre – Stratégie d’intervention auprès d’une population défavorisée. Repéré à https://www.aqesss.qc.ca/4268/CSSS_de_la_Vieille‐Capitale___Approche_de_proximite_a_Place_de_la_Rive.aqesss
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CSSS Jardins‐Roussillon (2008). Avis et communiqués‐Les télésoins permettent une diminution importante du nombre d’hospitalisations et de visites à l’urgence. Repéré à http://www.santemonteregie.qc.ca/jardins‐roussillon/presse/communiques/detail/efficacite_telesoins.fr.html#.VKqYo_mG‐VA
Côté, L. (2013). Rapid Access to Consultative Expertise (RACE [accès rapide aux conseils d’experts]) : un modèle novateur de partage des soins. Agrément Canada. Repéré à http://www.accreditation.ca/fr/node/6756.
Department of Health and Community Services. (s.d.). Chronic Disease Self‐Management Program for Newfoundland and Labrador. Repéré à http://www.health.gov.nl.ca/health/chronicdisease/improving_health_my_way.html.
Gagnon, M. (2011). Équipe VERS SA Santé : services de premières lignes en maladies chroniques, diabète et MCV. Agrément Canada. Repéré à http://www.accreditation.ca/fr/node/6472.
Health Council Canada. (2012). PRISMA, programme intégrateur de services de santé. Agrément Canada. Repéré à http://www.accreditation.ca/fr/node/6091.
Hébert, R., Tourigny, A. et Gagnon, M. 2004. Intégrer les services pour le maintien de l’autonomie des personnes. PRISMA. Edisem inc., St‐Hyacinthe. Repéré à http://www.prismaquebec.ca/documents/document/Prisma.livre.pdf.
Lévesque, J.‐F., Cleret de Langavant, G. et Gagné, V. (2010). Rapport d’appréciation de la performance du système de santé et de services sociaux. Adopter une approche intégrée de prévention et de gestion des maladies chroniques : recommandations, enjeux et implications. Commissaire à la santé et au bien‐être.
Lorig, K. (2012). Programmes d’autogestion des maladies chroniques de Standford (CDSMP) au Canada. Agrément Canada. Repéré à http://www.accreditation.ca/fr/node/6094.
Neumann, T., Rasmussen, M., Ghith, N., Heitmann, BL. et Tonnesen, H. (2013). The Gold Standard Programme: smoking cessation interventions for disadvantaged smokers are effective in a real‐life setting. Tobacco Control 22. Repéré à : http://tobaccocontrol.bmj.com/content/22/6/e9.abstract.
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O'Brien, J., Salmon, A., Geikie, A., Jardine A. et Oakes, W. (2010). Integrating smoking care in community welfare agencies to reach disadvantaged people: Findings from the Smoking Matters Project. Health Promotion Journal of Australia 21(3) : 176‐182.
Table de concertation des aînés de l’île de Montréal. (2009). Les moyens de transport et la mobilité des aînés montréalais : intervenir face au vieillissement de la population. Repéré à http://credemontreal.qc.ca/wp‐content/uploads/2012/02/20090203_Rapport_Transport_et_Mobilite_TCAIM.pdf
Université McGill. (2013). Clinique dentaire communautaire. Repéré à http://www.mcgill.ca/dentistry/fr/patients/communautaire%20
CSSS Rocher‐Percé. (2014). Maladies chroniques. Repéré à http://csssrocherperce.org/programmes‐et‐services/sante‐physique/maladies‐chroniques/
Sites web consultés :
Discutons santé : www.discutonssante.ca
Expert Patients Program : www.selfmanagementuk.org
Messagerie texte SMAT : www.smat.ca
Annexe 11 Napperons de planification Retour à la liste des annexes
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2. Concernant les activités réalisées : Désaccord Neutre Accord
J’ai trouvé pertinente et intéressante :
• La vidéo « Inégaux ». 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
• La présentation du portrait des ISS sur le territoire de Pierre‐De Saurel.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
• La présentation du portrait sur la consommation des services de santé sur le territoire de Pierre‐De Saurel.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Je comprends mieux l’ampleur des ISS à Pierre‐De Saurel.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai pu donner mes impressions sur les problèmes de pauvreté et d’ISS à Pierre‐De Saurel.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
À la fin de l’atelier, tous les membres du Comité ont développé une vision commune du problème des ISS à Pierre‐De Saurel.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Commentaires supplémentaires ou précisions :
3. Les animateurs de l’atelier… Désaccord Neutre Accord
Ont présenté clairement l’information. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Nous ont aidés à interpréter le sens de l’information présentée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Ont bien répondu aux questions. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Commentaires supplémentaires ou précisions :
4. Appréciation de l’atelier et satisfaction
globale : Désaccord Neutre Accord
Je suis satisfait(e) de cet atelier. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
La durée de l’atelier était adéquate. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai trouvé intéressant que l’information soit présentée par plusieurs animateurs.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Les discussions de groupe m’ont permis de mieux comprendre l’information présentée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Cet atelier a piqué ma curiosité (j’ai envie d’en savoir davantage).
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Commentaires supplémentaires ou précisions :
Veuillez remettre ce questionnaire dûment complété à la suite de l’atelier. Merci!
Date d SECTIO
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janvier 2015
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3. De façon générale, grâce à l’information présentée… Désaccord Neutre Accord
Je me rends compte qu’il est faisable de mieux prendre en compte les personnes en situation de pauvreté dans la planification d’activités.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai une plus grande confiance en ma capacité d’intégrer, dans la planification d’activités, les enjeux vécus par les populations vivant en situation de pauvreté
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai l’intention d’utiliser le guide de planification lors d’une prochaine démarche de planification.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai l’intention d’utiliser le guide des meilleures pratiques lors d’une prochaine démarche de planification.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
4. Les animateurs de l’atelier… Désaccord Neutre Accord
Ont présenté clairement l’information. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Nous ont aidés à interpréter le sens de l’information présentée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Ont bien répondu aux questions. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
5. Appréciation de l’atelier et satisfaction
globale : Désaccord Neutre Accord
Je suis satisfait(e) de cet atelier. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
La durée de l’atelier était adéquate. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Les discussions de groupe m’ont permis de mieux comprendre l’information présentée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Vos commentaires (ce qui a été utile, moins utile, vos suggestions, etc.)
Veuillez remettre ce questionnaire dûment complété à la suite de l’atelier. Merci!
Date d SECTIO
Votre p Clini Repr Votre t Cadr Autr SECTIOINDIQURÉPON
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DU RÉPONDANT
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3. Grâce à l’exercice pratique sur l’utilisation du
guide de planification… Désaccord Neutre Accord
J’ai pu mettre en pratique les notions acquises dans les ateliers précédents.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Je comprends mieux comment réaliser chaque étape de planification.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai pu identifier des ressources (documentaires, de soutien ou autres) qui m'aideront à intégrer les ISS dans la planification des activités et services en maladies chroniques.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Commentaires supplémentaires ou précisions :
4. Les animateurs de l’atelier… Désaccord Neutre Accord
Ont présenté clairement l’information. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Nous ont aidés à interpréter le sens de l’information présentée
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Ont bien répondu aux questions. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Commentaires supplémentaires ou précisions :
5. Appréciation de l’atelier et satisfaction
globale : Désaccord Neutre Accord
Je suis satisfait(e) de cet atelier. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
La durée de l’atelier était adéquate. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
J’ai trouvé intéressant que l’information soit présentée par plusieurs animateurs, j’ai pu profiter de la spécialité de chacun.
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Les discussions de groupe m’ont permis de mieux comprendre l’information présentée.
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Cet atelier a piqué ma curiosité (j’ai envie d’en savoir davantage).
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Commentaires supplémentaires ou précisions :
6. Questions par rapport à la démarche
réalisées durant les trois ateliers Désaccord Neutre Accord Ce projet m’a ouvert les yeux sur l’importance de considérer les ISS dans la planification d’activités.
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Les données transmises ont été utiles pour m’aider à comprendre la situation à Pierre‐De Saurel.
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Les discussions ont recherché l’avis de tous les participants.
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J’ai participé activement tout au long du processus.
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À l’avenir, j’ai l’intention de considérer les ISS dans mes activités professionnelles ou personnelles.
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Je prévois me servir des outils qui nous ont été distribués dans le cadre de ce projet :
• Les napperons présentant les données du territoire
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• Le guide de planification 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
• Le guide des meilleures pratiques 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Vos commentaires (ce qui a été utile, moins utile, vos suggestions, etc.)
Veuillez nous remettre ce questionnaire dûment complété. Merci!
Annexe 13 Guide d’entrevue individuelle
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Membres du Comité maladies chroniques
Grandes consignes : 1) éviter la monotonie dans la formulation des questions; l’entrevue n’est pas un sondage téléphonique, mais une discussion; 2) écrire des phrases d’introduction ou de transition, ce qui permet de faire plus naturel; 3) les phrases d’introduction ou de transition permettent de guider l’interviewé. Objectifs de l’entrevue
Cette entrevue vise à obtenir votre point de vue personnel sur le processus d’accompagnement en planification réalisé par l’équipe FORCES.
Par « processus d’accompagnement », on fait référence aux trois ateliers auxquels vous avez participé et aux documents qui vous ont été remis.
On se rappelle que le projet avait pour objectif de mieux prendre en compte les inégalités sociales de santé dans l’offre de services en maladies chroniques.
Les informations recueillies grâce à cette entrevue d’évaluation vont permettre d’améliorer le contenu ou la forme du processus d’accompagnement, en vue de le réaliser sur d’autres territoires ou avec d’autres comités du CSSS (ou de CISSS).
Déroulement de la rencontre :
Durée prévue : environ 30 minutes Il y a 11 questions ouvertes avec quelques sous‐questions. Thèmes abordés : appréciation du processus d’accompagnement, composition du Comité en maladies chroniques, continuité de l’action.
Tous les commentaires restent anonymes et confidentiels. L’analyse sera réalisée par deux professionnels de l’équipe évaluation‐recherche de la Direction de santé publique de la Montérégie.
Tout d’abord, je dois vous demander si vous acceptez que l’entrevue soit enregistrée. L’enregistrement est important pour nous aider à faire l’évaluation du projet. Il est confidentiel et votre nom ne sera pas divulgué.
APPRÉCIATION DU PROCESSUS D’ACCOMPAGNEMENT La première partie de l’entrevue concerne le processus d’accompagnement dans son ensemble. Par « processus d’accompagnement », on se réfère à la conduite des trois ateliers et la distribution de la documentation, c’est‐à‐dire les deux guides de meilleures pratiques et les napperons de données. Il s’agit donc de la démarche générale suivie jusqu’ici.
Concernant l’information transmise pendant le processus d’accompagnement :
1. J’aimerais savoir si elle a contribué à augmenter vos connaissances sur les 4 points suivants :
a. Premièrement, ce qu’on entend par « inégalités sociales de santé »? (Comprenez‐vous mieux de quoi il s’agit? Avez‐vous augmenté vos connaissances sur ce concept? et quels sont les points nouveaux pour vous?)
b. Deuxièmement, ce qu’on entend par « personnes défavorisées »? Quels sont les points nouveaux pour vous?
c. Ensuite, sentez‐vous que vous avez augmenté vos connaissances concernant la
situation particulière des populations défavorisées à Pierre‐De Saurel? Quels sont les points nouveaux pour vous?
d. Finalement, comprenez‐vous mieux les problématiques qui sont vécues par les
populations défavorisées en lien avec les maladies chroniques? Quels sont les points nouveaux pour vous?
2. Jusqu’à quel point ce processus d’accompagnement a‐t‐il influencé votre attitude face
aux populations défavorisées? (par ex. vous sentez‐vous plus ouvert? Avez‐vous une plus grande conscience de l’existence d’ISS? Avez‐vous développé des préoccupations nouvelles?)
3. À la suite de ce processus d’accompagnement, jusqu’à quel point vous sentez‐vous
davantage capable : a. d’identifier des zones d’amélioration à apporter à l’offre de services en
maladies chroniques pour qu’elle tienne bien compte des ISS? Oui / Non / Expliquez pourquoi
b. de planifier des actions prioritaires qui ciblent particulièrement les personnes défavorisées? Oui / Non / Expliquez pourquoi.
4. Jusqu’à quel point vous sentez‐vous davantage en mesure de réaliser les différentes étapes d’une planification des services qui assume la responsabilité populationnelle du CSSS en prenant en compte les ISS. Développez votre réponse.
Pour terminer au sujet du processus d’accompagnement, j’aimerais connaître votre appréciation globale du soutien offert
5. De façon générale, comment avez‐vous perçu le soutien qu’elles vous ont offert? 6. Pouvez‐vous m’indiquer les points forts ou, au contraire, les pistes d’amélioration à
considérer sur le plan du soutien? COMPOSITION DU COMITÉ
7. Selon vous, la composition du Comité vous a‐t‐elle permis d’avoir différents points de
vue utiles à l’élaboration d’une planification des services qui prend en compte les ISS? Pouvez‐vous m’indiquer comment cela a été utile?
8. Pensez‐vous qu’il manquait des gens qui auraient pu faire partie du Comité? Si oui, lesquels? Si non, pourquoi??
9. De façon plus particulière : a. Jusqu’à quel point la présence de représentants des usagers vous paraît‐elle
essentielle? b. Jusqu’à quel point la présence de représentants d’organismes communautaires
vous paraît‐elle essentielle? CONTINUITÉ DE L’ACTION
10. Avez‐vous l’intention de poursuivre votre implication au sein du Comité pour améliorer les services en maladies chroniques pour les personnes défavorisées? Oui / Non / Pourquoi?
11. À la suite de votre expérience au sein du Comité, quels seraient les défis et les possibilités que vous entrevoyez pour qu’un tel processus d'accompagnement soit offert dans d’autres établissements?
L’entrevue est maintenant terminée. Est‐ce que vous souhaiteriez faire d’autres commentaires en lien avec les thèmes de l’entrevue?
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