2-2 Tempêtes et précipitations:

décembre 2013 à mars 2014

Changement climatique et événements extrêmes:

Les experts s'attendent également à ce que le réchauffement climatique provoque des événements météorologiques extrêmes plus intenses, tels que les sécheresses, pluies diluviennes et – cela est encore débattu – des cyclones tropicaux plus fréquents.

Thomas Stocker (Université de Berne) in Le Monde 15 avril 2014 : « Les vagues de chaleur vont très probablement se produire plus fréquemment et durer plus longtemps. Avec le réchauffement, nous nous attendons à voir les régions humides recevoir plus de pluies et les régions les plus sèches à en recevoir moins, même s'il va y avoir des exceptions. »

E Kintisch Science 2014;344:250-253

Published by AAAS

SOMLIT Brest SSS March 1998 - March 2014y = 4E-05x + 33.046

R2 = 0.0128

32.40

32.90

33.40

33.90

34.40

34.90

35.40

janv

-98

janv

-99

janv

-00

janv

-01

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-02

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-03

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-12

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-13

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-14

Variations de la salinité à la sortie de la rade de Brest de mars 1998 à mars 2014

Trend SSS anomalies SOMLIT-Brest March 1998 - March 2014 y = 4E-05x - 1.6803R2 = 0.0403

-1.75

-1.25

-0.75

-0.25

0.25

0.75

1.25ja

nv-9

8

janv

-99

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-00

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-01

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-10

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-11

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-13

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-14

Hiver: 4 principaux régimes de temps.

Anomalies de pression au niveau de la mer (contours tous les 200 Pa)

Tréguer et al. JMS, 2014

Source: C. Cassou, CERFACS cf. Meteo-France

Conclusions:

1-Ne pas co Conclusions:

1-Ne pas confondre climatologie et météorologie: notre perception du temps qu’il fait aujourd’hui n’est pas forcément représentative de la tendance du climat sur le long terme nfondre climatologie et météorologie: notre perception du temps qu’il fait aujourd’hui n’est pas forcément représentative de la tendance du climat sur le long terme.

2-A l’échelle planétaire la température moyenne globale à la surface de la Terre est en dérive positive à l’échelle multi décennale; l’augmentation de cette température est telle qu’elle ne sera pas sans conséquence sur notre vie de tous les jours au 21ème siècle.

Conclusions (suite):

3-Il n’est plus possible d’ignorer que notre mode de vie actuelle, qui passe par la mobilisation avec une intensité inconnue jusqu’à présent des ressources non renouvelables de la planète, soit impliqué dans cette modification du climat à l’échelle globale.

4-Le système Terre - Océan - Atmosphère - Biosphère est un système complexe, dans lequel l’océan joue un rôle majeur dans la régulation du climat. Localement les tendances peuvent, sur le court terme, contredire l’évolution globale.

Bien que 15 ans soit une période courte à l’échelle climatologique, à titre d’information les tendances sont calculées à partir des anomalies des moyennes mensuelles, pour les deux sites d’étude.

SST Brest -0.02°C/an

SSS Brest +0.02 pps/an

Q (Aulne + Elorn) -0.6 m3s-1/an

SST Astan -0.01°C/an

SSS Astan +0.01 pps/an

Q Penzé -0.07 m3s-1/an

Bien que 15 ans soit une période courte à l’échelle climatologique, à titre d’information les tendances sont calculées à partir des anomalies des moyennes mensuelles, pour les deux sites d’étude.

Bien que 15 ans soit une période courte à l’échelle climatologique, à titre d’information les tendances sont calculées à partir des anomalies des moyennes mensuelles, pour les deux sites d’étude.

Bien que 15 ans soit une période courte à l’échelle climatologique, à titre d’information les tendances sont calculées à partir des anomalies des moyennes mensuelles, pour les deux sites d’étude.

Bien que 15 ans soit une période courte à l’échelle climatologique, à titre d’information les tendances sont calculées à partir des anomalies des moyennes mensuelles, pour les deux sites d’étude.

Effet de serre comparé sur les planètes telluriques

C A D

Paramètres Venus Terre MarsT surface (°C) 458 15 -55

Flux en W m-2

Flux solaire net en surface 20 168 102Flux thermique C 0 102 24Flux thermique A 16190 390 128Flux thermique D 16170 324 50

Effet de serre: D/(A+C) % 100 66 33

Effet de serre sur les planètes telluriques du système solaire

Paramètre Venus Terre Mars

Température °C 458 15 -55

Effet de serre (D/A+C) 100% 67% 33%

Vénus sous les nuages

La Terre sans nuages

Mars

Times-series: monthly mean anomalies of SST(°C) or SSS(pss) of coastal waters of western Brittany vs. English Channel

March 1998 – March 2013

WCO Western Channel Observatory (Plymouth)

CEFAS Observatory (Weymouth)

E Kintisch Science 2014;344:250-253

Published by AAAS

E Kintisch Science 2014;344:250-253

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Cassou, Météorologie, 2004

a, anomalie de divergence et de convergence en haute troposphère calculée à 200 hPa dans le modèleArpège par différence entre la simulation perturbée avec des SST tropicales chaudes et celle avec desSST tropicales froides. Les valeurs négatives indiquent par convention une augmentation de la divergence(10-6.s-1). Le courant-jet est matérialisé par un tube bleu et l’augmentation de la convection par lenuage rouge.

b, schéma récapitulatif des connexions tropiques-latitudes moyennes selon une coupe sud-nord sur l’ouest du bassin atlantique (entre 90°W et 30°W).

Cassou, Météorologie, 2004

Trend SST Anomalies Brest 1998-2014 y = -5E-05x + 1.9631R2 = 0.0188

-2.00

-1.50

-1.00

-0.50

0.00

0.50

1.00

1.50

2.00

janv-98 janv-99 janv-00 janv-01 janv-02 janv-03 janv-04 janv-05 janv-06 janv-07 janv-08 janv-09 janv-10 janv-11 janv-12 janv-13 janv-14

Monthly mean anomalies of SST (°C): SOMLIT-Brest & -Astan,

March 1998-March 2013 r=0.743, p<0.001

Monthly mean anomalies of SSS (pss): SOMLIT-Brest & -Astan,

March 1998-March 2013

r=0.710; p<0.001