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L E J O U R N A L D E S E TA M P O I S

Etampesinfo

Vendredi 14 février

LA météoDE VOTRE week-end

Samedi 15 févrierSte Claude

Dimanche 16 févrierSte Julienne

6°/10°

Retrouvez chaque jour l’indice de qualité de l’air sur www.mairie-etampes.fr

3°/11°

Sport / PAGE 7

Les 20es FouléesEtampoises s’élancerontdimanche 23 février auxabords de la salle des fêtes.Un évènement qui devraitattirer près de 600 coureurset la foule des grands jours.

Sortir / PAGE 8

Olympe de Gouges sera àl’honneur de la Journée de lafemme le 8 mars prochain.L’occasion de découvrir unefigure flamboyante de laRévolution française et desdroits de la Femme.

Retrouvez toute l’actualité étampoise sur votre mobile.

Bonne St-Valentin

Etat de catastrophenaturelle reconnuLe 28 septembre dernier, Etampessubissait de fortes intempéries. Plusieurshabitants sinistrés vont être remboursésplus facilement par leur assurance grâce àcette reconnaissance officielle. / PAGE 2

Rythmes scolairesGilets jaunes et dromadairesétaient de sortie ce samedi8 février devant la préfecture.400 personnes ont bravé la pluiepour manifester contre la réformePeillon. Un mouvement qui nefaiblit pas. / PAGE 5

Nouvelles technologies

Internet, un outil incontournableau service du quotidien« La fin de la fracture numérique en France. Rêveou réalité ? » L'Institut National de la Statistique etdes Etudes Economiques (INSEE) s’est posé laquestion dans le cadre d’une de ses études. Et iln’est pas le seul. Alors que certains internautesbénéficient de connexion très, très haut débit,dans l’Hexagone et dans une partie dudépartement de l’Essonne, d’autres, plus éloignés,peinent à surfer normalement. Une disparité del’offre pénalisante pour un outil devenuindispensable à tous. Beaucoup de particuliers etd’entreprises pâtissent en effet de cetteinsuffisance de couverture. Les attentes sontpourtant fortes en la matière. Internet faitaujourd’hui partie intégrante du quotidien qu’il soitd’ordre professionnel ou personnel. Communiquer,travailler, faire ses achats en ligne, s’informer... Toutse fait au travers d’un ordinateur. Et donc mieuxvaut être bien connecté. C’est tout l’enjeu actuel età venir. Au travers d’exemples concrets, Etampesinfo fait le point sur les différentes problématiquesrencontrées localement et les projets desintervenants compétents. La couverture internethaut débit se doit, en effet, d’être égale pour tous.

Le haut débit pour tous,une nécessité partout !

À LIRE PAGE 3

Actualité02E T A M P E S I N F O N ° 9 6 1V E N D R E D I 1 4 F É V R I E R 2 0 1 4

RECONNAISSANCE DE L’ÉTAT DE CATASTROPHE NATURELLE. Leterme est connu. Il s’apparente généralement à des catas-trophes naturelles de grande ampleur. Il est surtout syno-nyme d’un sentiment de soulagement pour les personnesvictimes d’un sinistre causé par des fortes intempéries. Cettedénomination regroupe de nombreux phénomènes. Il y aen effet inondation et inondation. Inondation par débor-dement d’un cours d’eau, inondation par ruissellement etcoulée de boue associée, inondation par remontée de nappephréatique. Les autres phénomènes sont moins courantsdans le Sud-Essonne : crues torrentielles, phénomènesliés à l’action de la mer, mouvements de terrain, séismes,vent cyclonique… ou encore avalanche. Comment obtenir cette reconnaissance ? C’est une procé-dure que peu de gens connaissent. Il revient d’abord auxcommunes touchées d’effectuer une demande auprès dela Préfecture pour faire reconnaître l’état de catastrophenaturelle en précisant le type de phénomène naturel subiet le nombre de bâtiments ou d’habitations endommagés.

La Ville sollicite la PréfectureC’est ce que fit la Ville d’Etampes auprès des servicesde l’Etat le 1er octobre dernier. 3 jours auparavant, vers

19 h, des trombes d’eau s’étaient abattues sur la Ville.35 mm d’eau en 30 minutes, ce qui avait provoqué unemontée de la rivière d’Etampes dans des proportionsrarement atteintes, environ 70 cm ! Le 27 décembre, laPréfecture avait répondu à la Ville que sa demande declassement avait été transmise au ministère de l’Inté-rieur pour examen par la commission interministériellecompétente. 4 mois plus tard, la décision est tombéesous forme d’un arrêté en date du 31 janvier 2014 etpublié au Journal officiel du 2 février dernier. Les inon-dations et coulées de boues survenues le 28 septem-bre ont été reconnues en qualité de catastrophe naturelle.

Des habitants soulagésUne bonne nouvelle pour la quinzaine d’habitants concer-née. « J’ai été inondée 3 fois l’année dernière… Je n’ai pasencore été indemnisée par mon assurance pour le 28 sep-tembre 2013. Je suis soulagée car cela va me permettrede faciliter les remboursements auprès de mon assu-rance », réagissait Françoise Mazure, 72 ans, qui habiteune maison située passage du Bourgneuf, dans le quar-tier Saint-Pierre. Rue de la Croix-de-Vernailles, dans lequartier Saint-Michel, Ghyslaine Desrues, 75 ans, et sonmari, 80 ans, ont également été touchés par les inonda-tions du 28 septembre dernier mais aussi celles du moisde juin. « La dernière était la plus importante. Les pom-piers sont intervenus et ont pompé 500 litres d’eau pen-dant 1 h 30 dans notre garage. L’eau était montée au-dessus des genoux, environ 70 cm. Les pompiers ont bienvoulu me faire un papier pour prouver qu’ils étaient inter-venus. J’ai contacté rapidement mon assurance pour réa-liser un constat des dégâts. J’ai déjà été en partie rem-boursée », racontait Ghyslaine Desrues.

Il y a 15 jours à la salle des fêtes sedéroulait une nouvelle édition duForum Ambition et Orientationpour les élèves de 3e. Depuis le20 janvier et jusqu’au 20 mars, lesélèves de terminale ont à formulerleurs vœux pour choisir la filièrequ’ils souhaitent suivre une foisleur bac en poche. La période estdonc clé, à la fois pour les jeunesmais aussi pour les familles.Etampes info a mis en lumière leparcours de 3 jeunes. Histoire dedonner des bonnes idées etpourquoi pas de susciter desvocations. Portraits.

Corse du sud. Finistère. Tout le monde a en tête les inondations qui viennent de toucherces départements et les nombreux dégâts causés. A Etampes, l’épisode très pluvieuxdu 28 septembre 2013 avait provoqué d’importantes inondations et coulées de boues.L’arrêté portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle a été publié auJournal officiel du 2 février. Un soulagement pour la quinzaine d’habitants concernée.

Le passionné de l’automobile ALI KA TRAVAILLE pour une filialede la banque Société Générale. Lejeune homme de 22 ans effectuetous les jours de la semaine l’alleret retour entre la Croix-de-Vernailleset le 1er quartier d’affaires européen.« Je suis actuellement en alternanceà ALD International qui est spécia-lisée dans la location de longuedurée de véhicules pour les profes-

sionnels. En parallèle, je termine ma 2e année de Master à lafaculté d’Evry en achats internationaux et distribution de bienset services ». Passionné d’automobile : « J’ai, dans le cadre dema licence professionnelle en management des organisationsau GRETA TOP à Paris, travaillé en tant qu’assistant d’un direc-teur d’investissement chez Faurecia. »Son objectif profession-nel est bien déterminé : « Je veux travailler dans le secteurautomobile et à l’international. » C’est en bonne voie.

Une future juriste d’entreprise A 18 ANS, BINTA ANNE fait déjàpreuve de maturité. En premièreannée de DUT Carrière juridiqueà la faculté Paris-13 Villetaneuse,elle a déjà une bonne idée de sonavenir. « Pour être juriste d’entre-prise, il faut avoir Bac +5 mais çane me fait pas peur. Après le DUT,je souhaite m’inscrire en 3e annéede droit en faculté», lance la jeune

étampoise qui réside avec ses parents aux Emmaüs Saint-Michel, juste au-dessus de l’Espace Camille-Claudel. « Au lycéeGeoffroy-Saint-Hilaire, le droit était au programme de mafilière STG (Sciences et Technologies de la Gestion). J’en aifait pendant 2 ans et ça m’a beaucoup plu car le droit sertau quotidien. Aujourd’hui, dans le cadre de mes études, jecotoie des profs qui ont tous un métier à côté, avocats, juristes,médiateurs. A leur contact, j’apprends beaucoup. »

Spécial info jeunes : des parcours de formation qui donnent des idées à suivre

Intempéries du 28 septembre 2013 : état de catastrophe naturelle reconnu

Saint-Martin : réparé, le DAB est en serviceDepuis une semaine, la vie est devenue plus simple dans le quartier Saint-Martin. « C’était très important d’avoir un distributeur à côté de notre domicilepour faire nos courses », admettait Nicole, résidente du square René-Chanteloup. Même son de cloche chez les commerçants, comme MatthieuDelplace, de La Boucherie de la Tour Penchée. « C’est toujours contraignant dedevoir prendre sa voiture pour aller chercher de l’argent. Là, tout est redevenuplus pratique. La réparation du DAB était attendue. » Pour rappel, ledistributeur avait subi des dégradations au début du mois de novembre 2013.La Société Générale avait donc été sollicitée pour faire effectuer des travaux deremise en état. « Bien que consciente de la gêne occasionnée aux riverains et

aux commerçants du quartier », comme le reconnaît la banque, elle a dû faire face à des délais delivraison incompressibles de la part de ses fournisseurs. Aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre !

Que faire en cas de sinistre ?

Précisions avec le Point d’Accès au Droit « Les conseillers du Point d’Accès au Droit (PAD) setiennent à disposition des habitants qui ont pu êtretouchés par les inondations s’ils ont par exemple desproblèmes de remboursement avec leur assurance »,souligne Stéphane Liny, directeur du PAD, rappelantl’existence de la « permanence de l’Agence Dépar-tementale d’Information sur le Logement (ADIL) qui alieu tous les 2e et 4e vendredis de chaque mois, de9 h 30 à 12 h 30, sur rendez-vous. »PAD, 1, rue du Coq. Tél. : 01 69 92 11 70.

Petits conseils préventifsRassembler des preuves. Dès que vous consta-tez les dégâts, pensez rapidement à prendre des pho-tos. Conserver vos factures est indispensable pourfaciliter la procédure d’indemnisation. Attention, il nefaut en aucun cas jeter les biens endommagés car ilsconstituent des preuves pour l’assureur. Et avant toutedémarche et le passage de l’expert, il est importantde protéger vos biens pour qu’ils restent en l’état.

Prévenir votre assurance rapidement. La pro-cédure veut que la déclaration soit réalisée dans undélai de 5 jours maximum par lettre recommandée.Il faut réaliser un descriptif des dommages, effectuerune liste de tous les objets endommagés avec toutesles preuves possibles.Cela vaut pour le domicilecomme pour le véhicule. Cette liste doit être chiffréeen euros pour chacun des biens ayant subi des dégâts. Pour plus de renseignements, consultez le siteinternet www.ffsa.fr

Infos pratiques

Carrefour du Moulin des Sablons.

Actus

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Le spécialiste de l’assuranceECOLE NATIONALE D’ASSURANCE

à la Défense pour un BTS puis unelicence professionnelle, écolesupérieure d’assurance à Parispour un « MBA Audit et RiskManagement », université d’EvryVal-d’Essonne pour un Master2 Stratégie Pilotage et Contrôledes Entreprises, la colonne « For-mation professionnelle » du CV

d’Ibrahim Idelasri, 25 ans, habitant de la Vallée-Collin « envoiedu lourd » selon l’expression consacrée. La colonne « expé-rience professionnelle » n’est pas mal non plus. « J’ai tra-vaillé 1 an en alternance en tant que chargé d’études finan-cières pour le groupe Generali Assurance. » Auparavant, ila travaillé 4 ans, en alternance, pour CESCE Assurance-crédit. 2 ans au poste de commercial de terrain puis 2 ansau poste d’analyste-crédit junior.

Répondre à l’enjeu du haut et très haut débitLa fracture numérique en France comme en Essonne est encore loin d’être résorbée. De nombreux

problèmes subsistent : techniques d’une part, avec une accessibilité inégale au haut débit, des difficultésà se connecter... et au niveau des intervenants d’autre part. En effet, qui fait quoi ?… Etat des lieux.

ENVOYER ET

RECEVOIR DES MAILS, accéder à son comptebancaire, suivre l’actualité, faire ses achats,organiser ses vacances, gérer son entre-prise, être en contact avec l’administra-tion… Internet est entré dans les mœurset les foyers comme on ouvre un robinetou l’on actionne un interrupteur électrique.Les services proposés aussi se multiplient.Il suffit pour cela d’allumer son téléviseur.Les opérateurs proposent des offres allé-chantes avec des performances à très,très haut débit. Sauf que tout cela ne vapas de soi pour tout le monde. Preuve enest place du Port. « Cela fait 6 mois que j’at-tends l’installation du téléphone et de laconnexion internet. 21 autres familles sontdans mon cas. Quand je pense que laflamme olympique a été dans l’espace etque nous n’avons pas encore de téléphoneen 2014 », s’indigne Monique, de la rési-dence Les Jardiniers du Moulin. « Si je n’avaispas été obligée de solliciter la Ville, on enserait peut-être toujours au même point. Enattendant, depuis, Orange a commencé le3 février les travaux nécessaires pour effec-tuer les branchements. »

Des hameaux délaissés par les fournisseurs d’accèsDans les hameaux, notamment à Pierre-fitte, Le Chesnay et l’Humery, de nombreuxproblèmes sont également rencontrés.«Depuis un an, le téléphone et internet fonc-tionnent par intermittence, voire pas du tout.J’ai fait venir un informaticien qui m’a dit quele débit était faible. Malgré toutes les

interventions d’Orange sur la ligne, rien nechange. Et puis, c’est gênant, notammentpour mon activité professionnelle. Je faissouvent des ventes de céréales et des com-mandes par internet », déclare Jean-Marc,un agriculteur. « Je paie mon abonnement

comme les autres ! Il n’y a donc pas de rai-son que je ne bénéficie pas du haut débit. »Le problème à l’Humery est dû à la défec-tuosité du câble de raccordement dontOrange avait évoqué, en mai 2013, le chan-gement... Ce qui vient de lui être rappeléen demandant également une montéeen débit. Pour Stéphane Courtignon, direc-teur des relations pour les collectivitéslocales chez ce fournisseur d’accès, il y aune autre difficulté, dont on parle moins.Et qui est financière. « Il faut reconnaîtreque les habitations à plus de 4 km du cen-tral téléphonique d’Etampes ont des pro-blèmes de connexion. Nous avons beau-coup de difficultés à acheminer un signal

internet suffisant. C’est trop loin. Pour avoiraccès au haut débit, il faudrait que les habi-tants des hameaux se tournent vers dessolutions d’internet par satellite en instal-lant une parabole. » Un comble pour leshabitants qui auraient encore à payer. Ce

que tous refusent. Autre solution : l’instal-lation de NRA-MeD par Orange dans lesarmoires de rues. La création de ces nœudsde raccordements permettraient de four-nir l’ADSL aux lignes jusqu’ici inéligibles etd’augmenter les débits des autres lignestéléphoniques déjà éligibles.

Le Conseil général doitprendre le relaisMais là, cette solution technique doit êtrefinancée par un autre intervenant. Notam-ment le Conseil général de l’Essonne. Le déploiement du très haut débit en Ile-de-France a fait l’objet en avril 2013 d’unaccord entre l’Etat, la Région, Orange et

SFR. Selon les engagements pris, le réseauen fibre optique qui doit être crée d’ici 2020pour équiper le territoire de l’Essonne serafinancé pour partie par les opérateurs pri-vés. Si pour le Nord-Essonne, tout serabien pris en charge, pour le Sud-Essonne,seule Etampes est concernée ! Et le reste ?Et les hameaux ? Là, le Conseil général doitentrer en jeu.En mars 2012, celui-ci a voté son SchémaDirecteur Territorial d’AménagementNumérique (SDTAN). 2 scénarii avaient étééxaminés. Soit une couverture à 100 % parfibre optique pour un coût de plus de200 M€ dont 1/3 pris en charge par leDépartement. Soit une couverture pro-gressive. Une partie des communes étantdesservies en fibre, l’autre n’ayant droitqu’à une modernisation des équipements.C’est cette version qui a été retenue. Cesont les collèges qui seront les premiersservis. Ensuite les zones d’activités, enfinles particuliers... Comme l’avait admis uneélue du département « Ce n’est pas prèsd’arriver ».C’est dans ce contexte que la Villed’Etampes a engagé un programme d’ins-tallation de la fibre optique afin de relierbâtiments communaux et écoles. 80 % destravaux ont été réalisés et 15 % des équi-pements sont déjà en exploitation. « Cetteaction permet de réaliser des économies auniveau des communications mais à termeoffrira la possibilité au fournisseur d’accèsde l’utiliser pour aller plus vite dans le déploie-ment du très haut débit chez les particu-liers », indique le responsable technique.

Rue Julien-Pranville8 nouveaux candélabres ont été érigés rue Julien-Pranville, côté lycée, entre la rue des Lys et le mailAntoine-de-Saint-Exupery. Cette opération s’inscrit dansle cadre de l’aménagement en cours des abords du lycée.

Plantation d’arbreset opération d’élagage20 arbres, de plusieurs variétés (prunus, albizia,acer, liquidambar et carpinus), seront plantés dansdifférents quartiers du 17 au 21 février. Sontconcernés l’avenue du 8-Mai-1945, la placeGaston-Beau, la place du Général-Leclerc, la placedu Filoir, le boulevard Saint-Michel, l’avenueGeoffroy-Saint-Hilaire, la rue Saint-Martin et leparking du Port. Une opération d’élagage d’arbres (taille dite enrideau), se déroulera boulevard Henri-IV, côté voiede chemin de fer, du 17 au 20 février de 9 h à 16 h.

Passage à niveau Saint-MartinLa SNCF va effectuer le remplacement del’appareil de voie qui permet aux trainsde passer d’une voie sur une autre. Cequi nécessite la fermeture à la circulation(sauf aux riverains) du boulevard Pasteur,pour la section comprise entre la rueSaint-Jean et la rue de Chauffour, entre levendredi 21 février à 8 h et le vendredi28 février à 18 h. Des déviations serontmises en place ainsi que des panneauxde signalisation.

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Stages de révision scolairepour collégiens et lycéens DU 17 AU 21 FÉVRIER, des stages de révision enmathématiques, français et anglais sont program-més à la Maison de l’Enseignement (17, promenadedes Prés). Ils seront encadrés par des étudiants.Pour les élèves du collège, les stages auront lieu de9 h à 13 h 30. Pour les lycéens : de 13 h 30 à 18 h.Les élèves devront être en possession de leur maté-riel, livres de cours et exercices. Toute inscription devra être faite au Bureau Infor-mation Jeunesse (BIJ) et ne sera définitive qu’à par-tir d’un règlement de 15 € et suite à la validationadministrative du dossier (fiche d’inscription, auto-risation parentale pour les mineurs et fiche sani-taire). Il reste encore des places. Ne tardez pas, leurnombre est limité. BIJ (9, rue Sainte-Croix). Tél. : 01 69 16 17 60.

Métiers de l’Armée : et pourquoi pas ?TOUS LES 4E MERCREDIS DE CHAQUE MOIS, se déroulent au BIJdes permanences du CIRFA (Centre d’Information de Recru-tement des Forces Armées) de Massy (armée de terre) et duCIRFA de Versailles (armée de terre, marine nationale etarmée de l’air). « Le but de la permanence est d’informerles jeunes de 17 à 29 ans. En général, je leur propose d’ef-fectuer une période militaire d’une durée de 3 à 10 jours.Ce qui permet de découvrir un régiment au travers d’un stagede mise en situation comprenant des activités militaires etsportives »,explique l’adjudant Stéphane Blancherie, conseil-ler en recrutement pour le CIRFA de Massy. Un stage quipeut susciter des vocations afin de devenir militaire durang (accessible sans diplôme), sous-officier (à partir du Bac)en intégrant une école pour une durée de 8 mois ou officierde carrière (Bac +3 minimum). Prendre rendez-vous auprèsdu BIJ au 01 69 16 17 60.

Réalisation d’un trottoir rueJulien-Pranville, le long du lycée.

SANS haut débit AVEC haut débit

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POINT DE DÉPISTAGE DU DIABÊTE GRATUIT

Sept moutons d’Ouessant ont élu domicile au SIARE (Syndicat Intercommunald’Assainissement de la Région d’Etampes) ce jeudi 6 février. Un concept original ettrès “eco-friendly” (respectueux de l’environnement) pour tondre les 15 000 m2 depelouse attenants à la station d’épuration.

IL Y A ENCORE QUELQUES

DÉCENNIES, les moutonsn’étaient pas rares dans noscontrées étampoises. Maisnos amis ovins trouvaient demoins en moins leur place aufur et à mesure de l’urbani-sation des villes. C’est doncun petit évènement qui s’estdéroulé en cette matinée dujeudi 6 février avec leur retourpar la grande porte : celle duSIARE. « Nous avons placé7moutons d’Ouessant, les plus petits du monde »,se réjouis-sait Sylvain Girard, dirigeant de l’entreprise Ecomouton. Consé-quence immédiate : fini les tondeuses à gazon polluantes,grandes consommatrices d’énergie et bruyantes. Place aux mini-moutons (50 cm et 20 kg maximum), qui ne

nécessitent pas de haute clô-ture et n’écrasent pas le sol.« En moyenne, on compte unmouton pour 1000m2. Doncà terme, nous ajouteronsquelques moutons pour for-mer un troupeau de 12 à15 bêtes. Cela engendre unebaisse des coûts d’entretiendes espaces verts dans unelogique de développementdurable. »Après avoir installédes clôtures et prochaine-

ment un abri, l’entreprise assurera le suivi des moutons. Unberger interviendra 2 fois par mois pour contrôler leur forme,la qualité de leur pâture et adapter le nombre de moutons àmettre en place selon les saisons et l’état des pâtures. Ainsifinalement, on revient à nos moutons !

Une tonte écolo grâce àdes moutons !

« Super trash » maissuper instructif ! « CELUI QUI COMBAT peut perdre mais celui quine combat pas a déjà perdu. » Le film « SuperTrash », en ouverture du Ciné-débat au Théâtremardi 11 février au soir, s’est conclu par cette cita-tion de Bertolt Brecht. Et le moins que l’on puissedire c’est que cette parole correspond particuliè-rement bien à la bataille menée depuis mainte-nant 10 ans par les associations de défense del’environnement, les riverains, les représentantsdu monde agricole et les élus locaux contre leprojet de décharge à Saint-Escobille. Après le film,Marie-Josèphe Mazure, présidente de l’ADSE(Association de Défense pour la Santé et l’Envi-ronnement), a ouvert le débat devant une cin-quantaine de personnes en annonçant que legroupe Sita-Suez s’était pourvu en cassation aprèsla récente décision de la Cour Administrative d’ap-pel de Versailles. Les juges avaient annulé l’arrêtépréfectoral pris le 13 mars 2009 qui faisait du cen-tre de stockage de déchets ultimes de Saint-Esco-bille un « projet d’intérêt général ». Autrementdit, le combat continue. « L’enjeu majeur est laprotection de la nappe phréatique de Beauce quialimente des centaines de milliers de personnes.Il faut que le projet de décharge soit enterré. »

POUR LA 4E ANNÉE CONSÉCUTIVE, les cra-pauds vont avoir droit à un transport 1re

classe et sans danger pour traverser laroute, chemin incontournable dans leurmigration annuelle vers les marais. Entre1 200 et 1 800 batraciens font en effet letrajet chaque année. Mais une partie sefaisait écraser en traversant la rue des Car-naux car il est difficile de distinguer ces

bêtes brunes sur une chaussée humide ou durant la nuit. « Ces animaux, protégés, sont trèsutiles dans nos jardins où ils grignotent limaces, moustiques et autres insectes sans toucherà nos salades », explique Philippe Pérou, le président du CPN Val-de-Juine. Un collectif d’as-sociations appelle les personnes qui le désirent à venir participer à l’opération crapauducces samedis 15 et 22 février. « Rendez-vous à l'entrée d'Ormoy-la-Rivière, route des Car-naux, à partir de 10 h. N’oubliez pas de vous munir de vêtements chauds et de gilets jaunes. »Pour tous renseignements et inscriptions : sos.crapauds@gmail.com

“SOS Crapauds” est en marche

Vos mobiles usagés ont de la valeur Saviez-vous que le 6 février dernier correspondait à la Journéemondiale sans téléphone mobile ? Non ? En revanche, peut-être savez-vous que vous pouvez, tous les jours, déposer vos mobiles horsd’usage dans des urnes afin qu’ils soient récupérés. Grâce à uneconvention signée avec la Recyclerie du Gâtinais à Prunay-sur-Essonne,tous les vieux portables ont droit à une seconde vie. Autre intérêt del’opération, pour 100 téléphones recyclés, 5 emplois sont créés.N’hésitez plus, déposez votre appareil dans les boîtes de collectesituées aux Affaires générales (rue des Marionnettes), au service de laVie scolaire (avenue du Marché-Franc), à l’Espace Jean-Carmet(1, avenue des Noyers-Patins), au Bureau Information Jeunesse (9, rue Sainte-Croix) et aux Services techniques (19, rue Reverseleux).

Vie locale

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La campagne de sensibilisation et dedépistage bucco-dentaire est lancée

Pour la 3e année consécutive, le lycée professionnel Louis-Blériot organisait uneSemaine de la solidarité du 3 au 7 février. A chaque édition, la manifestation prenddavantage d’ampleur. Cette année, au programme : ateliers, conférences etbeaucoup d’échanges pour faire prendre conscience que la solidarité n’est pas unvain mot mais une notion indispensable à toute société.

« BEAUCOUP D’ÉLÈVES S’IMPLIQUENT IMMÉDIATEMENT ET FOR-TEMENT DANS CETTE ACTION. D’autres paraissent peut-êtremoins réceptifs au début, mais je suis persuadé que lespetites graines que nous posons aujourd’hui ressurgirontet leur serviront pour plus tard. » Initiateur de cette semaineplacée sous le signe de l’entraide, le professeur Rémy Phi-

lippon peut déjà constater que le germeposé en 2012 lors de la 1re édition, a engendré une belle manifestation àlaquelle se joignent de plus en plus de par-tenaires. De nombreuses associations peu-vent en témoigner. Restos du Cœur, CroixRouge, Secours Populaire, Lions Club,Amnesty International, Courir pour un Sou-rire, Maison de Sagesse, Potagers du Télé-graphe : elles ont toutes répondu pré-sentes pour expliquer leur raison d’êtreaux 300 élèves de l’établissement. Desintervenants de chaque entité sont ainsivenus détailler leurs actions. Ce jeudi

6 février, Michel Macé et Alain Brocard ont par exempleprésenté les Bouchons d’Amour Beaucerons. Ils ne sontpas repartis les mains vides puisque les élèves du collègede Guinette et du lycée leur ont transmis 65 kg de bouchons (dont la revente permet d’aider au financementde matériel médical), résultat d’un mois de collecte.

Des mises en situation de handicapMais les associations ne sont pas les seules à avoir adhéré auprojet. « Cela fait partie de la mission du BIJ de prévenir etd’informer, nous avons donc répondu favorablement à lademande du lycée », expliquait Laetitia Casali, directrice.« Nous avons participé à cette action en programmant à laMaison de Quartier de Guinette des ateliers. 200 élèves del’école Jacques-Prévert ont ainsi appris à repérer les sym-boles liés aux handicaps. Et tout comme le propose le lycée,nous avons installé des parcours pour que les enfants se met-tent à la place d’une personne en fauteuil roulant ou atteintede cécité. » A l’issue d’une semaine chargée en enseigne-ment, les élèves assuraient avoir appris plein de choses.Collégienne de Guinette, Justine a par exemple retenu « qu’onpeut aider des personnes avec des gestes du quotidien etde petites choses qui peuvent paraître simples. »

Des gilets jaunes contre la réforme PeillonLa mobilisation contre les nouveaux rythmes scolaires a pris de la couleur ce week-end.Aux côtés de 2 dromadaires revêtus de 2 chasubles jaunes sur lesquelles était inscrit« Respectez notre rythme », et une carriole tirée par un poney, 400 manifestants ont,par un temps maussade et pluvieux, et eux aussi habillés de gilets jaunes, défilé devantl’inspection académique de l’Essonne. Parmi les opposants à la réforme de la semainede 4 jours et demi, des élus locaux de l’Essonne mais aussi du Loiret, des Yvelines etmême de l’Yonne. Mais surtout des parents d’élèves hostiles à ce changement qu’ilsestiment loin d’être bénéfique pour les enfants. Le mouvement des gilets jaunesentend désormais s’étendre. En effet, les parents d’élèves qui ont monté l’associationdu même nom appellent « les parents à manifester de manière visible leur opposition àla réforme en portant un gilet jaune à chaque fois qu’ils vont déposer ou chercher leursenfants à l’école. »

La solidarité s’entretientau lycée Louis-Blériot

APRÈS LA DISTRIBUTION DE L’ÉDI-TION 2014 DU PASS’SANTÉ

dans toutes les écoles élé-mentaires, la 7e campagnede sensibilisation et dedépistage bucco-dentaire,menée en partenariat avecl’Education nationale, adébuté pour les classes deCE1 jeudi 6 février, à l’écoleélémentaire Hélène-Bou-cher. Les élèves ont écoutéles conseils du Dr Jean-Pierre Mougel, chirurgien-dentiste del’Union Française de Santé Bucco-Dentaire(UFSBD). « Il ne faut pas mouiller la brosseà dent avant de mettre du dentifrice. » Cequi a fait réagir une des élèves : « Quandon mouille la brosse à dent, ça affaiblit lepourvoir du fluor ? ». « Non pas du tout ! »,lui répondit le Dr Mougel. « A votre avis,dans quel sens doit-on appliquer le denti-frice sur la brosse à dents, sur sa largeurou sur sa longueur?» La majorité des élèvesleva la main pour la 2e solution. « Non, ledentifrice s’applique dans le sens de la lar-geur de la brosse à dent car sur la longueur,vous mettez trop de dentifrice. »

Des élèves très curieux Un autre enfant posa une question de bonsens. « Et si on n’a plus de dentifrice, on

ne se lave pas les dents ? » « Il faut quandmême se brosser les dents car cela enlèveune partie du dépôt alimentaire. » Et d’ajou-ter un conseil à destination des parents :« Dites-leur bien que si vous êtes malade etque vous devez prendre du sirop, il faut selaver les dents après l’avoir bu. Cela nechange rien à l’effet du sirop et vous gar-dez les dents propres pour toute la nuit. »Alors que ce lundi 10 février, la campagnes’est poursuivie auprès des CE1 de l’écoleélémentaire Jacques-Prévert, elle conti-nuera dans les autres écoles après lesvacances scolaires de février. Pour rappel,les parents doivent remplir et signer la der-nière page du Pass’Santé pour autoriserle dépistage et la remettre aux enseignants.Le guide est aussi consultable surwww.etampes.fr, dans la rubrique “Guide”.

Classes de neige :« trop top le ski et les sorties ! »101 ENFANTS ÉTAIENT DE RETOUR MER-CREDI 5 FÉVRIER après 9 jours passésen classe de neige dans le Jura, aupied des pistes de la station Les Jaco-beys à Prémanon. 4 classes de3 écoles différentes (2 de l’école LePort, une pour Hélène-Boucher etune pour Les Prés) sont arrivées peuavant 20 h sur le parking de la piscineCharles-Haury. A la descente du car,les sourires et les bisous des retrou-vailles étaient de mise. « Je suis heureux de retrouver ma fille. Les enfants ont beau-coup de chance parce que leur programme d’activités était très riche aussi bien surle plan sportif que culturel. En plus, ils ont acquis une expérience de vie en commun.C’est formidable », se réjouissait Philippe, papa d’une petite Aëlia. Les élèves n’ontpas seulement découvert les pistes enneigées. « C’était trop top ! On a visité unefromagerie où l’on a vu un fermier en train de mélanger le lait et la présure. On adégusté plusieurs fromages : du chevret et du gruyère. J’en ai acheté pour mes parents.Ils l’ont trouvé très bon », expliquait Angel, 9 ans, en CM2 à l’école du Port. « Et puisà Genève, on a vu le lac Léman et on est allé au musée d’histoire naturelle. J’ai vuplein d’animaux empaillés : des lions, des girafes et même des éléphants. » Pendantle séjour, les élèves ont tenu un journal de bord pour raconter leurs différentes

activités et retranscrireleurs impressions. Uncahier qu’ils avaientdéjà entamé avant departir et qu’ils aurontbeaucoup de plaisir àmontrer à leurs parentsdès qu’il sera terminé.Sortie au lac Léman, en Suisse.

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ETAMPES INFO N°961VENDREDI 14 FÉVRIER 2014

Vie locale

Coiffure : un “Studio 18” relooké et innovantNew York avait son “Studio 54”, boîte de nuit branchée dans les années1970. A Etampes, c’est un “Studio 18” new look et moderne qui vient derouvrir ses portes. « Nous avons fermé le salon de coiffure du 18 janvier au5 février pour tout refaire du sol au plafond », éclairent de concert les deuxgérantes associées, Nathalie Durand et Laurence Piet-Paquette. « Nousavions repris en l’état l’enseigne en 2008. C’était l’occasion de changer lecarrelage, d’enlever l’estrade et d’optimiser l’espace du salon. » Le jaune etl’orange ont laissé place au noir et blanc pour un résultat qui convainc déjà

les clients. « Il y a beaucoup de changements. C’est très joli et dans l’air du temps », confiait Mauricette, visiblementséduite par les nouveaux fauteuils massants. « C’est le petit plus : être massé en étant coiffé », ajoute Laurence.« Durant tout le mois de février, nous proposons ce nouveau service gratuitement à tous nos clients. » 4, avenue dela Libération. Tél. : 01 69 78 35 50. Ouvert du mardi au vendredi de 9 h à 19 h et le samedi de 8 h 30 à 17 h.

DEPUIS NOVEMBRE 2010, la Halte-Répit Alzheimer permet auxaidants (compagnon, compagne ou parent du malade) de s’ac-corder un après-midi par semaine de repos (le mardi de 14 h à17 h). Après avoir proposé en juin dernier une 2e demi-journéed’ouverture (le jeudi de 14 h à 17 h), c’est un autre service, toutaussi essentiel et gratuit (il suffit d’adhérer à l’association 4A L’Es-cale et à France Alzheimer Essonne), qui a récemment été inau-guré. « Nous avons créé en partenariat avec France AlzheimerEssonne un nouveau rendez-vous appelé “la Halte-Relais”, qui setient 2 mercredis après-midi par mois », éclaire le président, MichelBatard. « La grande différence avec la Halte-Répit est que nous n’ac-cueillons pas seulement l’aidé mais le couple aidant/aidé. Avec uneanimatrice, des bénévoles et une psychologue spécialisée, il s’agitde proposer un lieu de soutien, d’écoute et d’échanges où chacunpeut s’exprimer librement, poser les questions qu’il souhaite, sanspeur du jugement de l’autre. Il s’agit aussi de récréer des liensdans le couple aidant-aidé au travers d’activités et d’ateliers réali-sés en commun. » L’association 4A L’Escale continue ainsi son rôlede pionnier sur le département. Tout comme la Halte-Répit, laHalte-Relais est en effet une nouveauté en Essonne et dès la

première réunion, il est apparu un réel besoin en la matière. « Lesaidants prennent beaucoup sur eux et sont souvent victimes demaladies à des âges précoces. Cela leur permet de décharger lestress accumulé au quotidien, de parler du ressenti de chaqueaccompagnant et de confronter les expériences de chacun», conclutla psychologue, Fabienne Laurent.Pour toute information contacter : l’animatrice Halte-Relaisde « 4A L’Escale » Mme Mireille CERVI au 06 60 38 97 31.

Alzheimer : les aidants ont la parole avec la Halte-Relais

Etat civil

Bienvenue à • Manana Solofo (02/02), Anas Azoui, EyubYayasit, Hanna Kassoul, Jade Albareda,Lorenzo Gomes Buys (03/02), Khadija Ba(06/02).

Etampes infoHebdomadaire municipal. N° ISSN1245-1355. 12, rue Magne. Tél. :01 69 92 12 92. Fax : 01 69 92 12 88.Directeur de la publication : JacquesSebaoun. Directeur de la Rédactionet Webmaster : Christine Martin.Rédaction-photos : Christine Fougereux,Mathieu Roulleau, Benjamin Paschal. Maquet-tiste : Murielle Kusy. Secrétariat : MartineSevestre. Publicité : Service Communication.Impression : Imprimerie Technic Imprim. Courriel : martinesevestre@wanadoo.fr.

horoscopeDE LA semaineBélier.Vous devrez vous battre pour faireadmettre vos idées et vous y parviendrez.Taureau. Ne refusez pas d’invitation. Vousdécouvrirez des personnes intéressantes.Gémeaux. Ne vous laissez pas dominerpar vos émotions bouillonnantes.Cancer. Vous irez vers les autres, ce qui vouspermettra de croiser de nouvelles têtes.Lion.Vous serez déconcentré dans votretravail à cause de quelques soucis. Vierge. Vous aurez tendance à vous in-quiéter pour de petits riens. Réagissez.Balance. Vous travaillerez sans relâche,avec à la clé des résultats.Scorpion. Vous vous sentirez libre d'ex-primer vos sentiments et vos pensées.Sagittaire. Faites appel à la tolérancepour désamorcer les conflits. Capricorne. En affaires comme dans lavie privée, évitez les provocations.Verseau.Votre humeur sera changeante.Demain sera meilleur !Poissons.Vous êtes toujours à l'affût desbons plans. La chance sera avec vous.

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INFOS CINÉ

Infos pratiques

En brefLA PISCINE CHARLES-HAURY sera ferméepour des travaux devidange et d’entretiendu 24 février au 2 marsinclus. Merci de votrecompréhension.

MONIQUE MORIN,correspondante locale de l’associationRetina France, informe ses fidèles participants que la mani-festation Dansons pour un Regard, habituellement pro-grammée courant mars, n’aura pas lieu cette année.Vous pouvez cependant faire un don afin de financer larecherche médicale en ophtalmologie, pour vaincre lesmaladies de la vue à l’adresse www.retina.fr (don déducti-ble des impôts à hauteur de 66 % du montant). “Merci de votre soutien”.

DANS LE CADRE DE GUINETTE EN FÊTE, le 1er juin prochain,seront célébrés les 50 ans du quartier. A cette occa-sion, les organisateurs souhaitent réaliser une expo-sition sur l’histoire du plateau. Ces derniers lancent dèsaujourd’hui un appel à tous les Etampois afin de réu-nir un maximum de photos ou de vidéos et plus particulièrement des images datant desannées 1960 à 1980. « Nous sommes également intéressés par des documents plus récents»,signale une des organisatrices. « Les personnes qui le souhaitent peuvent les déposer à l’accueil de l’Espace Jean-Carmet. » 1, avenue des Noyers-Patins. Tél. : 01 60 80 05 29.

Les pouvoirs de Mary Poppins pour financer la rechercheON CONNAISSAIT DÉJÀ LES POUVOIRS MAGIQUES

DE MARY POPPINS. Grâce au Rotary Club, lanurse la plus célèbre a repris du service pourla bonne cause. Dans le cadre de la 9e opé-ration nationale “Espoir en Tête”, une pro-jection en avant-première de l’histoire de lanaissance du film de Walt Disney sorti en1964 a été proposée mardi 4 février aucinéma La Rotonde. Une partie des recettesdes places vendues est reversée à la Fédé-ration pour la Recherche sur le Cerveau (FRC).

« Nous avons écoulé plus de 150 places grâceà notre partenariat avec les clubs de Dour-dan et d’Arpajon-Brétigny », expliquait PierreAllouche, gouverneur adjoint du district etresponsable de l’opération au niveau local.« Sur une place achetée 15 €, l’exploitantgarde 7 € et 8 € sont directement reverséspour aider à la recherche contre des mala-dies telles que Parkinson, Alzheimer, l’épi-lepsie ou encore la sclérose en plaque pourne citer que les plus connues. »

Escapade avec leTemps des Loisirs LE TEMPS DES LOISIRS a programmé pour lesAînés une visite d’Orléans et du château deChamerolles jeudi 6 mars. Un déjeuner (kir,entrée, plat, dessert, vin et café) est prévudans un restaurant du centre-ville. Le trans-port sera assuré en autocar de grand tou-risme. Tarif : 45 €. Premier départ au Petit-Saint-Mars à 7 h 45 et retour prévu vers 19 h.Réservations au Temps des Loisirs (34, ruedes Cordeliers). Tél. : 01 69 92 71 93.

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Etampes info suspend sa parution pen-dant les congés scolaires. Prochainepublication le vendredi 7 mars. D’icilà, retrouvez l’essentiel de l’actualitélocale sur www.mairie-etampes.fr

50 ans de Guinette : ça se fête en images !

La collecte des déchets végétaux reprend bientôtLE PRINTEMPS N’EST PAS LOIN. Dans son sillage, la collecte des déchets verts s’ap-prête à reprendre du service. Comme chaque année, la Ville propose une collectechaque lundi à partir du 17 mars et ce jusqu’à novembre. Pour rappel, les sacs doi-vent être sortis devant chaque domicile le dimanche soir, mais seulement après20 h. La distribution de sacs biodégradables aura lieu en porte à porte du 24 févrierau 8 mars. Si vous n'en avez pas reçu, contacter le service Environnement au 01 69 92 67 14.

07SportETAMPES INFO N°961VENDREDI 14 FÉVRIER 2014

Un concours de tir à l’arc de très haut niveau« On a fait le plein avec 220 tireurs et de nombreux spectateurs. Jamais unecompétition de tir à l’arc à Etampes n’avait été si relevée. » Philippe Massy,capitaine des Archers d’Etampes, tirait un bilan plus que positif du tournoiorganisé par son club, ces samedis 8 et dimanche 9 février au gymnase René-Jouanny. Du beau monde s’était en effet déplacé à l’occasion de ce rendez-vousqualificatif pour les championnats de France, avec notamment Violette Saubion(championne du monde par équipe en 2005 et en individuel en 2009) et SandrineVandionant (nombreux podiums européens et mondiaux). « Les conditionsétaient au top : l’accueil, l‘éclairage, la température », confiait cette dernière. « Jevoulais garder le contact avec la compétition pour peaufiner ma préparation. »La championne sera en effet l’une des meilleures chances françaises de médailleslors des championnats du monde du 25 février au 2 mars à Nîmes.

Rugby : des cadets près de l’en-but SAMEDI 8 FÉVRIER, les cadets recevaient leurs homologues de Créteil au stade du Pont-de-Pierre. Un match qui s’est soldé par une défaite de l’ERC sur le score de 14 à 20. « En pre-mière mi-temps, nous avons réussi à imposer notre cadence à l’adversaire. Mais au retourdes vestiaires, nos joueurs ont accusé une baisse de régime et Créteil en a profité pourrepasser devant au score et marqué un essai supplémentaire en fin de partie. Un matchmalgré tout très positif dans l’attitude qui présage de belles choses pour la fin de cham-pionnat », constatait Pascal Fleury, un des coachs. Les seniors ont, quant à eux, ramenéune belle victoire dimanche dernier de leur déplacement à Méru-Chambly (20-5).

« ELLES COURENT, ELLES COURENT LES FOULÉES ETAMPOISES,dans le cœur des athlètes, de 7 à 77 ans. » Et cette bellehistoire d’amour n’est pas prête de s’arrêter. Qui aurait eneffet pu prédire le succès de cette course ? « Au départ,lorsque nous recensions 150 participants, on s’estimait heu-reux », se remémore le président d’Etampes Athlétisme,Michel Pointeau. « Pendant plusieurs années, “Les Foulées”se déroulaient le 14 juillet », enchaîne Pierre Elsden, entraî-neur au sein d’Etampes Athlétisme. « C’était surtout une

bande de copains qui courait avant d’aller assister aux feuxd’artifices et faire la fête. » Après un break (de 1990 à 1996),la compétition lancée en 1988 est repartie de plus belle.« Aujourd’hui, “Les Foulées” sont considérées comme la9e course d’Ile-de-France (NDLR : le club a obtenu le labelrégional en 2008), la 2e de l’Essonne et elle est qualificativepour les championnats de France. Il s’agit de la premièregrande course sur route de l’année en Ile-de-France. » Pourdémarrer leur saison, des athlètes viennent ainsi de toutela région mais aussi des départements alentours, voirede bien plus loin. Petit clin d’œil en cette période olym-pique, 3 Russes sont même annoncés au départ.

Des puces électroniques pour le classementPreuve que la manifestation gagne en importance, unenouveauté technique fait également son apparition : lespuces électroniques. « Le nouveau règlement de la fédé-

ration impose de donner le temps réel par rapport aumoment où les coureurs passent la ligne de départ », pour-suit Michel. « Ainsi, nous placerons des puces, sur les chaus-sures ou sur les dossards de tous les participants aux coursesde 5 et 10 km. Cela nous permettra de définir un classementplus précis et immédiat. » Et si ces équipements ultra-perfectionnés seront réservés aux adultes, les cadeauxseront, eux, pour tout le monde comme le rappelle le pré-sident : « Nos différents partenaires nous ont bien aidés.Tous les participants seront récompensés. » Que ce soitpour se dé“fouler” en prenant part aux courses ou pourcompléter la “foule” en encourageant les athlètes, veneznombreux !

Dimanche 23 février, dès 10 h, devant la salle desfêtes. Toutes les modalités d’inscription sont dis-ponibles sur le site : www.etampesathletisme.com.Inscription gratuite pour les enfants.

« Les Foulées Etampoises »fêtent leur 20e éditionIls n’étaient qu’une poignée à prendre part à la 1re édition. Dimanche 23 février,pour la 20e édition des Foulées Etampoises, près de 600 coureurs, confirmés ouamateurs, seront sur la ligne de départ des différentes distances (5 et 10 km pourles adultes ; 1 et 2 km pour les enfants). Et pour fêter dignement cet anniversaire,de nombreuses surprises attendent les participants.

Cyclisme : un bondébut de saisonpour Tony Gallopin POUR SES DEUX PREMIÈRES COURSES avec sa nou-velle équipe belge Lotto-Bellisol, Tony Gal-lopin avait de bonnes jambes ! Lors du grandprix de la Marseillaise, le 2 février dernier, ila terminé 26e sur 143 participants au départ.Sur l’Etoile de Bessèges, course en 5 étapesqui s’est disputée du 5 au 9 février, le cyclistetoujours licencié au VCE a fait encore mieuxavec une belle 7e place au classement géné-ral. Sa performance lors de la 4e étape (3e)lui a permis de bien se replacer au classe-ment. Ce samedi, il décollera pour le Moyen-Orient où l’attend le Tour d’Oman du 18 au23 février.

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Foot : les seniorsrenouent avec la victoire

EN CHAMPIONNAT EXCELLENCE DÉPARTEMEN-TAL, la victoire échappait à l’équipe 1 seniorsdepuis le 1er décembre dernier, date àlaquelle les joueurs l’avaient emporté à Viry-Châtillon sur un score fleuve de 4 buts à 1.Après deux revers consécutifs, le FCE s’étaitdéjà repris sur le terrain de Bretigny-sur-Orge (1-1) dimanche 2 février. Cette fois, lesEtampois se sont imposés 1 à 0 à l’EspaceJo-Bouillon, face à leurs homologues de Cor-beil-Essonnes, grâce à un but de Gaël daCosta sur penalty à la 70e minute. Le 3e suc-cès de la saison. « Cela fait plaisir de renoueravec la victoire », se réjouissait l’entraîneurDidier Mathieu. « On s’éloigne de la zonerouge mais il faut continuer à prendre despoints pour se sauver. »

Olympe de Gouges, le combat d’une femme toujours d’actualité

sortir08E T A M P E S I N F O N ° 9 6 1V E N D R E D I 1 4 F É V R I E R 2 0 1 4

PETIT-SAINT-MARS

BASE DE LOISIRS

SAINT-MARTIN

CROIX-DE-VERNAILLESGUINETTE

HAUTS-VALLONS

SAINT-PIERRE

Agenda : ça se passe près de chez vous

LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMMEoffi-cialisée par les Nations Unies en 1977 puiseses racines dans une longue histoire des luttesféministes menées sur les continents euro-péen et américain. Célébrée pour la 1re foisle 28 février 1909 aux USA, c’est surtout enmémoire d’une manifestation à Petrograd(Russie) qu’a été retenue la date de cette jour-née symbole pour l’égalité homme-femmeet l’amélioration de la condition féminine.« Près de 70 % des femmes sont victimes dela violence au cours de leur vie », dénonceencore aujourd’hui l’Organisation des NationsUnies. Parmi les premières à s’être battues

pour une parité des droits : Marie Olympe deGouges. « Quelles que soient les barrièresque l'on vous oppose, il est en votre pouvoirde les affranchir : vous n'avez qu'à le vou-loir », prônait ainsi l’auteure de la célèbre« Déclaration des droits de la femme et de lacitoyenne » en 1791.

Auteure de la Déclaration desDroits de la FemmeNée le 7 mai 1748 et quasiment illettrée,rien ne prédispose Olympe de Gouges à met-tre sa vie en péril en affirmant ses idées. Ellecommence par prendre la défense des filles

mères et des « bâtards ». Elle lutte pour l’abo-lition de l’esclavage. Elle se bat pour le droitde vote des femmes, le droit au divorce, l’unionlibre, la création de maternités au lieu d’hô-pitaux ordinaires pour les femmes, des orphe-linats destinés aux enfants des rues… Puis,elle décide d’écrire la première déclarationdes droits de la femme. Au risque de sa vie,cette humaniste républicaine choisit de nepas se taire. La politique tient Olympe debout,lui donne la rage d’apprendre, d’écrire, d’êtrepionnière. C’est cette femme courageuse,guillotinée sous la Terreur le 3novembre 1793que vous invite à découvrir la compagnie

du Théâtre du Tournesol dans « Terreur-Olympe de Gouges », le 8 mars prochain,à 20 h 30, au Théâtre. Réservations : 01 69 92 69 07.

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Lancement du centenaire de la Première Guerre mondialeEn cette année de commémoration du déclenchement de la PremièreGuerre mondiale, une 1re conférence sera donnée par Jean-PierreDurand, président d’Étampes-Histoire. Elle sera consacrée à l’étatd’esprit des Étampois dans les années qui précédèrent le conflit.Ont-ils eu conscience d’aller vers la guerre ? La désiraient-ils ?Étaient-ils plutôt fascinés par les progrès techniques spectaculairesde cette époque : électricité, automobile, aviation ? Comment serépartissaient les forces politiques et quelles positions défendaient-elles sur le plan international ? Le conférencier tentera, à partir del’analyse de la presse locale, de répondre à ces questions et de fairerevivre l’Étampes d’il y a cent ans. Samedi 15 février, à 16 h 30, à lasalle Saint-Antoine. Entrée libre.

SAINT-GILLES

Le mythe d’Orphée : enconférence et en concert

EN PRÉLUDE AU CONCERT« Orphée, le mythe » quisera joué le 22 mars,Charles Limouse, direc-teur artistique de l’Or-chestre Sud-Essonnepropose une conférence/concert au Théâtre. Cerendez-vous permettrade découvrir tous les

petits secrets de ce mythe mis en musique par de nombreuxcompositeurs. « Il touche à l’essence même de la condi-tion humaine : amour et mort. Gluck (dont nous fêtons les300 ans de la naissance) l’a traité dans un style galant, Mon-teverdi dans une musique des plus pures du baroque nais-sant et Fomine dans le même registre classique que sescontemporains Mozart et Haydn », explique t-il. Rendez-vous au Théâtre, jeudi 6 mars, à 14 h. Entrée libre.

Bal de la Saint-Valentin

SAINT-MICHEL1

2

4CENTRE-

VILLE

Retrouvez l’agenda complet sur :http://www.mairie-etampes.fr >

DIMANCHE16 FÉVRIER, l’as-sociation Etampes DanseLoisirs et Sportives vousinvite à son traditionnelbal de la Saint-Valentin,à la salle des fêtes,avecorchestre. Un stage deWest Coast Swing seraégalement proposé de14 h à 15 h. « Cette danseappelée autrefois Wes-tern Swing, se pratiqueà deux sur des tempos

lents. Elle a la particularité d’être sensuelle. Elle laisse aussiune grande part à l'improvisation et se pratique sur un vasteéventail de styles de musique : pop, funk, dance, country,jazz, blues, RnB, disco… », déclare Gilbert Boucher, de l’association. 2 taxis danseurs seront présents pour servir de cavalier galant aux dames et les faire danser ! Entrée 15 € avec boissons et pâtisseries à volonté.

Dimanche 16 févrierSpectacle « Nature », à 17 h, au Théâtre.

Mercredi 19 févrierCollecte de sang de 14 h à 19 h, à la Salle des fêtes.

Samedi 22 févrierSoirée anniversaire fest-noz au bar Le Lochness, à partir de

20 h, au 77, rue de la République.

Dimanche 23 févrierCiné-rencontre avec l’équipe du film « Les variations », de

Macha Ovtchinnikova, à 18 h, à Cinétampes.

Mardi 25 févrierAtelier jardinage en famille, de 14 h à 17 h, à l’Espace

Camille-Claudel. Réservation : 01 69 95 50 00. Nuitée en famille, à partir de 20 h 30, à l’Espace Camille-

Claudel.

Jeudi 27 févrierAssemblée générale et après-midi crêpes de l’association

UNRPA, à 14 h, à la salle des fêtes.

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1er mars au 25 marsExposition « Collection passion ». Vernissage le 1er mars,

à 11 h 30, à l’Hôtel Anne-de-Pisseleu.

Du 3 au 25 marsStage PIM (Passeport internet multimédia adultes) à l’Espace

Public Numérique Zarafa. Inscription 01 69 16 17 60.Stages seniors informatique à l’Espace Public Numérique

Zarafa. Inscription 01 69 16 17 60.

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Du 22 février au 1er mars

Ainsi font, font… au Salon de l’agriculture.Denis Ferré, marionnettiste étampois sera au Salon

de l'Agriculture avec un spectacle, inédit, intitulé"Drôle de pêche pour Guignol". Si vous vous rendez àParis, allez le voir ! Il sera Allée E, du Pavillon 4, toutes

les heures, à partir de 14 h.

En B.D et en vidéo

Le 8 mars prochain, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, la compagnie le Théâtre du Tournesol mettra en lumière, au Théâtre, Olympe de Gouges (1748-1793), une figure flamboyante de la Révolution française qui a bataillé, au péril de sa vie, pour les droits de la femme.

Les autres rendez-vous le 8 mars.Monique Sebbag animera une « Petiteleçon de philosophie» sur le thème : «Qu’estce d’être une Femme ? » A 14 h 30, à laBibliothèque Diane-de-Poitiers. Marie-France Picart, auteure du livre La Grande Loge Féminine de France donneune conférence « Femme et Franc-Ma-çonne », à 15 h, au château de Valnay.

LA BANDE DESSINÉE ET LE CINÉMA sont 2 arts appréciés des10-15 ans. Au point que ces derniers ne veulent plus secontenter de les lire ou de les regarder sur écran. Ils ontenvie aussi de les créer. C’est pourquoi, Denis Hauvette etGuilen Isikli, deux animateurs multimédia, diplômés d’unbrevet professionnel des techniques de l’information et dela communication, organisent durant les vacances d’hiverdeux formations à l’Espace public numérique Zarafa. Objectif : initier les participants à la confection d’une vidéo(les 24 et 25) et d’une BD (les 27 et 28) à l’aide d’outilsnumériques et de logiciels libres de droits. Vous êtes inté-ressés ? Inscriptions : 01 69 16 17 60.