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  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 1

    BI-HEBDOMADAIRE D'INFORMATION ET D'ACTION SOCIALE PARAISSANT AU CONGO-BRAZZAVILLE

    N 3362 du Mardi 28 Janvier 2014 - 61me Anne - Sige Social: Bd Lyautey - Brazzaville - B.P.: 2080 - CONGO: 400 F.CFA - FRANCE: 1,75 Euro -Tl.: (242) 06.678.76.94 / 05.528.03.94 / 06.889.98.99 - E-mail: [email protected]

    61meanne

    www.JobCongoBrazza.comPubliez gratuitementvos offres demploi

    Prestation de serment de la prsidentede transition centrafricaine

    Firmin Ayessaa salu la

    dterminationet loptimismede CatherineSamba-Panza

    Ministre de la justice et des droits humains

    2014 verralorganisation des

    tats gnrauxde la justicecongolaise

    M.c.d.d.i (Mouvement congolais pour ladmocratie et le dveloppement intgral)

    Tenue des congrslocaux et du

    congrs nationaldu M.c.d.d.i

    en 2014

    Ministre de la santet de la population

    Vers la constructiondes hpitaux

    gnraux dans tousles dpartements

    du Congo

    (P.5)(P.4)

    Ministre la prsidencede la Rpublique, charg de la

    dfense nationale

    Pour 2014, le ministreMondjo a tabli un

    contrat de performancedans la gestion des

    forces armes

    Archidiocse de Brazzaville

    La paroisse deMadibou a lanclanne de son

    jubil dor

    (P.6)

    Lglise Saint Paul de Madibou attend son achvement. (P.11)

    Firmin Ayessa flicitant la prsidentecentrafricaine. (P.3)

    Aim-Emmanuel Yoka. (P.4)

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 2

    ANNONCES

    LICAM-AC, INSTITUT CATHOLIQUE DESARTS ET METIERS EN AFRIQUE CEN-TRALE, Matre douvrage, lance son pro-jet de construction dun campus pour lIns-titut UCAC/ICAM, Ex-IST-AC, sur le site deNotre-Dame Pointe-Noire. Le march dece projet, financ pour partie sur fondspropres et pour partie par un prt auprsde lAgence Franaise de Dveloppement,comporte deux lots: un lot Gros uvre/Second uvre/ Voirie et Rseaux Diverset un lot Technique (courant fort/courantfaible). Les candidatures peuvent tre sou-mises en vue de la pr-qualification, soitpour lensemble des lots proposs, soitpour lun des deux lots. Le MatredOuvrage entend pr-qualifier des entre-preneurs et/ou des socits pour la cons-truction dun btiment rsidence R+5, dunbtiment pdagogique R+4 et de locauxannexes. Le prsent march comprendgalement la rhabilitation dun btimentexistant R+1 en R+2, ainsi que la ralisa-tion de la Voirie et des Rseaux Divers dusite. Les avis dappel doffres devraienttre lancs, le 03 Mars 2014.Les candidats intresss admissibles peu-vent obtenir de plus amples renseigne-ments et inspecter le document deprqualification auprs de lInstitut UCAC/ICAM (dont ladresse figure ci-aprs), du

    Rpublique du CongoProjet Campus UCAC/ICAM (Ex-IST-AC)

    Site de Notre-Dame Pointe-NoireLe Projet Campus UCAC/ICAM - Site de Notre Dame comprend la construction de

    deux btiments R+5 et R+4, la rhabilitation dun btiment R+1 en R+2, la construc-tion de locaux annexes et la ralisation de la VRD.

    Convention de crdit N1371 01 Z

    AVIS SPECIFIQUE DE PASSATION DE MARCHEAVIS DE PRE-QUALIFICATION

    lundi au vendredi, de 8h30 12h30 et de14h30 18h30. Les candidats intressspeuvent acheter un jeu complet du docu-ment de pr-qualification en franais, ense prsentant ladresse ci-dessousaprs versement des frais non rembour-sables de 30 000 Francs CFA ou 50,00Euros (paiement en espces). Le docu-ment leur sera remis en mains propresaprs notification de versement auprs duMatre dOuvrage.

    Les dossiers de candidature pour la pr-qualification doivent tre dposs sousenveloppe cachete ladresse ci-aprs,avant le 07 fvrier 2014, et doivent treclairement marques Candidature depr-qualification pour la construction ducampus UCAC/ICAM - site de Notre Dame- convention de crdit N1371 01 Z.

    Institut UCAC/ICAM (Ex-IST-AC)Jonathan QUINTON

    Base Total E&P CongoKm4 Quartier Ouest

    B.P: 781, POINTE-NOIRERpublique du Congo

    (+242) 05 035 79 78ou (+242) 05 524 59 55

    [email protected]

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 3

    EVENEMENT

    Laudience solennelle quia dur prs dune heuretrente minutes, compor-tait une seule affaire son or-dre du jour, savoir: la presta-tion de serment de la prsiden-te de transition centrafricaine.La salle archicomble et trs s-curise par les lments de laMisca (Mission internationalede soutien la Centrafrique),que dirige le gnral de divisionJean Marie Michel Mokoko, etles troupes de lopration San-garis, sest avre petite, au re-gard de lampleur de lvne-ment.A 15h13, la prsidente de tran-sition, Catherine Samba-Panza,faisait son entre dans la salle,sous les acclamations et leshonneurs militaires. Peu aprs,suivait le prsident de la tran-sition sortant, FerdinandAlexandre Nguendet. Sur ordredu prsident de la cour consti-tutionnelle de transition, legreffier en chef a donn lecteurdu procs-verbal relatif llec-tion de Mme Catherine Samba-Panza, lissue dune lectionrythme et rebondissement.Par la suite, celle-ci a t invi-te par le prsident de la coura prt serment. Main gauchesur la charte de transition etmain droite leve, tendue etouverte, la nouvelle prsidentede transition, de rose vtue,cheveux naturels, a rcit enlisant, le serment constitution-nel, en jurant devant Dieu et lanation, dobserver, scrupuleu-sement, la charte constitution-nelle de la transition.Aprs avoir pris acte de saprestation de serment, le pr-sident de la cour constitution-nelle de transition, HonorNdouba, a prononc la formuledinstallation de llue, dansses fonctions de prsidente detransition, pour un mandat de12 mois. Elle a t leve ladignit de grande croix de lor-dre national du mrite centra-fricain et a reu les symbolesde la Rpublique, savoir:ltendard, le bouclier et cou-teau du sanglier et la calebas-se dabondance.Dans son allocution, HonorNdouba, qui na pas tenu la lan-gue de bois, a fait savoir Ca-therine Samba-Panza que lim-mensit de sa mission de chefde transition dun pays qui re-vient de trs loin va solliciter,certainement, delle des mesu-res politiques trs courageu-ses. Nhsitez pas prendreces mesures, si ncessaires,a-t-il dit, et dajouter: La cour-te dure de prescription de latransition exige du gouverne-ment qui sera form, une soli-darit gouvernementale dyna-mique, efficace et soude etnon pas une quipe gouverne-

    mentale caractrise par desmanuvres, intrigues, descoups bas et un manque de sin-crit entre ses membres.Prononant son premier dis-cours en tant que prsidente detransition lue, Catherine Sam-ba-Panza a renouvel ses re-merciements au C.n.t et lacommunaut internationalepour le soutien en faveur deson pays qui, selon elle, traver-se des moments difficiles etpnibles de son histoire. Toutparticulirement, elle a tenu remercier les prsidents DenisSassou Nguesso et Idriss DbyItno, pour leurs efforts cons-tants et leur implication person-nelle et active en faveur de lapaix et la stabilisation de sonpays.En outre, la nouvelle prsiden-te de la transition centrafricai-ne a exhort les Etats partiesprenantes la runion deBruxelles, organise par lesNation unies et la commissioneuropenne, le 20 janvier der-nier, tenir leurs promesses.Tout en reconnaissant ltatchaotique de son pays au mo-ment o elle prte serment,Catherine Samba-Panza a me-sur le poids de la responsabi-lit qui est la sienne. Cest pour-quoi, elle a estim, dans un pre-mier temps, que les dfis re-lever sont dordre scuritaire,humanitaire et socio-conomi-que.Interrog, le ministre dEtat Fir-min Ayessa, qui conduisait ladlgation congolaise cettecrmonie de prestation de ser-ment, a indiqu que llectionde Mme Catherine Samba-Pan-za est une victoire pour lesCentrafricains. Nos frres etamis de la Centrafrique ont prisconscience du chaos dans le-quel se trouve leur pays, asoulign le ministre dEtat quipense que le plus dur commen-ce pour la RCA qui attendra duCongo, une contribution lahauteur de ses possibilits.A ce titre, le reprsentant per-sonnel du chef de lEtat congo-lais a raffirm lappui financierdu Congo la Centrafrique.Le Congo est toujours auxcts de ce pays. De faon con-crte, nous apportons un sou-tien la Centrafrique, non passeulement, par limplication duprsident dans la mdiation etle comit de suive de la crisemis en place par la C.e.e.a.c,mais galement un appui finan-cier important qui a permis aupays, il y a quelques mois,dhonorer les salaires de sesfonctionnaires.Malgr cet effort, Firmin Ayes-sa pense que la RCA nest pastoujours sortie de lornire,elle est, plutt, en train desenfoncer. Leffort financier est

    un effort collectif aussi de laC.e.e.a.c. Le Congo nest passeul. Je crois que le prsidentDenis Sassou Nguesso, en saqualit de mdiateur, va deman-der ses pairs de la C.e.e.a.cde faire en sorte que trs rapi-dement, quelques soutiens fi-nanciers soient apports nosamis de la RCA, pour permet-tre lEtat de commencer fonctionner, parce que ltat degrce dont jouit aujourdhuiMme Catherine Samba-Panza etle gouvernement quelle vamettre en place, pourra seffon-drer au bout de deux ou troissemaines seulement, si unsoutien financier ne lui est pasapport. Portant son jugementsur la nouvelle prsidente detransition, le reprsentant per-sonnel du chef de lEtat congo-

    Prestation de serment de la prsidente de transition centrafricaineFirmin Ayessa a salu la dtermination

    et loptimisme de Catherine Samba-PanzaElue le 20 janvier 2014, avec 75 voix par les conseillers natio-naux, Catherine Samba-Panza, 58 ans, a prt serment, le 23janvier dernier, au sige de lassemble nationale, Bangui,devant la cour constitutionnelle de transition, au cours duneaudience solennelle prside par Honor Ndouba, prsident deladite institution. Ctait en prsence de Ferdinand AlexandreNguendet, prsident de la transition par intrim, Ali BongoOndimba, prsident de la Rpublique Gabonaise, Mme LaKoyassoum Doumta, prsidente par intrim du C.n.t (Conseilnational de transition), des reprsentants des chefs dEtat: lepremier ministre camerounais, Laurent Fabius, ministre franaisdes affaires trangres, qui a quitt la salle avant la prestationde serment, Firmin Ayessa, ministre dEtat, directeur de cabinetdu prsident Denis Sassou Nguesso, mdiateur et prsident ducomit de suivi de la crise centrafricaine, quaccompagnait Ba-sile Ikoueb, ministre des affaires trangres et de la coopra-tion. Il y avait aussi les ministres tchadien des affaires trang-res et celui de la Rpublique Dmocratique du Congo, les repr-sentants de la C.e.e.a.c, la Cmac, lUnion africaine, les mem-bres du gouvernement de transition centrafricaine, lancien pre-mier ministre, chef du gouvernement dunion nationale de tran-sition sortant, Nicolas Tiangaye, les corps diplomatiques et con-sulaires, les hauts-fonctionnaires et autres invits.

    lais a, simplement, dit que cestune grande dame. Nous avonst impressionn par sa dter-mination, son optimisme, lamatrise et la conscience quel-le a des enjeux qui lattendent.Ce qui est bien, cest quelle aconclu, en nous disons que ava aller, a-t-il confi.Aprs sa prestation de serment,la nouvelle prsidente centra-fricaine a nomm, le 25 janvierdernier, son premier ministre,en la personne dAndr Nza-payk, 62 ans, qui tait, jus-que-l, vice-prsident de laB.d.e.a.c (Banque de dvelop-pement des Etats dAfriquecentrale), dont le sige est Brazzaville.Cyr Armel YABBAT-NGO

    Envoy spcial Bangui

    Catherine Samba-Panza prtant serment.

    .

    Lapprciation de la qualit des travaux doit prendre en compteles responsabilits des diffrents intervenants chaque phasedexcution des travaux:1- le matre douvrage, qui, en amont, dfinit, dans le cadre desappels doffres, le cahier des charges respecter par les soumis-sionnaires, puis par les entreprises attributaires (dont le cahierdes prescriptions techniques qui dfinit le type de travaux ra-liser et les normes applicables en termes de qualit);2- lentreprise adjudicataire qui, en phase dexcution des travaux,doit raliser ceux-ci, en respectant le cahier des charges du mar-ch et les normes en vigueur dans le secteur du B.t.p;3- le matre duvre qui contrle pour le compte du matredouvrage la qualit des travaux excuts par lentreprise adjudi-cataire.Le dveloppement important de la Rpublique du Congo et, parti-culirement, lexpansion de ses grandes villes, Pointe-Noire etBrazzaville, au cours des cinq dernires annes, a rendu parfoisdifficile la dfinition des cahiers des charges associs aux ouvra-ges raliser. Les bureaux dtudes mandats en amont par laDlgation gnrale des grands travaux, pour prparer les pro-jets et les dossiers dappels doffres, se sont, parfois, bass surdes hypothses qui ont t trop rapidement dpasses par la ra-lit conomique et laugmentation trs importante tant du traficroutier que de la construction immobilire en milieu urbain et priurbain. Nous en voulons pour preuve le projet de rhabilitationde la route nationale n1 entre Pointe-Noire et Brazzaville lancen 2006 o le premier tronon entre Pointe-Noire et Dolisie doit,dsormais, faire lobjet de travaux de revtement dune couchecomplmentaire de grave bitume, en raison de laugmentationexponentielle du trafic, notamment de poids lourds.Le projet de la deuxime sortie Nord de Brazzaville dont lappeldoffres ouvert la concurrence a eu lieu au cours de la mmeanne, 2006 souffre, galement, des mmes maux. Ce projet a tlanc avec une simple couche denrobs (bton bitumineux) sansapplication dune couche de grave bitume.Laugmentation trs forte du trafic au cours des trois derniresannes notamment avec la construction de la nouvelle zone co-nomique de Maloukou Trchot, mais galement avec les travauxde construction des installations sportives des jeux panafricainsde 2015 ainsi que les travaux de construction immobilire trsimportants la sortie de Brazzaville, qui engendrent de fortes ro-sions et des venues de sable, ont eu un impact trs nfaste sur latenue de louvrage qui a t ralis.Tenant compte de cette situation, la Dlgation gnrale desgrands travaux vient, effectivement, de lancer un appel doffres,dune part, pour recharger cet axe avec une couche de grave bi-tume (comme sur la route nationale n1), dautre part, pour pas-ser une partie de cet axe routier en deux fois deux voies pourtenir compte du trafic li aux jeux panafricains de 2015 et, enfin,pour crer des ouvrages permettant de rduire le phnomnedrosions qui a t constat.A contrario, sur la route nationale n1 entre Brazzaville et Kinkala,dont un tronon a t ralis par le groupement D.t.p terrasse-ment/Socofran et le second tronon par lentreprise Socofran, leprojet prpar par le bureau dtudes mandat par lUnion euro-penne et le ministre du plan, avait pris en compte, ds lorigine,la mise en uvre de grave bitume et de bton bitumineux, enraison notamment des phnomnes drosion importants cons-tats dans le pass, dans le Pool, avec la prsence de sable. Cetouvrage, qui comporte galement de nombreux amnagementsen terme dassainissement longitudinal et vertical, pour ralentirla vitesse des eaux, se comporte bien et ne souffre pas des d-gradations constates sur la deuxime sortie Nord, malgr le tra-fic important galement sur cet axe.Les entreprises qui sont retenues par la Dlgation gnrale desgrands travaux, lissue des procdures dappel doffre mises enplace depuis ladoption du nouveau code des marchs publicsen 2009, sont trs strictement contrles, tant dans lanalyse deleurs offres quen phase dexcution, par des missions de con-trle ou matres duvres qui sont, le plus souvent, des filialesde bureaux dtudes internationaux (Egis, Louis Berger, etc), etse doivent de raliser leurs travaux, en respectant des normes dequalit europenne vrifies par des laboratoires agrs. Il peutsubsister des problmes de dgradations douvrages, mais ilsdoivent tre apprcis et analyss au regard du cahier des char-ges initial, de lvolution de lenvironnement et des conditionsdexcution.

    Jean-Christophe ANDREDirecteur dAgence

    Droit de rponse de lasocit Socofran-C.d.e

    Le ministre Basile Ikoueb ( dr.) la crmonie de prestation deserment.

    Mme Dibongo ne OumbaGeorgine, agent de lAci.Messieurs Jean BaptisteMalonga, Joachim Malela,Flix Makoumbou, mesda-mes Anglique Nanite-lamio, Eugnie Nzimbou,pouse Balolo, monsieurlAbb Godefroy Locko, lesenfants Saminou et toute lafamille Kahounga ont leregret dannoncer aux pa-rents, amis et connaissan-ces, le dcs de leur frre,oncle, grand oncle et pre,Pierre SAMINOU-MOUKO,

    Ncrologie

    survenu le 21 janvier 2014, Brazzaville.Programme relatif aux obsques:Jeudi 30 janvier 2014 Leve de corps-Recueillement au domicile-Messe de requiem Saint Pierre Claver de Bacongo-Dpart pour Kiele Thenard ex-gare SimonVendredi 31 janvier: Inhumation.

    Pour tous renseignements, contacter les bureaux deLa Semaine Africaine Brazzaville et Pointe-Noire.

    e-mail: [email protected]

    Nouveaux tarifs pour abonnementCongo

    6 moisRetrait sur place: 15.600Expdi: 23.4001 anRetrait sur place: 31.200Expdi: 46.800

    France, AfriqueFrancophone

    91 Euros182 Euros

    Autres pays dAfrique 96 Euros192 Euros

    Europe96 Euros192 Euros

    Amrique-Asie100 Euros200 Euros

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 4

    NATIONAL

    Dressant le bilan de lanne2013, le directeur de cabinet,Alphonse DinardMoubangat-Mokonzi, a prcisquen termes defficacit, cest--dire le rapport entre les activitsprescrites par le prsident de laRpublique leur dpartementministriel dans sa lettre de mis-sion, on a enregistr un taux deralisation de 85,71%, soit 36 ra-lisations sur 42 activits program-mes. Pour ce qui est du pro-gramme dactivits ordinaires,cest--dire lensemble des activi-ts traditionnelles du Ministre dela justice, le taux de ralisation estde 49,52%.Pour lui, lensemble des deux pro-grammes donne un taux deffica-cit densemble de 58,63%. Sur leplan de lefficience, cest--dire lerapport entre le rsultat obtenu etles moyens engags, AlphonseDinard Moubangat-Mokonzi alaiss entendre que les tudessont en cours pour dterminer lescarts. Bien que le taux dexcu-tion du budget soit de 75%, 48 ac-tivits ont manqu de financement,soit un taux dchec de 25,13%,a-t-il affirm.Selon le directeur de cabinet, unepart importante de la non-ralisa-tion de 31 activits est attribue la dmotivation et aux mauvaisesmthodes de travail, soit un tauxdchec de 16,24%. Nous allonsnous intresser, particulirement, ces causes dchec, en 2014,

    pour en apporter les correctionsncessaires.Par ailleurs, Alphonse DinardMoubangat-Mokonzi a rappel quelaugmentation constante des d-nonciations linspection gnraledes juridictions et des services ju-diciaires donne une indication surle degr de non satisfaction desjusticiables. En effet, au regard des125 dossiers reus linspectiongnrale, en 2013, toutes les cat-gories des acteurs judiciaires sontmises en cause, notamment: 53magistrats, 10 greffiers, 8 huis-siers, 5 notaires et 3 avocats.En 2014, lorateur a estim que plu-sieurs nouveaux dfis se prsen-tent eux, en termes dobjectifsstratgiques. Il sagit, entre autres,de lorganisation des tats gn-raux de la justice, la rvision oullaboration de codes usuels(Code de la famille, code pnal,code de procdure pnale, codecivil, code de procdure civile,code administratif et code dorga-nisation judiciaire, ainsi que tousles textes organiques des profes-sions librales (Avocat, Notaire,huissier), etc.Pour sa part, le ministre dEtatYoka a fait savoir quil ny a pasdexpression plus cruelle que lin-galit devant la justice. Il faut vi-ter lhonnte homme davoir choisir entre linjustice et le dsor-dre, dans la mesure o linjusticeengendre la rvolte et comprometlordre social convenu. Cest un

    plonasme que de rappeler que lajustice, la vraie justice, est le rem-part contre larbitraire, la digue deprotection pour les plus faibles. Entant que bras sculier de lEtat, elleest, comme lEtat lui-mme, lamre poule qui place sous sesailes ses poussins livrs la me-nace des prdateurs. Toute rupturedgalit devant la justice est uneoffense intolrable, a-t-il dit.Face cela, il a, une fois de plus,attir lattention des agents et ca-dres de son dpartement que lanoble institution laquelle ils ap-partiennent diffrents titres leurexige une conduite exemplaire auregard des principes dontologi-ques fondamentaux: indpen-dance, dignit, loyaut, impartia-lit, diligence, intgrit, rserve,toutes considrations qui impli-quent une srie dobligations caractre professionnel et dordre

    thique.Au cours de cette crmonie, ledirecteur gnral de lE.s.g.a.e(Ecole suprieure de gestion etdadministration des entreprises),le Prof. Roger Armand Makany, adcern, au ministre de la justice,le diplme dhonneur de SniorManager Honoris Causa de sonuniversit.En outre, cinq primes ont t attri-bues aux meilleurs agents, sui-vant les critres de ponctualit, laprsence au poste, lassiduit, lacomptence, la disponibilit etlexcution des tches dans les d-lais. Les cinq meilleurs fonction-naires ont ainsi reu des ordina-teurs portatifs et des montants al-lant de 1.000.000 300.000 francsCfa.

    Cyr Armel YABBAT-NGO

    Ministre de la justice et des droits humains2014 verra lorganisation des tatsgnraux de la justice congolaise

    Les agents et cadres du Ministre de la justice et des droitshumains ont prsent, vendredi 24 janvier 2014, leurs vuxde nouvel an, leur ministre de tutelle, Aim Emmanuel Yoka.Ctait, au cours dune crmonie organise dans les jardinsdudit Ministre, Brazzaville. A cette occasion, le garde dessceaux a souhait quune attention particulire et constantesoit porte aux nouveaux magistrats, par leurs collgues plusexpriments, pourvu que les nouveaux acceptent de simpr-gner de lexprience des anciens. En outre, il a exhort lesjeunes magistrats nouvellement dploys dans les juridictionsde notre pays plus dardeur et dabngation au travail. Ledirecteur de cabinet a fait savoir que cette anne auront lieules tats gnraux de la justice et la rvision ou llaborationde codes usuels.

    Dans son mot introduc-tif, le secrtaire gnraladjoint, permanent duparti, Nol Loutounou, sest,dabord, excus auprs des mi-litants venus en grand nombre,que le temps qui lui est impartine lui permet pas de faire un bi-lan exhaustif des actions me-nes par le parti en 2013. Mais,il a appel lengagement detous, pour la mise en uvre,avec srnit, du plan dactionannuel du bureau excutif na-tional, adopt par le comit na-tional du M.c.d.d.i, issu de ladeuxime convention nationa-le.Sadressant aux militants, lesecrtaire gnral du parti,Guy-Brice Parfait Kollas, a in-diqu que le M.c.d.d.i va abor-der la nouvelle anne avec une

    grande ardeur. Nous devonsappliquer le plan daction quele comit national a adopt.Nous avons aussi nous pr-parer pour les congrs locauxet le congrs national duM.c.d.d.i, pour cette anne2014. Ce que je demande tousles dirigeants qui sont labase, cest dadopter un com-portement offensif, offensifdans le sens quil faut faire vi-vre toutes les actions quon vavous demander, a-t-il dit. Ain-si, la premire action quil de-mande, cest daller lenrle-ment des militants. Nous de-vons-nous compter. La con-vention nationale nous avaitfait obligation de dconcentrerla dlivrance des cartes de mi-litants. La responsabilit seradonne tous les niveaux:

    chefs de quartiers, chefs dedpartement, au niveau de lar-rondissement, au niveau desdistricts, a-t-il rappel. Pourlui, les cartes qui seront attri-bues seront enregistres surdes registres denregistrementqui seront galement donns.Cela permettra ceux qui se-ront responsabiliss dallervers les militants, pour leurdonner des cartes. Afin quilspuissent avoir une ide clairedu corps lectoral quil faut

    pour les chances lectoralesqui pointent lhorizon. Nousallons convoquer, le premierfvrier prochain, le sminairedes secrtaires gnraux detoutes les structures duM.c.d.d.i. Pendant ce sminai-re qui va durer deux jours, lesdirectives seront donnes, defaon ce que nous puissionstre en ordre de bataille pourles locales, a-t-il dit.

    Pascal Azad DOKO

    M.c.d.d.i (Mouvement congolais pour la dmocratie et le dveloppement intgral)

    Tenue des congrs locaux et ducongrs national du M.c.d.d.i en 2014Les cadres, militants et sympathisants du M.c.d.d.i se sont re-trouvs, jeudi 23 janvier 2014, au restaurant-bar Le Zoo, Braz-zaville, loccasion de la crmonie de prsentation de vuxdu nouvel an, au secrtaire gnral du parti, Guy-Brice ParfaitKollas, ministre de la fonction publique et de la rforme de lEtat.Loccasion tait toute indique au chef du parti de donner desinstructions et des orientations pour cette nouvelle anne. Ainsi,pour 2014, le secrtaire gnral, Guy-Brice Parfait Kollas, a an-nonc la tenue du congrs national, prcd, bien videmment,des congrs dpartementaux.

    Congrs national de lU.r.c (Union pourla restauration du Congo)

    Dominique Basseyla portsans surprise la tte du

    parti, pour quatre ansCree il y a quelques mois, lU.r.c (Union pour la restauration duCongo), parti situ lopposition rpublicaine, a tenu, du 23 au24 janvier 2014, dans la salle des confrences de lhtel de villede Brazzaville, son tout premier congrs national, sous le patro-nage de Dominique Basseyla, le fondateur de ce parti, qui a tlu prsident, pour un mandat de quatre ans. Les 400 partici-pants, venus de tous les dpartements du pays, ont mis en placeun comit directeur de 205 membres, un bureau politique de 75membres et un secrtariat excutif national de 75 membres. Leprsident est assist par trois vice-prsidents, notamment Bo-naventure Matingou, premier vice-prsident; Albert Okabel,deuxime vice-prsident, et Abel Massengo, troisime vice-pr-sident. Alain Marcel Diakabana Loubassou occupe le poste desecrtaire gnral et porte-parole du parti. La commission na-tionale de contrle et dvaluation est prside par IgnaceMboungou, et a comme rapporteur Andr Kokolo Yika.

    Le jeune parti naissant a drain un grand monde, le groupe tradi-moderne, Les moyes authentiques assurait lanimation. Onnotait galement la prsence de quelques responsables des par-tis, louverture du congrs, parmi lesquels, Nicphore Fila SaintEudes (P.r.l), Bonaventure Mizidy (M.i.s), Appolinaire Tsiba(U.pa.d.s), Chris Oualembo (C.n.r).Les participants ont examin et adopt les documents fondamen-taux du parti, savoir: les statuts et le rglement intrieur, ainsique le projet de socit du parti. Lassistance a eu droit aux mes-sages dlivrs par les dlgus des fdrations dpartementa-les. Tous ont condamn la division, le tribalisme, la violence etlexclusion. Ils soutiennent la paix, lunit nationale et la restaura-tion des valeurs rpublicaines. Le parti envisage de mettre en placeles organisations juvniles et fminines affilies.Dans son discours douverture, le prsident de lU.r.c, DominiqueBasseyla, a rappel que son parti est une organisation politiquequi se donne comme ambition, non seulement de participer, avecles autres forces vives animes dun rel souci de lintrt natio-nal, la gestion des affaires du pays, mais aussi, de rhabiliter leCongo dans tous ses fondements conomique, socio-culturel etpolitique.Il a estim que le concept restauration revt, pour eux, une grandesignification. En effet, la restauration symbolise laction de res-taurer, de rparer, de remettre en bon tat et de rtablir les valeurset les murs qui, hier, maintenaient les solidarits et lamour en-tre toutes les composantes, de la socit congolaise, mais gale-ment, ont fait du Congo un pays dynamique tirant ses richessesdu fruit du travail des congolais. Cest pourquoi, sur le plan co-nomique lU.r.c va uvrer pour un retour aux grands fondamen-taux qui ont plac le Congo parmi les nations exportatrices deproduits agricoles tirant lessentiel de ses ressources financiresde la terre, de ses eaux et de ses forts. Aussi, le slogan, celui duretour la terre, nagure riche de bon sens, doit-il tre rhabilit.Sur le plan politique, lU.r.c se rejouit de son implantation quasispontane dans les douze dpartements de notre pays. Le particompte, ce jour, 2825 adhrents, ce qui est une bonne chose,aprs 85 jours dexistence.Enfin, lU.r.c demande au prsident de la Rpublique, la convoca-tion, avant 2016, dune concertation politique sur la dmocratie,afin que tous les acteurs politiques et la socit civile dtermi-nent un nouveau systme dmocratique qui aura pour fondementnos valeurs culturelles telles que le partage, la solidarit, lgalitet le respect de lautre.

    Pascal AZAD DOKO

    Roger Armand Makany remettant le diplme Aim E Yoka.

    Les cadres et agents du Ministre de la justice.

    Dominique Basseyla (au milieu).

    Les membres du bureau.

    Guy-Brice Parfait Kollas sadressant aux militants de son parti.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 5

    NATIONAL

    La premire allocutionprononce par Jean Phi-lippe Ngakosso, direc-teur de cabinet, a t de dres-ser le bilan de lanne coule.Selon lui, six axes essentielsont constitu lossature de lan-ne 2013, savoir: la gouver-nance, loffre des soins, la lut-te contre la maladie, le mdica-ment, les ressources humaineset la coopration sanitaire.Il a, ensuite, rappel que suite un protocole daccord passavec lO.m.s (Organisationmondiale de la sant), Brazza-ville a abrit la 63me session ducomit rgional de lO.m.s pourlAfrique qui sest tenue avecsuccs et dont la prsidenceest assure, aujourdhui, par leCongo. Avant damliorer lof-fre des soins de sant, nous

    avons travaill, main dans lamain, avec nos partenaires tra-ditionnels, notamment: lO.m.s,lUnicef, le Fnuap, lOnu-sida,la Banque mondiale, lAgencefranaise de dveloppement, laFondation Congo assistanceainsi que les O.n.gs travaillantdans le domaine de la sant,a-t-il fait savoir.En dehors des succs ralissdurant lanne coule, JeanPhilippe Ngakosso a reconnuque le dpartement de la santtrane encore des faiblessessrieuses, parmi lesquelles:labsence desprit de servicepublic chez certains agents, lanon observation des rglesdontologiques, la faible qua-lit des conditions dhyginedans les formations sanitaires,lobsolescence des quipe-

    ments de certaines formationssanitaires et le dlabrement decertaines structures tant admi-nistratives que techniques. Desfaiblesses que le dpartementministriel semploiera re-dresser, avec lappui des par-tenaires traditionnels.Dfinissant la feuille de routede la nouvelle anne, le minis-tre Franois Ibovi a indiqu quelanne 2014 sera une anne dedur labeur, avec la mise enuvre de larsenal des texteslgislatifs et rglementaires,dont certains sont dj labo-rs. Selon lui, 2014 connaitralexcution des travaux deconstruction des hpitaux g-nraux dans tous les dparte-ments du Congo, la rhabilita-

    Ministre de la sant et de la populationVers la construction des hpitaux gnraux

    dans tous les dpartements du CongoLes cadres et agents du Ministre de la sant et de la populationainsi que les reprsentants des agences des Nations unies etde lA.f.d (Agence franaise de dveloppement) staient retrou-vs, vendredi 24 janvier 2014, la D.e.p (Direction des tudes etde la planification) dudit ministre, pour prsenter les vux denouvel an Franois Ibovi, ministre de la sant et de la popula-tion. Dans lallocution quil a prononce, ce dernier a dress lesactions prioritaires qui seront menes par son dpartement mi-nistriel au cours de cette nouvelle anne: lexcution des tra-vaux de construction des hpitaux gnraux dans tous les d-partements du Congo, la rhabilitation et lquipement des struc-tures sanitaires existantes, le renforcement du paquet essentieldes activits devant permettre une amlioration quantitative etqualitative des soins dans les structures sanitaires du Congo. Ila annonc le remplacement de la Comeg par une autre structurequi se veut plus performante.

    tion et lquipement des struc-tures sanitaires existantes, lerenforcement du paquet essen-tiel des activits devant permet-tre une amlioration quantitati-ve et qualitative des soins dansles structures sanitaires duCongo. La tche est, certes,difficile, mais pas impossible.Loption prise par le Ministrede la sant et de la population,pour cette anne 2014, tant,incontestablement, le pragma-tisme. Car, en matire de santau Congo, beaucoup a t dit.Il faut, maintenant, agir. Il ny aque laction qui peut garantirlaccs des populations, auxservices et soins de sant dequalit et qui peut renforcer lescapacits nationales dans le

    Commandant en secondet chef dEtat de la gen-darmerie nationale, lecolonel Bellarmin Ndongui afait le bilan de 2013, une annedont le plan daction est encours dachvement et quilaisse derrire elle de nom-breux repres. Fidle la mis-sion qui lui est prescrite, la gen-darmerie na mnag aucun ef-fort, pour soutenir le dvelop-pement de lEtat de droit, en as-surant la scurit des person-nes et des biens dans le plusgrand respect des liberts pu-bliques et des droits humains.Il a rappel que la directiveplan daction annuel 2013 ducommandant de la gendarme-rie nationale, avec pour idematresse de replacer la briga-de de gendarmerie au cur dela vie de ladministration terri-toriale et des populationsprescrivait six axes deffortstratgiques.Au bilan dexcution, il a souli-gn lengagement de la gen-darmerie dans la scurit pu-blique au quotidien, prcisantplus loin: La rponse de lagendarmerie aux attentes crois-santes dune socit en pleinemergence conomique et so-ciale a t encore une fois unlment essentiel de la paix ci-vile et de la tranquillit sur tou-te ltendue de notre pays.2013 a t aussi marqu par lacration des deux rgions degendarmerie de la Sangha et

    des Plateaux, qui a couronn laconcrtisation du programmede renforcement du maillageterritorial.Pour sa part, le gnral Paul-Victor Moigny a lou les rali-sations des gendarmes en 2013qui constituent un motif de sa-tisfaction et dencouragement.Il a dgag quatre axes deffortsqui constitueront le soubasse-ment de laction de la gendar-merie nationale au cours decette anne; une action qui de-vra faire que le gendarme soitun modle au sein de la forcepublique, un modle de ci-toyen.Le premier axe deffort est bassur la formation, linstruction etlentranement des forces. Eneffet, quel que soit notre atta-chement aux valeurs quincar-ne la gendarmerie, nos unitsne pourront pas se distinguerpositivement sur les thtresdopration, si nous ne faisonspas du professionnalisme denos troupes, une priorit, a ditle commandant de la gendar-merie nationale.La lutte contre linscurit rou-tire est le deuxime axe def-fort de la gendarmerie, au re-gard de lexponentielle crois-sance du nombre daccidentsde circulation routire. Pourcela, il nous faut effecteur unmaillage progressif du territoi-re national par la densificationde nos units de scurit rou-tire. Cest pourquoi, au cours

    de lanne 2014, nous nous at-tlerons la mise en place dedeux escadrons de scuritroutire Owando, dans la Cu-vette, et Sibiti dans la Lkou-mou.Le troisime axe deffort, a-t-il dit, consiste apporter larponse aux engagements in-ternationaux pris par legouvernement. En effet,nous allons, au cours de cette

    anne, complter certaines pi-ces de notre dispositif opra-tionnel par la mise en place, laprparation et la mise en con-dition de deux Units de policeconstitue (U.p.c) en mesuredtre projetes dans lesmeilleurs dlais sur les thtresdopration trangers, avec lestroupes des pays amis, suivantla norme de notre contrat op-rationnel, tel quindiqu dans la

    loi de programmation de la for-ce publique.Et, le quatrime axe deffort, asoulign le commandant de lagendarmerie nationale, est lac-quisition des quipements etdes matriels spcifiques, telque le prconise la directiveannuelle de Monsieur le minis-tre de la dfense nationale.Lobjectif de replacer la briga-de territoriale au cur du fonc-tionnement de la gendarmerienationale va ainsi se poursui-vre avec la mme dtermina-tion, en 2014. Enfin, la hirar-chie de la gendarmerie conti-

    domaine de la gestion des po-litiques nationales de sant, a-t-il indiqu.Le ministre de la sant et de lapopulation a, ensuite, annoncque la nouvelle anne devraconnatre la construction etlquipement de linstitut ducur, du centre de drpanocy-tose, des centres de nphrolo-gie Brazzaville et Pointe-Noi-re, la construction dune usinede fabrication de bio-larvicidesdans le cadre de la lutte anti-vectorielle avec lappui techni-que des experts cubains, lapoursuite de leffort de forma-tion en nombre consquent desmdecins et spcialistes Cuba et dans bien dautrespays. A cela sajoute la redyna-

    misation de tous les corps so-cioprofessionnels de la santau Congo.Evoquant le cas de la Comeg(Congolaise des mdicamentsessentiels et gnriques), unestructure en complte dgn-rescence et en nette rupture

    avec ses missions, FranoisIbovi a relev quil faut arr-ter cette exprience et tenterune autre avec des objectifsclairs et des textes juridiquesprcis. Cest ainsi que je sai-sis cette occasion solennellepour raffirmer le remplace-ment de la Comeg par une nou-velle centrale dachat qui cons-tituera un vritable maillon dela chane du systme de santnational. A linstar de celles duBurkina Faso et de la Tanzanie,cette nouvelle structure, qui seveut performante, verra le jourtrs rapidement.

    AybienevieNKOUKA-KOUDISSA

    Gendarmerie nationaleLes gendarmes appels tre

    des modles au sein de la force publiqueLe commandement de la gendarmerie nationale a organis sacrmonie de vux, le jeudi 23 janvier 2014, Brazzaville. A ceteffet, les officiers responsables des diffrents services de la gen-darmerie et les sous-officiers ont prsent leurs vux de nou-vel an au commandant de la gendarmerie nationale, le gnralde brigade Paul-Victor Moigny, qui a appel les gendarmes tre des modles au sein de la force publique. Il a, galement,prsent les quatre axes defforts de laction de la gendarmerienationale, pour cette nouvelle anne.

    Journal dit par la CommissionEpiscopale des Moyens de

    Communication Sociale.Prsident:Mgr Miguel

    Angel Olaverri,Evque de Pointe-Noire

    Vice-PrsidentMgr Anatole Milandou

    Archevque de Brazzaville

    Directeur de Publication:Joachim MBANZA

    Secrtaire de rdactionVran Carrhol YANGATel: (242) 06.668.24.72Saisie&Montage (PAO):Atelier La Semaine AfricaineService Commercial:

    Brazzaville: Tl. 06.889.98.99 05.528.03.94Pointe-Noire: Tel:05.557.78.71 06.655.80.03 05.553.16.93

    Sige: Bd. Lyautey (en face du CHU) B.P. 2080 - BRAZZAVILLE

    Direction - Tel: (242) 06.678.76.94 / 06.664.00.47

    LA SEMAINE AFRICAINE

    E-mail: [email protected] Internet: lasemaineafricaine.net

    Bihebdomadaire dinformation gnrale, daction sociale etdopinion, sinspirant de la Doctrine

    Sociale de lEglise Catholique.

    nuera la rhabilitation des in-frastructures existantes.Le gnral Moigny a, en outre,invit les gendarmes plusdabngation au travail et ausens rpublicain du devoir, carles dfis qui les attendent sontimmenses. Et aux diffrentscommandants de rgions et deformations, il a prescrit, pour2014, lvaluation priodiquedes commandants dunits parlorganisation des sminairesannuels des commandants decompagnies et de brigades,dans la suite du sminairedvaluation des directeurscentraux, des commandants dergions et des commandantsde formations organis au ni-veau central; tous les com-mandants dunits et chefs deservices, la rgularit dans lanotation annuelle des person-nels.Alain Patrick MASSAMBA

    Franois Ibovi et Jean Philippe Ngakosso changent les voeux. Une vue des cadres et agents du ministre.

    Echange de voeux entre le gnral Moigny et le colonel Ndongui...

    ... avec le personnel.

    Pour de bonnes analyses,jaime lire

    La Semaine Africaine.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 6

    Coup doeil en biaisCoup doeil en biaisCoup doeil en biais

    Eric-Pressing

    Situ au coeur conomique de: * Brazzavillerond-point Moungali * Pointe-Noire centre ville,

    PRESSING DE LUXE

    ERIC-PRESSINGERIC* E = Exprience dans le cadre de Nettoyage Sec* R = Remplissant toutes les conditions de lavage* I = Irrprochable pour un travail soign et bien fait* C = Comptence qui fait la diffrence

    PRESSING* P = Professionnel confirm* R = Reste fidle au bon service* E = Entretien de qualit ingalable* S = Service non stop* S = Sollicit par les clients exigeants* I = Incomparable, toute la ville en parle* N = Nomm ERIC-PRESSING *G= Garantit la longvit de nos vtements

    Faites confiance notre pressing de luxe

    NATIONAL

    Tout a commenc par lal-locution du gnral dedivision Guy BlanchardOko, chef dEtat-major gnraldes F.a.c, qui a dress le bilandes actions menes par les for-ces armes, lan dernier. Sil atir satisfaction de ce bilan, il areconnu que beaucoup de cho-ses restent amliorer. Pourcela, il a esquiss des pistespour remdier aux faiblessesconstates.Dans son allocution, le minis-tre Mondjo a relev, avec satis-faction, les rsultats ralisslanne dernire dans le cadredes missions conduites par lesdiffrents personnels; rsultatsqui se traduisent par lamlio-ration de lenvironnement scu-ritaire gnral, le renforcementde la discipline et de lthiqueau sein des forces armes, lac-croissement graduel des capa-cits oprationnelles, unemeilleure matrise des effectifset la participation des forcesarmes aux oprations demaintien de la paix dans lasous-rgion.Le ministre la prsidence,charg de la dfense nationa-le, a ensuite indiqu les axesprioritaires de son dpartementministriel, en 2014. Il sagitde: la dfense du Congo et laparticipation aux missions descurit collective. Face auxmenaces do quelles vien-nent, nous devons continuerdaffirmer le crdit de nos ar-mes par une participation plusactive aux missions tant sur leplan national quinternational.Vous le savez, la Rpublique duCongo a dcid de renforcer saprsence dans les oprationsde maintien de la paix dans lasous-rgion Afrique centrale.Cest ainsi quelle est prsenteau sein de la Mission interna-tionale de soutien la Centra-frique (Misca). Cela corres-pond, justement, lesprit et audevoir de solidarit indispensa-ble la pacification de notresous-rgion. Notre effort quisest densifi en 2013 dans lascurisation de ce pays frre,doit se poursuivre avec dter-mination, comme le veut le pr-

    sident de la Rpublique, chefsuprme des armes, et com-me le soutient fermement len-semble de notre peuple.Dans ce mme axe figure aussilorganisation, cette anne,dans notre pays, de la manu-vre de la C.e.e.a.c dite Loan-go 2014 qui concourt len-tranement des personnels et la mutualisation des moyensdans une perspective concer-te de gestion des actions enfaveur de la scurisation delespace sous-rgional.Les ressources humaines et fi-nancires constituent un axevital pour garantir aux forcesarmes, des ressources aussibien humaines que financiresadaptes leurs missions et leur fonctionnement. Les rsul-tats positifs engrangs par larevue gnrale des effectifsdoivent, maintenant, tre con-trls en qualit. La consoli-dation des effectifs passe aus-si par la clarification de la si-tuation des dtachements, exi-gence du prsident de la Rpu-blique, chef suprme des ar-mes, exprime loccasion durveillon darmes 2013. A ceniveau, il a prcis que les fai-blesses quaccusent nos servi-ces dans le domaine de la pro-grammation et dans le suivi delexcution des budgets al-lous, doivent tre surmontes.Cela permettra de mobiliser lesressources indispensables laralisation des contrats opra-tionnels et la modernisationdes armes et des services.Dans ce mme lan, les caren-ces observes dans la notationannuelle des personnels doi-vent tre rsorbes.Par ailleurs, le ministre a de-mand au chef dEtat-majorgnral, au commandant de lagendarmerie nationale ainsiquaux chefs organiques, defaire le point de tous les dta-chs aussi bien lintrieurqu lextrieur du Ministre dela dfense nationale, en vuedun meilleur redploiementdes personnels. Cest un im-pratif, a-t-il lanc.Le troisime axe est relatif lalogistique. Cest ce niveau

    quinterviennent les quipe-ments et les infrastructures,pour assurer aux forces ar-mes des quipements adap-ts aux missions et aux nor-mes dengagement, de mani-re procurer un soutien quilve leur disponibilit opra-tionnelle. Cest en cela que laloi de programmation de la mo-dernisation de la force publi-que qui rentre, cette anne,dans sa premire phase dex-cution, prvoit les allocationsbudgtaires requises, pour at-teindre cet objectif. Il nous re-vient daffiner les programma-tions ncessaires et den assu-rer un suivi rgulier, a-t-il faitsavoir.Enfin, le ministre Mondjo a misla communication parmi lesaxes prioritaires de son action.En choisissant de porter uneffort significatif dans ce sec-teur, jai cur lambition dac-crotre la performance de lacommunication des armes, vi-sant faire connatre en inter-

    ne comme en externe, nos ar-mes, leurs capacits, leursmissions, en vue de renforceraussi bien le lien arme-na-tion, a-t-il expliqu.Le ministre de la dfense estconscient que la russite de cesaxes prioritaires passe par lamise en uvre de la loi de pro-grammation de la forcepublique. En prescrivant cesmissions aux armes, direc-tions et services, jai voulu pas-ser avec lensemble du person-nel et tous les intervenants dusecteur, un contrat de perfor-mance ncessaire la bonnegouvernance de notre institu-tion et latteinte des objectifsassigns. Le but final tant destimuler la recherche de lexcel-lence par la culture du suivi-valuation. Les prescriptionsde la gestion axe sur les rsul-tats sont, cet gard, imprati-ves, a-t-il conclu.

    Alain PatrickMASSAMBA

    Ministre la prsidence de la Rpublique, charg de la dfense nationale

    Pour 2014, le ministre Mondjoa tabli un contrat de performancedans la gestion des forces armes

    Les membres du commandement des F.a.c (Forces armes con-golaises) et le personnel voluant au Ministre en charge de ladfense nationale ont prsent les vux de nouvel an CharlesRichard Mondjo, leur ministre de tutelle, mardi 21 janvier 2014,dans lenceinte dudit Ministre, Brazzaville. Au cours de sonadresse, le ministre Mondjo a, en cette anne nouvelle, invitson personnel persvrer dans la bonne direction, sur la basedes axes prioritaires stratgiques contenus dans sa directiveannuelle aux armes, directions et services, et qui guideront leuraction commune au cours de cette anne. Pour cela, il a tabliun contrat de performance avec les structures sous tutelle, danslesprit de la G.a.r (Gestion axe sur les rsultats), et sur la basede la loi de programmation.

    Point de vente du journalLa Semaine Africaine

    Echange de voeux entre le ministre Mondjo et son personnel.

    Photo de famille avec le ministre en charge de la dfense nationale.

    Un accident de circulation cause deuxmorts sur la R.n 1

    On continue denregistrer des accidents de circulation, sur le tron-on Pointe-Noire-Dolisie de la route nationale n1. Dans la nuitdu mardi 21 au mercredi 22 janvier 2014, un vhicule, lourde-ment charg de sacs de ciment, y a percut une pave de conte-neur, quelques kilomtres de Mvouti. Bilan: deux morts et deuxblesss graves. Les victimes ont t vacues Pointe-Noire. Ilfaut signaler que le conteneur percut a t abandonn depuisdeux semaines, sur la voie, sans quon le dgage loin de la chaus-se goudronne. Et des dizaines dpaves jonchent cette routeentre Dolisie et Pointe-Noire. Elles sont autant de piges mortelspour les chauffeurs imprudents qui roulent tombeau ouvert.

    Pnurie de carburant dans BrazzavilleDepuis le week-end dernier, Brazzaville, la ville-capitale, est touche parune svre pnurie de carburant. Vendredi 24 janvier dernier, les sta-tions-services commenaient tre envahies de vhicules et la rumeurparlait dj de crise de carburant. Une crise qui sest, finalement, mani-feste, ds le samedi 25 janvier. Des automobilistes, particulirementles taximans, ont attendu des heures devant les stations-services, sansp tre servis. Il y avait de longues files devant presque toutes les sta-tions. Les consquences de cette pnurie de carburant se sont rapide-ment fait sentir dans le transport en commun. La course de taxi a grimpde prix, en plus du fait que les taximans ont pris lhabitude de regrouperles courses (prendre deux, trois ou quatre clients la fois, chacun payantsa course). Les minibus, quant eux, pratiquent plus que jamais le demi-terrain, cest--dire le morcellement des itinraires. Ainsi, entre le cen-tre-ville et la banlieue, un passager peut emprunter trois ou quatre mini-bus. Ce qui augmente videmment le prix du trajet. Se dplacer devientainsi un casse-tte pour de nombreux Congolais. Du ct des pouvoirspublics, on na pas expliqu les causes de cette pnurie. Au dbut decette semaine, il y a eu un lger mieux. La situation peut redevenir nor-male, au courant de la semaine, car les stations-services sont livres enproduits. Lanne 2014 commence mal avec cette pnurie de carburantqui semble rappeler les mauvais souvenirs des annes 90 et 2000. AuCongo, la distribution des produits ptroliers raffins a t libralise etquatre enseignes, Total Distribution, Puma, X-oil Congo et S.n.p.c-distri-bution, se sont attribues de bonnes parts de march. Selon le Ministredes hydrocarbures, en 2013, le nombre de stations-services sur lten-due du territoire national tait de 119, dont 37 implantes hors de Braz-zaville et Pointe-Noire. La consommation en produits ptroliers au Congoa augment de 16% par rapport 2012. Raison pour laquelle le gouver-nement entend rflchir pour amliorer les performances de la seuleraffinerie du pays, la Coraf (Congolaise de raffinerie). Ne de la privati-sation dHydro Congo, en 2002, la Sclog (Socit congolaise de logisti-que) assure, quant elle, le transport et le stockage massif de carbu-rant, travers ses 9 dpts.

    Plus de motos-taxis sur les routes du PoolParce que les motos, notamment les Djakarta transforms en moto-taxis,sont lorigine de nombreux accidents dans son dpartement, notam-ment Kinkala, le chef-lieu, le prfet du Pool, Jean-Michel Shanga, ademand, lundi 20 janvier 2014, aux sous-prfets et administrateurs-maires des communauts urbaines dinterdire le transport public despassagers sur les motocycles. Il leur a recommand de mettre en appli-cation, immdiatement, et de faon permanente, larrt n4896 du Mi-nistre des transports et de laviation civile, du 1er juillet, portant interdic-tion sur toute ltendue du territoire national, du transport public des per-sonnes et de leurs bagages titre onreux sur les motocycles. Selon lapolice, 13 personnes se sont tues dans 40 accidents de moto-taxisenregistrs, uniquement Kinkala, dont trois ayant caus des dgtsimportants, en 2013. Les conducteurs de motos, eux, se plaignent delabsence de lclairage public, de ltroitesse des chausses et du man-que de visibilit caus par les hautes herbes poussant aux abords desroutes.

    Le laboratoire de lhpital des armesde Dolisie senfonce dans le coma

    Il y a un hpital rgional des armes Dolisie, la troisime ville du pays,mais son laboratoire danalyse est, curieusement, dans le coma, depuishuit mois. Il fait face un manque de ractifs pour raliser les examensbiologiques et a t, finalement, ferm, momentanment. Mme lexa-men bnin de la goutte paisse, qui permet de rechercher le plasmo-dium, ce microbe responsable du paludisme, nest plus ralis dans cethpital. Cela oblige les patients de faire la navette entre cet hpital et lesautres centres de sant, avec tous les risques que cela comporte. Lesresponsables doivent tout faire pour remdier la pnurie de ractifs quitouche lhpital des armes de Dolisie.

    Au Nord du Pool, une prsence militairequi ne rassure pas les villageois

    On signale, dans la partie Nord du dpartement du Pool, la prsencemassive des militaires dans plusieurs villages, notamment Yono, Nkiell,Kisangani, Dakar, Mpoumako et Inoni. Selon les habitants de ces villa-ges, ces militaires, qui disposent dun armement neuf, auraient t trans-ports par hlicoptre, en vagues successives, au village Yono, avantdtre dissmins dans les autres localits. Les villageois affirment tretraumatiss, certains ont abandonn les travaux champtres, de peur decroiser ces militaires dont ils ignorent le motif de leur prsence. Cons-quence: ces dernires semaines, le manioc se fait rare sur les talages,le long de la route goudronne qui passe par ces villages. Est-ce pourdes exercices militaires? Rien na t expliqu aux habitants des villa-ges concerns.

    Les fans-clubs gagnent le domainede la politique

    Le phnomne de fans-clubs, avec leurs pancartes vantant leurs lea-ders favoris, prend de lampleur dans la capitale. Ce ne sont plus lesdirigeants des clubs et, parfois, les stars du sport qui soutiennent cesfans clubs, mais le phnomne gagne, dsormais, la classe politique. Ilnest plus rare de voir, des pancartes ddies aux responsables despartis politiques ou des autorits politico-administratives, places au borddes routes. Ainsi peut-on voir sur lavenue de lO.u.a, Bacongo etMaklkl, les deuxime et premier arrondissements de Brazzaville,une multitude de pancartes vantant tel ou tel autre responsable politi-que. Mais, certains citoyens ne les apprcient pas.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 7

    NATIONALMinistre des petites,

    moyennes entreprises et de lartisanat

    Initier et renforcerles programmes visant

    lutter contre la pauvretDans le cadre du partenariat de son dpartement ministriel et laBanque mondiale, Mme Yvonne Adlade Mougany, ministre despetites, moyennes entreprises et de lartisanat, a tenu, mercredi22 janvier 2014, une sance de travail avec la dlgation de laBanque mondiale conduite par le directeur des oprations pourles deux Congo (Congo Brazzaville et R.D. Congo), EustacheOuayoro, quaccompagnait Mme Sylvie Dossou, reprsentante r-sidente au Congo.

    Pour ce dernier, ce partenariat, vise accompagner le Ministredes petites, moyennes entreprises et de lartisanat travers sixpoints savoir:1 - feedback sur le rapport de laudit organisationnel du C.f.e2 - appui la mise en place du guichet unique du C.f.e3 - tude faisabilit pour la mise en place dun incubateur de P.m.e4 - comptition de plan daffaires5 - fonds cots partags (les journes des P.m.e)6 - bourse de sous traitance.

    Yvonne Adlade Mouganya visit le village artisanal

    en construction Ntsilampo

    La ministre des petites, moyennes entreprises et de lartisanat,Yvonne Adlade Mougany, a visit, mercredi 22 janvier 2014, lechantier du village artisanal de Brazzaville, Ntsilampo, dans leseptime arrondissement, Mfilou-Ngamaba. Financ hauteur de1,6 milliards, de francs Cfa, par les fonds P.p.t.e (Pays pauvrestrs endetts), ce village artisanal, rparti en trois compartiments,est construit par trois entreprises, aprs les appels doffres lan-cs par le Ministre de lconomie, des finances, du budget, duportefeuille public et de lintgration, travers le Purac (Projetdurgence de relance et dappui aux communauts).Le premier compartiment est un btiment principal de quatre ni-veaux qui abritera, entre autres, une salle de confrences de prsde 250 places, un bloc administratif, une infirmerie, une salle in-formatique, des ateliers et un parc dexposition. Le deuxime com-partiment R+1 comportera une salle de confrences, deux blocs,un servant dadministration et lautre pour divers services. Enfin,le troisime compartiment servira lamnagement du site et desespaces.Satisfaite de lexcution des travaux, un an aprs la pose de lapremire pierre, Mme Yvonne Adlade Mougany a dclar quedans quelques mois, lartisanat brazzavillois sera dot dun es-pace et dun lieu dchange qui permettra chaque artisan, selonson domaine de comptence, de faire valoir ses capacits profes-sionnelles dans la peinture, la maroquinerie, la bijouterie, la van-nerie, la poterie, la sculpture en bois, le stylisme modlisme, ladcoration etc.Signalons quune fois oprationnel, le village artisanal va concer-ner quatre dpartements ministriels (Ministre du commerce;Ministre de lagriculture et de llevage; Ministre du tourisme etMinistre des petites, moyennes entreprises et de lartisanat).

    Pascal BIOZI KIMINOU

    La sance de travail en-tre la dlgation de laBanque mondiale et le di-rectoire de la S.n.e sest appe-santie, essentiellement, sur lesengagements pris par la Ban-que mondiale et le gouverne-ment congolais dans le cadredu P.e.e.d.u, pour dvelopper leniveau daccs de la population llectricit. Le P.e.e.d.u a b-nfici, rcemment, dun finan-cement additionnel de 75 mil-lions de dollars (environ 37,5milliards de francs Cfa), pour laralisation de sa deuxime pha-se. Pour le volet lectricit dece projet, il sagit de permettre la S.n.e damliorer ses pres-tations, de remplir sa missionde service public.Les deux dlgations ont, en-suite, effectu une visite de ter-rain. Elles ont, dabord, visitlagence commerciale situedans le mme btiment de ladirection gnrale. Il y a des tra-vaux en cours pour amliorerles conditions daccueil desclients. Elles se sont, ensuite,rendues lAgence commercia-le de Moungali et aux deux pos-tes transformateurs de Ouenz.Pendant cette visite, Louis Ka-noha Elenga a prsent la so-cit quil dirige ses illustresvisiteurs.Cre en 1967, la S.n.e a pourmission principale dassurer leservice public de llectricitsur toute letendue du territoi-re national. Actuellement, elle

    dispose de trois centrales hy-drolectriques (Djou, en plei-ne rhabilitation actuellement,pour une puissance de 15 m-gawatts; la centrale hydrolec-trique de Moukoukoulou, dansle dpartement de la Bouenza,avec une capacit de 74 Mkw,mise en service en 1978; la cen-trale hydrolectrique dImbou-lou, dans le dpartement duPool, la toute rcente, mise enservice en 2010, avec une ca-pacit de 120 Mkw. La quatri-me centrale hydrolectrique esten cours de construction, dansle dpartement de la Sangha,avec une capacit prvue de 20Mkw.La S.n.e compte, galement,des centrales thermiques et laplus grande est Brazzavilleavec une capacit installe de32 Mkw et elle sert de sourcedappoint. En outre, le pays dis-pose aussi dautres sources deproduction dnergie lectriquecomme les deux centrales gazde 300 Mkw, Pointe-Noire. Cesdeux centrales sont gres pardes socits partenaires, maislnergie produite est injectedans le rseau de la S.n.e, quiest denviron 1700 km de toutetension confondue de 125 et110 Kvolt.La S.n.e emploie, actuellement,2300 agents et compte 205.000abonns. Le ratio est daumoins 100 clients par agent.Pour Louis Kanoha Elenga,cela met en vidence les diffi-

    cults de la socit en termesdefficience. Nous souhaitonsquavec votre apport que la so-cit soit efficiente dans unproche avenir et les Congolaisqui vivent o le rseau est in-terconnect aient de llectrici-t de bonne qualit et auxmeilleurs prix 24h sur 24.Pour sa part, Eustache Ouayoroa rassur que lengagement dela Banque mondiale est pro-fond et il a t pris avec le chefde lEtat. Il ne concerne pas queles problmes techniques quipeuvent tre rsolus. Ce qui

    manque, cest la dterminationet la volont de changer leschoses. Le partenariat quenous allons dvelopper avec laS.n.e, cest le partenariat ga-gnant-gagnant pour le change-ment. Cest un engagementtout fait transparent. Ce quenous voulons, cest de rendrelentreprise beaucoup plus ef-ficace, donc avoir plus declients , a dit EustacheOuayoro.

    Philippe BANZ.

    P.e.e.d.u (Projet eau, lectricit et dveloppement urbain)Appuyer la Socit nationale dlectricit,

    pour amliorer ses prestationsDans le cadre de la ralisation du P.e.e.d.u (Projet eau, lectri-cit et dveloppement urbain), financ par la Banque mondialeet le gouvernement congolais, une dlgation de la Banque,conduite par Eustache Ouayoro, directeur des oprations dansles deux Congo et comprenant Mme Sylvie Dossou, reprsen-tante de la Banque mondiale au Congo, et Mahine Diop, chargdu P.e.e.d.u (Projet eau, lectricit et dveloppement urbain), aeu une sance de travail avec le directoire de la S.n.e (Socitnationale dlectricit), conduit par Louis Kanoha Elenga, direc-teur gnral et prsident du directoire de la S.n.e, mercredi 22janvier 2014, la direction gnrale de cette socit, Brazza-ville. Les deux dlgations ont, ensuite, procd une visitedes agences et des quipements de la S.n.e.

    Malgr une pluie bat-tante, les militants sesont mobiliss engrand nombre, pour assister la crmonie de vux leur secrtaire gnral. Dansson mot introductif, le secr-taire permanent charg deladministration, Victor On-gagna, a indiqu que 2013 adonn tous loccasiondapprcier la contributiondu P.c.t la consolidation dela dmocratie congolaise.Cest une anne qui a per-mis, galement, de raliserdes avances remarquables,dans le cadre de la recons-truction du parti.Dans son mot de remercie-ment, le secrtaire gnral

    Pierre Ngolo sest proccu-p des organisations affi-lies. Si 2013 a vu natre laF.m.c (Force montante con-golaise) et lO.f.c (Organisa-tion des femmes du Congo),2014 doit tre lanne de leurimplantation relle sur le ter-rain et du dmarrage effec-tif de leurs activits, a-t-ilrelev. Il a, en outre, rappelquil est du devoir des mili-tants et sympathisants duP.c.t dassurer un environne-ment propice lmergencede ces deux nouveau-ns.Au moment o nous com-menons 2014, nous nousproccupons de lorganisa-tion des assembles gn-rales, du bouclage de la res-

    tructuration dans la Likoua-la et Brazzaville. De mmeque nous avons le soucidinstaller une antenne denotre partie en Europe occi-dentale, en France, notam-ment, a-t-il relev. Le secr-taire gnral du P.c.t estimeque toutes ces rencontresqui sont prparer selon laligne et lesprit du 6me con-grs extraordinaire doiventtre des moments de mobi-lisation, dans lunit, la dis-cipline. Chacun tant appe-l donner la priorit au par-

    ti et lintrt gnral, a-t-il dclar. Ce nest quedans lunit, la discipline, ensachant faire la priorit lin-trt gnral, que nouspourrons envisager lesavances significatives etpoursuivre, avec assurance,notre combat. Nous som-mes tous ici prts ce com-bat, ce combat pour la vie,ce combat pour lmergen-ce du Congo, notre beaupays, a-t-il poursuivi.

    Pascal-Azad DOKO

    P.c.t (Parti congolais du travail)Crer les conditions dimplantation

    de la F.m.c et de lO.f.cComme laccoutume, le P.c.t (Parti congolais du travail) a or-ganis, jeudi 16 janvier 2014, une crmonie de prsentation devux de nouvel an son secrtaire gnral, Pierre Ngolo, ausige communal, Mpila (Brazzaville). Ctait en prsence desmembres du secrtariat permanent, du bureau politique, du co-mit central, du comit dhonneur, ainsi que ceux du bureau dela F.m.c (Force montante congolaise), le mouvement de jeunesseaffili ce parti. A cette occasion, le secrtaire gnral a de-mand aux militants et sympathisants de crer les conditionsdimplantation de la F.m.c et de lO.f.c (Organisation des fem-mes du Congo), les deux nouvelles organisations affilies quiont besoin de dmarrer, effectivement, leurs activits.

    Pendant la sance de travail.

    Pendant la visite des installations, Louis Kanoha Elenga, au mi-lieu entre, Mme Sylvie Dossou et Eustache Ouayoro.

    Yvonne Adlade Mougany pendant la visite du chantier.

    De g. dr: Sylvie Dossou, Eustache Ouayoro et Yvonne AdladeMougany.

    Pierre Ngolo recevant les voeux.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 8

    ANNONCES

    Titre du poste: Charg dAdministrationde CrditLieu daffectation: A dterminerNature du Contrat: Contrat de travail Dure IndtermineSuperviseur: Chef de Dpartement desRisquesObjet du poste: Sous la supervision duChef de Dpartement des Risques, le ti-tulaire de ce poste aura:

    * Pour missions principales:- de grer le Reporting auprs de laCOBAC et du Sige,- de sassurer de lobtention des appro-bations doctroi de crdits au niveau re-quis,- de mettre en place les autorisations surles facilits approuves et les garantiesreues,- de contrler les crdits et les formali-ts juridiques dadministration du cr-dit,- de valider les dpassements en comptecourant autoriss par le Comit de cr-dit,- de produire, revoir, publier et suivre lesdpassements temporaires (TOD) et im-pays de crdit,- de suivre les utilisations des lignes decrdit,- dElaborer et de suivre les diffrentschanciers,- de conserver et de suivre les garan-ties,- de veiller la revue priodique des ga-ranties conjointement avec le gestion-

    AVIS DE RECRUTEMENT

    naire de compte ou le service juridique,

    * Entre autres tches:- Elaborer et transmettre dans les dlais,les diffrents rapports au niveau interne,aux auditeurs externes et aux diversesadministrations,- Procder aux actions correctives desaudits,- Assurer toutes autres tches qui lui se-ront confies

    Profil du candidat:- Homme ou Femme, 30 ans au plus- Niveau dtude: Bac+3 ou 4 en Compta-bilit, Finance, Audit, Contrle de Ges-tion, Bac+4 en Droit des Affaires,- Exprience professionnelle dau moins2 ans dans les domaines du Crdit,Comptabilit, Finance,- Bonne connaissance de loutil informa-tique et du Pack Office,- Connaissance indispensable de lan-glais,- Capacit travailler sous pression etde faon autonome,- Sens pointu du dtail et de la prcision,esprit danalyse critique et de synthse,et dorganisation

    Date limite de transmission de candida-tures (CV et demande manuscrite): 24 jan-vier 2014.Adresses: ONEMO (Brazzaville et Pointe-Noire),Boites postales: 1219 (Pointe-noire) 2485 (Brazzaville)

    Une importante institution financire de la place recherche pour ses besoins,les candidats rpondant aux critres ci-dessous:

    Titre du poste: Assistant auContrle InterneLieu daffectation: A dtermi-nerNature du Contrat: Contrat detravail Dure IndtermineSuperviseur: Chef de Dparte-ment du Contrle InterneObjet du poste: Sous la super-vision du Chef de Dpartementdu Contrle Interne, le titulairede ce poste aura:

    - Pour mission principale das-surer la mise en uvre du pro-cessus du contrle interne, ausein de lInstitution, conform-ment aux politique, directive,stratgie et procdure qui ysont en vigueur.

    Profil du candidat:

    - Homme ou Femme, 30 ans auplus- Niveau dtude: Bac+3 ou 4en Comptabilit, Finance,Audit, Contrle de Gestion,

    AVIS DE RECRUTEMENTUne importante institution financire de la place recherche pour ses besoins,

    les candidats rpondant aux critres ci-dessous:- Exprience professionnelledau moins 2 ans dans une Ins-titution financire,- Matrise des techniquesdAudit, de la Comptabilit, desoprations de la trsorerie etautres oprations bancaires,- Bonne connaissance de len-vironnement bancaire et desrisques associs,- Bonne connaissance de loutilinformatique et du Pack Office,- Matrise de langlais,- Haut niveau de motivation,- Bonnes aptitudes relationnel-les et bon communicateur,- Capacit travailler souspression et de faon autonome,- Attentif aux dtails

    Date limite de transmission decandidatures (CV et demandemanuscrite): 07 fvrier 2014.

    Adresses: ONEMO (Brazzavilleet Pointe-Noire),

    Boite postale: 1219

    1. Le Gouvernement de la Rpublique du Congo a ob-tenu auprs de lAssociation Internationale de Dvelop-pement (IDA) un crdit n 5063-CG, pour le financementdes activits du Projet de Renforcement des capacitsde Transparence et de Gouvernance (RRCTG), et a lin-tention dutiliser une partie du montant dudit Don pourfinancer les services de consultants ci-aprs: Recrute-ment dun Expert local pour cration, la mise en uvre etlanimation des sites web de la CNLCCF et de lOAC.2. Lobjectif de la mission de lExpert local est de conce-voir les sites web au profit de la CNLCCF et de lOAC. Acet effet, le lExpert local devra crer les conditions et lessupports ncessaires de mise en uvre desdits sites ainsique leurs animation dans le temps afin de disposer r-gulirement des informations dans le domaine de la luttecontre la corruption la concussion et la fraude.La dure de la mission est de douze (12) mois compor-tant quatre (4) missions rparties ainsi quil suit:- Premire mission de conception et de mise en uvredes 02 sites: deux (2) mois dont un (1) mois par Institu-tion.- Deuxime mission de mise jour des 02 sites et de for-mation des utilisateurs: 01 mois par Institution;- Troisime mission de mise jour des 02 sites et de for-mation des utilisateurs: 01 mois par Institution;- Quatrime mission de mise jour des 02 sites et de for-mation des utilisateurs: 01 mois par Institution.3. LUnit dExcution du PRCTG invite les candidats in-tresss manifester leur intrt fournir les servicesdcrits ci-dessus. Les Consultants intresss doiventfournir des informations pertinentes indiquant leurs ca-pacits techniques excuter lesdits services.Le dossier de candidature devra comporter les rensei-gnements suivants:- les copies des diplmes;- les comptences du candidat pour la mission, notam-ment lindication de rfrences techniques vrifiables enmatire de missions similaires (liste des prcdentsclients pour ce type de mission: anne, cot de la mis-sion, nom et adresse complte du reprsentant du client);- ladresse complte du consultant (localisation, personne contacter, BP, Tlphone, Fax, Courriel).Profil du Consultant:LExpert Local devra tre titulaire dun BTS (minimum)dans le domaine des Technologies de lInformation et dela Communication, de linformatique applique la ges-tion, dans la conception des bases des donnes. Il devradisposer dune exprience dau moins cinq (5) ans.

    MINISTERE DE LECONOMIE, DES FINANCES, DU PLAN, DU PORTEFEUILLE PUBLICET DE LINTEGRATION/PROJET DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DE TRANSPARENCE

    ET DE GOUVERNANCE Crdit n 5063 -CG/Unit dExcution du Projet

    B.P 2116 Brazzaville, Rpublique du Congo, Tel: 05551 96 11, Courriel: [email protected] DE SOLLICITATION A MANIFESTATION DINTERET

    N 07C/MEFPPPI-CAB/PRCTG/14Recrutement dun Expert local pour la cration, la mise en uvre et lanimation dessites web dynamiques de la Commission Nationale de lutte contre la Corruption, la

    Concussion et la Fraude (CNLCCF) et de lObservatoire Anti-Corruption (OAC)Par ailleurs, lExpert devra:i) avoir une exprience en cration de sites Web:FRONTPAGE, DREAM WEAVER ou quivalent;ii) avoir des connaissances en administration de Base dedonnes SQL et MYSQL;iii) avoir une exprience en multimdia, traitement dima-ges et de vidos (Photo Shop, Adobe premire ou quiva-lent);iv) avoir une matrise dans la conception des architecturesRseaux Internet et Intranet;v) avoir une exprience dans la gestion et la maintenancedu parc ordinateurs;vi) avoir une exprience en administration systme(Windows Serveur ou quivalentet en rseau (configura-tion des routeurs ou quivalent).vii) Ne pas tre fonctionnaire de lEtat Congolais au mo-ment de la prise de fonction et tre capable de travailler enquipe multidisciplinaire et multisectoriel;viii) Avoir ralis au moins cinq (5) missions soit dans ledomaine de la conception et linstallation des rseauxIntranet et intranet, des bases des donnes dans les admi-nistrations publiques, prives; dans les projets et les pro-grammes financs par les bailleurs de fonds serait un atout;ix) Avoir de bonnes connaissances dutilisation de linfor-matique, notamment Word, Excel, Access et PowerPoint ettre capable de travailler sous pression.x) Sur cette base, un Consultant individuel sera slectionnconformment aux Directives de la Banque Slection etEmploi des Consultants par les Emprunteurs de la BanqueMondiale de janvier 2011. Le Consultant sera slectionnsur la base de la comparaison des CV.4. Les intresss doivent sadresser lUnit dExcutiondu PRCTG pour obtenir des informations supplmentaires, ladresse ci-dessous, les jours ouvrables, de 8 h 00 16 h00.5. Les manifestations dintrt doivent tre dposes souspli ferm ou en version lectronique ladresse ci-dessous,au plus tard, mardi 18 Fvrier 2014:

    PROJET DE RENFORCEMENT DES CAPACITESDE TRANSPARENCE ET DE GOUVERNANCE

    UNITE DEXECUTION DU PROJETSECTION PASSATION DES MARCHES

    B.P 2116 Brazzaville, Rpublique du CongoDerrire le Commissariat Central

    Courriel: [email protected]/Brazzaville, le 23 Janvier 2014

    Le CoordonnateurMarie Alphonse ITOUA

    1. Le Gouvernement de la Rpublique du Congo aobtenu auprs de lAssociation Internationale de D-veloppement (IDA) un crdit n 5063-CG, pour le fi-nancement des activits du Projet de Renforcementdes capacits de Transparence et de Gouvernance(RRCTG), et a lintention dutiliser une partie dumontant dudit Don pour financer les services deconsultants ci-aprs: Recrutement dun Consultantindividuel international pour lidentification des be-soins et llaboration dun programme de formationde cinq (5) organisation de la socit civile en R-publique du Congo.2. Cette mission vise laborer un programme deformation de cinq (5) organisations de la socitcivile en Rpublique du Congo en matire de suivi -valuation de la mise en uvre des principales r-formes publiquesIl sagira (i) dtablir un tat des lieux des comp-tences actuellesdes membres des OSC slection-nes; (ii) de dfinir, au regard du primtre dinter-vention de ces OSC sus mentionnes, les quantitset les qualifications requises pour la conduite effi-ciente des missions suivi - valuation de la mise enuvre des principales rformes publiques; (iii) dedterminer les carts entre les comptences actuel-les et celles requises; (iv) de proposer des modulesspcifiques de formations destins accroitre pro-gressivement, les capacits professionnelles desmembres des OSC slectionnes; (v) de dterminerles cots estimatifs des modules spcifiques dechaque formation.La dure de la mission est de soixante (60) jours ycompris la soumission du rapport final.3. LUnit dExcution du PRCTG invite les candi-dats intresss manifester leur intrt fournirles services dcrits ci-dessus. Les Consultants in-tresss doivent fournir des informations pertinen-tes indiquant leurs capacits techniques excu-ter lesdits services.Le dossier de candidature devra comporter les ren-seignements suivants:- les copies des diplmes;- les comptences du candidat pour la mission, no-

    MINISTERE DE LECONOMIE, DES FINANCES, DU PLAN, DU PORTEFEUILLE PUBLICET DE LINTEGRATION/PROJET DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DE TRANSPARENCE

    ET DE GOUVERNANCE Crdit n 5063 -CG/Unit dExcution du Projet

    B.P 2116 Brazzaville, Rpublique du Congo, Tel: 05551 96 11, Courriel: [email protected] DE SOLLICITATION A MANIFESTATION DINTERET

    N 06C/MEFPPPI-CAB/PRCTG/14Recrutement dun Consultant individuel international pour lidentification des

    besoins et llaboration dun programme de formation des cinq (5) organisations dela socit civile en Rpublique du Congo)

    tamment lindication de rfrences techniques v-rifiables en matire de missions similaires (liste desprcdents clients pour ce type de mission: anne,cot de la mission, nom et adresse complte du re-prsentant du client);- ladresse complte du consultant (localisation, per-sonne contacter, BP, Tlphone, Fax, Courriel).Profil du Consultant:Le consultant individuel international devra tre:i) Etre titulaire dun diplme BAC +5 en ressourceshumaines, ayant une exprience dau moins dix (10)ans dans le domaine de la planification des besoinsen ressources humaines, en dveloppement descapacits techniques et professionnelles et de ges-tion des programmes et des plans de formation;ii) Avoir lexprience en matire des missions desuivi - valuation des rformes publiques serait unatout.4. Sur cette base, un Consultant individuel sera s-lectionn conformment aux Directives de la Ban-que Slection et Emploi des Consultants par lesEmprunteurs de la Banque Mondiale de janvier2011. Le Consultant sera slectionn sur la basede la comparaison des CV.5. Les intresss doivent sadresser lUnit dEx-cution du PRCTG pour obtenir des informations sup-plmentaires, ladresse ci-dessous, les joursouvrables, de 8 h 00 16 h 00.6. Les manifestations dintrt doivent tre dpo-ses sous pli ferm ou en version lectronique ladresse ci-dessous, au plus tard, le mardi 18 f-vrier 2014:

    PROJET DE RENFORCEMENT DES CAPACITESDE TRANSPARENCE ET DE GOUVERNANCE

    UNITE DEXECUTION DU PROJETSECTION PASSATION DES MARCHES

    B.P 2116 Brazzaville, Rpublique du CongoDerrire le Commissariat Central

    Courriel: [email protected], le 23. Janvier 2014

    Le CoordonnateurMarie Alphonse ITOUA

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 9

    PUBLI-INFO

    Les employs Airtel rendent visiteaux orphelins

    Dans le cadre des festivitsde fin danne 2013, les em-ploys dAirtel Congo ontrendu visite deux(2) orphe-linats de Brazzaville, en y ap-portant leur assistance pourpermettre aux orphelinsdesdits centres de bien pas-ser les ftes de nouvel an.

    A propos de Bharti AirtelBharti Airtel Limited est lune des plus gran-

    Remise du chque la Responsable administrative de lorphelinat.

    Tmoignage de la responsable de lorphelinat aprs la remise du chque.

    Les enfants en liesse ftant la bonne anne avec Airtel.

    A cet effet, les employsdAirtel ont organis unequte qui a permis de re-cueillir des fonds pour venir en aideaux orphelinats. Une dlgation desemploys dAirtel sest rendue dansles deux (02) orphelinats, afin de

    procder la remise des fonds, savoir:

    1- La Fondation Duhamel et Simonede Nkombo

    2- La Maison Salem de Makelekele.

    Les orphelins ainsi que les respon-sables administratifs des deux ta-blissements ont manifest leurmotion et ont souhait Airtel etsa dlgation un franc succs pourlanne 2014.

    des socits de tlcommunications dansle monde avec des oprations dans 20 paysen Afrique et en Asie. Base New Delhi,en Inde, la socit fait partie des quatre plusgrands oprateurs de tlphonie mobile aumonde en termes du nombre dabonns. EnInde, elle offre des services varis, notam-ment des services mobiles 2G et 3G, desoffres lignes fixes et du haut dbit ADSL,lIPTV et le DTH, des solutions pour entre-prises et services nationaux et internatio-naux de longue distance aux oprateurs detlphonie. Sur les autres marchs, elle four-nit des services mobiles 2G et 3G. BhartiAirtel comptait plus de 283 millions dabon-ns sur lensemble de ses marchs, la findu mois de Novembre 2013. Pour en savoirplus, consultez le site: www.airtel.com.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 10

    VIE DE LEGLISE

    Par acte notari du 16 janvier 2014 reu enltude de Matre Zahour MBEMBA-ELHIOULI, Notaire Brazzaville, dment en-registr Poto-Poto, Brazzaville, le 20 jan-vier 2014, sous F13/6 n0168, il a t cons-titu une socit ayant les caractristiquessuivantes:- Forme: Socit Responsabilit Limi-te.- Objet: Le montage, la vente, la fabrica-tion, limportation de btiments tous ma-triaux, de types PRFABRIQUS. Laconstruction des fondations et platesforme pouvant recevoir ces ouvrages eten gnral la construction en gros uvreset en tout corps dtat de btiments toususages. La ralisation de tous travaux devoirie, lentretien et la cration de routeset pistes. La ralisation de tous travaux deretenue deau, de barrage et de dragage.Limportation, la fabrication, la vente de te-nues et accessoires de scurit, de travailou de reprsentations. En gnral, limpor-tation de tout produit, quipements et ma-chines destines raliser ces travaux.Bureau dtudes.Et gnralement, toutes oprations finan-cires, commerciales, industrielles, mobi-lires ou immobilires, pouvant se ratta-cher directement ou indirectement lob-jet social ci-dessus ou tous objets simi-laires ou connexes.- Dnomination sociale: NORDIC MANDA-

    tude de Matre Zahour MBEMBANotaire titulaire doffice au 965 rue Sounda, Plateau de 15 ans

    Bote Postale 433, Brazzaville, Rpublique du CongoTlphone: (+242) 06990 26 90

    E-mail: [email protected]

    ANNONCE LEGALENORDIC MANDARIN

    NORMASOCIETE A RESPONSABILITE LIMITEE

    AU CAPITAL DE 1.000.000 DE FRANCS CFASIEGE SOCIAL: 965 RUE SOUNDA, PLATEAU DES 15 ANS

    REPUBLIQUE DU CONGO RCCM BRAZZAVILLE N CG/BZV/14 B 4838

    CONSTITUTIONRIN.- Sige social: Le sige social est provi-soirement fix au 965 rue Sounda Plateaudes 15 ans, Brazzaville, Rpublique duCongo.- Dure: la dure de la socit est fixe 99 annes.- Capital: le capital social est fix 1.000.000 FCFA.-Dclaration notarie de souscription etde versement: aux termes dune dclara-tion notarie de souscription et de verse-ment reue par Matre Zahour MBEMBA,le 16 janvier 2014, et enregistre Braz-zaville, Poto-Poto, le 20 janvier 2014, sousF 13/7 n0169, il a t constat que tou-tes les parts souscrites ont t intgrale-ment libres.- Direction de la socit: Est nomm pourune dure de quatre ans en qualit de g-rant Monsieur Andr ESSAYAN. - Dpt lgal: a t entrepris le 22 janvier2014 au Greffe du Tribunal de Commercede Brazzaville.- Immatriculation: la socit NORDICMANDARIN est immatricule au Regis-tre du Commerce et du Crdit Mobiliersous le numro RCCM N CG/BZV/14 B4838.

    Pour insertion. Brazzaville, le 26 janvier 2014

    Matre Zahour MBEMBA

    Aux termes du Procs-verbaldes dcisions de lActionnaireUnique et Administrateur Gn-ral de la socit CAPITALSOURCING & NEWINVESTMENTS, en sigleCSNI, Socit AnonymeUnipersonnelle au capital de 10000 000 de Francs CFA, imma-tricule au Registre du com-merce et du crdit mobilier deBrazzaville, sous le numro CG/BZV/10-B-2289, sign en date Brazzaville du 06 janvier 2014,dpos au rang des minutes deMatre Chimne Prisca NinaPONGUI, Notaire de rsidence Brazzaville (Congo), et enregis-tr Brazzaville, la recette desImpts de Ouenz, le 17 janvier2014, sous le Folio 013/11 nu-mro 140; lActionnaire Uniquea dcid de:

    OFFFICE NOTARIAL de Me Chimne Prisca Nina PONGUINOTAIRE

    Sis-rez-de-chausse Immeuble Patte dOie (SOPROGI)Case J-490/M (en face de lE.N.A.M)

    B.P: 14745, B/ville - Tl: (242) 06 662 43 35//05 516 70 79E-mail: [email protected]

    CAPITAL SOURCING & NEW INVESTMENTSSocit Anonyme Unipersonnelle

    Au capital de 10 000 000 de Francs CFABrazzaville (Rpublique du Congo)

    RCCM CG/BZV//10-B-2289

    - la libration du surplus ducapital social;En consquence, les articles6 & 7 des statuts ont t mo-difis.- la modification de lobjet so-cial;- modifier en consquencelarticle 2 des statuts.

    Le dpt au greffe dudit Pro-cs-verbal au Tribunal decommerce et du Crdit mobi-lier de Brazzaville a t effec-tu, le 22 Janvier 2014, sousle numro 14 DA 60.

    Pour avis et mention,

    Matre Chimne PriscaNina PONGUI,

    Notaire

    Au dbut du culte, MgrAnatole Milandou, arche-vque mtropolitain deBrazzaville, lun des doyens duconseil a prsent lassistan-ce le nouveau prsident duconseil cumnique des Egli-ses chrtiennes du Congo, lecolonel Joseph Lukau, chef deterritoire de lArme du salut auCongo. Aussitt prsent, leprsident en exercice du con-seil a livr son premier messa-ge dans lequel, il a invit le peu-ple de Dieu vivre dans luni-t, afin de briser les barriresde la haine et de la division quinous spare les uns des autres.Dans son exhortation et en rap-port avec le thme de cette se-

    Clture de la semaine de prire universelle au CongoLes chrtiens appels revisiterles couloirs de lamour vritable

    Le Christ est-il divis? (1 Co 1,1-17). Cest sur cethme choisi par le conseil cumnique mondial enrelation avec les reprsentants des organisationscumniques de diverses rgions du Canada, quesest tenue du 16 au 24 janvier 2014, la semaine deprire universelle pour lunit des chrtiens. Elle a d-but lundi 20 janvier, dans divers secteurs de la villede Brazzaville et des zones priphriques, regroupantles fidles de tout bord des Eglises membres du con-seil cumnique, avant de sachever samedi 25 jan-vier, lesplanade du palais des congrs. Au cours duculte de clture auquel avaient particip tous les res-ponsables du conseil, entre autres NN.SS AnatoleMilandou et Yves Marie Monot (Eglise catholique), lepre Bernard Diafouka (Eglise orthodoxe), les pasteursJoseph Tchibinda Mavoungou et Massamba (Eglisevanglique luthrienne), le colonel Joseph Lukau (Ar-me du salut), on notait la prsence trs remarque dela dlgation du Cocerco (une organisation des assem-bles de Dieu ou glises de rveil) conduite par le pas-teur Germain Loubota. Il y avait galement des parle-mentaires comme Joseph Kignoumbi-Kia-Mboungou,Benjamin Bounkoulou et Nicphore Filla Saint Eudes.

    maine de prire, le prdicateur,un pasteur de lEglise vang-lique du Congo, sest pos laquestion de savoir si et seule-ment si les chrtiens sont-ilsdiviss. Non, a-t-il fait savoir,les chrtiens ne sont pas divi-ss puisque Jsus lui-mmenous enseigne quil fautsaimer les uns les autres. Maispour lutter contre toute formede division, les chrtiens doi-vent agir selon la parole deDieu, car la division est uneanomalie qui menace dange-reusement les communautschrtiennes, plus mme que lapandmie du V.i.h-sida. A tra-vers ce thme, nous clbronsaujourdhui lanniversaire de

    le peuple de Dieu, chacun ence qui le concerne de revisiterles couloirs de lamour vrita-ble et davoir des cartes diden-tit de notre foi.Comme le veut la tradition, cha-que anne le conseil cum-nique des Eglises chrtiennesdu Congo livre un message aupeuple de Dieu et aux hommesde bonne volont. Pour ce 44meanniversaire, le conseil a rap-pel que ce qui nous unit estplus fort que ce qui nous divi-se. En effet, lhistoire nous rap-pelle que lunit des chrtiensdes Eglises a connu des prio-des de tension, de rivalit, devie mene dans lignorance etlindiffrence les uns desautres avant lanne 1970. Maisdepuis 44 ans, les chrtiens ontappris souvrir aux valeursdautrui pour vivre en paix lesuns avec les autres. Cest danscet tat de division que lap-tre Paul appelle les Corinthiens se rassembler et tre bienunis dans un mme esprit etdans une mme pense.Au plan international, le conseila compati la douleur des po-pulations de la RpubliqueCentrafrique quil invite au dia-logue, la rconciliation, en semettant lesprit que cest dansles curs que la vritable paixtrouve sa source et non pasdans la victoire des armes, nidans loppression politique. Lebienheureux Pape Jean-Paul II,dheureuse mmoire, disait quela violence ne fait que retarderle jour de la justice.Les rideaux sur les 44me anni-versaire tant tombs, les re-gards sont dsormais fixs surla clbration du 45me anniver-saire du mouvement cumni-que au Congo, en 2015.

    Pascal BIOZI KIMINOU

    notre mariage commun, de no-tre alliance avec Dieu et leshommes, a soulign le pasteurprdicateur. Invitant par ailleurs

    Pour de bonnesanalyses, jaime

    lireLa SemaineAfricaine.

    Le Pape Franois a reu vendredi 24 janvier M. Franois Hollande,prsident de la Rpublique franaise, qui sest ensuite entretenuavec Mgr. Pietro Parolin, secrtaire dEtat, et Mgr. DominiqueMamberti, secrtaire pour les relations avec les Etats.

    France/Saint-Sige

    Franois Hollande reupar le Pape Franois

    Au cours des entretiens cordiaux, la contribution de la religionau bien commun a t voque. Rappelant les bonnes relationsqui existent entre la France et le Saint-Sige, a t raffirm len-gagement mutuel maintenir un dialogue rgulier entre lEtat etlEglise catholique et cooprer de manire constructive dansles questions dintrt commun.Dans le contexte de la dfense et de la promotion de la dignit dela personne humaine, quelques arguments dactualit ont t exa-mins, comme la famille, la biothique, le respect des commu-nauts religieuses et la protection des lieux de culte.La conversation sest poursuivie sur des thmes caractre in-ternational, comme la pauvret et le dveloppement, les migra-tions et lenvironnement. Elle sest tendue, en particulier, sur lesconflits au Moyen Orient et dans quelques rgions de lAfrique,en souhaitant que dans les diffrents pays concerns la coexis-tence sociale pacifique puisse tre rtablie travers le dialogueet la participation de toutes les composantes de la socit, dansle respect des droits de tous, spcialement des minorits ethni-ques et religieuses.

    Source: Vis du 24 janvier 2014

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    Le Saint Pre lors de laudience quil a accorde au prsident franais.Les responsables du conseil cumnique.

    Les tambourinaires salutistes taient prsent ce culte.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3362 du mardi 28 janvier 2014 - PAGE 11

    VIE DE LEGLISE

    Ouverte le 26 janvier 2014,lanne jubilaire de laparoisse Saint Paul deMadibou sera clture le 31dcembre 2015, probablementavec forte intensit. Ds lors,plusieurs activits sont pro-grammes, en vue de mieuxprparer lvnement. A limm-diat, il sagira dun Nsinsani(qute spciale) prvu pour ledimanche 9 fvrier prochain, aucours dune messe unique, 7h. Lobjectif de ce Nsinsanitant de rassembler un montantde 2.500.000 FCfa, devant faci-liter la rhabilitation de lcolede la paroisse. Car, le prcdentNsinsani navait rapport que600.000 FCfa.Ct activits relatives la c-lbration dudit jubil, les chr-tiens de Madibou ont retenu surle plan spirituel: la formationdes responsables des deuxconseils paroissiaux et desgroupes, la formation de tout lepeuple de Dieu, lorganisationdes sances de prire pour lesresponsables des deux con-seils et des groupes, lorgani-sation des week-ends des cou-ples, la projection des filmspour la jeunesse.Sur le plan matriel, sont pr-

    Archidiocse de BrazzavilleLa paroisse de Madibou a lanc

    lanne de son jubil dorDimanche 26 janvier 2014, 3me dimanche du temps ordinaire delanne A, a t un jour solennel pour les chrtiens de Madibou.Le jour a concid avec la messe du lancement de lanne jubi-laire paroissial, qui stendra jusqu dcembre 2015, date la-quelle seront fts les 50 ans de la paroisse, le jubil dor. Cestle moins quon puisse dire de la messe prside par labb AdrienBatantou, cur de la paroisse Saint Paul de Madibou, la grotteNotre-Dame de la Confession, servant provisoirement de cha-pelle. Autour de lui, se trouvaient les abbs Donald WafaBantsimba et Sam Akomo Tchoua, vicaires ainsi que labb Ur-gel Eric Babika, diacre. Pour russir