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LA SEMAINE AFRICAINE N°3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 1 BI-HEBDOMADAIRE D'INFORMATION ET D'ACTION SOCIALE PARAISS ANT AU CONGO-BRAZZAVILLE N° 3376 du Mardi 18 Mars 2014 - 61 ème  Année - Siège Social: Bd L yautey - Brazzaville - B.P.: 2080 -  CONGO: 400 F . CFA - FRANCE: 1,75 Euro -Tél.: (242) 06.678.76.94 / 05.528.03.94 / 06.889.98.99 - E-mail: lasemaineafric aine@yahoo. fr 61 ème année www.JobCongoBrazza.com Publiez gratuitement vos offres d’emploi Ministère de l’économie, des finances, du plan, du portefeuille public et de l’intégratio n Pour une meilleure efficacité des opérations budgétaires de recouvrement, de trésorerie et de dépense (P. 23) 5 ème  anniversaire du décès d’Edith Lucie Bongo Ondimba Fosocel (Forum de la société ci vile pour les électi ons libres et transparentes) «En démocratie, le pouvoir n’est plus au bout du fusil, mais au fond des urnes» (P.3)  Sept présumés voleurs armés, auteurs d’un meurtre, interpellés par la police (P.5)  Sécurité publique à Brazzaville Rallye automobile Aïcha des gazelles au Maroc Princilia Pangou-Mabiala et Maureen Tchissambo Dola forment l’équipage de Total E&P Congo (P.9) Cabinet PricewaterhouseCoopers Les entreprises de Pointe-No ire édifiées sur les nouvelles dispositions de la loi de finances 2014 De g.à dr: Moïse Kokolo, Prosper Bizitou et Mlle Zita Mbwana-Makumbu. (P .9) Commune de Pointe-Noire Les femmes de Chevron Congo au chevet des enfants en rupture (P.19) Volonté et responsabilité pour avancer dans le bon sens (P.3)  Editorial  La commémoration s’est faite à Edou, en présence de quatre chefs d’Etat (P.3)  

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    BI-HEBDOMADAIRE D'INFORMATION ET D'ACTION SOCIALE PARAISSANT AU CONGO-BRAZZAVILLE

    N 3376 du Mardi 18 Mars 2014 - 61me Anne - Sige Social: Bd Lyautey - Brazzaville - B.P.: 2080 - CONGO: 400 F. CFA - FRANCE: 1,75 Euro -Tl.: (242) 06.678.76.94 / 05.528.03.94 / 06.889.98.99 - E-mail: [email protected]

    61meanne

    www.JobCongoBrazza.comPubliez gratuitementvos offres demploi

    Ministre de lconomie, des finances, du plan,du portefeuille public et de lintgration

    Pour une meilleure efficacit desoprations budgtaires de recouvrement,

    de trsorerie et de dpense(P. 23)

    5me anniversaire du dcs dEdith Lucie Bongo Ondimba

    Fosocel (Forum de la socit civile pour les lections libres et transparentes)

    En dmocratie, le pouvoir nest plusau bout du fusil, mais au fond des urnes

    (P.3)

    Sept prsums voleurs arms, auteursdun meurtre, interpells par la police

    (P.5)

    Scurit publique Brazzaville

    Rallye automobile Acha des gazelles au MarocPrincilia Pangou-Mabiala et Maureen Tchissambo

    Dola forment lquipage de Total E&P Congo(P.9)

    Cabinet PricewaterhouseCoopersLes entreprises de

    Pointe-Noire difiessur les nouvelles

    dispositions de la loide finances 2014

    De g. dr: Mose Kokolo, Prosper Bizitou et Mlle ZitaMbwana-Makumbu. (P.9)

    Commune de Pointe-NoireLes femmes de

    Chevron Congo auchevet des enfants

    en rupture

    (P.19)

    Volont etresponsabilit

    pour avancer dansle bon sens

    (P.3)

    Editorial

    La commmorationsest faite Edou,

    en prsence dequatre chefs

    dEtat(P.3)

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    ANNONCES

    Les candidatures (lettre de motivation non manuscrite, CV, P11, copies des diplmes, cer-tificats de travail, noms, adresses et tlphone de 3 personnes rfrences professionnel-les doivent tre adresses, sous pli ferm, avec la mention Avis de vacance de poste de(Prciser le poste)sur lenveloppe, :Monsieur le Reprsentant Rsident du PNUDAngle Avenue Foch/Rue BehagleBrazzaville, Rpublique du Congo

    Les personnes intresses sont pries de se rapprocher du PNUD (Gurite entre), ou dese connecter au site du PNUD Congo, Brazzaville (http://www.cg.undp.undp.org), pourobtenir les renseignements complmentaires sur les termes de rfrence du poste.

    LES CANDIDATURES FEMININES SONT VIVEMENT ENCOURAGEES.N.B. Seuls les candidats rpondant au profil du poste et ayant joint le formulaire P11 d-ment complt seront contacts.

    Dale limite de dpt des candidatures: 28 mars 2014.

    Brazzaville, le 13 mars 2014.

    Elhadj Oumar DIALLO,Charg de Bureau

    Programme des Nations Unies pour le Dveloppement

    Au ServiceDes Peuples

    Et des NAtions

    AVIS DE VACANCE DE POSTE(Interne et Externe)

    Les valeurs fondamentales des Nations Unies:Intgrit. Professionnalisme. Respect de la diversit

    Le Bureau de la Reprsentation du Programme des Nations Unies pour le Dveloppement(PNUD) en Rpublique du Congo, Brazzaville, recherche, pour son Projet Environnementet Energie.

    Titres des postes

    Trois (3) Chefs de celluleDpartementale REDD+

    Dure et type du contrat

    Contrat de Service (SC)- 1an, avec possibilit de

    renouvellement

    Lieu daffectation

    Ouesso,Impfondo, Dolisie

    Date prise defonction

    Ds quePossible

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 3

    EVENEMENT

    1- En optant pour la dmocra-tie pluraliste, la Rpublique duCongo a fait preuve dune rel-le maturit politique, car seulela dmocratie permet de crerles conditions optimales per-mettant lensemble de la po-pulation daccder la jouis-sance pleine et entire desdroits civils et politiques, desdroits conomiques, sociaux etculturels. Si le pays connat desdifficults de plusieurs ordres,ce nest pas cause du syst-me dmocratique, mais de lamauvaise pratique des acteurspolitiques.2- La dmocratie est un con-cept universel qui est devenu,par la force des choses, un pa-trimoine commun lhumanitdont aucun peuple nacceptede se dpartir. La dmocratievise, essentiellement, librerltre humain, laider spa-nouir par la mise en place desstructures, des lois et rgle-ments susceptibles de satisfai-re ses aspirations ainsi que lesvaleurs et principes auxquels lepeuple exprime son attache-ment.3- Le dveloppement harmo-nieux du pays ou de tout paysest impossible en labsence de

    la dmocratie qui a, naturelle-ment, pour corollaire, la gestionsaine et rigoureuse, la rparti-tion quitable du revenu natio-nal, la garantie des liberts, unejustice indpendante et perfor-mante.4- En dmocratie, le pouvoirnest plus au bout du fusil, maisau fond des urnes. Ce qui im-plique lorganisation priodi-que dlections censes tre li-bres, transparentes et quita-bles. Lorsque les lections ru-nissent les conditions susci-tes, elles deviennent un desindicateurs importants, pourmesurer le degr dengage-ment du pays aux principesdmocratiques, car les lec-tions sont une composante vi-tale de tout processus dmo-cratique.5- Le dveloppement de la d-mocratie est, entre autres, in-compatible avec la marginalisa-tion de la femme. Cette margi-nalisation viole les principesdgalit des droits et du res-pect de la dignit humaine. Cet-te pratique, courante au Con-go, entrave la participation desfemmes, dans les mmes con-ditions que les hommes, la viepolitique, sociale, conomique

    et culturelle dans notre pays.6- La dmocratie sapprcie parla qualit et non la quantit despartis politiques en prsence.Les partis politiques sont lesmoteurs qui engendrent de lavitalit la dmocratie.Le Congo, qui a moins de 5millions dhabitants, compteplus dune centaine de partispolitiques; ce qui participe laperversion de la dmocratie. Envue daider la dmocratie con-golaise aller de lavant, uneloi spcifique a t rgulire-ment adopte par les deuxchambres du parlement et fortcurieusement, elle na jamaist applique. La concertationpolitique de Dolisie, soucieusede clarifier cette situation, aadopt, entre autres, recom-mandations: lapplication de laloi sur les partis politiques, loin21-2006 du 21 aot 2006.7- La libert dexpression est lapierre angulaire de toute soci-

    t qui se veut dmocratique.Lorgane constitutionnel de r-gulation des mdias sembleplus attach sanctionner s-vrement les organes de pres-se prive pour une ventuelleviolation des rgles dontolo-giques, sans jamais se proc-cuper, dabord, et avant tout les dfendre. Toute menace ouatteinte la libert de la pres-se, sous quelque prtexte quece soit, est une atteinte ladmocratie.8- Le droulement des campa-gnes lectorales, au lieu dtrele moment propice daffronte-ment des ides et des projetsde socit, devient une occa-sion dexhibition des ressour-ces financires gnralementmal acquises, de corruption etdachat de conscience, de lamanire la plus dconcertante.

    Fosocel (Forum de la socit civile pour les lections libres et transparentes)En dmocratie, le pouvoir nest plus

    au bout du fusil, mais au fond des urnesPlateforme des organisations de la socit civile dirige parCphas Germain Ewangui, le Fosocel (Forum de la socit civilepour les lections libres et transparentes) a tenu ses assises,du 10 au 12 mars 2014, Brazzaville, sur le thme: Les proces-sus lectoraux en Rpublique du Congo: analyse-critiques.Plusieurs communications suivies de dbats ont t faites lorsde ces assises (Voir page 6). De tout cela, le Fosocel a dgagses observations sur la dmocratie congolaise, en rappelant lesprincipes fondamentaux de la dmocratie, systme politiquedans lequel le pouvoir dEtat ne sobtient plus par les armes oupar la force, mais du fond des urnes, travers des lectionsrgulires, libres, quitables et transparentes. Voici les obser-vations du Fosocel.

    Emotion, tristesse et dou-leur. Tels sont les senti-ments qui ont domindurant la commmoration ducinquime anniversaire de ladisparition de lancienne pre-mire dame du Gabon, filleane du prsident Sassou-Nguesso et promotrice desuvres caritatives en faveurdes enfants et des malades dusida.Place sous le signe du re-cueillement, en mmoire decelle qui ne cessait de rpter:Personne na le droit dtreheureux tout seul, la comm-moration de la mort dEdithLucie Bongo Ondimba sest fai-te travers plusieurs activits,sportives, culturelles et reli-gieuses.Les localits dOyo et dEdou,hte de la crmonie, taient eneffervescence. Des banderoleset des portraits gants la m-moire dEdith, qui aurait totali-s 50 ans dge, le 10 mars der-nier, ornaient les grandes pla-ces et les rues des deux locali-ts. Ils taient tous l: parents,amis et connaissances, runis

    au recueillement.Tout a commenc par une mes-se daction de grces en m-moire dEdith, dite sur lespla-nade de la rsidence prsiden-tielle, Edou, prie dassaut parles fidles, les chrtiens etchrtiennes, les membres dugouvernement, les corps cons-titus nationaux et internatio-naux, les autorits politico-ad-ministratives, les parents, amiset connaissances, etc. La mes-se tait clbre par Mgr Victor

    Abagna-Mossa, vque dOwa-ndo, et conclbre par le car-dinal Laurent Monsengwo Pa-sinya, archevque de Kinsha-sa, et de nombreux prtres.Aprs loffice religieux, sen estsuivi le recueillement et le d-pt des gerbes de fleurs sur latombe dEdith, au cimetire fa-milial. Dabord, par le chef delEtat quaccompagnaient sonpouse Antoinette et Mme Ma-rie-Claire Dirat, mre de la d-funte. Puis, les autres chefsdEtat ont accompli le mmegeste.Cest 14h que les dlgationsont commenc regagner Oyo,une ville visiblement festive. Leclou des manifestations tait lasoire culturelle organise Edou.Cyr Armel YABBAT-NGO

    5me anniversaire du dcs dEdith Lucie Bongo-OndimbaLa commmoration sest faite

    Edou, en prsence de quatre chefs dEtat14 mars 2009 - 14 mars 2014, il y a cinq ans que disparaissait, lge de 45 ans, Edith Lucie Bongo-Ondimba, premire dame duGabon et fille aine du prsident Denis Sassou Nguesso. Lesfestivits commmoratives de ce triste anniversaire se sont d-roules Edou, localit situe 4 km de la communaut urbainedOyo, dans le dpartement de la Cuvette, en prsence du prsi-dent de la Rpublique Denis Sassou Nguesso, et de quatre autreschefs dEtat, notamment Ibrahim Boubacar Keta (Mali), AlphaCond (Guine Conakry), Thomas Yayi Boni (Bnin) et ErnestBai Koroma (Sierra Leone).

    dans un lan de solidarit pourtmoigner leur affection celledont lexistence sur la terre deshommes sest distingue parson lan de cur envers lesautres, particulirement les en-fants, travers des uvres debienveillance. Volont et responsabilit

    pour avancer dansle bon sens

    La russite de lorganisation dun scrutin commence parune bonne constitution du corps lectoral. Cest ce quoile gouvernement sest attel, travers lorganisation dunrecensement administratif spcial, conformment la recom-mandation de la concertation politique nationale de Dolisie.Aujourdhui, lopration est ltape de laffichage des listesprovisoires dans les mairies darrondissement, les sous-prfec-tures, les prfectures, les quartiers, les zones, etc. A ce niveau,justement, les partis devraient mobiliser leurs militants et sym-pathisants, pour la vrification des noms et les rclamations.Mais, on le sait, le consensus de la concertation de Dolisie a tmis mal avec le retrait de la coordination nationale du R.a.s, decertains partis de lopposition rpublicaine et la publication dedclarations contradictoires qui nont pas manqu daffecter lecrdit de lopration dtablissement des listes lectorales.Il faut tout faire pour que tout le monde revienne autour de latable, superviser cette opration cruciale pour les votes venir.A vrai dire, personne, ni la majorit, ni lopposition, na gagner bloquer ou discrditer le processus consensuel dor-ganisation des lections qui se met, progressivement, en place.Les listes lectorales ne sont pas encore certifies et dfiniti-ves, pour le prochain scrutin. Ce qui signifie que les rclama-tions des uns et des autres peuvent tre prises en compte. Autantles partis dopposition devraient avoir raison garde en ne je-tant pas dans lopinion des dclarations qui peuvent servir decarburant aux extrmistes de tous bords, pour empoisonner leclimat politique autour des lections, autant le gouvernement etles partis de la majorit devraient tre sensibles aux demandesde dialogue formules par leurs partenaires de lopposition, afinde surmonter les difficults qui surgissent, naturellement, toutau long du processus de constitution des listes lectorales. Lob-jectif tant de mettre en place un systme lectoral crdible ettransparent. On y est condamn, ds lors que le peuple congo-lais a fait souverainement le choix de la dmocratie pluraliste,un rgime qui requiert une grande culture de tolrance, de dia-logue et de comprhension et qui ne peut pas marcher dans uncontexte dabsence de vrit, de tricherie, de trafic dinfluence,de non-respect du droit, etc.On le sait, notre classe politique est jalonne de partis incapa-bles de gagner des lections et qui empoisonnent la vie dmo-cratique par toutes sortes de manipulations de lopinion, tra-vers des dclarations toujours alarmistes, et des partis qui re-doutent horriblement la transparence lectorale, car habitus gagner en pipant le jeu lectoral. On en est, malheureusement,encore l et le souverain primaire est las de ces querelles politi-ques rptition autour des lections. Cette fois-ci, si la classepolitique choue organiser des lections crdibles, il faudra,sans doute, envisager den confier lorganisation des person-nalits neutres et crdibles, issues de la socit civile ou dumonde religieux, pour permettre la dmocratie congolaisedavancer.

    Joachim MBANZA

    EditorialSa discipline, son humilit, soncombat pour la vie et le sensde la russite rvlaient en elleun caractre et une personna-lit quont bien voulu honorertoutes les personnes qui ontfait le dplacement dOyo, puisdEdou, dont quatre chefsdEtat trangers. Le premierdentre eux fouler le tarmacde laroport international dOl-lombo tait le Sierra-LonaisErnest Bai Koroma, arriv le 12mars, en compagnie de sonpouse. Le Malien IbrahimBoubacar Keta et son pou-se, le Guinen Alpha Cond etle Bninois Thomas Yayi Boniont succd, le 13 mars.Bien dautres personnalitstaient prsentes pour sou-tenir, moralement, le chefdEtat congolais et la familleprsidentielle. Lheure tait

    Cphas Germain Ewangui.

    ErratumDans le numro n3374 du mardi 11 mars 2014,en page 6, le nom dun des responsables politi-ques de lUnion de la nation na pas t biencrit. Il sagit de Pierre NDion, et non NDzion.

    Le prsident Sassou Nguesso et ses homologues.

    Denis Sassou Nguesso se recueillant sur la tombe aprs le dptde la gerbe de fleurs.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 4

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    * Au dpart de Pointe-Noire. Ore disponible du 17/03/2014 au 15/04/2014. Envolez-vous partir du 31/03/2014pour un sjour de 7 jours 1 mois. Dernier retour le 25/06/2014. Tarif toutes taxes comprises au 01/03/2014, horsfrais de service, soumis conditions et selon disponibilit. Renseignez-vous auprs dAir France au (+242) 05 531 21 51 ouauprs de votre agence de voyages.

    Date: 11/03/2014Don: BMZ No.: 2012 66 329AON n 001/2014- BMZ No.: 2012 66 329-III

    1. LAssociation pour lAppui aux Initiatives de SantCommunautaire, Association de Marketing Social duCongo (AAISC/AMSCO), a reu une subvention dela coopration financire allemande avec la CEMACpour financer lexcution du Projet de Prvention duVIH/SIDA en Afrique Centrale (PPSAC) en Rpubli-que du Congo, et a lintention dutiliser une partiede cette subvention pour effectuer des paiementsau titre du march: Acquisition de la duplication duMagazine 100% Jeune pour le compte du PPSAC.1. LAAISC/AMSCO sollicite des offres fermes de lapart de soumissionnaires ligibles et rpondant auxqualifications requises pour fournir la duplicationdun Magazine mensuel, notamment en Format A4,quadri, Page de garde papier couch 180g, Page in-trieure papier couch 135g et nombre de pages:20.2. La Passation de march sera conduite par AppeldOffres National (AON), tel que dfini dans le Dos-sier dAppel dOffres (DAO). Les exigences en ma-tire de qualification, entre autres, sont ci-aprs se-ront retenus:a. Rfrences de la socit indiquant tous les tra-vaux raliss et spcifiant les fournitures similaires la prsente mission;b. Disposer dun compte bancaire ouvert au nom dela structure;c. Certificat des services faits pour des prestationsantrieures ralises par la socit;d. Disposer dune exprience dau moins deux ansdans le domaine de limprimerie;e. Avoir une rgularit fiscale de lanne 2013 (regis-tre de commerce, plan de localisation sign par lesservices comptents, extrait des statuts, patente encours de validit, certificat dimposition, etc.);f. Avoir un chiffre daffaires de vente adquat.3. Les soumissionnaires ligibles et intresss peu-

    ASSOCIATION POUR LAPPUI AUX INITIATIVESDE SANTE COMMUNAUTAIRE

    ASSOCIATION POUR LE MARKETING SOCIAL AU CONGO (AAISC/AMSCO)Sige Social: 172, rue SOWETO, quartier Tlvision, Maklkl,

    BrazzavilleTl.: (242) 06663 42 04/06 958 93 85 - Email: [email protected] - B.P.: 1350

    PROJET DE PREVENTION DU VIH/SIDA EN AFRIQUE CENTRALE(PPSAC)

    Coopration financire allemande (KFW) avec la CEMAC

    Avis dAppel dOffres National n001vent obtenir dautres informations plus dtaillesdans le document dAppel dOffres auprs de lUnitde Gestion Comptable et Administrative dAAISC/AMSCO et prendre connaissance des documentsdAppel dOffres ladresse mentionne ci-dessous,de 8 heures 16 heures. Les soumissionnaires peu-vent ainsi obtenir le DAO complet en Franais, ladresse ci-dessous mentionne, contre paiementnon remboursable de Vingt Mille (20.000) FrancsCFA.4. Les paiements peuvent tre effectus en esp-ces, contre un reu de caisse ou par transfert defonds, travers une agence de transfert de fonds.5. En cas de transfert de fonds, le DAO sera exp-di aux frais du soumissionnaire, son adresse.6. Les offres devront tre soumises ladresse ci-dessous mentionne, au plus tard, le lundi 24 mars2014, 14 heures prcises. La soumission des of-fres par voie lectronique ne sera pas autorise. Lesoffres remises en retard ne seront pas acceptes.Les offres seront ouvertes en prsence des sou-missionnaires ou leurs reprsentants, le mme jour, ladresse ci-dessous mentionne, le lundi 24 mars2014, 15 heures. La validit des offres est de 90jours. Celle de la garantie des offres est de 120 jours.7. Toutes les offres devront tre accompagnesdune garantie de soumission forfaitaire de 50 000Frs CFA.8. Ladresse laquelle il est fait rfrence ci-des-sus, cest:

    A lattention du: Directeur Excutif de lAAISC/AMSCO

    172, rue Soweto, Quartier Tlvision,Maklkl, Brazzaville,

    Pays: CONGOTl.: (00242) 06 663 42 04//06 958 93 85.

    (Avec la Mention DUPLICATION DU MAGAZINE100% JEUNE)

    Le Directeur Excutif,Maurice NDEFI

    Suivant acte authentique reu par Matre Gis-card BAVOUEZA-GUINOT, Notaire, en la rsi-dence de Brazzaville, le dix janvier 2014, enre-gistr au bureau des domaines et du timbre, Brazzaville, le 22 janvier 2014, sous Folio 15/2,numro 0209, il a t constitu une socitcommerciale prsentant les caractristiquessuivantes:

    Dnomination: AFRICA INDUSTRIES INTER-NATIONAL, en sigle A2I S.A.R.L;Forme: Socit A Responsabilit Limite(SARL);Associs: 1- Monsieur GUERMONT Gilles Di-dier Sylvain;2- Monsieur HENRARD Yannick;3- Monsieur DIBANTSA Rufin Michel Parfait;4- Monsieur MAKOSSO Patrice.Capital Social: UN MILLION (1.000.000) deFRANCS CFA, divis en cent (100) parts de dixmille (10.000) FRANCS CFA chacune, numro-tes de 1 100, entirement libres par lesassocis;Sige social: Brazzaville, 1650, avenue des 3martyrs, Batignolles;Objet social: La socit a pour objet, en Rpu-blique du Congo:* La formulation, la production et le condition-nement des produits dorigine chimique ounaturelle pour lhygine et lindustrie;* Limport-export;

    Matre Giscard BAVOUEZA-GUINOTNotaire

    Titulaire dun office notarial sis 30, Avenue Nelson MANDELA(A ct de FOREVER LIVING, non loin de lAgence Franaise de Dveloppement),

    Centre-ville Brazzaville.Tl: (00242)05.775.69.43/06.668.58.14; B.P: 15.244

    E-mail: [email protected] du Congo

    ANNONCE LEGALEAFRICA INDUSTRIES INTERNATIONAL

    A2I S.A.R.LSocit A Responsabilit Limite

    Au Capital de 1.000.000 FRANCS CFASige Social: Brazzaville, 1650, Avenue des 3 Martyrs, Batignolles.

    RCCM: CG/BZV/14 B 4936/REPUBLIQUE DU CONGO.

    CONSTITUTION* Laudit, le conseil et la prestation de servi-ces dans les domaines cits ci-dessus;Dure: quatre-vingt-dix-neuf (99) annes, compter de limmatriculation au Registre duCommerce et du Crdit Mobilier;Dclaration notarie de souscription et de ver-sement: aux termes dune dclaration de sous-cription et de versement reue par Matre Gis-card BAVOUEZA-GUINOT, le 10 janvier 2014 etenregistre au bureau des domaines et du tim-bre, Brazzaville, le 22 janvier 2014, sous fo-lio 15/3 numro 0210, il a t constat que tou-tes les parts souscrites ont, intgralement, tlibres par les associs;Grant statutaire: Monsieur GUERMONT GillesDidier Sylvain, de nationalit franaise;Dpt lgal a t effectu, par les soins duNotaire soussign, au Greffe du Tribunal deCommerce de Brazzaville, le 03 mars 2014,sous le numro 14 DA 244;Immatriculation au RCCM: La Socit est im-matricule au Registre du Commerce et duCrdit Mobilier du Tribunal de Commerce deBrazzaville, le 03 mars 2014, sous le numroCG/BZV/14 B 4936.

    Pour avis,

    Matre Giscard BAVOUEZA-GUINOT,Notaire.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 5

    NATIONAL

    La confrence interrgio-nale sur lemploi se jus-tifie dans le contextedune ncessaire adaptationdes S.p.e (Services publics delemploi), leur environnementsocio-conomique et lvolu-tion des attentes des deman-deurs demplois et des entre-prises. Elle a permis aux parti-cipants dchanger sur les ex-priences en matire de ges-tion prvisionnelle des emploiset des comptences, en vue demutualiser les acquis et les for-ces permettant une meilleureadquation formation/adapta-tion des S.p.e lvolution etaux exigences rapides des be-soins du march.Les experts du B.i.t (Bureau in-ternational du travail), duP.n.u.d (Programme des Na-tions unies pour le dveloppe-ment), de la Banque mondiale,la Bad (Banque africaine dedveloppement), des entrepri-ses et des personnes ressour-ces, spcialistes des questionsdemplois ont pris part cetteconfrence.Dans son mot de bienvenue,Andr Nyanga Elenga a fait partde sa proccupation sur le pro-blme de lemploi qui, souslimpulsion du prsident de laRpublique, Denis SassouNguesso, sinscrit dans lactiongouvernementale travers leprogramme Le chemin dave-nir.Dans son intervention, CamilleMoute Bidias a remerci legouvernement congolais pourle soutien accord la tenuedes travaux de cet atelier quiconstitue un moment de parta-ge dexpriences et de rflexionsur les sujets de proccupa-

    tions communes pour le dve-loppement des S.p.e.De son ct, la prsidente delAmsep, Elisabet Arp, a fait unebrve prsentation de son as-sociation et de ses missions.Pour de nombreux pays, lAm-sep est la seule structure quipropose aux principaux dci-deurs des services publics delemploi, un change dexp-riences au plan international,pour relever les nombreux d-fis qui sont dordre global, commencer par le chmagedes jeunes.Dans son mot douverture, Ser-ge Blaise Zoniaba a indiquque le thme choisi tait dunegrande actualit dans la vie desS.p.e, car, disposer des res-sources humaines appropriesest un challenge qui simpose tous les S.p.e. Il a, ensuite, faitsavoir que cet atelier arrive point nomm, car au Congo, laredynamisation envisage parlOnemo passe par une remo-bilisation de ses ressourceshumaines ainsi que leur profes-sionnalisation, pour mieux as-sumer laccomplissement desservices attendus par les usa-gers.Deux jours durant, plus de troiscents participants ont eu deschanges sous forme de tablesrondes. Au total, trois tables-rondes ont permis aux diff-rents confrenciers de commu-niquer sur les expriences despays en matire de gestion pr-visionnelle des emplois et descomptences. Une confrenceinaugurale sous le thme: Po-litiques et stratgies de dve-loppement des ressources hu-maines a prcd les travaux.Elle a t anime par Jean Paul

    Barbier, expert emploi au B.i.t, Genve, ceci pour fixer le ca-nevas gnral des tables-ron-des.La rencontre de Brazzaville at un haut moment pour lesdirecteurs gnraux des S.p.ede renforcer leurs connaissan-ces des grands principes pou-vant guider la rflexion sur ledveloppement des ressourceshumaines.A lissue des travaux, les parti-cipants ont recommand entreautres, ladoption, lintroduc-tion et la mise uvre de la d-marche de la gestion prvision-nelle des comptences, commeoutil de dveloppement et degestion des ressources humai-nes dans les S.p.e, le renforce-ment des capacits des ges-tionnaires des ressources hu-maines des S.p.e par la forma-tion et le perfectionnement, laralisation dun plaidoyer con-squent auprs des gouverne-ments, afin que des moyens fi-

    nanciers adquats soient ac-cords aux S.p.e, en vue du d-veloppement en quantit et enqualit de leurs ressources hu-maines, et de garantir la proxi-mit du service du S.p.e et sonaccs au plus grand nombre,lacclration, par lAasep, avecle soutien de ses partenaires,dun mcanisme favorisant lamise en place dune structurespcialise dans la formationdu personnel des S.p.e en Afri-que et le dveloppement dupartenariat entre S.p.e pourlamlioration des compten-ces des ressources humainesdes S.p.e. Rappelons que leservice public de lemploi estlensemble form par un ou plu-sieurs organismes et agencespour favoriser lemploi et la for-mation professionnelle, et lut-ter ainsi contre le chmage.

    EsperanciaMBOSSA-OKANDZE

    Confrence interrgionale des S.p.e (Services publics de lemploi) BrazzavilleDvelopper les ressources humaines, par

    la gestion prvisionnelle des comptencesLOnemo (Office national de lemploi et de la main duvre), aorganis, du 12 au 13 mars 2014, en partenariat avec lAmsep(Association mondiale des services publics) et lAasep (Asso-ciation africaine des services demplois publics), une confrenceinterrgionale sur le thme Politiques et stratgies de dvelop-pement des ressources humaines des S.p.e (Services publicsde lemploi), dont louverture a eu lieu lauditorium du Minis-tre des affaires trangres et de la coopration, Brazzaville,sous les auspices de Serge Blaise Zoniaba, ministre de lensei-gnement technique, professionnel, de la formation qualifiante etde lemploi, en prsence de la prsidente de lAmsep, ElisabetArp, du prsident dhonneur de lAmsep, Camille Moute Bidias,du directeur gnral de lOnemo, Andr Nyanga Elenga, de plu-sieurs invits et de plus de trois cents participants venus de 24pays dEurope, dAmrique, dAfrique et dAsie, notamment lesdirecteurs gnraux des S.p.e ou leurs reprsentants.

    Scurit publique Brazzaville

    Sept prsums voleursarms, auteurs dun meurtre,

    interpells par la policeSept prsums voleurs main arme ont t interpells par lapolice, Brazzaville, la suite dun vol o ils avaient emportune bagatelle somme de 6 millions de francs Cfa et du meurtredune jeune dame, aprs lavoir viole au n 62 bis de la rueOkouloumbi, Mikalou, Talanga, dans le 6me arrondissementde la capitale. Les faits staient passs dans la nuit du mardi 11mars 2014. Aprs enqute et grce des tmoignages des po-pulations, la police a russi ce joli coup de filet qui a soulag leshabitants des quartiers de Talanga terroriss par des groupesde bandits oprant avec des armes blanches.

    Les sept prsums criminels, spcialistes des vols communmentappels Boomeurs ltranger dont le chef de bande estDelchne Ngambomi, ont t prsents la presse par le gnralJean-Franois Ndengu, directeur gnral de la police, accompa-gn de ses principaux collaborateurs, samedi 15 mars 2014, aucommissariat central de police de la Tsim.Aprs le commissariat central de la Tsim, les sept malfrats ontt conduits dans la rue Okouloumbi, lieu du crime pour unereconstitution des faits. A cet effet, ils ont expliqu leur modeopratoire et avou quils sont les auteurs du viol et du meurtrede la jeune dame qui vivait au domicile o ils avaient opr. Surplace devant une grande foule surchauffe, laction de la police at vivement salue.Donnant des prcisions sur la stratgie mise en place par cesprsums malfrats pour russir leur opration, le colonel BaronFrdric Bouzock, commissaire de police au commissariat cen-tral de la Tsim a dclar:Un vol sest commis. Nous sommesarrivs, on a vu seulement le corps sans trace. En moins dunesemaine, nous avons pu interpeller les auteurs de ce crime cra-puleux.Sagissant du sort rserv aux prsums auteurs du vol et dumeurtre il a affirm: La police est auxiliaire de la justice, lesauteurs de ce crime seront prsents devant Monsieur le procu-reur de la Rpublique. Nous avons le cerveau penseur qui estDelchne Ngambomi, grant du V.i.p de la victime du vol nommPaul Bakouma, cest son petit de confiance. Et, de lorganisationdu vol, il y a eu des guetteurs: dans la rue du 18 mars, on avaitplac Cridel Ngoua, alias Ewolo et dans la rue Bnin, ChancelMoumenga, alias Tchatcho. Les auteurs qui sont entrs dans lamaison, il y a Christ Oko, Verchel Mobi. Miky, cest lunique per-sonne qui na pas encore t interpelle. Et, ceux qui ont donn lamort cette dame sont: Christ Oko, Geoffroy Elenga et Miky.Le gnral Ndengu et toute la dlgation de la police qui lac-compagnait se sont, par la suite, rendus au quartier Ngamakossoo deux braqueurs et un sergent-chef de la force publique onttrouv la mort la suite dune bagarre dclenche par desbraqueurs dtenteurs darmes blanches de diffrentes sortes. Cequi a dailleurs suscit lintervention des populations riverainesqui, par la suite, ont alert la police.Aprs avoir salu la prsence dissuasive de la police dans leurquartier, ce samedi-l, les populations ont souhait que la policeintensifie ses patrouilles et implante des postes de police avan-cs dans leur quartier, pour dcourager les bandits qui y oprenttranquillement, de nuit comme de jour.Signalons que plusieurs autres voleurs oprant dans les quar-tiers de Talanga et Djiri ont t interpells par la police.

    A.P. M.

    * Monsieur le secrtaire gn-ral de la mairie de Talanga,nous avons constat un man-que dengouement des popula-tions aux lieux daffichage deslistes, quen dites-vous?** Ce manque dengouementest d au fait que les citoyenstaient habitus venir vrifierles listes aux siges de larron-dissement. Or, il savrequaujourdhui, ces listes sontaffiches dans les quartiers.Nous savions que cela pouvaitdsorienter les populations.Cest pourquoi, notre niveau,nous avons pris des prcau-tions. Etant entendu que la res-ponsabilit de mobilisationnous incombe, nous avons pristoutes les dispositions, pourque toutes les populationssoient informes, sensibili-

    ses, travers ce que nousappelons les crieurs. Nousavons lanc des crieurs, poursensibiliser les populations surlaffichage des listes provisoi-res. Nous avons environ 36crieurs dans tout Talanga, entenant compte de ltendue dechaque quartier.* A quand ltape des correc-tions?** Nous sommes dj dans lapriode des corrections. Nousavons t rappels lordre,hier, par le ministre de lint-rieur et de la dcentralisation,pour que nous terminions enprincipe dici la fin de ce mois.Donc, pour nous mme, il sagitde la phase la moins difficile. Ilsagit plutt de faire une invitepour que les populations se

    rapprochent des siges desmairies et des quartiers, pourse rassurer que leurs nomssont dment retenus, commelecteurs.

    * Quelles dispositions avez-vous prises pour les zones nonrecenses?** Lorsque nous avons ralislopration de recensement, entout cas, on avait cern toutesles zones de Talanga. La seuledifficult qui sest avre nous, ctait la situation dessinistrs qui sont au site deKintl. Nous avons pris la pr-caution dinformer la commis-sion nationale, pour que desdispositions particuliressoient prises ce niveau. Etcomme Kintl se situe djdans le dpartement du Pool,on ne peut pas quand mme yaller par notre propre volont.Il tait question que nous b-nficions de lautorisation denos autorits, pour y accderet faire enrler ces populations,parce que nous savons que cesont nos populations.

    Pascal Azad DOKO

    Jean Amboua, secrtaire gnral de la mairie de Talanga (Brazzaville)Nous avons lanc des crieurs pour sensibiliser

    les populations sur laffichage des listes provisoiresSecrtaire gnral de la mairie de Talanga, le sixime arrondis-sement de Brazzaville, Jean Amboua parle, dans linterview ci-aprs, de la campagne de sensibilisation des populations de sonarrondissement, sur laffichage des listes.

    Jean Amboua.

    Le prsidium l'ouverture des travaux.

    Une vue des confrenciers.

    Les spcialistes des vols communment appels Boomeurs ltran-ger.

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    Coup doeil en biaisCoup doeil en biaisCoup doeil en biais NATIONAL

    Selon Germain CphasEwangui, dans son dis-cours, louverture duforum, celui-ci avait pour objec-tif de faire, de manire serei-ne et responsable, une valua-tion critique des processuslectoraux dans notre pays.Ainsi, trois jours durant, lesparticipants ont suivi plusieurscommunications, ainsi quilsuit:- Restitution des conclusionsde la concertation politique deDolisie, par Marius Mouam-benga, commissaire gnral ducomit de suivi de la conven-tion pour la paix et la recons-truction du Congo, qui a dcla-r: La concertation de Dolisiea repris quelques conclusionsdEwo qui ne sont pas encoremises en uvre. Aujourdhui, larecommandation qui est pres-quarrive son terme est le

    Assises du FosocelLa socit civile appelle la mise en uvrede toutes les recommandations de Dolisie

    Le Fosocel (Forum de la socit civile pour les lections libres ettransparentes) a organis, du 10 au 12 mars 2014, au Cinu (Cen-tre dinformations des Nations unies), puis lhtel de ville deBrazzaville, un forum de la socit civile sur le thme: Les pro-cessus lectoraux en Rpublique du Congo: analyse-critiques.Ouvert et cltur par Cphas Germain Ewangui, prsident duFosocel, ce forum, dont la tenue a t finance par la plateformeelle-mme, a runi, outre les O.n.gs de la plateforme, plusieursassociations spcialises dans les questions lectorales, commela Cape, le Rpatep, la Caresco, les reprsentants des partis poli-tiques, les personnalits universitaires et des individualits. Alissue de ces assises, des recommandations ont t faites auxpouvoirs publics et aux organisations de la socit civile.

    recensement administratif sp-cial. Toutes les recommanda-tions ncessitent des squen-ces dvaluation. Aprs le re-censement administratif sp-cial, nous regarderons que fai-re de la Conel;- Dmocratie et processuslectoraux en Afrique au Suddu Sahara: analyse et bilan,par Cphas Germain Ewangui.A ce sujet, il a dclar que lesprocessus lectoraux au Con-go connaissent un processusvolutif; le bilan est positif,malgr les faiblesses dues luvre humaine;- Les processus lectoraux enRpublique du Congo, de 2002 nos jours, et Socit civileet observation des processuslectoraux: atouts et limites,par Me Modeste Mbossa;- Problmatique de la libertde la presse en Rpublique du

    Congo, par Pierre Mberri, ma-tre assistant lUniversit Ma-rien Ngouabi, qui a estim quela libert de la presse est diffi-cile cerner. Pour le Conseilsuprieur de la libert de com-munication, cette libert nepose pas de problme, cest,plutt, lexercice que les pro-fessionnels de la communica-tion en font. Il y a des restric-tions en matire de journalis-me;- Participation des acteurs dela socit civile aux processuslectoraux: enjeux et problma-tique, par le pasteur GermainLoubota.- Dfis du rseautage des or-ganisations de la socit civilespcialises en matire lecto-rale, par Mme Lydie Banga quia fait le constat que nos r-seaux manquent de crdibilitpour bnficier des finance-ments des bailleurs de fonds etaccompagner le gouvernement

    dans son programme de dve-loppement. Si les rseaux netravaillent pas ensemble, ilstombent dans le pige de lins-trumentalisation. Les Organisa-tions de la socit civile (O.s.c)qui nadhrent pas au rseau-tage sont appels disparatre,un jour.Au terme de ces exposs richesdenseignements corroborspar de nombreux commentaireset contributions, les acteurs dela socit civile, soucieux dap-porter leur pierre luvre deconstruction et de consolida-tion de la dmocratie au Con-go, ont formul des observa-tions, suggestions et recom-mandations (Voir ci-contre eten page 3).

    Victor GUEMBELA etRanields Edvey

    NZEBI-LOUVOUEZO(stagiaire)

    Aux organisationsde la socit civile:1- La cration dun cadre d-change, de concertation et deplanification des activits desplateformes uvrant en ma-tire lectorale;2- la mise en place dun pro-gramme ambitieux et cohrentvisant promouvoir la sensibi-lisation et lducation largechelle des populations sur laculture dmocratique et lecto-rale;3- louverture du Fosocel dautres sensibilits, parmi les-quelles les confessions reli-gieuses, les organisations despopulations autochtones, pourleur permettre de contribueraux questions lectorales;4- le renforcement des capaci-ts par une formation adquatedes dlgus de la socit ci-vile dans les diffrentes com-posantes des organes encharge de la gestion des pro-cessus lectoraux.

    Aux pouvoirs publics:1- La mise en uvre effectivede toutes les recommandationsissues de la concertation poli-tique de Dolisie tenue du 22 au26 mars 2013, entre autres:2- lapplication effective de laloi sur les partis politiques;3-lrection de la Conel en unorgane permanent, indpen-dant, jouissant dune autono-mie administrative et finan-cire;4- le ramnagement des com-ptences de la Conel, afin delui donner davantage demoyens dactions;5- le renforcement des attribu-tions du comit de suivi de laconvention pour la paix et lareconstruction du Congo, danslexcution des conclusionsdes concertations politiquesdEwo et de Dolisie;6- la dlivrance des rcpisss tous les partis politiques enrgle;

    7- la diligence de la promulga-tion de la loi sur le financementdes campagnes lectorales;8- la promotion de la reprsen-tativit de la femme toutesfonctions politique, lective, etadministrative. Les organisa-tions de la socit civile sug-grent quen ce qui concerneles prochaines lections loca-les, que les partis politiquesprsentent les listes aux nomsalterns femme-homme, par-tir du premier nom;9- la cration de conditionsoptimales pour garantir davan-tage la libert de la presse.Seule cette libert permet lpa-nouissement de tous au seindune cit dmocratique et in-dispensable lexercice desautres liberts;10- la rglementation, de ma-nire rigoureuse, de lusagedes ressources financires,matrielles, lors des campa-gnes lectorales, assorties desanctions contre toutes les for-mes dachat de conscience;11- lusage progressif de bulle-tins uniques et de cartesbiomtriques;12- le renforcement des garan-ties de la libert de la presse,particulirement de la pressecrite prive;13- laccs de toutes les com-posantes politiques auxmdias dEtat (radio et tlvi-sion nationales).

    A la communaut interna-tionale:1- la prennisation du soutienaux efforts du Congo dans samarche inexorable vers la con-solidation dun Etat de droit etde dmocratie;2- le soutien, de manire plusconsquente, des organisa-tions de la socit civile, tra-vers leurs programmes de sen-sibilisation, dducation com-munautaire, dobservation etde surveillance des processuslectoraux.

    Recommandations du Fosocel

    De g. d, Me Modeste Mbossa, Loamba Moke et Germain Cphas Ewangui.

    Des participants.

    A Mikalou, la foule rclamait les ttes desmeurtriers dune femme de mnage

    Sept braqueurs sont tombs dans le filet de la police, samedi 15mars 2014, Mikalou, un quartier de Talanga, le sixime arrondis-sement de Brazzaville. Ils ont assassin une jeune femme de m-nage, aprs lavoir viole, et vol la somme de 6 millions de francsCfa dans leur opration de braquage quils ont mene, mardi 11mars, au n62 de la rue Okouloumbi, crant ainsi une psychoseau sein de la population. Les services de police nont pas tard mettre la main sur eux, grce la collaboration de la population.Quelques jours seulement ont suffi pour que les prsumsbraqueurs soient arrts. Ils ont t prsents la presse, samedi15 mars, au commissariat central de police de la Tsim, avantune reconstitution des faits sur les lieux. La nouvelle de leur arres-tation stant rpandue comme une traine de poudre dans le quar-tier, une foule sest masse, lors de la reconstitution des faits par lapolice, pour rclamer leurs ttes. Trop, cest trop, il faut les tuer,eux aussi, a-ton entendu, dans la foule. Malheureusement, la loidu talion na pas sa place dans un Etat de droit, qui met laccent surlducation et la rducation. Toutefois, la justice devra permettrede mieux connatre leur mode opratoire et de savoir sil ny a pasdautres complices tapis dans lombre.

    Une rsistance populaire sauve une femmemenace par des malfrats

    Une femme ge, qui rentrait chez elle, de retour du march denuit o elle venait dacheter le manioc, sest retrouve, brusque-ment, devant un groupe de malfrats qui lont agresse, Ngamakosso, un quartier de Talanga. Les bandits lui ont demandde leur remettre largent quelle dtenait, sinon ils abrgeraient savie. En criant au secours, une rsistance populaire sest organisedans le quartier. Mais, les jeunes venus sa rescousse taientmains nus, alors que les malfrats taient munis darmes blanches.Ils ont bless coups de couteau un sergent chef de la force publi-que, qui passait par l. Le pauvre est mort des suites de ses bles-sures. La justice populaire na pas tard. La foule a neutralis deuxbraqueurs, qui ont t tus. Mais deux autres malfrats ont russi,malheureusement, senfuir.

    Des occupants illgaux appels dguerpirdu site du futur lyce de larrondissement 8

    MadibouDes neuf arrondissements de Brazzaville, deux au moins ne se-raient pas dots dun lyce denseignement gnral public: Madibouet Djiri. Il nen restera quun, Djiri, puisque Madibou aura son lycedenseignement gnral, la rentre scolaire 2014-2015. Il seraconstruit sur le site de lcole primaire Sbastien Mafouta. Mais,une partie de la superficie de ladite cole aurait t occupe illga-lement. Le ministre des affaires foncire et du domaine public y estall, la semaine dernire, et a demand aux occupants illgaux dedguerpir, dans un bref dlai. Comme quoi, le plaidoyer de ladmi-nistrateur-maire de Madibou, qui rcusait lappartenance du lycede Nganga-Lingolo son arrondissement, a port ses fruits.

    Mort trange dun jeune vendeurde pain Dolisie

    On spcule sur les circonstances de la mort, il y a quelques jours,dun vendeur de pain Dolisie, la troisime ville du pays. Seloncertaines personnes, il serait mort mystiquement dans un sac pigpar un concurrent. Selon des tmoignages, certains affirment quele dfunt aurait t longtemps suspect de pratique de sorcelleriepar son tombeur. Au march Mboukou, on lui reprochait de soutirermystiquement les recettes journalires des voisins. Ces derniersont consult un marabout qui aurait prpar le mauvais sort ayantconduit laccus la mort. Il a t inhum il y a deux semaines.

    Un logeur interdit son locataire dorganiserune veille mortuaire son domicile

    Eprouv par le dcs de son fils, la suite dune longue maladie,un taximan a voulu organiser la veille mortuaire au domicile o ilest locataire, depuis trois annes. Malheureusement, le logeur aoppos un refus catgorique son initiative. Il lui a demand detrouver un endroit autre que son domicile. Il y a tenu. Le locatairesy est rsolu. La scne sest passe Nkouikou, un quartier dePointe-Noire, la capitale conomique du pays.

    La rhabilitation des routes, sourcesde soucis pour les automobilistes

    Pointe-NoirePlusieurs routes sont en train dtre rhabilites Pointe-Noire,notamment Tchimbamba, Ngoyo et dans les environs de laro-port international Antonio Agostino Neto. Mais, les travaux de cesroutes sont sources de soucis pour les automobilistes. Pour partirde Ngoyo au centre-ville, par exemple, il faut deux trois heures, cause de longues files dautomobiles roulant pniblement, malgrla prsence des agents de la circulation routire certains endroits.Tout cela, se plaignent les automobilistes, du fait quon na pasamnag des routes de dgagement, avant le dmarrage des tra-vaux de rhabilitation.

    Les victimes de la pluie du 4 mars soulages, maissollicitent la reconstruction de leurs maisons

    Enfin, le Ministre des affaires sociales et de la solidarit a pensaux victimes de la pluie du 4 mars 2014, dans les arrondissements7 Mfilou et 8 Djiri. Il a vers aux familles qui ont perdu leurs domi-ciles, une caution locative de 300.000 francs Cfa. Cela leur permetde trouver une maison de location. Mais pour certains, cela estinsuffisant, au regard des biens perdus. Aussi demandent-ils quelEtat reconstruise leurs maisons.

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    NATIONAL

    Dans son expos, LucienBanga a expliqu que ladmocratie reprsentati-ve intresse les lus locauxconstitus, pour le cas du Con-go, des conseillers dparte-mentaux et municipaux. Elle estreprsentative, parce que lesconseillers reprsentent lespopulations, qui les ont lus etprennent des dcisions enleurs noms, pour satisfaireleurs besoins.Sagissant de la dmocratieparticipative, elle est compl-mentaire la premire forme,cest--dire elle complte ladmocratie reprsentative. Lesautorits lues doivent faireparticiper la gestion des af-faires locales, les citoyens lec-teurs qui leur ont fait confian-ce.Trois points essentiels fondentla dmocratie dite participative:les lus locaux peuvent orga-niser des concertations avecles citoyens, des consultationset faire que les citoyens parti-cipent la gestion. Laction dellu local ne peut tre efficaceque lorsque les citoyens sontimpliqus. Llu prend encompte les attentes des ci-toyens qui trouvent satisfac-tion, lorsque leurs besoins sont

    raliss.La dmocratie participativeamne les populations sin-tresser la gestion des affai-res qui les concernent. Elle estun ciment qui lie llu aux ci-toyens. En dfinitive, la dmo-cratie participative constitue unsymbole, pour les autorits lo-cales, de montrer leur espritdouverture et de responsabili-t. Au Congo, le cadre juridiqueest assez fourni avec la loi lec-torale et celles portant organi-sation et fonctionnement descollectivits locales.Signalons que le lancement dela campagne de sensibilisationet de formation des femmescandidates aux lections loca-les a pour objectif de comblerla faible reprsentativit desfemmes dans les collectivitslocales. Sur 12.154 candidatsaux lections locales de 2008,2.381 seulement taient desfemmes, soit 19,59%. Mais, lesassembles locales lues nerefltent pas cette proportion,elles ne comptent que 13,66%de femmes.La prsidente du C.p.f.p, quiavait ses cts Mme RgineTchicaya Oboa, reprsentant laministre de la promotion de lafemme, a dfini les raisons de

    cette faible reprsenta-tivit. Les femmes sont rare-ment tte de listes; les femmessont rarement places parmiles premiers; les femmes sonten queue de listes. Pourtant, lapolitique de notre pays prne

    lquit entre les hommes et lesfemmes, particulirement, dansles organes de dcisions. Las-semble locale est un organede gestion dune collectivit lo-cale o la femme est quasi ab-sente et encore moins dans lesorganes dirigeants de ces as-sembles. Pour corriger ce d-squilibre, le C.p.f.p a eu pr-senter, en fvrier 2012, auxautorits habilites, des propo-sitions damendement la loilectorale, a-t-elle rappel.Par la suite, un change fruc-tueux a eu lieu, entre le conf-rencier appuy par la prsiden-te du C.p.f.p et lassistance quia pos un chapelet de ques-tions pour mieux comprendrele thme du jour. Il a t fait

    C.p.f.p (Centre de promotion de la femme en politique)Les femmes invites se prsenter,massivement, aux lections locales

    Le C.p.f.p (Centre de promotion de la femme en politique) a lancune campagne de sensibilisation et de formation des femmescandidates aux lections locales de 2014. A cet effet, une conf-rence-dbat a t organise sur le thme:Dmocratie repr-sentative, dmocratie participative, jeudi 6 mars dernier, laprfecture de Brazzaville, sous le patronage de Mme EmilienneRaoul, prsidente du C.p.f.p. Cest Lucien Banga, directeur descomptences et des institutions locales la direction gnraledes collectivits locales, qui a dvelopp le thme de la conf-rence, devant une assistance compose, en grande partie, defemmes.

    observer, notamment, que laforme de dmocratie participa-tive nest pas encore trs pous-se au Congo.Alain Patrick MASSAMBA

    Mme Emilienne Raoul.

    Cerpac (Centre dchangeset de ressources pour la

    promotion des actions communautaires)

    Les femmes de Matombimilitent pour une prise

    en charge socialeet conomique

    A loccasion de la journe internationale de la femme, le Cerpac(Centre dchanges et de ressources pour la promotion des ac-tions communautaires)a organis, en partenariat avec lA.m.d.d(Association Matombi pour le dveloppement durable), une cau-serie-dbat, lcole primaire Mama Antoinette Sassou Nguesso, Matombi, un village situ 20 Kms de Pointe-Noire, dans ledpartement du Kouilou, sur le thme: Progrs social et co-nomique Matombi, cest lgalit pour toutes et tous. Ctaiten prsence de Georges Mapola, coordonnateur du C.v.p.f.n.l(Centre de valorisation des produits forestiers non ligneux) etde Bienvenu Kokolo, coordonnateur de lU.d.l.s.K (Unit dpar-tementale de lutte contre le sida au Kouilou).

    Au cours de la causerie-dbat consacre la journe internatio-nale de la femme, Raymond Janssens, prsident de lA.m.d.d,ancien reprsentant de lUnicef au Congo, a fait lhistorique deson association et les objectifs quelle poursuit. A son tour, MmeGirna Boulamba, charge de la communication du Cerpac, a re-trac lhistorique de la journe et les raisons du choix du villageMatombi, pour cette causerie-dbat.Deux thmes ont t dvelopps: lun a port sur le sida, et l-autre sur Limportance de la culture du gnetum et de lapicul-ture, prsent par Georges Mapola, coordonnateur du Centrede valorisation des produits forestiers non ligneux. Liant la tho-rie la pratique, deux femmes du C.v.p.f.n.l ont dmontr lesbienfaits phyto-thrapeutiques et lintrt cologique et cono-mique du planting du gnetum (fumbu) et de dveloppement delapiculture dans le village.Dans un style franc et direct, Bienvenu Kokolo a dfini la pand-mie du sida, les modes de transmission de la maladie et lesmoyens de prvention. Sur ce dernier point, il a mis laccent surle dpistage volontaire, pour que chacun connaisse son statutsrologique.Dans un change participatif, la vulnrabilit conomique desfemmes a t reconnue par lassistance comme la cause princi-pale de leur exposition au V.i.h-sida.Pour conclure, Mme Nelly-Franoise Comte, coordonnatrice duCerpac, a encourag les femmes participer aux activits delassociation en leur faveur et den tirer profit, pour leur dve-loppement social et conomique.Le village Matombi dispose dune cole primaire, dun centreprscolaire et dun cycle dalphabtisation pour adulte, dont laplus jeune lve, Christine Dola, clbrera ses 80 ans, en juinprochain. Interroge, Mme Christine Dola a lou linitiative etremerci les organisateurs, tout en souhaitant la prennisationde lactivit.De son ct, Mme Henriette Sitou Zinga, sest dite satisfaite desinformations reues sur le V.i.h-sida: Je suis trs ravie de fairela connaissance de la maladie du sida, aujourdhui, du fait quecest la sant non seulement du couple, mais aussi, des enfantsqui est en pril, lorsque le couple est atteint. En plus, je ne sa-vais pas que le dpistage et le traitement sont gratuits.Il est a not que le Cerpac est une organisation dappui au dve-loppement conomique des territoires. Il intervient dans le ca-dre dun partenariat auprs des communauts locales, des or-ganisations sociaux professionnelles, des collectivits localeset dans la R.s.e (Responsabilit socitale des entreprises). Sastratgie dintervention est base sur la mobilisation des acteurslocaux (population locale).

    Nollie BOUANGA

    Les femmes constituent lacouche la plus importan-te de la population congo-laise. Mais leur situation socia-le est, toujours, proccupante,au Congo. Cest pourquoilUnesco, par la voix de sa re-prsentante au Congo, souhai-te apporter sa pierre ldifice,afin de relever le dfi de lint-gration de la femme au dve-loppement et de lui permettrede jouer son rle dans les sph-res de dcision.Ludovic Oniangu a prsent la diplomate onusienne le do-cument de politique nationalegenre du Ministre et a expri-m le besoin dun consultantpour laider dans lvaluationde ce document. Nous pen-sons que votre arrive est trssalutaire pour nous. Notre coo-pration sera, jen suis sr, trsfructueuse, a dclar le direc-teur de cabinet du ministre dela promotion de la femme et delintgration de la femme audveloppement.A son tour, la reprsentante delUnesco au Congo a remerci

    le Ministre pour les docu-ments qui lui ont t prsents.Elle pense tre des cls den-tre dans le pays, parce quil ya plusieurs cls dentre etlune delles peut tre partirde la situation de la femme.Pour moi, ce sont des docu-ments qui pourront inspirer

    mon action, a-t-elle dit.Au sujet du consultant, MmeAna Elisa De Santana a souhai-t que pour faire lvaluation, ilfaut, dabord, renforcer les ca-pacits des personnels au ni-veau interne, parce que mmele consultant qui pourra venir,ne travaillera que dans un en-vironnement o les personnesdisposent dj de bonnes ba-ses pour dvelopper ce travail.LUnesco a des outils de for-mation sur la problmatiquegenre du Congo, des modulesde formation qui sont de libreaccs, je ne sais si vous lesutilisez. L, ce serait, peut-tre,dj une action que nous pour-rions partager avec vous, a-t-elle dit. Et dajouter: Je nevous dis pas quelle va donnerune assistance financire pourfaire cette analyse, par contre,nous sommes disposs, moi,

    personnellement, je suis prte travailler avec vous, pourquon puisse dvelopper unprojet ensemble et avec le sou-tien de lUnesco et des autresbailleurs, pour renforcer lescapacits de votre ministre.Lducation tant lune despriorits de son organisation,la reprsentante de lUnescona pas manqu dinsister surlducation des filles et desfemmes. Elle a, galement, sug-gr de partager avec le minis-tre, le rcent rapport sur lga-lit de genre en ducation quevient de publier lUnesco.Aux femmes de saisir locca-sion offerte par lorganisationdes Nations Unies pour ldu-cation, science et culture.

    EsperanciaMBOSSA-OKANDZE

    Ministre de la promotion de la femme et de lintgration de la femme au dveloppement

    LUnesco entend apporter son appui pouramliorer la situation de la femme congolaiseUn mois et quelques jours aprs son arrive au Congo, Ana ElisaDe Santana, nouvelle reprsentante de lUnesco au Congo, ac-compagne dune collaboratrice, sest entretenue, jeudi 13 mars2014, avec Ludovic Oniangu, directeur de cabinet de la minis-tre de la promotion de la femme et de lintgration de la femmeau dveloppement. Ceci, pour simprgner de la situation de lafemme et de la jeune fille congolaise et exploiter les domainesprioritaires de coopration avec le Congo en matire dgalitdes genres et sur le rle de la femme dans la construction de lapaix. A cet effet, la diplomate onusienne a annonc la mise enplace dun rseau de femmes et culture de la paix, au cours dunerunion prvue du 20 au 22 mars prochain, en Belgique.

    Ana Elisa De Santana.

    Les deux parties pendant l'entrevue.

    Pendant la causerie-dbat.

    Lassemble locale est un organe de gestion dune collectivit locale ola femme est quasi absente.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 8

    ANNONCE

    La socit COPASOL S.A, socit mixte, ba-se OYO, recherche, pour sonexpoitation, les cadres pour les postes ci-aprs:

    Description du recrutement:Les candidats sont demands prsenter,avant le premier avril 2014, leur C.V. et do-cuments certifis (copie de diplme, copiede pice didentit, etc). La rmunrationdes postes sera ngocie pendant lentre-tien dembauche. Le lieu daffectation est OYO, Rpublique du Congo.

    Contact: M. HU Kailong, tlphone:06 844 53 72, boite aux E-mails:[email protected], Adresse:

    Centre-ville, Brazzaville,Rpublique du Congo.

    Dsignation du poste: Directeur du Mar-keting, 01

    Description du poste: 1, la planification dumarketing et la vente des panneaux solai-res et leurs produits lis; 2, llargissementprogressif dautres affaires lies au do-maine de lnergie solaire; 3, la prise encharge du dveloppement et du maintiende la relation clientle; 4, assurer la livrai-son des projets concerns; lamliorationcontinuellement de la satisfaction de laclientle; 5, la prise en charge des servicesaprs-vente des produits et la gestion desstocks des produits finis.

    Profil Recherch: 1, lexprience de travailde plus de 5 ans sur la vente et le marke-ting de produits industriels; de bonnes ap-titudes de communication; un bon exploitsur la vente et un bon rseau de clientle;2, une certaine connaissance sur les pan-neaux solaires et les produits lis.

    Dsignation du poste: Directeur Adjoint dela production et de la technique, 01

    Description du poste: aider le directeur dela production et de la technique la ges-tion de la production, le contrle de qualitet lamlioration du systme de lentretiendes quipements.

    Profil Recherch: 1, lexprience de travailde plus de 4 ans comme responsable de lagestion de production et du contrle dequalit dans des entreprises industrielles;2, une certaine connaissance sur lentre-tien des quipements et des installationsindustrielles (daration, dvacuation de fu-mes, etc.).

    Dsignation du poste: Chef de service fi-

    Appel candidaturesnancier, 01Description du poste: 1, la prise en chargedu fonctionnement journalier de la finance etde la comptabilit; 2, aider le directeur fiancier tablir, amliorer et appliquer le systme etla procdure de la gestion financire; 3, la sur-veillance et le contrle contre les activitsconomiques dfavorables aux intrets delentreprise; le contrle de la dpense descots de reviens dans le cadre du budget; 4,lorganisation de la formation et la gestion dufonctionnement journalier du dpartement fi-nancier;

    Profil Recherch: 1, titulaire dun certificatde lexpert comptable; lexprience de travailde plus de 2 ans comme responsable comp-table; une bonne connaissance sur la proc-dure des rgles financires de lentreprise etsur les diffrentes lois fiscales du gouverne-ment congolais; 2, la pratique des logicielsfinanciers ORACLE ou SAP.

    Dsignation du poste: Chef de service desRessources Humaines, 01

    Descriptions du poste: 1, aider le directeurdes ressources humaines et de ladministra-tion tablir les politiques de la gestion desressources humaines et complter les for-mulaires dopration et les fichers de travail,etc; 2, le recrutement et la formation du per-sonnel ainsi que la formation de la culture delentreprise; 3, la normalisation et lapplica-tion des politiques dvaluation de la perfor-mance de lentreprise et des politiques de larmunration et le bien-tre du personnel; 4,le traitement des relations de travail du per-sonnel et des affaires juridiques lies au per-sonnel; 5, aider les directeurs de lentreprise amliorer la satisfaction et la productivitdes employs.

    Profil Recherch: 1, lexprience de travailde plus de 2 ans dans le domaine des res-sources humaines; 2, bonne connaissancesur la loi de travail, et sur la procdure et lapolitique de la gestion des ressources humai-nes.

    Dsignation du poste: Chef de service admi-nistratif, 01

    Description du poste: 1, la gestion des affai-res administratives de lentreprise, du person-nel local et tranger; 2, la gestion des fourni-tures de bureau; 3, la gestion du patrimoinemobilier et immobiliers; 4, assurer la gestion,lentretien et la rparation des btiments, v-hicules; 5, la gestion du systmes de la scu-rit; 6, lvaluation rgulire des employs;la coordination du travail au sein de lentre-prise.

    Profil Recherch: lexprience de travail deplus de 2 ans dans le domaine administra-tif dune entreprise.

    Dsignation du poste: Ingnieur de la ges-tion de production, 02

    Description du poste: 1,organiser et coor-donner les ouvriers sur les chanes de pro-duction pour lachvement des tches deproduction; 2, assurer la qualit de produc-tion; 2, la transmission des rapports con-cernant les donnes de production; 3, lagestion, lvaluation et la motivation desouvriers sur la chane de production.

    Profil Recherch: lexprience de travail deplus de 1 an sur la gestion de production.

    Dsignation du poste: Ingnieur de main-tenance des quipements, 01

    Description du poste: 1, assurer, de ma-nire correcte, la manipulation, lentretienet la rparation des divers quipements etinstallations sur la chane de production;2, lanalyse rgulire de ltat de travail desquipements et la fourniture des rapportsconcernant lentretien et la rparation desquipements.

    Profil Recherch: 1, porteur dun diplmegal ou suprieur la licence en mcanismeet lectricit; 2, lexprience de travail deplus de 2 ans sur lentretien et la rpara-tion des quipement et installations.

    Dsignation du poste: Chef de service Lo-gistique, 01

    Description du poste: 1, la gestion des af-faires douanires concernant limportationde tous les matires premires et lexpor-tation des produits finis; 2, la gestion desentrepts et du transport des matires pre-mires et des produits finis au Congo.

    Profil Recherch: lexprience de travail deplus de 3 ans en matire de la gestion com-plte de la logistique tels que le ddouane-ment local, lentrept et le transport; labonne connaissance sur les diverses loiset rglements douaniers ainsi que sur lemarch du transit et du transport au Congo.

    N.B.: Le directeur du Marketing est attachdirectement au Directeur Gnral, alors queles chefs de services sont attachs direc-tement leur Directeur Dpartemental, ainsique les ingnieurs. Une bonne connais-sance en anglais est demande pour tousles postes. La pratique de la langue chi-noise serait un atout supplmentaire.

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 9

    VIE DES ENTREPRISES

    Lquipage de Total E&PCongo au rallye Acha desgazelles, cette anne, estcompos de Princilia Pangou-Mabiala, chef de projets dve-loppement humain la Divi-sion dveloppement durable, etMaureen Tchissambo Dola,opratrice exploitation au Ter-minal de Djeno. Lors de leurprsentation, le directeur gn-ral de Total E&P Congo les a ex-hortes beaucoup dendu-rance, de persvrance et sur-tout de solidarit, qui est labase de la russite. Cest unepreuve trs intressante aucours de laquelle, pendant dixjours, les concurrentes vontaffronter toutes sortes dpreu-ves Nous prsentons, cetteanne, un binme soud etcroyons qu larrive, il le seraencore plus, a dit BabakBagherzadeh.En effet, au-del de laspectsportif, le rallye Acha des ga-zelles vise dvelopper, chezles participantes, des qualitstelles que le self-control, et lasolidarit. Une sorte de forma-

    tion humaine autant bnfiquepour les gazelles que pourles populations riveraines duparcours de ce rallye. Autourde ce rallye, nous allons c-toyer beaucoup de personnes.Cest aussi loccasion de met-tre en place des actions carita-tives, a expliqu PrinciliaPangou-Mabiala. Cette solida-rit sest dj concrtise tra-vers laction de collecte orga-nise au profit de la caravanecur de gazelles.Il nempche quil sagit, avant

    Rallye automobile Acha des gazelles au MarocPrincilia Pangou-Mabiala et Maureen Tchissambo

    Dola forment lquipage de Total E&P CongoPrincilia Pangou-Mabiala et Maureen Tchissambo Dola vont re-prsenter la socit Total E&P Congo au rallye automobile Achades gazelles, le seul rallye raid qui met en comptition, depuis1990, des femmes de 18 65 ans et de 33 nationalits diffren-tes, dans le dsert marocain. Avant leur dpart, les deux gazel-les congolaises ont t, officiellement, prsentes, le 5 mars der-nier, au cours dune crmonie conviviale au Derrick, Pointe-Noire, sous le patronage de Babak Bagherzadeh, directeur g-nral de Total E&P Congo, socit qui participe, pour la cinquimefois, ce rallye-raid.

    tout, dune course mcaniqueet donc dune comptitionsportive. Pour cela, les deuxreprsentantes de Total E&PCongo se sont prpares pourremporter la comptition, outout au moins occuper uneplace honorable. Nous par-tons ce rallye le cur remplide motivation. Nous avons ap-pris utiliser une cartographiepour nous reprer en fonctionde son relief. Nous avons ap-pris conduire dans les dunes.Techniquement et mentale-

    La confrence-dbat a per-mis de faire linventairedes innovations interve-nues dans la loi de finances2014, mais aussi pour examinerles chantiers des rflexionsouverts. Ce genre de rencontreconstitue une sorte de balisepour les entreprises qui, d-faut davoir une grande matrisedes diffrents contours de la loides finances, devraient aumoins en avoir une connais-sance pointue. Ce qui leur per-mettrait dviter une navigation vue qui peut les exposer dessanctions qui sont souvent trslourdes de consquence.Cest M. Mose Kokolo, asso-ci, conseil fiscal agr Cemac,quest revenue la charge depasser en revue les diffrentschangements intervenus danscette loi de finances. LAssoci,conseil fiscalagr Cemac arappel les grandes modifica-

    tions en matire dimpt sur lesrevenus des personnes physi-ques et sur les revenus despersonnes morales. Notam-ment avec les ramnagementsdes tranches de limpt sur lerevenu des personnes physi-ques, la baisse du taux de lim-pt sur les socits qui estpass de 33 30%. A noterquen matire de dterminationdu bnfice imposable, un cer-tain nombre de charges sontdsormais pris en compte. Ilsagit des dons et des librali-ts faits en faveur du soutienet du dveloppement du sport,ainsi que les contributions, lesdons et versements consentislors de la survenance des cala-mits naturelles ou des catas-trophes accidentelles.Sur le chapitre des taxes lies lexercice dune activit, M.Kokolo a relev que de nouvel-les dispositions de la patente

    sont introduites dans le codegnral des impts et se carac-trisent par une certaine sim-plification. Ainsi, aujourdhui

    on peut considrer que toutesles personnes charges depayer la patente peuvent treen mesure de la liquider. On a

    not que la pression fiscale r-sultant de cette modification ence qui concerne la patentestricto sensu reste probable-ment assez forte pour les en-treprises qui ralisent un chif-fre daffaires de plus de 10 mil-liards de F Cfa.A propos de la taxe sur la va-leur ajoute, il a t indiqu au

    mes de lI.r.p.p qui a permis certain salaris de raliser uneconomie fiscale de plus de120.000 F. Cfa. Il y a aussi lataxation des plus value descessions indirectes des droitssociaux et des actifs, lenregis-trement des cessions de cran-ces de lEtat, la taxe doccupa-tion des locaux (Tol) qui nexis-tait pas avant, a dit M. Kokolo.Interrog sur la qualit de lacommunication, un participantsest dit satisfait des thmesabords, et surtout du fait quchaque occasion, les expertsde PricewaterhouseCoopersleur indiquent les dispositions

    Cabinet PricewaterhouseCoopersLes entreprises de Pointe-Noire difies sur

    les nouvelles dispositions de la loi de finances 2014Le cabinet PricewaterhouseCoopers, spcialis en audit comp-table, conseil juridique et fiscal, a organis, jeudi 27 fvrier 2013, lhtel Atlantic Palace de Pointe-Noire, une confrence-dbatsur la loi de finances 2014, lattention des gestionnaires definances etressources humaines des socits partenaires. Cetteconfrence-dbat sest droule sous la houlette de ProsperBizitou, associ-directeur gnral du cabinet, conseil fiscal agrC.e.m.a.c (Communaut conomique et montaire de lAfriquecentrale), avec comme confrencier principal, M. Mose Kokolo,associ, conseil fiscalagr C.e.m.a.c, assist de Mlle ZitaMbwana-Makumbu, expert fiscal, senior manager, et DacinMatondo-Mbika, manager audit. Environ une centaine de chefsdentreprises, directeurs de ressources humaines et comptablesdentreprises, ont pris part cette rencontre.

    cours de cette rencontre uneinnovation qui pourrait passerinaperue, mais qui en termesde trsorerie peut avoir un ef-fet positif. Il sagit de cette pos-sibilit donne de ne plus su-bir la rgle du dcalage dunmois en ce qui concerne la d-ductibilit de la T.v.a.Sur les autres changements, leconfrencier a signal le pla-fonnement des intrts de re-tard, en cas de paiement dim-pt forfaitaire sur les socits,le ramnagement des bar-

    prendre pour ne pas subir despnalits de la part de ladmi-nistration fiscale. Ce qui con-forte Prosper Bizitou dans sonrle de conseil. Nous sommesdisposs accompagner lesentreprises dans leur gestionquotidienne pour mieux com-prendre les contours de la loides finances 2014, notammentdans ses nouvelles disposi-tions, a-t-il conclu.

    Paul TCHIOMVO

    ment, nous sommes prtes, arassur Princilia. Et MaureenTchissambo Dola de renchrir:Notre objectif premier est determiner la course et occuperun bon classement final est ledeuxime challenge. Certes, lerallye est trs prouvant, mo-ralement, intellectuellement etphysiquement, mais nous,nous voulons tre larrive durallye, a-t-elle dit.Les deux nouvelles gazellescongolaises ont eu lappui desanciennes venues cette cr-monie pour les encourager.Latifa Briziz, contrleur interne Total E&P Congo, participanteau dernier rallye et marrainedes nouvelles gazelles, se ba-sant sur son exprience de lan-ne dernire o elle tait 15meau classement par quipe etpremire de lensemble desquipages du groupe Total, adit ses deux consurs et col-lgues davoir surtout con-fiance en elles: Cest un ral-lye o la stratgie compte beau-coup.Notons que la prsentation desdeux reprsentantes de TotalE&P Congo sest droule enprsence de Mme Anne-MarieMampouya-Kouka et M. JosephBiangou Ndinga, respective-ment directrice dpartementalede la promotion de la femme etdirecteur dpartemental dessports et de lducation physi-que de Pointe-Noire. Ils ontlou cette initiative qui fait hon-neur aux femmes et, par unheureux concours de circons-tance, tombe en ce mois demars consacr par les Nationsunies la promotion des droitsde la femme et lgalit.

    Paul TCHIOMVO

    Princilia Pangou-Mabiala et Maureen Tchissambo Dola (en polo blanc) encourages par les directeurs de divi-sions.

    Le rallye Acha des gazelles,une grande preuve pour les quipages.

    Mose Kokolo. Prosper Bizitou.

    Les participants.

    De g. dr: Mose Kokolo, Prosper Bizitou et Mlle Zita Mbwana-Makumbu

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 10

    ANNONCESREPUBLIQUE DU CONGO

    -=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-MINISTERE DE LAGRICULTURE ET DE LELEVAGE

    -=-=-=-=-=-=-=PROJET DE DEVELOPPEMENT RURAL DANS LES DEPARTEMENTS DE LA LIKOUALA, DU POOL ET DE LA SANGHA (PRODER 3)

    -=-=-=-=-Financement: FIDA/GOUVERNEMENT

    -==-=-=

    AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION DINTERETAMI N 02/2014/P3/UCP/RPM

    RECRUTEMENT DUN CABINET DEXPERTISE COMPTABLECHARGE DE REALISER LAUDIT DES COMPTES DU PRODER 3,

    EXERCICES 2013.I- Contexte et justificationLa Rpublique du Congo a obtenu un don du Fonds Interna-tional de Dveloppement Agricole (FIDA) et un Prt de lOr-ganisation des Pays Exportateurs de Ptrole (OPEP) respec-tivement n 8019 CG du 08 octobre 2008 et n 1295 P du 17avril 2018 dun montant total de 18674000 de dollars US,pour financer le Projet de Dveloppement Rural dans lesDpartements de la Likouala, du Pool et de la Sangha(PRODER 3).Une partie des fonds du don seront utiliss pour effectuerles paiements prvus au march relatif au prsent Avis manifestation dintrt concernant laudit des comptes duPRODER3, exercices 2013.Afin de sassurer de la bonne gestion des fonds mis ladisposition de lUnit de Coordination du Projet, le Pro-gramme dAppui au Dveloppement des Filires Agricoles(PADEF), invite les cabinets dexpertise comptable, intres-ss par ladite mission soumettre leurs offres, sous plisferms pour ltablissement de la liste restreinte.

    II- Objectif de la mission du ConsultantLobjectif de laudit financier et comptable est de permettredexprimer une opinion sur le contrle interne, sur les comp-tes spciaux et sur les tats financiers et comptables duProjet la fin de chaque exercice fiscal et sassurer que lesressources mises la disposition du Projet sont utilisesaux fins pour lesquelles elles ont t octroyes en vue delatteinte de lobjectif de dveloppement du Projet.Les tats financiers, qui sont tablis par lUnit de Coordi-nation du Projet (UCP) du PRODER 3 sont labors de ma-

    nire rendre compte des transactions financires du Projet.

    III- Qualit du consultantLe Consultant doit tre un Cabinet dAudit et dExpertiseComptable indpendant, faisant profession habituelle de rvi-ser les comptes, rgulirement inscrit au tableau dun Ordredes Experts-Comptables reconnu au plan international parlIFAC ou la FIDEF, ayant une exprience confirme en auditfinancier des projets de dveloppement et acceptable par leFIDA.

    IV- Profil du consultantLe Consultant doit tre un cabinet dAudit de rputation inter-nationale.Une bonne connaissance des procdures en matire de ges-tion financire et de passation des marchs des bailleurs defonds internationaux est requise.Lassoci signataire du Cabinet doit tre un expert comptablediplm inscrit auprs dun ordre comptable reconnu.Le Directeur responsable de la mission doit avoir une exp-rience minimum de dix (10) ans dans des missions dauditssimilaires et le Chef de mission doit avoir au moins un diplmeniveau BAC + 5 ou plus en audit, comptabilit et justifiant duneexprience de 5 ans au moins daudit financier.

    La prsence dans lquipe dun spcialiste en passation demarchs, ayant au moins 3 ans dexprience dans la connais-sance des procdures et Directives du Fonds International deDveloppement Agricole (FIDA) en matire de passation desmarchs, serait un avantage.

    V- Dure et lieu de la missionLa mission se droulera en une seule phase Brazzaville.Elle durera deux (2) trois (3) semaines et consistera auditer lexercice 2013..La mission se droulera dans les dlais ncessaires pour lasoumission du rapport daudit finalis aux bailleurs de fondsavant le 30/06/2014.

    VI- Manifestation dintrtLe Programme dAppui au Dveloppement des Filires Agri-coles (PADEF) invite les consultants intresss se faireconnatre et fournir des informations sur leur exprienceet leur comptence en rapport avec la nature de la mission(brochures, rfrences concernant lexcution des contratsanalogues, exprience dans les conditions semblables, dis-ponibilit des connaissances ncessaires parmi le person-nel, CV du personnel prouvant quils sont qualifis pour ex-cuter ladite mission, etc.). Sur cette base une liste restreintede consultants ayant les qualifications les plus pertinentessera tablie, en conformit avec les directives Slection etEmploi de Consultants par les (SFQC).Les consultants intresss peuvent obtenir des informationssupplmentaires au sujet des documents de rfrence (Ter-mes de rfrence et calendrier de la mission), ladresseindique ci-dessous et aux heures suivantes: du lundi auvendredi de 8 heures 16 heures (heure locale).

    VII- Dpt des dossiersLes manifestations dintrt doivent tre adresses au plustard le 31 mars 2014 12 heures, sous pli ferm et cachet,avec mention Avis de Manifestation dIntrt N02/2014/PS/UCP/RAF, pour le recrutement dunCab inet dexpertisecomptable charg de laudit des comptes du PRODER 3, exer-cices 2013.

    PROGRAMME DAPPUI AU DEVELOPPEMENTDES FILIERES AGRICOLES (PADEF)

    Secrtariat, Sis au 2057 de la rue LOUFOU Bis,quartier Batignolles, Plateaux des 15 ans, Moungali

    Tl: 00242 06658 59 19 / 06644 75 07Email: [email protected] Rpublique du Congo.

    Le Coordonnateur National

    Aurlien Evariste BABINGUI

    1. Constitution:Aux termes dun acte authentique en date Braz-zaville du 15 janvier 2014, reu en lEtude de Ma-tre Salomon LOUBOULA, Notaire Brazzaville,dment enregistr la Recette de lEnregistrement,des Domaines et Timbres de Poto-poto, Brazza-ville, le 20 fvrier 2014, sous f34/8 n525, il a tconstitu une socit prsentant les caractristi-ques suivantes: Dnomination: COMMERCE REPRESENTATIONET TRAVAUX DIVERS; Forme: Socit Responsabilit Limite; Objet: La socit a pour objet, en Rpublique duCongo, limport-export et le commerce gnral, lecourtage commercial et industriel, la constructionde btiments industriels, de btiments architec-ture moderne, de tous immeubles, les gros uvres,pour le compte des matres douvrage privs etpublics, la ralisation de tous travaux damnage-ments intrieur et extrieur, limportation et la ventedes matriaux de construction, limportation et lavente des matriels et quipements divers, mobi-liers de bureaux et des coles. Et, gnralement,toutes oprations financires, commerciales, in-dustrielles, mobilires et immobilires, pouvant serattacher, directement ou indirectement, lobjetci-dessus ou tous objets similaires ou conne-xes; Sige social: Le sige social est fix BRAZZA-VILLE (CONGO), Case J 122 V, OCH, Moungali; Dure: La dure de la socit est fixe 99 an-nes; Capital: Le capital social est fix la somme de5.000.000 F. CFA (Cinq Millions de Francs CFA). Ilest divis en 500 (cinq cents) parts de 10.000 F.

    Etude de Matre Salomon LOUBOULANotaire titulaire doffice en la rsidence de Brazzaville

    Immeuble Rsidence de la Plaine, Premier tage, Place march de la PlaineCentre-ville, Bote Postale: 2927, Brazzaville, Rpublique du Congo

    Tlphone: (00242) 06 677 89 61E-mail: [email protected]

    INSERTION LEGALECOMMERCE REPRESENTATION ET TRAVAUX DIVERS

    EN ABREGE C.R.T.D SARLSOCIETE A RESPONSABILITE LIMITEE

    AU CAPITAL DE 5.000.000 F. CFASIEGE SOCIAL: CASE J 122 V, OCH MOUNGALI III

    BRAZZAVILLE - REPUBLIQUE DU CONGO/RCCM NCG/BZV/14 B 4961.CFA (dix mille Francs CFA) chacune, entirementsouscrites, numrotes de 1 500;II. Dclaration notarie de souscription et de ver-sement:Aux termes dune dclaration notarie de sous-cription et de versement reue par Matre Salo-mon LOUBOULA, le 15 janvier 2014 et enregis-tre BRAZZAVILLE, le 20 fvrier 2014, sous f34/8 n525, il a t constat que toutes les partssouscrites ont t intgralement libres;III. Administration:LAssemble Gnrale Constitutive de la socitC.R.T.D. SARL, tenue Brazzaville, le 15 jan-vier 2014, a nomm, en qualit de premiers g-rants de la socit:- Monsieur OBARA-NGOLI Franois Le Prince etMonsieur BADINGA-BIKINDOU Euloge Fabrice,tous deux de nationalit congolaise, demeurant Brazzaville, 07, rue Ollou, Massengo et 10,rue Ondziel, Moungali, Rpublique du Congo.IV. Dpt lgal:Le dpt des actes constitutifs de la socit at entrepris, le 12 mars 2014, au Greffe du Tri-bunal de Commerce de BRAZZAVILLE, par lessoins du Notaire soussign.V. Formalit - Immatriculation:La socit C.R.T.D. SARL a t immatriculeau Registre du Commerce et du Crdit Mobiliertenu au Greffe du Tribunal de Commerce deBRAZZAVILLE, le 12 mars 2014, sous le numroCG/BZV/14 B 4961.

    Pour insertion lgale,Matre Salomon LOUBOULA

    A LA REQUTE, POURSUITES ET DILIGENCES DE:Monsieur ABDOULAYE SOW, de nationalit Malienne,mari, pre de famille, commerant, demeurant et domi-cili au quartier 7/7 de Dany, derrire la buvette NgandaMOPAO, 184, rue Likouala Ti-Ti, Arrondissement n3,Tl.: 06.626.06.38/05.565.09.67, Pointe-Noire.Ayant constitu Matre Clestin MFOUTOU, Avocat laCour, Cabinet sis Boulevard du Gnral Charles DEGAULLE, immeuble de la C.N.S.S, en face de la Ptisse-rie La Citronnelle, Entre A, 6me tage, porte 109, Cen-tre-ville, Pointe-Noire;EN VERTU:La Grosse de lArrt civil dment en forme excutoire du09 Juillet 2010 de la Cour dAppel de Pointe-Noire et parsuite dun Commandement aux fins de saisie du 09 Mai2011 servi par Matre Romuald GOMA TCHIBINDA dpos la Conservation Foncire suivant procs-verbal du 26Mai 2011 par le mme Huissier.Il sera procd la vente aux enchres publiques au plusoffrant et dernier enchrisseur des immeubles dont ladsignation suit:DESIGNATION ET MISE A PRIX:Outre les charges, clauses et conditions nonces aucahier des charges dress et dpos au Greffe du Tribu-nal de Grande Instance, le 28 Aot 2011, par Matre C-lestin MFOUTOU, les enchres seront reues par le Mi-nistre dAvocat, sur les mises prix et pour les immeu-bles en deux (2) lots dsigns, respectivement commesuit:- Premier lot:Immeuble sis quartier Aroport, alignement Htel LameVoix, constitu dune parcelle btie prvu en R+1 tageinachev. Au rez-de-chausse: 1 salon, 3 chambres, toi-lettes, cadastre n4, bloc 09, Section M2, Superficie388m2, habitable.Mise prix: 60.000.000 F.CFA- Deuxime lot:Immeuble sis Ti-Ti, Avenue de lIndpendance, quar-tier DUO, constitu dune parcelle btie contenant unimmeuble R+1 compos de 4 appartements, cadastreparcelle n19, Bloc 51, Section X, Superficie 206m2 con-tenant des surfaces commerciales et des appartements

    INSERTION LEGALEFIXATION DES CONDITIONS PUBLICITE

    EN VUE DE LA VENTELe Cabinet de Matre Clestin MFOUTOU, Avocat la Cour, Cabinet sis au Boulevard du Gnral

    Charles DE GAULLE, Immeuble de la C.N.S.S, en face de la Ptisserie La CitronnelleEntre A, 6me tage, porte 109, Centre-ville, Pointe-Noire.

    VENTE SUR SAISIE IMMOBILIERE AU PLUS OFFRANT ET DERNIER ENCHERISSEUREn laudience des Saisies Immobilires du Tribunal de Grande Instance de Pointe-Noire, auPalais de Justice, en face du Consulat Gnral de France, Pointe-Noire, salle ordinaires

    desdites audiences, le 29 Mars 2014, huit (8) heures.de 2 chambres et salon, cuisine et toilettes.Mise prix: 50.000.000 F.CFAEtant prcis que lesdits lots seront vendus chacun ind-pendamment.BIENS SAISIS SUR:La Succession NDONGO ALASSANE SAMBA, composede Oumar Mamadou SAMBA, Abdoulaye Harouna,DJEYNABA, AMINATA, Mariam RAMATA, KARDIATOU,OUMOU, Ibrahim, Ismal ISSAGA et THIAM Aminata, re-prsente par Monsieur NDONGO OUMAR ALASSANE,domicili et demeurant 42, rue BOUETA MBONGO, quar-tier SIC Ti-Ti, Arrondissement 3 Ti-Ti, Pointe-NoireAyant pour avocat Matre Roger BONGOTO, postulant parlEtude Claude Jol PAKA, 19, Avenue JacquesOPANGAULT, rez-de-chausse de lHtel RsidenceHERMINA, face la Foire, zone industrielle, B.P: 565; Tl.:(242) 05.715.29.05/06.619.75.45, Pointe-Noire.En sa prsence o elle est dment appele.Sadresser, pour renseignements1/Matre Clestin MFOUTOU, Avocat la cour,Cabinet sis au Boulevard du Gnral Charles DE GAULLE,Immeuble de la C.N.S.S, en face de la Ptisserie La Ci-tronnelle, entre A, 6me tage, porte 109, Centre-ville,Pointe-Noire; Tl.: 22.994.47.81/05.521.46.03; B.P: 4287,Pointe-Noire, rdacteur du cahier des charges.2/Au Greffe du Tribunal de Grande Instance de Pointe-Noire, o le cahier des Charges est dpos, en sadres-sant A Monsieur le Greffier en Chef dudit Tribunal y do-micili en cette qualit.3/A Matre Romuald GOMA TCHIBINDA, Huissier de Jus-tice, Commissaire-Priseur prs les juridictions de Pointe-Noire, Etude sise Boulevard Charles DE GAULLE, courintrieure, immeuble Ex-Martins, entre gauche de laPharmacie Croix du Sud, Tl.: 06.663.41.75/05.593.21.01,Pointe-Noire.4/Sur les lieux et vente

    Fait et sign Pointe-Noire, le 06 mars 2014

    Par lAvocat poursuivant soussign,

    C. MFOUTOU

  • LA SEMAINE AFRICAINE N3376 du mardi 18 mars 2014 - PAGE 11

    SOCIETE

    Chevron Overseas (Congo) LimitedSuccursale

    Immeuble Chevron CongoAvenue de MangoungouB.P. 1295 - Pointe-NoireRpublique du Congo

    RCCM no: CG/PNR/09 B 903Tl: 242 22 294 51 10 / 11

    Fax: 242 22 294 15 02

    Comptences/Connaissances Techniques re-quises pour le poste- tre de nationalit Congolaise (Rpubliquedu Congo-Brazzaville).- Diplme de technicien suprieur (BAC +3)en science physique ou dominante mcani-que avec une exprience des machines tour-nantes utilises en production ptrolire. Uneconsidration spciale serait accorde au can-didat dtenteur dun diplme ayant quelquesaspects en ingnierie des oprations ptro-lires, compltion et forage.- Bonne connaissance de langlais/franais(Oral/crit). Les comptences en anglais se-ront testes.- Exprience professionnelle dun minimum de10 ans dans la production offshore avec lacapacit de comprendre le bon fonctionne-ment des installations les plus complexes dela production ptrolire et de gaz.- Exprience dans lutilisation des dbitmtres phases multiples Coriolis et des schmasde tuyauterie & instrumentation.- tre capable de travailler efficacement dansun environnement multidisciplinaire etmulticulturel.- Solide connaissance dans la ralisation desoprations sans incident et blessures avec unniveau lev dengagement aux normes HSE.- Exprience dans llaboration et la mise enoeuvre de nouvelles procdures en vue desassurer que la compagnie rpond aux exi-gences de conformit.

    Avis de RecrutementReprsentant des Oprations Lianzi BBLT (poste en Rotation (28-28)

    en Offshore Cabinda, Rpublique dAngola)Composition du dossier de candidature

    - Lettre de motivation et CV avec photo criten Franais/Anglais- Certificat de nationalit + copie du diplmeci-dessus cit + copies des certificats de tra-vail justifiant que vous avez occup un postesimilaire (obligatoires). Loriginal du diplmesera exig en cas de pr-slection de votrecandidature. Toute dclaration mensongre dedocument disqualifiera la candidature ceposte et toute autre offre demploi Che-vron Overseas Congo Limited.

    Dossier de candidature envoyer: Avant le 31Mars 2014

    - Pointe-Noire: Chevron Overseas CongoLimited - Immeuble Chevron Overseas CongoLimited, Avenue de Mangoungou (CentrevilleSecteur Boudha Bar) - BP 1295 Pointe-Noire(Rpublique du Congo) - Tel : (242) 06 663 6300 06 667 97 97 - 06 667 98 98

    - Brazzaville: Chevron Overseas CongoLimited - 24 Avenue Prosper Gandzion (Sec-teur Ex Mridien) - BP 14543 Brazzaville Rpu-blique du Congo - Tl: (242) 06 663 63 91/06663 63 59

    - Attention: Direction des RessourcesHumaines ou sur notre site:[email protected]

    Matre Ludovic MOUNGUENGUE, Notaire en larsidence de Brazzaville, a, conformment auxlois en vigueur, constitu une socit commer-ciale, suivant acte authentique dress Brazza-ville en date du vingt-huit fvrier deux mil qua-torze, enregistr le trois mars 2014, sous folio39/26 et numro 668, la recette dimpts dePoto-Poto (Rpublique du Congo), prsentant lescaractristiques suivantes: DENOMINATION: CONGO INGENIERIE ET MA-NAGEMENT; SIGLE: C.I.M; FORME: Socit Responsabilit Limite; OBJET:- apporter lappui et lassistance technique dansle management des projets et programmes:planification stratgique, identification, formulation,valuation et capitalisation, ingnierie des projets;la ralisation dtudes de faisabilit;- la gestion immobilire (achat, vente, construc-tion et modernisation des habitations);- la construction des btiments; les travaux pu-blics;- la mise disposition du personnel;- la technologie financire, bancaire et mtiersde la banque;- la ralisation des tudes de prfaisabilit et defaisabilit, des tudes sectorielles, des tudesfilires, des tudes dimpact environnemental,social, conomique, audit et diagnostic institu-tionnel;- laudit, la gestion, le suivi et lvaluation de per-formance de budget et de finances publics;- laudit, la gestion de Qualit hygine, scurit

    Matre Ludovic MOUNGUENGUENotaire en la rsidence de Brazzaville

    35, avenue Auxence ICKONGA, 1er tage immeuble IWANDZA(Face lAmbassade dItalie), Centre-ville, Brazzaville.

    Bote Postale: 1674; Tl: (242) 05 536.17.98/06 665.34.83E-mail: [email protected]

    REPUBLIQUE DU CONGO

    AVIS DE CONSTITUTIONCONGO INGENIERIE ET MANAGEMENT

    En sigle C.I.M.Socit Responsabilit Limite

    Au Capital de 1.000.000 de Francs CFASige social: 74, Rue Ngoyi, Quartier Indzouli/Mfilou, Brazzaville/(Rpublique du Congo)

    environnemental (QHSE);- la formation et processus de certification QHSE;- laudit de marchs publics, montage des dos-siers dappel doffre;- la formation professionnelle et continuemultisectorielle;- la gestion et dveloppement des ressources hu-maines. DUREE DE LA SOCIETE: 99 ANS; SIEGE SOCIAL: 74, rue Ngoyi, Quartier Indzouli,Mfilou, Brazzaville (Rpublique du Congo); APPORT EN NUMERAIRE: La dclaration nota-rie de souscription et de versement reue par lemme Notaire, le vingt-huit fvrier deux mil qua-torze et enregistre la recette dimpts de Poto-Poto, le trois mars 2014, sous folio 39/28, n670,atteste que les souscripteurs ont dclar que tou-tes les parts souscrites sont en numraires etconstate le versement de la somme dun million(1.000.000) de Francs CFA reprsentant le capitalsocial; IMMATRICULATION: la socit a t immatriculeau Registre du Commerce et du Crdit Mobilier duTribunal de commerce de Brazzaville, le 10 mars2014, sous le numro CG/BZV/14 B 4954; DEPT LEGAL: le 10 mars 2014, au Greffe duTribunal de Commerce de Brazzaville, sous le nu-mro 14 DA 274; GERANCE: Monsieur Jean Bedel SOLO estnomm grant, pour une dure illimite.

    Pour Avis,

    Matre Ludovic MOUNGUENGUE, Notaire

    SOCIETE NOBAIntrim et placement de personnel

    La Socit NOBA- cabinet derecrutement vous propose:

    * La mise disposition de personnel in-trimaire ou permanent;

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    tage, Moungali, BrazzavilleE-mail: [email protected] Site:

    www.societenoba.com

    A loccasion dune mis-sion de M. Martin Leme-nager, expert de la di-vision Eau & Assainissementde lA.f.d, lagence de Brazza-ville propose daborder avecles acteurs locaux les grandesquestions que soulvent lesp