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708 Année.-- No 249 fi BUBEMJX ; Rae.Sw t-1 elmep 44. Jeudi 10 Septembre 1874 aapxMlweu eeaieroi' eoccoiovgl g !BAL DE. TOULOUSE POLITIQUE ET LITTERAIRE »vl4raet iNe 1-tlLODNO ItONAENEAIS UN MOIS..;' `i lux MOI ... se TROIS MOIS, . 2a Tfl01S M010.. £4 Atmo.m, la ligne .. + ...... 0 Ir. 90 las EST lois R3ocan,, id.:::::....: 0 30 t'arr.Orvet.. 1 00 a LA NOCriTO AONIIMALL SEN AEI8OACEN LET ANNOAtES 20, au en Humas, TOULOUSE BONI flL CMMM un. BAVAS. LATT1Tt ET C. 9, Puce es sa Poose., PARIS HEURES DOS DEPARTS DES ARRIPEiS DES TRAINS DYuICHEMINS Di VER DO MIDI !r D'ORL&ARS lutte da sordwta:. Départe: M Arrivée. alin (dirent) 12 h /g fia (direct) 7 h 03 Malin, 0 30 Matin (Agio), S 40 Malin (expr.), 1l Soir (enpr.), I 45 8oer, l 33 Soir, 0 33 On. lAge.), 0 20 8oh, 80 40 L1tte de Cab. Matin (diesel) 3 h eti. (Rare.), S h'30 Marin, 0 tg 40 Li Masu (oupe.) i0 30 Toill;dluse 10 Septembre le tronPea, tes volontaires et le gêné. ral . es de leur courage. M . Fo a été ..aimé secrétaire Dépéehe. général du ministère de la guerre. La Jbéri a s . es L'AnamCP, nAYA9). ( lion de convoquer les électeurs, pour Madrid, 7 septembre. Le général llamingiiee a mis Cinq fuis les càrlistes en dénote ..test do déli- vrer Puyycerda. Les r présentants de l'Autriche et de l'Allemagne ont été accueillis avec de grandes démonstrations de sympathie sur tout le parcours de leur voyage rot Espagne. Le préfet, diverses "",i, -nos des provinces de Valladolid et d'Avila, musique do tète, ont reçu les représentants étrangers qnf ont accepté un souper o0'ert par les autorités de Valladolid. A Avilu;Te comte IlItzl'eld a porté un toast à la prospérité de l'Espagne. La préfet a répon par nu autre en l'hon. neur de l'Alledumagne et do l'Autriche. Madrid, 8 septembre. La hpoca dit qu'on oa1,itaine d'arlflle. rie, qui était à Ol.l, dément calégori- contreieemenL a x déclara- tion, de den CoTics, que les républi- aius aient hait fusiller dans cette place le, carlistes bissés. Il déclare, sur sou hon.mr, que les blessés carlistes lot été soignés comme les blessés rép.bli. came. paternel, 8 septembre. D'après les avis carlistes, les canon. nières allemandes auraient tiré, sans î vocelle. aucune, sur (près Guetaria). Les volonlairr carlistes auraient alors répondu par quelques coupe de fusil. Rome, 7 septembre. Le cardinal de R,unrehse est ailes. lu iueessmmen. Il logera an palais de 1',mbaasadeur. Itl n'est chargé d'aucune mission et séjournera ici pendant une huitaine de jours. Londres, 8 septembre. Le comte de Jarune, qui est actuelle. ment eu Irlande , à son chàtrou de Thomastown, près Cashel, doit présider au banquet agricole, le 10 septembre à Tippp rsey. Picolai.!(Eherson), 8 septembre. L'empereur Ale...de. est arrivé ici, ce matin, à deux heures. Bruxelles, 8septembre. Le septiée. Congrès international des Travailleurs a tenu hier ici une réunion au milieu de l'indifférence générale. Une :'mi...telle de personnes y assistaienl. soir nouvelle réunie. aura lieu r,e soir. Madrid, 8 septembre. M. Comacho, ni istrc des finances et M. Eblogen, chargé d'affaires de la Ban- que de Parie à Madrid, ont signé us.e nouvelle convention eu enjeI ds échéan- ces. En 'nos notes, les exilcntions (oc- rées üaurmd pxs lieu. La Ggoetie publie des détails m;!, les combats qui ont eu lien pom délivrer puycerda. Le gouvernement a félicité en JOURNAL ça TOULOUSE Du 10 Septembre 1874. N- 1 LE FER ROUGE NOUVELLE (1) 1. s Je gagne nil. billet de mille tous Ira jours, . disait .,ce un étain or- gueil an un. aimable banquier de la haute bque u , qi, depuis, A été appelé à ger à 1 Assemblée naLionole, et qui le méritait à tous égards, parce qu'au homme qui fait si bien sen propres a1Tai- rea doit être plus apte qui un antre à (aire celtes de l'État. r Je ne chante pan à moins de deux mille francs pur aot- rde, , pourrait dire la charmante mar. guise de C..., une des étoiles les plu, en vue du 'tel m"ates" et Je crois qu'elle l'a dit plus d'une fois. Or, l'aimable banquier et la charmante marquise sont également appréolés et estimés par (1) 550e valle de M. Uensal Sucrei,é ne la "e ale de PVee d'une paon al n daine, eA être I. aneviare yyu ,l li éctlle. Sou. Ionvr m de la Pabli.r amine les heer- mage d r mabriIl learétié. l'élection des Corsés ni d'élire un gé- néralissime de l'armée do Nord. Va `U' (Irande), 8septembre. La pose du cinquième cablo transat- lantique qui doit relier Londres à Terre. Neuve, a été heurrusement Complétée ce matin à mie heure. Les épreuves électriques ont montré que le table était dans de parfaites condilions. TÉL GRAPHIE PRIVÉE' Paris, 9 septembre, 5 h. matin. Dans la prmuièee séance do Congrès de la paix, à Genève, Ils a la lecture d'un Mémoire de M, I;arnierPa- gés sur lu question des libertés des niera et l'abulitiou de la Course. La eépose do Çsngeôo ù lu lettre de Victor Hugo exprime l'espoir que la paix iverselle pourra i él,blir sans lutte enme lu France et l'Allemagne. Fribourg, 7 septembre. Le Congrès des vieux uamolique clé- turera ls sée-ce aujourd'hui. seree nfPACne Paris, 9 septembre, 4Il. 25 soir. Londres, 9 septembre. Le D'elle public une dépêche de Ber- Ib, 8 septembre, disant que Frédéric Leibmeir, de Ifanslaas (Saxe), . été arrèté comm. complice de hulmann, l'auteur de l'attentat centre Ni. de Bisoierck. Relativement à la tentative atlr ibné. aux curlisms sur le train des ambasa- deurs lu colle donne i q à l lemn un prétexte plausible d'intervention, , 1. le ri. mes dit que pareils actes sont. d'eu sent plus Mgrottobles an la série de sacrés ses militaires permettait l à ride on Curies de faire miliappel à la loyaum de tccè l'Espagne avec des chances de Al- eévtcse Paris, 9 septembre, S h. à5 soir' L'Union confirmant la nonvella que algtdo Cp nloupLu adressé une lettre à yon- pour engage, l'os- lrélan d'ultra s'allier uu centre droit, afro de voter l'organisation du sCptee. nul, ajoute que M. de Carayon-Lamur a répondu avec fermeté que les dépu- tés légitimistes ./coulent toujours Mgr Dupanloup avec déférence, u's qu'ils sont pas habitués à régler leur conduite politique sur ses paroles. La nami.etien de M. Vt'elrhe à la préfecture de la Luire-Inféeie.r p a Bru probablement demain au Journal officiel. Une dépêche ofliciellC carliste dit que tous ceux qui les e,o naissent. Leur ta- leet entre bien pour quelque chose dans l'espèce de respect qu'ils lospireny mais le profil qu'ils en tirent ne leur nuit pas, et s'ils iil ont pas l'un et l'astre nu même M1rgré ris virtuoses de l'art, ils sont certainement tous deux des virmoaes de l'argent. (. est un signe caractéristique de notre épCgne que cette considération que nais attire la manière de l'aire valoir leu heu- reux dons que nous tenons de la na. turc. Il faut bien le eeeon.aitre, aujour- d'bui plus que jamais l'argent est tout. Le naissance est un préjugé aux yeux de nos contemporains, et le talent une chimère, s'il ne produit rien, -je me trompe, s'il an rapporte rien. Ceux qui gagnent le plus sont aussi ceux qui va- lent le mieux. On nous élève dans ces idées-là, on ne nous présente qu'un but, la forb on, et tous les moyens sont bues peur y arriver, excepté pourtant Ceux qui pourraient nous exposer à être pendus... Mais, comme on ne pend plus en France, on peut dire qti on yjouit de la latitude la plus large pour acquérir l'estime de ses concitoyens. Le vicomte Robert d'Atgoeval avait été 1 même, dès l'âge le plu. tendre, de se livrer aux réflexions que nous venons de faire et qne sons laissons nos lecteurs le soin de développer. Il appartenait à une famille très-riche, c est-à.dire qu'il avait un oncle sept ou Départ. laités: Matin, 100,. sue, 4h00 Soir (exprJ, 2 .. soir, 6 HI soie, 4 . 8oh, (0 40 8oh (0.re.), s II oh (dms0, i1 03 lutte de Vapoue. Matin, 0 h 20 Mat. (Mener.), 9h 30 tien., 9 10 SoIr (Pau), é 20 Matin, 11 10 soir (Bayou.). 03 32 Soir (Pas), 2 20 soie 30 Soir (MnntrJ, 0 40 Scie, 9 00 les carlistes ont ee effet tiré sur les chaloupes prussiennes, parce gn'ellla voulaient opérer un débarquement d'ar- mes sous le prétexte d'urne proue. nain. La Correspondn..I Prorieriale de Ber- lin, racontant l'agression des carlistes à fnetaria et la riposte des allemands, ajoute que l'incident a pu être ainsi clos. Madrid, 9 septembre. Le général Lopez Piuto a mis en dé- roule les -listes à élora, province de Teruel (Aragon) , après uu sanglant combat qui a duré dix heures. IL a pris la ville et lo ehâeau qui out été défen- dus avec énergie. Les cazfivtes out eu de .ombreux morts et blessés. La Gaceta donne des nouvelles. de la lava.. 7 septembre. Osecia chef de Pic surrection demi 1. département orien- tal et le major.gé éeut Quesada cet été fils prisonniers. Les Cubains cet eu 38 morts. Berlin, 9 septembre. La nouvelle donnée par tainsjour- eaux, que l'Alle auraoerit lie eu, io. de renforcer la Botte Molle allemande sur les cotes d'Espagne, est inexacte. New-York, 9 novembre. Les ommonica [ions télégraphiques .,ce l'Europe sont rétablies. Lisb...e, 9 novembre. Le roi de Portugal recevra demain le ministre d'Espagne. arme aEe£cn. Marseille, 9 septembre, soir, Au début de l'audience, commencée à 8 heures, le commissaire du gouverne- ment donne lecture de la commutation de peina en dix ans de travaux publies soldat Haine" """né' le 30 juin 1874, à la peine de mort. Oo passe 4 l'affaire Meyssel, restan- r tem du paquebot Ceiueri, eeeueé- de détention illégale d'armes de ggrnee. Meissel, défendu par hl' Oueluli est cu damné à 5 fr. d'amende. 2 affaire. - Ronron, colleur de pa- 'pis'; Iréaol, tonnelier; Chais,phar- mncien,accusés d'arrestations illégales, le 5 septembre 1870. Le cmnmissaire du gouvernement soutient l'accusation. M" Germoudy dé. fend Chais et I'ersol ; M' Signorei défend Roma.. Le Conseil se relire pour délibérer, à 4 heures; a cinq heures, il rend un jugement par lequel : Chai, et l'resti saut condamnés à trois ans de prison [ à a privmimr des droits civils et de famille 5 ans. items. est acquitté. L'audience c.etiuue par l'affaire Mou- rel, amusé d'arrestation illégale. Marché de Paria du9 septembre. Spiritueux, 71 .. Marseille, 9 septembre. Marché calme. Arrivages 5,969 hectolitres. Veutes 18,400 hectolitres. Marianopoli 428)123 à te. 34 50. huit fais millionnaire, d'antres parent, qui possédaient de fort jolis eevemss ; mais par lui-méme il n'avait rien, son père étant ami L sans laisser de ' e t sa nacre ayant retiré mut juste de la succession les trois émus mille flancs qu'elle avait apportés en dot, 51"' d'Ai- gueval avait ici faire des sacrifices pour l'éducation de son file unique, se priver do superflu peur le lettre en élut de soutenir son rang, de marcher de pair avec les jeunes gens riches qu'il fié. quentait. Dès le collège, il . sortait = chez les phis bouts personnages; allait passer ses vacances dans des cbâ. tea.x oh mut abondait, à l'on .,.ait 1. vie à grandes guides. Ses cousins étaient bans camarades ; ils l'aimaient, parlageaseat avec Ici, l'associaient à de ooùteux plaisirs qu'ils payaient avals. Mais lorsque son éducation fut terrai. née, lorsqu'il lui fallut voler de ses pro- pres ailes, ce ne fut plus du tout la môme chse. Il fil, en mains d'au au, pour trente à quarante mille francs de delme, sans songer aucunement à la fa. çon dont il les acquitterait. Il ne voulut pas avoir retour, à son oncle, il le crmg'sit ; ni à Il cousins, ale com- meuçatent à le prendre en grippe à cause des sucrés qu'il obtC.eit dans un certain monde, et qui, comme on voit. lui contait assez cher. Il s'adressa tout simplement à sa mère, qui ne se plai- gnit pas et qui paya, lutte de Volt. Départ.: AatvW Malin, 9h30IMa0u, obit Sou. 2 0048ob, H 20 Bort, 0 20 0v. 9 40 om luiMe Letp-.*,1W. Mode, 0 h 1o Matin, 0h03 Mat-, l0 40 Son, i e7 Soir, 1 03 Sor, S 51 Soir, 0 I0 SI! 11 20 Afrique dur 130(120 à fr. 50 50. Irka d'Azoff 128/123 à fr. 33 75. Berdianeka 128(123 à Cr. 34. CHRONIQUE LOCALE M. le préfet de la est rentré hier soir à Toulouse, de retour de son voyage à Paria. COMMISSION MUNICIPALE Suite de la séance du 22 juillet. le rapport de M. Prévost, M. le Mx71r. cet autorisé à prélever, sur J. fonds libres du présent evvroice, une somme de 10,000 Il. , destinée à sub- veuie à l'achat , à l'entretien IL à la réparation de matériel destiné à par. ter secoués eu cas d'incendie. M. l'ingénieur est autorisé à dépenser celte somme par vole de régie écono- mique, mut Ce étant invité à avoir, autant que possible, recours à des ad- judications pour las acquisitions les plus imporlantes. 01. le Maire est invité à rechercher les moyens d'incorporer su ertain som- bre dbuvriers fontainiers dans J. com- pagnie des pompiers. -M. de Sahuqué donne lecture de rap- port suivant : Messieurs, Une sons-commission, composée de MM. Espfgaq Geste et votre rapporteur, a été chargée d'étudier le cahier des charges imposé à la nouvelle direction du thédtre de Toulouse. Trente-trois articles nous ont été soumis , ils oai tous été le sujet d'nue érode spéciale, .t .ous venons voua soumettre le résul- lot de notre travail. La ville de Toulouse afin de trouver ua directeur sérieux et offrant les ga- anties nécessaires pour la bonne gaz. lieu de r.,. t66rd de harge, , doit s'imposer r de lourdes , et par loure, elle doit it exi exiger beaucoup de la nouvelle direction. IL serait bien long , Messieurs , de passer en revue article par article et de les soumettre les uns après les au. tees à votre approbation; si vous le dé. sir« cependant après l'exposé que j'ai l'honneur de vous communiquer , j'en ferai lecture et vous serez appelée à à émettre votre avis sur chocu. d'eux. IL a paru cependant à la sous-com- mission que l'art. 2 ayant ne intérêt tout particulier pore leu intérêts de la ville, devait être distrait du cahier des charges et faire surtout le sujet de ce rapport, L'art. 2 porte que la ville de Tuu- louse accorde au ...veau directeur nue subvention de 50,000 fr., payable par huitième, mois échu. bans le même article, la ville prend à sa charge l'éclairage au gaz de la Ils, environ 1 0,000 te. , et enfin le droit des pauvres reste encore a charge de la ville, environ 12,000 fi. Votre sous-commission, par des mo- tifs que je vais avoir l'honneur de vous exposer duos ce travail, a donné ne Seulement, lorsqu'elle eut tout payé, elle loi remit sous les yeux les faibles ressources dont elle disposait. Elle avait e.tamé son capital, il ne lui res- tail plus guère que deux centingnante mille francs,el,comme elle voulait conli- mer à lui venir en aide, elle avait recon- nu qu'il lui était impossible de demeu- er plus longtemps à Paris. Elle liait doocise relirm deus quelque petite ville de p ovmce où elle vivrait d'économie, et elle cngagreuit sou fils à profiler du crédit dont jouissait téter famille pour s'ouvrir une Carrière, pour solliciter une place, car elle croyant quil était urgent qui il fit quelque cerne. Cette manière si simple de le rapine. ler aux idées sériellses produisit font l'effet que l'excellente mère en pouvait attendre. Robert se range.. Il rompit une union cofitense qui l'avait eatrai,ié plus loi. qu'il n'aurait roula, et alla te-ver son oncle, qui était un de, pre- miees banquiers de Paris, peu lui de. ander de l'emploi dans ses bureaux. L'oncle se mit à rire, prétendit qu'il était fou, qu'il n'avait rien de ce qti il fallait pour réussir deus la bongue, et, comme le )eune homme insistait, il se fâcha et finit par lui dire que tout ce qu'il pouvait Cuire peur lui, c'était de le faire entrer dans un niuislere. C'est ainsi que le vicomte Robert d'Aigueval , , obtint mm petite place au ministère des pour un militaire en bourgeois, mais affaires étrange ces. pour un militaire ;gentBhomme. Les enter Mi tYMLQLM Luus .e.ea.e,ns. Wu-n, 70.115.020,0I,144, 7 4..' 5A. 024,0,0 0 C.art-0. nues-taa it,rn' 74114. .; 8 Y a s lOb 0.14E Au.eoa, par l'Snboesboa, 71.111. . t s h. 7 Y. a. Sa. I0 Y. , r é 1 Cuva, par h OrMn, é h. 11 h. .14 Y... 70.1 2...131.113 Luommm, 76. 116. . 6L.. 05, iç 0.0.'I eh Yaar.esue, p.el pp .[d H.H.25, 0.11 4, Il h... 19 i. .. a Y. a Y Puuua, Pae ter tl0ralle. ah. lia m. 4h. e. Sk, .r58. 0h5 noIre-lia.tu Cownnnl 7 5. . t l b. I Y... à à. 011. b 14 5. Sua.anu+.tma.m, 70. . t1 Y. .. aL1R nIb.1 a.msar-,Cenaa.e, BY. 113. t9 Y. .i 04dRr..nqq 115.20..6 prws, 7 Y. . m L. 7 Y. e. a o.11p M.... - à. IReO. 4. ta TM4 7 A. d. MM. a p.n é P A. N Tuilosa, typ. Moenaaa. avis unanime pour accorder la subven- tion. Elle espère que vous serez fave- rable au projet qui vous est proposé, et que vous ouvrirez à M. le Maire le cré- dit nécessaire pou, arriver à ce résul- tat. Tordons., par sa situation géographi. que , est la capitale du midi de la h',ance. Les lignes du chemin de fer déjà établies et celles qui sont eu voie de construction aboutiront toutes vers "e point central ; entourée de départe- meute fort riches, elle voit toujours son commerce de luxe grandir. Il est doua du devoir de la munici- pàité d'encourager Je m.uvemeot' sour- ce de grades richesses pour notre ville. Un théâtre bien dirigé et donnant les chefs-d'oauvre, de nos théâtres, est cer- taieem-nt le meilleur attrait qu'une ville poise donner aux étrungers. Nous pis, édemi nue école de Droit une école préparatoire de médecine, une écale vétérinaire et ..e grande quantité d'institutions libres ; les jeunes gens de Cu écoles ont grand besoin d'être gui. dés dans le choix de l'emploi de leur soirée. Un théâtre bleu monté et ne don- nant que dm pièces convenables doit at- tirer à lui cette jeunesse qui eaux cela encombrera les et les casinos. lsterrogee les pères de familles obli. gés d'abandonner leurs fils à la sortie du collège pour les laisser libres dans la grande ville. Ils vous diront toue que le théâtre bleu dirigé et contrôlé par la municipalité est une grande sauve. garde pour leurs enfants ; leurs soirées sont assurées et ces jeunes gens après, une bonne représentation, se retirent heureux ehez eux se promettant bien de revenir le lendemain. Voilà, messieurs, une considération morale qu'il ne faut pas oublier et qui doit peser d'un grand poids dans la dé- cision que vous oves à prendre. YOtresous-commissions interrogé une grande quantité de commerçants de votre ville, ils demandent tous un thés. ire, leurs bénéfices sont beaucoup plus considérables quand la salle du Capito- le est ouverte et une foule d'industrie ne tire ses bénéfices que du mouve- ment d'afTaires que donne une bonne repprésentation. Uu reste est'ce que l'opéra bien mon- té n'a P. toujours fait salle comble 1 et lorsqu'un directeur sérieux a voulu se donner la peine de réussir , n'avons- nous pas vu le théàtre du Capitole tou- jours encombré ? A peine si pour un oranger il se trouverait soit use loge soit nue stalles tarer. Le théâtre fait vivre un p, ...CI de 500 personnes, est.il juste d'enlever le pain à ces nombreux employés ? évi- demment vous ne le pensez pas. Il se dégage des cousidératiods que je viens d'indiquer et je crois en avoir oublié et des meilleures, ue dan ville Comme Toulouse sunet utile et nécessaire. U. Ce premier point étant admis, une subvention doit-elle être accordée au di- recteur ? telle est la seconde question Il eut le bon esprit de la garder et sut môme se faire esses bien venir de ss chefs, sans travailler beaucoup néon. .ciel, car, tout Ce se rangeant, il n'a. voit pas renoncé à certaines relation. utiles ou simplement agréables. IL al- lait e.core dans le monde IL conti- nuait d'op faire assez bonne figure ; mais il s arrangée de manière que ses dépenses n excédassent pas ce qu'il gagnait, j int à la rente de quatre ou i une francs que lui servait sa mère. L'idée de recourir de nouveau à. te.- dresse pour le tirer d'us ...,ai. pas le faisait involontairement Tressaillir et imposait un frein salutaire à ses désirs les pins impétueux... Bref, il eut le mé- rite, fort rare deus la situation et dans le mil-eu où il se trouvait, de se suffire à Ini-méme. Ce ne fut pas, je vous assure, nue pe- tite gloire qu'il eut là. 11 avait été doué P., la nature de l'extérieur le plus sé. duisant, le plus ai able. Ce n'était pas précisément un joli garçon, c'était mieux que cela, un être 1 part e° quel- que sorte, une de ces créatures merlu' tionnelles et sympathiques, qui char- ment à première vue. D'une taille moyenne, bien proportionné, brun avec des yeux vifs et Pari.. te, la mousta- che noire, le reste de la ligure rasé, a. le prenait volontiers au premier abord à laquelle,je vais tâcher de répondre. Votre sou.-commission a été unani- me à déclarer qu'un théâtre de l'im- portance de celui du Capitole avait be- soin pour se maintenir, d'une subveu- lion. L triste «Pélion'. que l'on, vient de l'aire e depuis quatre atrr ans 'le e la liberté des thée les n'a prouvé qu'une chose: éeo-les représentations d et que d'op t comique étaient impossibles ibles et que mus les directeurs sont appelés les uns après les autres ' faire faillite. il est arrivé alors que Part s'est ,- temeel perdu; les lys sa cafés-concerts, les ca- sinos ont attiré à eux le public qui a usés tumorales et Il(aol réagir oa.mr, ces tendance, et 1 seul moyen cest d'avoir nn théàtre hies régi 40ec un directeur sérieux, subventionné par la ville et par suite guidé par l'autorité nmnicip:ie sur le choix de ses plions. poue arriver à ce résultat ne craignez pas de dépenser ; l'argent est placé à gros intérés, parce que nous aurez fait une ceuvre morale, mais eus aurez réagi contre celte tendance fatale du jour de préférer les pièces de bas-étage aux belles tredur.tions de l'art. Vous croirez avoir fait beaucoup, Messieurs, quand vous aurez voté cette somme qui vous parailea exhorbitaute, mais interrogez les financiers, ils vous répondront test que le capital avancé pour la subvention sera doubla par un surerott considérable de recettes de l'oc- troi. Le nouveau directeur sera tenu de donner 20 représentations par mois, représentant une somme de 40,050 fr. qui se Coummmeront à 'l'aulouse. Pour les huit mois .bus arrivons an chiffre énorme de 320,000 fr. Ce tapi. tel se répandant dans notre ville , fait vivre une masse considérable de com- merçants. 'Du reste, Messieurs, toutes les orne. des villes impressimmées comme nous de voir leur théâtre exploité par des directeurs n'offrant aucune garantie et voulant réagir contre l'abus de la liber- té ont toutes rétabli les subventions. La commission municipale de Lyon vient de voter le Chiffre énorme de 200,000 L De même la municipalité de Marseille a accordé uuie subvention de 150,000 le. Bordeaux, je le sais de sour ce certaine, travaille en ce moment pour arriver au même résultat. Evidemment Toulouse ne peut veston' en arrière et nues sommes ,...alleu. quevous adopterez le projet de délibé rationsuivaut présenté par votre sous. commission: Art. 1.". - Le cahier des ".barges pour l'exploitation do théàtre do Capi- tole, dressé par M. le Maire le 20 juil- let est adopté. Article. 2.- M. le Maire est autorisé à ...once, la vacance de la direction du théâtre et à traiter avec le préten- dant offrent les coedilions les plus avantageuses au point de vol de la sol- exercices auxquels il s'était livré de pré féreooe u'avaieut pas peu contribué 4 lui donner cet air-là. Tout jeune, il excellait à la gymnes tique, à l'équitation. A quinze ans, il aioil le fusil comme un homme, et la..allait le plus ardent, le plus in. trépide, lorsllu'à l'époque des vacances il était admiSa chassm dans quelque parc avec des jeunes gens de sou âge. Aussi s'était-il l'ait o corps de @r, et était-il co... et cité pour sa force. Mais que de privations ces qualités émes ne durent.elles pas loi imposer : Il avait été hie., vile amené à reco.- naitre que, p.ur satisfaire es peu- ,hauts, pour être lui-mème, il lui au- rait fallu ce qu'il n'avait pas, ce y lt ne semblait pas destiné à posséder jamais, une fortune comme celle de ses cousins ; il eu était venu insensible- ment à partager l'engoùment et le ers- eet que d'argent inspirait autour de I i à des natures moins élevées que la sienne, et, sans être nullement apte à La'ilir, 'I n'est pas de sacrifices Lia 'il .' n'eù été disposé à Paire pour as. teindre ce e résultat. Envxsr SERRET. (Revue de Frauca). (Le suite d dernnin). Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

708 Année.-- No 249 BUBEMJX ; Rae.Sw t-1 elmep 44. Jeudi ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1874/B315556101_JOUTOU_1874_09_10.pdf · combat qui a duré dix heures. IL a pris

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708 Année.-- No 249 fiBUBEMJX ; Rae.Sw t-1 elmep 44. Jeudi 10 Septembre 1874

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a LA NOCriTO AONIIMALL SEN AEI8OACEN

LET ANNOAtES 20, au en Humas, TOULOUSE

BONI flL CMMM un. BAVAS. LATT1Tt ET C.9, Puce es sa Poose., PARIS

HEURES DOS DEPARTS DES ARRIPEiS DES TRAINS DYuICHEMINS Di VER DO MIDI !r D'ORL&ARS

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MArrivée.

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L1tte de Cab.Matin (diesel) 3 h eti. (Rare.), S h'30Marin, 0

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FoFobSub..

a été ..aimé secrétaire

Dépéehe. général du ministère de la guerre.La Jbéri

a s

.

es L'AnamCP, nAYA9). ( lion de convoquer les électeurs, pour

Madrid, 7 septembre.Le général llamingiiee a mis Cinq fuis

les càrlistes en dénote ..test do déli-vrer Puyycerda.

Les r présentants de l'Autriche et de

l'Allemagne ont été accueillis avec degrandes démonstrations de sympathiesur tout le parcours de leur voyage rot

Espagne. Le préfet, diverses

"",i,-nos

des provinces de Valladolid etd'Avila, musique do tète, ont reçu lesreprésentants étrangers qnf ont acceptéun souper o0'ert par les autorités deValladolid.

A Avilu;Te comte IlItzl'eld a porté un

toast à la prospérité de l'Espagne. Lapréfet a répon par nu autre en l'hon.

neur del'Alledumagne

et do l'Autriche.

Madrid, 8 septembre.La hpoca dit qu'on oa1,itaine d'arlflle.

rie, qui était à Ol.l, dément calégori-contreieemenL a x déclara-

tion, de den CoTics, que les républi-aius aient hait fusiller dans cette placele, carlistes bissés. Il déclare, sur souhon.mr, que les blessés carlistes lotété soignés comme les blessés rép.bli.came.

paternel, 8 septembre.D'après les avis carlistes, les canon.

nières allemandes auraient tiré, sansîvocelle. aucune, sur (près

Guetaria).Les volonlairr carlistes auraient alors

répondu par quelques coupe de fusil.

Rome, 7 septembre.Le cardinal de R,unrehse est ailes.

lu iueessmmen. Il logera an palais de1',mbaasadeur. Itl n'est chargé d'aucunemission et séjournera ici pendant unehuitaine de jours.

Londres, 8 septembre.Le comte de Jarune, qui est actuelle.

ment eu Irlande , à son chàtrou deThomastown, près Cashel, doit présiderau banquet agricole, le 10 septembreà Tippp rsey.

Picolai.!(Eherson), 8 septembre.L'empereur Ale...de. est arrivé ici,

ce matin, à deux heures.

Bruxelles, 8septembre.Le septiée. Congrès international des

Travailleurs a tenu hier ici une réunionau milieu de l'indifférence générale. Une:'mi...telle de personnes y assistaienl.

soir

nouvelleréunie.

aura lieu r,esoir.

Madrid, 8 septembre.M. Comacho, ni istrc des finances et

M. Eblogen, chargé d'affaires de la Ban-que de Parie à Madrid, ont signé us.enouvelle convention eu enjeI ds échéan-ces. En 'nos

notes,les exilcntions (oc-

rées üaurmd pxs lieu.La Ggoetie publie des détails m;!, les

combats qui ont eu lien pom délivrerpuycerda. Le gouvernement a félicité

en JOURNAL ça TOULOUSEDu 10 Septembre 1874.

N- 1

LE FER ROUGENOUVELLE (1)

1.

s Je gagne nil. billet de mille tousIra jours, . disait .,ce un étain or-

gueil

anun. aimable banquier de la haute

bque u, qi, depuis, A été appelé à

ger à 1 Assemblée naLionole, et qui leméritait à tous égards, parce qu'auhomme qui fait si bien sen propres a1Tai-rea doit être plus apte qui un antre à(aire celtes de l'État. r Je ne chante panà moins de deux mille francs pur aot-rde, , pourrait dire la charmante mar.guise de C..., une des étoiles les plu, envue du 'tel m"ates" et Je crois qu'ellel'a dit plus d'une fois. Or, l'aimablebanquier et la charmante marquise sontégalement appréolés et estimés par

(1)

550evalle de M. Uensal Sucrei,é ne la

"e ale de PVee d'une paon al n daine,eA être I. aneviare yyu ,l li éctlle. Sou.

Ionvr m de la Pabli.r amine les heer-mage d r mabriIl learétié.

l'élection des Corsés ni d'élire un gé-néralissime de l'armée do Nord.

Va `U'(Irande), 8septembre.

La pose du cinquième cablo transat-lantique qui doit relier Londres à Terre.Neuve, a été heurrusement Complétéece matin à mie heure. Les épreuvesélectriques ont montré que le tableétait dans de parfaites condilions.

TÉL GRAPHIE PRIVÉE'

Paris, 9 septembre, 5 h. matin.Dans la prmuièee séance do Congrès

de la paix, à Genève, Ils a lalecture d'un Mémoire de M, I;arnierPa-gés sur lu question des libertés des nieraet l'abulitiou de la Course.

La eépose do Çsngeôo ù lu lettre deVictor Hugo exprime l'espoir que la paix

iverselle pourra i él,blir sans lutteenme lu France et l'Allemagne.

Fribourg, 7 septembre.Le Congrès des vieux uamolique clé-

turera ls sée-ce aujourd'hui.

seree nfPACne

Paris, 9 septembre, 4Il. 25 soir.Londres, 9 septembre.

Le D'elle public une dépêche de Ber-Ib, 8 septembre, disant que FrédéricLeibmeir, de Ifanslaas (Saxe), . été arrètécomm. complice de hulmann, l'auteurde l'attentat centre

Ni.

de Bisoierck.Relativement à la tentative atlr ibné.

aux curlisms sur le train des ambasa-deurs lu colle donne iq à l lemn unprétexte plausible d'intervention,,

1.le ri.

mes dit que pareils actes sont. d'eusent plus Mgrottobles

an la série

desacrésses militaires permettait

là ride

onCuries de faire

miliappel

à la loyaum detccèl'Espagne avec des chances desuccès.

Al- eévtcse

Paris, 9 septembre, S h. à5 soir'L'Union confirmant la nonvella que

algtdo CpnloupLu adressé une lettre àyon- pour engage, l'os-

lrélan d'ultra s'allier uu centre droit,afro de voter l'organisation du sCptee.nul, ajoute que M. de Carayon-Lamura répondu avec fermeté que les dépu-tés légitimistes ./coulent toujours MgrDupanloup avec déférence, u's qu'ils

sont pas habitués à régler leurconduite politique sur ses paroles.

La nami.etien de M. Vt'elrhe à lapréfecture de la Luire-Inféeie.r p a Bruprobablement demain au Journal officiel.

Une dépêche ofliciellC carliste dit que

tous ceux qui les e,o naissent. Leur ta-leet entre bien pour quelque chosedans l'espèce de respect qu'ils lospirenymais le profil qu'ils en tirent ne leurnuit pas, et s'ils iil ont pas l'un etl'astre nu même M1rgré ris virtuoses del'art, ils sont certainement tous deux desvirmoaes de l'argent.

(. est un signe caractéristique de notreépCgne que cette considération que naisattire la manière de l'aire valoir leu heu-reux dons que nous tenons de la na.turc. Il faut bien le eeeon.aitre, aujour-d'bui plus que jamais l'argent est tout.Le naissance est un préjugé aux yeuxde nos contemporains, et le talent unechimère, s'il ne produit rien, -je metrompe, s'il an rapporte rien. Ceux quigagnent le plus sont aussi ceux qui va-lent le mieux. On nous élève dans cesidées-là, on ne nous présente qu'unbut, la forb on, et tous les moyens sontbues peur y arriver, excepté pourtantCeux qui pourraient nous exposer à êtrependus... Mais, comme on ne pend plusen France, on peut dire qti on yjouit dela latitude la plus large pour acquérirl'estime de ses concitoyens.

Le vicomte Robert d'Atgoeval avait

été 1 même, dès l'âge le plu. tendre,de se livrer aux réflexions que nousvenons de faire et qne sons laissonsnos lecteurs le soin de développer. Ilappartenait

àune famille très-riche,

c est-à.dire qu'il avait un oncle sept ou

Départ. laités:Matin, 100,. sue, 4h00Soir (exprJ, 2 .. soir, 6 HIsoie, 4 . 8oh, (0 408oh (0.re.), s II oh (dms0, i1 03

lutte de Vapoue.Matin, 0 h 20 Mat. (Mener.), 9h 30tien., 9 10 SoIr (Pau), é 20Matin, 11 10 soir (Bayou.).

03

32Soir (Pas), 2 20 soie 30Soir (MnntrJ, 0 40 Scie, 9 00

les carlistes ont ee effet tiré sur leschaloupes prussiennes, parce gn'elllavoulaient opérer un débarquement d'ar-mes sous le prétexte d'urne proue.nain.

La Correspondn..I Prorieriale de Ber-

lin, racontant l'agression des carlistes àfnetaria et la riposte des allemands,ajoute que l'incident a pu être ainsi clos.

Madrid, 9 septembre.Le général Lopez Piuto a mis en dé-

roule les -listes à élora, province deTeruel (Aragon) , après uu sanglantcombat qui a duré dix heures.

IL

a prisla ville et lo ehâeau qui out été défen-dus avec énergie. Les cazfivtes out eude .ombreux morts et blessés.

La Gaceta donne des nouvelles. de lalava.. 7 septembre. Osecia chef de Picsurrection demi 1. département orien-tal et le major.gé éeut Quesada cet étéfils prisonniers. Les Cubains cet eu38 morts.

Berlin, 9 septembre.La nouvelle donnée par tainsjour-

eaux, que l'Alleauraoerit

lie eu, io.de renforcer la

BotteMolle allemande sur les

cotes d'Espagne, est inexacte.

New-York, 9 novembre.Les ommonica [ions télégraphiques.,ce

l'Europe sont rétablies.

Lisb...e, 9 novembre.Le roi de Portugal recevra demain le

ministre d'Espagne.

arme aEe£cn.

Marseille, 9 septembre, soir,Au début de l'audience, commencée à

8 heures, le commissaire du gouverne-ment donne lecture de la commutationde peina en dix ans de travaux publies

soldat Haine" """né' le 30 juin1874, à la peine de mort.

Oo passe 4 l'affaire Meyssel, restan-r tem du paquebot Ceiueri, eeeueé- dedétention illégale d'armes de ggrnee.Meissel, défendu par hl' Oueluli estcu damné à 5 fr. d'amende.

2 affaire. - Ronron, colleur de pa-'pis'; Iréaol, tonnelier; Chais,phar-mncien,accusés d'arrestations illégales,le 5 septembre 1870.

Le cmnmissaire du gouvernementsoutient l'accusation. M" Germoudy dé.fend Chais et I'ersol ; M' Signoreidéfend Roma..

Le Conseil se relire pour délibérer, à4 heures; a cinq heures, il rend unjugement par lequel : Chai, et l'restisaut condamnés à trois ans de prison[ à a privmimr des droits civils et de

famille 5 ans.items. est acquitté.

L'audience c.etiuue par l'affaire Mou-

rel, amusé d'arrestation illégale.

Marché de Paria du9 septembre.Spiritueux, 71 ..

Marseille, 9 septembre.Marché calme.Arrivages 5,969 hectolitres.

Veutes 18,400 hectolitres.

Marianopoli 428)123 à te. 34 50.

huit fais millionnaire, d'antres parent,qui possédaient de fort jolis eevemss ;mais par lui-méme il n'avait rien, sonpère étant ami L sans laisser de

'e t sa nacre ayant retiré mut juste de lasuccession les trois émus mille flancsqu'elle avait apportés en dot, 51"' d'Ai-gueval avait ici faire des sacrifices pourl'éducation de son file unique, se priverdo superflu peur le lettre en élut desoutenir son rang, de marcher de pairavec les jeunes gens riches qu'il fié.quentait. Dès le collège, il . sortait =chez les phis bouts personnages;allait passer ses vacances dans des cbâ.tea.x oh mut abondait, à l'on .,.ait1. vie à grandes guides. Ses cousinsétaient

bans camarades ; ils l'aimaient,parlageaseat avec Ici, l'associaient à deooùteux plaisirs qu'ils payaient avals.Mais lorsque son éducation fut terrai.née, lorsqu'il lui fallut voler de ses pro-pres ailes, ce ne fut plus du tout lamôme chse. Il fil, en mains d'au au,pour trente à quarante mille francs dedelme, sans songer aucunement à la fa.çon dont il les acquitterait. Il ne voulutpas avoir retour, à son oncle, il lecrmg'sit ; ni à

Il

cousins, ale com-meuçatent à le prendre en grippe àcause des sucrés qu'il obtC.eit dans uncertain monde, et qui, comme on voit.lui contait assez cher. Il s'adressa toutsimplement à sa mère, qui ne se plai-gnit pas et qui paya,

lutte de Volt.Départ.: AatvW

Malin, 9h30IMa0u, obitSou. 2 0048ob, H 20Bort, 0 20 0v. 9 40

omluiMe Letp-.*,1W.

Mode, 0 h 1o Matin, 0h03Mat-, l0 40 Son, i e7Soir, 1 03 Sor, S 51Soir, 0 I0

SI!

11 20

Afrique dur 130(120 à fr. 50 50.Irka d'Azoff 128/123 à fr. 33 75.

Berdianeka 128(123 à Cr. 34.

CHRONIQUE LOCALE

M. le préfet de la estrentré hier soir à Toulouse, de retourde son voyage à Paria.

COMMISSION MUNICIPALE

Suite de la séance du 22 juillet.

le rapport de M. Prévost, M. leMx71r. cet autorisé à prélever, sur J.fonds libres du présent evvroice, unesomme de 10,000

Il.

, destinée à sub-veuie à l'achat , à l'entretien IL à laréparation de matériel destiné à par.ter secoués eu cas d'incendie.

M. l'ingénieur est autorisé à dépensercelte somme par vole de régie écono-mique, mut Ce étant invité à avoir,autant que possible, recours à des ad-judications pour las acquisitions lesplus imporlantes.

01. le Maire est invité à rechercherles moyens d'incorporer su ertain som-bre dbuvriers fontainiers dans

J.

com-pagnie des pompiers.-M. de Sahuqué donne lecture de rap-port suivant :

Messieurs,Une sons-commission, composée de

MM. Espfgaq Geste et votre rapporteur,a été chargée d'étudier le cahier descharges imposé à la nouvelle directiondu thédtre de Toulouse. Trente-troisarticles nous ont été soumis , ils oaitous été le sujet d'nue érode spéciale,.t .ous venons voua soumettre le résul-lot de notre travail.

La ville de Toulouse afin de trouverua directeur sérieux et offrant les ga-anties nécessaires pour la bonne gaz.

lieu de r.,. t66rd de harge, , doits'imposer r de lourdes

charge.a

, et parloure, elle

doit

itexiexiger beaucoup de

la nouvelle direction.

IL serait bien long , Messieurs , depasser en revue article par article etde les soumettre les uns après les au.tees à votre approbation; si vous le dé.

sir« cependant après l'exposé que j'ail'honneur de vous communiquer , j'enferai lecture et vous serez appelée àà émettre votre avis sur chocu. d'eux.

IL a paru cependant à la sous-com-mission que l'art. 2 ayant ne intérêttout particulier pore leu intérêts de laville, devait être distrait du cahier des

charges et faire surtout le sujet de cerapport,

L'art. 2 porte que la ville de Tuu-louse accorde au ...veau directeur nuesubvention de 50,000 fr., payable parhuitième, mois échu.

bans le même article, la ville prendà sa charge l'éclairage au gaz de la

Ils, environ 1 0,000 te. , et enfin le

droit des pauvres reste encore acharge de la ville, environ 12,000 fi.

Votre sous-commission, par des mo-tifs que je vais avoir l'honneur de vousexposer duos ce travail, a donné ne

Seulement, lorsqu'elle eut tout payé,elle loi remit sous les yeux les faiblesressources dont elle disposait. Elleavait e.tamé son capital, il ne lui res-tail plus guère que deux centingnantemille francs,el,comme elle voulait conli-mer à lui venir en aide, elle avait recon-nu qu'il lui était impossible de demeu-er plus longtemps à Paris. Elle liait

doocise relirm deus quelque petite villede p ovmce où elle vivrait d'économie,et elle cngagreuit sou fils à profiler ducrédit dont jouissait téter famille pours'ouvrir une Carrière, pour solliciterune place, car elle croyant quil étaiturgent qui il fit quelque cerne.

Cette manière si simple de le rapine.ler aux idées sériellses produisit fontl'effet que l'excellente mère en pouvaitattendre. Robert se range.. Il rompitune union cofitense qui l'avait eatrai,iéplus loi. qu'il n'aurait roula, et allate-ver son oncle, qui était un de, pre-miees banquiers de Paris, peu lui de.ander de l'emploi dans ses bureaux.

L'oncle se mit à rire, prétendit qu'il

était fou, qu'il n'avait rien de ce qti ilfallait pour réussir deus la bongue, et,

comme le )eune homme insistait, il sefâcha et finit par lui dire que tout ce

qu'il pouvait Cuire peur lui, c'était de lefaire entrer dans un niuislere. C'estainsi que le vicomte Robert d'Aigueval

, ,obtint mm petite place au ministère des pour un militaire en bourgeois, maisaffaires étrange ces. pour un militaire ;gentBhomme. Les

enter Mi tYMLQLMLuus .e.ea.e,ns. Wu-n, 70.115.020,0I,144, 7 4..' 5A.

024,0,0 0C.art-0. nues-taa it,rn' 74114. .; 8Y a s lOb 0.14EAu.eoa, par l'Snboesboa, 71.111. . t s h. 7 Y. a. Sa. I0 Y. , r é 1Cuva, par h OrMn, é h. 11 h. .14 Y... 70.1 2...131.113Luommm, 76. 116. . 6L.. 05, iç 0.0.'I ehYaar.esue, p.el pp .[d H.H.25, 0.11 4, Il h... 19 i. .. a Y. a YPuuua, Pae ter tl0ralle. ah. lia m. 4h. e. Sk, .r58. 0h5noIre-lia.tu Cownnnl 7 5. . t l b. I Y... à à. 011. b 14 5.Sua.anu+.tma.m, 70. . t1 Y. .. aL1R nIb.1a.msar-,Cenaa.e, BY. 113. t9 Y. .i 04dRr..nqq 115.20..6prws, 7 Y. . m L.

7 Y. e. a o.11p

M.... - à. IReO. 4. ta TM4 7 A. d. MM. a p.n é P A. NTuilosa, typ. Moenaaa.

avis unanime pour accorder la subven-tion. Elle espère que vous serez fave-rable au projet qui vous est proposé, et

que vous ouvrirez à M. le Maire le cré-

dit nécessaire pou, arriver à ce résul-

tat.

Tordons., par sa situation géographi.que , est la capitale du midi de lah',ance. Les lignes du chemin de ferdéjà établies et celles qui sont eu voiede construction aboutiront toutes vers"e point central ; entourée de départe-meute fort riches, elle voit toujours soncommerce de luxe grandir.

Il est doua du devoir de la munici-pàité d'encourager Je m.uvemeot' sour-ce de grades richesses pour notre ville.

Un théâtre bien dirigé et donnant leschefs-d'oauvre, de nos théâtres, est cer-

taieem-nt le meilleur attrait qu'uneville poise donner aux étrungers.

Nous pis, édemi nue école de Droitune école préparatoire de médecine, uneécale vétérinaire et ..e grande quantitéd'institutions libres ; les jeunes gens deCu écoles ont grand besoin d'être gui.dés dans le choix de l'emploi de leursoirée.

Un théâtre bleu monté et ne don-nant que dm pièces convenables doit at-

tirer à lui cette jeunesse qui eaux celaencombrera les et les

casinos.

lsterrogee les pères de familles obli.gés d'abandonner leurs fils à la sortie ducollège pour les laisser libres dans lagrande ville. Ils vous diront toue quele théâtre bleu dirigé et contrôlé parla municipalité est une grande sauve.garde pour leurs enfants ; leurs soirées

sont assurées et ces jeunes gens après,

une bonne représentation, se retirentheureux ehez eux se promettant biende revenir le lendemain.

Voilà, messieurs, une considérationmorale qu'il ne faut pas oublier et quidoit peser d'un grand poids dans la dé-cision que vous oves à prendre.

YOtresous-commissions interrogé unegrande quantité de commerçants devotre ville, ils demandent tous un thés.ire, leurs bénéfices sont beaucoup plusconsidérables quand la salle du Capito-le est ouverte et une foule d'industriene tire ses bénéfices que du mouve-ment d'afTaires que donne une bonnerepprésentation.

Uu reste est'ce que l'opéra bien mon-té n'a P. toujours fait salle comble 1et lorsqu'un directeur sérieux a vouluse donner la peine de réussir , n'avons-nous pas vu le théàtre du Capitole tou-jours encombré ? A peine si pour unoranger il se trouverait soit use logesoit nue stalles tarer.

Le théâtre fait vivre un p, ...CI de500 personnes, est.il juste d'enlever lepain à ces nombreux employés ? évi-demment vous ne le pensez pas.

Il se dégage des cousidératiods queje viens d'indiquer et je crois en avoir

oubliéet des meilleures, ue dan

ville Comme Toulousesunet

utile et nécessaire.U. Ce premier point étant admis, unesubvention doit-elle être accordée au di-

recteur ? telle est la seconde question

Il eut le bon esprit de la garder etsut môme se faire esses bien venir dess chefs, sans travailler beaucoup néon.

.ciel, car, tout Ce se rangeant, il n'a.voit pas renoncé à certaines relation.utiles ou simplement agréables. IL al-

lait e.core dans le monde IL conti-nuait d'op faire assez bonne figure ;

mais il s arrangée de manière que sesdépenses n excédassent pas ce qu'ilgagnait, j int à la rente de quatre ou

i

unefrancs que lui servait sa mère.

L'idée de recourir de nouveau à. te.-dresse pour le tirer d'us ...,ai. pasle faisait involontairement Tressaillir et

imposait un frein salutaire à ses désirs

les pins impétueux... Bref, il eut le mé-rite, fort rare deus la situation et dansle mil-eu où il se trouvait, de se suffire

à Ini-méme.Ce ne fut pas, je vous assure, nue pe-

tite gloire qu'il eut là. 11 avait été douéP., la nature de l'extérieur le plus sé.duisant, le plus ai able. Ce n'était

pas précisément un joli garçon, c'était

mieux que cela, un être 1 part e° quel-que sorte, une de ces créatures merlu'tionnelles et sympathiques, qui char-ment à première vue. D'une taillemoyenne, bien proportionné, brun avecdes yeux vifs et

Pari..te,

la mousta-che noire, le reste de la ligure rasé, a.le prenait volontiers au premier abord

à laquelle,je vais tâcher de répondre.Votre sou.-commission a été unani-

me à déclarer qu'un théâtre de l'im-portance de celui du Capitole avait be-

soin pour se maintenir, d'une subveu-lion.

L triste «Pélion'. que l'on, vient del'aire

e depuisquatre

atrr ans'le e

la libertétédes thée les n'a prouvé qu'une chose:

éeo-les représentations d etqued'op

t comique étaient impossiblesibles etque mus les directeurs sont appelés lesuns après les autres ' faire faillite. il

est arrivé alors que Part s'est ,-temeel perdu; les

lys sacafés-concerts, les ca-

sinos ont attiré à eux le public qui a

uséstumorales et

Il(aol réagir oa.mr, ces tendance, et

1 seul moyen cest d'avoir nn théàtrehies régi 40ec un directeur sérieux,subventionné par la ville et par suiteguidé par l'autorité nmnicip:ie sur lechoix de ses plions.

poue arriver à ce résultat ne craignez

pas de dépenser ; l'argent est placé àgros intérés, parce que nous aurez fait

une ceuvre morale, maiseus aurez réagi contre celte tendance

fatale du jour de préférer les pièces de

bas-étage aux belles tredur.tions de

l'art.Vous croirez avoir fait beaucoup,

Messieurs, quand vous aurez voté cettesomme qui vous parailea exhorbitaute,mais interrogez les financiers, ils vous

répondront test que le capital avancépour la subvention sera doubla par unsurerott considérable de recettes de l'oc-troi.

Le nouveau directeur sera tenu dedonner 20 représentations par mois,représentant une somme de 40,050 fr.qui se Coummmeront à 'l'aulouse.

Pour les huit mois .bus arrivons anchiffre énorme de 320,000 fr. Ce tapi.tel se répandant dans notre ville , faitvivre une masse considérable de com-merçants.'Du reste, Messieurs, toutes les

orne.des villes impressimmées comme nousde voir leur théâtre exploité par desdirecteurs n'offrant aucune garantie et

voulant réagir contre l'abus de la liber-té ont toutes rétabli les subventions.

La commission municipale de Lyonvient de voter le Chiffre énorme de200,000 L De même la municipalité deMarseille a accordé uuie subvention de150,000 le. Bordeaux, je le sais de sour

ce certaine, travaille en ce moment pourarriver au même résultat.

Evidemment Toulouse ne peut veston'en arrière et nues sommes ,...alleu.quevous adopterez le projet de délibérationsuivaut présenté par votre sous.commission:

Art. 1.". - Le cahier des ".bargespour l'exploitation do théàtre do Capi-tole, dressé par M. le Maire le 20 juil-let est adopté.

Article. 2.- M. le Maire est autoriséà...once, la vacance de la direction

du théâtre et à traiter avec le préten-

dant offrent les coedilions les plus

avantageuses au point de vol de la sol-

exercices auxquels il s'était livré de pré

féreooe u'avaieut pas peu contribué 4lui donner cet air-là.

Tout jeune, il excellait à la gymnestique, à l'équitation. A quinze ans, il

aioil le fusil comme un homme, etla..allait le plus ardent, le plus in.trépide, lorsllu'à l'époque des vacances

il était admiSa chassm dans quelqueparc avec des jeunes gens de sou âge.Aussi s'était-il l'ait o corps de @r, etétait-il co... et cité pour sa force.

Mais que de privations ces qualités

émes ne durent.elles pas loi imposer :Il avait été hie., vile amené à reco.-naitre que, p.ur satisfaire es peu-,hauts, pour être lui-mème, il lui au-rait fallu ce qu'il n'avait pas, ce y ltne semblait pas destiné à posséderjamais, une fortune comme celle de sescousins ; il eu était venu insensible-ment à partager l'engoùment et le ers-eet que d'argent inspirait autour de

I i à des natures moins élevées que lasienne, et, sans être nullement apte àLa'ilir, 'I n'est pas de sacrificesLia 'il

.'

n'eù été disposé à Paire pour as.teindre

ce

e résultat.

Envxsr SERRET.

(Revue de Frauca).

(Le suite d dernnin).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: 708 Année.-- No 249 BUBEMJX ; Rae.Sw t-1 elmep 44. Jeudi ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1874/B315556101_JOUTOU_1874_09_10.pdf · combat qui a duré dix heures. IL a pris

2. Ouverture d'un Jour de Fête (Beau. suréem

décidémentl des conseils généraux tes h pas possible combe

àL'alua-re. tè et des gar:mues de toute na rl ortelsu Tout hommét

demo trouvait

retirerem ortant

leur bu-vellement

ire homme d'Etat succombe un leaeSuArticle 3.- lie crédit de 19,0!ia 3+ :Ilmrguerite. valse Mmd e- porte sur cet homme de cin laient se retirer en emportant leur bu- pavait fixée au 4 octobre.

er .vmach), quanta-se t ans, nue ides notabilités tin, Jars l'un d'eux eut l'Infernale Les élections de bailliage auront lieu

imputable sur les l'onde linn1

d. blarchr un Sucre tOmmembles de Marseille, accusé de idée de demandera cet enfant où étalt naturellement le dimanche suivant, 11 degénéral, excluait d'ailleurs

taule affection parlerprogrè de lige'e est min à I. dlsn.AdEinu de reipdtte, polka (X..).) deux crimes dont les conséquences tué- son père, et l'en faut le lit ; octobre. vie gui se retire01L '' r

îe peur eBecté au paie.) . AJareso, gmmrule Ltaasnngerl.nom: I'd le a xoaveanian, arpuis ledr"outiibea aa il dècemhre piocha in,sot ip m tra s mais,18,790 Gn

t, ;

1^ An teitr:aient de l'age municL-palcbaegé dncontr,ile du théaLro pen-IanL la tutoie période,égal

300 fr. - Total1 19,050 l'e,

Article 4. - II sera ouvert ullérieu-

renmot un crédit pour I, paiement dudroit des pauvres et de l'éclairage.

M. le Maire. - Cette question duOuéàtec est teés-sdriense. Il est évidentque les finances de la ville on Mont pasdors sur état pros ère. Pouvons-nousnous i n user

ppp

n djEea P use proposée parvotre sous-commssio.? ' '1

onsJe anisa avions

vous mire r man ver ue nous aur9beaucoup de peina h trouver n direc-teur, ar l'exploitation dn de tell desCapiétés rasta indépendante da cello duC'eutq ' encore pendant deux ans. Celi eet qua prias calté période deux susqen Pua pourra honte

enfle

e Il' mémoss rl'admiomelion de nos deuxmainss lin

cem

moment, il s'a il do ci,}sertir 116,000 fia. pour' 1874 et 1873.Alois il importe do déclarer que les38,000 7e. votés déjà p l'enteetieuet la réparation du matériel un rentrentPas da us la subvertie..

Un membre.-- Je ne partage pas l'avisde MLé le rapporteur car l'utilité moraledu aire, Je crois que nous ne de.vues pas voter une pareille dépense,doue l'état où sont nos Mantes ; ce an.rait agir imprudemment Je ne croisPas à l'influence de t11801m sac lesamers. Notre situation budgétaire

étant mauvaise noue ae pouvons pasnous engager dans une voie de prodi-galité. Nous ne sommes qu'une commis

n municipale dont Iris pouvoirs Mn-clierout bicntot A leur terme. Nos s -

p m iront, s'ils le jugent eon-veiable, las mesure que l'on vous pro.pose. Je demande l'ajournement jus-qua lu diseossioa du budget.

M. le Maire. -

IL

a été répondu hcelte objection daos une dernièreséance. Vos pouvoirs saut réguliers eti:omplets. Vous avez le droit d'engagerl'avenir. `lais une c nsidérattou qu'ilimporte de us oumetlre actuelle-ment est 1. difficulté que vous auriez àvous procurer un directeur, si vousajuorsire votre vote. C'est en ce ma.salut que les troupes se forment, c'estn ce moment que les offres vous seront

laites pour la direction. Si vous renr; iez

la lutafias en octobre, voussu

moinssde

quea ran

d'a candidatsndndals p,éserun, ztant

Un membre. - Démontrez-moi quevotre budget peut supporter une dé-pen se de 80,000 francs. Vous avez à li-quider les travaux de Portet parexemple," bien d'autres affaires, comame l'uchaI de l'hôtel de Lafon de Villiers.

AI. le Maire. - C'est vrai, mais anusespérons créer de nouvelles ressources.L nulammeut celle qui proviendra des

droits de voirie. Pour l'hôtel de Vil-liera, nous n'avons pas à payer un capi-tal, mai. amdement une rente.

M. le rapporteur. -.l'insiste surl'ur-

gence de la décision que vous avez àprendre. Si vous retardez la solution,

vous nauroz plus de directeur.Unmembre. - Je avoue très-in-

asepétent pour traiter la question dulbé:'tel au point de vue financier, maisu point je vue moral

',ppû les c

sidéra lions qui vous ont été soumetspar M. le rapporteur. IL en es[ de mêmean point de vus de l'octroi et au Pointde, vol commercial. Les fonds quevers Jépensarez ainsi seront bien pla-cés. Vous troaseree. Je l'urge.y en suisconvaincu

; oc latesez pas tout dépérir.la réalité nous ne sommes pas un

pouvoir temporaire, nous sommes ce cemoment le Conseil municipal, nous avonsplein, compétence.

Je réclame ce vote immédiat.Après cette discussion, les conclu-

sions de la sous-commission sont adop.pins,

(La fin d demain).

I se femme figée de 24 ans, a été arafêtée mardi soir, à 40 heures, par lagarde de la caserne, rue \'alade, pourcoups et blessures volontaires enversune autre femme.

Mardi, vers 2 h. 1l4 du soir, la femmeCatgut, dgée de 05 a.a, cuisinière, estmorte subitement à la gare, Celle fem-me était malade depuis longtemps et

",aien moulant dans un rvvgun pour ee

rendre à Délesta chez ses parents,qu'elles est affaissée et qu'elle a rendu le der-nier soupir. Le corps a été traneporLêdans une maison de la rue de l'Orient.

Il a été saisi à ]'abattoir deux vacheset un veau, reconnus insalubres.

Meelque de l'école d'srtMl.ele.

Proggramme du morceaux qui seront exéeu-téaaujaurd'hui, 10 septembre, de 4 fleu-ra 1(2 à B heures, aux allées Lafayette.1. La Fille de M,.° Angoy chceur (Le.

cocq).Marche nuptiain (Alendr s).

3.Le

(étais Roi,--velue (làd

r (Adam).e.

LL Beau Damnés bleu , valse

Strauss).5. La Filda du Régiment, tanmisie (DO

nnzettt),0, Féline, polka (Constant).

8° Itataillon de chasseurs d pied

Proggramme des morceaux qui seront exéea-léa aujourd'hui, f 0 septerbre, de 4 Aeu-re 1(2 A 6 heures, au Grand-Rond.

OBSERVATIONS MÉ;TBOJLOLOGIQUES

,TES A L'onaeevAIDIRE

Des $ -. D sep[eeahre 1874

ALTnvuu : 194 m.

àvsitissu" r nous. De ra.".

c111

7°e. 744.9 34^.a eo NNE tr-faib.40s s. 743.7 217,3

id.sv.

080 insvse.7743 9 17'.S id. ON -f0t mn.

10°m 744 i 19.7 id i, d.J4°s. 7435} 23 e il l'1 JO id.4°n. 7r.3 0 23^ 2 id o raine.

TAe' namdtre M utigrade rMaximum du 8... 28 ^...... ,3Mieim. de la nuit suivan

.+te + 17^,2

Légère pluie à 10 heures soir le 8 et

à 7 h. 15 malin le 9 septembre.

DÉPARTEMENTS

On lit dans le Journal de Condom :Jeudi dernier, vers sept heures du

malin, ce chien de montagne, présuméatteint d'hydrophobie, parcourait les

es de notre v lle, cherchant à mur.dre les animaux de son espèce q,iil ren-eutrait.

Depuis la Banquette jusgti aux Capots;l'animal a eu les habitants à ses trous-es. Bnfin, s'étant réfugié dans la vigne

de la veuve Mortera, derrière les

Capots, il y a été abattu par le sieurFezas (Bertrand), propriétaire à Beaam-

çon.

On a vaine s'assurer si ce taie. étaitréellement enragé, l'autopsie a été

faite

par M. Vignaux, vétérinaire, qui déclara que ce chien, n'émit pas attelaid'hydrophobis.

Conseil de guerrene tA 45 aaYturon Yrt1TArns afatT A

YARa.ILLE.

Présidence de M. le colonel Durcis,du 83° de ligne.

Ce matin, ont commencé les débatsdes affaires se rattachant aus événemeets du 4 septembre 1870.

L'assiemnce est nombreuse. On re-marque dans la salle MM. Amat, députéet Lnbadié, ancien préfet des Bauches-du-Rhône.

L'accusé Susini est introduit le pre

mier. Il nnui...le-oses ans etest chau-dronnier de son état. Il a été oudam-né, en 1881, à cinq ans de détention,eu 1852 à la déportation h Cayenne,

Selon l'acte d'accusation, il a arrêté'llégalement et avec une bande armée,le 5 septembre 18711, Beeismnd; agedde police, en lui disant : e Tu m'asarrêté eu 1831 ; je l'arrête aujour-d'hui.

Susini, interrogé, affirme qui il n étaitpas armé lorsqu'il arrêta Beuillaud.

Son dél'eesenr, M^ Barns, dépose desc..clustons tendant à provoquer l'in-compétence du conseil de guerre. Il dé-veloppe l'idée que l'état de iège,'existait Pas au 5 septembre 1870.

de Beuistaud n'émit pasun fait conlee l'ordre public, mais unequestion d'intérêt privé.

Le ministère public répand énergique.ment contre l'incompétence du conseil,se basaut sur l'ordre public troublé,affrmant l'existence légale de l'état desiège.

Le lut'erse reprend les q...Il...de l'état de s

iéiège et de l'ordre public,

Le ministère public s'en rapporte à ladécision du conseil.

Le conseil arrive délibération etrend un jugamemt affirmant la compé-terce du conseil dans la base de la re-co.naissanee de l'état de siège, appli-quant à Susini les article. 123 et 12e.du c.de militaire, et le condamnant àcinq ans de travaux forcés et cinq ansde surveillance.

Vu Pùge du re , 1a penne deetravaux forcés

sers

racomcommuée eu celle de

la réclusion.

L'audience Mat levée àmidi.Leconseil rentre eu séance à deux

heures. 0e appelle l'affaire de FrançoisDarthélemy, figé de 43 ans, entrepre-neur de bâtiments et sacien conseillermunicipal, poursuivi pour complicitéde pillage et de détention d'armes. Lepremier chef daccusation ayant étéécarté h la suite de l'instruction, ilne reste plus à la charge de l'accuséque le délit de détention illicite d'ar-mes.

Barthélemy sas t que des truc. luimes

t tnnruée. esen son domicile deux Ir-

ont étéremimises

par le maire de Mar-seille, pour sa défense personnelle. Latroisième a été trouvée par lui dans unchantier.

M Ilorubuste! présente en quelquesmots la défense de l'accusé.

Le conseil reud ue jugement qui ces.damne Barthélemy, à 16 fr. d'amende,aux frais rusera l'Emt, à la confisca-tion des armes saisies et fixe à haitjoues la durée de la contratste purcorps.

Aresaun rose aT na.auu; Arrestations illé.gales et complicité de pillage.

A trais heures dix minutes, 1. séan-ce est reprise. Busc ei Braud sont ame-rés entre deux gendarmes. Un vif mma-vexent de urio.'lé sympathique serépand daos la nulle, lorsque le pre-m[er des deux accusés apparaît et sa-

1, Le Départ du Régiment (de Pillé). 1

1lue le conseil. Sa tenue est digne, ras-

elles pe ent être terribles.

Au milieu d'un profond silence, M.le greffier du conseil lit le rapport sui.vaut:

Lors de la proclamation de la Dépublique à Marseille, le 4 septembre 1870,le sirur Bosc était membre de conseil. Le5 septembre ce conseil délégua trois deses membres pour se rendre auprès dede el. le général d'Aurelles de Paladi-n n, pour obtenir la levée de l'état desiége. Le sieur Bosc fut un des éluscape, le premier novembre suivant love.qu'ils agit de remplacer le conseil ma-nicipal par des membres nouveaux, ilfut n mmé une commissien de trentesis membres et les r Bote fut dési-

r nur en faire part e. Bien ue celtefie p qderniére désignation soit survenue aprésles événements de septembre, elle n'en.dé o tee pas oins sque ueys étaient lesidées du sieur Uosc dans l'a réciationde ceux qui commandaient eu affresdons la préfecture et l'autorité qu'ilpouvait avoir sur ceux qui troublaientl'ordre.

Le 5 septembre 1870, la dame JauretMarly, ea allant aux provisions, appritque l'on arrêtait tontes les personnesayant fait partie de la police ; elle ren-tra précipitamment chez elle et soulutfaire partir son mari ; celui-ci, ne e-fasant de croire qu'il pouvait être l'oh-jet d'une arrestation, ae le voulut pasuu peu plus lard, e s sept heures etdemie du soir, une bandese d'individus, dont seppt ou huit étaientarmés, ir t frapper à la porte exté-rieure de la maison, la dame Janreldescendit avec précaution et ouvrit dou-cement la porte ; mais aussitôt la por-te âouvrit violemment, la daine Jeu-ret fut jetée à terre par cette poussée ritle corridor fut envahi.

La dame Jaùret se releva vivementet demanda à ces hommes ce qu'ilsroulaient et leur dit que sas mari n'¢.tait pas cher lui, qui il était ale rue laPais, à son, nucten domicile, chercherdos ellets qu'il y avait laissés. Cettedame, par sa fermeté et eon assurance,fit sortir ces hommes qui allaient partir,lorsque le sieur Bosc, traversant la fue-le le chapeau à la mata vint se placerau milieu de cette hande et demanda ceque disait cette femme. Il lui lut réapondu qû àelle disait que aon mari n'é-tait pas la maiaou, qu'il était allérue de la Paix, 8.. Eh bleu, dit Dose,que la moitié de vous autres aille avecelle rue de la Paix et que l'autre reste

i; si elle vous a ment, vous 1 arrêterezet la garderez jusquà ce gtielle veuxait dit où se trouve a.. mart. .

L'agent Jauret dit avoir entendu leil. r Bosc s'exprimer n termes plus

énergiques - il aurait dit Citoyens,

cette femme vous trompe ; que la moi'lié de .uns reste ici et que l autre aille

rue de la Paix ; si elle nous a trompée.aus l'arrêteras.

La dame Jauret loi dit qû elle étaitconcierge, qu'elle ne pouvait s'absenter,à quoi le sieur Bosc répondit que 1u.maisen se garderait bien sans elle, puisil ajouta :. Puisga elle ne veut pas s é-1.yçmur, c'est que so. mari est daos famaison, . Et tort aussitôt les hommeseu armes, su,v,s de quelques autres, eu.sol firent la maison. Butsc rsta à l'extérieur. La dame Jaure

suievit

ces hom-mes et leur dit : s Ne tassez rien, jevais vous ouvrir la porte et allumerune bougie.. Pendant ce temps sonmari se cacha sous le lit ; puis ceshommes entrés ,anslu loge, ne voyantpas l'agent, se mirent à fouiller partout.- La dame Jauret, les voyant pluspressés de piller que de echerclie,son mari, monta au deuxième étagepour chercher du secours ; là, elle eetrouva indisposée. 51. Courrier,sanler

municipal, qui depuis deux jourslogeait chez sa tante et qui e tmenvaitlà, descendit aussitôt. Il déclina sa qua.lité de conseiller municipal et voulutfaire partir ces hommes ; il ne put yparvenir; ils avaient, dorment-ils, l'or-dre d'arrêter tous les agents duel lesnoms étaient à la préfecture. Iis agis-aient, disail. il,, au .am de la lot et

de la révolutioe. M. Courrier ça mitavec deux hommes qui gardaient laporte extérieure, lorsqu'il étendit dansla foule ces paroles :. C'est noire col-lègue, . et au même instant te leurBusc, qul attendait sans doute queal'ar-restuion fut un fait accompli, savaoçaver. lut et lut dit : s Que vous veuten r. Le voyant entre ces deux hom-mes armés avec qui il ve.ait de causer,il le croyait arrélé.

M. Courrier Lui dit que l'on ve.aitpour arrêter un agent de police etqu'il ne croyait pas qu'il y ei eût dansla maison, car 1 ignorait que Jauretea fit partie. - Le sieur Bosc tué ré-pumdit :. C'est pc.1.11ele concierge,.et ils montèrent ensemble à l'entresol.Le sieur Bosc eetra dans la loge, ceque voyant, M, Gourrier monta chezlui pour avoir des nouvelle. de MeJauret et lui ennomcer que son mariétait parti, car il croyait qu'il avait puse sauver.

La dame Jauret se trou vaut mieux,De descendirent ensemble et ils met-taient le pied sur la dernière marche,lorsqu'ils virent l'agent Jauret qui sor-tait de sa loge. Le sieur Bosc le tenaitpar le bras et un homme sans armespar l'autre ; deux hommes armés le nui.vateut par dernière ; ils sortaient pur larue du Uelloi, ce qui donna le changeà ta foule qui, aussitôt prévenur, se di-rigea sur la préfecture, où déjà l'agentétait arrivé sans le concours du sieurBasc, qui n'était pas entré dans lapréfecture ; son doute dans la rue ill'avait abandonné à ceux qui étaientvexes l'arrêter.

Pendant que Mme Jauret, qui n'avaitpu s'absenter qui un instant pour deman-

se trouvait indisder du secours osée ,, p r p .chez M. Courrier, ao. jeune enfant se La date des élections pour le renou-

c' t ainsi que Jauret fut découvert. 1 Quant aux élections coeiplémetimiresLe sieurBosc pprétend qu'il est inter- 1 de députés, l'idée de tes faire en deux

veeu dans ne boas intention et qû il lois ne parait pas avoir gagné du fer-a

vouluprésente corde la maison d'un r in et il n'y aurait rie, détonnant

pillage, qû il était convaincu que l'agent àaceqti elles eussent lieu eu bloc dés leaerait découvert et que c'est pour ce dimanche suivant, c'est-à-dire le 18motif qu'eu entrant dans la aiso , il octobre.aurait dit à Mme Jauret qu'il était. plus Pinsieues préfets sont en ce momentconvenable que son mari se montrait, à P.:ris, notamment ceux de la Gironde,qu'il iraità la préfecture le lendemainpour obtenir sa liberté; il ajouta qû ils est retiré après avoir donné cet avistque, le lendemain, s'étant informé

à la préfecture de l'agent Jauret, onlut obit répondu qu'il avait été mis euliberté.

Bosc n'est entréD'abord le sieurIa maisonc'était lors.9û M.

.C

C

oiuue

uM ourrr ieen

r était visent il n'a duiuenir à Mme Jauret a cun propos , e

tdonner aucun conseil puisque celte da-ue était alore chez Mme fourrier. Ilne lui a parlé qu'une fois, c'est lorsqu'ilo lait l'envoyer avec une bande pour

la foire assister à l'veresmlie. de s

mari ; il a "r"' l'agent Jauret dansson domicile pour le conduire à la pré-fecture. S'il est allé à la préfecture lelendemain, ce n'émit pas pour fairemettra en liberté cet agent, car s'il s'enfut occupé, il eùt appris que cet agentnovait pas été mis en liberté, mais qu'ilallait être ou était déjà transféré aufort Saint-Nicolas.

C'est M. Courrier qui, en s'adressantà M. Blanc et déclinant sa qualité deconseiller municipal, a obtenu , le 8eptembre, la mise en liberté du sieur

Jauret. Le sieur Bosc pouvait donc, sill'eùt voulu, obtenir la même faveur.Nous avons la conviction que les faitsse sont bien passés comme nous venonsde les raconter tique, le sieur Bosc estbien le véritable auteur de l'arrestatioude sieur Jauret et du pillage de aa mai.son. Le sieur Jauret a constaté, après lepillage de sa maison, qu'il lui avaitétévolé : une épée, un chapeau, un képi, lierevolver, en pistolet, eu casse-tête, nepaotelon, un manteau, plus une sommede 65 lianes qui lui a été prise dansacommode. L'agent Lacroix, eu partantpour le service, avait dép sé chea sonçollégue Jauret une malle contenantdes elfem et des armes ; cette malle aété ouverte et il lui a été pris : unrevolver, an pistolet, une canne à épéeette casse-tête. Pendant que ces faitsse passaient, la dame Janrel a entendudans la foule qui smti.enaiL devant lamaison, les paroles

vaudra: Veyex

donc le fe blanliee, ire sont couina et ilvient l'arrêter.-L'agent Jauret a recon-nu parmi ceux qui so.t venus chez luipour l'arrêter, te nommé Braud , fer-blantier, so. voisin , demeurant alorsrue de Breteuill '1 était aus i parmiceux qui l'ont conduit à la préfecture,il ae peut donc p avoir aucun doutesur la culpabilité de cet homme. L'unet l'autrs des prévenus sont sans antécé-dents judiciaires, les perquisitions fai-tes chez eux n'ont amené autan résul-tat. En coauséqueuce, nous sommes d'asvis qu'il y lieu de demander ta meu jugement des si rs David Bosc, niegociart, et Louis Brand , ferblantier ,

me prévenusca1^ D'arrsmtion illégale de l'agentJauret Marly, avec détention d'une du-rée de .oies de dix jours, mais no. deleur fait ;

2^ De pillage en bande.

Le Soir publie la dépêche suivante

SainbJean-de-Luz, 7 septembre.

Eu raison de la dilfuculté des cummu-.[cations qui s accroît chaque jour, iln'est pas facile de contrôler les bruitscontradictoires qui circulent eu ce mo-ment.

Néanmoins, g ai tout lieu de croire àl'exactitude. rigoureuse des renseigne.

ments suivants

-«Le général Lopex Dominguez es t or.rivé à Puycerda dans la nuit du 5 auG septembre.

Son arrivée à la tête de la colonel de10,1100 hommes qu'il commande a étésaluée avec enthousiame par la garnis.. et la ville de Poycerda.

La marche de ce corps d'armée, par-Li de Derga, a été retardée par l'écot im-praticable des chemins escarpés damalesquels l'artillerie était obligée des'engager.

Les handes cet essayé d'se.fêter le

général

alLopmLopea Dominguez.

Le peut de Cuardolm occupé par desforera imposantes a été l'objet d'uncombat sanglant entre les troupes eéou-nlie.inea et les partisans de do. Carias;réanmoine ceux-ci ont été forcés debattre en retraite et d'abandonner lepassage de ce pont. Dominguez pour-suivant sa route a atteint le sillage deCastella, incendié eu partie aujoard'Imi;son avantguede s'est srrêlée au cul deCabre, dent le passage était défendupar de nombreux bataillons carlistes.Dominguez concentra ses troupes, et

après avoir campé sur les positions qu'ilavait conquises la veille, il almgal aumati. les hauteurs des monmg.es surlesquelles les carlistes s'étaient forte.

mentretranchés. Malgré une fusilladedes plu, meurtrières, les troupes eéga-

lièees franchirent courageusement cescimes escarpées et parent déloger Irapartisans de don Carlos après un com-bat acharné.

Les pertes des carlistes uni été asseznombreuses.ls ira e ceer on, Pmrel desserait

aitasassiégé

eu

n cemmoment

paar

deshandes carlistes.

VERSAILLES-PARISCorrespond.- pmrtienlidra.

Ve sailles 8 se tembre

du Nord, de eleurthe-et-Moselle du l'as-de-Calais, etc. Depuis le commencementdes vacances purlementaires, la plu-Part des préfets ont pnssé au ministête de l'intérieur, le nouveau ministreayant voulu, suivant l'usage, se mettreperso o n rapport avec chs-cu d'eux.D

Ri ûuJ 'ournal a.noncece soir ueq qmss

er uns de Cça hambon a acte lé lacandidature dans Seiue-et-Oise, j

âi des

raisons da c.tsilérer cette nouvellecomme douteuse.

Les avis de la santé de M. Cuizot, enda te de ce matin, n'indiquent aucunchangement appréciable. L'état du ma-lade est donc toujours grave. M. Cor-nélis de Nitt a fait e mati une ap-parition au ministère de l'intérieurpour quelques affaires urgentes. Il re-part ce soir pour le Vsl-Riches.

L'Ordre, journal de M. Clément Du-vernois et de M. Douher, porte auxnues les . honnitea légitimistes de l'Au-. jeu, qui répudient hautement de

honteux compromis. .Ce sont, d'l prés ce ange ulor[su et

désintéressé, les . vrais royaliste . qu' 0oppose sua . royadistea /aux. .

. Leur attitude, ditll, ae saurait ina--. pires que le respect..

Paie l'Ordre termine en citant avecreconnaissance un passage de l'Universqui, pour mieux marquer soc hostilitécoutre M. Bruns, déclarait . regarder

le succès de M. Berger comme as-suré. .Taudis que les bonapartistes pend.

lent ainsi des fautes des onse rsmoearchtques, l'Union déclare

queque

son

parti os doit poursuivre qu'un but :battre en brèche la politique de M. de

Broglie, . qu elle a déjà renversé il y aquatre mois, et faire . échec au candi-dat ote. ,Affaair

ireddeetan

tactique, dit-elle, et pendantce temps, t'Empire se prépare à passerde nouveau entre 'es répubhcaila et lesconservateurs divisés !

L'ambassade de Fraece à Berme a étéréellement offerte à M. le comtecourt, notre ancien ambassadeur à Lon-dres; mais on ignore encore s'il 1'a oc-

ptée. Je vous ai déjà dit qu'elle avaitété refusée par M. de Bourgoing, autreambassadeur en disponibilité. Dans leeus où le comte d'Harcourt refuserait,comme M. de Bourgoing, l'ambassadede Berne redeviendrait simple legs.tion et serait donnée trés-probablementà M. de Calaiac.

Le maréchal de arriveraà Lille vendredi soir à once heures.Le lendemain matin, il visitera n ate-lier d'imprimerie, puis l'hôpital mili.taire et ne. usioe. A dix heures, ré-ception des autorités et déjeuner, Aprèsdéjeuner, il ira voir une filature delin, passera la revue de la garnison etvisitera ensuite l'hôpital civil et dl-vers établissements industriels. Le soir,diuer officiel et probablement récep-Lion. Le dimanche, départ pour le campde Bélhune,

Paris, le 8 septembre.Je vous parlais hier des inquiétudes

qû éveille ici la question espoguole; vousez lu un télégramme disant que le

gouvernement de Madrid entendailgar-der la plénitude de sa liberté d'action

v' -à-vis des affaires intérieures. Celtedéclaration a été faite catégeriquemenl,

elle est offiçielle et complète. Cepen-dant on petaiate à c..aeescr ici quel-

ques scrupules sur le nature et l'êtes.

due des engagements qui existent en-tre le cabinet de Madrid et celui deBerlin.

Vous vous rappeler, tout ce qui s étédit, il y a trois mois, ur la mansionHatafeld. 0. s démenti alors qu'il futquestion d'une candidature pruesiemeen trône d'Espagne. Ces bruite revien-tient aujourd'hui sur l'eau pour me ser-vie d'une expression vulgaire, et ils pa-raissent expliquer pourquoi l'Allemagnemontre tant de aéle pour le gouverne-mentdu maréchal Serrano. Dans la der-nière combinaison ministérielle quilent d'aboutir à Madrid, les partisans

de la politique allemande sont ejorilé,et leur chef authentique depuis1870, c'est M. Sagasta.

Vous le voyez, tous ries indices ont unetermine valeur, et les gouvernementseuropéens en s presque ausst prioc-nepis que

nousont

-mêmes. On s'est décidéà rPas il. lire le maréchal Serrano pourne pas donner à l'Allemagne une situa.it.. isolée à Madrid, m 's .lte aitua-tton test nullemeet affaiblie et oco m ce à ra'.dre ue la recommism e

ce hunmine est impuissante de-La a.vant lam: et qui s' mmorice , et 1afamille e'attenu 5 ..a dénouement Pro-chain, mais nul immédiat cependant.

11 avait été question u'i3ligr à ta

République française une sus,enaioe

égale à celle de l'Urtirere. On y a rensn-ce en tenant compte de ce fait que 1a

journal de M. Cambelm n'avait Pas étéle provocateur dans la polé,niq,e euela reconnaissance du maréchal Serranoet qu'eu général cette feuille 'aime pasà aartir de la légalité et de la

nbienséan-

ce dans les articles politiques un'Alepublie.

Mning+

avenant du éIer{ÆI ae r pr8naRe de gens

e et Ire

a' étfi ai' èchP aoxo8aléa ue les se en luiP P na.aé

de j'\'on e, la semaine derniére, a pla

journéée

d'hier a Paris. 11 doit re-

partir mcnrlleu nenl pour Londres.Les .., veltes de l'élection de Maine.

et-Loire semblent ta plus laisser de dou-

te sur l'éventualité d'au bailotage : le

tout est de savoir qui des irais candi-

dota en présence arrivera en tête de la

liste. La candidature de M. Drues a

fait d'incontesmblee progrès, mais il

reste à savoir ce qu'elle était à eon poiotde départ, et c'est ici que les apprécia-

tions sont très-peu concordantes.Je lis chaque matin l'Étoile d'Angers

et l'Union de 1,0-1, l'une et l'autreplus au moins légitimiste, avec cettedifférence que l'Union s'est ralliée h M.Bruns ; le Journal de .8aine-el-Loire (,a.-cillaient dévoué à ce candidat ; le Pa-trèete, qui soutient M. Maillé ; le Nmeref-liste, d'Angers, dimué à M. Berger ; ety rencontre moins de r...sigesmenla

électoraux que dual let feuilles de

Paris.Pourtant, aujourd'hui, je trouve date

lctaincette déclaration qui éviteersilencnementde ne pas être passés eon

silence, puisqu'il semble en résulterque dans l'Anjou on doit voler contreM. Bruns ee haine de la ren....iesance du gouvernement espagnol par lecabinet da Versailles. Le maréchal de Mac-Mahon pré.

tend s'imposer h nous pour sept a e.Quels eoet ses titres. s'il est incapable

de défendre nos l s r De quel droitprend-il la place

dede

tuta talent r Croit-

on que si Henri V étaitsur

surte

le trône, laPrusse tait osé exiger de la Fraece Lreconnaissance de Sern.. L .

Tandis que le Patriote allure que lacandidature de M. Maillé fait boule deneige, le Journal de se

plaitBnsasà augmentent tous les jouess Qusntà M. Berger, le Neaeefliate dAeagers nemet pas ea. succès en doute. Cependantes fait courir le bruit que ce ça délotest cité devant le tribunal de Chaletpaur avoir distribué des photographiesdu fils de Napoléon III. Si ce bruit n'estqu'une simple maemuere électorale, ilfaut .,attitude. à eu vie surgir bleud'autree à la derniére heure.

Voici le texte de l'arrêté de su.pe..aias de l'Univers :

. Le général gouverneur de Paris,commandant la 40 division. militaire:

. Attendu que l'Univers, dans son do-méro du 6 septembre, dépasse toutemesure, provoque au méprss du q uvertement établi Par d'inqualifiablesoutrages qui sordide nature à camp.-.ait.

nos r lations extérieures, troa-ble la paix publique t porte uae graveatteinte à La dignité de la presse fran-aises Sur l'avis du conseil des ministres;. Et e vertu des pouvoirs que luinfére

le

a loi des 9-11 loft 1849 surl'état de siège, arrélé

. Art. Le journal l'Univers estsuspendu à partir du 7 seplembrejus-gûsu 21 septembre inclusivement.

. Art. 2. M.. le préfet de police estchargé de l'exiculion du présent ar-rélé.

. Fait à Paris, le 7 septembre 1874.. Le général gouverneur comma..

dont la 20° division militaire.e Pour le gouverneur et par son

ordre,

Le général de division, chefd'état-major gqénéral,

s Signé fissure,

. Pour exécution :Le préfet de police,

e Signé L. BxtautT. .

Le Républiquemuniquéfraaçaire a repu de.on côte le Com suivant:

. Le journal la République française,en répondant, dans son numéro du 6septembre, à u. article du journal l'Us

e a eu le tort de é inspirer du re-grettable exemple qui lui était d...ét ds se livrer P des violines indigne.

de la presse Irançatse.. Le guurerneeieat est décidé à ne

pas tolérer de pareil. excès, s'ils ve-

mon t à se reouveler.

La Ré ubli e ra. aise dit au su etsance ne sont qû un premier pas daos P 7u / f J

la vol où le chu celner impérial espère de ce Communilué:entralner toutes les puissances. . Nnus ne croyons pas montrer une

0n annonce des mes es de rigueur présompli eu trop grande, en a de...ILcontre divers journaux du midi qui ont qn us serai. tout à fait facile deengagé des polémiques trés-injustes réfuter le Communiquéqui il a plu à l'ad-oslre la gendarmerie de l'Ilérault, à minislration de nous adresser. Nous

Percaline des troubles de Mèze. Le fait pourrions faire voir que ce Camrnuni-est qu'il est déplorable de voir les orge- qud ne vise méme pas, ni dans son texte.es de la presse radicale exciter les ni dans son esprit, l'article que .outpassions de la fonte .antre les repeé avons publié et qu il prétend redresser.e.lanls de l'autorité militaire, alors Mais, eu apprenant la m re adminis-

que ceux-ci ne font leur devoir qsi e- motive qui vient de frapper le journalsec beaucoup de modération. On dit l'Univers d'une suspension de queuteque les cinq gendarmes de Méze, vont jours, nous ornas pesé qui il était pré-étre l'objet de nominations dans la Lé. (érable à tous égards de roue abstenirgion d'honneur. Vous vous souvenez de tout nom menteire. .que AL Thiers n'a jamais manqué à cedevoir de réparation et d'encourage-ment vis-h-vts de l'armée.

La maladie de M. Cuizot parait déni.dément devoir aboutir à un résultat qui il

- L'Union publie la note suivante :Plusieurs jaureaux oat parlé d'une

lellre que M. le comte de Chambord au-rait adressée à M. le marquis de Franc.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: 708 Année.-- No 249 BUBEMJX ; Rae.Sw t-1 elmep 44. Jeudi ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1874/B315556101_JOUTOU_1874_09_10.pdf · combat qui a duré dix heures. IL a pris

lieu. Le fait n'est point vrai, et Phono. l'examen des ava otages et des :,donvé..Ibis ! l'inldmie et ne sait mieux bru. dm que de nouvelles habitudes dont lev

rble député des étantes.Pyrénées dé- clouta des deux ^,,res. Toute. les plé- ver la mort ut dos sobjets. Du reste, c(rcotlstances préaenlea .ous font une

ment dans la lettre suivnnte, qu'il nous eue pansées eu revue, tontes les ".ai l9 une question d'être de de nod. imlidriedse nécecéité. Lé division estré-f i ' '' '

a t l honneur deous écriren

sA M. le ru acteur en ehe(de l'Uenoe,Monsieur,

. Premeltea.vomi de démentir demil'union la nouvelte répétée par beau.

. coup dejournaux d'une lettre relative. au septennat, que M. le comte de

Ch bord aurait daigné m'écrire,wrsgne le roi veut faire consulter

. sa pensée à la France, fi ne charge< personne de parler pour lai ; et, s< j'ai invariablement puisé ma force< dans ses écrits, c'est toujours après. leur publicriiou, jamais avant.

, Veuillez, je vous prie, monsieur,. agréer l'expression de ma considéra-. lion ia plus distinguée.

sunoms Illi FnAxcLtec. .s L.... soros, 6 septembre. .

M. le marquis de F'ranclieu a rsisonde dire que M. le comte de Chambarda toujours fait connaltre publiquement hla France sa pensée et son programmesa lettre datée d'Flbenzmeyer o couda-

é l'entreprise républicaine M, r dérutile au peut de v u , de la fabrma-rances, son manifeste a détruit les râpé lion des reclta.ges et de l'approvision-ronc.aeptennalietes, - nt des munirions. Elle devait' en

Le Gaz tte de Francfort, en date duseptembre, reproduit la conclusion

d' n article conmeré par la tleua, pourl'hialoin altemoede nu jugement deTenon. Cette conclusion est ainsiconçue :

< Noua voici oIrisés au terme de na.ire travail, et nous croyons avoir dé-montré que la condamnation du maré-chal Dizaine D'est nullement mlachéed'injustice, et que d'après les lois de laguerre telles qu'elles istent danschaque Etat, elle était inévitable. Nous

co.stateroex, en résumé, que le maré.chat na pas fait une aeule tentativesérieuse pour forcer les ligues

luire, tenir compte de nopinion despersonnes compétentes au point de vuetechnique de la fabrication, dont le plusgrand nombre donnait la préférence aufusil GeaQ; on comprend donc guiellen it pas hésité b en prononcer en fa-sur d un système dont l'ensemble, après

l'examen scrupuleux des détails, révèleune réelle supériorité.

Les travaux nécessaires pope la trams.farmatim de notre armement peuventêtre immédiateme:d commencés. Le fu-ll

dontl'armée doit

lirepourvue peut

être comparé avec ceux adoptés en der-nier lieu par les différentes puissancesde l'Europe. Cela est aro:demenl démon-tré si l'on sait que presque tous lessystèmes connus ont été expérimentés,

des ; que, depuis le c mmencement 1 et que c est après un comparaison wo-jusqu'à lu nu, la défense de Mets a été gneusement faite que les deus modèlesconduite eane énergie et sans tolet I- choisis ont été s omis à la critique sé-gence, et que le commandant en chef vére et approfondie des officiers géné-a eDgligi, ev'nl la capitulation, de toi, eux qui composaient la commission.re brider les drapeaux et de détruire Le chais do fusil Gras fait dans de

le matériel de guerre. Pour reconnai. telles conditions ne doit donc Isissertee et juger exactement la situation de necnne areiàre-pensée dans l'esprit dede non papa en ce moment critique et qui ee préoccupent, à juste tille,pour prendre en conséquence, leu résu' del'Armement de nos whists. Il fautlutions viriles qui étaient nécessaires, que eux -ci sachent que l'Arme dontil fallait un caractère ferme et une ils seront pourvus donne lev résultatsabnégation que rBazaine ae possédait les meilleurs que l'on plisse désirerpoint. Même en .e déciduat à demeu- dans l'état actuel de la scient ceux

ver sous tes canons de Mets, il Pouvait d autre e s qui appartiennent. aux ré.servir son empereur si son pays bien Biments où elle a été mise en expérienceautrement qu'il ne l'a fait. n'ont plus aucun doute à .et égard.

.< S'il avait voulu, au cmtraire, eh'n- (Bulletin (ronpis.doaoer la forteresse, il devait prendrece parti an temps utile, et usus n -rions pu l'en empP.chre. L'altitude indé-cise du maréchal, ses demi-mesura, nulaccéléré la perte de l'armée du Ilhin,et, par suite, la ruine de son pays. Ilnoue est donc impossible de nous a,...c!lr u jng eut de cequi mit

goriié la"'de."

dumaréchal'

pourfaire epparaltre nos sucrés sous onjourplue éclatant. Si jamais un nflicier al-lemand se trouvait dans la méme si.tuation qun celleoà A été Punaise, nousexigerions de lui une tout autre con-duite, et nous avonsla ferme onric.

flouqu'il serait h la ' hauteur de aes

devoirs, attendu que l'armée allemandetout entière a juré fidélité h son em-pereur et commandant eu chef, tquelle gardera cette fidélité jusqu'à lamort.

Après avoir r produit ce passage, laGazette de Francfort ajoute :

< Nous eecamma.dona tout spéciale.ment à M. le général gommer, gou-verneur de la place de Cologne, Parti.cle ci-dessus. 11 erra ommeot os yjuge l'honneur militaire de l'homme au-quel il a fait l'humour de le recevoiret de lut rendre sa visite. .

LE NOUVEAU FUSIL

Par use décision présidentielle du 7uillet 1874, le Posil du 11,111, dont. Gras, chef d'escadron d'artillerie, est

l'inventeur, a été adopté pour l'iefan.ferle, la cavalerie et l'artillerie, d'aprèsl'avis d'une commission nommée le 2mai 1874 et présidée par le maréchalCanrobert. Cette commission avait étéchargée, a ârés les expériences faites àVincennes mus la direction de. géné-ras: Doua, et Damont, de se prononcerour le. deux systèmes de transformationreconnus les meilleurs pour la substi-tution de la cartouche métallique à 1.eurtauche modèle 186G. Des essaisagitent été bits sur une très.large ichelle duo. trois régiments d'infanterie,un de envallerie, un d'artillerie, etpermettaient de au rendre compte de lavaleur pratique des deux armes.

Le système de transformation quiconcourait svec celui du c...... dentGras est du à l'iugéoisar hollandaisde Beuumont ; c'est d'après son stvslémeq a été

construitle fusil dont 1 armée

des Pays.Bas est pourvue. Les deux ar-

mes .'étaient, d'après les eapports,suu-

mise à la commission, également biencomportées dans les épreuves ; ceetai..es modificnlices reconnues nécessairesavaient été faites avec succès :il fallait

donc procéder à un examen, à une enquête des plus minutieuses qui permitde ne plu. douter de 1. supériorité detune sur l'autre.

L' :amen a été fait avec un soin etune compétence dont l'importance de

1,question et Ira aptitudes spéciales

des membres de la commission oe per-mettent pis de dont" Dans l'enquMo,toutes les

per ...cequi avaient 'Il

les expériences ont été entendues. MM.Gras et de Deaumavr ont cté admis àpr cu feu,.Lu observations.

La commissio., avant de formulersont avis et de proposer un choix à 31.le ministre de la guerre, a phieurirsfois recommencé ses travaux, reprenant

nté-modifications qu 1elles sont encore suis. être i quelque ptisldnte que soit ['Aile. me de la propriété, et aussi les,

ceplibles de subir ont été éludiéea ton. magne; si dada eomjlreilods; ddmnie elle; huis industriels permettent d'assurertrapltctoiFenleet. ce qu'on doit à la patrie, si le devoir ''ordre dont Ire dé peltvetlt On passer.

Elle s'est enfin prononces eu faveur son. nous fait oublier l'égoïsme, le coq C'est donc autre coupable a$st6Ptioudu fusil du système Gras ; c'est queu gaulois pourra longtemps encore plus. qui assume la responsabilité deseffet les épreuves à outrance faites dans ser libçement sou joleuk cri matinal Rations ui se roduieent périodique.les cinq régiments su les .mes llraa tille je renard germain outra parmi inf.. p,#. tant de leçon.et Deaomont, ont démontré que si Mais le devoir en France est divisé terribles, connaissant la digue qui reittles conditions balistiques, l'efficacité des comme les partis: chacun croit le voir seule arrêter ce fléau, oublierons-nousfeux la cartouche le mode et la rapi daéfé dl I e drir ?,,-ns ses prrences, sonrapeau, aorsucoree nous eu sevdili du chargement sont les mêmes dans 1 qui aujourd'hui or ne devrait avoir d'au- Du reste, le devoir n'eet ici que l'in-Ies dons systèmes ; que si la sécurité tee souci, d'outre but que le salut dudu tireur est assurée pour les deus se- pays. Nous sommes comme des marinsDors, le fusil Gras ae détériore infini. sans boussole, no sachant plus du quelment moins que le fusil Beaumont ; cblé se diriger pour trouver le port.en oul.re, l'inventeur de celte arme a éclusé la justice a été trop souvent vin-e édié à toutes tes défectuosités que rée par ceux.là mêmes qui avaient juréprés

enmieut certaines pièces. de I. faire respecter, que le succès cou-le fusil de Beaumont, pour atteindre pible est porté aux nues pour avoir

ce dégré de perfectionnement, aurait renversé les Principe. sauveurs qu'Ilest clout au amies u' de nom elles lapé- cherche e' Vain à faire rée et derien-. plus tard, l'esprit public é oblitér et de

La commission se trouvait en présr n- qu'il hésite entre Dieu et le néant,ce d'une arme uniforme pour l'infante.

ilil

nene sait plus oh est le devoir.

rie, la cavalerie et l'artillerie, présen- On le voit, l'intérêt matériel n'est pas

tant par là méme un avantage cops.- tout. Amdessus, il est des notions

LA RÉGÉNÉRATION

111

Après la religion , il n'est rien de

plus indispensable aux hommes qu'unepatrie : aussi lui doit-ou tous les sacré.fines. biais quand l'égoïsme prend laplace des venus civiques, que les par-lis e disputent le pouvoir, non eu vuedu hier public, mais un dansun intérêt personnel ,

chiquementacun

ne nuageq,ià sa'ypropre sécurité: ce qui faitqû il n en a plus pour personne. On

cru , au lendemain de cette guerrefuneste considérée comme un chàti.mat et qui était aussi un piège pré-paré de longue main par l'ambitionprussienne , que les partis en Franceallaient désarmer et faire le -videsde leurs préférences à l'intérêt général.Mais voilà que les passions politiquesn'ont pas tardé à gronder de nouveaules insultes , les provocations volentd'un camp à l'autre comme l'éclair quiannonce la foudre, tandis que ras cou.citoyens sont courbés sous le joug étran-ger, et que les ennemis qui ont jurénotre perte se réjouissent de nos pro-fondes divisions.

Sans doute, il ne peut être questionr noua ni d'agressionde longtemps

P."m de revanchMole si nous possédonseucore, comme tout ce qui existe, lesentiment de la conservation, il est ur-gent de mettre un terme à nos dfvi-smns, et de comprendre solin quec'est seulement par une abnégationentière au pays que nous parviendronsà é ilee les embûches qui nous sonttendues. La terre classique du sens

cumnue, dont les autres peuples em-pruntent la langue limpide , périra-t-

elle faute d'entente et de bon vouloir ?

Certes, les avertissements ne nous ontp.. manqué. Prévost-Paeadol partageaavec beaucoup d'autres ce rôle de Cas-

sandre la veille méme de nos désastre..Si l'un en croit ses sinistres prédictions,

ce ne sont pas seulement les rca lati-nes qui doivent disparaître : mais aussi

.os vainqueurs eux-mémes devant l'ex.tension toujours plus grande des anglo-

saxons. Quoi qu'il eu soit , puisque laProvidence daigne calcul ous mainte-

s rang des peuplesr ibres, ne de-ntion.-nouspaa nous montrer pllts digues

de se bienfaits en bannissant la dis-corde du beau pays de France, et, aprèsde si cruels avertissements, notre pre-

mier soin ne doit-il p.. être de veiller

plus que jamais à notre indépendance

du' se pas menacer ouvertement ,

qui on ne peut méconnattre sans s expo-ser aux plus grands dangers. Mais s'ilest facile de prouver quo la science n'apas renversé Dieu de qui elle émane, nel'est-il pas aussi à l'homelle homme dedéceuvrir le sentier du devoir ? A !'heu.ce pressante de danger, on rit tous lespartis se confondre, le légttuuiste tom-ber à Patay, auprès du bonapartiste etdu républicain. Malheureusement, on

v it plus confiance; il fallut suc-o ber. Or cette trêve des partie, qui

ne fit en 1870 devant le danger rois.mm, 'est pas moins écessair, au-

jourd'hui quel ce temps funeste. L'his-toire de tous les siècles ne nous répéte-

t.elle pas sur tous les tons, que s les

peuples se perdent par la discorde,l'union et l'amour du pays les rendentsouvent invincibles.

Sans doute, on ne peut en Frances'empêcher, comme prtout ailleurs, demédire du voisin ai faire que les

partis ne ae dénigrent pas entre eux.Mais la politique a cela de particulierdans ans habitudes qu'elle nous laisse

dans l'iudiffére.ce la plus absolue, oun e po sse nus passiens extrêmes. Plus

d'un étranger, ami de 1. France, a eule cour navré en voyant des scènesinouïes remplacer lev graves et patrioti-

ques débats qui conviennent aux peu-ples libres. Pour nn légitimiste, un ré-publicain, n'importe de quelle nuance,est un buveur de sang ; pour un répu-blicain, tout légitimiste est un partisan

dédoré des droits féodaux, prêt à met-tre la main sur toute. nos libertés pu-

bliques.

Nous admettons volontiers qu'on nuitGuelfe ou Gibelin, que chacun ait sespréférences ;main pourquoi ces insul-tes? Taule conviction .!.,ê. os mé-eite.t.elle pas le respect? Ne pourrait-ou pas, tout eo pensant différemment,se rendre un peu plus de justice ? Cer-les, M. Dnfanee n'est pas un buvm,r desang, et nous connaissons des légitimis-tes qui ne sont nullement p rttsans ditretour des droits féodaux. filais n'est-cepas vainement, en politique, qu'on de-mandejustice à des adversaires ? Pourl'obtenir, il faut être au tombeau.

Nous possédons un personnage quiest, pour ainsi dire, l'incarat,ou dubon sens : homme politique des pluséminents, historien illustre, seul il osaretenir la France sur le bord du préci-pice où elle allait tomber ; mais l'aveu-glement du parti.pris

vit ensuite cevieillard, malgré aes fatigues, son grandàge, allant de cour eu cour quêter cesalliances qui nous faisaient défaut et quele vaincu, le plus souvent, implore envain. La France saignant de mille bles-sures qu'on croyait mortelles, et, aprèsdes revers sans exemple, se jeta dans lesbras du fils q i venait de lui prouverne si grand dévouement. Ce fut là ...heureuse résolution. Le papi, comme lephénix, put renaître de ses cendres ; laCommune fat vaincue ; une detteê..,-

acquittée à nos ennemis. Or, est-ilnécessaire de dire que celui t'ai fit tout

cela aura une Page mémorable dans nosannales nationales ? Et pourtant l'in-

justice des partis lui a-t-elle ménagél'insulte ?

Le ..lut .'est pas plus dans la violen-

ce et la calomnie que dans la négationdes espérances d'outre.tombe. Les pilé.

miques trop passionnées produisentparmi nous un résultat semblable bec'lui du despotisme : l'abstention. Oui,.mus en venons à suas désintéresser dece qui devrait nous intéresser le plus

au monde, à oublier notre premier de-voir après celui qui mus fait incliner

deva.t Dieu, l'amour de la patrie. Voilàpourtant un devoir que l'un ne .auraitméconnattre. Sans patrie, point de fa-

ille,d't.auce; il ne reste quele pain amer

dede l'exil. Les animaux

eux-mémes s'attachent aux lieux qui lesont vu mitre ; et nous, par lieen-ce, paresse au tacheté,

no.A

us livronsvolmtiera le puys, qui fut notre ber-ceau, h ceux qui veulent bien nous déli-vrer de sofa filial que lui doivent tousses enfants...

Personne n'ignore que les gouverne.mente de violence ne réussissent euFrance que par l'abstention des .onser-valeurs qui sont la classe le plus nom-breuse de la nation. Si notre leur euest réellement venu à ce point d'appau.crissement qui il au puisse plus battremême pour la patrie, la lui, qui estle dernier frein dent ou n'ait pas enco-re trouvé moyeu de se débarrasser, nepourrait-elle pas nous contraindre ànous sauver nous-mêmes en exigeantque chacun vînt aux urnes remplir leplus impérieux devoir dit citoyen ? Maisnenous calomnions pas no s-méme ennous prétendant plus apathiques quenous ne sommes ce réalité. Notre beaupays de France ne nous

cetPas moins

cher que la patrie allemande aux habi-

térél particulier blea entendu. Si la

nscience du citoyen, ce qu'à Dieu aeplaise, devenait muette, notre égoïsmedevrait suffire pour nous réveiller. Me-

nacés à l'intérieur ppar nos dieisiuuset plus encore h Intérieur parla haineimplacable d'un ennemi qui place sasécurité dans notre ruine, ne devons-

nous pas, plus que jamais, songer ausalut du pays? C'est ce salut que gantvoit appelé le devoir. Or, l'AI Imagess'en souvint lorsgs elle fut écrasée sous

la botte de notre premier César. Unejeunesse patriotique, enthousiaste en fit

aussitôt ua dieu : le devoir allemandvainquit la gloire française. Si sous le

voulns, nous vaincrons ausei, car ledevoir du citoyen, basé sur la justice,

est supérieur a la gloire éphémèé desmts qui se croient suscités par

Dieu, , et n'ont d'autre dieu lue la forcebrutale qui, loin de primer le droit, luiest un uttage ainsi qu'à l'humanitétout entière. .%.:.

Apprenons donc d'abord à nous servirdes armes électorales, en attendaet-quenous soyons digues d'eo prendre d'au-tees ; montrons que les amis de Perdre.out plus nombreux eu France que. cesfauteurs de trouble. qque le pays .etonnait que par ses dlsastres. Aujour.d'bui que la patrie cherche ne. voienouvel le, l'abstention ne serait pas 550'

lemeot de l'apathie, mais un crime.Placés en sentinelles comme noue le

sommes tous pour repousser l'ennemidu pays, suons de nous ne ...droitse couvrir d'infinie an désertant unposte d'honneur.

Veillons donc avec vigilance et mon.trous que noua comprennes eocne ESvoix suprême du devoir. M. P.

(L. suie d demi.).

Dtcln DV 6 survenue,

Ducasné (Pierre), tisserand,Il'

ans,grnd'rue 6uboure Areaud-Bernard, 39.

Th.... (Marie-F'roçoiae), Si ans, auxMinime..Peiner, (Ferdinand), 3 ans, boulevard

Lascrosea.Atgé (rémora empley6 au télégraphe,

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temenlules 5 .1, du Crédit foncier deFrance (émission 1872), sont actuellementdélivrées dans les bureaux du CréditGénéral Frençsls, 101, rue deRivhelieu, à Paris, au prix de 277 fr. 30,sons commission.

Ces obligations, garanties par la.ou les départements et parle

Crédit foncier, rapportent 15 fr. par an,payables en janvier et en juillet.

Le Crédit Général Françllldélivre indifféremment et au meme prix,des titres au porteur ou des litres no-minatifs.

Les Obligations des grandes ligues deChemins de fer et toutes le. valeursfacilement négociant., nt acceptéesen paiement aes cour do jour, sanscommission. (.11293)

mais qui est en butte à des menée:souterraines que l'Europe n'ignore pas?lprès Iéns, sien Allemagne toutes lescroyances étaient ébranlées, commeaujourd'hui parmi n o, il est.it au

l

-crois celle de 1, p'l'ie.Legrandn

ennpenseur

de lice, iésberg Havait

point rendu la foi vox panthéiste ,mais il avait prononcé un mot magique:celui de devoir. Or, puisque nous chan-geons de rôles, que l'oppressé d'aurr.fois devient, à son tour, l'oppresseur

d': ujosrd'hui, n'est-ce pas le cas deprofiler de 1. leçon ? Leu mats de de-voir et d'honneur ne sont point fer ..usen France; nul peuple n'est Plue don. tante d'outre-Rhin. Nous n'avons à pre.-

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69 kilomètre'.Sur ses capital de 4 million., il

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Subvention', 85,667 te.par kilomètre 3111e0.6156

0,69f.12*0La recette kilométrique,

appartenant k la Compagnie(et au-del3 de laquelle elle

partage ove le département),rat estimée k 12,000 te., don-

sont un net de 6,000 fit soit 684,000li faut y ajouter le produit

moyen net des 95sgaalwgéaée d'6plaal, proprdld de

1.la Compipsis 60.000

999,000Les charges des emprunts

fais, et d (vin absorbant 4,610Il. par kit., soit !96,000

Il reste un excédant de 910,000Les Obligations de la C'< des Chemins

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On sait que le réseau de la Compagnieset destiné k relier entre elles leu troisville d'Epinal, Saint-Dié et Remire.ment; le parcours réalise, par rapportà ligne de l'Est, une économie e Sikilomètres entre Epinal et Saint-Dié, de73 kilomètres Outre Saint-Dié et Remi.remont.

L'immigration de la grande industriealsacienne a fait du département desVosges un centre manufacturier dupremier ordre. De nombreux établisse-meots industriels : filature, teinture-

papeterie, féculeries. scieries,etc., attirés par leu grandes fort. by-drauliquex naturelles des vallées de laMeurthe et de la Moselle, sont venus aegrouper dans la région desservie par fechemin de fer.

Les ObIIgatioan de les Compagniedes Vosges euoint cotées à

la Bourse d`e Paris

Le paiement des coupons et le rem-boursement des obligations Sorties s'ef-fectue à Epinal, au siège de' le Compa-gnie=dons les gara prmcipsles de sonréseau, et à Paria, chez ses bAnquieraLA SOUSCRIPTION SERA OUVERTE

du 9 au te septembre courantA ÉPINAL, au siège de la Cosbt-

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Notaires et ch. tous les correspondantedu Crédit Foncier. - S'adresser égale-ment à M. O:enne, directeur de l'Agencedu Crédit agricole à Toulouse.

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Bulletin Coml, ercialMARCHE DE TOULOUSE

Du 9 septembre 1874.Notre marché a été peu appI.,Ielon.

n6 es blés; aussi nos cours .tétéplus termes, la vente plus facile. Nousdevons nous attendre, pendant les ven-danges, à voir 10 marchmdlae plus rare,ce qui pourrait nous amener des prixun peu metlleurs,

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DL PaODUM.

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Blé fin ou Mallette sup. 80 29 25 23 00Mallette borne....... 80 21 50 22 00Bladette ordinaire ... 80 20 00 21 IatB16 mitadin fa...... 80 21 00 21 50Blé mitadin ordinaire 80 20 50 2f (10Seigle ...........:.. 75 15 00 f5 50

Delta. uvelte........ 60 1R 5013 50Avoine ............. 50 1l 50 12 00Mai. roux........... 75 17 00 17 50Mais blanc.......... 75 16 50 17 23

Haricots............ 78 32 00 40 00Foi ................ 78 00 0000 00Lentilles............ 82 00 00 00 00Fèves .............. 56 15 50 16 00Vesces nuira........ 80 20 00 20 50Vesce rousse...... 380 21 00 22 00Graina de lin....... 8g 2t 0 91 50

Cola ........ ........ 65 20000 20 00

(Sainfoin). 5000101t0500

1t,,ETrèspflarecette

1.............sainfoin (grain..)...110011D 140 0

mima ar tss.asQualité S. (mientl, la

balle de 4422 k. 112 48 00 50 001s marque (SS) - 16 00 47 00esam. (Se.SB - 43 00 45 00Réaill. (RF.BO) - 30 00 34 00Repasses, - 90 00 27 00Sont. - 15 00 46 00

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Luzerne, - 0 00 000L

0 70Trèfle 00025 2 75Paille 12

Marseille, le 8 septembre.céa6Acnu ET ramnrs. - La haussé

des blés s'est généralisée sur presquétous Dos marchés Français. La mordre.dise est moins offerte et ia meunerieachète plus couramment. A Paris, lesblés ..ai bien tenus sur le marché libreet la tendance est de plus en plus fersme. F. spéculation, les blés de termesont en hausse de 0 fr. 50 sur le rap-proché, la demande est plus active :courant, fr. 27 50; octobre, 27 50 à27 25 - A derniers, fr. 27 ; 4 mois de-renard, fr. 26 75. 4 premier., fr.26 75 à 26 50 ; 1. 100 kilos, conditionsde paris.

,ARtnss. - On cote 1. balle de 422kilos lie rendue franco oor quai ou engars de cette ville, entrepét de l'octroi,consommation de la douane;: TuaeileMiel entra, fr. 49à 53 ; T. S., fr. 48à 51 ; M., fr, 49 à 536-4C. 0. S., fr. 41à te. 39là .u-B.Marché

4%. calme. (Prix donnéshier par dépeche).

avines na csun.. - On cote :Sésames disponibles, fr. 69; 3 deniers

osais, 4874, fr. 70; 6 premiers 1875,fr.74 ; f2 mua 4875, Tri 72; 6 derniersmois, fr. 74. - Lias dspponibles, fr. 66;A dealers mois 4874, fr. 66. - Rou-mélte, ir.. 71. - La baisse a prévalupendant la semaine dernière. - Lacours se sont raffermis aux dernièresbourses.

nasses, - Noua avons,mal

gré la de-monde régulière des savons, à Signalerde la faiblesse sur les cours de cet ar-ticle. - De Marseille, garantie sans mAslange : blanc, à l'huile d'olive, (r, Si. à56 ;bleu p31e et vif, coupe terme, mur-quespéciale, fr. 6f à G1; bleu pale etvif, coupe ferme, fr. 57 à 58 ; bleu pàleet vif, coupe moyenne ferme, fr. 56 à57 - bleu le et vif, coupe moyenne,l'r. 06 la SO kilos, franco d'emballage,droite ee sus; savon recuit, pour l'ex-Dortation, fr. I5 h 56 ; les 100 kilos eufabrique. - Unicolores blanc corpsgras divers, fr. 61 à 72; oléine pour tei.ture, te. 59 novons à froid, fi. 49 à63 les 100 kilos en fabrique.

LAINES. - Marché bien tend. on avendu :

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22 baltes Tartare, gris-clair, à le, 53418 balles Jafa, Idiot, à Il- 74 50.Les 100 kilos, conditions d'usage.corons. - Marché trèn-calme. Nous

notons seulement : 15 balles Pirée à Tri80 les 50 kilos.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: 708 Année.-- No 249 BUBEMJX ; Rae.Sw t-1 elmep 44. Jeudi ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1874/B315556101_JOUTOU_1874_09_10.pdf · combat qui a duré dix heures. IL a pris

os A socrért.suivantacte sons sigrmlares

privées, va date à Toulouse dufinit saut mil huit cané sofsan-lu-liahrrze, dans l'un des ou-g na né, enregistré à Toulousele douce dn même ..la, parPI. I3 i 1 receveur, audroit t franc, soixante-

c . t dé .lues conr-pris, à été l p é le dix aoûtn il huai cent soixante-qua-

torze, ans minutes de hQ Gay,

s d é, suivant acteppo l t été com-

P:161ô pa t t e ante du dix,sept du tin. ne mois, reloua parledit M° Lay-

PI. Ilenei lalvet - Rosace,membre de la Chambre derbmmrrcn de Toulouse; admi-listrateue de la Bmrque de

France, donririliè à Toulousevile de la Ualbude, 2i

.losepli-François-de.Paule Ps-lras de Canrpaiguo, officier dela Légimi-d'Ifouneur, onclesdéputé, ancien ma ire de Tou-louse., domicilié à Taslousé,rua Ceoax-Baragnon, 10

M. Auguste Gommez, ban.'joie', membre de la Chambrede Comdmerce de Toulouse,censeur e la Rauque de Frituredomicilié 1 Toulouse , placed'Asséent, 1U

M. Jemt-Jacgetes.Marcenfn

Étude de M° GA1, notaire à Compatis, masafacturier. pré- intérêt à la r'ouservation d'une le cet maris à loues proprie- 1 corresp rad. n. c et tentés p'é. La liste nomin. Love dirToulouse. - aidcitt du Tribunal de Gommer pro p été gqvelçongue peul de tés m Inliére Innbilie. Cce engrge.ut lu S, tété ment certifiée des adhérents,

ça Ae Sainl-Gaudens, domicilié won e eo iéWire en taisant ga Ira', eurs pr p I ras, anse Chaque année, l'assemblée contenant leurs nom, préErlreil rescrit tir le décret à Sain4Gaudene; 15a tir cette propriété par 1. sdes rlrrlés 1733 et désigne trois co nm's noires tno anms,

lualité,,

sdomicile etp p ternie admaion

des ommesdes 22 Janvier, 18 lévrèer 81. traques tu aie, vice-I5octété. t75h du code civileleu arrts vol- - 'rirons de l'aire on rapport àdrées ar chacun 'eux, s'éle-aux termes des

as

18G8 . président deh

la Chambre àl dill fen

constatée au de la de la aou$ M1382, 13!+3 et 1384 dudit - sur l situatimr de la Société, vent pusa cent mer.4° Et l'état des versementsmorueem la mé noav de came. dc 'unen et de la délivrance de ; leurs locataires, s

tueer

- surtee bilan et sur les camp-

effectués.et 1121 ces présentés pur l'adminis-merco do la même ville de- d'une police en contrat d'ar mes des articles 1386et,e

b use, E et domicilié à snraeces. dn même code; tration.lause, rue de la Qcurse,15.

M. Paul Griveler, proprié-taiie, ambra de la Sociétéil'agriculuro de Toulouse, do-

icalié au chdtean de Moslre-don, commune de Toulous,(cuntan centre) ;

M. Gin.uns, conseiller genéral, mairede Lavelanet, domicilié au ehô-tests de Lavelanet, communede ce nom, canton de Ilieua(h au te Garonne )

M. lean - Antoine - Léon deLafosse, chevalier de la Lé.S ni-d'honneur , professeur 9l'école vétérieniee - pmc-pré-siéent de la Société d'a ri

Itnrs de Toulouse , dcrua'irlié à Toulouse, àl'Ecole vêlériuaire

M. Lucien de Persegol, che-valier de la Légion d h.vire p résident du cotise 1 gé.usai de la liant G.m e de Commun do tl é.Caeommi, arrondissenreitt de

ifillefranche plante.Garonne);hl. Léopold baron de Papas,

membre de la So, été d ionlture de Touloq d c Iiià Toulouse, place Sain -Geor-ges, 20 ;

M. Louis Thiron de nlon-taugé, ancien conseiller géné-rai, membre de lu Sociét d'é a-giculdme de Toulouse, dont-cilié dans celte ville , rued'Astorg, 7

Et M. Charles Trou, officierde la Légion-d'honneur, coinseilles général, a.elle député,ancien aire de Bagnéres-de-Luchon, domicilié à Bagnéres.de L¢chon uOnt établi las statuts d'issu

Société mutuelle d'assurancesdevant être constituée à Tou-louse

Cette Société a été J'orméeentre les susnommée titi qua,libido membres fondateurs.Toute personne ayant no

Conuti(ntion de Naeiété

LE LANGUEDOCsof:itel uceconca n'ASSbuanans

amiel'Incendie, l'Explpsiwi du L'as,

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suite d'expropriation, à V- Ce domaine, exploité pardience des criées et de vaca- trois paires de vaches, entre-L: os du Tribunal de Muret, tient dans e moment, unle jeudi huit octobre 1874, à troupeau de 100 brebis et 93midi, agneaux, troupeau lui peut

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Bonrepos, canton Mise à prix, 60,000 Ir.

de Sale t-Lya ( .Garonne), 3- Le Domaine de 1.déclarations faites par les de vingt.huit hectares. Ratio, à huit kilomètres deIondateurs, pur l'intermédiaire , Mise à prix, 10,000 fr. Limonx, est contigu à la route

eé+amire, relative. Four entrait: départementale de Limou2 iLes opérations de la Socié- Ces divers documents sontd

tis an noubre ter adhérents, Saint.R ilaire.lé sont placées sous la ;, ran- mis à la disposition Jes cmn- (132)COUSINL7'.

La contenance est de qua-tac d'noe Société rrno ne au s u ptures le , anuot liéme jour us elet n des valei:rs assn

capital socialdn deux millions plus tard, uvarit la réunion rées tau versement do-lis

on- Livide de Si' B. CROS,, avoué tante.sept hectares, partie en

de francs.d de

e l'assemblée. tant des primes ail se a Limonx (Aude). terrealaboumbles, partie herm,'yo

La Société est administrée Enfin, et d 'a près ces stators ,tuons - partie en bois de belle venue.

1° Nommé directeur de la A VENDRt: Ce domaine est exploité parpar tin Conseil nompose le et couforminren à la loi, lai Sociélé, nl. 1larrel Uascla l'audience dir Tribunal civil une paire de vaches, entretientsix membres :m moins, do pourra

êI

tre constituée propriétaire, domicilie à Thil, de Limonx le 23 septembre un troupeau de 100 brebis etquinze au plus, i s par dès

qni elle réunira dix athée eaoion de Grearada, précédera- 1874, huit bennes dn matin, 70 agneaux, qui peut être

1 assemblée des snch':toi ses. rems ayandnt auval

m .n.oins cent mil m ,ut et artueBamenI à Tuu- pardevant M. Ue la Sougeolq considérablement ugmenté.P lion sont de 1 i r rues ass é - se ; le 'l ribunal, à ce Misa à , 12,000 fr.

éjuge prés prix

présent ni n,bres dn u rsr.il Il 3° Et nommé, commissaires couru s : 4° Le Domaine dit deA adminisUat o ! 1 S t 4 x ter i. d d t ail d

mveJl.nce pour le a re- LES BIENS IM 8IEUQLES Plcuase à 3 kilomètres depour une pe i J. exercice social : -

àa 1 t ,irx 1 nt mu' huit cent an xan clArnr:s nésmnds Limoua , comprend environ

er d exister et p ri n s et sans q re leur n l Ferdinand Asti avocat Uédt d lasion' quarante.sept hectares desat,, coane s cesdu moment où elle cesserml lion ait bernai J'êt c t I tn rze, pieuté, le r n- P

1 : out.re. des fou dnteui.s d, la tf Leur eu droit; vCante de X. Fortuné meilleurs fonds de la commune.d'ésist ,. C.mmé aussi; il i .t 1 assembléC des sic eia ses

S n:iélé mol ur ils Le Læn i M. Charles Desclaux, docteur LnbRrousses, quand v vait, I , Ce domaine a été divisé euété stipulé que dans les dura - 'yII0-' en médecine ; député, domicilié à Pieuse, v ngbdeux tels, séparés, dontdernières année t tard,

niM C I t t n d fer ué tient aux Ipins L s d , La'o I F , t

àAimé Lefe D e, a J " t et canton de les terres qui tee omposet,

iait p pÉ Je l'p é étant l'époq fixée pou'.or lïclc 11 d

I étame, tous don ulros à 1,21 ire s , IB lé P i (t d) liés.avantageusement s'tuécs1 alun. de 1 S éieee

I t he'

Le 18xpm t. ul; réer lrifB,déd

lare To l use. I de FI- sont susceptibles des meaileurs

cousula emblée des s iétairén Cnn pans 1 - Que ln Société iounissat t L exü:ait Recette d.lb n, 'élues Ums kilomètres de aménagements.

clé,à c t cOol,, moy a dé i s1 oureade : jour le noubru d ]t l lia délivré par Il. Jacques la villa de Lun..., longeant Par la réunion de quelquesrcioia heu de la du' l:rvelet ; !qu'exrgnnt 1- stators: loirreade, president du coasmi lu cher m de lev de Cstvrssonne tais, dons las terres se trouvent

Cieizes d';niminisI ratina, a été déposé a Quillan, et la route nationale presque contugues, il est facileire

proroger

Ue Lafosse; tue les valeurs "suries dé-à 31 Cas, tin di, C:vcas;onne à Limonx de former des domaines de 10,

1s ient cent mille francs et p'r liante i1:i et 20 hectares d'eue exloi-La Sociélé a pour objet : Le baron de l'opus ; s

taira .pal, nloi

sule

ivant dacte d'une contenance de dix- pi Dque le premier eerscment était ,.d latine facile.P '. r lu e.Ils ers d.

Il, beLon Lié

D'assurer à es mem deg M ont9ngé lé : e pe

tluablere c auce de ce Pour la m à prix de esl'héron ; t ai[ huit cent so e te

bras onayant

-droit fe 'fion. Qu'en ranséquesce, roulis quatorze, enregistré. don

'aine

scOonc,anL

dans lu ai ,ers lots, voir le cahier desremboursement des dami.- les conditions exigées p:n la A. en des actes et défi pisane en0e la toute et la icharges, déposé au greS'e duges matériels occasionnés ti lbns dénommés cidessus loi et les statuts crdessus ua- bé,.,r0on 5sns-énoncées, la So- r re d'Aude, peut être émue-'I loti civil de LÜnoux.leurs propriétés mokfliére ouI Le c stil i rame, parai lyses pour la constitution de 'i été d'assurances mvtiiélles'rlrâtement complantée en vigne, ,Pour les renseiµnementimmobiheres par lam:edic, ses membres, tin président et la Soxrélé se troc, aient rem le Languedoc est définitive-'I et pourrait être, au besoin , s adresse, à: 1° M- Clos, avouél'explosion du gaz servant a tutl'éclairage et ue.hbufiage, lachute nu l'explosion de la fi"-

cecl et l'explosion des machi-

es àvapeur ;2° De les garantir, dans les

mômes cas d'incendie ou d'ex.pl on, contre 1 re ors quePourrait exercer c t

ex

omiciiés il Llmoux.peur

dommages matériels éga.g er avec le directeur, la' applicable à chacun d'eux , TrRural "vil de Toulouse, laies, dort la majeure domiciliés

La déngninatios de la So 3^ Et de céder, en réasse- Le Conseil d'administration

ciété est: rance ou en participation, dresse, tous les semestres,tout ml partie des sommes ua état de la situation active

LE LANGUEDOC g0'elle assure et' d'urcepter, et passive de la Société .au même titre,

d'autres som- [ Il établit en outre, au 31 dé-gon siège est établi àTon-

loure, rue des Arts, 57.

La dorée de la Société cet

Sxée à trente années du jour

de sa couslituliou définitive

qui a eu lieu, abalai qu'il sersdit ci-"prés ; le onze aoûtmil

ze. Cil conséquence; la Société

a commencé ledit jour onzeoïl mil huit-cent.neixaute-

goatorzo et elle doit Iinir ledix août milToutefois , la Société seraitdissoute plein droit si, par

e-t dedo dssoluto ende rsec liquidation s s"' remplacé-cnt

de la Société garanteCi "prés mentionn. la gar t d tL S été ra out

790788 78

6060.M71

48 7167 3067 31171185718 71718 23876660868 15668 71146 25148

7n95

Suivant délibération prisé leonze ooùt mil-huit cent soi.

les membresde la

SociétéLe Innguedac,

réunis en assemblée généralemes sons sa garantie. cambre de chaque année, n pour la constitution de ta So-

Les statuts ee contiennentinventaire ainsi

qu'mi mp[ei cillé, ont:pas de dispositions relatives à détaille des recettes et dupen- 1° Recoaou la sincérité des

es de l'année précédente et

du montant des sinistres,la constitution d'uu fonds deéserve.

un vice.préoideul plies. mem constituée à la date lu mmergée "prés quelques prés le Tribunal civil de Lirue 'folosaue, 21,Un directeur de la Société A cet acte son: demeuré; an- 'onxa août mil-huit cent soi- I vaux pour.. P

est ou ré par ssse:nblée vexés : saute 9ualorze. Mise à prix. 45,000 le.des soeiémires, sur In propn- L, Ln des originaux de l'nc- Le dépôt prescrit par l'asti-I 2° Le Dnannine, de Fnur, phonse Vilhac, avocat au bar-itinn du Conseil d'admanas te de Société sou

s

signatures ale 38 do décret des 22 a R kilomètres tle Limonx, est e,l de Limonx, curateur ; etlratioü privée,, en date àToulouse, du v e, 18 février 1968 a été cf- cmdigu à la rouie 3s 1IM, niou,uste Clarou, Isidore

Un adminishaleur est nom 8 aorit 1871 ; lité au greffe de la justice rata deLb"',

St- Rilaire Iloques, Vidol Sa,ut-Sauveur,à

mi chaque s + ne, .puer Ln tableau de cias f d oix du anion de 7 L continue- t t 1 d _ ! r, rtenrs teslamenmires deur. mille 1. eopéralions et ion tee risgnrs IL le l i f I se (Centre) et au greffe d t o - i d e t h t 191 Fortuné LalaI I Rrousig,

ntnues

I.-c.sr ne na s.iss. Sont irnniforu, pmvirofreme vos de. Teintsrlere, 16, et pro.

Dip7,jme de mérite d fp,'apna°° h:,nemrnr meure puce, cI,

'tara"° de {'tanne 1873, Eugen de alarbinuA ote urane de Th. pILT71R, de Taies.nnannées des,<ecés s Bien d Lh H b dav

or Dr.. c! P t Faa10

n mnbire 42ras. loin,, a R 1-,« n Mai=&nrela 11611x, piévicntsa nombreuse clïeutél, queprochainement la coulent bleuedoses Ile.mrs: L:nndes Fécs,

;AVIS ouiouaqchangée en cardeur, an,-i IA VENDRE icà agita

bréc. - La récompense unignc(l Le liquid:ltcur de la mais t maison servant de Café de.Vaste MA15 avec sua dé uu bon élèveI Tu'elle a obtenue à Vienne est dé conunerre de lcu Jacrinrs puis longues allées, située sur

panda.. On IICwUnIIC pnlsaant argnlnent contre Ranagnet,négariam,àTnnhnn la Llaaean honnit de Inreleet parc de Lupé, àven. ieilleures hârnac'res al e

la concurrence, et pour éviter rue Stc-Iirsut 1 i, a l'honneurT

de aveur. 0n venais ou_re

eg à Inuar, p les CON'r1,EM".SNS Jdloyales d'informer Ics créanciers cmn- louera les Ustensiles de esté,187J. 8lagnifir ne isilion,tourie oulouse. - S'adesser à 11, etnu, bI^°anra6 F'éltz n s cl inrmmus, qri une pin- j rets etc...,

à dque Table, Billards,I P' Uenuiére, dépôt de la phare ré

isiblesdevoir chan r la couleur n Jistribntion aura heu à In volonté du preneur.APP.51T, nom tout 'btvule sa, ix "cfr. centrale, 6, rue des II ge

`anntes Ju boulevard fie il Gestes.bleue Je ses Bacons, et les i mmert. lis sont cnvj'es On donnera Loule mrilité

° Aubi prés du pool de la tcaux,qui se'onl Je couleur leur titre de pour le paiement moyennant,,Culmnbetle, cotre le quartier 'cabrée, FOI le'-nt sa 11, dans le délai de 8 jours, à une bonne caution.de la Providence et le vexer - icruslee sur les deus cillés. .partir de 4 septembre 1876. S'adresser pour traiter cellevoir Guilleméep. (200) Bairr, à 811 Léon Causé,(POMMADE DES FÉESI

baissier à Laveur (T'ain)e (349)

793 Fusion E 00.790 4

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Tabam italiens.Perurien.Busse 8 010 1870.Taucuse.

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uillet.Ottoman 1860.- 1863.

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1888.Domaniales.EBypneu 1868.

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280

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282 804'x 90

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593 75665

III.

Avis IneportnntEAU DES FN.I.9 LES MAGASINS DE M. HUTIN

RECOLORAT'ION PLAGE I. IGANNE, 6

Vin de ]Palerme au Quinquina et an Colonbol'eescril aux -1-la néntas, aux rames néuICAPes, stax i, nuO

aux rnxsonans AvsAinwes, et aussi dans Ics s' sss, Termina crnligus nu par,; Un demande uu élèvo c

les nuées enaosiauss ta mu.oaosa etc N dé l'téeil7e à vendre en parcelles à de t escosiuAxnéi:pharnrama,

médicale et de la Gaxeuç des Ildpitaux, eti:.) jp six tees.modérés. -Grande Paria, 41, rue Hicher, et par/ un ardüaxaI- r

lié rots à Toulouse chez pharm. Ourlet, id. Pacilfti Pont le pli. ement capablo. - S'adresser r de J'unir- Un dewllNdC iJ-narré, - 8 ' u-Duprat,fd.; Auréjaullouloq id. S'adresser rue Tripière, 1.id'Alsace-Lorraine, 18, (189) dresser rue Saint-(tome, 34-(30851) (258)

Les aerniérea -cités hebdomadairesdes Lombards, pour ie 'ésexu Autei-chies, sont en diminution de 47,840 lo.

I vins. I

L'Italien est lourd à 67,20.L'Extérieur Espagnol se tient à 18.Le Turc est ferme a 444,80 ; on dit

que l'Emprunt sers très prochainemeatémis, le prix d'émission serait 45, maasl'st." tin motif de hausse 7

Les marchés allemands sont lourds,A Londres il y a d'importantes sen.

Crées de numéraire, et les consolidésli tint pas varié.

Change sur Londres 25,17.Aprés Bourse heures 010

100,50.

Les Pr ruiles digeetlves aI,actntes alcaunx rlo saun a, durBuisson, lauréat de l'Académie de 1(8.derme ge 1 ans, sont souveraines contraiIcs digeste g luhnrieuses, le manquerd10e I'e lit, le, lejes a prent et la pesanteu

l'esto:uac, lituites, les n: s lles Irs re vois de saleschat de 30 000 fr de reste 5 Oro et parvola vente de'5.000 de 3 0/0. missmnents "prés les repas.. Élles

Une nouvelle hausse Inrporfanhe s'est détr sent la constipation en eégiikllproduite sur le nl-abrlmr que 1 un cale rnt es rauchons dgestrves Il évrennenti

51 2,50, Mors le Foncier d Antnuhe dont , sel, horesse de la hancha et de I ar-Ila tenue était si brillante huer, net re- :'l gorge, dissrpmu 1a somnolence et

tombé à 555. les bailiements "prés 11I repas, et pré-'L. Banque de Frac,, est ferma a vil mm,t ainsi les maux de tête et les

38!10. I congestions. - Dépôt dans les princiLes chemi fn 1 ri pairs pharmacies. r ps n on pua sensr

filament varié, mais les Autrichiens etles Lombards sent plus faibles : on ente G Odruss L. JOL'GI.Ales veinule. 722,50 et les seconds W328,75,

Tostome, Top. Montnnbin, p r. St-Rn

BVLLET2IO 110041 608lB

Le mouvemmrt de hausse subit uu110 rompsin d'arrêt. On hésite aient d'aller263 plus loin et quelques acheteurs réali-41 55 sent. C'est la conséquence de 1. rapidité

8c.0"ver, laquelle tes coma se sont élevés

saUdepuis la liquidation, et il ne mut pas

373 75 ,s'iugniéte, aulremenl de la petite réac-

2b9 l'an qui s'est probité. On a déballeles murs de 05 te. et de 100 1'r. 50 Iran.

63 ch la hier,219 00 Le 3 0[0, "prés avoir déhalé 9 05,07

112, est tombé à 64,80 et a clôturé à68 64,95

Le 9010, côté d'abord 100,72112280 Iléehi à 100,12

l i2et a repris ea clôture

80ù 1110,57 112.

80Les demandes de primes sud ne peu

2,0 moins active

418 00 Les ordres exécutés an complant pour418 00 Ira trésoriers généraux na sont pas

i très importants, lis se soldeur par la.

évent la rente: 2° M. 41-

G Gérant e L. JOUGLA.

Toulouse, Impr. Monlaubiu.

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