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"A Shanghai, l'horizon n'est plus vraiment rectiligne uniforme."

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"A Shanghai, l'horizon n'est plus vraiment rectiligne uniforme."

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Un croquis du vieux Shanghai.(La bouffe y est bonne et pas chère. Faut juste

pas oublier de marchander.)

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L'obélisque au centre de la place Tien An Men.

(Qui selon Wiki symbolise le triomphe du communisme.)

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Croquis de la grande Muraille.

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C'est juste gigantesque.(Et fatigant.)

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Croquis effectués dans la ville de Xi Tang, province du Zhejiang, pas très loin de Wenzhou, ville natale de mes parents.

L'accès au temple coûtait 15 yuans. Il ne les valait pas.Je suis content de ne pas avoir payé mon entrée.(Ouais, y avait personne au guichet, j'ai fraudé.)

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Je m'installe le long d'un des nombreux canaux de la ville, à côté de deux nanas qui dessinent

également. C'est fou le nombre d'étudiants en arts dans cette ville.

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Dernier dessin de la journée. J'en avais assez de faire des trames grisées avec mon stylo. J'ai tenté l'aplat noir. C'est pas mon truc...

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Tunxi, au pied des montagnes.

(Une vue panoramique pour l'occasion !)

Tunxi est une étape avant les monts sacrés. J'y viens pour la deuxième fois. Sauf que cette fois, je

connais le nom de l'endroit.

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Croquis divers des Monts sacrés.

La philo orientale prône l'importance du vide. De telle sorte que ce qu'il faut voir ce ne sont pas les traits qui forment le dessin, mais l'espace se

situant entre ces derniers. Je trouve ça beau, poétique. Pour la peine, je l'applique : je ne finis pas

mon dessin.

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Au sommet d'une des montagnes, une construction qui me fait vaguement penser à une antenne GSM.

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"A chaque endroit son envers."

N'embellissons pas plus que de raisons : les monts célestes sont touristiques. L'affluence de curieux ne cessant de croître - et le tourisme intérieur étant plus que populaire - le nombre

d'hôtels est également en constante augmentation. On construit, on bâtit, ça pousse comme des champignons, et ce à diverses hauteurs. Conséquences, ça fait du bruit, des crasses, des

saloperies.

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Les crêtes montagneuses dépassaient de l'amas nuageux et donnaient une impression visuelle maritime. On se serait

cru au sein d'un archipel.

Je touchais du pastel gras pour la première fois. Le rendu final n'est pas tout à fait ce que je voulais illustrer mais pour un début, je m'en contenterai.

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Deuxième dessin au pastel, le même jour.

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Dessin du musée Pei à Suzhou.

(Ne pas faire attention au blabla. De toute façon, c'est illisible.)Suzhou, c'est beau, avec plein de canaux. Suzhou, c'est bien, c'est plein de jardins.

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Ceci est mon dernier post relatif à la Chine, le reste de mon carnet n'étant pas

décemment montrable.