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LA CLEdela
CONVERSATION ABYSSINE
VOCABULAIRE.
PHRASES, CONVERSATIONS, VERBES ET CORRESPONDANCE
^
L'USAGE DES NOUVEAUX AMHARISANTSparLe Chevalier A,
RAAD
B.
GHALEB
Docteur s-sciences,Pliarmacieu chimiste de 1" classe,
Ngociant,Directeur de la socitClaytou, Ghaleb et C"L*'
Sx-pharmacieii
en chef ded'Ethiopie
la
Cour
Impriale
Imprimerie Catholique
Beyrouth (Syrie)
1910
TOUS DROITS RSERVS
3
PREFACELa langue royale abyssine (A^igous), dite langue
'}1^/^ " lana ne-
AMBARIQUE
ou
AMARIGNA (h'^Ct faits, est
?
s),
malgr
les
nombreux ouvrages qui y ontet
encore mal connue. C'est au fur
mesure du dveloppecette
ment conomique
et
commercial de l'Abyssinie que
langue prendra de plus en plus de l'extention, et sera bientt range
parmi
les
langues vivantes orientales les plus
importantes.
En mettantles
ce petit vocabulaire la disposition deet touristes
MM.faire
commerants, industriels
qui ont des rap-
ports directs avec ces contres
ou qui
se
proposent d'y
des reconnaissances
commerciales ou scientifiques, nousoffrir
n'avonslequelils
aucune prtention de leur
un ouvrage sur
puissent compter pour apprendre grammaticale-
ment
et
fond
la
langue amharique, nous rservant pour
le faire
quand l'occasion sera plus propice.le prsent
Notre premier but, par
ouvrage, est bien plus
modeste tout en tant plus pratique. Nous nous sommesefforcs de faciliter les relationssins
entre Europens et Abysles
enles
facilitant
aux premiers
moyens de s'exprimer
avec
seconds. Pour cela nous avons choisi dans ce voca-
bulaire les mots les plus ncessaires retenir et les phrases
4les plus usuelles,
en n'omettant pas
la
prcaution de trans-
crire ct
de
la
traduction abyssine la prononciation en
caractres latins.
Nous esprons que
le
nombre des annes que nouset la
avons passes en Abyssinie
pratique que nous avons
acquise par notre contact direct avec les abyssins nous autoriseront croire que notre modeste ouvrage rendra service aux
nouveaux amharisants.
LES AUTEURS.
5
INTRODUCTIONEn mettanten ct
des
mots abyssins
la
prononciationle
lettres latines
nous nous sommes efforcs d'employer
mode de
lecture le plus simple.
Pour guider
MM.
les
nou-
veaux amharisants
ce o^enre de lecture, qu'ils nous perles observ^ations suivantes:
mettent de leur indiquer1
Ne
lire
comme
a trs-ouverts que ceux qui portent
un accent23
circonflexe (a).
Lire les h toujours trs-aspirs.
Les
e
avec
un accent
circonflexe renvers Ce) indi-
quent une prononciation excessivement muette.4"
Les q doivent tre d'une prononciation gutturalecelle
(un peu moins quec
du J arabe) qui
les diffrencie des
et des
h.
5
Le
trait
qui surmonte les
/
indique une prononciai
tion trs ample analogue celle6
du
arabe.
Les
s
surmonts d'unqui
trait
()
ont une prononcia-
tion
spciale
ne s'acquiert qu'avec l'habitude et qui^y>
ressemble celle dusenteerreur.
arabe.
Cette prononciation repr-
par
t\
dans
plusieurs ouvrages est
une profonde
7"
Ne donner aucun tong
spcial aux
u
ou aux h qui
suivent les
et qui n'ont eu d'autre but que d'viter la
6prononciation du g
comme un
;
devant
e, i.
Pour mieux arriver prononcerl'abyssin dans son idiome pur, nous
ne saurons trop engager M. M. les nouveaux amharisants tudier,aussitt possible,
l'alphabet de la
langue amharique. Ce sera le moyen le plus sr pour tirer le plus de profit de n'importe quel ouvrage d'abyssin qui leur tombera sous la
mainA.
R.&B.G.
7ALPHABET ABYSSINL'alphabet abyssin se compose deJ3lettres
qui revt
chacune 7 formes diffrentes. Ces fonues correspondent
aux accents syllabiques qui font que chaque
lettre
forme
unetres.
syllabe part et
une prononciation spare des au-
La
i*"
forme, dite '7d'H
(originale)
gue exl'E,la
,
a
un
son d'un
AU
bref se rapprochant,
un peu deprononcent
sauf dans
K
,
,
fh
,
'^,
qui se
bouche ou-
verte.
La
2"^
forme, dite U'net,
s
s
kaeb
,
,
se
prononce avec
un sonLale son
ou bien
3^ forme, dite '/Artai
sales
donne nettement
.
La
4*^
forme,
dite.
Ir^'fX
rabee hanies
,
se
prononce
avec un son d'
La
5"^^
forme, dite ^9"ft
,
devrait se prole
noncer en principe avec un son deventles abyssins se
i
maiset
plus sou-
contentent de prononcers
.la
La
6^ forme, dite f'^'hdite;
sades elle
,
correspond
consonne proprementspcial.
a trs
peu ou pas de sonde cet ouvra-
Nouse
l'avons reprsent dans
le texte
ge par un
trs ferm mis aprs les consonnes.'
Enfin la 7* forme, dite ii'i
sabe
,
donne
net-
tement
la
prononciation o .
Nous donnons
ci-aprs la
nomenclature de cet alphabetles abyssins le mettent.
en suivant l'ordre dans lequel
9
10 3
Diphtongues donnant aux
lettres le
son de
wou
:
4
Diphtongues donnant aux
lettres le
son de
w
:
5
Une
seule diphtongue imprime la lettre le son de.
ia c'est 2^
II
13
L'eau
Eau
-15GeleGlaceWoiiriche
BaradoGrle
Humidit
iCTfl^l
i
ou
h
rtehat
rhben-
CT-fli'lha
nat
Nuages
^OD(^
Dammanafla
OmbrePluie
TA
li^'i
i
ou TlVi^ Zenab. ZenamTTji
RoseScheresse
Baga
Sec
Daraq
TempsBeau tempsTonnerre
ZamanBcrra
Negoudgouadf^.P,'C '^flT
Tremblement deterre
la nider
manaomt
Vent Vent du Nord
Nefasla samn nefas la dahoub nefasla m'erab nefasIn mesraq nefas
du Sudd'Ouestd'est
Le feu. Le feu Le ChauffageBois
Eat
MnmoqiaIntcht
19 Dimensions et Formes.
Abaissement
2^ Semaine
a^'i
i
ou fir'i
Seinoitn ou Sanient
Jour
dA'>
!
ou
4'>
Elai.
Oan
Heure
Sat
Demie-heureQuart d'heure
Ekoul sat
Rouh satde-
Une heuremieMinute
et
AndMfi-A
sat takoul
^44'ouJ^fc.*
Daqhj. Daqtqa la daq'iqa daqiqcouat
Seconde
Le matinMidi
h'n-A
I*}
:
ou
Ekoiila
kan.
Oa-
Aprs midiSoir
Oda houala
Mata
NuitMinuitAujourd'liui
A^
i
ou AA.^:
Lt. Llit
hl-A
A.A.'h
EJwula
llit
Zar'"hA'J'l:
Hier
Telant
Avant hier
Ka
telant o'tdia
DemainAprs demain
NamTanao^a oid'ia
Le lendemain Le surlendemain
Maghcst
Ba
sostagnao qan
La
veille
Ath'ia
Commencement
Majammaria
2Ftes.
Fte
-7\'eiiie
de Nolla
/^.^Yxft
s
Gar^
Croix de
Majest
i
''"ft^'A
s
Ass masqal
(17 Septembre)
En dehors
de ces
ftes
les
abyssins
ont des ftes
qui se rptent tous les mois mais qui, cependant, revtent
une
fois par
an une forme plus crmoniale.
CesS' S'
ftes sonts
:
GeorgeMichel
'iS'dJt
Gii'wrguis
"%hK^l'flCh.A
i
Mikali
S' Gabriel
Gahrel
LaS^
S'^ \'ieroe
*^C^9"Yx^tD
i
MariamAhho
Abbole
Dieu
Pre
(l'JA
i
HxHICrA.t^i s
Bah
Eighr
le Fils
Bah waUSellim
La TrinitS'
/^AAhfl"V
Tacla Hamanot
'MflA
*i
Abonnamanot
Tada-ha-
J&'^S-V
29 Cinquante50
Cinquante deux 52
A mm
houlat
Cinquante cinq 55CinquanteSoixantesix
Atn.'a amniest
56
Amsci scddest:j
o63
ftA^iourt.t^^
Slsa. Scdsa
Soixante troisSoixante six
Seha
sost
GG
SckaSahaff /ins
seddest
Soixante dix
70
Soixante douze 72Soixante dixsept77
i>A^
Saha houlat Saha sahat
Quatre-vingts
80
Samgna
Quatre-vingt un8i Quatre-vingthuit
Samagna andSamagna semnnt
88
Quatre-vingt dixpo Quatre-vingtdix-sept
ZatanaZatana sahat
^j
Quatre-vingtdix-huit
98
Zatana smmcnt
Quatre-vingtdix-neuf
99
Zatana latagne
Cent
100cents cents
MatoHoulat matoZatagne matoChiSo.d chi
DeuxNeufMille
200
9001000
Troix mille
3000
31 Un cinquimejfC^
animest edj
and
edj
Sept neuvimes
Ka
laiagne edj sabat
edj
Une
paire
fend
Une douzaineDemi douzaine
And
dai'ian
Ehoul dar^an
Une
grosse
(12
Asm
houlat dar^an
douzaines)
Une grosse et demieSimple
Asra semmentdar\an
AndtfSosl
edj
DoubleTriple
c'tf
QuadrupleQuintuple
Arai
etf etf
AmmestAsscr etf
DcupleCentuple
Mato
e'tf
Une
fois
And
guii
Deux
fois
Houlat gwi9.
Quatre
fois
^H. TJUi
Art guiiAsser gui_
Dix
fois fois
Cent
MatoCh
giiTS
Mille fois
guTj-
32 Nombres ordinaux.
Premier
MajammariaHoulatagnaSostagna
SecondTroisime
Quatrime
ArfagnaAmncstagnaScddcstagna
CinquimeSixime
Septime
Sahatagna
Huitime
Semmeiitagna
NeuvimeDixime
ZalagncgnaAsscragna
OnzimeDouzimeTreizime
Asra andagna
Asra houlatagna, Asra sostaonia Asra artagnia Asra anicstagna Asra scddcstagnaAsra sahatagna
Quatorzime
QuinzimeSeizimeDix-septime
Dix-huitime
Asra scmmentagnaAsra latagncgna
Dix-neuvimeVingtimeVingtet
HaagnaHaa andagna
unime
Vingt deuximeVingt troisime
Haa houlatagnaHaa sostama
37 RcompenseRenteRputation'^'"'^"Aft
MainmalasTerf
'T*Ci\9^i
s
Sem
RevenuRichesse
voir renteW-fl-lhs
Habtid'ili
AssociSocit
K^iP^i ou
Anmr. Chark oKoupana0^Jg/
*0ryX9
*
SuccessionTravail
4'TA/*''^'fl^'1h
Tallaqounimariallou
mabrt
grande lampe
^^^C^H'
:
Imparfait.
Je
choisissais
du
h^^ntl^^s
K*^ Emhharad.
emarrc
marbre
CT WlC^fl"*!'s
iiahhar
Tu
achetais du sa-
TlH
:
rt
Sbouna iega^ vahfcflr
vouIl
C
"
vendait des verres
O'C^i ^'TiflC "h'if^^'
Bourtchiko chdi nahfeflr
Nous achetions dupain
X'J^'H
i
Endjcra cnga\ vah-
iflC "
WMare/ temariou nah/j^r;
Vous
choisissiez
du '^ii^s 'Ih'^CrtVrllC
terrainIls
"^"ff
vendaient leurs
J^tVl'iD*'}
Qobtchaon
ichaiou
chapeaux
ni*
s
iOCPass.
nahhar
Je vendaival
mon
che-
'}
s
ft
Tll*
s
Farac'tv chaihou
Tu
choisis
une can- ^A'J
'^rf^TlJ
Doiilln marrath
ne11
acheta
ma baguela
^Art't''*f*A'''**'J*> s
IH
Qalabaiin
gandviarratn
Nous choismescouleur
"
'^:({**lK^f^"}s
Ba ocddem
hihon hasa-
me
fl,!/*:
gueddem hihonnadoun
rende
la traite
Cl\'H''i
i'i
endmal-
l'^AftA"'^
9
lsUgne iasfallegal
l\d,^P^Plaise
:
Dieu que
'fl^'''J ?'}','^
Berrtchenniallascn
eiidhneg^iabe-
nous encaissionsnoire argent
AftA'J
s
?^*7^^^
'UthMCt jE-^^'^
/;er //"^oi 2//z
A"*::Je veux que vousclairiez la
'^'fl^J-i^^ 'h'i^;f"fl^s
Mahrtounbarrao//
endetta-
lampe
h^Lfi^P
efaUegalla-
Al^ LeRoi
ordonne
j''lf j?
''"::
fV^A^/l Tas
animo lamaalasac beriou no
sans se plain-
'(lC'|
i
(/^.v
dre
112 Passe.
Aprs
s'tre
permis
^t?
s
fl'}*7*74
Dafro
hancgueggue-
de tenir ce pro-
A.rt^'O^i %?''
rou siadban hcda
pos injurieux envers noustitil
par-
Participe
prsent.
Se
trouvant
bien
fl^'t*?** fl.i^(tj''*''\'(0*;
*
Oidtcm
bibd
sim-
partoutil esttoujours content
WiD/'''A
malchao das
loal
'tC.
s
^l\
*PA
.
Pass.S'tant
ml
ail
la la
ilai.CD;h
:
O^IO
Batchaoita
bigah
conversation
'^A^Kf^C^f*ihtf^'i:
fl***
maJafia oir aiureio
ranima
par
de
ELAYxX'V*
tchaoHcwn asgom-
belles histoires
madja
7e-:
i
ftU::
Bict
houlloii
diihia
maison?
va
V
fl)^.
no lua
bien
A-otre pre va-t-il
^ll''U'!-(0*i
.^UVI>Cfl
Nagarhen
e'tcharressc
votre affaire.Si
AUmoi
s
^Al> "i
Uhallahou.Ici
vous avez besoin ^jti**lO'\
K'3'^
fallaghagne cnda
demoijfaiiesprvenir.
l/*'}'s^lftf^"
raaom.
t-^Vous tes vraiment ?j^'*7trop bon.Il
"l'C
s
rt
//(1o-
M'^r
so
nc-
tf^
s
VUVj s
"
hnna.
faut
esprer
J^'Jiy")'>
^A^^A**
Dekamhen salmalle.-sleh
qu'unpourraiquittes
jour
je
A^All
alqarrem.
m'acenvers
OT*
'
vous.Je suis enchant de
^l
s
flA
hiiVs
Das seh lahdus lagn.
enin
vous
avoir
t
7x1^9^ i ?J\''
KA
agrable.
'i
Pour consulter, dlibrer,AVISER.
Que
feriez-voustiez?
si
h'i't'tl
'fl'1hl/">
Jnta..r.
^A
/;rfic?/
? alla keft.
T28 !
C'est affreux
.'
V^
s
V'?C::
s
Kefon vacrar no.
OhVous avez maiao;i.
\\4*
s
ft^
i&*
Kefou sera sarrah.
UJe vous pardonne
:
ftAHII'
^loths
Sela
Tjir
mcrnhaliiagarguen
pour
cette fois,
i'C
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/'./;* i
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no
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A
quelle heure
H/l'J''
/w seul satnassaUah.
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vous levez-vous?
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'l*"/A
B.
A
12 heures thier.
H;'?" s n.lf'>
s
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5a-^y;;
&/'o;z
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comme
CT*'V9^
(1,1/*
ian
hibou
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vl'^iiO'
a'l';i*''"
sallabou.
A.
Et vous vous?
nrt'J'I'rt
i
Ba
seuls telagndlah.
couchezB.
Au
:
A
4 heures.
(1 A'J'>
A.A.
Baari sai
Uli.
A.
Je tacherai de
7\9^
*
?i'J*7^;
s
En'icin cngii'ed o'idh
suivre
votre
(0-\\}'/*:
"Ki^Vi
cndnnla adargaabon.
exemple.
}\?AlPli
th
:
137 Le coucher.
B,
tes-vous con-
*I*'}1)'}'
lt\Tr^,9^
Qauchcn cndaincnolk?
tent
de?
votre
'ii*?^\\ii
journe
A.je
Pas mal, maissuis fatigu.
^Sl5^
i
hO^s
'h'i
DagnoaidjidaJcuioginiL
.^.Ifl'Z'^T
A.Je vais
me
dsha-
A'flrt'^
i
K^'^As
Lchscn aouleqioir/a
tolo
biller et
me
cou-
*
'^A- tD,^j
ingncta cch-
cher de suite.
^-j-j-
?i'^^A
dalhhou.
l^B. Faut-il fermer lafentre?
Si
^ftl'lh'Jffl.ft
^'^P'.
Mashotcn te^ga
o ?
A. Vous ferez mieux yl^^s n.U^'>A'Vde la laisser ouverte.
Kcft
hihonclligne
JR>nAA
i
ichlal.
B.l
Pourquoi?
ce-
^'>
'iS^
a
Mcn
no.
A.
Pourvoir plus ir'JHC
rt.C'
s
Jaiihar sioitaj)^a/ ?/(?.
la
ma-
tt le soleil.
A'^e-lh?iJi
Vfl>- 4
Je
me
dclare
Ji'JnCs
rt.
?/J
djanhar
stota
incapable
de
AJ'')
*'?P'Th
K
niaat altcheleiii
-138Yoir le lever dusoleil.
A
-'/-Al'"
a
B. Faut-il vous rveiller 12res
T
cm)
as.s'affou.
sent que ce tissu
pour
les tentes.
A. Est-ce que cette
J&U
:
VO^yd;'':
:
A.
//.;
kouhhania Ula cqa
Compagnie vendd'autres marchandises?
A
s
^if 'H::
ichatal o.
AAie
CD^
M.
Elle a dans ses
P^fAll-A*
s
La agar
minichal
magasins les mar-
^
:
nO> eqa
hoidlou bahibn
164 chandisesquiiggagnaJ,hoiiuu, sain,J;0(fa,
dagmoorq,
conviennent pourlefait
pays
et
ellel'ex-
Iclam hou-
en outre
lon ga^fo o'ida haher
portation des produitsor,
kaddal.
telque
:
caf,
cire et
peaux.
A.
Achette-t-elle
MM''t*''?
htlH
:
h Addhi
Ahlnihaocft
Imia-
les produits d'ad-
iD*/^'V:
ma
larnmigago.
dis
Ababa
?
^^^n^TfO^l,
mon
igaial
J&lHAOJ?,!:
M.
Q.aelquefois
}\'i^
i
ixTr^ai ^'
Andandigaialcjid;/,loii
oui, mais la plupart lui arrive deses succursales de
1HA
hr^i,
mqarraon houlda agar driai;-a':;xal
ieko
ha
l'intrieur de l'E-
Iliopia gnc\l oeil
thiopie.
-
cS^O G^--
-I5
Unun voyageet
Carrossier.
A.
J'ai
O'ida
mangad mannociwaandtnanka-
faire
j'au-
iiassti
rais
besoin d'une
hl arat
bonne voiturequatre roues.
rkkoiir gri cfallg
En
nahhar,
ania
avez-vus vendre?
ne
^'>'^
-.
ga
mmmiggagneChctcll-
eudahon.
C.
Donne;>vouspeine de
la
Bifaqd luos takalelao-
me
sui-
gne oda godatoullgnc.
rn-
vre
dans
mon
magasin.
A. Voici une voitureplaira.
iinaho das mnimiassagiic
qui
me
gn.
C. Je crois qu'elle
Cl)iP
i
^ou'-'i
i
Larso immatchc
iho-
vousdra.
convien-
.Cl/'VA
mil
A. Maislide?
est-elle so-
mVU-
i
W'i
(O
fanhrra no
oi.
i6 C.Solide!
maisces
Eudh'larat
!
cnvaho
hc-
voyez donc
cheboomicnna
ressorts en acier,et
seraon mmalhaioii,
\
en gnral toutfait
laiallam
mmnadolatu
est
pour
l'-
HA'jAr
?n.
harahhcto.
ternit.
AirA.Les roues
5
fl^, i
me
Manlarakkourtchouses hnasiolignal
paraissant
bien
minces.C.
A;:ces rouesfai-
Avec
Ba\7jhhiir
vtanharahiaIt'iopiati
.vous pouvezre le tour
de l'E-
agarhouUou 7na\prUdlalloii.
thiopie.
Je vous les garantis
Land
niat
inoiiJou
pour un an.
coiiallahou.
A.
La
caisse
me(i.A
Saicnou
Xfq
helo'il
parat bien basse.
'^AA
massalagm.
C.
Il
ne faut pasles voitures
la inangad gii kajfcs'il
que
ahnmatchem.
de voyage soienttrop hautes.
-167A. Combien voulez-vous de cettevoiture?
JVcrao: nicn iahcl
n
C. Trois mille thae rs.
i:\
i-nCii
Sosl chi her.
A.
Ohher.
!
C'est trop
hi^ii 'dh
Vfl-ii
Ai
!
heipu
110.
yC.
Combien en
Bamcnlou.
iahel ga\l-
voulez-vous donner?
A. Deux, millecent
trois
Bahoulatto her,
ch sost
ma-
cinquante
kaih bal a
thalers, c'est
mon
A1H9"
s
algaifim.
dernier mot.
C. C'est vraimenttrop
Ara%ih
tcnnchc no, ha\balai
bon mar!
guen
ui
ch
mais puis-
viaftchamnierou
m-
que vous ne voulez
dahon iagued hadjiiiialati
pas y mettreiJ
aqarrevi.
d'avantage,faut
bien
quevotre
j'accepteolre.
A. Je vous achter.ii
Kamangad sciu?7iallasil i
une
autre
iyfit
i
MH
Ulan
cgaihalla-
i8 aussittserai
que
je
Utilb
a
bon.
revenu devoyage.!
monAu
revoir
AUV
s
rt'J'fl
Dahua
sanhct.
Un marchand
de chevaux.
A.Avez-vous deuxbonsde
O'ti't'^Xj2. s
s
lrP
i
d,flJ
Houlat sanga faras^//(j&oi'
chevaux ven-
KAU
la machcit't.
trait
A'^ffT
dre?
M.
Voici
deux
KVll'
s
ll'A'lh
s
f Ennaho houlatso'//:^
lan-
chevaux de raceanglaise qui sontexcellents.
h'J**/A,nf
HC'
^ar foras, cd-
^h
?JC*^
fis ''^'^^^w ntcho.
'^Ah^desfn'>.'
V'7'
A,
Ce
sont
,^l\
'i'
0///^ /ar^wi;;^ra
ntcho,o'i.
chevauxJ'aimerai
mles.
/(!> s;
O'H^fOjKi ;
allam
mieux
PA9"
des juments.
M. Alors prenezccs grix,ils
KlW^''i
^^A'1|
T9"
Ennaho houlat tcn^"s
V'/^r/irt
fia ntcho sel haat
je
dis
qu'ils
ftA
s
amalwot.
sont beaux c estqu'ils le sont r-
h'1*
s
K^^rtA?*
a
ellement.
A. Je veux encore
ft*7T*
s
xi^s
Da^mo andr/.;a.
uicorrl-
un mulet dele.
sel-
f lC^A"^^
(14*
/;fl^/(j
efallegal-
?i*lf}M''''i
i
IT Atkeltagna ho,i
o-
o tes-vous
^
i
W*i
V
^i/ ?/;.
J.
Mede
voil ct
"hW*?
QTC Ti
;;;m/70
ba'tcr
Icg
la haie ?
i
^."t^ii
qomnHUahou.
M.
Est ce
commetra-
Ki^X)JK. :
i
ifl*-
;
01?
"m//^/7 j/c
o't
serhcn
cela
que vous?
tl'V'i
i
cmmetsarnio.
vaillezJ.je
r'-tr/'iD'
::
Ah. Monsieur,ne
9^^lO'
s
'i;l'f
Menno gucta,moya-
me
reposais
H^^^'ifti^/i
ihilahhelUoii.
J&hAhAHfls
::
Il
ne faut pas toujours couter les
VXX^^P'^'i
Halmlchoun/^v masiiiAt
laoiai-
'MI
s
t^tl^^'s
ag
mdecins.
^*7
txj^F'ti
ollatn.
^M. Cela direestfaciledifl-
::
'J,^ll,ll
s
^As
s
Endaxxiho-^r
ici
alla iia-
mais
V'iC
*
A^^VlC?i'3'
lamaiinggarcndj't,
cile faire.
^^^If"^g
inwiatchal
A'^j^'^'V
hmdrag amat-
Comment vontchouxJ.?
les
'^^''^^U'i
i
Txi?^
Gomanokhoirii
cnda
9"*^forts
ITV' "
mai
hnoii.
Tous sontet
Wi?^Gi^'fl*
^^t\.^^i::
ZanderomaJafiantchao.
beaux
cette
anne.
M.
Aurons-nousfruits?
PH^
,^-(?
Je
crois
quesa-
^|fl''J
s
'flH"
s
^.s
Aonu'o
he\oii
das
ciid'iJ-
vous en sere^tisfait.
A
lt\}^^^9*::
maslagnal
^'^AA'Aet
M. Tant mieux,des leumes?
^.*7Vfl>*"
AA^A
D^^
o, Saltassa.
175 J.
Venez par
ici.
Voyez
ces choux,
louiiua ou
gonia-
ces haricots, toutcela pousse
noiun
adagorom
ad-
hoiillou cndict o ^uc-
mirablement.
roum
ndcrol.
M. Ce
plant de pois
Ih aiar
dagmo dag
s'annonce bien.
wiasJal.
-
Dag
no.
bien.
M. Nullement
!
on
fl^*75'h"ii
h'i'i'
Badaggiicmmt anianianwiiahcl hacheta-
ne voit pas tousles jours
f.^WAi dot*
un ma-
fl*f'^''
i
gna
so i^ailcrmat-
lade
comme vous.
Hfl-lhC t^'-f^Ti
chem alaycm.
Donnez-moi votre ItxMlpouls.
i
hjf'll^i Al
Esl'
cdjehcn aayag-
^f
-V'
"
ne.
'79 Quiest votre?
m-
.^'(?iT*
"Ti
t^tlc
Dcro
iiin
hakin
decin
;
o^^'yiJVi
madhnt
ladarg-
CA. Jean.P-r/i'Jrts
VA** tl\s
lohauncs no.
M.
Cet
hommepas
?\rt*
s
h;l"A4*s
Essou katallaq hakimotel)
n'est
not
tUT**?'
/'^
gr atqol-
parmi
les
grands
Ji.C'.^niC^ "
tarcm.
mdecins.
De quoi
dit-il
que y"'J
Yx^'l''s
!
fls
M/
aiza/
hachet
vous tes malade?
'fi;'*
^lA'flll
allabcb no alao.
A.
Il
dit
que
c'est
hrt**^
f T-flh
:
Essoimima agouhbathachet allahch be/oa/,
duttes
foie
et d'au-
(H^*7'J
^lA'flUi
disent que
'flO^A " AjA"'|s
lhtchou gticn
c'est le
cur.
fl.^P*"^
biaougnealou.
m
Icb
no
f A-n
ifO-
;
h
A-M. CesonttousV'ii'9^i
h^O^^
Hoiilloiim
aaou-
des ignorants.C'est
9"
qoum.
du poumonvoustes
f rt'Jflfl>*s
n*fi;J"s
I^ sanba
hachet no
que
^A'flU
h(D
ia allahch cndji.
malade.
"i'^ ?
A.
Du poumon
PA'Jn
h(0*
la sanba no o ?
i8o M. Oui, quetez-vous?
sen-
KO^'i"Js
'
\Tf?^9^
Enda mn derno am7mmnmch.
J^Cifl*"
P
A. Je sens de tempsen temps du maldette.
Ht^W,
J
h'i^is
%
And and giiiinethat;;o7/.
aras
^^tX
9^"^
camalla-
W'>
hrt'^A
M.
Justement!
le
jK*fl'*Vfls
s
flr
Ihaocnna
ia
sanba
poumon
(V^i 9^A
hachei melekket.
A.
Il
me
semble
Wi^ Wi^^
^?/^
andm
maat
parfois
que
j'ai
*'7Pl*
:
^ff^C"
aouerbgnal.
unles
voile devant
'fl^A
yeux.!
M. Le poumon
^f(0*9i
^TP:J'W
Ihao.n
dagmo laan-
hA'JO
s
^^ nnassal.
A.
J'ai
quelquefois
A h^^
s
K'Ji^'"
s
And andmiammagnal
lebinn
des maux de cur.
AIU'^
^ao'i^
AM. Le poumonA.!
s
f rt'JHx'i^T!,H.
Vfl>*V "Ji'JJ?7s
la ^a&a noenna.
Je sens quel-
a
^^ andkcm
gu'ti
d^k-
quefois des lassi-
s
^Tn9^s
:
ilagnal galayn
tudes par tous les
jKpA^ATra
7AP
houUou.
membres.
l^/V*
i8i M. Le poumon!
Vrt'fl
i
fl>s
s
la sanha no.
A- Et souvent descoliques.
\f^'i^IJUi
'ftlf*
Hodncm heipul iqortagnal.
gt.i-
jK-^Crtl'"
AM. Vous avezpetit
''
ap-
?tUA ^AHA/A
f/ iashallaha o ?
ce
que?
,&
"
vous mangezA.
Oui Monsieur.
hO^'i
s
1^
Aon
gncta.
M. Vous aimezboire
^ID^'i
i
flljf :i
''
la on tadjJah o.
teoddal-
un peu de
(Di^fiV
(D^ "
vin
>
A. Oui
M^prend
hO*''i
i
1:^'?
^o? guta.s
M.
Il
vous
h^^'flA'ih'if
VAA
Kamabl;z(;c/;
haho'th ten-
un
petitle
sommeilrepas?
K''I'^A
inqoulf 'Tjihal
aprs
JK-H'/A
fl
o ?
Et vous aimez bien
'^'f'V'lh
^
^;^f"
:
Aoni
guta.
M.
C'est lele
poum- ^flO^
Prt'Jfl
Ihao, ia sanha noen-
mon,vous
'li^^
n.
dis-je.s
Que vous ordonne ^^^fl^99^l)votre
lammiastmmtnch
mdecin
rhlfl,?"
9"'}'
hakim men men H-
l82 pour nourriture?9^'i
'fl'\
hti
M
lah ?
A. De
la
soupe.
'fiCA
s
"flA
Yxti.
Chorha hel lagnc.
M. Ignorant!A.le,
^1^(0*^9^ aF-G^"'
Aaouqetn.
De
la volail-
Drom.
M. IgnorantA.
!
h^a>'^9^PTJ^'i^;J::s
::
Aaoqm./*"
Du
veau,
la
J^d!;flm ^^^i.
M. Ignorant!A. Des ufsfrais,
h^O^'^T*T'feft'":
"
Aaouqetn.
i'J^'t
feqqoucm cnqoulal.
A".M.A.Ignorant!
h^O^'^^'
PAI^
A.
Combien depour un
f 'flC
s
i^4-
ft
7fr
charaf
sent
piastres
Tr't' i
^^th^ViflO
mahalleq no ?
thalers?
^0^et
*
B.
A
la
douaneposte
(['\F9^^-Yl^ft;!'s
s
BajouniroiMnna ba/;o5/
la
l
'^rhA!
a^ra scddcsihcr
piastres
pour un
T K'J.^ifl**''
"nC
mahalleq ando.
thaler.
Tandis qu'auch
raar-
mfl,^
s
*TJ
'^ Bagahaa gucn m/.'/%
la piastre n'a
WiA4*flAA/Vs
A'^^s
lamaqahlal
pas cours.
i'^fl,
jK
mhi ilallou.
::
A.
Comment
faire
Itx'i'^^oOi^ll'
'Wd
Engiiedos
ber
la-
pour avoirtite
la
pe?
fll'^'JJ^C ^2.^^
mencr immanai:^rfl/.
monnaie
VH^A'le
"
B.
Vous aurezdemietle
h'flC-
^htl^ Kamao
hoiilat
as-
2
pour cent.
C0''
iAT'/A
qarreich caiahal-
lahou.fl**:
A.
C'est
un peuil
"fllf"
s
hlr
Be\oii no cndj't ech
cher mais
fautrsi-
^^
s
i'rt. is
A"?s
hmlat mgiicdlabigne.
ni-
quegne.B.
je
me
Al*
f *7,^
K
A'fl'7 "
En
quelle
mon- ^^Tr
Jj^iT T
lamcn ahiat gauTjib/^^/^Z;.
naie dsirez voustre
'^M'fl
AflTU"
pay
?
A. En thalers
et
enla
fllC't' s
s
f '^4*flA''flCss
jB
agar iammiqqaher,
demi-thalers
iA,^
ta/t^///
ald,
monnaie du pays,et
V'V
4'fl
^ftnV
row/; ishiigne.
quelques quarts
"
aussi.
B. Voici 10 thalers
/i*fl**V^'fl"
s
f J'flC Ihaonnaroub.
ia a.^scr her
en quarts.
A.a
Il
parait qu'il
y
?*"^
i
f'^jK.'l'flJ
S(wich
mmaqqahas'tloii
desles
quartsindig-
t^'t'i 4-'fl
hAs
/t^// roiih alla
que
rt.A"
s
A'^lH
sammahou.
ns ne prennentpas.
B.
Oui, ceux quit
^lfl>'>
s
HlLU
s
K
^^o;/
haii agaratiamaon
ia-
ontici et
frapps
*\C
^:h'l'0^
ia
bi
dontlabou-
A'"'?'
HA h^P
keft
afanihassaroub
189 che du lionouverte.est
T
hV
ix'}
sao aqqabbalaom.
A. Cette picebienlgre
est;
^V
i
'flC:
i
*AA; je.
Ih ber qalll no ke-
ifl>-
hAft
Us imaslal.
onse.
la dirait faus-
B.
Nous
allons la
*J&
s
A'W'H'A
Qoi
lemaiicmielleh,
peser, vous
vo-
yez qu'elle est depoids.
V T'.H* ;hlD^A i
^
kaminou ittaouaqal.
A.
J'ai
encore un
Dagmo kabt
ato Pros
chquechez
toucher
iammeqabbalaoallagne,
M"" Pierre,l'obli-
hawla
auriez-vous
bitoun indi tassa-
gence de
me
don-
yougne eammcnotlahou.
ner son adresse.
;^Al^ B.Il
demeure
ac-
Eohni ta assroal eda-
tuellement dansla
A
M(0''}
i il
011
sakaft h'iqar no.
prison
pourdet-
causetes,
de
A.
Ah!
!
Mon
Oia goud!
Dieu
190 B.
Htez-vous deprotestertraite
VPiiV}
:
^UV
s
Haoahen niah
o'ta
faire
(O^i ^'iX*^
faransawi qonsonlhdcnna keaao.
votre
au
^^(V A YifKO*
VL^KT^s
consulat
de
France.
A. Dans quel embarras cela vajeter!
J&U
s
5lCJK.A^'
s
t*?
-^/^
?wo-(7r
tchcggiicr
me
C
A"
ilagiial.
Je ne connais rien
PH.U
?%1C
/**
lanih
agar
seraitolo
auxcesuis
affaires
deje
CJt^TiV^^o*
KAfl^T
alaoqcmennawak'iiJ 0.
pays,press
fl-f A";
^,PA'
de
VA*" "
partir.J'ai
absolument
'flC
:
0*7^
s
5n' hagitcdguclUgnal.
'msfalle-
besoin de cet argent.J'ente.
^A*7A'i
A
perds la
t-
'i'*Kl
s
^iA'7
Tchggucr lagnc.
B. J'espre que vous
t/jRH
il s
"rlC"
i
HaXoh tchcggucrhaleh.
ai-
ne serez pas embarass.
K/^flAU
Venez dineravec moi
ce soir
H&
i
*^ ^'
i
tix*
Zrc mata
la
crt
et
aprs
Ts X'J'.^T'^^
endctmailignenna
nous
causeronsaffaire.
A'Vfl'"'Js
f.lTli-A*s
'mmhnaon hoidioueniicmkkarJlcn.
de votre
?i
191 A.
Vousje
tes trop
'flll*
i
h'^M.h'd
Beion egiis.behrillgne.
is-
bon
vous enbeau-
tluCi ^ftTA'^if"
remercie
coup.
Mais ce Pierre queva-t-il
^Vtl
i
^Tt^fts
:
Ibcs Prosu,
mm lihon
devenir
?
T"iai*::
A.U"J
5f
B.
Il
rpondra defaillite
\lfl/ir-lD*'i id^i^^'1h
Keraomihadgnennat
sa
detribu-
^''^CP^^
immarammara.
vantnaux.
les
A
"
A.
Si
c'est
une
Aj'flV'lh t''J*lTrt'Ih s
Lhennatiaiagagnhbat cnda hones.
banqueroute frauduleuseB.laIl?
}\i^'
s
Ifi
tl
sera puni de
}\(DD^
i
''fl'^ s
Eohnigahhetoedmiohoullou tttassaral.
peine des traforcs.
"h^'^tD^'iI>A*s
vaux
^^hWs
A:sA.Quelle chutertT*'1's
4'Js
s
Baieqt qan
habtm
pour unqui avait
hommefait for-
'fl;''?"
AlPi
lahna so endt ta/a /i//fl^
fl(D*
t'J^T;I'A4**
s
kera
tune entemps.B.
si
peu de
^A^*
s
Les fortunesles
s
Ji'fl^s
To/c;
haht ta agagna
promptes sont
^1Y
A"*"
s
fl
so haiolo ioiddeqa.
192 moinssolides.
-f-A"
s
i^(D^'^
A==A. Et bien mal acquit
f 'l*rt^4*'fl
'
s
iTrll
la laarraqa ganiab
ne
profite
Kj^rtlT?"
ataqcmem.
jamais.
9" "
UnD.
crancier
et
son
dbiteur.
Ah
!
Monsieur,
Era,
qarahgutci,
halelli-
approchez,je
quede
gnedas
cndit
suis
ravi
helognal
ba-
vousje
voir, et
que
flA"?As
n^
mamtJeh, cnnaTJakefou saotch fatnao
veux du mal
mes gens de nevousentrer
ha asgahhouh endtt
pasfait
avoir
da2 nabhar.
tout
d'abord.
C.
Monsieursuis
je
giiahehr istelligne
vous
trs-
TA-??
s
^;^P.
gula.
oblig.
D. Allons vite unechaise pour
"h,
fl'nCs
fl
Era batohamhullat.
oiiihar
M^
f^A"
h^/IvA
193 C.Jesuiscela,je
bien
*7.^
s
f A'"''
K4
Gued
iallam
cqo-
commc
*'liKlh
malhhou.qoitich
D. Point du tout,
h^V"i9^i ii^i Aihoncm
hal
veuxsoyez
queassis.
vous
HA*7.^s
"h'i^
''
cndji.
C. Cela nerien.
me
fait
?A9":
'"
G?/^/ rnlJani
mcnem
'T*
h^ti^rt'\
alagncm.
r-'D. Allons, asseyezvous.C.etIl
Itxl^ s
*|^
:
"; o/z/d? /'/a.
n'est besoinn'ai
^"VJ""19^
i
h^tld.^K'J.^
Mcncniaasfallcgiu'ma?/^f^/t-c/;
je
qu'undire.
i
jwo-aria-
mot
vous
h'J'fi
VICs
'fl
&c/c/w allagne
^'
?A*'^
P^.
mammallakhieh
D. Mettez-vous
j
?i^i 'f'cjirw^
^
,.^ iaqaminat helhc.
vousC.
dis-je.
AUviensPs
Non
M*", je
h^F'9^'llC
i
"^jl"
Adollam guctac mmafJahonhhato-^r ciidaiih no.
pour...
f ^^ll'l'lf'ii
na-
hlf^M,
>fl>- s;
D. Non,coute
je
ne voussi
^i.ftlO?"[*pffOf*
?''?s
Ahoncm,qamiiiat
aiiiimife-
point
}^'}
cndahon
vousassis.
n'tes
pas
^Ifi
9"^?"
vicmm ahamani.
hArt''?r13
194 C.Je fais ce que}\.*
Ixi^^iV
s
Ech cnda lh
ihoiin.
vous voulez.D. Vous vous portez
ji^th'i sflt''U''
?A)^
i
V
Tnahen dahna ncho.
toujours?
V
s
(DfL
a
bienC.
Oui,
pourser-
?M^V*
s
flA'}'^s
Dahna,ra
sela anta sc-
vous rendrevice,je suis
l^i 'flp
O'*^
hic Jiiaitahou.
ve-
a
nu...
D. \'ous avez unesantet
ltxd,i 'flll*
^UV^tl^
Era
he^ou dahna n-
admirablefrai-
UVs ^'XiO^^i
hcnna,
ihaocnna
une mine
'^AIUa>-;*A
s
inalheh aataoucqal.
che.
::
C.
Je
voudrais
A7"'^/2
s
Cs j?''"
/iiinasgan.
unD. C'est une brave
::
s
f ^Cft(iAs
cnna ladr drounse el efallg
de
la ville et
nabhar.
environs.
?t-
s
fh'^"7:
Dagiiio
Jahitatnaoi;/
vue de
'^A'P,?s
ft
;;zf/./^/m i-^
a//rt;/.
ville qui estjolie.
trs
dA
KAT-
A.
Il
me
fondrait
*l"*^'t
s
l'll'A";
GucmaUnna
haqlo
aussi
quelques
''B^^Oi'i ^^iPJ^a
Ichenao ia naggdc
207 vues de caravanes de chameauxde mulets.>.
ha ennacl ciida
goiioii se
et
alla cffal-
le^
nahhar.anatoumolto-
Nous en avons hf ^J&J'Igrand
'/''A
Kam
unchoix.
-^VA
"
nal.
-^
O OC
fc
"-
Chez
un serrurier.
C.
J'ai
taussetil'
ma
Makfatchacn haqoulfouest baagoul sert
clef
m'estla
impossible deretirer
aghetch ahhalcheicho nahhar, ahou-
de
la ser-
rure.
ncm
la
maou'tt
hnh alacrne.
S.
Voyons
ce que
Esii la,inaiginaom-
c'est.
La porte
m110
hahoidat
khf
est
ferme douil
mtaqwollafa,iastchag-
ble tour,difficile
sera
likkaffat
de l'ou-
gncr maslagiml.
vrir.
C
.G'^ftA'f
A
M
208 Laclefestil
touten'y a
Makfafchnosie\oal,
tcitani-
tordue,pas
iammikaf-
moyen deCracqu'elle!
fat
ahnaslagmm,
l'avoir.
hhaolch taahhara.
voilcasse,
se
C. Et
le
morceaudans
Sehharossoih'si
eqoulfo.
jqui est rest
qarra
la serrure ?
S.
Il
ne
me
reste
Ahouncs
qoitlfou Iml-
qu' dvisser laserrure et vousfaireclef.
ianaqqalanna addsniiilifaicha
halta-
une autre
arrllat haqiir hcl-
hat iallam.
fArC. Et en attendantje resterai la
"
KinfijD-hil\ i
M,
Enguedos add'is qoulfcskbhadj deras htoii lcft
por-
4A
htl
te
ouverte? Je sevol!
hoiio ma.'fi'
18
274
1
^
::
Traduction textuelle.
Que
l'envoye (/a
?nissve)
de Walda-Mariam parvienne
mon
frre,
mon ami
Takla-Wald.
Mon
frre,
depuis que
nous nous sommes spars jusqu'aujourd'hui comment vata sant,
n"es-tu pas
bien
?
Quant
moi, par
la
grce de
Notre Seigneur, l'intercession de Notre-Damede la Trinit, que Dieu du Ciel soit lousuis bien saufet
et la
bontje
remerci,frre,
pour
le
dsir
deje
te
voir.
Mon
quand
tu viendras detoi
Dir-Daouaet
te
prie
de m'apporter avecqu'il
un revolver
un
fusil,
choisis-moi tout cele
y
aura de meilleure qualit. Pourici.
prix je te rembourserai
Je te supplie,
monte
frre,
n'oublie pas
ma commission
quand tu voudras
mettre en route.
Je prie Dieu d'Isral de nous garder en vie pour nousrevoir.
Amen.
A
Dasseta,
Habta-Walda, Gabra-Kristos,ils
tu
leur
demanderas pour moi commentlement
vont.j'ai
Tut
diras
ga-
Terou-nech
ta
femme que
trs-pein
27) d'apprendrela
mort de
sa
mre
et
que
je
lui
fais
mes
condolances.
Exprime
ceci ton frre en l'Esprit Saint
Takla-GuiorguisEcrit dans la ville d'Entottole15""'
jour
du mois de
Tahsas, en l'an de grce 1900.
Lettre
a un
infrieur.
Traduction textuelle.
Que
l'envoye (la missive) du Gnral de l'Aile Gauche
Balla/a parvienne au Garde-Fort Walda-Sellaci.es-tu?
Comment
Moi
je
suis bien
Dieu merci.rendant Enkober amenant unil
Ato Gabra-5^adicmulet, deux chevauxcher de passer.
seet
cinq bufs,
ne faut pas l'emp-
27e Ecrit au Monastre de
Zgamel
le
21* jour du mois de
Ter, en l'an de grce 1900.
Modle d'un contrat.HH/nij
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Mois
(les).
24
287 Page
Monde
(le).
1
Monnaie.Musique.
79
849^93
Noms
propres.
Noms Noms
propres de baptme.
propres particuliers.
95 27 3231
Nombres cardinaux.Nombres ordinaux.
NombresOiseaux.
fractionnaires, collectifs, multiples.
865 3
Oprations.Parent.Parasites.
37
8985
Pays.
Pche.Peuples.Plantes.
GG
92797353
Poids.Professions.
Remdes.Repas(les).
58
Reptiles.
86(les).
Raisons
2533
Sens
(les).
288 Substances chimiques.
Substances minrales. Substances vgtales.
Table (ustensils de).
Temps
(division du).
Transport (moyens de).
Vie (circonstances deVille.
la).
Voyage.
lil*^
BJNnipyir:;pj92:
cm-r
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R3
Robarts LibraryDUE DATE:Jan. 9, 1996
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