ASSOCIATION TERRES DE VIE EN LOZERE ETUDE SUR LES ... · différents temps de rencontres avec les acteurs ... Des échanges sur les constats et les enjeux identifiés lors de la phase

La Manufacture des paysages

ASSOCIATION TERRES DE VIE EN LOZERE ETUDE SUR LES POTENTIELS DE DEVELOPPEMENT DU TERRITOIRE

PHASE 2 COMPTE-RENDU DE LA RUCHE AUX IDEES

INTRODUCTION Cette deuxième phase avait pour vocation d’approfondir la phase 1 et d’identifier les orientations par secteurs du territoire. En effet, après une phase de diagnostic et de mise en relief d’un certain nombre de constats, il s’agissait par une nouvelle présence sur le terrain, articulée autour de différents temps de rencontres avec les acteurs locaux et les habitants, de d’abord restituer les enjeux identifiés précédemment, puis d’entamer une co-construction quant à la définition des orientations qui guideront les actions à venir. De ce premier travail émergeront également les premières pistes d’actions qui seront définies dans la phase 3.

Schéma de la démarche : La phase 2, un temps fort – La Ruche aux idées


Ce compte-rendu constitue une synthèse : 1. Des échanges sur les constats et les enjeux identifiés lors de la phase 1 de l’étude (Diagnostic) 2. Des idées et propositions recueillies sur les 6 sujets de réflexion proposés.

RAPPEL DE LA DEMARCHE La ruche aux idées s’est déroulée les 28 et 29 novembre 2016 sur le territoire de l’association Terres de Vie en Lozère. Dans ce cadre, 4 temps de rencontre avec les habitants et les acteurs du territoire ont été organisés :

Le lundi 28/11/16 à Villefort et à Langogne (2 ateliers avec les habitants menés en parallèle)

Le mardi 29/11/16 à Mende (un atelier avec les acteurs du territoire l’après-midi, suivi d’un atelier avec les habitants de Mende le soir)

Atelier « acteurs » de Mende


Chacun des lieux de concertation était aménagé en trois espaces distincts qui avaient pour objet principal de faire progresser les personnes présentes selon un cheminement qui débutait par une prise de connaissance des constats (Espace 1), qui se poursuivait par la possibilité de faire des propositions au regard d’autres expériences connexes menées dans divers territoires (Espace 2) pour finir dans un dernier espace dédié davantage à la libre expression (Espace 3). Ces espaces étaient déclinés selon les enjeux et sous enjeux spécifiques aux territoires concernés (Langogne, Mende, Villefort).

L’ESPACE 1 : les constats, les sujets-clés, les enjeux émergeants du diagnostic. Trois sous-ensembles derrière une grande question : Qu’est-ce qui est en jeu dans le territoire ? PREMIER SOUS-ENSEMBLE, L’ACCESSIBILITE DE L’OFFRE : Le territoire concerné par l’étude est vaste, rural, et marqué par une succession de reliefs. Et il est structuré par plusieurs villes « pôles » parfois situées hors du département qui sont pour certains leurs lieux de travail et/ou de loisirs. Accéder aux informations comme aux activités proposées apparaît comme un frein majeur aux pratiques culturelles et sportives des habitants. Sous thèmes selon les constats de la première phase : L’accessibilité « physique » de l’offre

Dans l’enquête en ligne comme dans l’enquête de terrain, la question de la distance et du temps d’accès à l’offre constitue la problématique la plus prégnante. Il s’agit notamment d’améliorer l’accessibilité de ce qui existe (navette ? covoiturage ? transports en commun ?) et notamment en hiver, et ceci même sur des petites distances. La lisibilité de l’offre existante

Parmi les difficultés rencontrées pour accéder à l’offre culturelle du territoire, l’accès à l’information arrive en 3ème position des raisons évoquées par les répondants à l’enquête en ligne (près de 1/5 des réponses). Ceci a été confirmé lors des échanges avec les habitants et les acteurs locaux : les sites Internet sont soit trop peu renseignés, soit très fournis, à l’échelle départementale, avec des informations multiples et il est difficile de trouver ce qui se passe près de chez soi. L’harmonisation et l’adéquation des créneaux

Les créneaux proposés sont bien souvent en soirées, le mercredi après-midi ou entre 12h et 14h. Ce créneau est par exemple peu adapté aux personnes âgées pour qui le repas peut-être un repère. Des créneaux en journée et en semaine ne pourraient-ils pas aussi intéressants pour des parents qui ne travaillent pas ? Ne faudrait-il pas tester des formules et/ ou mieux connaître les possibilités des habitants ? Le samedi et surtout le dimanche apparaissent aussi comme des créneaux à investir pour des propositions en direction des adolescents et des jeunes adultes. Cependant chaque territoire a ses spécificités : A Langogne : Développer des moyens de transports et accompagner la mobilité (notamment des personnes âgées ou isolées) pour se rendre à certaines activités (surtout en hiver).


Approfondir les raisons de la non pratique d’activités et adapter l’offre (programmation/ lieux/ horaires) aux différents publics : personnes en difficulté, personnes âgées. A Villefort Permettre et inciter les populations locales à se réapproprier les activités de pleine nature (particulièrement dans le cadre scolaire). A Mende : Valoriser l’offre existante tout en adaptant les créneaux (horaires, jours) aux différentes populations. • Développer un offre le samedi et le dimanche.

DEUXIEME SOUS-ENSEMBLE, L’ORCHESTRATION DES ACTEURS ET DE LEURS ACTIONS : Le territoire est loin d’être dépourvu d’acteurs et de propositions sportives et culturelles. Ces acteurs ont des profils diversifiés : association locale ou départementale, avec des salariés ou sans, avec une offre itinérante ou non... Et dans une période où les moyens sont limités et les besoins vastes (réalités différentes selon les secteurs ou les profils des habitants), le dialogue, la mutualisation entre acteurs peuvent être des leviers pour les actions. Sous thèmes selon les constats de la première phase : Les actions en commun

Les partenariats entre acteurs culturels sont à optimiser notamment entre ceux agissant à l’échelle départementale et ceux agissant à une échelle locale. Il peut s’agir de mutualisation, de projets en commun entre associations, collectivités, structures… Une vision du territoire et une stratégie globale

Les acteurs du territoire sont nombreux et celui-ci n’est pas uniforme dans ses dynamiques, ses acteurs, ses équipements... Partager une vision du territoire et une stratégie globale tout en introduisant la notion de territoires (au pluriel !) peut favoriser la cohérence, la pertinence et la complémentarité des actions portés par les uns ou les autres. L’animation et la vie des équipements existants

L’offre d’équipements sur le territoire n’est pas apparue comme incomplète ou insuffisante. Ce qui est ressorti est plutôt que les équipements existants sont parfois sous-exploités : une meilleure visibilité, lisibilité, animation des structures et des équipements apparaît nécessaire. Spécificités pour Villefort : Soutenir, renforcer un pôle en devenir du fait de nouveaux équipements récents ou en cours. • Structurer/ renforcer le fonctionnement intercommunal (au-delà de la communauté de communes), se fédérer entre villages : foyers ruraux, liens au collège… Ceci passe notamment par : • Renforcer l’existant et consolider les acteurs présents au lieu de créer de nouvelles infrastructures ou associations. • Développer des partenariats avec la nouvelle salle de spectacles (la forge du charron) pour la soutenir. • Accompagner l’animation et la vie des salles de Villefort (salle culturelle et salle polyvalente) en lien avec le collège.


• Créer un lien avec les différentes associations par le biais d’un foyer rural Villefort/ Pourcharesses. TROISIEME SOUS-ENSEMBLE, LE DEPLOIEMENT ET LE DEVELOPPEMENT DE L’EXISTANT : Plusieurs « ingrédients » intéressants, qui fonctionnent, qui sont appréciés, sont présents dans l’offre culturelle et sportive. Comment s’appuyer sur ces éléments pour déployer une offre ? L’innovation ne peut-elle pas s’appuyer sur l’existant ? Sous thèmes selon les constats de la première phase : La différenciation des activités et des publics

Compte tenu de la démographie du territoire, il faut prendre en compte que la vie et l’accueil des populations autochtones, saisonnières (résidences secondaires) et de passage ne sont pas forcément les mêmes. Aussi, il apparaît nécessaire et intéressant de s’adresser différemment aux : • permanents (qui travaillent ici) • semi-temporaires (6 mois en Lozère, 6 mois ailleurs) • temporaires (de plus en plus présents) La découverte des activités de pleine nature

Et ce en prenant en compte les différents publics : s’adresser spécifiquement aux jeunes, développer des activités pour ceux qui ont une pratique libre ou encadrée, ou ceux qui ont une activité ponctuelle ou régulière... A noter : les sports de pleine nature constituent l’activité ports/loisirs la mieux représentée sur le territoire pour les répondants à l’enquête en ligne ! Mais a priori, il faut mieux la structurer... La culture et le sport pour favoriser le lien social

Si les pratiques sportives et culturelles sont des sources de développement, d’épanouissement personnels, ce sont aussi des moyens pour découvrir, rencontrer, partager... Que la culture et le sport soient pensés comme des moments de rencontre est une attente forte de la part des habitants interrogés.

Cependant chaque territoire a ses spécificités : A Langogne : Optimiser les services apportés par des équipements tels que la bibliothèque. Par exemple, créer un accès internet libre à la médiathèque pour ceux qui n’ont pas internet chez eux. • Exploiter le potentiel du Lac de Naussac. • Être vigilant à l’avenir du théâtre de l’Arentelle qui proposait sur le territoire une offre spécifique qui avait son public. • Créer des liens avec les différents lieux et publics comme par exemple avec le CADA (Centre d’accueil des demandeurs d’asile) présent à Langogne et Grandrieu. Le renforcement des dynamiques existantes par un équipement adapté et une gestion optimisée des équipements présents • Insister sur la mise en place de structures (bâtiments, bureaux, panneaux...) facilitant le travail et l’accueil des activités déjà existantes. • Développer un lieu collectif entre associations et ouvert au public pour être un espace de rencontre (de type maison des associations, centre social, lieu socio-culturel...).


A Villefort : Accompagner l’émergence de fêtes populaires liées à la culture locale pour mettre en avant les spécificités du territoire (exemple : fête de la myrtille, fêtes des métiers d’art ...). • Créer une entité, un regroupement, un comité pour mettre en place une politique culturelle et une programmation à l’échelle du bassin de vie. A Mende : S’appuyer sur l’offre culturelle, sportive et de loisirs pour créer du lien social et du lien entre le centre de Mende et sa périphérie (et faire vivre le centre de Mende).


L’ESPACE 2 : Vers des propositions Déclinaison selon six thèmes principaux (1 panneaux spécifiques à chaque fois), organisés de façon à présenter la situation actuelle dans une volonté d’initier des trajectoires afin d’aboutir à une situation souhaitée. Des exemples d’initiatives étaient fournis en format fiche (cf. annexes) pour inciter les participants à faire des propositions. Les thématiques sont ici déclinées selon les retours des participants à ces ateliers (Acteurs et habitants).

La coordination et la complémentarité des acteurs (Collectivités, associations, clubs...), l’équilibre du territoire

Fiches initiatives :

Le collectif des garrigues

Les nouveaux commanditaires

Les épuisettes culturelles LES COMMENTAIRES ET REFLEXIONS DES HABITANTS (cf. panneaux) A Langogne :

Voir le projet du Grand Lac et le projet d’y implanter une œuvre d’art avec FF.

Portail internet (employé), SCIC en 2017 A Villefort :

APP – Pôle de Pleine Nature retenu > lien mas de la Barque / Mont Lozère

Création et redynamisation du tissu associatif et sportif en cours > construction d’une halle des sports à Villefort > besoin de regrouper ces dynamiques > organisation de réunions publiques et d’acteurs (initié par la Communauté de Communes, mais après ?)

Capitaliser sur les événements ou manifestations les plus attractives pour accroître leur rayonnement (exemples : Marathon de Mende – Marvejols, courses automobiles, semaine du cinéma, festival d’Olt)

Créer des thèmes d’animation à forte valeur « attributive Lozère » (exemple : festival d’Olt) A Mende : Voici le développement d'une proposition basée sur la création d'assises de la culture. Dans un premier temps : Des assises de la culture, pendant 3 jours pilotées par le Conseil Départemental de Lozère. Objectifs de ces assises :

Référencement et labélisation des acteurs comprenant : la précisions des champs d'intervention artistiques, une convention de moyens incluant la définition d'objectifs et évaluation

Co-réalisation d'un schéma départemental Contenu de ces assises :

Etat des lieux : qui fait quoi ? Où ? Quels moyens ?

Élaboration d'un projet : organisation, projet politique et culturel, priorités, plan de financement


Puis : Appel à financement : contrat de plan, leader, massif, etc... Contractualisation avec les structures (associations, mairies, EPCI, etc.…) Et enfin : Réalisations :

Parcours de diffusion ;

Exposition ;

Éducation artistique ;

Conférence ;

Festival ;

Espace muséographique ;

Formation ;

Pratiques artistiques ;

... LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES ACTEURS (cf. panneaux)

Outil de partage d’informations et de montage de projets à distance : Share Lozère ;

Emplois mutualisés à l’échelle d’un « pôle » dans le champ du sport et de l’animation : Collectivités (TAP, centres de loisirs), Clubs de sport locaux, EHPAD (sport santé) ;

Question de la compétence culture et du projet culturel à l’échelle des nouvelles intercommunalités ;

Moyens financiers au-delà de l’investissement ;

Animateur du développement des territoires. LES PROPOSITIONS DES ACTEURS (cf. feuilles de synthèse) Un préalable essentiel / incontournable : la définition d’un projet culturel territorial porté politiquement. Se pose la question de l’échelle territoriale, sachant que la pertinence peut varier selon les contextes territoriaux (intercommunalité ou Pays). Pour définir ce projet culturel territorial :

Mettre en place une démarche de concertation auprès des acteurs du territoire ;

Co-produire / co-écrire le projet entre élus et acteurs (d’autant plus que les acteurs sont une vraie ressource pour écrire le projet au regard de leur connaissance des réalités et des pratiques locales).

Pour mettre en œuvre / animer ce projet culturel territorial : un besoin d’ingénierie / d’animation territoriale. Un exemple d’équipement ad hoc pour mutualiser les différentes dynamiques et thématiques (sports, culture, loisirs…) : maison des arts, des sports et des associations (initiative en Sud Lozère).


La mobilité de l’offre / l’itinérance / l’essaimage culturel Fiches initiatives :

Touristicobus

La P’tite Roulotte

Les livres vagabonds

L’école de sport itinérante

Un bus itinérant pour les jeunes

Compagnie Papot’âge et partage

LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES HABITANTS (cf. panneaux) A Langogne : Des moteurs existants :

Troc de livres dans le jardin public ;

Espace « Va lire dehors » avec la bibliothèque de Langogne (CC) dans le cadre du Festiv’mômes (Festiv’Allier).

Remarques des habitants rencontrés : L’offre en musée est correcte mais les résidents locaux ne s’y rendent pas. C’est dommage, il faudrait leur donner envie de s’y rendre…

Il manque peut-être un peu d’événements autour du théâtre mais dans l’ensemble la programmation est très correcte pour un bourg de cette taille… Le plus difficile est de faire bouger les gens, surtout avec une population vieillissante.

Les offres sont très variées (la Croix Rouge propose des jeux de cartes pour les personnes âgées par exemple, le foyer du troisième âge fonctionne très bien…).

Il serait intéressant de développer les activités autour du lac de Naussac car depuis qu’il existe

(1980 environ) rien n’a vraiment été fait. Le tour du lac n’est pas très praticable, il ne fait pas

vraiment le tour et c’est trop long. Les propriétaires locaux ne jouent pas le jeu, et ferment

parfois des passages… Il y manque également des aménagements même simples. Pourquoi

ne pas développer une véritable base nautique, avec une école de voile plus large et des

bateaux électriques, pourquoi pas du ski nautique « propre ».

A Villefort :

Le Tiers Truck

Scènes Croisées : partenariat La Forge + foyers ruraux pour programmer des spectacles co-financés par les communes de Pourcharesse et Pied-de-Borne

Accueil de séances de cinéma via Cinéco en Cévennes (structure de programmation et projection itinérante) – existe par exemple tous les dimanches à la Forge de Charon

En cours de développement avec l’ouverture récente de la salle de spectacle : nouvelle dynamique créée… prometteuse ! A suivre !

A Mende :

Développer un parcours culturel thématique sur des sites patrimoniaux (Causses/ Cévennes/ Aubrac/ Margeride). Cela peut prendre la forme de concrets, expos, rencontres...

Musée mobile, « caravane des arts » (sous la forme d'algeco mobile par ex)

La p'tite roulotte sur 1 mois en hiver et 1 mois en été


LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES ACTEURS (cf. panneaux)

Mutualisation du matériel sportif pour la pratique des personnes en situation de handicap (joëlette, fauteuil, tout terrain) entre les différents structures (établissements spécialisés, Comité Départemental handisport) à destination de différents publics (centres, familles, touristes…). Exemple : penser au Centre Multisport de Montrodat (48). « Lozère Développement » a envie de travailler sur la structuration d’une offre touristique pour les personnes handicapées et leurs aidants.

Mettre à disposition un mur d’escalade itinérant et démontable (mobile) via des prestataires extérieurs diplômés pour développer l’activité. Coordonner des prestataires qui seraient partant pour travailler hors saison. Même idée pour développer des écoles multisports itinérantes et notamment sur les sports de nature (spécificité locale). Il faut cibler une tranche d’âge peut-être ? Et le faire porter par une fédération multisport ? Un seul par UFOLEP ? Aujourd’hui, il faudrait un délégué (agent de développement) et animateur. Pourquoi pas un poste inter-intercommunal via les TAP notamment mais pas seulement sur les temps scolaires.

Relais et équipements des zones blanches

« Bistrot de pays » » à développer (il n’y en a pas sur ce territoire car ce sont des lieux porteurs de plusieurs propositions de bars qui ont tendance à fermer).

Projet territorial à définir pour être porté politiquement et profiter de la création des nouvelles intercommunalités pour le définir et penser les actions à ces nouvelles échelles.

GTMC (Grande Traversée du Massif Central) (Moteur).

« Hôtel à livres » dans les jardins publics (Moteurs). Espaces « va lire dehors » bibliothèque de Langogne dans le cadre de festi’Mômes (festiv’Allier…) (Récolté à Langogne).

LES PROPOSITIONS DES ACTEURS (cf. feuilles de synthèse) Zone blanche : Margeride

Associations : structuration de relais locaux / équipements support

Condition pour essaimage culturel Offre itinérante de découverte : mobilité de compétences et équipements

Clubs sportifs + prestataires

Travail avec les collectivités sur les TAP (temps d’activités périscolaires)

UFOLEP : idée / fédération multisports (TAP / temps libres) Projets de territoires : conditions politiques


La mobilité des publics


Ado bouge ta commune

Voitur’âges

Au fil de la Valserine en vélo électrique LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES HABITANTS (cf. panneaux) A Langogne : Des leviers :

Le vélo électrique et notamment le VTT électrique. Par exemple, pour les couples où l’un des

deux est plus sportif que l’autre. Si l’un à un vélo électrique, il peut pratiquer avec l’autre.

Développer une offre locative et pourquoi pas d’aide à l’achat de vélos électriques. Pourquoi

ne pas s’appuyer sur le magasin de vélo local (ouverture récente) pour l’aider à mettre à

disposition quelques vélos avant de développer cette offre (convention mairie-magasin) ?

Contrat local de santé, dans le cadre de la lutte contre l’isolement des personnes âgées. Des ateliers pour les personnes âgées sont proposés dans différents villages. Des navettes sont mise en place et vont chercher les personnes à leur domicile pour les amener à l’atelier. Les personnes doivent s’inscrire au préalable.

Le covoiturage fonctionne essentiellement en « bouche à oreille » car Blablacar n’est pas

adapté au territoire. Les distances proposées sont trop courtes, les demandes trop dispersées

dans l’espace (petits villages et pas que depuis Langogne) ou alors pas assez spontanées.

Pour les lycées qui se rendent au Puy, la problématique est vive puisque les bus les déposent

dorénavant à la gare et plus à l’entrée du lycée… Il y a quelque chose à creuser de ce côté-là.

Une navette est mise en place 4 fois par an pour permettre aux personnes âgées de se rendre

à des ateliers (cuisine, échange, apprentissage du numérique…). Cela fonctionne bien et est

financée par l’ARS en partie dans le cadre du contrat de local de santé du Haut Allier.

Les acteurs travaillent sur l’offre pour les adolescents.

Scènes Croisées (Les Fadarelles) proposent des bus-navettes entre les principales polarités

(environ 60 personnes) en A/R notamment l’hiver pour se rendre aux manifestations

culturelles. Sur 10 spectacles dans l’année trois sont desservis. C’est en lien avec le projet de

mobilité plus large.

A Villefort :

Des bus pour se rendre à des spectacles : Villefort > Mende / Villefort > Alès / Villefort > Langogne OU services divers

Mutualiser (et rentabiliser) une navette pour les activités de VTT de descente et ski Mas de la Barque / Mont Lozère / Le Bleymard / Villefort

Développer une offre de covoiturage regroupée sur un site, une plateforme / proposer un BlablaCar Local > s’appuyer sur l’Agence Lozérienne de mobilité

Créer une offre de transport pour personnes âgées


Des VTT électriques avec des Aires de services (recharges) sur l’ensemble du territoire. A Mende :

Problèmes pour les personnes handicapées pour circuler en ville

Lozère enclavée... que faire ????

Développer un service civique de la mobilité : voiture + programme culturel+ service civique LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES ACTEURS (cf. panneaux)

Covoiturage, un « Blablacar » local. Voir projet voisine 48 (structure en difficulté car difficile de maintenir des postes pérennes). Il faut que les lozériens se l’approprient (lycéens, les travailleurs). Aide des professeurs pour les ados pour faire connaître voisine 48. La question de l’interactivité / spontanéité de l’offre peut être un frein… L’application est à jour, mais certaines personnes n’y trouvent pas leur compte et difficulté à le maintenir actif.

Pourquoi ne pas mettre en lien Voisine 48 et les activités ou les événements.

Créer une plate-forme spéciale avec un onglet « sortir aux spectacles » en aller/retour.

VTT électriques avec bornes de recyclage réparties sur tout le territoire.

Bus et navettes pour se rendre à des spectacles (développer l’existant et le faire connaître offre proposée par scènes croisées), ou pour amener des personnes dans les montagnes (VTT descente, ski…).

Exemple : Navette mise en place le mercredi après-midi au collège de Mende (Via Club de ski, ASPTT et éducation Nationale) : les membres des clubs collégiens plus d’autres s’il y avait de la place étaient amenés dans les stations. Ceci a été remis en place, entre trois ski clubs transformés en un seul.

Réflexion sur l’ouverture des bus scolaires au public (cf. En Hérault).

Définition plus précise de l’échelle territoriale retenue en fonction du type d’activité et orchestration des actions et des acteurs… Frein égale taille de population, masse critique porteur d’initiative… (Michel)

LES PROPOSITIONS DES ACTEURS (cf. feuilles de synthèse)

Structurer et renforcer l’offre de covoiturage (intégrer Voisine 48 dans la réflexion)

Rendre visible les trajets « culture » ou « shopping »

Développement des transports « collectifs » à la demande pour se rendre à des spectacles, à des événements sportifs…

Etudier la possibilité d’ouvrir des bus scolaires à d’autres publics (notamment pour les retours des tournées matinales car les bus rentrent à vide)

Développer une offre de transports pour aller et revenir des grands festivals départementaux et hors Lozère, et ceci en proposant des horaires « festifs » (retour à 2h du matin après les derniers concerts par exemple)

Développer une offre de transports pour les courses du samedi matin ou après-midi vers Mende ou vers d’autres événements (par exemple pour aller au marché de Langogne samedi matin)


La communication


Journée « Sport et Nature en Bauges »

Salagou s’faire

LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES HABITANTS (cf. panneaux) A Langogne :

Développer les radios locales : diffusion de 48FM trop restreint

Moteurs : Office du tourisme intercommunal de Langogne (trouver le nom de la CC) qui est un EPIC.

L’Office de Tourisme fait de la communication touristique mais aussi une communication à l’année pour les habitants. Il a un rôle de diffusion locale affirmé avec un réseau important pour la diffusion large à l’échelle du département. Il faudrait peut-être trouver une solution logicielle pour mutualiser les informations entre les acteurs et le Conseil Départemental de Lozère et permettre un retour sur les événements passés (susciter l’envie chez les gens). C’est plus qu’un Office de Tourisme, c’est aussi un peu une maison des services, un service de communication intercommunale.

La communication est réalisée, mais les gens ne prennent pas le temps de regarder. Il y a

peut-être trop d’acteurs ce qui rend la lisibilité trop compliquée et floue.

A Villefort :

Demander aux mairies d’installer des panneaux numériques à l’entrée des villages pour afficher les activités

Savoir diffuser par mail aux organismes dédiés à la communication pour une promotion efficace car la communication n’est pas qu’à sens unique !!!

Développer info type « Scènes Croisées de Lozère » par mail (newsletter). Mais qui s’en occupe ?

Leviers : agendas existants (CDT + agenda culture)

Améliorer la diffusion de l'information A Mende :

La communication nécessite 2 démarches croisées :

Les médias vers les citoyens

ET les habitants vers l'info

Travailler la communication vers l'extérieur du département : salon, événement, portes ouvertes, maison de la Lozère, autres festivals, structures régionales, OTI, …

Comment faire venir ceux qui ne viennent jamais ?

Faire connaître en Lozère les témoignages de réussites culturelles et de l'art de vivre ensemble qui se fait ailleurs.

S'appuyer sur plusieurs médias pour communiquer site internet, réseaux sociaux, presse locale, radios locales (48 FM, radio Margeride...) à déployer, Télévision locale ?, via web TV ? (Ex : demain TV)


Des opérations de communication locale communes (entre la presse locale, les radios locales...) pour faire connaître aux habitants les médias locaux ?

LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES ACTEURS (cf. panneaux) Affichage, informations :

Il faudrait peut-être imaginer un « réseau d’affichage » davantage organisé qui cumulerait affichage communal sur panneaux et affichages numériques. Sans pour autant superposer les couches d’informations. Pensez à partager les informations avec les acteurs et les habitants (trouver un seul sens de remonter de l’information et pas de façon anarchique).

Renforcer les liens par la diffusion des informations par la radio, mais à quelle échelle ? Office de tourisme, Communauté de communes… L’agenda culturel est déjà présenté régulièrement sur 48 FM en partenariat avec les acteurs culturels et le Conseil Départemental 48.

Média spécifique au sport :

Il manque un média centralisé de l’offre sportive sur les territoires. Il serait intéressant d’imaginer un portail type « agenda culturel » du Conseil Départemental mais spécifique aux activités sportives (séances hebdomadaires, matchs, tournois…) en précisant clairement le type d’activité concerné (compétitions, loisirs, santé…) et adressé aux différents publics (enfants, ados, adultes, séniors, handicapés). Une expérience existait déjà « sportlozere », mais c’était une usine à gaz et personne ne pouvait l’entretenir correctement et régulièrement (alors que pour l’agenda culturel, il y a un mi-temps consacré à cette tâche). Ne faudrait-il pas aller davantage vers un mode collaboratif version « Salagou’s faire », car il sera peut-être difficile de mettre les mêmes moyens que ceux de l’agenda culturel.

Pourquoi ne pas mettre en place une « newsletter » (comme scènes croisées) ? (Cf. culture.lozere.fr)

Comment récolter les informations ?

Pourquoi pas un support plaquette-répertoire des acteurs culturels du territoire avec les évènements redondants (CDT).

Constituer une base de données commune avec l’office de tourisme avec des relais effectués par des opérateurs de proximité, et faire remonter vers le site du département sur un agenda spécifique des manifestations.

Pourquoi ne pas solliciter des personnes relais au sein des villages / villes pour faire circuler l’information (ambassadeurs, hôte, « parrain »). Exemple : MSAP (maison des services aux publics), foyers ruraux, et petits commerces pour animer et entretenir le réseau. Trouver quelque chose autour de l’idée pour « ne pas sortir seul », ou « se motiver ».

D’autres actions pourraient permettre du lien intergénérationnel en proposant des rencontres en amont des spectacles pour expliquer l’événement, comprendre la genèse du projet… Cette solidarité pourrait également se faire entre des groupes de populations semblables dans une idée d’accueil (nouveaux et anciens étudiants, à l’exemple du « Make my Sundays »). Pourquoi pas le faire également au moment de l’intégration des nouveaux étudiants et formaliser un véritable BDE qui serait dynamisé.


LES PROPOSITIONS DES ACTEURS (cf. feuilles de synthèse) Pour le sport (club, match hebdomadaire) :

Imaginer un agenda sportif (exemple : Sport Lozère.com : plusieurs administrateurs mais usine à gaz et manque de métier et de temps).

Un outil en mode collaboratif : chacun peut abonder (avec modérateur).

Pratique hebdomadaire Saisir l’ensemble des événements sur le site du Département mais autre que l’agenda culturel (relai au niveau local par tourinsoft (info tourisme, infos locales, système d’information touristique) :

Quelle diffusion ? Le meilleur niveau serait le CDT mais comment le faire savoir aux habitants ?

Quelles données ?

Des Offices de Tourisme vers le Département ou l’inverse ? Personne ressource type « parrain », hôte ou hôtesse :

A l’échelle communale ? A l’échelle de l’Office du Tourisme local ?

Pour/via une association locale (foyers ruraux par exemple ?)


La culture, les sports et les loisirs comme vecteurs de développement / renforcement des liens sociaux


Les greeters

« Mon village et l’artiste»

Dialogue sur les sentiers

Mine d’art en sentier

En chemin, j’ai rencontré

Hostanartist LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES HABITANTS (cf. panneaux) A Langogne :

Développer l’Agritourisme (maturation) pour initier ou renforcer des liens entre habitants et les différents espaces et pas qu’avec les touristes.

A Villefort :

Les Randos Fêtes, des événements intergénérationnels (de 2 à 90 ans), qui ont été réalisées en 2008, 2009 et 2010, et qui pourraient de nouveau se reproduire

Des soirées avec des conteurs

Les activités du mercredi après-midi sont quasi inexistantes pour les élèves du collège, seul l’AS leur permet de passer un peu de temps pour se défouler > organiser des ateliers de découverte (équitation, VTT, loisirs, liés au Lac de Villefort ou aux Gorges)

Développer un secteur de sport mécanique (MX, ATV) le territoire y étant propice : parcours balisés, club, moins de sanction de la part des autorités locales...

A Mende :

Le covoiturage est un facteur de lien social

Les coupures des vacances coupent parfois l 'élan/ la dynamique de l'engagement.

Plus (+) faire connaître les associations

Prolonger les activités : le partage autour d'un verre, d'un gâteau, ça lie...

Privilégier l'ambiance conviviale dans les assos, penser à l’accueil des nouveaux bénévoles

Vouloir « développer », implique l'attrait de nouvelles populations, qui, sur le plan culturel, des sports et des loisirs, pourraient trouver « chez nous » des choses que 'on ne trouve pas « ailleurs » ... D'où l'intérêt d'exploiter au maximum les spécificités et non pas s'adapter aux schémas généraux ! La Lozère naturellement !

LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES ACTEURS (cf. panneaux)

Renforcer le lien social par le covoiturage, notamment les liens entre les plus jeunes et les personnes âgées ou les retraités et les actifs qui peuvent avoir peur de l’inactivité et de la retraite.

Rando-fêtes ayant existées à Villefort et pouvant être renouvelées (récolté à Villefort). Événement qui a regroupé les touristes et les habitants du territoire, les jeunes et les personnes âgées (De 3 à 80 ans).


Développer la proximité avec les publics (exemple : école du spectateur).

Promouvoir des liens entre les associations et sortir de la simple dynamique de l’activité seule et déconnectée du reste.

LES PROPOSITIONS DES ACTEURS (cf. feuilles de synthèse)

Travailler sur le lien social au sein d’une association peut aussi permettre d’accueillir de nouveaux bénévoles et de favoriser un travail sur l’accueil des retraités. Les associations doivent également permettre d’initier des liens pour l’intégration des nouvelles populations.

Ouvrir des « tiers-lieux » destinés aux jeunes. Idée de développer cet axe par une politique jeunesse du département (PIJ). Exemple : espace de co-working décliné en version espace de vie commune et leur donner une vocation de maison de jeunes (qui ont disparu). Modèle de la politique des points d’informations jeunesse. Utiliser les lieux existants avec un professionnel compétent transversal. Partir de la jeunesse et tendre vers les autres activités et populations.

Promouvoir une pratique intergénérationnelle à l’exemple de ce que promeut la ligue de l’enseignement autour du rugby. Organisation de goûters préparer par les parents (plusieurs) de façon régulière. Cela permet des temps d’échanges qui ne se feraient pas autrement. Démarche qui existe et qui fonctionne bien. Pourquoi pas la décliner ?

Activités le mercredi après-midi dédiées aux collégiens pour découvrir les activités. Se servir des lieux publics existants pour nécessiter des espaces d’échanges pour les habitants dont les jeunes (récolté à Villefort).


Le développement / renforcement de l’offre en direction des familles et notamment des adolescents et pour les personnes très âgées


Dans les pas de Stevenson

Rencontre au jardin

Le Festival Nature

LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES HABITANTS (cf. panneaux) A Langogne : La création d’une médiathèque avec un lien avec les ados, un espace de centre de loisirs (en projet) Il existe un espace de co-working qui pourrait évoluer vers un tiers-lieu. Échanges avec la personne en charge de l’Office du Tourisme (est arrivée avec un texte, qu’elle avait aussi préparé par rapport à notre première revue lors de l phase 1) :

- Mode de consultation « Internet » exclut une tranche d’âge (notamment les + de 60 ans) - Lieux pour la pratique Indoor : gymnase, salle : planning saturé et du coup difficulté pour

accueillir des nouvelles activités - Problème de la baisse du nombre de bénévoles, les mêmes dans plusieurs associations - Un bassin de vie interdépartemental (48/43/07) : travailler sur une complémentarité de l’offre - Manque une association d’étudiants alors que Langogne est dite ville étudiante (au regard du

ratio nb d’habitants/ nb d’étudiants) - Pour les étudiants : besoin d’une pratique à la carte, adaptée à leurs horaires et présences

fluctuantes. - Un levier existant : en septembre : une soirée d’accueil des nouveaux arrivants chaque année

à Langogne - Proposition : guide d’accueil de l’étudiant (parce qu’ils ne connaissent pas l’offre ni leurs

tarifs) - Il serait bien de connaître le coût moyen des pratiques sportives au plan local et au plan

régional pour pouvoir les comparer : l’offre locale est-elle plus chère que dans les grandes villes ?

- Pour les personnes âgées : il existe une offre développée par le contrat local de santé (portée par l’intercommunalité)

- Pour les enfants : bibliothèque, saison culturelle, festiv’Mômes ; section enfants dans les associations.

- Manifestations : o Dans le cadre de la fête nationale de la nature, en mai, le festival Nature est organisé

depuis 3ans par l’office du tourisme de Langogne et les associations. o Mercredi « nature et astronomie », nature l’après-midi et astronomie le soir, proposés

de juin à octobre par les offices de tourisme de Margeride o « En chemin j’ai rencontré » organisé par les foyers ruraux du territoire o Rencontre au jardin : 1ère édition en 2016 o La Filature accueille des spectacles dans la saison


Festiv’allier : visite guidée du patrimoine aux flambeaux avec une guide-conférencière : un nombre de personnes croissants : année 1 : 80 personnes, année 2 : 90 personnes, année 3 : 200 personnes, année 4 : + de 300 personnes. Et cela a également été suivi par des habitants, curieux de découvrir de nouveaux lieux de leur commune.

Visite nocturne chez les habitants, avec un conte ou autre. Ce principe permet de découvrir

des lieux habituellement fermés et les gens adhèrent notamment ceux qui vivent sur le

territoire (curiosité).

L’occupation des logements en bi-résidentialité peut être un vecteur d’attractivité. Il faudrait

que l’information circule sur la mise à disposition des logements à chaque période selon les

publics (personnes âgées, touristes, jeunes, étudiants du BTS Arts Appliqués et automobile,

antenne de formation agricole…). Cela pourrait être un vecteur de lien intergénérationnel

également avec des résidences « mixtes ».

Expérience appelée « e-Langogne.com » qui s’appuie sur une démarche collective et

fédératrice à plusieurs niveaux puisqu’elle intègre aussi bien les commerçants, que les

entrepreneurs et les artisans…

Il existe aussi le site internet legrandlacdenaussac.fr qui diffuse de nombreuses informations,

et qui a vocation à donner une cohérence au territoire au-delà de Langogne pour vendre la

destination.

A Villefort :

En projet sur Villefort pour 2017 : un espace intergénérationnel avec une salle de sport, un terrain multisport (city-stade), un skatepark, un jeu de boules

Des projets à l’année issus de partenariats lieux scolaires / structures culturelles et sportives (exemple : la découverte des différents métiers liés au sport et à la culture avec des collégiens)

Des problèmes / inégalités des jeunes pour aller dans des clubs de sport à l’extérieur de leur commune (exemple pour les clubs de foot pour les enfants de Villefort)

A Mende :

Des tarifs réduits pour les retraités LES COMMENTAIRES ET LES REFLEXIONS DES ACTEURS (cf. panneaux) Les moteurs :

Les lieux multigénérationnels (exemple à Villefort : salle + terrain multisport + terrains de pétanque + jeux)

Partenariats et projets à l’année : lieux scolaires, structures culturelles et sportives…mais quels financements ?

Exemple action pour les personnes âgées : transport mis en place par un regroupement sur 1 pôle pour participation à des séances APS (activités physiques et sportives) et santé. Apports : maintien autonomie, lien social.


Réflexion départementale sur les politiques jeunesse en cours : des pistes à croiser avec la présente étude. Enjeu de coordination avec les établissements pour personnes âgées. Des difficultés de mobilité des personnes âgées dans les maisons de retraite (par exemple, ne peuvent pas sortir le soir après le repas pour assister à des spectacles). Offre pour les 3-6 ans quasi-inexistante… LES PROPOSITIONS DES ACTEURS (cf. feuilles de synthèse) Offre culture personnes âgées :

Constat de départ : pas ou très peu d’offre culturelle à destination des personnes âgées dépendantes hébergées dans les maisons de retraite ou les EHPAD

Créer une offre culturelle spécifique pour les personnes âgées en maisons de retraite/EHPAD (en lien avec les établissements)

Faire le lien avec les coordinations existantes Offre ados / jeunes :

Développer les liens avec les écoles, les collèges, les lycées sur les projets d’éducation artistique

Plus globalement, s’appuyer sur le vecteur « scolaire » pour développer l’offre culturelle en direction des ados, notamment parce que c’est difficile de capter les ados en dehors du contexte scolaire.

Des problématiques différentes selon l’âge : Collège (AS, UNSS…) / Lycée (cf. dispositif de la Région sur la culture) / Post-bac

Les internats : un levier ? une opportunité ? quelles règles et quelles structurations possibles pour proposer une offre aux internes ?

Problématique du départ des jeunes hors de la Lozère après le Bac : c’est la perte d’un vivier de jeunes sportifs, musiciens ou artistes formés en Lozère et qui partent après le Bac pour les études. Du coup, pas de retombées pour les territoires lozériens en termes de performances sportives ou artistiques, d’animations, etc.


AUTRES DONNEES RECUEILLIES

Deux acteurs ressources identifiés :

L'association GARDE dont l'objet prioritaire est la culture et le patrimoine. Site internet : www.lagardeguerin.fr

Le chemin de sculptures à Altier animé par l’association « Sculptures en liberté ».

L’ESPACE 3, inspirations et expressions libres Cet espace était réservé à la libre expression et au recueil d’idées supplémentaires sur l’offre, les équipements mais également sur des expériences locales ou qui pourraient être dupliquées dans le territoire couvert par l’association. Différents documents produits pour l’étude, des articles et autres sources d’inspirations récoltées étaient mis à disposition des participants afin de faire émerger une fois de plus des idées ou autres propositions d’initiatives.

http://www.lagardeguerin.fr/


ANNEXES

Fiches expériences

Documents

ASSOCIATION TERRES DE VIE EN LOZERE ETUDE SUR LES ... · différents temps de rencontres avec les acteurs ... Des échanges sur les constats et les enjeux identifiés lors de la phase