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Faisant suite à la loi de mars 2013, à l’accord de branche (assurance) d’avril 2013 et à l’accord Groupe (RSG) de juin 2013, les partenaires sociaux d’AXA Tech ont débuté les négociations sur les contrats de génération courant juillet. Devant permettre d’améliorer l’accès des jeunes à un emploi CDI, de maintenir l’emploi des seniors et d’assurer la transmission des savoirs et des compétences, le contrat de génération devait être négocié, sous peine de pénalités financières, avant le 30 septembre dans les entreprises telles que la nôtre (+ de 300 salariés) afin de parvenir à un accord ou, à défaut, à la mise en œuvre d’un plan d’action. Soumise à l’obligation d’établir un diagnostic préalable et au fait que l’accord ou le plan d’action fasse apparaitre certains éléments (comme des objectifs chiffrés en matière de recrutement de jeunes en CDI ou des engagements en faveur de l’emploi des seniors) la Direction nous a fait part de ses diverses propositions dont beaucoup restent à nos yeux très insuffisantes. Ainsi, le double engagement qu’au moins 12 % de la totalité des recrutements effectués en CDI concernent des jeunes de moins de 26 ans, et ce avec un minimum de 9 embauches d’ici fin 2015, est bien en deçà de ce que nous serions en droit d’attendre au regard des points suivants : Le vieillissement du personnel d’AXA Tech : même en admettant que les engagements cités plus avant soient remplis, cela ne suffira pas selon nous à inverser la tendance d’une entreprise qui vieillit et dont la moyenne d’âge s’élève à presque 46 ans aujourd’hui. La baisse continue des emplois non-cadres : bien que non caractéristique de notre entreprise, la diminution passée, en cours et à venir du nombre de non-cadres est une réalité pour AXA Tech. Malgré notre volonté de le voir traité, ce point est totalement absent de l’accord et passe donc sous silence les questions du maintien de la diversité des métiers et de la pérennité de certains d’entre eux au sein de l’entreprise. Le nombre de départs possibles d’ici le terme de l’accord : rien que pour les départs en retraite, les projections indiquent que plus de 70 salariés sont susceptibles de quitter l’entreprise entre 2013 et 2015. Certes, d’autres embauches hors contrat de génération auront surement lieu mais d’autres types de départs également. Les objectifs d’AXA Tech concernant l’alternance : si l’entreprise s’est fixée d’atteindre 5 % de l’effectif en contrat d’alternance en 2015, aucun engagement chiffré n’est avancé quant à d’éventuelles embauches suite à ces contrats, et ce malgré nos demandes répétées. Pour les seniors et la transmission des savoirs : outre des mesures déjà prévues dans le cadre d’accords précédents (ex : Transition Activité Retraite, GPEC..) ou rendues obligatoires par la loi (ex : mise en place d’un référent pour faciliter l’intégration du jeune) le seul fait nouveau réside dans l’engagement de maintenir un taux minimum d’emploi de salariés âgés de 57 ans et plus équivalent à 10% des effectifs CDI. Un objectif qui comporte peu de risque quand on sait que 20 % du personnel actuel en CDI est âgé de 55 ans et plus. Devant de si médiocres propositions, l’UDPA-UNSA, même si elle s’y était préparée, ne peut qu’exprimer son mécontentement. De notre point de vue, les engagements pris par notre entreprise reflètent le peu de marge de manœuvre laissé par la stratégie et les objectifs annoncés fin 2011 en matière de réduction de personnel. Objectifs sur lesquels nous avons toujours manifesté notre désaccord. Compte-tenu des points précédemment cités, compte-tenu des résultats d’AXA en France auxquels notre entreprise participe activement, compte-tenu de la croissance de nos activités et enfin, compte-tenu du taux de chômage des jeunes dans notre pays, l’UDPA-UNSA estime qu’AXA Tech a les moyens de faire beaucoup plus que ce qu’elle propose et c’est pourquoi nous ne serons pas signataires de cet accord sur le contrat de génération portant avenant à l’accord GPEC-Senior de juin 2012. UDPA–UNSA AXA TECH S S e e p p t t e e m m b b r r e e 2 2 0 0 1 1 3 3 A titre de comparaison, chez AXA Corporate Solutions qui comptait, comme nous, 811 CDI à fin 2012 et dont la pyramide des âges diffère peu de la nôtre * (moyenne d’âge ACSA : 46 ans, AXA Tech : 45,9 ans) la Direction s’est engagée à embaucher 18 jeunes sur 3 ans, avec 5 « cédéîsations » d’alternants et/ou de stagiaires. * La population des 55 ans et + est légèrement plus importante chez ACSA : 23,1 % à fin 2012, AXA Tech : 21 %, mais celle des - de 26 ans l’est également : 2 % pour ACSA, 0,1 % pour AXA Tech.

Axatechseptembre2013

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Le tract mensuel de l'UDPA-UNSA AXA Tech

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Faisant suite à la loi de mars 2013, à l’accord de branche (assurance) d’avril 2013 et à l’accord Groupe (RSG) de juin 2013, les partenaires sociaux d’AXA Tech ont débuté les négociations sur les contrats de génération courant juillet.

Devant permettre d’améliorer l’accès des jeunes à un emploi CDI, de maintenir l’emploi des seniors et d’assurer la transmission des savoirs et des compétences, le contrat de génération devait être négocié, sous peine de pénalités financières, avant le 30 septembre dans les entreprises telles que la nôtre (+ de 300 salariés) afin de parvenir à un accord ou, à défaut, à la mise en œuvre d’un plan d’action.

Soumise à l’obligation d’établir un diagnostic préalable et au fait que l’accord ou le plan d’action fasse apparaitre certains éléments (comme des objectifs chiffrés en matière de recrutement de jeunes en CDI ou des engagements en faveur de l’emploi des seniors) la Direction nous a fait part de ses diverses propositions dont beaucoup restent à nos yeux très insuffisantes.

Ainsi, le double engagement qu’au moins 12 % de la totalité des recrutements effectués en CDI concernent des jeunes de moins de 26 ans, et ce avec un minimum de 9 embauches d’ici fin 2015, est bien en deçà de ce que nous serions en droit d’attendre au regard des points suivants :

Le vieillissement du personnel d’AXA Tech : même en admettant que les engagements cités plus avant soient remplis, cela ne suffira pas selon nous à inverser la tendance d’une entreprise qui vieillit et dont la moyenne d’âge s’élève à presque 46 ans aujourd’hui.

La baisse continue des emplois non-cadres : bien que non caractéristique de notre entreprise, la diminution passée, en cours et à venir du nombre de non-cadres est une réalité pour AXA Tech. Malgré notre volonté de le voir traité, ce point est totalement absent de l’accord et passe donc sous silence les questions du maintien de la diversité des métiers et de la pérennité de certains d’entre eux au sein de l’entreprise.

Le nombre de départs possibles d’ici le terme de l’accord : rien que pour les départs en retraite, les projections indiquent que plus de 70 salariés sont susceptibles de quitter l’entreprise entre 2013 et 2015. Certes, d’autres embauches hors contrat de génération auront surement lieu mais d’autres types de départs également.

Les objectifs d’AXA Tech concernant l’alternance : si l’entreprise s’est fixée d’atteindre 5 % de l’effectif en contrat d’alternance en 2015, aucun engagement chiffré n’est avancé quant à d’éventuelles embauches suite à ces contrats, et ce malgré nos demandes répétées.

Pour les seniors et la transmission des savoirs : outre des mesures déjà prévues dans le cadre d’accords précédents (ex : Transition Activité Retraite, GPEC..) ou rendues obligatoires par la loi (ex : mise en place d’un référent pour faciliter l’intégration du jeune) le seul fait nouveau réside dans l’engagement de maintenir un taux minimum d’emploi de salariés âgés de 57 ans et plus équivalent à 10% des effectifs CDI. Un objectif qui comporte peu de risque quand on sait que 20 % du personnel actuel en CDI est âgé de 55 ans et plus.

Devant de si médiocres propositions, l’UDPA-UNSA, même si elle s’y était préparée, ne peut qu’exprimer son mécontentement.

De notre point de vue, les engagements pris par notre entreprise reflètent le peu de marge de manœuvre laissé par la stratégie et les objectifs annoncés fin 2011 en matière de réduction de personnel. Objectifs sur lesquels nous avons toujours manifesté notre désaccord.

Compte-tenu des points précédemment cités, compte-tenu des résultats d’AXA en France auxquels notre entreprise participe activement, compte-tenu de la croissance de nos activités et enfin, compte-tenu du taux de chômage des jeunes dans notre pays, l’UDPA-UNSA estime qu’AXA Tech a les moyens de faire beaucoup plus que ce qu’elle propose et c’est pourquoi nous ne serons pas signataires de cet accord sur le contrat de génération portant avenant à l’accord GPEC-Senior de juin 2012.

UUDDPPAA––UUNNSSAA AAXXAA TTEECCHH

SSSeeepppttteeemmmbbbrrreee 222000111333

A titre de comparaison, chez AXA Corporate Solutions qui comptait, comme nous, 811 CDI à fin 2012 et dont la pyramide des âges diffère peu de la nôtre * (moyenne d’âge ACSA : 46 ans, AXA Tech : 45,9 ans) la Direction s’est engagée à embaucher 18 jeunes sur 3 ans, avec 5 « cédéîsations » d’alternants et/ou de stagiaires.

* La population des 55 ans et + est légèrement plus importante chez ACSA : 23,1 % à fin 2012, AXA Tech : 21 %, mais celle des - de 26 ans l’est également : 2 % pour ACSA, 0,1 % pour AXA Tech.

Lors de la séance du Comité d’Entreprise, La Direction a présenté les actions qu’elle envisageait quant au renouvellement des postes de travail et sur le « support utilisateur ».

Inscrites dans le cadre d’un programme de transformation régional, ces actions ont pour but de répondre à plusieurs objectifs :

En vue de déployer rapidement Windows 7, afin de faciliter le travail à distance et tendre vers davantage de standardisation dont devraient résulter des réductions de coûts (par la diminution du nombre d’équipements et de configurations), chaque salarié sera équipé d’un ordinateur portable (écran 12.5’’ et disque rapide SSD) en lieu et place de son (ses) U.C

actuelle(s).

Choix a été fait cependant, et nous avons exprimé notre satisfaction sur ce point à la Direction, de garder l’usage du clavier et de la souris ainsi que d’installer des écrans plus grands que ceux utilisés actuellement par la plupart d’entre nous. La webcam et le casque feront désormais partie des équipements standards. Des équipements spécifiques (connexion double écran, portable 14’’…) ou complémentaires (token RSA…) seront attribués en fonction des besoins liés à l’activité.

Le principe est de fournir un nouveau service d’intervention rapide, sans prise de rendez-vous, ni ticket ou appel préalable.

En se rendant au guichet situé salle Innovation au niveau 0 Etoile les salariés pourront s’adresser directement à des techniciens et auront accès à un panel de services : prêt de matériel, informations, conseils et paramétrages, formation rapide, échange consommable, accueil/ nouvel équipement…

Avec ce système, qui devrait voir le jour d’ici la fin de l’année, l’entreprise souhaite améliorer le niveau de service rendu aux utilisateurs (que nous sommes).

Les horaires d’ouverture du « kiosque » restent à définir et, dans un premier temps, l’activité sera effectuée par le support Dell déjà présent sur le site.

Les élus UDPA-UNSA ont demandé à ce que du personnel interne soit prévu sur ces postes si l’expérimentation devait être pérennisée. __________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

Durant la présentation, nos élus sont intervenus afin de sensibiliser la Direction sur de possibles dérives liées au « nomadisme » permis par l’évolution des technologies et des outils du type P.C portable, tablette, Blackberry, Smartphone…

La facilité accrue de travailler à distance peut conduire à un effacement des frontières entre vie professionnelle et vie personnelle et peut entrainer le salarié à dépasser de manière volontaire ou « sous la contrainte » (parfois implicite) la relation contractuelle qui le lie à l’employeur.

Tout en étant conscient des aspects positifs de ces outils (pour accéder à l’information, pour les déplacements chez les clients, les partenaires, à l’intérieur de l’entreprise, dans le cadre du télétravail, des travaux hors-plages…) nous estimons nécessaire d’établir des dispositions encadrant leurs usages.

C’est d’ailleurs une des revendications émises par les organisations syndicales durant les négociations relatives à la prévention du stress et à la promotion de la qualité de vie au travail (dont l’accord fait état dans son article 14).

(En raison de l’actualité syndicale de septembre (contrat de génération, stress…), la réunion prévue le 23/09 a été reportée).

Pour l’UDPA-UNSA, plusieurs questions restent en suspens :

Celle du remboursement des frais : lors de la précédente réunion, nous avons demandé à la Direction de revoir à la hausse sa proposition afin que cette dernière se rapproche de la somme inscrite dans l’accord télétravail d’AXA France.

Celle des équipements : donner aux télétravailleurs qui le souhaiteraient la possibilité d’être équipés par l’entreprise d’un écran de taille raisonnable, distinct du portable, n’est pas un effort insurmontable pour AXA Tech !

L’accord en vigueur sur le stress d’AXA Tech arrivant à son terme à la fin de l’année, les organisations syndicales représentatives et la Direction se sont rencontrées à plusieurs reprises à partir du mois de juillet pour renégocier un nouvel accord.

Dans le prolongement de l’accord national interprofessionnel du 19 juin 2013, le projet d’accord présenté aujourd’hui au comité d’entreprise vise à traiter de la question du stress, mais également d’adopter une approche plus globale définie sous le terme de « qualité de vie au travail ».

Outre le stress, ce concept de qualité de vie au travail revêt plusieurs aspects parmi lesquels on trouve, entre autres, les conditions de travail, l’égalité ou bien encore l’équilibre vie professionnelle-vie personnelle.

Lors des négociations, le premier objectif de l’UDPA-UNSA a été de faire inscrire dans ce nouvel accord des axes d’actions clairement définis et des engagements précis. En effet, l’accord précédent correspondait davantage selon nous à un accord de méthode qu’il convenait, 3 ans après, de faire évoluer.

Sans revenir sur la totalité des propositions et des revendications que nous avons formulé en négociation, notre organisation estime qu’elle a été entendue sur un certain nombre d’entre elles.

A titre d’exemples, l’inscription dans l’accord d’une liste non exhaustive d’indicateurs de suivi ou la possibilité de dresser ponctuellement un état des lieux relatif au stress permettront selon nous de dresser un diagnostic sur lequel s’appuyer pour aller au-delà des déclarations de bonnes intentions ou d’initiatives, du type culture bleue, dont l’efficacité reste à prouver.

- Estimant toujours que certains choix de l’entreprise tels que le Lean ou l’évaluation des compétences relationnelles et de leadership peuvent engendrer des pressions supplémentaires sur les salariés,

- estimant également que la qualité de vie au travail est un vaste sujet dont toutes les composantes n’ont pas été traitées, notre organisation considère cet accord comme un point de départ, même si certaines actions ont déjà vu le jour.

En apposant sa signature sur cet accord, l’UDPA-UNSA veillera à son application et, par son accès à la commission de suivi, pourra partager son analyse et formuler ou reformuler des propositions.

Tout ceci avec le concours du CHSCT et du service de santé qui restent, de notre point de vue, les organes les plus légitimes pour traiter des questions de santé et de sécurité à l’intérieur de l’entreprise.

La charge de travail et l’intensification du travail L’individualisation des méthodes managériales L'organisation du travail Les relations de travail La durée du travail et l’aménagement du temps de travail Le dialogue social L’expression des salariés sur leurs conditions de travail La détection des personnes en détresse La perte du sens du travail et les conflits de valeurs Les temps de transport L’autonomie, marge de manœuvre La diffusion des outils numériques Les restructurations et changements organisationnels L’anticipation des changements organisationnels Vous désirez en savoir davantage ? La conception et l’aménagement des espaces de travail L’usage des langues dans l'entreprise Contactez-nous !

Vos contacts

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wwwwww..uuddppaa--aaxxaa..oorrgg LLooccaall ssyynnddiiccaall :: 5555..2277..3366

La collecte des bons de financement syndicaux se déroulera du 10 octobre au 15 novembre 2013. Comme l’année dernière, vous recevrez par courrier votre bon que vous pourrez remettre ensuite à

l’organisation syndicale de votre choix * : - soit dans les boites aux lettres prévues à cet effet,

- soit en main propre ou par courrier interne aux délégués syndicaux.

* Suite aux dernières élections professionnelles, seules l’UDPA-UNSA et la CFDT pourront percevoir le bon.

Vous avez jusqu’au 31 décembre 2013 pour effectuer votre demande de déblocage (www.capeasi.com).

Seules les sommes versées (en 2009, 2010, 2011 et 2012) dans le cadre de la participation et de l’intéressement sur les fonds : AXA Euro Monétaire, AXA Horizon ISR et AXA Avenir ISR peuvent être débloquées.

(Les sommes investies dans le PERCO ne sont pas « déblocables » (loi du 28/06/2013), tout comme celles investies dans l’actionnariat, et ce malgré notre demande d’ouverture de négociations).

Une seule demande de déblocage est possible.

Le plafond de déblocage est de 20 000 €.

Les sommes débloquées doivent être destinées à « l’achat d’un ou plusieurs biens, en particulier dans le secteur de l’automobile, ou la fourniture d’une ou plusieurs prestations de services » (loi du 28 juin 2013).

Les sommes perçues ne sont pas imposables sur le revenu.

Le salarié doit conserver les justificatifs de ses achats en cas de contrôle par l’administration fiscale.

SSaallaaiirreess :: l’accord triennal d’AXA Tech arrivant à son terme fin 2013, des négociations s‘ouvriront prochainement, d’abord au niveau du Groupe (RSG) puis dans notre entreprise, afin de parvenir à un nouvel accord.

AXA Tech

AAccccoorrdd ttrriieennnnaall 22000088--22001100

AAccccoorrdd ttrriieennnnaall 22001111--22001133

LL’’UUDDPPAA--UUNNSSAA ss’’aattttaacchheerraa ddee nnoouuvveeaauu àà rrééccllaammeerr ddeess nniivveeaauuxx dd’’aauuggmmeennttaattiioonn

ggéénnéérraallee pplluuss ccoonnssééqquueennttss,,

AAuuggmmeennttaattiioonnss ggéénnéérraalleess

non cadres, cadres non-optants

1,1 % (minimum de 400 €)

1 % (minimum de 415 €) sseeuullee ggaarraannttiiee ddee mmaaiinnttiieenn

dduu ppoouuvvooiirr dd’’aacchhaatt ppoouurr TTOOUUSS lleess ssaallaarriiééss..

cadres 5 et 6 optants 0,6 % (plafond à 47 500 €)

0,4 % (plafond à 50 000 €)

cadres 7 0 % 0 %

AAuuggmmeennttaattiioonnss iinnddiivviidduueelllleess

non cadres, cadres non-optants

1,45 %

1,05 %

PPoouurr nnoottrree oorrggaanniissaattiioonn,, AAXXAA eesstt uunnee eennttrreepprriissee rreennttaabbllee

eett ppeeuutt ffaaiirree mmiieeuuxx !!

cadres 5 et 6 optants 1,9 % 1,6 % cadres 7 2,5 % 2 %