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Festival étudiants et artistes, du Campus Paris-Saclay
Du 5 octobre au 10 octobre 2013
BILAN MORAL ET FINANCIER
Contribution: Sophie Bigot, Christian Jacquemin, Olivier Kahn
Rédaction: Théo Cabrero
I/ Présentation du Festival CURIOSITas 2013
Origine du projet
En 2012, l'Université Paris-Sud et le FSDIE avaient soutenu des journées arts-
sciences organisées dans le cadre du Printemps de la Culture, le festival artistique de
l'Université Paris-Sud. Suite à cette expérience, et avec le soutien renouvelé de l'Université
Paris-Sud et du FSDIE, le service Arts et Culture de l'Université Paris-Sud a proposé de
coordonner une nouvelle manifestation arts-sciences qui s'étendrait sur plusieurs
établissements du Plateau de Saclay.
Ce nouveau festival, baptisé CURIOSITas, en référence aux cabinets de curiosité,
revendique le droit de montrer l'inclassable, l'inédit, et l'hétéroclite. Sa portée Paris-Saclay
et la volonté de l'inscrire dans les liens sciences et société, ont naturellement conféré le
rôle d'organisateur à La Diagonale Paris-Saclay. Ce dispositif est soutenu par l’Idex Paris-
Saclay. Portée par de nombreux établissements, organismes ou associations de la région
Paris-Sud, la Diagonale Paris-Saclay a pour ambition de doter le campus Paris-Saclay d’un
grand centre de dialogue « science et société » et d’animation scientifique. Elle traduit
l’ambition d’une interaction directe entre les acteurs de la société : population locale,
étudiants, artistes, scientifiques, industriels, acteurs sociaux et politiques. Ce dispositif
science et société de la Fondation de Coopération Scientique Paris-Saclay, a conduit à
donner à ce festival une dimension inter-établissement et à l'équiper d'une assise
institutionnelle adaptée aux évolutions en cours dans le paysage scientifique du Plateau de
Saclay.
Les objectifs du festival
Le festival CURIOSITas a pour mission de trouver des points de rencontre entre
étudiants en science et jeunes artistes, afin de susciter différentes actions :
Développer la créativité dans la communauté scientifique
Offrir une autre image de la science, contemporaine et inédite
Ouvrir vers d'autres problématiques scientifiques que la rencontre avec l'art révèle
Créer un lieu de monstration annuelle des travaux en arts et sciences sur le Plateau
de Saclay, ceux retenus dans le cadre du festival ou ceux développés par ailleurs
mais intéressés par une présentation lors de ce festival
Offrir une image de l'art et de la science qui éveille l'intérêt d'un public plus large.
L’édition 2013 : nouveautés et spécificités
Pour le festival CURIOSITas édition 2013, il était souhaité de pouvoir accueillir
des tandems à l’initiative d'un/e étudiant(e) en sciences du campus Paris-Saclay (d'un des
établissements impliqués dans la future Université) et d'un/e artiste sur des projets arts-
sciences et pouvant faire l'objet d'une monstration lors du festival. L'appel à projet, lancé
en janvier 2013, a permis de recueillir 17 projets à la mi-avril, projets qui ont été évalués
par des experts du monde de l'art, de la culture et des universitaires (personnels et
étudiants). La diversité, la richesse, l'originalité, l'inventivité des projets ont été des critères
de choix et de découvertes. Les retours des experts ont été reçus par les porteurs de
projets davantage comme des conseils que comme des arbitrages.
En fournissant un accompagnement au partage des projets et une aide logistique à
l’organisation du festival, le service Arts et Culture de l'Université Paris-Sud tient à
valoriser la créativité étudiante. Il souhaite notamment permettre à toute la communauté
du Campus Paris-Saclay de s’approprier cet évènement, afin qu’il devienne un des
éléments fondateurs de synergie entre les divers établissements. Pour l’édition 2013 du
Festival CURIOSITas, de nombreux domaines artistiques et scientifiques ont été
représentés. 2013 étant l’Année internationale des Nations Unies de la coopération dans le
domaine de l’eau, le thème de l’eau était au cœur de la programmation. Une
programmation qui s’est répartie sur l’ensemble des établissements partenaires du festival,
en fonction de leur adéquation avec les lieux.
Le festival CURIOSITas préfigure, de façon singulière, une des facettes de la
future Université Paris-Saclay, en offrant une vision festive de la découverte scientifique et
artistique. Cet événement se situe ainsi dans la logique de La Diagonale Paris-Saclay, qui
vise à renforcer les liens entre la science et les citoyens.
Partenaires du festival CURIOSITas 2013
Le Festival CURIOSITas est un événement Diagonale Paris-Saclay. Il est porté
par l'Université Paris-Sud en partenariat avec l'association Sciences ACO, dont le Musée
de la Lumière et de la Matière en cours d’aménagement a été le lieu d’accueil et
d’exposition pour l’ensemble des projets étudiants-artistes.
Le FSDIE a permis un accompagnement financier pour le soutien des projets
étudiants de l’Université Paris-Sud, ce qui a favorisé la création conjointe avec les artistes
associés. Des rencontres artistiques et scientifiques qui ont également été soutenues par
de nombreux laboratoires : LadHyx/X ; LIMSI/CNRS ; CIAMS/Paris-Sud ;
DFA/ENSTA ; InSItu/INRIA, etc. Mais également par des Ecoles d'art, notamment le
pôle numérique de l'ENSBA, ou encore l'ESA.
L’Ecole polytechnique, ENSTA ParisTech et l’Institut d’Optique Graduate
School, trois des quatre établissements partenaires du festival CUIOSITas, ont également
apporté une aide financière pour leurs étudiants respectifs.
D’autre part, le festival a bénéficié du mécénat de l'agence de la Lyonnaise des
Eaux de Gif sur Yvette (via la Fondation Paris-Sud Université), afin de récompenser
officiellement le projet primé par un jury étudiant, parmi ceux ayant traité la thématique
de l’eau.
Les quatre établissements se sont également associés à l'Université Paris-Sud, qui a
ainsi joué un rôle de coordination, afin d’organiser localement une partie du festival :
l’Ecole polytechnique
l’Institut d'Optique Graduate School
l'ENSTA ParisTech
HEC
La Municipalité d’Orsay s’est associée au festival, dans le cadre d’une Nuit
Blanche à Orsay. De fait, l’une des œuvres présentées dans les locaux de Sciences ACO, a
été également exposée au sein de la Crypte d'Orsay. Une occasion de rapprocher deux
sites historiques et de nouer des liens encore plus forts entre la ville d'Orsay et la
communauté scientifique du Campus.
L’UFR Sciences, via leur événement de la Fête de la Science, a également
constitué une aide logistique majeure, notamment en termes de démarches
communicatives (envois de supports de communication, signalétique diverses). Une aide
qui s’est fondée sur un partage de thématiques événementielles communes et une
planification voisine.
II/ Bilans financiers
Réalisés par Sophie Bigot et Olivier Kahn du Service Arts et Culture de l’Université Paris-Sud.
Au 4/12/2013 (budget de 15000€ investissements d’avenir Paris-Sud)
Fournisseur Montant payé
Sécurité Athena Securité 1 579,88 €
Cassettes DV HDR 191,36 €
Cocktail 7/10 Christian Château 2 036,29 €
Plateaux repas CROUS 1 149,18 €
Animation soirée Visuact Production 785,00 €
Presta HBO HBO 109,60 €
Droits d'auteur SACEM 110,00 €
Salaire Théo 4 500,00 €
TOTAL
10 461,31 €
Au 4/12/2013 (budget de 28122,11€ FSDIE de Paris-Sud)
Projets
Somme
attribuée par
le FSDIE
Sommes
remboursées Nom porteur du projet
Abécédaire du geste
usuel 4 000,00 € 4 000,00 € M. VU Van Hoan
Match d'impr'eau 170,65 € 0,00 € MLLE DESTRIEUX Sophie
Water what else? 587,46 € 264,40 € M COGNARD Timothé
L'eau à travers la
musique 1 000,00 € 988,70 € Mlle BELLOT Eléonore
Atelier interactions
musicales,
numériques et
tangibles
2 400,00 € 2 400,00 € M. GARCIA Jérémie
Défilé interactif
FEMME d'intérieur 4 664,00 € 4 292,00 € MLLE. FDILI ALOUI Sarah
Fluo rythme 1 500,00 € 1 439,05 € MLLE GILSON Angélique
Dessine moi un
paysage sonore 1 200,00 € 1 160,65 € M. GARCIA Jérémie
Scénographie et
régie 12 600,00 € 12 600,00 € M. FABES Nicolas
28 122,11 € 27 144,80 €
Reliquat 977,31
III/ Communication interne et externe
Bilan de l’édition 2013
Sur le plan des démarches communicatives, le travail a été complexe. La quasi-
totalité des opérations ont été lancées en septembre 2013, soit seulement un mois avant le
début du festival. De fait, cette organisation a laissé place à des oublis, des procédures
souvent longues et délicates, alors que l’espace-temps se réduisait de plus en plus.
Pour la communication interne, à savoir au sein de l’établissement organisateur
qu’est l’Université Paris-Sud, la principale démarche communicative s’est axée sur un
système d’invitations. En effet, une liste de contacts (regroupant l’ensemble des personnes
ayant participé aux Journées Arts/Sciences 2012 ; ainsi que l’ensemble des contacts à
l’échelle du Plateau de Saclay) a servi de base pour mettre en place des invitations
officielles, grâce à un publipostage et un envoi courrier.
De fait, le service Arts et Culture de l’Université Paris-Sud a mis à disposition une liste de
contacts constituée lors des journées arts-sciences du Printemps de la Culture en 2012 et
de l’édition 2013 du festival, ce qui a servi de base de données. Cette dernière regroupe
des contacts internes à l’événement (experts – comité de pilotage), mais également des
contacts de l’édition 2012 (experts – participants), de la Diagonale, de l’Ecole
polytechnique, de l’EPPS/FCS, de Scube, de Sciences ACO, de la Fête de la Science, du
BDE de l’Université Paris-Sud, ou encore les contacts des établissements partenaires.
D’autre part, le service Communication de l’Université Paris-Sud a fourni trois listes : une
relative à l’organigramme interne de l’Université, une liste attachée aux trois conseils
(CEVU, CS, CA), ainsi qu’une liste regroupant l’ensemble des partenaires à l’échelle du
Plateau de Saclay (dirigeants et communicants).
Claire Fourno, infographiste à la Maison des Etudes de l’Université Paris-Sud, a
pris en charge la constitution graphique des cartons d’invitation, ce qui a permis au
festival CURIOSITas de se doter d’un nouveau support de communication personnalisé.
Concernant la communication externe, quatre documents ont été créés en interne,
puis diffusés. L’imprimerie Champagnac a été le prestataire dans le cadre de l’édition
2013, avec une impression datée du 5 septembre 2013 et pour une réception le 12
septembre 2013 :
Communiqué de presse (diffusion numérique)
Flyer informatif (6000 exemplaires en format A5)
Programme événementiel (6000 exemplaires en format A5 dépliant)
Affiche d’exposition (200 exemplaires en format B2)
Une partie de la diffusion s’est faite par courrier postal, grâce à
un travail conjoint avec Anaïs Vergnolle, pour l’envoi de
supports relatifs à la Fête de la Science. Des flyers et des
programmes ont été mis sous enveloppes pour une diffusion
externe, via le réseau de la Fête de la Science (écoles, lycées,
bibliothèques, etc.). Des affiches du festival ont également été
déposées dans l’ensemble des laboratoires de l’Université Paris-
Sud. De fait, CURIOSITas a pu bénéficier d’un réseau partagé
avec la Fête de la Science, en termes de contacts et de diffusion.
D’autre part, chaque document (flyer, programme et affiche) a
été distribué en masse aux quatre établissements partenaires,
pour une diffusion personnelle, document également accessible
sous format numérique, via le site Web de CURIOSITas. L’objectif est que ces supports
de communication circulent dans un ensemble de réseaux qui gravitent autour des
thématiques du festival CURIOSITas.
Concernant la diffusion sur le Campus d’Orsay, les flyers et programmes ont été
déposés dans les lieux de vie étudiants (cafétérias, restaurants universitaires, locaux
associatifs, résidences, services divers), ou encore des laboratoires. Il en est de même
concernant les affiches, qui ont également été diffusées sur l’ensemble du Campus,
notamment via les nombreux arrêts de bus. Toutefois, il faut noter que ce travail
d’affichage n’a pas été d’une grande utilité, dans la mesure où les arrêts de bus restent des
espaces non contrôlés. Ces derniers sont donc à des dégradations diverses (affiches
arrachées ou recouvertes par une autre). D’autre part, certains arrêts (comme celui présent
à l’entrée principale de l’Université Paris-Sud) nécessitent des autorisations auprès du
service impliqué.
Un travail de signalétique a été mis en place à l’Université Paris-Sud. En
collaboration avec Anaïs Vergnolle de l’UFR Sciences, des traçages au sol ont été
effectués de la gare RER d’Orsay Ville, jusqu’au lieu de la Crypte (code couleur bleu) et
jusqu’à l’entrée du poste de garde de l’Université Paris-Sud (code couleur rose).
Normalement, ce traçage devait se poursuivre jusqu’au bâtiment de Sciences ACO, mais
les autorisations de marquage au sol au sein même du Campus d’Orsay n’avaient pas été
demandées. Sept oriflammes ont été commandées par le service Communication de
l’Université Paris-Sud, pour une disposition sur chaque site d’exposition (regroupant les
cinq établissements partenaires). Pour l’Université Paris-Sud, deux oriflammes ont été
déposées à l’entrée du bâtiment Sciences ACO. Trois banderoles, disposées aux trois
entrées principales du Campus d’Orsay, ont promotionné le festival CURIOSItas en lien
avec la Fête de la Science et l’European Move Week. Enfin, les fléchages ont été gérés par
le Service Général du Campus d’Orsay, qui a fixé des panneaux d’indication à différents
endroits stratégiques du site, afin d’orienter les visiteurs vers le bâtiment de Sciences
ACO.
Le communiqué de presse, quant à lui, a été retravaillé et diffusé par Cécile Pérol,
de la Direction de la Communication de l’Université Paris-Sud, pour une diffusion-
réseau :
Contacts presse « Science » : 20 minutes ; Actu en ligne ; AEF ; AFP - Agence France
presse ; Banque des savoirs / Agence Canopy ; Biofutur ; Biotech Info ; Bulletin électronique ;
Ca m'intéresse ; Deutschland Radio ; Eurelios (Agence) ; Europe 1 ; France 2 ; France 24 ;
France 3 ; France Info ; France Inter ; Hospimedia ; Industrie & technologies ; La Croix ; La
Recherche ; Le Figaro ; Le Monde ; Le Nouvel Obs ; Le Point ; Les Echos ; Les Echos
Innovation ; L'Express ; L'Humanité ; Libération ; Look at sciences / Banque des savoirs ;
Métro ; Pour la science ; Radio Classique ; Radio Suisse Romance ; REUTERS ; RFI ;
RTL ; Science actualités ; Science et vie découverte ; Science et vie Junior ; Sciences et Avenir ;
Sciences et vie ; Sciences Magazine ; Télérama ; Télessonne ; TF1 ; Thanh Nien (quotidien
vietnamien).
Contacts presse « Formation » : AEF - Agence Education Formation ; AFP - Agence
France presse ; Campus Mag lycée ; Courrier International ; CPU - Service com ; Educpro ;
France 2 ; France 3 ; France Culture ; France Info ; Fréquence fac ; L’Etudiant / Interface ;
La Croix ; La Lettre de l'Etudiant ; La Tribune ; Le Figaro ; Le Monde ; Le Parisien ; Le
Point ; Les Echos ; L'étudiant ; L'Express ; Libération ; Métro ; ONISEP ; Phosphore ;
Radio Classique ; Studyrama ; Transfac ; Vie Universitaire.
Contacts presse « Régional » : AFP - Agence France presse - Ile-de-France Boocan.com ;
Cachan Municipal ; D8 / Canal-plus ; En Essonne Réussir ; France bleue ; Gif Infos ; Le
journal des Brussois ; Le Kremlinois ; Le Mag' CAPS ; Le Parisien ; Le Républicain ; Le
Saclaysien ; Les nouvelles de Chatenay Malabry ; Les Ulis ; Magazine Conseil Général de
l'Essonne ; Mairie d'Orsay (magazine) ; Média Paris Saclay ; Préfecture de l'Essonne
(magazine) ; Sceaux magazine ; Téléssonne ; Yvelines Radio.
Contacts presse « Evénement » : Figaroscope ; A Nous Paris ; Sortiraparis.com ;
Métro
Ce support médiatique a permis au festival CURIOSITas de bénéficier d’un relais presse,
notamment sur le Web : Le Point Etudiants, Sortir à Paris, ou encore Paris-Saclay le Média.
Internet a également été un outil de choix. La constitution d’un site Web
CURIOSItas par le service Arts et Culture a permis une communication à la fois interne
et externe. En effet, ce site sert de support de travail pour les organisateurs, grâce au
stockage de comptes rendus, de supports de communication et d’organigrammes
fonctionnels. Toutefois, c’est avant tout une vitrine informative complète pour les
visiteurs externes, qui souhaitent se renseigner sur l’événement, découvrir la
documentation photographique et audiovisuelle, ou encore effectuer leur réservation. Sur
ce point, il faut préciser que pour son édition 2013, les organisateurs ont proposé un
système d’inscription pour chaque événement programmé, afin d’effectuer une évaluation
de jauges, tout en générant des listes de contacts externes. Le festival étant encore à son
lancement, il est important de pouvoir se doter d’un premier réseau physique, afin de
pouvoir le mettre à profit pour les futures éditions.
Les réseaux sociaux ont également été au centre de la communication
communautaire, avec la création d’une page Facebook et l’ouverture d’un compte Twitter,
par des étudiants SACIM (comptes repris, par la suite, par Angélique Gilson et le service
Arts et Culture). Des outils simples et dynamiques permettant un relais efficace de
l’ensemble des informations événementielles, tout en faisant vivre le festival en « live ».
Les réseaux sociaux permettent, par ailleurs, une communication globale entre les
différents établissements partenaires, via leurs comptes respectifs. Enfin, la page Facebook
de CURIOSITas a été un moyen efficace pour diffuser l’ensemble des photos et des
vidéos extraites du festival, pour une publication instantanée.
Depuis le lancement de sa page, en mai 2012, la page Facebook comptabilise 86
publications, pour un total de 136 abonnés et une moyenne de 50 vues par publication
(sachant que le post’ de photos concentre beaucoup plus de vues). En termes de like et de
commentaire, cela reste assez faible, avec une moyenne de trois likes par publication, pour
zéro commentaire.
La page Twitter, quant à elle, recense 27 tweets, 37 abonnements et 45 abonnés depuis la
création de la page. Il faut noter que ce compte Twitter a tissé un réseau commun avec
l’ensemble des établissements partenaires du festival, ce qui permet une circulation de
l’information au sein de chaque réseau respectif (grâce à de fréquents retweets de la part de
la Diagonale Paris-Saclay, de l’Ecole polytechnique, ou encore de l’ENSTA ParisTech).
La communication autour du festival CURIOSITas s’est également portée sur une
dimension humaine, à la base de démarches valorisantes.
La collaboration avec Sylvain Crouzier, responsable informatique du Service Technique
Immobilier et Logistique, a permis au festival de bénéficier d’une visite virtuelle et
informative, sur différents sites événementiels. Une visite virtuelle qui est venue enrichir le
contenu médiatique présent sur le site officiel de CURIOSITas, tout en élargissant
l’audience du support (visites d’internautes étrangers, par exemple).
Le SCAVO a également proposé son service, afin de mettre en place un reportage
de l’événement pour la journée du lundi 7 octobre 2013, grâce à des prises de vue diverses
et des interviews avec les étudiants et les artistes du festival. Un format audiovisuel qui
pourra servir de teaser pour la promotion d’une prochaine édition. Mais étant donné que le
SCAVO s’est uniquement centré sur des prises de vue des événements se déroulant à
l’Université Paris-Sud, des captations vidéo ont été effectuées, par le service Arts et
Culture et les médiateurs recrutés, pour toute la durée du festival, dans l’objectif de
couvrir l’ensemble de la programmation répartie sur les cinq établissements partenaires.
Le service Arts et Culture a été à l’origine du recrutement de cinq médiateurs,
assurant l’accueil et l’orientation du public pour les installations exposées à Sciences ACO.
Les procédures de recrutement ont débuté au courant du mois de septembre 2013. Deux
annonces, l’une pour un poste de médiateur et l’une pour effectuer de la captation vidéo,
ont été constituées et diffusées via le site de partage du Service d’Insertion Professionnel,
ainsi que par l’intermédiaire de son espace d’affichage. D’autre part, Patricia Dubled, du
CROUS, a permis la diffusion de ces deux annonces dans les différents lieux de vie
étudiant au sein du Campus d’Orsay.
Le recrutement s’est donc effectué par entretien direct ou téléphonique (par contraintes
de délais et d’emploi du temps respectif), entretien présentant le contenu du festival
CURIOSITas, son organisation et les missions propres de chaque vacataire
(accompagnées d’une documentation relative aux projets étudiants exposés). Cette série
d’entretiens a été à l’origine de la mise en place d’un planning de travail, planning qui a
tenu compte de la disponibilité de chaque vacataire, tout en faisant en sorte de fournir des
quotas horaires quasi-égaux.
Ce recrutement a donc permis de constituer un nouveau réseau de contacts étudiants qui,
en plus de leur professionnalisme, ont montré un réel intérêt pour les thématiques
abordées lors du festival. Essentiellement missionnés sur le site de Sciences ACO, les cinq
médiateurs ont assuré l’accueil (billetterie ; diffusions de supports de communication) et la
médiation des œuvres exposées. Mais certains médiateurs ont également assuré le transfert
du public d’un site à un autre, tout en produisant certaines captations vidéo. En effet,
concernant la deuxième annonce diffusée, aucune candidature n’est parvenue dans les
délais de recrutement, ce qui a contraint de fusionner deux missions en une.
Le travail le plus délicat a été celui porté sur les contacts étudiants, notamment via
les associations du Campus d’Orsay. Seules trois associations (aux activités diverses) se
sont montrées intéressées pour une participation active dans le cadre du festival,
notamment lors de la soirée dancefloor (marquant la fin de l’événement). Une démarche
communicative qui demande une mise en relation plus forte et motivée, chose qui a
échappé à l’organisation de cette édition 2013.
Prospectives et pistes d’action
Un premier point semble primordial : l’ensemble des démarches communicatives
autour du festival CURIOSITas doivent être entreprises plus tôt. Pour l’édition 2013,
l’ensemble des supports de la communication externe (flyers, programmes, affiches,
invitations) ont été à disposition à la courant septembre, ce qui fait que l’événement n’a
même pas pu bénéficier d’une exposition d’un mois.
Dans cette optique, si CURIOSITas maintient sa programmation pour le début du mois
d’octobre, il serait judicieux que l’ensemble des supports soit à disposition avant les
vacances d’été, ce qui permet une communication active dès la réouverture de l’Université
Paris-Sud. Le festival possède désormais une charte graphique et un logo fixe, ce qui
devrait permettre un travail de conception plus rapide pour les prochaines éditions.
Toutefois, il serait judicieux de confier ce travail à un graphiste professionnel ou à un
étudiant spécialisé, afin de créer des supports de meilleure qualité et permettant une
réutilisation facile de son contenu graphique, via d’autres formats.
D’autre part, il faudrait prévoir différents formats d’affiches, incluant le format B2, mais
également un format 120x176cm, pour pouvoir bénéficier d’affichage abribus ou régie (de
la ville d’Orsay ou de gares RER, par exemple). Des affiches pliables peuvent également
être prévues, pour les envois par courrier.
Concernant la communication interne, le système d’invitation par mail a bien
fonctionné, même si les envois par courrier ont été, quant à eux, entrepris trop
tardivement. Toutefois, il est important de mettre en place une liste globale en amont,
liste regroupant l’ensemble des contacts à informer, afin de permettre une communication
cohérente. En effet, il est important que l’ensemble du réseau gravitant autour du festival
puisse être informé dans un même espace-temps, pour éviter les longs délais de
transmission de listes, de service à service.
La signalétique liée à l’événement doit également bénéficier d’un travail
préparatoire. Il est effet nécessaire d’organiser, au préalable, une réunion avec le service de
Monsieur Peltier, afin de discuter avec lui de la disposition stratégique des fléchages.
Le problème reste que le Campus d’Orsay n’est pas un espace entièrement maîtrisé par
ses occupants (personnel et étudiants), ce qui suscite quelques problèmes de localisation.
Cette lacune peut être comblée par un renforcement de la signalétique : utilisation de plus
d’oriflammes dans une zone environnante des lieux d’exposition ; un traçage au sol au
sein même du Campus ; des ballons publicitaires accrochés sur les toits des bâtiments
impliqués ; un éclairage renforcé autour des bâtiments liés au festival (pour combler le
manque de luminosité du Campus, de nuit). Le plan d’accès doit également être plus
précis, car ce lieu est difficile à localiser. De fait, il faut prévoir systématiquement des
plans « locaux » pour la circulation des publics.
CURIOSITas a dû également se faire une place à travers la signalétique relative à d’autres
événements, ce qui a pu également créer une confusion et un certain effacement. De fait,
il est important que le festival puisse bénéficier d’une banderole singulière et lui
appartenant, afin de créer un impact plus important auprès du public, d’autant plus si son
déroulement s’effectue, encore une fois, durant une période de « concurrence
événementielle ».
Relativement à la couverture médiatique de l’événement, cette mission a quasiment
échoué. La principale raison reste que l’ensemble des prises de contact, pareillement, ont
été lancées trop tardivement, ne permettant pas à CURIOSITas de bénéficier d’articles
informatifs dans la presse écrite, notamment.
De fait, il semble important de monter un partenariat avec un ou plusieurs média(s) de
télévision, de radio, ou encore de presse, afin de s’assurer d’un relais médiatique fiable. Ce
travail peut être accompagné par Cécile Pérol, qui dispose déjà d’une liste de contacts
conséquente dans différents secteurs média. Ainsi, France 3 et Téléssonne (ou autres chaînes
locales) ; Radio Nova et France Culture ; Télérama et les Inrockuptibles, etc. peuvent être des
contacts intéressants et intéressés.
La prise de contact avec le média interne du SCAVO a permis la mise en place d’un
reportage ciblant un espace-temps de l’événement, même si ce document audiovisuel n’est
pas encore accessible à l’heure de l’écriture de ce bilan. Toutefois, le SCAVO est un média
collant parfaitement aux thématiques abordées par le festival, ce qui est un assure un reflet
médiatique authentifié.
L’activité sur les réseaux sociaux a bien fonctionné, Facebook étant le support
informatif le plus efficace et le plus complet. Toutefois, il est nécessaire de construire du
contenu promotionnel (textuel, audiovisuel et photographique), afin d’alimenter
périodiquement ces réseaux connectés, jusqu’à la prochaine édition. Ce procédé permettra
aux abonnés actuels de ne pas « oublier » la page créée, grâce à une présence régulière de
celle-ci dans leur fil d’actualité, tout en suscitant de la curiosité et de l’attention. Concepts
qui permettront, dans une même perspective, d’élargir le champ des abonnés. Il en va de
même pour le compte Twitter.
Un autre procédé reste à retenir, afin de booster les vues des posts’ créés : motiver la
participation active de l’abonné, grâce à diverses interactions connectées : questionnaire,
jeu-concours, sondage, etc.
Le site Internet du festival doit également opter pour une architecture plus vivante.
Si le design est en lien avec la charte graphique mise en place actuellement, son contenu,
quand à lui, est trop « statique ». De fait, la page d’accueil pourrait être un espace en
constante actualisation, où différentes news peuvent circuler (news pas uniquement en
lien avec le festival, mais également avec ses thématiques arts et sciences, via son réseau).
Des news qui viendraient, par la suite, se classer dans une des différentes rubriques du
site, selon sa catégorie et sa finalité. Pour en assurer la mise en jour périodique, les
étudiants SACIM peuvent débuter le travail dans leur période de stage respective, pour
une nouvelle prise en main du personnel du service Arts et Culture, avant le recrutement
d’un chargé de communication attaché au festival.
Les photos prises durant l’édition 2013 (notamment celles d’Angélique Gilson) servent de
nouveau socle visuel pour le site, notamment via le bandeau défilant actuel. Il en est de
même pour le contenu audiovisuel, qui sont autant de ressources informatives
importantes (extraits des événements programmés, images des installations, etc.).
Le système d’inscription géré par Joomla reste accessible, simple et efficace.
Le recrutement de médiateurs a permis d’assurer un accueil permanent sur le site
de Sciences ACO, tout en accompagnant le personnel du festival dans des opérations
organisationnelles (billetterie, diffusion de documents informatifs, aide à la localisation).
Toutefois, certains porteurs de projets se sont plaints du manque d’implication de ces
derniers, dans le dispositif de médiation avec les œuvres.
De fait, il est important, pour une prochaine édition, de lancer le dispositif de recrutement
au moins trois mois avant le début de l’événement, afin de s’assurer de recruter des
vacataires ayant des profils adaptés au poste. En effet, il a été noté que certains vacataires
étaient moins impliqués et intéressés que d’autres.
D’autre part, un recrutement plus anticipé pourra permettre une mise en relation plus
solide entre le médiateur et les porteurs de projet, afin que ces derniers soient assurés d’un
accès facilité pour leur installation respective, en cas d’absence d’un tiers. Sur un plan
pratique, cela sous-entend que les organisateurs devront organiser une rencontre entre les
exposants et les médiateurs, afin que ces derniers puissent échanger, se présenter, poser
des questions. L’implication n’en sera que plus forte et le travail de médiation que plus
utile et précis pour les visiteurs.
Enfin, un recrutement planifié permettra aux vacataires de disposer d’un contrat signé
avant le début de leurs prises de fonction, ce qui témoigne d’une organisation sérieuse
dans le cadre du festival CURIOSITas (relativement aux délais administratifs liés à
l’Université Paris-Sud).
L’organisation du festival CURIOSITas 2013 a échoué sur un point stratégique :
fédérer un public étudiant. Cette problématique n’est pas uniquement liée à une
insuffisance communicative, mais certainement à l’identité même du festival. En ce sens, il
est important que le Comité de pilotage discute de ce point de manière concrète pour une
future édition, afin d’identifier les causes et soulever des questionnements : est-ce que
CURIOSITas est un festival « étudiant » ou un festival « arts-sciences », qui favorise
l’exposition des projets que des étudiants veulent monter ? Est-ce que CURIOSITas est
un événement qui se fonde sur une coopération entre les établissements ou qui
coordonne les propositions émanant des différentes structures et leur donnant plus de
visibilité ?.
Sur un plan communicationnel, plusieurs problèmes se sont également posés. En
termes de rétro-planning, premièrement. En effet, il a été souhaité que le festival s’ouvre
aux associations étudiantes, afin de le doter d’une nouvelle perspective d’action.
Toutefois, la prise de contact n’a pas été suivie et consolidée, ce qui n’a pas procuré un
engouement de masse du côté des associations. Ces dernières doivent se sentir inclues
dans le projet porté, dans l’organisation, dans l’exposition. Chose difficile à un mois du
lancement de l’événement, lorsque la programmation et les contraintes organisationnelles
sont déjà fixées.
De fait, cette prise de contact doit s’effectuer lors du fondement de la prochaine édition,
dans un dialogue continu, afin de permettre aux associations intéressées de s’impliquer
d’avantage et en leur permettant de disposer de plus de temps pour la mise en place de
leur projet respectif. Dans la même optique, il semble important que les organisateurs du
festival aient un rôle d’accompagnateurs et de conseillers, afin que ces associations
puissent s’assurer de la réussite de leurs projets.
Ce constat est d’ailleurs lié à une autre problématique : celle de la planification de
l’événement. Une question peut se poser : le début du mois d’octobre est-elle la période
idéale pour programmer un festival étudiant ? En effet, il a été très difficile de capter
l’attention étudiante lors d’un mois de septembre assez pauvre en fréquentations. En
effet, l’Université débute ses formations assez tardivement dans la période de rentrée
(début octobre), ce qui ne permet pas un impact fort au sein des groupes étudiants. Par
ailleurs, cette période correspond à différents impératifs de rentrée universitaire
(connaissance du Campus, connaissance de l’emploi du temps, inscriptions diverses, etc.),
ce qui sont autant d’interférences à éviter. Il en est de même du côté des associations, qui
sont concentrées sur leur propre communication et qui ne connaissent pas encore le
nombre exact de leurs inscrits. Autant de « perturbations » qui pourraient motiver une
planification plus tardive du festival CURIOSITas, afin que celle-ci corresponde à une
période plus sereine dans l’emploi du temps général de la communauté étudiante.
IV/ Bilan des différents événements programmés
La Nuit Blanche à Orsay
Pour le lancement du festival CURIOSITas édition 2013, la Nuit Blanche à Orsay
a su séduire un large public, essentiellement familial. Plus d’une centaine de personnes ont
fait le déplacement vers la Crypte d’Orsay pour admirer l’œuvre de Marion Dufau,
« Abécédaire du geste usuel ». La collaboration entre le festival CURIOSITas et la
Municipalité d’Orsay a permis la mise en place d’un événement réussi et satisfaisant pour
les deux partis. La Mairie d’Orsay a assuré un très bon accueil des visiteurs, en informant
chaque personne, tout en ayant mis à disposition un petit stand de collations.
La communication de la Mairie d’Orsay est également à l’origine de ce succès de
fréquentation, grâce à la création d’une affiche publicitaire dédiée à cette Nuit Blanche. La
conception de l’affiche a été assurée par le pôle numérique de l’ENSBA, pour une
exposition sur l’ensemble du Campus et de la commune d’Orsay.
Le seul problème s’est donc porté sur le transfert du public de la Crypte vers le
bâtiment de Sciences ACO. Malgré une fréquentation notable et une évaluation très
positive de l’exposition présentée, beaucoup de personnes n’ont pas réussi à trouver le
lieu indiqué. Le manque de signalétique (pas au sol qui s’arrêtent à l’entrée du Campus,
fléchage non visible de nuit, manque d’éclairage sur le Campus) est en partie responsable,
même si la communication de cet événement aurait dû d’avantage s’appuyer sur la
valorisation commune des deux sites d’exposition (avec la mise à disposition d’une carte
de géolocalisation et la présence de médiateurs relais sur les deux lieux impliqués). Il faut
toutefois noter qu’un plan local était à disposition pour une aide à l’orientation et que les
médiateurs de la Municipalité d’Orsay ont assuré le relais vers l’exposition à Sciences
ACO. Enfin, dans le cadre d’un événement festif de la Nuit Blanche, il est important de
disposer également d’un stand de collations sur le site de l’ACO, pour assurer le même
accueil que la Mairie d’Orsay.
Ouverture officielle du festival, le lundi 7 octobre 2013
Cette cérémonie d’inauguration a été une réussite, tant en termes de fréquentation,
qu’en termes d’organisation. En effet, un effort particulier a été fourni dans la procédure
d’invitation et d’accueil à cette ouverture officielle, ce qui a permis la présence de
nombreux responsables et directeurs à l’échelle du Plateau de Saclay. Une audience qui
s’est laissée guider par le rythme de la programmation (vernissage, visite des installations
et spectacles), même si le dernier concert a subi une diminution de l’auditoire.
Il faut toutefois noter que la communauté étudiante n’était pas du tout représentée
lors de cette soirée d’ouverture, ce qui est une traduction des problématiques soulevées
plus haut.
Visite du parcours d’art contemporain de HEC
Cette visite sur le Campus de HEC s’est tout d’abord traduite par un très bon
accueil et une réelle implication des organisateurs dans le processus de médiation
culturelle. Toutefois, il est regrettable que le public n’ait pas été au rendez-vous, ce qui
soulève encore une fois les mêmes problématiques communicationnelles et
organisationnelles, liées à la communauté étudiante.
Master Class et concert à l’ENSTA
La soirée du mardi 8 octobre 2013, programmée à l’ENSTA ParisTech, a été une
réussite en termes de fréquentation étudiante (formant la quasi-totalité de l’auditoire). Cela
permet de constater que l’ENSTA à assurer un bon relais communicationnel au sein de
son établissement. Cependant, l’audience était constituée essentiellement d’étudiants de
l’ENSTA ParisTech (à l’exception des organisateurs), ce qui permet de relever l’absence
des étudiants des autres établissements partenaires.
Atelier et Master Class à SupOptique
La première moitié de la journée du mercredi 9 octobre 2013 s’est déroulée à
l’Institut d’Optique, avec la programmation d’un atelier ludique et d’un Master Class
musical. Si l’atelier, à l’image de celui programmé le lundi 7 octobre 2013, n’a pas mobilisé
de nombreuses personnes, le Master Class, quant à lui, a attiré un public d’étudiants, venu
assister aux répétitions de l’Orchestre du Plateau de Saclay.
Toutefois, il faut noter que ces deux formats n’ont pas bénéficié de la même exposition,
l’atelier s’étant déroulé au sein d’une salle de cours isolée, tandis que le Master Class a
bénéficié d’un amphithéâtre plus facilement accessible. De la même manière, la
signalétique interne a permis un meilleur fléchage pour le Master Class, que pour l’atelier.
Soirée du mercredi 9 octobre à l’Ecole polytechnique
La conférence de Gérard Férey, programmée dans le grand amphithéâtre Arago,
n’a pas concentré un large public. Cela peut être dû à un problème de programmation,
étant donné que de nombreux étudiants de l’Ecole polytechnique finissent les cours à 20h,
la conférence ayant débuté à 18h. Toutefois, il faut noter que les étudiants des autres
établissements partenaires n’ont pas manifesté une présence massive.
D’autre part, il faut noter un manque de signalétique, à l’exception de deux oriflammes à
l’entrée de l’amphithéâtre. Un constat qui fait écho aux perspectives d’action développées
précédemment, suggérant une organisation centralisé des événements.
Les quelques personnes présentes à la conférence ont toutefois effectué le
déplacement vers Sciences ACO, malgré un problème technique lié au planning des
autobus navettes.
Le cocktail a, de fait, essentiellement attiré un public étudiants de l’Ecole
polytechnique, à la sortie des cours. Public qui a également assisté au concert de
l’Orchestre du Plateau de Saclay, grâce à l’influence de leur propre réseau.
Soirée du jeudi 10 octobre à l’Université Paris-Sud
La soirée a débuté par un spectacle théâtral improvisé, spectacle qui a rencontré un
fort succès d’audience. Cela s’explique par le fait que les troupes à l’affiche ont déjà tissé
leur réseau et fidélisé leur public, ce qui a assuré une fréquentation importante.
L’organisation et l’accueil du public se sont bien déroulés également, ce qui a permis un
travail en commun entre les médiateurs du festival CURIOSITas et les organisateurs du
spectacle d’improvisation.
Cette forte audience ne s’est toutefois pas déplacée pour la soirée dancefloor, à
savoir l’événement « ciblé étudiant » de la programmation. Un manque de communication
et d’échange avec les organisateurs du spectacle d’improvisation est une des causes de ce
problème. De fait, peut-être aurait-il fallu créer des flyers dédiés à cet évènement précis,
pour une diffusion au sein de l’amphithéâtre Cartan. D’autre part, il reste la problématique
liée à la localisation du bâtiment Sciences Aco, bâtiment peu connu par la majorité des
étudiants du Campus d’Orsay.
Toutefois, la soirée dancefloor a été une réussite en termes d’organisation, le lieu se
prêtant tout à fait à ce type de manifestation, en offrant aux musiciens un cadre de
production atypique.
V/ Etude auprès du public
Voir fichier séparé : Bilan analytique des questionnaires de CURIOSITas
Fréquentations sur les événements Université Paris-Sud
Fréquentation Curiositas Paris-Sud
Jour Evénement Lieu Horaires Nbre entrées
Samedi 5 Installations Sciences ACO 18h - 24h 80
Lundi 7 Atelier Sciences ACO 18h30 - 22h30 6
Vernissage + défilé + concert Sciences ACO 19h - 22h30 130
Mardi 8 Installations Sciences ACO 18h - 22h 2
MasterClass puis concert ENSTA 20h-22h 48
Mercredi 9 Installations Sciences ACO 18h - 22h 24
MasterClass IOGS 14h-16h 16
Atelier IOGS 14h-16h 4
Conférence Polytechnique 18h-19h 50
Concert Polytechnique 20h-22h 300
Jeudi 10 Théâtre d'impro Amphi Cartan 20h30 - 22h30 238
Soirée dancefloor Sciences ACO 22h45 - 1h 30
TOTAL 842
VI/ Revue de presse
La couverture presse relative au festival CURIOSITas édition 2013 s’est
essentiellement affichée sur le média Web, mais à travers des sites Internet aux différentes
lignes éditoriales :
Le Point Etudiants, publication le 27 septembre 2013 : CURIOSITas, Festival arts-sciences de Paris-Saclay http://www.lepointetudiants.net/lemag/?p=3386
Sortir à Paris, publication le 27 septembre 2013 : Festival CURIOSITas 2013, rencontre entre arts et sciences
http://www.sortiraparis.com/arts-culture/exposition/articles/65840-festival-curiositas-2013-rencontre-entre-arts-et-sciences
Technopol, publication le 25 septembre 2013 : Festival CURIOSITas (5-10/10) http://www.technopol.net/component/content/article/59-actualites/462-festival-curiositas-5-10-octobre
Paris-Saclay, le Média, publication le 9 octobre 2013 : CURIOSITas où Comment faire dialoguer étudiants et artistes http://www.media-paris-saclay.fr/curiositas-ou-comment-faire-dialoguer-etudiants-et-artistes/
Arts Hebdo Médias, publication le 22 octobre 2013 : Arts et sciences: Les résonnances de Gérard Férey http://www.artshebdomedias.com/article/221013-art-sciences-les-resonances-de-gerard-ferey
Université Paris Sud, publication le 14octobre 2013 : CURIOSITas, un premier événement Paris-Saclay http://www.u-psud.fr/fr/l_universite/plan_campus/genese/actualites-2013.html
Paris-Saclay, le Média, publication le 31 octobre 2013 : Retour sur un événement original : CURIOSITas http://www.media-paris-saclay.fr/retour-sur-un-evenement-original-curiositas/
Cube Revue (la revue du Cube), publication le 6 novembre 2013 : Allier capital et créativité : la révolution du financement participatif http://www.cuberevue.com/allier-capital-et-creativite-la-revolution-du-financement-participatif/2717
NEWSLETTER PROJET CAMPUS Numéro 8 | Novembre 2013, Université Paris-Sud | Mission Campus, www.u-psud.fr: CURIOSITas, un premier évènement Paris-Saclay http://www.publipostage.u-psud.fr/files/2d8590b46d44f32f84085a0a76765bd1/Newsletter_Projet_Campus_8.pdf
PARIS-SUD INFOS - 94/novembre 2013: Quel CURIOSITas, ce festival ! http://www.publipostage.u-psud.fr/files/40779c1c46a1d736c145190368540167/Paris-Sud_Infos-94-2.pdf
Présentations (colloques, conférences, séminaires...)
Hypertextes et hypermédias. Produits, Outils et Méthodes, H2PTM 2011, Usages et pratiques numériques, 16, 17 et 18 Octobre 2013, Conservatoire national des arts et métiers - Paris: CURIOSITas 2013: Genèse et perspectives d'un nouveau festival universitaire Arts & Sciences http://www.crea.u-psud.fr/media/Comm/Curiositas2013_H2PTM2013.v2.pdf