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Book de Claire Schwerzmann

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L’investiture de barack Obama

Quand le chef d’un etat de 66 millions d’habitants, puissance régionale, qui rêve de nucléai-re de surcroît, se met hors la loi internationale, nie l’Histoire et appelle à détruire un pays et à déporter son peuple, il n’est plus possible de dialoguer et coopérer avec cet etat. ni de lui reconnaître une voix dans le concert des nations, tant que cette voix n’aura pas changé. Qu’attendent les européens, et la France la première, pour, au moins, geler leurs relations diplomatiques avec téhéran ?

Les éructations négationnis-tes du président iranien, pour qui l’Holocauste est un « my-the », israël une « tumeur » et

mercredi 18 mars 2009 | FRS 2.80 (TVA 2.4% INCLUSE) € 1.90 N° 105

Obésitétrois gènes en causeCes trois gènes seraient en partie responsables de l’obésité. Leur découvert par trois chercheurs français du Cnrs et de l’Inserm permet de dessiner plus précisément les contours de la carte généti-que de l’obésité. Un nouveau remède pour la guérison ? Page 26

Cinéma Le « conte cruel » de bayerDans « Un autre homme », le Lausannois Lionel Baier livre un récit initiatique doublé d’une satire de la critique de cinéma. Page 25

Alliance Fiat et chryslerLe constructeur italien compte prendre 35% du capital du groupe américain, récemment sauvé par Washington d’une faillite certaine.Les deux entreprises vont, dans un avenir proche, s’allier. En espérant retrouver leur bénéfice. Page 22

Profanateursl’homme identifiésLa police a identifié les auteurs des profanations commises l’année dernière sur des tombes du cimetière de La Charrière à La Chaux-de-Fonds. Page 12

Crise Les banquiers privés sont épargnéTrier le bon grain de l’ivraie, tel est le message de l’Association suisse des banquiers privés, dont les membres sont parvenus l’an dernier à limiter les dégâts. Page 16

Dans son premier discours de président, Barack Obama s’est adressé aux gens comme Ethel Hall, une quinquagénaire noire venue de l’Ohio, qui a raconté avoir grandi dans un pays où l’on disait aux Noirs ce qu’ils ne pouvaient pas faire. Il a mis ses conci-toyens en garde face aux difficultés actuelles tout en soulignant sa volonté de prendre les problèmes à bras-le-corps. « Aujourd’hui, je vous dis que les défis auxquels nous faisons face sont réels, ils sont sérieux et nombreux. Nous ne les relèverons pas facilement ou ra-pidement. Mais sois-en sûre Amérique, nous les relèverons ! »

Lanier Frazier a été sensible au message d’union de Barack Obama et a chaleureuse-ment applaudi lorsqu’il a déclaré que l’Amé-rique était « plus que la somme de ses ambi-tions individuelles ».

Pourtant, dans son discours d’investiture, Barack Obama n’a pas répété son thème fa-vori du « changement ». Un signe qui laisse entrevoir les grandes orientations politiques de la nouvelle administration américaine.

Moment symbolique, historique, unique, les mots n’ont pas manqué pour qualifier la prise de pouvoir de Barack Hussein Obama,

Air du tempsdes nuggets maiso aux fruits de sasison, le succès des cours pour cuisiniers en herbe.

Del Piero fidèle au postetoujours leaders, les intéristes sont désormais talonnés par la Juventus.

MuséeFribourg ; invité d’honneur de la collection de l’art brut. un lien direct avec les rituels religieux.

44e président élu des Etats-Unis d’Amérique. Des mots forts, à la dimension d’un homme au parcours fulgurant et fascinant et qui a su réveiller l’espoir de millions d’hommes à travers un discours novateur et synthétiseur des attentes d’une humanité déçue et meur-

Feux en australie : 181 morts

Des incendies ravagent le sud-est de l’Australie, les plus meur-triers de l’histoire du pays, selon un nouveau bilan annoncé mardi par la police. Un précedent dé-compte faisait état de 173 morts.

Les autorités craignent que le nombre de morts ne dépasse 200, alors que les secouristes conti-nuent de découvrir des corps, au fur et à mesure de leur progres-sion dans les zones sinistrées.

Une trentaine de feux de bush se sont déclarés depuis samedi dans l’Etat du Victoria, attisés par des vents violents combi-nés avec une chaleur canicu-laire et une sécheresse extrême. Page 30

indexbOurse ......................................p.19avis mOrtuaire .....................p.24

pmu .............................................p.27agenda .....................................p.28cinéma ......................................p.36

téLévisiOn ................................p.38HOrOscOpe ..............................p.40météO ........................................p.40

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Editorial | Patrick Sabatier

trie par huit années de « bushisme ». Puis s’adressant au reste de l’humanité, il

souligne que « nous partageons notre destin, et une nouvelle aube du leadership américain est là ». Page 2-4

l’Occident un objet de « haine », ne relèvent pas de l’asile. elles sont la version publique et (à peine) virulente d’un virus qui court dans la quasi-totalité des nations musulmanes. il est propagé par des pouvoirs, des médias, des religieux et des intellectuels qui y trouvent une manière commode d’aveugler leurs peuples et d’esquiver leurs responsabilités dans l’arriération, la misère et la tyrannie qu’ils leur infligent.

ce virus antisémite (y compris sous sa mutation « antisioniste ») a été inoculé aux peuples du moyen-Orient par les européens eux-mêmes. ce n’est pas une raison pour

ne pas mettre en quarantaine les foyers d’infection. même si l’iran et son peuple ne peuvent être réduits à la caricature grimaçante d’un illuminé. et même s’il faut éviter de tomber dans son piège, qui est d’as-seoir son pouvoir fragile sur une escalade de la confronta-tion avec l’Occident en rendant impossible le dialogue sur le nucléaire que d’autres au sein du régime de téhéran cher-chent à préserver. mais apaiser un ennemi pour avoir la paix mène, comme le remarquait churchill, souvent au déshon-neur, sans éviter la guerre.

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2 toast | mercredi 10 février 2009 3mercredi 10 février 2009 | toast

barack Obama s’attaQue au symbOLe de L’êre busH

Obama cOndamne à mOrt guantánamO

ActuAlitéActuAlité

Barack Hussein Obama : Dès mercredi après-midi, Barack Obama a réuni son conseil de guerre pour examiner la situation en Irak et en Afghanistan, ainsi que la conduite de la guerre au terrorisme. PHOTO PHILIPPE LOPARELLI.

Les marchés d’actions américains ont terminé en vive hausse mercredi soir, effaçant quasi totalement leurs pertes de la séance précédente, à la faveur d’un net rebond des valeurs de la finance et des technologies.

Le président Barack Obama s’est mis au travail dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche dès mercredi à 8 h 35, après avoir terminé à une heure du matin le marathon obligé des dix bals officiels qui ont suivi son investiture, mardi, à midi, devant 2 millions de personnes réunies sur le Mall de Washing-ton. D’emblée, la politique étrangère s’est imposée à son attention et la première jour-née de l’ère nouvelle a été consacrée à deux conseils de guerre : le premier économique pour chercher la parade à la crise qui s’ag-grave, le second militaire pour décider de la poursuite de la guerre au terrorisme et des

À quelques semaines du G20, Paris et Berlin semblent avoir ral-lié Londres à leur combat contre les « trous noirs de la finance », ce qui n’était pas gagné d’avance. La Grande-Bretagne héberge la plus

conflits en Irak et en Afghanistan. Les flon-flons et l’euphorie qui ont entouré l’acces-sion au pouvoir du 44e président des États-Unis sont instantanément retombés.

C’est aux dirigeants du Proche-Orient – le président égyptien Hosni Moubarak, le roi de Jordanie Abdullah, le Premier ministre israé-lien Ehoud Olmert et le président palestinien Mahmoud Abbas – que le nouveau président a passé ses tout premiers coups de fil. Le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza ne lui a pas laissé le loisir de remettre à plus tard « l’engagement actif dans la recherche d’une paix israélo-palestinienne dès le début de

(son) mandat » auquel il s’était engagé, com-me l’a rappelé le porte-parole de la Maison-Blanche Robert Gibbs. Pour tenter de conso-lider le cessez-le-feu fragile décrété à Gaza à la veille de son entrée à la Maison-Blanche et de relancer le processus de négociations entre Israël et les Palestiniens, son entourage indique qu’il devrait très rapidement nommer un émissaire pour la région, probablement l’ex-sénateur George Mitchell, d’ascendance libanaise et médiateur sous Clinton pour l’Ir-lande du Nord. Il devrait également dépêcher l’ex-secrétaire d’État adjoint Richard Hol-brooke pour s’atteler à faire baisser la tension entre l’Inde et le Pakistan après les attentats de Bombay et à explorer les conditions d’une paix en Afghanistan, et désigner un envoyé spécial pour ouvrir le dialogue avec l’Iran, peut-être Denis Ross, ex-envoyé spécial de Bill Clinton pour le Moyen-Orient.

patrick sabatier |

Pas de relance sans rigueur. Tel est le message adressé, lundi, par le président des États-Unis, qui organisait un sommet bipar-tisan sur « la responsabilité fiscale » avec une centaine d’experts et d’élus, conviés à la Maison-Blanche : « Aujourd’hui, je prends l’engagement de réduire de moitié, d’ici à la fin de mon premier mandat, le déficit dont nous avons hérité. » Par ailleurs, le nom d’un futur secrétaire au Commerce est enfin sur toutes les lèvres à Washington. Gary Locke, gouverneur de l’État de Washington, pourrait pourvoir ce poste laissé vacant après deux désistements.

En prêtant serment le mois dernier, Ba-rack Obama héritait d’un déficit abyssal de 1300 milliards de dollars (9,2 % du PIB), un record depuis la Seconde Guerre mondiale. Les nouvelles dépenses annoncées depuis, notamment le vote du plan de relance, pour-raient faire grimper le déficit public à 1500 milliards de dollars, soit plus de 10 % du PIB. Obama vise les 3 % du PIB à la fin de son mandat. « Nous devons tout faire pour que l’explosion des déficits publics n’empê-che pas notre économie de redémarrer », a expliqué le président, samedi, lors de son al-locution hebdomadaire à la nation. L’explo-sion de la dette qui pourrait atteindre 70 % du PIB est un risque pour le dollar et pèse déjà sur les taux d’intérêt à long terme.

La californie adopte un budget de crise

Après une session de plus de 30 heures, la plus longue de l’histoire du «Golden State», précédées de trois mois de négociations entre démocrates et républicains, les élus de Californie ont voté un budget de crise, qui devait être promulgué hier par Arnold Schwarzenegger. Le gouverneur s’est félicité de la fin de ce feuilleton qui a terni son deuxième mandat à la tête de l’État le plus riche et le plus peu-plé des États-Unis.

Le texte prévoit 14 milliards de hausse d’impôts et 16 mil-liards de coupes budgétaires, pour compenser la chute des recettes fiscales provoquée par la crise immobilière et la baisse de la consommation. Son adoption per-met le recours à l’emprunt.

Il a été adopté dans une atmos-phère dramatique. Des sénateurs, armés de sacs de couchage et de brosses à dents, ont campé pen-dant quatre jours devant le Parle-ment. Quelque 20 000 fonction-naires attendaient avec angoisse leurs lettres de licenciement en-voyées par le gouverneur pour faire pression sur les élus. Une telle mesure aurait permis d’éco-nomiser 750 millions de dollars.

aLexis Favre |

sanction des paradis fiscaux

Lors du premier sommet du G20, le 15 novembre à Washing-ton, l’expression « paradis fiscal » n’avait même pas été prononcée. Depuis dimanche, elle figure en tête des priorités européennes pour le sommet de Londres des 1er et 2 avril. « Nous voulons créer des sanctions pour mieux nous protéger contre les dangers éma-nant des juridictions non coopé-ratives, notamment les paradis fiscaux », indiquent les conclu-sions de la réunion de Berlin. « Les sanctions doivent être à la clé de la nouvelle réglementation internationale », estime Nicolas Sarkozy. « Il nous faut une liste de ceux qui refusent la coopéra-tion internationale», ajoute An-gela Merkel.

aLexis Favre |

tout résoudre ? C’est à Riyad, en Arabie saoudite, que Daniel Warner a suivi le dis-cours de Barack Obama, dont il fut un fervent partisan tout au long de la campagne électorale. Le politologue américain est en Arabie saoudite pour mettre sur pied des programmes de formation pour les diplomates de la région dans le cadre du très genevois Institut de hautes études internationales et du développement.

« C’était un bon discours, celui d’un étudiant brillant, mais sans plus. Il manquait de lyrisme. D’émotion. On le sentait très rentré, discipliné, voire un peu froid. Il n’a pas charmé son audience, qui a d’ailleurs très peu applaudi. »

« C’était un discours clairement adressé aux Américains plutôt qu’au monde. Il ne néglige pas la gravité de la situation. Mais il prétend tout résoudre : l’économie, le système de santé, l’éducation, l’énergie… Ça ne va pas rassurer ceux qui pensent qu’il ne pourra pas tout faire. »

« Barack Obama n’a pas donné le signal d’un changement fondamental de poli-tique étrangère : quitter l’Irak, reprendre la main en Afghanistan, vaincre le terro-risme et redevenir le leader du monde… Où est passé le multilatéralisme ? C’est bon de voir partir Bush, mais le successeur n’est peut-être pas aussi progressiste que certains avaient voulu le croire. »

pas aussi progressiste qu’on le pensait ? « Je suis si fier d’être Américain aujourd’hui ! Imaginez : je suis né en 1959, mon père était agent de police à Boston durant les émeutes raciales des années 1960. Et en quelques décennies seulement, voilà qu’un Afro-Américain prend la présidence des Etats-Unis ! »

Edward Flaherty n’est pas un fan de Barack Obama. Bien au contraire. L’avocat genevois est le vice-président des républicains en Suisse. « Pourtant, d’habitude, j’adore l’écouter parler. Même si je n’apprécie pas ses idées, il est enthousiasmant. Pas cette fois-ci malheureusement. J’ai trouvé ce discours assez plat. Se sentait-il écrasé par la tâche qui l’attend ? Voulait-il faire très sérieux auprès de tous ces an-ciens présidents venus assister à l’investiture ? Favorisait-il un peu d’humilité, pour se démarquer de ce grand show excessif ? »

Voilà pour la forme. Et sur le fond ? « Il n’est pas entré dans les détails sur les sujets qui m’intéressaient: la sécurité et l’économie. Et je l’ai trouvé vexant, quand il a dit qu’il est temps d’en finir avec les attitudes puériles. Pour gouverner, il aura besoin de rassembler des forces au Congrès, plutôt que de s’aliéner des voix. »

mandes ou des Antilles britanni-ques. « Ce n’est pas une conces-sion trop difficile pour Brown : la plupart des hedge funds ont déjà disparu avec la crise ! » relativise un négociateur. « Que Londres

mette la pression sur les paradis fiscaux, alors qu’elle en vit par ailleurs, c’est plus étonnant… »

aLexandrine bOuiLHet |

grande concentration de hedge funds au monde. Installées dans le quartier chic de Mayfair, à Lon-dres, ces petites structures opaques sont souvent domiciliées dans des paradis fiscaux des îles anglo-nor-

Les bonus dans la ligne de mire

L’objectif de réduction des déficits affiché par la nouvelle Administration est si ambi-tieux qu’il nécessitera un effort sans précé-dent de maîtrise des dépenses publiques, mais aussi sans doute une augmentation d’impôts, au moins pour les plus riches. Pour réduire les dépenses, l’Administration compte sur la fin de la guerre en Irak. Une économie qui risque toutefois d’être avalée par un nouvel effort militaire en Afghanistan.

Une telle réforme, réclamée par les répu-blicains, devrait permettre de faire passer plus facilement au Congrès le vote du budget 2010, dont les grandes lignes seront dévoi-lées jeudi par Barack Obama.

Sujet tabou depuis vingt-cinq ans, la haus-se des impôts sera également au menu des Américains dans les prochaines années. Le couperet fiscal tombera en 2011, d’abord pour les plus riches. Récession oblige, l’Ad-ministration Obama a prolongé jusqu’à fin 2010 les exemptions fiscales accordées par George Bush aux ménages les plus aisés. Mais en 2011, les Américains dont le revenu dépasse 250 000 dollars verront leur taux d’imposition grimper de 35 % à 39 %.

Une taxation spécifique des revenus des patrons de fonds spéculatifs ou de fonds d’investissement est également envisagée. Enfin, la réflexion sur une forme de TVA à l’américaine se trouve relancée.

aLexis Favre |

L’envOLée de La dette Qu’en pensent les européens

c’est fait ! Le président a dé-crété la ferme-ture de la prison tant décriée. et interdit la tor-ture. mais tout n’est pas réglé pour autant. il reste à résou-dre un véritable casse-tête juri-dique.

Chose promise chose due. A peine entré en fonction, Barack Obama a signé hier le décret or-donnant la fermeture de la prison de Guantánamo dans un délai d’un an maximum. Mieux : le tout nouveau président étasunien a mis fin aux inter-rogatoires « musclés » pratiqués par la CIA (torture, simulacres de noyade, menaces). Et il a décidé que les 245 « combattants ennemis » encore détenus sur la base étasunienne de Cuba seraient placés sous la protection des Conventions de Genève. Enfin !La nouvelle, on s’en doute, ravit les défenseurs des droits de l’homme,

qui dénonçaient cette zone de non-droit où depuis janvier 2002 des prisonniers étaient détenus pour leurs liens supposés avec le terro-risme. Sans inculpation ni juge-ment. Et sans bénéficier non plus du statut de prisonnier de guerre. « Nous sommes heureux de voir que Barack Obama a tenu pa-role. Cela dit, son administration est maintenant confrontée à un véritable casse-tête juridique », note Eric Sottas, qui dirige à Ge-nève l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT). Tour d’horizon.Que faire des détenus ? Le cas de chaque détenu doit être tranché in-

dividuellement. En gros, il y a trois cas de figure : certains seront libé-rés, certains poursuivis devant des cours américaines, mais d’autres sont tenus pour dangereux même s’il n’y a pas de preuves suffisan-tes pour les faire juger…

Où iront les détenus libérés ? En principe dans leur pays d’origine. Sauf que leur sécurité n’y est pas forcément assurée. Du coup, il leur faut un pays d’asile. L’Alba-nie a accueilli cinq Ouïgours de Chine. Mais c’est le seul exem-ple, même si cette éventualité est envisagée en Allemagne, en France, en Irlande, au Portugal,

en Suède… et en Suisse.

pourquoi pas aux etats-unis ? « C’est une question d’opportunité politique », affirme Eric Sottas. « Il n’y a aucune raison juridique pour leur envoi vers des pays tiers ».et les «dangereux» qu’on ne peut juger? Ils pourraient être transfé-rés dans des prisons américaines. Mais avec quel statut? andrés aLLemand |

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4.48PSY CHOSESarah Kane

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4.48 PSYCHOSEÀ l’origine, le héros de la tragédie grecque

«Dans la tragédie grecque, les héros appartiennent le plus souvent à l’univers de la mythologie et des légendes qui ont fondé l’histoire hellénique.

Selon la Poétique d’Aristote (IV e siècle avant J.-C.) qui a défini les règles de la tragédie, le genre dramatique cherche à inspirer la crainte et la pitié ; c’est pourquoi le héros tragique ne peut être ni complètement bon, ni complètement méchant. Il se doit donc d’être « médiocre », c’est-à-dire d’être un homme qui, « sans être un parangon [un modèle] de vertu et de justice, tombe dans le malheur non pas à cause de ses vices ou de sa méchanceté mais à cause de quelque erreur » (Aristote, Poétique).Le héros tragique, chez les Grecs, n’apparaît pas comme un individu autonome et responsable. […] Il participe à l’action mais la subit en même temps, il est coupable et pourtant innocent, lucide mais égale-ment aveugle : coupable par son hybris (« la démesure » en grec) qui le conduit à dépasser sa condition d’homme mortel, et soumis à l’aveu-glement d’Ate (« l’erreur » en grec), il est le jouet des dieux.Ainsi, à travers le héros, la tragédie grecque s’interroge sur les rapports de l’homme avec ses actes, à savoir s’il est réellement maître de ce qu’il fait. Alors que le héros semble conduire ses actes avec prévoyance et responsabilité, ce n’est qu’à la fin du drame, selon la décision souve-raine des dieux, que le sens véritable de ses actes lui est révélé. De ce point de vue, Œdipe, déchiffreur de l’énigme de la Sphinge mais pas de sa propre énigme, est bien le modèle du héros tragique grec, dont la légende a inspiré nombre de dramaturges tels que Eschyle, Sophocle ou Euripide. » 1

Ci-contre :ART ROMAINTheatrical masks of Tragedy and Comedy, IIe siècles Mosaïque, 74.6 cm

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4.48 PSYCHOSESarah Kane, biographie

Sarah Kane est née le 3 février 1971 à Brentwood. Tout d’abord comédienne, elle étudie le théâtre à l’Université de Bristol, puis à l’Université de Birmingham, et devient metteur en scène et

écrivain. En 1995, elle écrit sa première pièce Anéantis, qui est aussitôt créée au Royal Court Theatre de Londres. Sarah Kane parvient rapide-ment à la célébrité, faisant les gros titres de la presse britannique qui crie au scandale. Elle écrit ensuite L’Amour de Phèdre, Purifiés, Manque. Sarah Kane se suicide le 20 février 1999, laissant une cinquième pièce, 4.48 Psychose, créée durant l’été 2000 au Royal Court Theatre.

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12-19 juillet 2010

Le Capitole

ODYSSÉEKUBRICK

Programme détaillé surwww.cinemathequesuisse.chLe Capitole · Avenue du Théâtre 6 · 1005 Lausanne

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_Produit : cinémathèque suisse

_Mandat : ligne graphique

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Le siècle des villes. La ville telle qu’elle préoccupe ce début de XXIe siècle est née en même temps que le cinéma, pour connaître son essor avec lui, tout au long du XXe siècle. Aucune surprise en ce sens que ville et cinéma aient flirté ensemble avec autant de régularité, suivant les affres des relations fascination/répulsion qui sou-vent animent les passions. Qu’il utilise la ville comme décor ou qu’il la choisisse comme protagoniste principale, le cinéma révèle la ville comme aucun autre médium artistique n’est capable d’en rendre compte. Jamais leurs rapports ne semblent confiner à l’indifférence. Nous avons choisi d’écarter de la programmation de ce cycle «Le cinéma dans la ville» les hommages architecturaux et les mises en scène frontales, pour leur préférer ce qu’il faut envisager comme les entrailles de la ville, les viscères gorgés de vie qui pulsent sous le tissu urbain: ce que produit la ville, socialement, humainement, politiquement, tout autour du globe.

RECHERCHE

PROJECTION EXCEPTIONNELLE DE FILM SOCIALISME DE JEAN-LUC GODARD

Mercredi 16 juin 2010 au Théâtre Forum Meyrin en collaboration avec la Ciné-

mathèque suisse [En savoir plus]

31.05.10 13:41

À LA CINÉMATHÈQUE SUISSE EN MAI ET JUIN 2010

Oliver Stone - Julien Duvivier Raoul Ruiz Plans-Fixes - Le cinéma dans la

ville [En savoir plus]

30.04.10 15:00

LE CAPITOLE UN PATRIMOINE D’EXCEPTION

Sauver un bâtiment historique cher au coeur des Lausannois, développer

l’o� re culturelle [En savoir plus]

28.04.10 09:39

ODYSSÉE KUBRICK 12-19 JUILLET 2010 LE CAPITOLE

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_Produit : Workshop avec clotilde olyff

_Mandat : Alphabet imaginaire, à partir des chiffres d'une typographie composition d'un texte

_Contrainte : chiffres

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_Produit : compilation drum&Bass

_Mandat : pochette d'album pour une compilation

_Contrainte : une image

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RACES_Produit : édition signalétique

_Mandat : projet sur la signalétique en collaboration avec Anne-Marie pappas

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_Produit : site galerie skopia

_Mandat : site de la galerie

_Contrainte : Gabarit fixe

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_Produit : édition dessin

_Mandat : création de personnages à partir d'un texte de Julian Beck Mise en page de l'histoire

_Contrainte : noir/blanc

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_Produit : tigerlily concert

_Mandat : photo-reportage du concert

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_Thème : la dernière sorcière

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_Thème : Masque

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_Thème : nature morte

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_ Thème : punk

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_Thème : Aux portes de la ville

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_Thème : poussière

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_Thème : portraits de femmes

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