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RESEAU DE SURVEILLANCE BIOLOGIQUE DU TERRITOIRE 2017
LORRAINE
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 1 | 8
ZONES NON AGRICOLE N°7 EDITION DU 22 JUIN 2017
Rappel réglementaire sur l’usage des produits herbicides
Seuls, les produits homologués pour un usage herbicide
sont autorisés pour éradiquer les herbes indésirables (en
l’absence de mise en place de techniques dites alternatives).
L’ensemble des produits homologués pour un usage
herbicide sont tous inscrits dans la base de données gérée
par l’ANSES, consultable sur https://ephy.anses.fr/ . Tout
autre produit même d’origine naturelle est donc interdit
pour désherber.
Rappelons que les produits à action herbicides doivent ensuite posséder un usage en culture ornementale ou
zones non agricoles selon les situations. Par ailleurs sur les espaces publics ouverts au public, seuls les produits de
biocontrôle sont autorisés : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/instruction-2017-289/
Arbres et arbustes d’ornement
Couple ravageur/plante : pyrale du buis (Cydamila perspectalis, lépidoptère)
Eléments de biologie : cf. BSV ZNA n°12 du 9 septembre 2016.
Stades de développement observés : imago.
Seuil de nuisibilité : présence d’un individu.
Dégâts observés — incidences : variable selon le niveau de lutte mis en place.
Secteur d’observation : Nancy, Thiaucourt, Épinal, Metz.
F A
RETROUVEZ LE BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL SUR LE WEB :
site internet de la CRA Grand Est - http://www.grandest.chambre-agriculture.fr/productions-agricoles/ecophyto/bulletins-de-sante-du-vegetal/
site de la DRAAF Grand Est- http://draaf.grand-est.agriculture.gouv.fr/Surveillance-des-organismes
site internet de la FREDON – http://www.fredon-lorraine.com/fr/bsv.html
Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web
site internet de la CRAL - www.cra-lorraine.fr
site de la DRAAF Lorraine- http://draaf.alsace-champagn,e-ardenne-lorraine.agriculture.gouv.fr/
site internet de la FREDON – www.fredon-lorraine.com
BULLETIN DE SANTE
DU VEGETAL
Edition LORRAINE
Capture de papillons de la
pyrale du buis.
Source : M. JAILLET.
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 2 | 8
Prophylaxie — lutte biologique :
– Poser des pièges à phéromones.
– Réaliser des lâchers de trichogrammes sur les buis contre les œufs de pyrale.
– Réaliser des traitements à base de Bacillus thuringiensis sur les larves en juillet.
Couple ravageur/plante : processionnaire du chêne (Thaumetopoea processionea), sur feuillus.
Éléments de biologie : cf. BSV ZNA n°5 du 26 mai 2017, page 1.
Seuil de nuisibilité : atteint.
Secteurs d’observation : Secteur Madine et côtes de Meuse, Thiaucourt, agglomération de Metz et de Nancy,
Moselle.
Dégâts observés — incidences : défoliation complète du houppier des chênes notamment en Meuse sur des
secteurs où aucun moyen de lutte n’est mis en place. Les chenilles colonisent d’autres essences à proximités pour
poursuivre leur croissance (hêtre, frêne). Le nombre de signalement et l’importance des populations relevées par
les observateur du réseau est l’un des plus important depuis la création du réseau BVS ZNA en 2010.
Si les arbres ne sont pas affaiblis et atteint chaque année, leur survie n’est normalement pas compromise.
Prophylaxie — mesures de lutte :
- Les chenilles sont à un stade de développement où les traitements à base de Bacillus thuringiensis seraient peu
efficaces.
- Pose de pièges à phéromones courant juillet et jusqu’à début septembre.
- Décrocher les nids et les éliminer avec prudence sur les zones recevant du public lorsque l’accès ne peut être
interdit (risque d’urtication très significatif).
F A 1
Photo de gauche : chêne
totalement défolié par les
chenilles (cf. photo du BSV
ZNAn°5, en page 1).
Photo de droite : présence de
nids de processionnaire et
défoliation d’un hêtre à
proximité du chêne.
Source : G. BRADY – ABMC
de Saint-Mihiel.
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
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Couple ravageur/plante : cochenille pulvinaire de l’hydrangea, Pulvinaria hydrangeae (famille des
Coccidés = production de miellat).
Éléments de biologie : 1 génération par an.
Lors de l’éclosion, les jeunes larves entament une migration feuille-
rameaux-feuille. Cette espèce à la capacité de se reproduire par voie
sexuée ou non, en fonction de la présence à proximité de mâles. Les mâles
et les femelles montrent un véritable dimorphisme sexuel. Le nombre de
stades larvaires est plus important chez les mâles (5) que les femelles, ce qui
leur confère un développement plus complet avec des organes bien
différenciés et une grande mobilité. La vie des mâles se limite à la
reproduction sur une durée courte.
Une autre espèce très semblable, Pulvinaria regalis peut aussi affecter de
nombreux hôtes. La principale différence réside dans la migration des larves
qui suit le principe : rameaux-feuille-rameaux. Cette espèce est plus mobile
que la précédente et produit beaucoup de miellat. La durée d’incubation
des œufs est d’environ 1 mois pour cette espèce et seulement une dizaine
de jours pour la précédente.
Le vent est le principal mode de contamination des cochenilles.
Stade de développement observé : adulte.
Seuil de nuisibilité :
– seuil de nuisance esthétique : 1 à 3 ovisacs par feuilles ou rameaux,
– seuil de nuisance commoditaire entrainant une production de miellat importante : 7 à 10 ovisacs par feuilles ou
rameaux,
– seuil de nuisance vitale entrainant le dépérissement de la plante : 7 à 10 ovisacs par feuilles ou rameaux durant
plusieurs années.
Dégâts observés — incidences : affaiblissement général des plantes porteuses de cochenilles, dépréciation et
décoloration du feuillage. Le feuillage et les rameaux peuvent être tachés par du miellat avec production de
fumagine au cours de l’été.
Secteurs d’observation : Nancy et alentours
F A
Cycle de développement des femelles de Pulvinaria hydrangeae
Ponte J F M A M J J A S O N D
L1 J F M A M J J A S O N D
L2 J F M A M J J A S O N D
L3 J F M A M J J A S O N D
Adulte J F M A M J J A S O N D
Cochenilles pulvinaires de
l’hortensia sur hortensia.
Source : C. SOMMER —
FREDON Lorraine.
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 4 | 8
Feuilles de nénuphar dépréciées par les larves
de galéruque. Source : C. SOMMER —
FREDON Lorraine.
Facteurs de risques : présence d’autres végétaux hôtes (érables champêtres, platanes, tilleuls, viornes,
cornouillers…). Arbres à écorce lisse.
Prophylaxie — lutte biologique : Favoriser la diversité végétale pour favoriser la présence d’auxiliaires naturels (micro hyménoptères et coccinelles
virgules). Planter les végétaux dans de bonnes conditions de sol.
Pulvérisation d’huiles de colza, de paraffine ou de vaseline sur les stades hivernant après la chute des feuilles (se
reporter à la liste des produits de biocontrôle).
L’usage de savon noir (sel d’acide gras potassique) n’est autorisé que pour nettoyer les végétaux des traces de
miellat et fumagine en l’absence du ravageur.
Couple ravageur/plante : galéruque du nénuphar, Galerucella nymphaeae (coléoptère), principalement
sur Nuphar lutea et Nymphaea alba.
Éléments de biologie : Les adultes (une chrysomèle brun foncé – jaunâtre de 6-8 mm de long) migrent des débris
végétaux présents sur la terre ferme où ils ont passé l’hiver vers les nénuphars à partir de fin avril à juin. Les œufs
pondus par plaques de 12 à 18 unités sur le dessus des feuilles éclosent une semaine plus tard. Les larves de
couleur brun foncé à noir et à ventre jaunâtre (9 mm) commencent alors à décaper les feuilles. Les imagos sont
formés en juillet-août. Les nymphes sont noires brillantes et mesurent entre 5 et 7 mm. On compte 2 voire 3
générations par an.
Stade de développement observé : adulte.
Seuil de nuisibilité : non défini.
Dégâts observés — incidences : feuilles rongées, trouées, décapées. Jaunissement des feuilles atteintes et
dépérissement.
Secteurs d’observation : agglomération nancéienne, Romagne-
sous-Montfaucon.
Prophylaxie — lutte biologique :
Arroser abondamment le feuillage avec un tuyau d’arrosage pour
faire glisser et projeter les larves et les nymphes en dehors des
feuilles.
Fertiliser le substrat des nénuphars avec un engrais à libération
progressive pour densifier le feuillage (attention à ne pas favoriser
le développement d’algues).
F A
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 5 | 8
Prunier sauvage contaminé par le virus de la
Sharka. Source : T. COUTAL — 2010.
Couple ravageur/plante : Rappel sur Plum Pox Virus, la maladie de la Sharka sur toutes les espèces de
Prunus en dehors de Prunus laurocerasus et P. lusitanica. Organisme Nuisible Réglementé de lutte
obligatoire.
Éléments de reconnaissance des symptômes :
Les symptômes de Sharka peuvent être observés au printemps et en été, et varient légèrement selon les espèces,
variétés et cultivars :
Sur feuilles : éclaircissement le long des nervures, taches ou anneaux chlorotiques. Ces symptômes peuvent
s’atténuer au cours de la saison ou sous l’effet de fortes chaleurs.
Sur fruits : décolorations et déformations en forme de taches ou d’anneaux sur la peau. Nécroses en surface du
fruit et en profondeur dans la chair.
Pour plus d’information sur cet ONR : http://www.fredon-lorraine.com/fr/sharka-plum-pox-potivirus.html
Seuil de nuisibilité : 1 Prunus contaminé.
Dégâts observés — incidences : Les symptômes sont présents
dans l’arbre dans des proportions variables (de quelques feuilles à
l’ensemble du feuillage) et peuvent être observés à n’importe
quelle hauteur.
L’extériorisation des symptômes se produit de quelques mois à
quelques années après inoculation.
La Sharka ne provoque pas la mort des arbres et n’affecte pas la
santé humaine. Malgré cela, cette maladie constitue une grave
menace pour la production de fruits à noyau :
– C’est un virus très épidémique incurable dont la transmission se
fait :
– par différents pucerons, qui piquent des arbres sains
après avoir piqué des arbres contaminés.
– par greffage de végétaux contaminés (porte-greffes,
greffons).
Facteurs de risques : zone de production fruitière, nord-est mosellan. Vergers laissés à l’abandon.
Prophylaxie — mesures de lutte :
Planter du matériel végétal sain de tous symptômes. Conserver le Passeport Phytosanitaire Européen (PPE) d’achat
de Prunus durant 5 ans (hors client final particulier)
F A 1
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 6 | 8
Ambroisie à feuille d’armoise. Source :
Wikimedia.
Toute personne détentrice (propriétaire) ou cultivant (exploitant agricole) des végétaux sensibles à la sharka
(prunier, abricotier, pêcher) est tenue :
De déclarer tout végétal lui appartenant présentant des symptômes au SRAL (Service Régional de
l’Alimentation, Tél. 03.55.74.11.00.) ou à l’OVS végétal (organisme à vocation sanitaire (FREDON Lorraine, Tél.
03.83.33.86.70.)) de sa région.
Se reporter à :
– L’arrêté du 17 mars 2011 relatif à la lutte contre le Plum Pox Virus, agent causal de la maladie de la Sharka, sur
les végétaux sensibles du genre Prunus ;
– L’arrêté du 5 avril 2012 modifiant l’arrêté du 17 mars 2011 relatif à la lutte contre le Plum Pox Virus, agent causal
de la maladie de la Sharka, sur les végétaux sensibles du genre Prunus.
Plantes invasives
Plante : ambroisie à feuille d’armoise, Ambrosia artemiisifolia.
Éléments de biologie : Plante herbacée annuelle pouvant dépasser
un mètre de haut. Tige striée sillonnée, souvent rougeâtre. Feuilles
découpées, pubescentes. cf. BSV ZNA n° 9, édition du 15/07/2016,
page 3 à 6.
Pour plus d’information : http://www.infloweb.fr/ambroisie-a-feuilles-
darmoise
Stade de développement : plante développée.
Seuil de nuisibilité : 1 plant.
Dégâts observés — incidences : impacte le rendement et la qualité
des récoltes. Lorsque les peuplements sont denses, on observe une
baisse de la biodiversité végétale.
Plante allergisante par son pollen de petite taille. Pour plus d’information :
http://www.ambroisie.info/pages/observatoire.htm
Secteur d’observation : se reporter à l’Atlas des plantes de Lorraine édité par l’association Floraine :
http://www.floraine.net
Facteurs de risque : cultures agricoles de printemps (maïs, colza, orge de printemps), chemins, friches industrielles,
zones rudérales. Sol mis à nu, sols battants.
Prophylaxie — lutte biologique :
Plant de lutte obligatoire par arrêtés préfectoraux dans les 4 départements de Lorraine depuis juin 2016.
Arrachage avant période de floraison en août. Maintenir une concurrence végétale.
F
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 7 | 8
F Répandu : qualifie les espèces communément observées sur l’ensemble du territoire lorrain.
F Commun : qualifie les espèces observées régulièrement, mais pas partout (fréquemment localement) par le réseau
d’observateur.
F Rare : qualifie les espèces peu communes, observées occasionnellement.
A Élevée : Le ravageur peut tuer les plantes saines ou les endommager durablement dans un délai relativement bref.
Il n’est pas forcément la cause directe des dégâts (ravageur secondaire).
AMoyen : Le ravageur n’est normalement pas apte à tuer la plante ou à fortement dégrader sa vitalité sauf en cas d’exposition
prolongée ou de facteurs aggravants.
AFaible : Le ravageur n’a pas d’influence négative significative sur la survie de la plante. Le ravageur cause essentiellement des
dommages esthétiques. Il peut cependant être vecteur de maladies.
Fréquence
Agressivité
Plantes invasives : raisin d’Amérique, Phytolacca americana (Phytolaccacées), cf. BSV ZNA n° 12 du
9/09/2016, page 7.
Éléments de biologie : arbrisseau originaire d’Amérique du Nord
de 1 à 3 mètres de haut, à tige rougeâtre, feuilles alternes ovales
lancéolées de 8 à 15 cm de long. Fleurs blanches à roses
composées de 5 pétales et fleurissant de juin à septembre. Les fruits
sont des baies disposées en grappes de couleurs vertes à noires à
maturité et contenant chacune 10 graines.
Mode de dissémination : endozoochorie par des oiseaux. Utilisé
comme plante ornementale.
Incidences : se propagent essentiellement dans les jardins, les
friches, les forêts, talus et autres milieux perturbés par l’activité
humaine ou météorologique (tempêtes). Se développe dans
certaines cultures agricoles qu’il devient alors difficile de désherber.
Modifie le couvert végétal en milieu forestier.
Secteurs d’observation : Toul. Se reporter à l’Atlas des plantes de
Lorraine édité par l’association Floraine : http://www.floraine.net
Facteurs de risque : sols sablonneux et humifères des milieux perturbés. Utilisation en tant que plante
ornementale.
Prophylaxie et méthode de lutte : arracher les plants avant production de fruits. Plante encore peu présente en
Lorraine.
Indicateurs de risques
Ces indicateurs ont pour but d’affiner l’analyse de risque en espaces verts. Lorsque l’agresseur touche une plante
qui peut également avoir une fonction nourricière (exemple : arbres fruitiers, pour complément d’information
consulté le BSV de la filière appropriée), seul l’aspect ornemental est ici pris en compte. L’agressivité est comparée
par rapport à une plante saine et, en pleine vitalité, indemne de toute faiblesse et exposée dans des conditions
environnementales saines et optimales.
F
1 3
1
3
Plant de Phytolacca americana.
Source: C. SOMMER – FREDON
Lorraine.
BULLETIN N°7 - EDITION DU 22 JUIN 2017
Bulletin édité sous la responsabilité de la Ch ambre d’Agriculture Grand Est . Rédaction : FREDON Lorraine Avec la participation, de gestionnaires de parcs publics et privés, de serres municipales, de golf, de professionnels du paysage, d e l’Arexhor Grand Est et le SRAL Grand Est (DRAAF). Ce bulletin est produit à partir d’observations ponctuelles d’un réseau de parcelles suivies par ces partenaires : il donne une tendance de la situation sanitaire dans la région, mais celle -ci ne peut être transposée telle quelle. La Chambre Régionale d’Agriculture Grand Est dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les professionnels de la fi lière pour le protection de leurs végétaux. Pour tous renseignements, contacter : Charlie SOMMER – Animateur Fil ière Zone Non Agricoles – FREDON Lorraine – 03.83.33.86.70 François-Xavier SCHOTT – Animateur Inter-Filières – Chambre Régionale d’Agriculture Grand Est - 03.83.96.85.02
B S V Z o n e s n o n a g r i c o l e s L o r r a i n e - P a g e 8 | 8
Situation globale en ZNA : Ce tableau présente une synthèse générale du niveau de risque observé vis-à-vis des maladies et des
ravageurs. Il sera actualisé dans chaque bulletin afin de vous permettre de suivre l’évolution du risque
d’une semaine à l’autre.
Légende :
Dégâts nuls
Dégâts faibles
Dégâts modérés
Dégâts importants
Situation Ravageurs, maladies Précisions
Acariens
Chenilles/Lépidoptères Importantes populations de processionnaires du chêne
Coléoptères
Vol de hanneton dans les Vosges et en Moselle secteur
Sarreguemines
Corvidés/Étourneaux
Herbes indésirables/invasives
Hétérosporisose de l’iris Sensibilité variétale
Insectes xylophages
Limaces/escargots
Maladies des buis Conditions favorables au développement
Maladies des gazons
Maladies des rosiers
Maladies sur le feuillage des ligneux
Maladies sur le feuillage des herbacées fleuries
Mineuses des feuilles et tiges
Mineuses du marronnier
Fort niveau d’infestation sur feuille. Vol de la seconde
génération.
Othiorynques
Pucerons Situation assez variable
Pyrale du buis Période de vol des papillons
Taupes et campagnols
Tenthrèdes
Tigres du platane
Tipules
Vers de terre