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Février 2016 Editorial Vous faites peut-être partie de ceux qui profitent du passage à la nouvelle année pour prendre des bonnes résolutions. Le plus souvent, ces bonnes intentions du nouvel-an portent sur notre santé : nous décidons de nous mettre au régime, d’arrêter de fumer, de prati- quer plus de sport… L’Institution aussi, a besoin de rester en bonne santé : comme un grand organisme, son équilibre dépend de nombreux facteurs. Mais pour poursuivre ses mis- sions et offrir des prestations de qualité, son bien le plus précieux est sans conteste ses 821 collabora- teurs, leurs compétences, leurs connaissances et leur engagement. Pour assurer leur santé et leur sécurité, l’Institution n’attend pas la nouvelle année pour pren- dre de bonnes résolutions : c’est au quotidien qu’elle marque sa volonté de prendre soin d’eux. Le dossier du bulletin d’information de ce mois souhaite mettre en lumière quelques aspects de cette préoccupation constante. L’arrivée de Catherine Golliard, infirmière de santé au travail, dont la fonction est d’offrir un espace d’écoute, de partage et de soutien aux colla- borateurs, en est un aspect important. L’identification des phénomènes dangereux aux postes de travail, assurée par notre chargé de sécurité Alain Combe, en est un autre. Parmi les bonnes résolutions que nous avons tous prises, à un moment ou un autre de notre vie, toutes n’ont pas toujours bien survécu aux semaines et aux mois qui passent… un relâchement que notre Institution ne peut pas se permettre : chacun des responsables de notre organisation a pour tâche de mettre tout en œuvre pour assurer un environnement stable, favorable à la santé et la sécurité des collabo- rateurs qui dépendent de lui. Pour atteindre ce but, de nombreuses ressources sont disponibles. Mais la plus importante est évidemment le dialogue, la communi- cation, qui permet à chacun d’être un acteur, de faire des propositions ou de sensibiliser son responsable, dans l’intérêt de chaque collaborateur, et donc par ricochet, dans l’intérêt de chaque bénéficiaire. Sylvie Dubler Responsable Département des Ressources Humaines Bulletin d’information Sommaire Portrait : Catherine Golliard, infirmière de santé au travail Focus : Santé et sécurité Il s’est passé : Le Noël de la Structure Transition L’Avent et Noël Clic clac Infos Rédaction, illustrations et mise en page Amélie Buri [email protected] 021 821 45 56

Bulletin d’information Février 2016 - · PDF fileFévrier 2016 Editorial Vous faites peut-être partie de ceux qui profitent du ... Parmi les bonnes résolutions que nous avons

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Février 2016

EditorialVous faites peut-être partie de ceux qui profitent du passage à la nouvelle année pour prendre des bonnes résolutions. Le plus souvent, ces bonnes intentions du nouvel-an portent sur notre santé : nous décidons de nous mettre au régime, d’arrêter de fumer, de prati-quer plus de sport… L’Institution aussi, a besoin de rester en bonne santé : comme un grand organisme, son équilibre dépend de nombreux facteurs. Mais pour poursuivre ses mis-sions et offrir des prestations de qualité, son bien le plus précieux est sans conteste ses 821 collabora-teurs, leurs compétences, leurs connaissances et leur engagement. Pour assurer leur santé et leur sécurité, l’Institution n’attend pas la nouvelle année pour pren-dre de bonnes résolutions : c’est au quotidien qu’elle marque sa volonté de prendre soin d’eux. Le dossier du bulletin d’information de ce mois souhaite mettre en lumière quelques aspects de cette préoccupation constante. L’arrivée de Catherine Golliard, infirmière de santé au travail, dont la fonction est d’offrir un espace d’écoute, de partage et de soutien aux colla-

borateurs, en est un aspect important. L’identification des phénomènes dangereux aux postes de travail, assurée par notre chargé de sécurité Alain Combe, en est un autre. Parmi les bonnes résolutions que nous avons tous prises, à un moment ou un autre de notre vie, toutes n’ont pas toujours bien survécu aux semaines et aux mois qui passent… un relâchement que notre Institution ne peut pas se permettre : chacun des responsables de notre organisation a pour tâche de mettre tout en œuvre pour assurer un environnement stable, favorable à la santé et la sécurité des collabo-rateurs qui dépendent de lui. Pour atteindre ce but, de nombreuses ressources sont disponibles. Mais la plus importante est évidemment le dialogue, la communi-cation, qui permet à chacun d’être un acteur, de faire des propositions ou de sensibiliser son responsable, dans l’intérêt de chaque collaborateur, et donc par ricochet, dans l’intérêt de chaque bénéficiaire.

Sylvie DublerResponsable Département des Ressources Humaines

Bulletin d’information

SommairePortrait : Catherine Golliard,

infirmière de santé au travail

Focus : Santé et sécuritéIl s’est passé : • Le Noël de la

Structure Transition• L’Avent et NoëlClic clacInfos

Rédaction, illustrationset mise en page

Amélie [email protected] 821 45 56

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Dunnar KlinkeResponsable du Service d’Accueil de Jour

Catherine Golliard est arrivée au sein de notre Institution sur un mode incognito au mois d’octobre dernier, à 20% jusqu’à la fin de l’année, le temps de terminer son mandat chez son précédent employeur. Depuis janvier, la voici à pied d’œuvre à 60% pour relever avec enthousiasme les nombreux défis de sa fonction : infir-mière de santé au travail.

Catherine Golliard, infirmière de santé au travail

Le poste était vacant depuis plusieurs mois : le profil recherché pour cette fonction était en effet très spécifique, et les Ressources Humaines ont cher-ché avec patience la perle rare : rat-tachée à ce département, mais très autonome dans son fonctionnement quotidien, la personne recherchée devait à la fois faire preuve d’une grande indépendance, de curiosité et de dynamisme. Des qualités que Catherine Golliard double d’une éner-gie positive qui décoiffe et d’une moti-vation à toute épreuve !C’est un parcours riche et original qui la mène jusqu’à notre Institution. Après un Diplôme d’Infirmière en Soins Généraux en 1992, elle commence sa carrière professionnelle par un poste en chirurgie, puis dans les soins à domi-cile. En 2000, virage à 180° : Catherine suit son mari, envoyé aux Etats-Unis par son employeur : durant 10 ans, la famille vivra à New York, où Catherine enseignera le français. En 2010, c’est le retour au pays. Après une remise à niveau, Catherine s’engage dans le milieu des soins à domicile, un domaine dont la dimension pluri-disciplinaire et le lien avec les partenaires externes la passionne. Au trav-ers de son expérience et de plusieurs forma-tions, elle développe des compétences en gestion de crise, en psychiatrie, ainsi qu’en entretien rela-tionnel et motivationnel. Depuis son diplôme, Catherine Golliard s’est toujours intéressée au

domaine de la santé au travail. Après 15 ans dans les soins à domicile, elle rejoint notre Institution : « J’ai vu une opportunité d’élargir mes compétenc-es professionnelles, explique-t-elle. Je me réjouis beaucoup de découvrir les différents secteurs de l’Institution et de pouvoir mettre mes connaissances à la disposition des collaborateurs ! » Afin de compléter sa palette de com-pétences, Catherine suivra un CAS en Santé au travail à La Source dès la prochaine session de formation.Appelée à intervenir auprès de l’ensemble des collaborateurs de notre Institution, Catherine Golliard explore progressivement nos différents sites,

Catherine Golliard : « Je me réjouis beaucoup de pouvoir mettre mes connaissances à la disposition des collaborateurs ! »

Comment Catherine Golliard envisage-t-elle son rôle au sein de l’Institution ?

• Offrir un espace d’écoute, de partage et de soutien aux col-laborateurs, en toute confidentialité

• Assurer la bonne infor-mation du personnel concernant le maintien et la promotion de la santé au travail

• Participer à la gestion du système de santé au sein de l’Institution

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Amélie Buri

Santé et sécurité : deux pilliers pour une institution en pleine forme!

services et départements… « J’ai été très impressionnée par le nombre de différents secteurs ! » sourit-elle. Sensible à la qualité de l’accueil et à la motivation des personnes rencon-trées, elle se réjouit d’approfondir ses connaissances de notre organisation et de faire la connaissance des per-sonnes qui la composent. La collabo-ration fonctionnelle étroite avec Joëlle Giraud Michaud, infirmière HPCI* (qui a assuré une partie des fonctions de l’infirmière de santé au travail durant la vacance du poste) s’annonce égale-ment sous les meilleurs auspices.En marge de sa vie professionnelle, Catherine Golliard dit d’elle-même

qu’elle est quelqu’un de nature pos-itive, qui aime le contact humain. Mariée et mère de deux enfants de 14 et 17 ans, elle aime la lecture et les sports en plein air, qui la ressourcent : équitation, ski, marche en montagne.Et quelle couleur donne-t-elle à notre signature « Agir pour la Vie » ? « Pour moi, je dirais que cela signifie de mettre nos ressources au service de la personne, afin d’ajouter un petit plus à sa vie ». Un petit plus qui ne peut être ajouté que par des professionnels en bonne santé : un capital que Catherine Golliard s’attachera à soigner !

Chaque poste de travail comporte des risques : une mauvaise installation qui entraîne des douleurs dorsales, un sol glissant, des produits chimiques mal utilisés : les dangers peuvent se cacher dans les détails. Ces risques, notre Institution a entrepris de les évaluer de manière systématique, et c’est notre chargé de sécurité, Alain Combe, qui en a la responsabilité.

La loi impose à toute entreprise de faire analyser les risques encourus par ses employés sur leur lieu de travail et de mettre en place des mesures visant à les limiter voire les éliminer. Notre direction a choisi d’aller au-delà des exigences légales en organisant une analyse complète de l’ensemble des postes de travail, dans nos différents secteurs d’activité et sur l’ensemble de nos sites. Un travail titanesque qui a commencé en 2011 déjà.Selon un planning visant à progres-sivement faire le tour de tous les services de l’Institution, Alain Combe (pour les aspects techniques) et Joëlle Giraud Michaud (pour les aspects liés à l’hygiène) se rendent sur place et évaluent les risques selon une grille établie. La priorité a été donnée aux services comportant potentiellement le plus de dangers, que ce soit en lien avec des machines ou avec des produits chimiques : ateliers jardins et de production, service technique, buanderie. Puis l’analyse s’est éten-due aux autres secteurs, intendance, département hospitalier, lieux de vie, école. Aujourd’hui, 75% des services ont été analysés, les 25% restant représentant essentiellement des ser-vices administratifs, dans lesquels les risques sont surtout liés à des ques-

tions d’ergonomie au poste de travail.Concrètement, Joëlle Giraud Michaud et Alain Combe se rendent dans les services et commencent par échanger avec le respon-sable et les pro-fessionnels, avant d’observer les lieux et les équi-pements. Ces visites ne se font pas sur le ton de l’inspection, mais dans une volonté de dialogue et ce, dans l’intérêt des co l l abo ra teu rs . Les risques réper-toriés peuvent toucher différents domaines :• Feu• Chimie• Ergonomie• Hygiène• Sécurité des

c o l l a b o r a -teurs, des bénéficiaires ou des visit-eurs…

« Avec la collabo-ration des per-

sonnes du service, nous identifions ces risques, explique Alain, puis nous établissons un rapport, avec photos à l’appui. Nous proposons différentes

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* Hygiène, Prévention et Contrôle de l’Infection

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Quelques exemples de mesures qui ont été prises suite à l’identification de dangers :

• A Lavigny, la passerelle piétonne menant du parking principal à la réception était très glissante par temps de pluie : une peinture antidérapante a été appliquée.

• Des dispositifs avec flacons de solution hydro-alcoolique disponibles pour tous ont été fixés à plusieurs endroits stratégiques de nos différents sites.

• Les éponges, véritables nids à germes impossibles à désinfecter doivent être remplacées par des “pads” plus faciles d’entretien.

• La vitesse excessive de certains véhicules à l’intérieur du site de Lavigny a nécessité une évaluation par radars en 2015. Ces contrôles ont permis de sen-sibiliser les automobilistes à la sécurité des piétons, notamment des personnes accueillies.

• Une hotte aspirante a été installée dans le local dévolu au travail du bois (ateliers jardins) pour réduire les poussières génératrices de problèmes respiratoires.

• Certains extincteurs, peu accessibles, ont été déplacés.• A Lavigny, des barrières de sécurité ont été mises en place dans les cages

d’escalier.• Un inventaire complet et une harmonisation des produits chimiques a été effec-

tuée.• Dans les locaux que nous louons à Rolle, une cloison vitrée composée de

simple-vitrage a été remplacée par un double-vitrage sécurisé.A noter que relativement peu de mesures d’ordre architectural ont été mises en place à Plein Soleil : les bâtiments étant récents, les structures permettent de facto une application rigoureuse des normes de sécurité.

Amélie Buri

mesures et désignons une personne de référence pour la mise en œuvre avec des délais impartis. Il peut s’agir du responsable, du service technique, de Joëlle Giraud Michaud ou de moi-même. »Une année après la première analyse, une évaluation de contrôle est planifiée. Il n’est pas rare que lors de cette seconde visite, d’autres ris-ques soient identifiés. « C’est un processus continu, expli-que Alain, on ne peut jamais dire que l’objectif est atteint, l’identification des dangers est un questionnement per-manent, qui s’inscrit dans le temps. »

Nous sommes début janvier. Jeremy Legrand a pris ses fonctions en tant que responsable du secteur Intégration à Morges depuis quelques jours. Il me téléphone : « Il te reste de la place dans le prochain bulletin ? L’équipe de la Structure Transition a fait un chouette projet pour la fête de Noël, ça serait sympa si on pouvait présenter ça ! »

Le lendemain, j’ai donc rendez-vous à Morges avec Massimo De Pasquale et Manuel Burkhard, éducateurs à la Structure. « Le constat de départ, m’explique Massimo, c’est que depuis plusieurs années, la formule de la fête de Noël n’avait pas changé, et qu’on a eu envie d’un peu de renou-veau. » En effet, remontons un peu dans le temps… Jusqu’en 2009, le Noël de Morges était communautaire, avec spectacle de marionnettes et repas en commun avec tous les rési-dents et leurs familles réunis dans une grande salle. Depuis 2010, le concept a changé, avec une soirée moins collective. Après un apéritif en com-mun, à la grande salle de Tolochenaz, la soirée se poursuit dans chaque lieu de vie, avec un buffet dînatoire froid livré par la cuisine, dans une ambiance plus familiale et intimiste. « C’était très bien et le buffet était magnifique, note Manuel, mais ça fai-sait pas mal d’année que c’était tou-

jours un peu pareil. » Une idée germe alors dans l’esprit des éducateurs : cuisiner eux-mêmes le souper de fête. « Nous avons tout réalisé, de A à Z, sourit Massimo. On a choisi de faire une pasta-party, avec des salades en entrées et trois sauces à choix : « pesto, bolo, carbo ». De l’apéritif au dessert, tout était fait maison : pour les 5 éducateurs, ça a représenté deux

jours non-stop derrière les fourneaux ! La cuisine centrale nous a prêté des grands chauffe-plats et Maria Pinto, avec l’équipe des “fées du logis” nous aussi beaucoup aidés. » Un premier mouvement d’inquiétude de la part des représentants légaux et des familles n’a pas démotivé l’équipe socio-éducative. « Ce projet allait parfaitement dans le sens de

l’accompagnement qui est proposé à la Structure, précise Manuel, où nous tra-vaillons l’autonomie et les apprentissages sociaux. Les rési-dents du groupe ont participé aux préparatifs en réal-isant toute la décora-tion de l’appartement. Le tout a donné une ambiance festive et joyeuse et la soirée a

A la Structure transition : un Noël pas comme les autres...

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Février 2016

Photos : Joy Grossmann

Seema, résidente à la Structure Transition« J’ai beaucoup aimé de préparer la déco, tous les soirs on était tous ensemble autour de la table pour bricoler, même les éducateurs ! Et le soir-même, c’était vraiment très sympa. Mes parents et mon copain sont venus, ils ont beau-coup aimé les sauces. Les pâtes, c’est les éducateurs qui les ont cuites au fur et à mesure, ils ont beaucoup bossé, mais ça leur faisait plaisir : avant, le repas était tout prêt, posé sur la table et pis voilà. Là, c’est eux qui nous ont fait un joli buffet, tout fait maison, Christine a même fait les flûtes de l’apéritif ! Manu a fait des meringues, c’était super-bon, et on a eu 200 cupcakes de Margaux et Sophie, les gens ont pu en prendre avec eux en partant ! »

Seema, Massimo et Manuel

AB

été un grand succès ! »En effet, de 25 personnes annoncées, le nombre de convives à finalement passé à 45 et l’ambiance était au rendez-vous, avec un appartement bondé, avec de la musique, de la danse et au final des invités conquis. « Le succès de la première édition de cette formule nous encourage pour

la prochaine fois, sourit Massimo. L’objectif pour 2016 serait de pouvoir faire davantage participer les rési-dents, depuis la planification jusqu’à la réalisation du repas, en passant par les courses, etc., et s’appuyer sur l’événement pour travailler des objec-tifs avec eux. Ceci tout en restant vigilants à ne pas leur mettre trop de

pression, dans cette période de l’année qui est déjà bien remplie pour eux à tout point de vue ! »

L’Avent de Noël sur nos différents sitesLe dernier bulletin d’information étant paru à la mi-décembre, ce numéro vous propose un petit coup de projecteur en arrière, l’occasion de se souvenir de la lumière des fêtes de fin d’année...

... et pièces montées à la Résidence C1

Fenêtre de l’Avent aux Epices, avec barbe à papa... Noël!

Fenêtre des ateliers Eventail

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Février 2016

Marché de Noël à Lavigny

... et p’tit déj aux Ressources Humaines à Lavigny

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16Pièces montées à la Rési-dence C2...

Pièces montées à la Résidence C3

Noël de Morges avec un

mes-sage de l’aumô-nerie très imagé!

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Noël de Lavigny

Goûter avec les théra-peutes de Plein Soleil

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Confection de bis-cuits à Plein Soleil

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Verrée au 1er étage du premier foyer avec les RS et le centre de soins

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Coup d’oeil sur quelques récents épisodes

Le 7 janvier, l’Eventail ouvrait ses portes aux éducateurs pour leur présenter les activités de ses différents ateliers.

Décoration à Antares!

2222

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Fenêtre du service culture et loisirs à Plein Soleil

Fête de Noël de Plein Soleil!

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Février 2016

Offre de l’Atelier Info-Print à Plein SoleilParmi ses différentes prestations, l’atelier Info-Print vous

rappelle la possibilité de convertir vos disques et cassettes en CD ou MP3! Dès 6.- l’unité! Pour tout renseignement : tél. 021 651 28 21, ou par mail : [email protected].

Pour l’Epiphanie, le roi mage “Duvalthazar” (sous les traits de Julien Duval, chef de cuisine à Lavigny) est

venu en personne distribuer des parts de galette!

Des informations plus précises vous parviendront au fur et à mesure, dans le courant de l’année, mais notez d’ores et déjà ces dates importantes, où l’Institution ouvre ses portes au public!

L’équipe du Swin-Golf se réjouit de vous accueillir à nouveau, à partir du mardi 1er mars, dans son restaurant comme pour le jeu!

Bal masqué du Petit Nouvel-An à Lavigny le 10 janvier!

ÉVÉNEMENTS 2016 Des informations complémentaires

seront diffusées dans le courant de l’année

Mardi

22 marsCarnaval

Vendredi

2 décembre

Vendredi

16 décembreNoël

de Morges

Samedi

17 décembreDimanche

18 décembre

Dimanche

11décembre

Samedi

10 septembreFête annuelle

et mise à feu du bonhomme hiver

14h-16h

Saint-Nicolas

dès16hdès 18h

Sur le thème de «LA SUISSE»

dès 11h30devant l’école

RaisinéeConcert del’Avent

Noël de Plein Soleil

Noël de Lavigny

Les grandes dates à noter dans votre agenda!

Vendredi-samedi

28-29octobre

devant l’école

au centre de loisirs

à la chapelle

célébration à la chapelle, puis fête

à la cafétéria

Les dates 2016 à retenir!

Réouverture du Swin-Golf

Pour tout renseignement: Atelier Info-Print tél: 021 651 28 21 (ligne direct)

[email protected]

Vous ne pouvez plus écouter vos précieux disques vinyles ou vos cassettes audio,

nous pouvons vous les copier sur CD ou les convertir en format MP3.

Dès Fr. 6.- l’unité

Appartements à louer

Il reste des appartements à louer dans le quartier des Dalfines à Lavigny (4 pièces). Pour toute information, contacter Antonio Gallo, responsable du service des achats!

[email protected]él. 021 821 45 06