4
Commissaires Bulletin D’information N° 65 Janvier 2017 Cie Mardi 07 février 2017 : 17h Conférence sur : La transposition de la directive comptable, à la Maison des Professions Libérales de Nîmes, animée par Matthieu DITISHEIM et Frédéric VACHERET. Conférences sur le code de déontologie A Nîmes et Avignon – dates à venir Jeudi 1 er juin 2017 : 15h Prochaine commission de Liaison entre la CRCC de Nîmes et le Parquet Général de la Cour d’Appel de Nîmes. Parcours d’été 2017 (juillet) Dates et thèmes à venir Lundi 20 et mardi 21 novembre 2017 Assisses Nationales à Paris Compagnie Régionale des Commissaires aux Comptes De Nîmes Immeuble Arche Bötti 115 Allée Norbert Wiener 30035 Nîmes Tél : 04 66 29 58 14 Fax : 04 66 29 58 17 Email : [email protected] Site internet : www.crcc-nimes.fr & Agenda Votre nouveau Conseil Régional est entré en fonction en ce début d’année 2017. Les dernières élections ont renouvelé 7 des 14 membres, dont 5 nouveaux élus découvrent pour la première fois les fonctions au sein de notre Conseil. Le hasard des fins de mandat – deux mandats de quatre années au maximum – a fait que les plus anciens ont laissé leur place à des jeunes confrères qui ont fait acte de candidature pour venir donner de leur temps pour notre Profession. Je profite de cet éditorial pour remercier chaleureusement les membres expérimentés qui se sont tant investis au service de tous, mais qui, je le sais, demeurent mobilisés pour nous apporter leur expérience si besoin. Et je salue le courage et la détermination, soutenue par la fougue de la jeunesse, des nouveaux élus sur qui je sais pouvoir compter dès à présent. J’ai pour ma part eu l’honneur d’être porté à la Présidence de notre Conseil, et je ne compterai pas mon temps pour mener à bien les chantiers qui nous attendent. Car vous le savez, la mise en place de la Réforme Européenne de l’Audit n’est pas achevée, loin s’en faut. Notre nouveau Code de Déontologie est toujours attendu. Sa parution était prévue pour mi-décembre. Rien à ce jour. Nous continuons donc à nous référer à l’ancien, malgré les changements intervenus au travers de la Réforme, ce qui n’est pas satisfaisant. Le H3C a été investi des plus grands pouvoirs par les textes européens transposés. Néanmoins, les discussions menées lors de la rédaction des textes français, ont amené au principe d’une délégation à la CNCC de l’inscription, du contrôle qualité pour les mandats et cabinets non EIP, et du suivi de la formation. A cette fin, des conventions de délégation étaient en cours d’écriture. Celle relative à l’inscription était quasiment achevée fin décembre. Tout avançait donc, doucement mais sûrement. Et quelle ne fût pas la surprise lorsque, le 15 décembre, le H3C publiait un communiqué dans lequel il faisait part de sa décision de suspendre toute délégation à la CNCC, faute de financement du coût de ces délégations. Précisons néanmoins que la CNCC avait, de son côté, prévu le budget jugé nécessaire. Et le 23 décembre paraissait un Décret au Journal Officiel par lequel le taux de cotisation appelé pour le financement du H3C passait de 0.65% à 1% des honoraires pour les mandats EIP ! Le financement du fonctionnement du H3C semble donc trouvé, sans que nous ayons notre mot à dire. Voilà donc les nouvelles règles du jeu posées, et visiblement après disparition de l’esprit de discussion loué précédemment… Gageons que les délégations vont désormais pouvoir avancer. Leur finalisation est importante car cela reste la seule voie pour conserver une action dans l’organisation et l’animation de la Profession, tant au niveau national que régional. Nous devons pouvoir conserver en région un fonctionnement efficace, qui a fait ses preuves et nous satisfaisait tous pour l’accomplissement de notre métier. Nous travaillerons en ce sens au cours de cette année qui s’annonce âpre ! Le Président Jean DREVETON Edito Ardèche Gard Lozère Vaucluse

bulletin n 65 janv 2017) - CRCC Nîmes … · donc dicté par la Cour de Cassation. ... du Campus de la CCI - Le 30 novembre 2016 à ... Manoukian (cass. Com. 26 nov. 2003)

  • Upload
    vandung

  • View
    213

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Commissaires Bulletin D’information

N° 65

Janvier 2017

Cie

Mardi 07 février 2017 : 17h

Conférence sur : La transposition de la

directive comptable, à la Maison des

Professions Libérales de Nîmes, animée

par Matthieu DITISHEIM et Frédéric

VACHERET.

Conférences sur le code de déontologie

A Nîmes et Avignon – dates à venir

Jeudi 1er

juin 2017 : 15h

Prochaine commission de Liaison entre

la CRCC de Nîmes et le Parquet Général

de la Cour d’Appel de Nîmes.

Parcours d’été 2017 (juillet)

Dates et thèmes à venir

Lundi 20 et mardi 21 novembre 2017

Assisses Nationales à Paris

Compagnie Régionale des

Commissaires aux Comptes

De Nîmes

Immeuble Arche Bötti

115 Allée Norbert Wiener

30035 Nîmes

Tél : 04 66 29 58 14

Fax : 04 66 29 58 17

Email : [email protected]

Site internet : www.crcc-nimes.fr

&

Agenda

Votre nouveau Conseil Régional est entré en

fonction en ce début d’année 2017.

Les dernières élections ont renouvelé 7 des 14

membres, dont 5 nouveaux élus découvrent pour

la première fois les fonctions au sein de notre

Conseil. Le hasard des fins de mandat – deux

mandats de quatre années au maximum – a fait

que les plus anciens ont laissé leur place à des

jeunes confrères qui ont fait acte de candidature

pour venir donner de leur temps pour notre

Profession.

Je profite de cet éditorial pour remercier

chaleureusement les membres expérimentés qui

se sont tant investis au service de tous, mais qui,

je le sais, demeurent mobilisés pour nous

apporter leur expérience si besoin.

Et je salue le courage et la détermination,

soutenue par la fougue de la jeunesse, des

nouveaux élus sur qui je sais pouvoir compter

dès à présent.

J’ai pour ma part eu l’honneur d’être porté à la

Présidence de notre Conseil, et je ne compterai

pas mon temps pour mener à bien les chantiers

qui nous attendent.

Car vous le savez, la mise en place de la Réforme

Européenne de l’Audit n’est pas achevée, loin

s’en faut.

Notre nouveau Code de Déontologie est

toujours attendu. Sa parution était prévue pour

mi-décembre. Rien à ce jour. Nous continuons

donc à nous référer à l’ancien, malgré les

changements intervenus au travers de la

Réforme, ce qui n’est pas satisfaisant.

Le H3C a été investi des plus grands pouvoirs

par les textes européens transposés.

Néanmoins, les discussions menées lors de la

rédaction des textes français, ont amené au

principe d’une délégation à la CNCC de

l’inscription, du contrôle qualité pour les

mandats et cabinets non EIP, et du suivi de la

formation. A cette fin, des conventions de

délégation étaient en cours d’écriture. Celle

relative à l’inscription était quasiment achevée

fin décembre. Tout avançait donc, doucement

mais sûrement.

Et quelle ne fût pas la surprise lorsque, le 15

décembre, le H3C publiait un communiqué dans

lequel il faisait part de sa décision de suspendre

toute délégation à la CNCC, faute de financement

du coût de ces délégations.

Précisons néanmoins que la CNCC avait, de son

côté, prévu le budget jugé nécessaire.

Et le 23 décembre paraissait un Décret au Journal

Officiel par lequel le taux de cotisation appelé

pour le financement du H3C passait de 0.65% à

1% des honoraires pour les mandats EIP ! Le

financement du fonctionnement du H3C semble

donc trouvé, sans que nous ayons notre mot à

dire.

Voilà donc les nouvelles règles du jeu posées, et

visiblement après disparition de l’esprit de

discussion loué précédemment…

Gageons que les délégations vont désormais

pouvoir avancer. Leur finalisation est importante

car cela reste la seule voie pour conserver une

action dans l’organisation et l’animation de la

Profession, tant au niveau national que régional.

Nous devons pouvoir conserver en région un

fonctionnement efficace, qui a fait ses preuves et

nous satisfaisait tous pour l’accomplissement de

notre métier.

Nous travaillerons en ce sens au cours de cette

année qui s’annonce âpre !

Le Président

Jean DREVETON

Edito

Ardèche Gard Lozère Vaucluse

La réforme du droit des contrats

Réunion commune CGPME Vaucluse et

CRCC de Nîmes

L’ordonnance du 10 février 2016 portant sur la réforme du droit des contrats, du régime

général et de la preuve des obligations

Pour la quatrième année consécutive, la CGPME de Vaucluse a

proposé à notre CRCC de présenter un thème d’actualité à ses

adhérents à l’occasion d’une rencontre matinale au campus de

la CCI de Vaucluse le 30 novembre dernier.

Après avoir présenté «le CICE » en 2013, « les Simplifications »

en 2014, et répondu à la question « Faut-il encore transformer

sa SARL en SAS ? » en 2015, le thème choisi cette année

traitait de la réforme du code civil entrée en vigueur le 1er

octobre dernier.

Le sujet a été porteur et a réuni, au campus de la CCI de

Vaucluse, plusieurs confrères parmi les adhérents CGPME de

Vaucluse.

� Nécessité de réforme du Code Civil de 1804

Le code civil n’a connu que deux réformes importantes

seulement en 210 ans (modération des clauses pénales en

1985 et forme électronique des contrats en 2004).

Beaucoup de points apparaissaient absents et le droit était

donc dicté par la Cour de Cassation.

L’ordonnance du 10 février 2016 est née de la volonté de

réforme de Madame Taubira. Madame Taubira ayant souhaité

le modifier par voie d’ordonnance, il n’y a pas eu de travaux

parlementaires, mais un rapport au Président de la République

pour promulgation.

Il contient une mine d’informations : n’hésitez pas à vous y

reporter !

L’entrée en vigueur le 1er

octobre 2016 fait que les contrats

conclus antérieurement sont soumis à la loi ancienne et à la

jurisprudence ancienne mais attention :

� Le juge va avoir tendance à retenir les textes nouveaux

pour inspirer ses décisions ;

� Un contrat tacitement reconduit bascule sous droit

nouveau car la loi considère que c’est un contrat

nouveau.

Les articles sont renumérotés, l’article bien connu, par

exemple, numéro 1382 devient l’article numéro 1240 : « Tout

fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage,

oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. »

� Les objectifs de la réforme

1- Intelligibilité : utilisation d’un français contemporain,

selon la règle constitutionnelle (16 déc. 1999)

2- Permettre de faire des affaires (Business friendly) : c’est

une approche libérale, la liberté contractuelle est un

principe directeur qui a valeur constitutionnelle

Petit déjeuner à l’Ecole Hôtelière d’Avignon

du Campus de la CCI - Le 30 novembre 2016 à

8h30, animé par Coralie SENEZ

3- Equilibre - Justice sociale : on est conforme ici à

l’approche française de protection du plus faible, à

l’inverse de celle du common law des pays anglo-

saxons, la bonne foi en est le fil conducteur.

� La formation du contrat

De nombreux points nouveaux concernent ce chapitre.

Est désormais défini à l’article 1110 le contrat d’adhésion :

c’est celui « dont les conditions générales, soustraites à la

négociation, sont déterminées à l'avance par l'une des

parties. » En cas d’adhésion, il y a interdiction des clauses

abusives, et le juge protègera celui qui a accepté plutôt que

celui qui les a rédigées … on y adhère plus qu’on y consent,

donc on protège le plus faible.

La liberté de négociation pré-contractuelle est traitée

désormais à l’article 1112 en reprenant la jurisprudence

Manoukian (cass. Com. 26 nov. 2003). Il y est indiqué que ne

pas contracter n’est pas fautif, sauf s’il existe une volonté de

nuire. En cas de faute délictuelle, il y aura indemnisation des

frais engagés mais en aucun cas de la plus-value ou de la

marge envolée.

Le devoir général d’information pré-contractuelle est défini

à l’article 1112-1 : « Celle des parties qui connaît une

information dont l'importance est déterminante pour le

consentement de l'autre doit l'en informer dès lors que,

légitimement, cette dernière ignore cette information ou fait

confiance à son cocontractant.

Néanmoins, ce devoir d'information ne porte pas sur

l'estimation de la valeur de la prestation.

Ont une importance déterminante les informations qui ont

un lien direct et nécessaire avec le contenu du contrat ou la

qualité des parties.

Il incombe à celui qui prétend qu'une information lui était

due de prouver que l'autre partie la lui devait, à charge

pour cette autre partie de prouver qu'elle l'a fournie.

Les parties ne peuvent ni limiter, ni exclure ce devoir.

Outre la responsabilité de celui qui en était tenu, le

manquement à ce devoir d'information peut entraîner

l'annulation du contrat dans les conditions prévues aux

articles 1130 et suivants. »

Une offre est désormais engageante ! La rétractation est

possible mais engagera la responsabilité extra-contractuelle

de l’offrant. En revanche, une promesse unilatérale

entraînera l’exécution forcée.

Le chapitre traite également du pacte de préférence et de

l’action interrogatoire. Cette dernière est une innovation

législative qui vise à limiter la période d’incertitude d’un

acquéreur s’interrogeant sur l’existence d’un pacte de

préférence… a priori particulièrement utile en cas de

cessions d’actions.

Les conventions ne sont en revanches pas définies, le terme

n’existe pas dans le code. Ainsi, quid des conventions

réglementées qui font l’objet du rapport spécial du

commissaire aux comptes ?

� La validité du contrat

La violence économique devient une cause d’annulation du

contrat. Les trois conditions de la violence économique sont

les suivantes : abus de faiblesse - engagement – avantage

excessif.

En France toutefois, sauf violence économique, le défaut

d’équivalence des prestations n’est pas une cause de nullité

(art. 1168) ; « Qui dit contractuel, dit encore juste » Alfred

Fouillée.

La voie électronique est possible et le texte reprend les lois

de 2000 et 2004.

La caducité est définie comme l’annulation des effets du

contrat pour l’avenir. C’est nouveau (art. 1186).

� Les effets du contrat

Les principes directeurs sont l’effet obligatoire entre les

parties et la bonne foi.

L’article 1188 oblige à une interprétation objective nouvelle

des contrats : « Le contrat s'interprète d'après la commune

intention des parties plutôt qu'en s'arrêtant au sens littéral

de ses termes.

Lorsque cette intention ne peut être décelée, le contrat

s'interprète selon le sens que lui donnerait une personne

raisonnable placée dans la même situation. »

Le texte innove avec la révision pour imprévision, article

1195, qui constitue un renversement total des décisions de

la cour de cassation depuis deux siècles : « Si un

changement de circonstances imprévisible lors de la

conclusion du contrat rend l'exécution excessivement

onéreuse pour une partie qui n'avait pas accepté d'en

assumer le risque, celle-ci peut demander une renégociation

du contrat à son cocontractant. Elle continue à exécuter ses

obligations durant la renégociation.

En cas de refus ou d'échec de la renégociation, les parties

peuvent convenir de la résolution du contrat, à la date et

aux conditions qu'elles déterminent, ou demander d'un

commun accord au juge de procéder à son adaptation. A

défaut d'accord dans un délai raisonnable, le juge peut, à la

demande d'une partie, réviser le contrat ou y mettre fin, à la

date et aux conditions qu'il fixe. »

� L’inexécution du contrat

Innovation également avec la suspension par anticipation

(art.1220) : « Une partie peut suspendre l'exécution de son

obligation dès lors qu'il est manifeste que son

cocontractant ne s'exécutera pas à l'échéance et que les

conséquences de cette inexécution sont suffisamment

graves pour elle. Cette suspension doit être notifiée dans

les meilleurs délais. », et la réduction de prix (art. 1223) :

« Le créancier peut, après mise en demeure, accepter une

exécution imparfaite du contrat et solliciter une réduction

proportionnelle du prix. S'il n'a pas encore payé, le

créancier notifie sa décision de réduire le prix dans les

meilleurs délais. »

C’était pratiqué, c’est maintenant légal.

Un tempérament à l’exécution forcée en nature est prévu

à l’article 1221 : « Le créancier d'une obligation peut,

après mise en demeure, en poursuivre l'exécution en

nature sauf si cette exécution est impossible ou s'il existe

une disproportion manifeste entre son coût pour le

débiteur et son intérêt pour le créancier. ». La piscine ne

sera pas forcément détruite parce qu’il manque une

marche par rapport au plan d’origine …

� Les opérations sur obligations

Les cessions de créance seront plus simples (Art. 1322 et

suivants), car même si la formalité d’enregistrement ne

suffit plus et que l’écrit est obligatoire, il n’est plus

nécessaire de faire signifier l’acte par exploit d’huissier. Il

faut toutefois notifier la cession au débiteur ou obtenir de

sa part « prise d’acte ».

� La preuve du contrat

L’écrit électronique et la copie fiable sont reconnus

probants.

L’acte sous seing privé contre-signé par avocat est

reconnu par l’Art. 1374, mais contrairement à l’acte

authentique signé devant notaire, cet acte ne bénéficie ni

de la date certaine, ni de la force exécutoire. Les avocats

ne semblent pas enthousiastes à le pratiquer …

Le code civil, sur le droit des contrats, a été

essentiellement rénové mais comprend toutefois des

innovations dont le monde du droit bien sûr, le monde des

affaires, et le monde des chiffres, devra tenir compte.

Il a été rappelé tout au long de la présentation le rôle du

commissaire aux comptes en matière de traitement des

conséquences juridiques et comptables de la vie des

contrats, du précontrat à sa caducité éventuelle, dans les

comptes des entités auditées.

Coralie SENEZ

La réforme du droit des contrats

Le Conseil Régional 2017-2018 de la CRCC de Nîmes

Brèves pratiques - Actualité Professionnelle

Compagnie Régionale des

Commissaires aux Comptes

De Nîmes

Immeuble Arche Bötti

115 Allée Norbert Wiener

30035 Nîmes

Tél : 04 66 29 58 14

Fax : 04 66 29 58 17

Email : [email protected]

Site internet : www.crcc-nimes.fr

Rappel : Formation :

Les attestations de présence aux formations sont maintenant disponibles en téléchargement sur votre

espace participant sur le site des formations du Portail de la CNCC.

Rappel : Attestation d’inscription :

Pendant la période transitoire liée à la réforme européenne de l’audit, les compagnies ne peuvent plus

délivrer d’attestations d’inscription ; dans l’attente de la signature des conventions de délégations, il

convient de s’adresser au secrétariat du H3C par mail : [email protected]

Le nouvel outil de la CNCC : SmartFEC :

Cet outil accompagnera les professionnels dans la modernisation de leur démarche d’audit à travers

l’analyse de données, à partir de requêtes pré-programmées. Vous pouvez le découvrir sur le Portail de la

CNCC dans SIDONI (https://doc.cncc.fr/outils-et-packs).

Le bureau 2017-2018

Les autres membres du Conseil Régional 2017-2018

Président

Jean

DREVETON

(84)

Vice-présidente

Isabelle

FOSCO

(84)

Vice-président

Jean-Brice

ROUVIERE

(30)

Trésorier

Matthieu

DITISHEIM

(30)

Secrétaire

Philippe

BERTRAND

(30)

Maryse BELLAGAMBA (30), Frédéric DAGUTS (48), Gaelle GILLET (30), Pierre PHILIPPE (84),

Jean-Pierre QUERBES (30), Rémy RE (84), Philippe RUIU (84), Coralie SENEZ (84), Frédéric VACHERET (30).

Le LOGO CAC :

Une identité visuelle pour les commissaires aux comptes :

La CNCC a créé un logo pour les commissaires aux

comptes, pour les aider à mieux faire connaître leur métier

et à défendre leur rôle.

La CNCC vous propose cette nouvelle identité qui ne se

substitue pas aux identités des cabinets existantes, elle

vient en plus, en caution, pour marquer votre

appartenance au réseau des commissaires aux comptes.

Vous pouvez donc associer votre propre identité à cette

nouvelle identité collective sur de nombreux supports de

communication.

Ce logo CAC (disponible en plusieurs coloris) est

téléchargeable sur le portail CNCC (Page d’accueil

https://www.cncc.fr - dans Actualités du 25 janvier 2017).

La CRCC de Nîmes lance son compte Twitter :

@CRCC_Nimes

N’hésitez pas à le suivre et à vous lancer sur le réseau !