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… et Dieu dit : « que la lumière soit ! » et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne. Dieu sépara la lumière de la ténèbre. Dieu appela la lumière «jour » et la ténèbre « nuit ». Il y eut un soir, il y eut un matin : premier jour. Directeur Gérant : Jean-Pierre NOGUIER

BULLETIN Avril 2012 Lumière

Hospitalité de Touraine Maison Diocésaine « le Carmel » 13 rue des Ursulines BP 41117 37011 TOURS cedex Tél./Fax : 02 47 31 14 48 hospitalite.de.touraine@gmail.com www.hospitalitedetouraine.org

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SOMMAIRE Le mot de l’aumônier 2 Celui du président 4 Edito 5 Thème de l’année 6 Fête à Ste Maure 8 Assemblée Générale 10 Mouvements Lourdes info 15 Le carnet 23

La parole est à notre aumônier

Même la ténèbre, pour Toi n’est pas ténèbre, Et la nuit comme le jour est lumière Ps 138,12 Le jour, la nuit nous parlent de la vie de chaque instant : c’est le rythme quotidien et chacun expérimente le jour en son aurore, son plein midi ou son couchant (ce qui est aussi une image des âges de la vie). Chacun expérimente la nuit dans la profondeur du sommeil « Dieu comble son bien-aimé quand il dort » (Ps 126,2), dans les inquiétudes de l’insomnie, la douceur ou la terreur des rêves ou les élancements de la souffrance. Ces expériences ont une double signification. La première sur la conduite de notre vie : la lumière et les ténèbres y sont incompatibles : il faut choisir. « Tout homme qui fait le mal déteste la lumière, de peur que ses œuvres ne lui soient reprochées ; mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient reconnues comme des œuvres de Dieu » (Jn 3, 20-21) La vie chrétienne est ce passage progressif des ténèbres à la lumière. Passage donné par grâce dans le baptême, mais aussi route à vivre pour aller jusqu’en terre promise. (le couronnement de la Vierge Fra Angelico)

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Carnet

Rose blanc bleu 19 novembre Enguerrand Drouineau, enfin le garçon … Fils de Nathalie et Pierre Petit fils de Monique de Corbiers

Nos amis disparus Novembre 2011 la maman de Nadine Guérault Novembre Jacqueline REDOR Novembre Jacqueline Boucault 10 décembre la maman de Christian Massé Décembre la maman de Stéphanie Bousseau Janvier 2012 Jacques Perchais malade venu en mai 2011 Janvier André Jaulin malade venu en août 2012 6 Février le père d’Olivier Martini Février l’épouse de Celestino dos Santos 20 Février France et Henri Clouet parents de Béatrix Février le père de Marie-Christine Sarazin Cité du Vatican, 22 février 2012. Le Saint-Père à nommé : l'Abbé Olivier de Germay, Evêque d'Ajaccio. L'Evêque élu, né en 1960 à Tours (France) et ordonné prêtre en 1998, il était jusqu'ici Vicaire épiscopal du diocèse de Toulouse. Olivier est le fils de Claude et Christian de Germay. Nos prières l’accompagneront dans sa lourde tâche. (Ascension vers l’empyrée Jérôme Bosch)

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Les pèlerins du mois de mai, qui regarderont dans une niche située derrière les grandes orgues pourront voir cette image d’une statue de la vierge, dite de « l’adoration des mages », provenant de l’église de St Paterne Racan. Très belle statue en terre cuite du XVIIème. Elle sera située juste à coté de la prière du « Notre Père » installée en 2011.

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La lumière et les ténèbres parlent aussi plus largement de la rencontre entre Dieu et l’humanité, entre Dieu et chaque être humain, et là il n’y a pas forcement opposition ! Toutes les grandes œuvres de Dieu sont présentées de nuit : la délivrance d’Egypte, la naissance et l’agonie de Jésus, le soleil s’obscurcit au calvaire et la résurrection ne se laisse deviner qu’au point du jour. Le verset du psaume 138 cité dans le titre s’applique parfaitement au mystère pascal du Christ. L’histoire de l’Eglise est marquée par les persécutions, dès le début et cela dure encore, tous les saints ont connu une nuit de la foi. La vie spirituelle de chacun est à la fois vécue dans la lumière, mais aussi dans la nuit obscure. Cela tient à la nature même de la foi : elle est un lien entre Dieu et nous, mais ce lien ne laisse aucune trace extérieure expérimentale, elle ne tient qu’à une promesse dans la confiance en une Parole. Cela tient aussi à la nature de Dieu qui est par nos moyens humains ‘totalement inconnaissable’. Il ne faut donc pas nous étonner si la lumière du Christ en notre vie est à l’image d’une luciole, de la flamme d’une lampe à huile dont notre vie est le combustible. Voici comment s’exprimait saint Jean de la Croix, grand mystique et grand poète : Je sais une source qui jaillit et s’écoule. Mais c’est au profond de la nuit. Cette source éternelle, elle reste cachée ; mais je n’ignore pas d’où elle prend naissance Et c’est au profond de la nuit… Jamais son bel éclat ne pourra s’obscurcir : toute lumière auss,i d’elle seule jaillit. Mais c’est au profond de la nuit.

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Je sais bien que ses flots sans cesse débordants arrosent l’abîme, la terre et tous les peuples Mais c’est au profond de la nuit… Écrit au cachot de Tolède en 1578 Œuvres complètes Cerf p 150-153

Abbé Jean-Pierre Belliard

Et à notre Président

La Lumière, A l’évocation de ce mot, je revois les regards entre malades et hospitaliers pris au hasard du pèlerinage d’août par Léonard et que Michel a eu la gentillesse de nous montrer à la dernière fête des malades (Merci à eux deux). Quand on sait tout le poids de misère et de souffrance qui peut se cacher dans chacun d’entre nous, ces regards lumineux sont des défis à la raison. Ces regards pleins de lumière sont en fait le regard du Christ aimant qui habite en chacun de nous. Prenons le temps de le voir et cultivons ces moments privilégiés où chacun se met à l’écoute de l’autre, où chacun reconnaît en l’autre son frère dans l’Amour de Dieu et laissons alors simplement agir Dieu par notre intermédiaire. Cette nouvelle année devrait voir la finalisation des visites entre les pèlerinages avec comme objectif de multiplier les occasions de ces échanges plein de lumière et d’améliorer ainsi la qualité de nos pèlerinages à Lourdes.

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Récollection

LE CHAPELET SUR LE TERREAU DES PSAUMES Une conviction préside à ce travail : comme tous les juifs de leur temps, Jésus, Marie et Joseph connaissaient et pratiquaient la prière des psaumes. En toute situation des versets leurs revenaient au cœur : nous en avons un exemple dans le Magnificat, dans les paroles mises sur les lèvres de Jésus lors de sa passion. La recherche consiste donc à associer aux différents mystères du rosaire un ou plusieurs psaumes : c’est une manière d’enrichir notre méditation en voyant comment ils nous parlent de la vie de Jésus et de Marie. Il y a bien sûr le sens premier du psaume dans son utilisation d’origine par Israël, mais les psaumes ont été une manière de relire dans le culte une histoire vécue : pour dire merci, pour louer gratuitement ou pour demander pardon. Nous pouvons retrouver aujourd’hui ce sens pour nos vies, pour que les psaumes parlent dans notre aujourd’hui et là, c’est à chacun de chercher et de trouver ! Nous en aurons un compte rendu complet dans le prochain bulletin

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certifié que le mode de cette guérison reste inexpliqué dans l’état actuel des connaissances scientifiques. Soeur T… Le CMIL (Comité Médical International de Lourdes), dans sa séance du 19 novembre 2011 à Paris, d’après le rapport du Professeur Franco Balzaretti (qui avait obtenu en octobre 2010, en complément de dossier, un électromyogramme ainsi que des expertises neurologiques, neurochirurgicales et orthopédiques et un examen collégial, le 30 avril 2011, avec lui-même et des spécialistes chirurgiens et un médecin spécialiste en rhumatologie) par vote secret, avec plus des 2/3 des voix, a certifié que le mode de cette guérison reste inexpliqué dans l’état actuel des connaissances scientifiques.

Un « film de lumière » de Jean Sagols … à voir

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Nous vivons des instants privilégiés avec les malades et les autres hospitaliers sous le regard aimant de Marie, ne gardons pas ces trésors pour nous, parlons en autour de nous et invitons nos amis et nos connaissances à connaître aussi de telles joies. L’année se terminera par un grand rassemblement de chrétiens de Touraine engagés dans une vie en mouvement comme l’a voulu notre Archevêque. A cette occasion il nous est demandé de réfléchir autour de trois questions :

- qu’avons-nous de commun ? - qu’avons-nous à partager en Eglise ? - qu’avons-nous à dire au monde ?

Merci à chacun de nous faire part de ces commentaires sur ces différents thèmes. Et que la lumière brille en chacun de nous.

Le Président Jean-Pierre Noguier

EDITO Un message de vœux qui tombe à propos … Une lumière dans la nuit Il est des jours où l'on ne veut pas voir. Des jours où l'on ne veut pas entendre. On ferme ses yeux et ses oreilles, comme on ferme une porte, une persienne. Alors on se laisse aller à sa nuit, à la nuit de sa colère et de sa haine. Il est des nuits en moi, des grandes nuits, des obscurités. Et soudain tu es là : tu viens dans le silence, à pas de loup, tu me touches l'épaule.

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Mes volets s'ouvrent, mon ciel s'éclaire. Les démons de la nuit s'enfuient et tout devient possible. Seigneur mon Dieu, tu es le Dieu de la lumière et de la paix. Donne- moi cette paix, que je puisse à mon tour la donner aux autres. Fais de moi un porteur de lumière, de paix et de joie chaque jour de cette année 2012. Qu'elles soient communicatives. Qu'elles s'allument comme autant de feux, pour éclairer, réchauffer, Embraser tous ceux qui sont capables d'aller au-delà de leur nuit pour te rencontrer mon Dieu. Bonne année 2012 à chacun !

Père Jean-Pierre Gaillard, curé de la paroisse St Laurent - Stes Marie, Délégué épiscopal au monde des jeunes, délégué diocésain chargé du suivi des équipes d'animation pastorale

Avec Bernadette prions le chapelet “Moi, je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres mais aura la lumière de la vie”.

Évangile selon saint Jean (chapitre 8, verset 12) En 2012, nous voulons mettre la prière du chapelet dans la lumière de Bernadette, la lumière qui enveloppait la Mère de Dieu pendant les apparitions et qui est la lumière que Dieu nous donne pour mettre nos pas dans les pas de son fils. Par notre désir de venir à la Grotte, Lourdes est un acte de prière. Nous y retrouvons la Vierge Marie et la petite Bernadette, la plus pauvre des plus pauvres. Marie s’associe à la prière de Bernadette, elle prie avec elle : « ensemble nous dîmes le chapelet ».

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Lourdes informations Monseigneur Perrier , évêque de Tarbes et de Lourdes depuis le 16 janvier 1998 laisse sa place à Monseigneur Brouwet. Deux nouvelles guérisons inexpliquées dans l'état a ctuel des connaissances scientifiques Lors de leur réunion annuelle, qui s’est tenue à Paris les 18 et 19 novembre 2011, les médecins du Comité Médical International de Lourdes (C.M.I.L.) ont rendu leurs conclusions sur certains cas de guérisons qui leur étaient présentés par le docteur Alessandro de Franciscis, directeur du Bureau Médical de Lourdes. Au cours de leur rencontre, ils ont voté à une majorité des deux tiers en faveur du caractère inexpliqué de deux de ces guérisons, "dans l’état actuel des connaissances scientifiques". Ce vote clôt les analyses et recherches médicales concernant ces deux personnes, dont les dossiers vous sont synthétiquement présentés ci-dessous. À la suite de cette décision, il revient à l’évêque de Tarbes et Lourdes de transmettre les deux dossiers aux évêques des diocèses des deux personnes guéries. Ils ont désormais la responsabilité de l’interprétation religieuse que l'Église donnera de ces guérisons Mme C… Le CMIL (Comité Médical International de Lourdes), dans sa séance du 19 novembre 2011 à Paris, d’après le rapport du Professeur Fausto Santeusanio, par vote secret avec plus des 2/3 des voix a

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Jeunesse Lumière

En quelques mots: Jeunesse Lumière est une "école d'Evangélisation". Elle propose donc à des jeunes de 18 à 30 ans venant de toutes nationalités de prendre une année sabbatique dans cette école de vie (vie communautaire), de prière, de formation (formation théologique, philosophique, humaine...) et de mission (l'Ecole organise quatre temps de mission de une à deux semaines pendant l'année.) Comment est née Jeunesse Lumière ? En 1981, après de longues années en Afrique puis en ermitage, Daniel-Ange perçoit un appel pressant à porter l'Evangile au monde de la jeunesse. Une évidence l’habite : les premiers témoins de Dieu pour les jeunes, ce sont les jeunes eux-mêmes ! Intuition rejoignant la certitude si souvent affirmée de JP II : vous, les jeunes, vous êtes les premiers apôtres et évangélisateurs du monde de la jeunesse. Contact : Jeunesse-Lumière Pratlong 81330 Vabre www.jeunesse-lumiere.com

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Marie prie avec tous les pèlerins. La prière est l’action de l’Esprit dans notre cœur. Le Chapelet sera le grand support de toute notre prière durant le pèlerinage. Il est un extraordinaire élément pédagogique puisqu’il contient toutes les prières essentielles du chrétien : Le signe de la Croix, le Credo, le Notre Père, le Je vous Salue Marie et le Gloria. Avec le chapelet nous allons méditer les différents Mystères du Rosaire qui nous conduisent à Jésus par Marie, et le Rosaire est la méditation de l’ensemble des vingt mystères, soit quatre chapelets. Avec le chapelet, mettons-nous à l’Ecole de Marie et de Bernadette, pour nous laisser saisir par la contemplation de la beauté du visage du Christ et faire l’expérience de son amour infini. Ne récitons pas à toute allure nos prières, prenons le temps de savourer chacun des mots qui les composent. Commençons donc par tracer sur nous un beau et lent signe de croix « Le Signe de la Croix avec Bernadette», c’était le thème de l’année2010, Puis « Avec Bernadette, prions le Notre Père », thème de l’année 2011, Poursuivons notre prière par la méditation des dix Ave avec Bernadette et prions le Chapelet. Que sait-on sur l’histoire du rosaire ? Non, St Paul n’a pas dit son chapelet. Non, les chrétiens n’ont pas attendu le XVème siècle pour prier Marie. L’Ave Maria s’est constitué progressivement … le salut avec les mots de l’archange, ensuite la bénédiction d’Elisabeth, puis le nom de Jésus. La seconde partie remonte au moins au XVème siècle. Chaque invocation était considérée comme une « rose » (rosaire) qui contribuait à former un petit chapeau (chapelet) comme il était coutume de coiffer les statues vénérées.

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La rose, reine des fleurs au moyen-âge, était le symbole de la femme aimée (voir le roman de la rose, Ronsard…). Que dire des rosaces de nos cathédrales … A la place des psaumes (150) chantés par les moines, se sont substitués 150 pater pour le peuple, moins cultivé. Déjà une cordelette avec des nœuds, permettait de se repérer. Puis les Ave Maria replacèrent les Pater (psautier de la Vierge). Au XVème siècle les Dominicains, frères prêcheurs, exposèrent les mystères de la foi proposés à la méditation, de dizaine en dizaine. Ils firent du Rosaire une école de méditation mais aussi une école de Foi.

La fête à Ste Maure de Touraine Non, toutes les fêtes de l’hospitalité, ne se ressemblent pas ! Certes l’organisation reste la même : arrivée tumultueuse, messe, repas, animation, rétrospective, départ…

Toujours une belle ambiance, beaucoup de joie à se retrouver. Le nombre de participants stagne, si l’on peut dire, autour de 350 chaque année … Mais,

le cadre, lui, est chaque fois différent. Nous étions cette fois dans le pays du fromage … de chèvre!

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''Les nuages se sont ouverts et ta lumière, Seigneur, est venue jusqu'à nous.''

Organisé en communautés de rencontre à taille humaine, Foi et Lumière regroupe à parts égales des personnes ayant un handicap mental, leur famille et des amis, spécialement des jeunes. Les membres de chaque communauté se retrouvent régulièrement pour des temps de fête, de partage, d’amitié et de prière. Foi et Lumière compte aujourd’hui 1648 communautés réparties en 50 provinces sur les cinq continents, soit 79 pays et 38 langues différentes. Les deux tiers des pays où Foi et Lumière est présent sont en grandes difficultés économiques ou instabilité politique. Sans distinction d’âge, ni de milieu social, ni de culture, les membres des communautés Foi et Lumière appartiennent à différentes traditions chrétiennes : catholique, protestantes, anglicane, orthodoxe… Le siège et le secrétariat de Foi et Lumière international sont en France. Il emploie trois salariés, la quasi-totalité du mouvement reposant sur un bénévolat engagé et très actif. En France on compte 310 communautés Foi et Lumière dont 16 accueillant de jeunes enfants. Contact en touraine Mlle Sandrine Le Noblet sandrinelenoblet@free.fr

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l’hôpital de Nancy promit de faire pour les autres polios ce qu’il n’avait pu réaliser pour cette interne. Avant de mourir, elle avait formulé un vœu : aller prier à Lourdes. En 1963 le « Pélé Polios » est né et renouvelé seulement tous les 5 ans, pour des raisons de techniques difficiles à mettre en œuvre et à cause de son coût très important. Dés le début de cette aventure, chaque personne handicapée est accompagnée par une personne valide afin de constituer ensemble « un tandem » tout au long du voyage et de la rencontre à Lourdes. L’association « Pélé Polios » est créée, authentique réseau d’amitié entre valides et handicapés à travers toute la France mais aussi avec des pays amis. Si aujourd’hui la maladie de la polio a heureusement complètement disparu de notre continent, il existe encore beaucoup de personnes touchées par des maladies neurologiques, victimes d’accident de la vie ou insuffisantes respiratoires. Aussi, en 2009 notre association décide de changer de nom et devient “ Vie et souffle dans le monde ”. Ce nom a été suggéré par une personne handicapée pour qui nos rencontres apportent Vie et Souffle dans son quotidien. Contact en Touraine Perrine Brunet Responsable animation et hospitalière

www.vieetsouffledanslemonde.org6 70 60 20 47

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Trois prêtres pour une messe en l’église dédiée à deux sœurs saintes et jumelles : Maure et Britte ; le curé, l’abbé Vu Van Tho,

concélébrait avec notre aumônier et l’abbé Bouzy.

Assistance nombreuse (il y avait un pot en fin de cérémonie …).

C’était une première pour cette paroisse, l’hospitalité n’était encore jamais venue … Belle salle pour nous accueillir, juste assez grande, suffisante néanmoins : tout le monde a pu déjeuner à l’aise, avant que le spectacle ne se mette en place. Une voix tout d’abord, Bénédicte et son compère André. Spectacle bien rodé, tout le monde a pu donner de la sienne (de voix). Place ensuite à la danse et aux violes maintenant, ces dames en robes aux couleurs chatoyantes, ces messieurs en blouses et chapeaux …des auvergnats

donc ! Nous avions aussi la « brodeuse » d’époque. Bel ouvrage en vérité !

Une rétrospective, enfin, pour clore, de l’année. Un peu « people » parfois … l’année fut riche en évènements d’importances dans le monde Et autour de nous !

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Des fleurs, des fleurs … toujours Merci Mr, Mme Pinguet. Bonne année, et à Bourgueil en 2012.

Assemblée Générale Une bonne ambiance, organisation bien rodée : accueil, pointage, règlement des cotisations, distribution des reçus fiscaux, bises, papotages … voilà 2 mois pour le moins que l’on ne s’est vu ! En attendant l’ouverture officielle, présentation d’une vidéo, assemblage des photos du dernier pèlerinage. Merci Léo pour ces magnifiques clichés, merci Claire de les avoir assemblés. Du travail de pro… que l’on reverra en fin d’AG. (Photos disponibles bien évidemment). Tout d’abord, après une prière à Marie, bonne ouverture, notre président nous demande d’avoir une pensée pour deux rescapés de bloc … Maïck et Bernard ; et tous ceux, absents pour raisons de santé, assez nombreux, ont pensé à nous au fond de leur lit ! Après un mot de notre nouvel aumônier, dont s’est la première séance, notre assemblée commence.

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Le lampesier ou lampier désignait un lustre formé d’un cercle (en argent, en cuivre, en fer ou en bois) souvent d’un large diamètre, portant de petits godets à huile munis de mèches, et suspendu par une ou plusieurs chaînes, ordinairement trois. Lorsque les lampiers supportaient un grand nombre de godets, ou parfois de chandelles de cire, ils recevaient le nom de couronne de lumière ou de roue. On les allumait en leur intégralité pour les fêtes solennelles. Des rentes fixes et des donations parfois importantes étaient affectées à leur entretien dans les grandes églises. Plus riches que les simples lampiers, les Couronnes étaient faites de cuivre doré, enrichies d’émaux, de boules de cristal, de dentelles découpées dans le métal, de pendeloques, destinées à rehausser l’éclat des lumières. Les orfèvres médiévaux leur avaient ainsi donné un aspect éblouissant. Car, outre sa fonction utilitaire et son éclat qui consonait avec les réfractions des verrières du gothique, la Couronne de lumière, expression d’une mystique de la lumière, présentait aux yeux des fidèles, les jours de fête, l’image de la Jérusalem Céleste et du Christ, lumière éclairant le monde que signifiait l’orbe décrit par le cercle.

Vie et souffle Notre Association Une belle histoire à poursuivre Dans les années 50 se répand en France une épidémie de polio qui fait des ravages. En une seule année, plus de 800 malades sont touchés à Nancy. Bouleversé par la maladie d’une jeune interne qui avait contracté la polio en soignant les malades, le Docteur CATTENOZ, médecin de

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La messe dite, la centaine que nous étions, regagne ses foyers. Prochaine étape : la récollection.

Le vitrail, symbole de lumière Utiliser couleurs et lumière afin de "diriger la pensée des fidèles par des moyens matériels vers ce qui est immatériel," c’est ainsi que, historien et conseiller des rois Louis VI et Louis VII, qui commanda les vitraux de la basilique Saint-Denis en l’an 1144, l’ abbé Surger définissait la fonction du vitrail religieux. Symbole de la lumière sacrée, de la transcendance du divin, le vitrail est sans conteste un art. Pourtant, il ne fut pas toujours considéré comme tel. À l'origine, le vitrail, composition formée de verres réunis par un réseau de plomb et maintenue par des barres métalliques, avait une fonction pratique : protéger contre les intempéries. C'est l'utilisation de verre coloré qui va donner au vitrail une fonction véritablement esthétique.

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Les activités. A Lourdes une légère érosion pour ce qui concerne le nombre d’hospitaliers, en août particulièrement, ce qui engendre, certes un travail plus important, mais néanmoins très riche… guère de temps pour flâner ! Erosion également des haltes spirituelles … peut-on changer quelque chose ? Débat ouvert. Quant au chapelet mensuel, il recueille son quota habituel : une dizaine de personnes ! Beaucoup d’intentions que Claire récupère régulièrement. Monique, notre comptable, tout sourire, nous annonce … un BENEFICE ! Malgré des recettes moins conséquentes (quêtes paroissiales notamment), les dépenses ont été mieux gérées. Mais attention … cette année nous avons eu un legs relativement important… qui a évidemment contribué, pour une bonne part, à cet excédent ! Le calendrier. Notre conférencier pour la récollection sera le père Belliard, notre aumônier. Le thème : « le Rosaire sur le terreau des Psaumes. » Pèlerinages de mai du 21 au 25 et d’août aux mêmes dates. Un rallye surprise le 24 juin. Pour en finir avec Martin il se terminera à Marmoutier ! La fête, en novembre, le 25 à Bourgueil comme promis. Les thèmes de l’année. « L’APPEL », pour le diocèse « Prier le chapelet » à Lourdes. Paroisses. Afin de mieux répondre aux demandes de visites des malades ; afin de mieux répondre à nos besoins financiers (quêtes), deux responsables désormais : Raoul et Philippe. Ils sont chargés d’encadrer au mieux toutes les personnes qui sont déjà très actives dans les paroisses. Mais nous pouvons, devons faire mieux ; être plus présents.

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Raoul s’occupera des doyennés d’Amboise, Château-Renault, Chinon et Loches. Philippe de Tours Nord, centre et sud. Informations diverses. Une ouverture sur les réseaux sociaux à travers Facebook ; pour essayer de mieux « atteindre » les jeunes. Un blog toujours actif. A tel point, belle satisfaction dont le mérite revient à notre (ex) webmaster Jean-Christophe, qu’une vingtaine d’hospitalités en France va reprendre le modèle bien rodé maintenant … Bravo JC ! Les reçus fiscaux ! Toujours d’actualité … pour combien de temps encore ? Profitez-en donc si vous en avez les moyens …encore aussi ! Les photos de l’année sur DVD toujours disponibles. Conseil d’administration : élection Un grand moment, un beau bouquet pour Bénédicte, qui a rempli son contrat de 8 ans. Bonne pourvoyeuse de jeunes hospitaliers, de St Grégoire particulièrement, nous souhaitons tous qu’elle continue cette mission. Quant à Michel, dans la même situation, il restera « aux fers » une année de plus ! Ce qui nous donne l’occasion, après une vingtaine d’année dans « le rang » de l’hospitalité, de voir arriver au conseil Claire. Ses compétences diverses et variées nous seront bien utile ! Composition du CA

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