CETIME news http://issuu.com/cetimenews/docs Responsable de la publication: Mohamed Férid HERELLI

Coordination : S. Ben Fadhel - ont participé à ce numéro : M. Ouazaâ - T. Ben Saâd - B. Zarrouk -Photographe : E. Trabelsi - Conception et réalisation: A. Ghariani

LE CETIME - GP 7 - Z.I. Ksar Saïd - 2010 La Manouba - Tél.: 70 146 000 - Fax : 70 146 071Numéro vert : 80100348 - E-mail : contact@cetime.com.tn - site web : www.cetime.ind.tn

Edito :- Coup d’envoi du CRT - Sousse

Actualités :- La 10ème Conférence Européenne des CND et L’Assemblée Générale ICNDT- Evaluation de la conformité des Fauteuils roulants pour Handicapés- Le Guide de l’acheteur des produits et services électriques tunisiens- Gestion des ressources humaines et compétitivité des entreprises

Coopération internationale :- Projet de coopération CETIME - JICA

Veille & Informations :- Synthèse de l’enquête sur les traitements thermiques (juin 2010)- Lampes LEDs : Techniques de mesure- Plates-formes partagées, pleine forme affichée- Le CEA-Leti et Power Docea collaborent dans les puces 3D à faible consommation- L’entrée en exploitation d’un nouveau site de produc- tion de gaz dans la zone industrielle d’El-Mghira- Plastivaloire réinvestit la Tunisie

Données du Secteur :- Indicateurs du secteur IME pour les 5 premiers mois 2010

Agenda :

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Le samedi 12 juin 2010, Monsieur Afif CHELBI, ministre del’Industrie et de la Technologie, en présence de MessieursTaïeb Ragoubi, Gouverneur de Sousse, Mahmoud RomdhaneS.G. du comité de coordination du RCD Sousse, AhmedAbdelkefi PDG de la société de gestion du pôle de compétitivitéde Sousse, a procédé au coup d’envoi du Centre de RessourcesTechnologiques ”CRT” abrité à la pépinière de Sousse depuis le20 avril 2010.A cette occasion, le ministre de l’Industrie et de la Technologiea présidé la deuxième réunion du conseil scientifique dutechnopole et approuvé les grands projets que le CETIMEcompte implanter au CRT, qui se présentent comme suit :

Projet 1: évaluation de la conformité RoHS. Cette unitéest déjà opérationnelle.Projet 2: Développement de fonctions électroniques (CAO,prototypage et housing)Projet 3: laboratoire de contrôle qualité des cartesélectroniques,Projet 4: Ingénierie numériqueProjet 5: Salle blanche pour la microélectronique de pointe.

Il convient de rappeler par ailleurs, que le CRT est un espacequi regroupe des locaux, des équipements et des compétencesd’un niveau technologique élevé et qui sera mis à la dispositiondes industriels, chercheurs et universitaires intéressés par lesdomaines de la mécatronique (mécanique, électronique,informatique et télécommunication) appliquée aux deuxsecteurs.Le CRT est aussi une composante du technopole de Soussedont la création s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globaleayant pour objectif de doter le pays de l’infrastructure et desmoyens nécessaires à la réalisation des objectifs stratégiques

industriels et ceux annoncés dans le programme présidentiel« Ensemble relevons les défis » pour la période 2009 – 2014,à savoir :

la consolidation des liens entre la formation, larecherche et la production,l’incubation et le soutien de la création d’entreprisesinnovantes par la valorisation des résultats de la recher-che,la stimulation de la création d’emplois notamment pour lesdiplômés de l’enseignement supérieur.l’amélioration de la capacité compétitive de l’industrienationale,et l’attraction de l’investissement direct étranger enTunisie.

C’est dans ce cadre que la technopole de Sousse sera édifiéesur une superficie d’environ 60 ha et spécialisée enmécatronique et le CETIME, à travers le CRT, sera habilité àassurer le rôle de plateforme technologique de cettetechnopole.

EDITO RIAL

SOMMAIRE

Monsieur Afif CHELBI, ministre del’Industrie et de la Technologie procédant

au coup d’envoi

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CETIME NEWS N° 43ACTUALITES

M. Mohamed Férid HERELLI, Directeur Général du CETIMEa participé à la 10ème Conférence Européenne sur lesessais non destructifs qui s’est déroulée à Moscou du 07au 11 Juin 2010 et ce, en sa qualité de représentant del’AIEA-AFRA et membre honoraire du comité internationalICNDT.

Au programme de la conférence, 661 exposés techniqueset scientifiques portant sur les dernières nouveautés dansle domaine des techniques de contrôle et celui de larecherche et du développement des techniques de CND

ainsi que leur application dans l’industrie.

Parallèlement à cette conférence, il a été tenu la 34ème Assemblée Générale de l’ICNDT et lesréunions du Comité International des CND de l'ISO TC-135.

Lors de la réunion ICNDT, les membres ont examiné le plan stratégique de l’ICNDT préparé par lecomité exécutif, étudié le rapport du groupe de travail conjoint de « ICNDT TC 135 et CEN TC138 » mis en place pour harmoniser les normes ISO 9712 et EN 473 et examiné les projets CND quisont soutenus par l'AIEA.

Monsieur Férid HERELLI a présenté un rapport surl’évolution de l’utilisation des CND en Afrique à travers leprojet régional de l’AIEA - AFRA.

En marge de cette conférence internationale, uneexposition a été tenue réunissant plus que 100 exposantsd’équipements de CND de dernière génération, destinés àl’utilisation industrielle.

Il est à noter par ailleurs, que la 6ème Conférence Africaine « ACNDT 2010 » aura lieu à Ghana aucours du quatrième trimestre 2010 et la 7ème Conférence Africaine « ACNDT 2012 » seraprogrammée à l’occasion de la 18ème Conférence mondiale sur les CND qui aura lieu du 18 au 20avril 2012 à Durban - Afrique du Sud et ce, pour permettre aux coordinateurs du projet AFRARAF/8/043 de participer à ces deux événements.

La 10ème Conférence Européenne des CND et l’AssembléeGénérale ICNDT

Contact : Mme. A. Kharrat – Tél: 70 146 099

Une assistance attentive a suivi le déroulementde la conférence

Déroulement de la conférence

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CETIME NEWS N° 43ACTUALITES

Avec le soutien de l’Unité de Gestion du Programme d'Appui à la mise en œuvrede l'Accord d'Association avec l’Union Européenne (UGP3A) et le programmeTAIEX, le CETIME a organisé du 21 au 25 juin 2010, un atelier sur« ’l'Evaluation de la conformité des fauteuils roulants pourhandicapés ». Cet atelier a été animé par l’expert Mr. Alain Pawlowski,Responsable Département Essai au Centre d’Etudes et de Recherche surl’Appareillage des Handicapés (CERAH) - France.

Le but de cet atelier étant d’étudier l’opportunité de mettre en place au CETIMEune unité d’essai et d’évaluation technique des fauteuils roulants importés enTunisie.

Les principaux thèmes abordés lors de cet atelier sont les critères de choix d’unfauteuil roulant et la conformité technique des fauteuils roulants par rapport aux

normes internationales.

En partant du principe que le fauteuil roulant est une aide technique qui compensel’incapacité de marcher, le choix d’un fauteuil roulant doit tenir compte de certainscritères liés à l’utilisateur : la déficience, la morphologie, les capacités fonctionnellesde l’handicapé, le degré d’indépendance, l’âge, la situation familiale et lesressources financières ; et des critères liés aux conditions d’utilisation : le mode devie, utilisation interne et/ou externe, les distances à parcourir, l’environnementarchitectural, utilisation autonome ou assistée. En fonction de ces critères et avecl’aide du médecin traitant, de l’ergothérapeute et de l’assistant(e) social(e) ,l’utilisateur a le choix sur plusieurs types de fauteuils : Fauteuils roulants àpropulsion manuelle, Fauteuils roulants pour activités physiques et sportives,Fauteuils roulants évolutifs pour enfants, Fauteuils roulants à propulsion par moteurs électriques, Fauteuils rou-lants verticalisateurs, Poussettes et fauteuils roulants à pousser, Tricycles , Kits de propulsion / d’assistance à la

propulsion / de verticalisation et Voiturettes.

Un fauteuil roulant comporte : un système de soutien du corps : siège + dossier+ accoudoirs + repose-pieds ; un système de conduite, des roues et un châssis.Ce fauteuil doit être conforme aux normes : NF EN 12183 : Exigences etméthodes d'essai pour fauteuils roulants à propulsion manuelle et NF EN 12184 :Exigences et méthodes d'essai pour fauteuils roulants électriques, scooters etleurs chargeurs. Ces normes qui sont en cours d’être adopter par l’INNORPI,comporte des exigences de conception et des exigences de performances. A titred’exemple, on cite les essais : de résistance statique des accoudoirs,repose-pieds, leviers de basculement, les poignées et guidons de poussée ; larésistance aux chocs du dossier, de la main courante, des roues directrices et

du repose-pieds, des essais de fatigue, des essais de chute, l’efficacité des freins, la stabilité statique enmarche avant, en marche arrière et latérale, des essais dynamiques : vitesse maximale, distance de freinage,autonomie de la batterie, franchissement d’obstacle, etc.

En 2009, d’après l’Institut National des Statistiques, la Tunisie a importé pour plus de 10 000 fauteuils roulants(85% fauteuils manuels et 15 % fauteuils électriques). La grande majorité, 96%, des fauteuils roulants manuelssont d’origine chinoise.

Séminaire: Evaluation de la conformité des Fauteuilsroulants pour Handicapés

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CETIME NEWS N° 43ACTUALITES

Mr. Pawlowski a fait remarquer que le marquage CE des fauteuils roulants,qu’ils soient européens ou asiatiques, n’est pas un label de qualité ; car cesfauteuils sont des dispositifs médicaux de classe de risque 1 qui nécessitentuniquement une auto certification par le fabricant. C’est pourquoi, enFrance, la sécurité sociale édite une liste de fauteuils roulantsremboursables qui ont préalablement subis des essais de conformité réaliséspar le CERAH.

Il apparaît opportun de mettre en place un moyen de contrôle des Fauteuils roulants pour Personnes Handicapéesen Tunisie. Cela permettrait incontestablement de répondre aux besoins des utilisateurs et d’élever la qualité desproduits distribués, permettant ainsi aux personnes handicapées un meilleur confort et une plus grandeautonomie (dans le sens de la durée de vie du fauteuil).

Partenaires de l’Atelier :

Contact : M. T. Tabka– Tél: 70 146 026

Importation des FauteuilsRoulants Manuels

(année 2009)

Importation des FauteuilsRoulants Electriques

(année 2009)Pays Qté % Pays Qté %

Chine R.P. 8 354 96,08% France 654 42,55%

France 97 1,12% Pays Bas 463 30,12%

Espagne 79 0,91% Allemagne 232 15,09%

Allemagne 72 0,83% Chine R.P. 125 8,13%

Pays Bas 40 0,46% Italie 21 1,37%

Vietnam 30 0,35% Belgique 19 1,24%

Syrie 15 0,17% Suisse 19 1,24%

Suisse 6 0,07% Danemark 3 0,20%

Italie 1 0,01%USA 1 0,07%

Suède 1 0,01%

8 695 1 537

Total : 10 232

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CETIME NEWS N° 43ACTUALITES

A l'initiative de l'Ecole supérieure d'administration et de management et en collaboration avec la revue« l'Economiste Maghrébin », un colloque ayant pour thème : ''Gestion des ressources humaines etcompétitivité des entreprises'' a été organisé le 17 juin 2010 à Tunis.M. Mohamed Agrebi, ministre de la Formation professionnelle et de l'Emploi a présidé l’ouverture des travaux dece colloque, auquel ont pris part plusieurs experts internationaux et chefs d'entreprises économiques de Tunisieet de l'étranger.Les thèmes majeurs qui ont été développés lors de ce colloque ont porté sur la restructuration du système de laformation professionnelle et l’adaptation de ses structures aux nouvelles exigences internationales ainsi quel’amélioration continue des qualifications et du taux d’encadrement au sein des entreprises industrielles. Cesthèmes présentent également le noyau dur de la politique nationale en matière de gestion des ressourceshumaines en vue d’améliorer la compétitivité des entreprises et drainer davantage les investisseurs étrangersvers les créneaux porteurs et à forte valeur ajoutée.

C’est avec un grand plaisir que nous vous annonçons la parution du « Guide del’acheteur- produits et services électriques tunisiens » qui vise à mettre à votredisposition des informations pertinentes et fiables sur les produits et servicesofferts par les entreprises opérant dans les branches d’activités Electriques,Electroniques et de l’Electroménager en Tunisie.

Ce nouveau service a été conçu pour vous aider à trouver plus facilement lefournisseur idéal en produits et services EEE à travers sa base de donnéesbilingue (français – anglais) offrant un accès facile aux différents produits etservices électriques tunisiens. C’est un portail permettant l’accès à une listeexhaustive des entreprises et une gamme complète des produits et servicesdisponibles en Tunisie qui vous sont fidèlement transmises pour vous soutenirdans votre quête permanente d’amélioration de la productivité et de lacompétitivité.

Ce guide se veut simple et d’utilisation commode. Il permet d’accéder aux informations recherchées selonplusieurs critères :

1) Produits et services: Recherche des entreprises par produits et services. Elle donne la liste de lanomenclature

2) Raison sociale : Recherche d’informations sur les entreprises par leur RaisonSociale

3) Noms de dirigeants : Recherche d’information sur les entreprises par un nomde dirigeant

4) Recherche par thème : Recherche d’informations en choisissant descatégories et sous-catégories selon une nomenclature simplifiée des famillesd’activité.

5) Recherche par texte intégral : Recherche d’information sur les entreprises parun mot de votre choix « présent » dans les rédactionnels publicitaires dechaque entreprise.

A cette occasion, nous lançons un vibrant appel aux industriels pour le consulter lorsdes opérations de recherche de produits ou de services EEE aussi bientunisiens qu’étrangers ainsi qu’aux fournisseurs de produits et services pourcollaborer avec le CETIME et la FEDELEC en s’associant à ce travail parl’inscription à ce guide et la mise à jour de leurs produits d’une manière continue.

Gestion des ressources humaineset compétitivité des entreprises

Le Guide de l’acheteurdes produits et services électriques tunisiens

Un nouveau produit: fruit de la collaboration CETIME / FEDELEC.LE CETIME

Disponible à parti

r du

10 juille

t 2010

Contact : M. M. Sbai– Tél: 70 146 092

FEDELEC

Contact : Mme. S. Ben Fadhel– Tél: 70 146 023

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CETIME NEWS N° 43COOPERATION INTERNATIONALE

L’Etat tunisien a lancé un programme d’amélioration de la productivité et de la qualité dans le cadred’un projet de coopération avec le Japon. Ce projet consiste à réaliser des actions concrètesd’assistance technique au sein des entreprises en vue d’améliorer leur compétitivité.

Les secteurs industriels concernés par ce projet sont le secteur des IME et celui de l’emballage.

Pour ce qui est du secteur des IME, il est prévu l’assistance de 40 entreprises pour un budget globald’intervention de 600 HJ IngénieurRépartis sur trois ans.

Les travaux de réalisation s’effectueront sur trois lots d’entreprises :

Un premier lot, composé de 08 entreprises a déjà bénéficié de l’assistance technique durant lapériode allant du mois de septembre 2009 au mois d’août 2010. Il a regroupé les entreprisessuivantes :

Le deuxième lot d’entreprises est composé de 13 entreprises et les travaux d’assistance serontréalisés durant la période Juin 2010 – Août 2011

Les Entreprises sélectionnées à cet effet, sont :

Les travaux d’amélioration de la qualité et de la productivité du deuxième lot d’entreprises ontdémarré courant ce mois de juin 2010.

Projet de coopération CETIME-JICA

LE CETIME

Contact : M. M. Hajji– Tél: 70 146 044

SOMEFSOFTENSICORSIAME

HYDROMECASOFIMADAYTECHJAEGER

SIMEFAFRIVISIONCOFITELNEWSTARSIAMESICORSOMEF

COTRELMTFSIASOFUIMAUTICYTUNO

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CETIME NEWS N° 43VEILLE & INFORMATIONS

Dans la cadre de l’amélioration continue des services du Centre et en vue de satisfaire les besoins desindustriels et leur fournir des prestations conformes à leurs attentes, le CETIME a engagé uneenquête auprès d’un échantillon d’entreprises de la région de Sfax visant l’identification de leursbesoins dans le domaine du traitement thermique.

L’objectif essentiel de cette enquête étant de cerner les difficultés rencontrées par les industriels dansce domaine pour pouvoir agir en temps opportun et proposer des actions d’amélioration au profit decette branche d’activité à travers notamment la création d’une unité de traitement thermique au seindu CETIME pour améliorer la compétence de l’encadrement technique opérant dans ce domaine.

Cette enquête a fait dégager les insuffisances suivantes :

- La majorité des entreprises ont exprimé leur insatisfaction de la qualité de la prestation réaliséeauprès des sous traitants locaux et ont confirmé leur intérêt et leur besoin de recourir à d’autresfournisseurs dans ce domaine pour améliorer la qualité des prestations offertes.- Plusieurs industriels on exprimé un besoin urgent en matière de formation. Parmi les thèmesretenus l’on cite notamment :

Traitement thermique des aciers alliés

Cémentation, nitruration

Métallurgie des outillages pour travail a chaud et à froid

Métallurgie et traitement thermique dans la masse

Traitement thermique des soudures

Trempe des moules d’injection

Contact :M M. MALOULLI Tél: 74 211 330 / Melle H. HMAIED Tél: 70 146 000

Synthèse de l’enquête sur les traitements thermiques (juin 2010)

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CETIME NEWS N° 43VEILLE & INFORMATIONS

Lampes LEDs : Techniques de mesure

1. Introduction:La nouvelle forme d’éclairage employée dans les lampesLEDs a imposé le développement de nouvelles procéduresd’essais ainsi qu’une instrumentation adaptée. Lesinstruments usuels d’essais des lampes traditionnellesdoivent être donc modifiés ou remplacés conjointement avecles procédures d’essais décrites dans les normesappropriées de ces lampes et qui sont elles aussi récentes.Mais avant d’entamer le sujet, on rappelle deux termesimportants illustrés comme suit :

Figure 1 : différence entre flux et intensité lumineuse

Représentation du Fluxlumineux

Représentation de l’intensitéLumineuse

2. Mesure de flux :Pour bien comprendre les caractéristiques d’une LED en

terme de flux lumineux, il suffit de le comparer à celui d’unelampe classique (à incandescence par exemple) comme lemontre la figure suivante :

Flux d’une lampe à incan-descence

Flux d’une LED

Figure 2 : Comparaison des flux d’une lampe à incandescence etcelui d’une LED.

Le problème posé par une telle émission de flux, pour uneLED, est qu’il n’est pas possible d’utiliser les sphèresintégrantes classiques. Vu que ce terme est très importantpour caractériser les différentes sources lumineuses, leschercheurs ont proposé d’apporter des modifications à cessphères puisque cet instrument est l’une des méthodes lesplus fiables pour les mesures du flux. Cette technique estbien avantageuse car, en tant que laboratoire, on ne seraitpas obligé d’acquérir une nouvelle sphère, du moins danscette phase transitoire de développement du marché desLEDs. Ces modifications s’illustrent comme suit :

Figure 3 : Nouvelleméthode de mesure duFlux d’une LED dans unesphère intégrante de 2.5 mde diamètre.

Tout repose en fait sur la théorie, comme on peut leremarquer, l’émission du flux est non uniforme sur lasurface de la sphère mais tenant compte de ce facteur etavec un étalonnage approprié de la sphère ainsi qu’unebonne sensibilité du détecteur, la mesure du flux desLampes LEDs devient possible, mais attention auxincertitudes, qui dans le cas des LEDs, sont très largespar rapport à celles des lampes classiques, duessentiellement à la non uniformité de l’intensitélumineuse angulaire, la température, la répétabilité,…Au CETIME, la nouvelle sphère intégrante dont ondispose, est parfaitement adaptée à de telles mesures.

Une lampe LEDs est composée de plusieurs diodes, donc leproblème de mesure de l’intensité lumineuse réside dans lefait qu’il y a aussi plusieurs sources ponctuelles. L’astucealors fut de chercher à quelle distance de la source, celle-ciserait considérée comme ponctuelle, pour pouvoir mesurerl’intensité lumineuse à l’aide des bancs photométriquesusuels. Au début, on exigeait une distance de 2 mètres,mais avec l’amélioration de la sensibilité des photomètresainsi que la brillance des LEDs, cette distance put êtreréduite jusqu’à 100 mm à 316 mm pour un encombrementminimum du banc. Et comme l’intensité lumineuse dans cecas est fortement liée à la distance ainsi qu’à l’ouverture dudétecteur, on constatait que les mesures de l’intensitéétaient très différentes pour un même type de LED, et doncil a fallu normaliser ces valeurs et c’est ce qui a été fait ( larecommandation CIE 127).

3. Mesure de l’intensité lumineuse :

TP : tête photométrique, VL : viseur latéral, FP : fils a plomb, S : supportde LED et module d’asservissement en température, C : contrôleur de tem-

pérature, A : alimentation stabilisée en courant, VA : viseur axial.Figure 4 : Exemple d’un banc photométrique (LNE)

Il est à signaler qu’un banc photométrique mesure l’éclairement qui estensuite converti en intensité lumineuse selon une loi appelée loi deBouguer.4. Conclusion :L’industrie des LEDs qui est en pleine expansion et

développement a exigé aussi un développement similairedans les différents secteurs y compris les laboratoiresd’essais qui doivent toujours être en veille pour garantir lesprestations attendues.

Bibliographie :Nicolas Pousset : Caractérisation du rendu des couleurs des nouvelles sources : les diodesélectroluminescenteshttp://physics.nist.gov/Divisions/Div844/facilities/photo/LED/led.html#ref1

Contact : M. A. Nzayem– Tél: 70 146 085

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CETIME NEWS N° 43VEILLE & INFORMATIONS

Les plates-formes de diffusion technologique partagées, mises en place par leCetim, séduisent de plus en plus les PMI. D'abord dédiées à l'usinage à grandevitesse, elles s'ouvrent au médical, à la fusion laser ou au découpageadiabatique.Au Centre technique des industries mécaniques (Cetim) de Saint-Etienne, on n'arrête plus lafrénésie du partage ! Fin 2004, l'antenne rhônalpine du Cetim lançait le premier projet françaisde plate-forme partagée (ou unité pilote à dispositif partagé) d'usinage à grande vitesse (UGV),en partenariat avec trois industriels. Essai transformé. Une troisième plate-forme partagéeUGV a vu le jour en janvier 2008 avec encore plus d'équipements. Une machine d'usinageMikron 5 axes est à disposition pour la mécanique de précision, une autre pour le médical.Ces plates-formes se sont mises à explorer de nouvelles voies. En décembre, le concept a été

étendu à la fusion laser pour les prothèses dentaires. Et une plate-forme de découpage adiabatique démarre ce mois-ci dans lesmurs de l'entreprise stéphanoise Adiapress, à quelques encablures du Cetim. Pourquoi une telle expansion ? La minimi- sation durisque financier de l'innovation, surtout pour les PME participantes.« Le principe d'une plate-forme partagée est de faire pénétrer dans une PME une technologie innovante en levant le frein del'investissement », explique Jean-Claude Crapart, le directeur du Cetim Saint-Etienne. A 300 000 euros le coût de la Röders 3axes de la première plate-forme, on comprend l'hésitation ! L'idée est donc de tester la machine pendant une durée suffisammentlongue pour la maîtriser, mais à temps partiel pour en limiter le coût et ne pas trop empiéter sur l'activité régulière de l'entreprise.PASSER DE L'ARTISANAT À L'INDUSTRIEBref, il s'agit d'« accompagner un changement de culture progressif de l'entreprise et de vérifier que la technologie est adaptée »,poursuit Jean-Claude Crapart. Quelques industriels se répartissent avec le Cetim des jours de location de la machine. Leurengagement dure dix-huit ou trente-six mois. De son côté, outre la mise à disposition de la technologie, le Cetim apporte sonexpertise, encadre le personnel et mène à bien son propre travail de R et D. La première plate-forme a conduit les deux forgeronsPréciforge et Wichard à l'achat d'une machine UGV. Le troisième industriel, le mouliste SVO, n'a pas souhaité concrétiserl'achat.« Certains passent vraiment de l'artisanat à l'industrie », résume Laurent Lalliard, l'actuel technicien Cetim pour la plate-formeusinage. C'est le cas de Wichard (lire ci-dessous). Avec deux ans de recul et l'achat d'une Röders 3 axes, le forgeron auvergnatdépeint notamment l'abandon progressif des anciens procédés (copiage, emboutissage, électroérosion), le chargement desmachines en 3 x 8, l'amélioration des délais et de la qualité globale, la réduction des coûts associés... Pour autant, l'intégrationd'un modèle technologique ne sied pas à toute PME. La deuxième plate-forme UGV a été un échec. Et sur la plate-forme UGV 5axes en cours, deux des huit industriels se sont retirés. « Sur les six sociétés engagées dans l'usinage 5 axes depuis un an, cinqsont déjà intéressées à l'achat », confie cependant Jean-Claude Crapart. La sixième, l'éditeur de logiciels de CFAO Sescoi, ytrouve, quant à elle, une réponse à ses besoins.L'horizon s'élargit encore avec la mise en place fin 2008 de la cinquième plate-forme partagée « Dental » du fabricant PhenixSystems. Objectif ? Accompagner la profession des prothésistes dentaires à l'utilisation de la technologie de fusion laser pour lafabrication de bridges et de couronnes en cobalt-chrome. Une dizaine de prothésistes comptent parmi les utilisateurs. Fondeurs,forgerons, usineurs... autant de mécaniciens qui pourraient bénéficier des recherches du Cetim et se partager les débouchés de lafusion laser.DES ÉCONOMIES SUBSTANTIELLESDernière en date, la plate-forme de découpage adiabatique se veut encore plus ambitieuse. Commercialisée sous le nom ADIA7par Adiapress pour la fabrication de pièces métalliques de très grandes séries, cette technologie de rupture affiche des résultatsproches du découpage fin. Tout en promettant une économie de 25 % sur le prix de l'outillage, de 10 à 20 % sur la matièreutilisée et une cadence deux fois plus grande. Le principe ? Provoquer une élévation de température très importante et trèslocalisée du matériau à découper en déplaçant un poinçon à 10 mètres par seconde. Son inventeur, Raymond Michon, y aconsacré huit années de travail.Dotée d'une enveloppe d'environ 1 million d'euros pour trois ans (hors coûts de fonctionnement et de maintenance), dont 30 %financés par les collectivités territoriales, « elle nécessite encore de la R et D en termes d'optimisation à fournir », selon StéphaneThierry, le responsable découpage-emboutissage au Cetim. Elle se situe donc entre une plate-forme d'innovation et uneplate-forme de diffusion partagée. A l'état de présérie industrielle, il n'existe pour l'heure que deux ADIA7 au monde (en Franceet en Allemagne). Selon Yannick Meyer, le président d'Adiapress, quatre sociétés allemandes veulent démarrer la production, ettrois françaises seraient intéressées... par l'outil partagé.

Source: http://www.usinenouvelle.com/article/plates-formes-partagees-pleine-forme-affichee.N65267

Plates-formes partagées, pleine forme affichée

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CETIME NEWS N° 43VEILLE & INFORMATIONS

Les deux partenaires mettent sur pieds un labo commun pour lacréation d’une méthodologie de conception de circuitsintégrés en 3D.Le CEA-Leti et Docea Power unissent leur expertise dansl'intégration 3D en créant à Grenoble un laboratoire commun.Objectif : développer et valider une plate-forme logicielle de mo-délisation spécifique aux circuits intégrés 3D à faible consom-mation.Le CEA-Leti est le labo d’électronique du commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives.Docea Power est une start-up grenobloise connue pour ses logi-

ciels d’analyse des effets thermiques lors de la conception de cir-cuits intégrés. Le partenariat vise à améliorer la qualité de la conception et la validation d'une nouvellegénération d'outils de CAO, comme le logiciel Aceplorer de Power Docea, pour la conception de circuitsintégrés 3D à faible consommation destinés aux applications grand public et sans fil.Ces travaux de R&D s’inscrivent dans la feuille de route ''More than Moore'' qui vise à poursuivre l’aug-mentation de la densité des puces électroniques autrement que par la miniaturisation utilisée jusqu'ici.L’intégration 3D, qui consiste à empiler des fonctions réalisées aujourd'hui par des circuits distincts, cons-titue à cet effet une voie prometteuse. Mais elle pose d'énormes défis en termes de consommation électri-que et de comportement thermique. Ridha Loukil

http://www.industrie.com/it/electronique/le-cea-leti-et-power-docea-collaborent-dans-les-puces-3d-a-faible-consommation.9969

Le CEA-Leti et Power Docea collaborent dans les puces 3D à faible consommation

Développer des outils de conception 3D pour créer des puces à faible consommation.

Adresse url pour Consulter sur ISSUUtous les numéros du « Cetimenews »http://issuu.com/cetimenews/docs

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CETIME NEWS N° 43VEILLE & INFORMATIONS

Tunisie : l’entrée en exploitation d’unnouveau site de production de gaz dans la

zone industrielle d’El-Mghira

Linde Gas Tunisie,filiale du groupeallemand « TheLinde» , leadermondial dans lessecteurs gazindustriels et

ingénierie, a annoncé mardi l’entrée en exploitation d’unnouveau site de production de gaz dans la zone industrielled’El-Mghira au sud-ouest de Tunis.D’un investissement de 24 millions de dinars (12,8 millionsd’euros), ce nouveau site tuniso-allemand couvre une superficiede deux hectares, a précisé à la presse Walid Rourou, directeurgénéral de LindeGas Tunisie.La production de cesite, inauguré mardipar M. Afif Chelbi,ministre tunisien del’Industrie, estestimée entre 30 et35 tonnes par jour,avec une part demarché de 16%, a indiqué M. Rourou.Ce projet regroupe aussi un laboratoire d’analyses, un atelier demaintenance et un bloc administratif. Des unités deconditionnement de gaz de haute technologie seront implantéesprochainement, a-t-il ajouté.Le groupe Linde qui emploie près de 48.000 collaborateurs dansplus de 100 pays avec un chiffre d’affaires estimé à11,2 milliards d’euros lors de l’exercice 2009, est entré sur lemarché tunisien en mai 2008.Quelque 2.200 entreprises européennes sont implantées en Tuni-sie, entré début 2008 en zone de libre-échange avec l’Union eu-ropéenne pour les produits industriels.

- AFP (16.06.2010

Source: http://advisermag.20minutes-blogs.fr/archive/2010/06/16/linde-gas-tunisie-inauguration-d-un-nouveau-site-de-producti.html

Plastivaloire persiste et signe ! Six ans aprèss'être implanté pour la première fois en Tunisie,le groupe français, spécialisé dans l'injectionplastique, consacre cette année 4 millionsd'euros à la construction d'un second site deproduction, toujours dans la zone industriellede Sousse. L'usine IPS (Injection plastiquessystèmes) de 6 500 mètres carrés emploiera 200personnes à terme. Totalement opérationnelledébut 2011, elle servira essentiellement lemarché automobile. Plastivaloire a égalementdéboursé 1 million d'euros pour agrandir TPS(Tunisie plastiques systèmes), sa premièreusine de 9 000 mètres carrés, qui comptequarante-trois presses à injecter, emploie 400personnes et produit des boîtiers de décodeurinternet, des boutons « warning » ou desraquettes à neige pour Décathlon. Son chiffred'affaires devrait faire un bond de 70 % en2010 et atteindre 18 millions d'euros. PatrickFindeling, le PDG de Plastivaloire, et sonassocié Slim Zarrouk (qui possède 40 % de lafiliale tunisienne) visent 30 millions d'euros dechiffre d'affaires cumulés d'ici à trois ans, pourles deux sites.

Source: http://www.usinenouvelle.com/article/plastivaloire-reinvestit-la-tunisie.N134043

Plastivaloire réinvestit laTunisie

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CETIME NEWS N° 43

Les indicateurs du secteur IME pour les 5 premiers mois 2010

DONNEES DU SECTEUR

I/ Ensemble du secteur IME

Durant les 5 premiers mois 2010, les paramètres du secteur des industries mécaniques et électriques « IME »

ont affiché une augmentation soutenue au niveau des exportations par rapport à la même période de l’année

2009. Cette augmentation est de 36,0 % soit 838,3 millions de dinars (3 168,6 MD pour les 5 premiers

mois de 2010 contre 2 330,3 MD pour la même période 2009).

Les exportations des IME, représentent 34 % de l’ensemble des exportations des produits contre 29,4 % par

rapport à la même période de l’année précédente.

Durant la même période, les importations ont aussi enregistré une augmentation de 37,6 % soit 1 655,2

millions de dinars (6 056,9 MD pour les 5 premiers mois 2010 contre 4 401,7 MD pour la même période

de l’année 2009).

Concernant le taux de couverture et comme indiqué dans le graphique ci-après, il affiche une valeur

de 52,3 %, soit une légère baisse de 1,1 % par rapport aux 5 premiers mois de l’année 2009. Pour le

régime offshore, le taux de couverture enregistre une valeur satisfaisante de 152,7 % et ce en dépit d’une

baisse de 5,1 % par rapport aux 5 premiers mois de 2009.

Source: INS

Source: INS

Exportations, importation et taux de couverture du secteur IME

2 14

6,7

2 78

6,1

2 33

0,3

3 16

8,6

3 04

2,1

4 14

9,0

4 72

1,8

4 40

1,7

6 05

6,9

1 51

4,4

52,3%52,9%

59,0%

51,7%

49,8%

0

1 000

2 000

3 000

4 000

5 000

6 000

7 000

5 mois 2006 5 mois 2007 5 mois 2008 5 mois 2009 5 mois 201044,0%

46,0%

48,0%

50,0%

52,0%

54,0%

56,0%

58,0%

60,0%

Exportations (MD) Importations (MD) Taux de couverture (%)

Taux de couverture et part de l'export des IMEdans l'ensemble des produits

59,0% 52,9% 52,3%

9,5%10,1%11,6%

152,7%160,9%162,8%

34,0%27,7% 29,4%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

120%

140%

160%

180%

5 mois 2008 5 mois 2009 5 mois 2010

Taux de couverturedes IME

Taux de couverturedes IME pour lerégime général

Taux de couverturedes IME pour lerégime offshore

Export des IME /Export ensemble desproduits

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CETIME NEWS N° 43DONNEES DU SECTEUR

II) Analyse par sous secteurs

Le graphique suivant montre l’évolution des exportations des sous-secteurs :

N.B : -Matériel de transport : tracteurs, camions, bus etcars, voiture de tourisme, châssis et carrosserie …- Autres industries mécaniques : Toutes les industriesmécaniques sauf le Matériel de transport

L’analyse de l’export par sous secteur montre que lesindustries électriques occupent la première place etreprésentent 64,7 % de l’ensemble du secteur IME , soit2051,7 MD dont les fils et câbles électriques affichent unevaleur de 728,9 MD et le transformateurs 178,3 MD .On trouve en seconde place l’export des autres industriesmécaniques avec 27,4 % et vient en troisième place lematériel de transport avec seulement 7,9 % du secteurIME.Cependant, et comme le montre le graphique ci-après, lesimportations pour les autres industries mécaniques sontclassées en première position avec une part de 48,9 % soit 2 962,1 MD dont l’ensemble fer, aciers,cuivre, aluminium représente 789,7 MD, les engins agrico-les, machines pour l’industrie et pour manutentionsenregistrent une valeur de 326,3 MD. Les importations des industries électriques ne représententque 31,7 % de l’ensemble des importations du secteurIME alors que le matériel de transport occupe la troisièmeplace avec une part de 19,4%.

Contact : M. A. Elloumi – Tél: 70 146 095Source : MDCI / INS

Les résultats enregistrés pour l’export et l’import des soussecteurs de l’IME dégagent les résultats indiqués dans legraphique ci-après. En effet, l’analyse du taux decouverture montre que :- Pour les industries électriques : le taux de couvertureaffiche pour les 5 premiers mois, une valeur légèrementsupérieure à 100% (106,9%) et il est pratiquementconstant par rapport à la même période de l’annéeprécédente.- Pour les autres industries mécaniques : le taux decouverture est de 29,3% pour les 5 premiers moispremiers mois de 2010.- Pour le matériel de transport : le taux de couverture est

le plus bas pour le secteur IME soit 21,3% .

Evolution des exportations des sous secteursmatériel de transport,mécanique et électrique (MD)

249,7 250,2

846,9689,3

866,7

1689,4

1442,0

2051,7

199,00

500

1000

1500

2000

2500

3000

3500

5 mois 2008 5 mois 2009 5 mois 2010

Export IndustriesElectriques (MD)Export Autres IndustriesMécaniques (MD)Export Matériel deTransport (MD)

Source: INS

Evolution des importations des sous secteursmatériel de transport, mécanique et électrique (MD)

737,1 691,91175,1

2520,0 2357,7

2962,1

1464,71352,1

1919,7

0

1000

2000

3000

4000

5000

6000

7000

5 mois 2008 5 mois 2009 5 mois 2010

Import IndustriesElectriques (MD)Import Autres IndustriesMécaniques (MD)Import Matériel deTransport (MD)

Source: INS

Evolution des taux de couverture par sous secteur

106,9%

115,3%106,6%

29,3%

Autres industriesmécaniques; 29,2%

Autres industriesmécaniques; 33,6%

21,3%matériel de transport(%); 28,8%

matériel de transport(%); 33,9%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

120%

5 mois 2008 5 mois 2009 5 mois 2010

Taux decouverture pourles industriesélectriques

Taux decouverture pourles autresindustriesmécaniquesTaux decouverture pour lematériel detransport

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CETIME NEWS N° 43DONNEES DU SECTEUR

Contact : M. A. Elloumi – Tél: 70 146 095

Source : MDCI / INS

INDICE DES PRIX DE VENTE INDUSTRIELSBase 100 en 2000

Année 2010

Janvier Février Mars Avril

MACH. ET MAT. MECA. ET ELECT.

Produits de la sidérurgie 172,8 172,8 172,8 172,8

Tubes et tuyaux 121,8 121,8 126,1 126,1

Produits en acier 200,6 200,6 200,6 225,2

Métaux non ferreux 103,2 103,2 103,2 103,2

Produits de fonderie 124,1 124,1 124,1 124,1

Construction métallique 150,3 150,3 150,3 155,6

Réservoirs métalliques 158,7 158,7 158,7 181,1

Outillage et quincaillerie 153,5 153,5 156,2 156,2

Autres ouvrages en métaux 134,1 134,1 135,3 135,6

Autres appareils d'usage général 96,8 96,8 96,8 96,8

Equipements ménagers 118,2 118,2 118,2 118,2

Moteurs électriques 172,2 172,2 172,2 172,2

Matériel électrique 138,8 138,8 138,8 138,8

Fils et câbles isolés 293,8 293,8 293,8 293,8

Accumulateurs et piles électriques 190,1 190,1 190,1 190,1

Lampes et tubes électriques 115,4 115,4 115,4 115,4

Appareils de réception de l'image 43,0 43,0 43,0 43,0

Instruments de mesure 180,6 180,6 180,6 180,6

Matériels optiques 156,9 156,9 156,9 156,9

Cycles et Motocycles 120,5 120,5 117,8 117,8

TOTAL BRANCHE I.M.E. 140,6 140,6 140,9 142,9

Mai

172,8

126,1

225,2

103,2

124,1

159,8

181,1

156,2

135,6

96,8

118,2

172,2

138,8

293,8

190,1

123,1

43,0

180,6

156,9

117,8

143,3

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CETIME NEWS N° 43AGENDAS

Avec le CETIME, prenez un aller simple vers le savoir-faire

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Equipements et installations basse tension /BT en milieu industriel 28-30/09/2010 3 jours

Les essais de compatibilité électromagnétique (CEM) sur les produitsélectriques

07-08/10/2010au CRT - SOUSSE

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Les exigences de la norme ISO 14001 12-13/10/2010au CRT - SOUSSE

2 jours

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02-03/11/2010au CRT - SOUSSE

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les avantages qu'ils offrent pourl'amélioration de la qualité des produits in-

dustriels Ȉ Nabeul du 4 au 8 octobre 2010

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et L'Agence arabe de développementindustriel AIDMO (siège à Rabat)les journées 6 et 7 octobre 2010

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sion et de mécatronique pour le performance industrielleet énergétique des entreprises

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CETIME NEWS N° 28 43

30 2010

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122010

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:70 146 000 :70 146 071-www.cetime.ind.tn

«Innovation»

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(2014-2009

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