Chapitre 3 :

LES TIC, SOURCES DE TRANSFORMATION DES

ORGANISATIONS

Réalisé par :

Ben Amor Cyrine

Atig Ramzi

Ben Hmida Hamadi

Boughanmi Aymen

Plan:

Introduction

Comprendre l’environnement grâce aux TIC

Développer un style de leadership

Stratégie E-business et stratégie « tout court »

Y’a-t-il une culture e-business ?

conclusion

Introduction :• traditionnellement, le rôle de veille et d'analyste de l'environnement joué par le

manager s'exerce de façon paradoxale: c'est à la fois un rôle fortement promu et valorisé. pour le manager , le besoin de comprendre ce qui se passe aux frontières de l'entreprise devient à la fois potentiellement plus simple et plus compliqué, pourtant ce besoin de veille de l'environnement est devenu plus nécessaire que jamais: d'abord parce que les périmètres d'action de l'Entreprise et du manager ont changé d'air .les acteurs historiques d'un même secteur d'activité ,sont désormais des concurrent éloignés d'un simple clic ensuite parce que dans de nombreux secteurs d'activité ,nombreux sont les nouveaux acteur encore inconnus il ya peu et désormais installés donc la compétition à partir de leur implantation virtuelle:amazon, E-Bay... l'enjeux de la compréhension de l'environnement reste inchangé dans sa formulation :il s'agit d'obtenir la bonne information au bon moment ,pour agir sur l'organisation, en se souvenant au passage que l'introduction des réalités de l'environnement dans l'entreprise est un puissant levier d'évaluation de la culture organisationnelles .

I. Comprendre l’environnement grâce aux TIC

1- les nouvelles outils de veille:

A- les multiplications du portails d’entreprises/sites institutionnels:

Pour certains entreprises l’évolution de E-business consiste a mettre en place la plaquette d’entreprises tout en présentant les activités, les effectifs, produits, le résultat. Aussi bien la nouveauté de phénomène qui peut paraitre limité sur le fond (disponibilités de l’information a travers les bilans sociaux) et les différents portails d’information (Yahoo) qui a largement contribué à la qualité de la mise en disposition de l’information.

En revanche, l’innovation réside a la facilité d’accès à l’information et la rapidité d’une collecte dans le but de simplifier et d’amplifier les possibilités de trouver l’information la plus pertinente en fonction de profit

B- le développement de la presse électronique:

Grace a ce développement de l’actualité en ligne, la nouveauté est devenu plus réel car elle ne réside pas uniquement dans la mise a disposition instantané de l’information mais a la capacité de ciblage extrême

Le développement de la presse envisage la facilité d’accès, la personnalisation. et il renouvelle le travail du manager dans l’obligation de connaitre l’actualité économique professionnel de l’environnement.

C- les applications du type « push data » :

• Grâces à ces logiciels de recherche et de navigation sur les pages de web, des information, dont la grille de lecture a été pré-paramétré par l’utilisateur, dans leur nature ou dans leur contenu, sont littéralement « projetées »sur l’écran ou dans la messagerie de l’utilisateur.

• Le développement de l’internet mobile provoque un intérêt croissant malgré les faibles performances techniques qu’il connait encore.

• Le manager-actionnaire appréciera qu’on l’informe en ligne de la baisse du cours d’un titre boursier et qu’on lui permette toujours en ligne de prendre les dispositions nécessaires.

D- le développement et la sophistication croissante des sites/forums d’échanges :

• Ces sites sont spécialisé dans l’échange et la discussion virtuelle « chat », ces forums d’échanges deviennent évidemment pour le manager une nouvelle source de veille de l’environnement exemple de site (tchooze.com) dont ces candidats ou ses salariés s’exprime dans leur condition de travail: réalité de la formation, possibilité du carrières , style de management …

2- Le manager à la conquête du Net:

• Les grandes dimensions qui influencent l’organisation et la performance de l’entreprise c’est:

Les compétitions et l’univers professionnel au sens large de l’entreprise

Les marchés et leur actionnaires

Les consommateurs, citoyens, salarié.

• Les TIC modifient radicalement la façon dont le manager cherche a appréhender son environnement externe mais ses outils d’information, portent en exulte risque d’une part de provoquer un véritable noyade du manager soumis a une multitude d’éclairage, son environnement et d’autre part l’intexiquer avec l’information plus faible

• En matières de veille de l’environnement, trop d’information tue l’information. C’est pour cela le manager doit développer une curiosité collective, Au delà de toute ses apports et outils qui change l’activité de veille de l’environnement. Dans sa modalité l’apport fondamental des TIC dans ce domaine est aussi de faire du manager un intervenant proactif de la recherche d’information et d’idée nouvelles.

• Pour le manager il peut gratuitement formuler des hypothèses, faire des liens et trouver des éléments nouveaux qui veut s’enrechir et éclairer les différents questions qu’il pose.

II. Développer un nouveau style de leadership:

1- L’émergence de nouveaux leaders ?• il existe deux écoles de leaderships dans les organisations:

1er école: comprendre le leadership , consiste d’abord à décrire le comportement tout d’abord le leader qui est estimé par le mode d’internet et par les difficultés boursière actuelle des valeurs technologique, ensuite d’instrumenter la résultat de productivité et d’automatiser l’organisation.

d’autre part les leaders qui outre leur engagement personnel est en faveur des nouvelles technologies qui sont utilisé comme un très fort facteur de transformation.

2éme école: le leadership une fonction de l’organisation

d’autre part le leadership va comprendre l’environnement, la stratégie et la culture ; d’autre part appréhender une fonction socio-organisationnel.

faire évoluer le leadership par la transformation en profondeur de l’entreprise et maximiser les chances à moyen terme.

2- Le leadership, une fonction de l’organisation:

Le leadership n’est pas en effet juste un état de fait qu’on constate, c’est une fonction d'organisation, un rôle à exercer par le manager dont l’enjeu est de faire partager par les autres acteurs de l’organisation le sens et l’ambition de l’action à mener.

Le leadership est même avec la compréhension de l’environnement, la stratégie et la culture, une des quatre variables dont on a posé l’hypothèse de son importance fondamentale dans la performance de l’organisation.

La question du leadership se prête plus volontiers à l’analyse, en permettant de la découper en thèmes, et donc d’y projeter des possibilités d’action. Tout ce qui se mesure s’améliore. Y compris le leadership.

A- une utilisation exemplaire des TIC:

Face à l’outil d’aujourd’hui , trop discuté dans ses dérives et ses apports, le manager peut utiliser le E-mail pour donner des signes net sur l’intégration; la concision des échanges souhaitable, l’emploi des fonctionnalités de « copy » et « Blind copy » et il peut encourager ses collaborateurs à ne plus crainche d’étre procédé de leur propre pouvoir en partageant leur savoir

En effet le type de démarche renouvelé par « brick and motar » cherche à comprendre comment les TIC fonctionnent mais aussi les managers peuvent les faire entrer dans la vie des organisations.

B- TIC et expertise visionnaire:

L’art de faire partager le sens de l’action à l’ensemble des acteurs de l’organisation est egalement transformé par les TIC dans son essence meme, en remettant en cause la question globale du sens et de la voie a suivre.

Les modèle économique évoluant, les consommateurs et leur comportement se transforment, toute la demarche intellectuelle qui consiste traditionnellement à identifier les meilleurs pratiques pour piloter est alors fortement remise en cause. Aujourd’hui les meilleurs pratiques, à peine identifieés, sont obsolètes.

Le leader infaillible a vécu, , le leader « d’experience » peut émerger !

En effet, l’implantation des TIC dans les entreprises est évidemment une question stratégique.

III. Stratégie e-business et stratégie « tout court »:

1- Des modèles d’analyse stratégiques ébranlés:

• L’internet change tout: change l’environnement économique, social de l’entreprise, les modalités d’expression de leadership mais aussi elle change la stratégie des entreprises dont ses domaines d’action reste inchangé comme l’acquisition de nouvelle marché, fidélisation des clientes or il existe plusieurs méthodes d’analyse stratégie qui sont mise à mal par l’èvenet des TIC comme l’approche de maitrise de l’innovation du marché et la théorie de la courbe d’expériences qui est défini par ses 2 caractéristiques majeur de l’économie de l’information irrigué par les TIC.: rapidité et changement continue.

• En revanche, il y’a la théorie des années 80 qui est caractérisé par ces cinq forces de compétition économique:

Les entrants potentiels sur son marché

Le pouvoir de négociation des clients

Le pouvoir de négociation des fournisseurs

La concurrence entre les entreprises du secteur

Le niveau de substituabilité des produits ou services de l’entreprise.

2- De nouveaux compétiteurs :

• Grace a ces nouvelles frontières qui sont une des plus belle réussite de l’économie française de ces 25 années l’aspect de communication commerciale ont permis la multiplication des nouveaux pétantes du marché, mais face à ces difficultés rencontré par des pionniers de la nouvelle marché, les TIC permet d’entrer plus facilement, a ce marché et elle ne constitue pas un gage du succès futur,

• on constate aujourd’hui que le manager saura identifier quel atouts dans la relation de son organisation avec ses clients peuvent contrebalancer la nouvelle donne que les TIC établissent dans la multiplication des points de contact.

3- Le renouveau du pouvoir de négociation des clients :• traditionnellement la phase de négociation entre l'Entreprise et le consommateur est la pour

combler l’Écart entre l’offre standard et le besoin réel du client. ainsi pour le manager la compréhension des besoin du client doit désormais s’enrichir de nouveau élément tel que :

facilité d’accès sur la toile = la bataille de notoriété sur le web est une lutte de titan

ergonomie du site =trop peu de site sont encore doté de leur propre<butineur>qui permette de faire des recherches en langage naturel

performance technologique et temps de réponse= le développement des connexions haute débit peut s'enclencher sur son usage le cercle vertueux (investissement ,sucés, investissement)

simplicité de processus d'achat= la facilité de personnalisation apporté par les fonctionnalité des configuration( nike.com).

enrichissement de nouveau de service= les logiciels Customer Relationship management(CRM) s'améliorent dans le sens d'une maîtrise accrue de la connaissance du client, on parle de fonctionnalité de type profiling (adaptation de la présentation du fonctionnalités de l'identité du navigant).

4- des fournisseurs-partenaires:

• Avec les TIC et le e-business, le rapport de l’organisation au développement de son environnement est bouleversé.

• Si les places de marché troquent aujourd’hui leur nom originel de « Marketplace » pour évoluer vers celui de « business places », c’est bien parce que les capacités offertes par les nouvelles technologies en matière de relations d’entreprise à entreprise sont bien plus larges que les seules capacités de mise en compétition virtuelle.

• Les apports des solutions d’achat et d’approvisionnement en ligne énormes ont légitimement fondées les premières stratégies d’évolution vers le e-business de nombreuses entreprises.

• Les places de marché s’en sont trouvé assez rapidement confrontées à un risque de voir le combat cesser faute de combattants.

• Le travail collaboratif se développe aujourd’hui dans un esprit nouveau, qui privilégie une approche dans laquelle les fournisseurs sont davantage des partenaires de long terme que des opportunités faciles pour exporter une recherche de productivité à court terme.

5- vers une nouvelle intensité capitalistique:• D’abord c’est de relevait, un capital physique de l’entreprise (locaux, machines MP ..)

et les principales investissements , mais l’importance accordé à la capitalisation boursière montre la valeur croissante de la dimension financière et la capacité de trouver de nouveau produits.

• Les TIC donnent en effet naissance à une approche radicalement nouvelle de la compréhension de chaine de valeur sur lequel l’entreprise doit se positionner

• Le développement des TIC redonne par exemple un avantage concurrentiel certain aux organisations postales qu’une première analyse pourrait croitre en péril du fait de la dématérialisation des échanges physiques d’information

• Les acteurs de la chaine logistique se pressent sur les places de marché pour offrir leur capacité de transport et d’entreposage, le développement des contrats de travail en temps partagé permettant à un même individu d’offrir ses compétences à plusieurs univers économiques.

6- Tout est service:

Tout produit est désormais lu par le consommateur comme un service, de la pertinence de l’analyse que fait l’entreprise sur le besoin véritablement satisfait par ce produit, nait la qualité de sa stratégie.

En termes technologiques, des outils comme les configurateurs illustrent ce que sera de plus en plus l’offre de l’entreprise, cherchant continuellement à maitriser ses couts.

De plus en plus les règles du jeu économique, les TIC transforment le point de vue du manager sur la raison d’être de son organisation et lui imposent de réinterroger sa culture professionnelle.

IV. Y a-t-il une culture e-business ?

1- Internet, un modèle culturel :

• Les nouvelles facilités d’utilisation des réseaux paraissaient en effet susceptibles de briser non seulement les barrières de l’accès à l’information et au savoir, mais aussi celles de la liberté d’expression.

• Le développement des TIC est en effet paré de mille vertus pour l’organisation.

• cette culture est défini comme la façon et l'esprit avec lequel les chose se font.

• pour comprendre mieux les changement des TIC: l'implication du management, il faut des données au leader moteurs, pas d'anticipation et d'arbitrage, une bonne maîtrise du rôle de technologie

• 65% des premiers projets de e-commerce avaient déçu fin 1999, les principales explications données à ces échecs sont :

Insuffisante implication du top management

Pas de moyens donnés aux leaders moteurs,

Pas de démonstrations rapides par des « proof of concept »

Pas d’anticipation et d’arbitrage

Pas d’exemplarité/innovation dans la façon même de faire le projet

Maitrise insuffisante de la technologie

2- un nouveau rapport au temps :

• La rapidité, lorsqu'elle est assumée et mise à profit par tout dans l’entreprise, est en effet une des composantes culturelles majeures des organisations qui tirent aujourd’hui bénéfice de leur évolution vers le e-business.

• cette rapidité s’impose dans l’entreprise comme un écho organisationnel pertinent car adapté au rythme croissant des évolutions de l’environnement.

• Comprendre vite ce qui se passe dans son environnement, décider vite des meilleurs pistes de réaction et passer à l’action le plus vite possible: cette chaine d'Operations qu’elle décrive un achat en ligne sur une place de marchés, un processus virtuel de recrutement, ou l’actualisation d’une compagne de marketing direct se déroule désormais sur un tout autre timing.

• Faire de la vitesse une des valeurs de l’entreprise ne se décrète pas pas, d’autres croyances, d’autres éléments culturels doivent à leur tour être réinterrogé.

3- Le manager de verre:• Les TIC repositionnent les notions d’échanges et de transparence entre les acteurs

de l’organisation dans des perspectives nouvelles.

• La légitimité du manager ne peut plus en effet s’appuyer derrière le fait qu’il serait seul à disposer de l’information, son rôle particulier dans ce domaine doit s’avouer tel qu’il est vraiment.

• La seconde des révolutions culturelles apportées par le développement des technologies de l’information et de la communication:

Accepter d’une part l’idée que la facilité d’accès à l’information en multipliant les opportunités d’échanges accroit l’exposition aux autres

Accepter l’idée que ce sentiment d’exposition est au final source de progrès pour le manager et son équipe

• En économisant le temps consacré à s’échanger de l’information, la relation de management devient davantage centrée sur ce que l’un et l’autre cherchent à vraiment obtenir individuellement au travers de leur travail en commun

• Cette nouvelle liberté d’échange et de contractualisation entre managers et collaborateurs est exigeante,

4- L’analogie comme nouvelle rationalité innovatrice :

En évoquant comment les nouvelles technologies modifiaient les règles traditionnels de la réflexion stratégique, on a vu que la découverte des modelés économique gagnants pour demain devient difficile, dans une phase où un nouveau type d’environnement économique, politique et social accompagne le développement des TIC.

La culture d’innovation dans les entreprises s’en trouve modifiée. l’innovation devient un must, plus un luxe.

Transposer et penser par analogie sont ainsi des sources puissantes d’innovation.

Dans beaucoup d’entreprises française, on est bien plus qu’ailleurs dans le monde, persuadé et attaché à sa spécificité.

Cette capacité à innover en pillant, copiant, détournant et améliorant les idées que d’autres ont eu, est pourtant sûrement avec la vitesse et la transparence assumée, la troisième grande composante culturelle à développer dans les organisations pour leur permettre de profiter au maximum des potentiels des technologies de l’information et de la communication.

Conclusion :

• : les changeant de tic bien en profondeur 4 variable de transformation de l'entreprise :

leadership renouvelé de son expression et son développement

une analyse stratégique bouleversée dans ses modes opératoires

un environnement transformé dans ses contours et son appréhension

une nouvelle culture d'Entreprise qui remplace l'ancien croyance par des nouvelle pensée < il s'agit de piloter toujours la performance de l'Entreprise dans la dimension liée au rôle du manager >

Merci pour votre attention